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diff --git a/fr/administrivia/administrivia.xml b/fr/administrivia/administrivia.xml new file mode 100644 index 000000000..dc5f4cbda --- /dev/null +++ b/fr/administrivia/administrivia.xml @@ -0,0 +1,142 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29689 --> + +<appendix id="administrivia"> + <title>Administrivia</title> + + + <sect1 id="about"> + <title>À propos de ce document</title> + +<para> + +Ce manuel a été créé pour l'installateur de la distribution Sarge. Il est +basé sur le manuel de l'installateur de la distribution Woody, qui lui-même +était basé sur d'anciens manuels d'installation de Debian. Il est aussi basé +sur le manuel de la distribution Progeny, distribué sous GPL en 2003. + +</para><para> + +Ce document est écrit au format DocBook XML. Les textes produits sont créés +par différents programmes à partir des paquets +<classname>docbook-xml</classname> et <classname>docbook-xsl</classname>. + +</para><para> + +Pour faciliter la maintenance de ce document, nous utilisons certaines +fonctionnalités XML, telles qu'entités et attributs de particularisation. +Ils jouent le même rôle que les variables et les conditions dans les langages +de programmation. La source XML de ce document contient des informations pour +chaque architecture — les attributs de particularisation sont +utilisés afin d'isoler certaines parties du texte spécifiques à une +architecture donnée. + +</para> +<para> +Toutes les remarques sur cette traduction, coordonnée par Philippe Batailler, +sont à envoyer à l'adresse +<email>debian-l10n-french@lists.debian.org</email>. +</para> + </sect1> + + <sect1 id="contributing"> + <title>Pour contribuer à ce document</title> + +<para> + +Si vous avez des questions ou des suggestions à propos de ce document, +vous pouvez envoyer un rapport de bogue concernant le paquet +<classname>debian-installer-manual</classname>. Voyez le paquet +<classname>reportbug</classname> ou lisez la documentation en ligne +disponible dans le <ulink url="&url-bts;">système de suivi des +bogues</ulink>. Ce serait bien si vous pouviez vérifier dans les +<ulink url="&url-bts;debian-installer-manual">bogues ouverts à propos +du manuel de l'installateur</ulink> que votre problème n'a pas déjà été +signalé. Si c'est le cas, vous pouvez confirmer le bogue ou donner des +informations complémentaires à l'adresse +<email><replaceable>XXXX</replaceable>@bugs.debian.org</email>, où +<replaceable>XXXX</replaceable> est le numéro du bogue en question. + +</para><para> + +Encore mieux, procurez-vous une copie des sources docbook de ce document et +proposez des correctifs. Les sources docbook sont disponibles dans le +<ulink url="&url-d-i-websvn;">WebSVN de l'installateur</ulink>. Ne vous +inquiétez pas si vous ne connaissez pas bien docBook : une note rapide +dans le répertoire du manuel vous mettra sur la voie. DocBook est comme +html, mais on s'intéresse au sens du texte plutôt qu'à sa présentation. +On peut envoyer des correctifs à la liste de discussion debian-boot, voyez +plus bas. Pour accéder aux sources par CVS, consultez le fichier +<ulink url="&url-d-i-readme;">README</ulink> dans le répertoire racine des +sources. + +</para><para> + +Veuillez <emphasis>ne pas</emphasis> contacter les auteurs de ce document +directement. Il existe une liste de diffusion pour l'installateur Debian qui +discute de ce document. L'adresse de la liste de diffusion est +<email>debian-boot@lists.debian.org</email>. Les instructions pour s'abonner +sont disponibles à la page +<ulink url="&url-debian-lists-subscribe;">d'abonnement aux listes de +diffusion Debian</ulink> ; une copie de cette liste peut être consultée +en ligne dans les +<ulink url="&url-debian-list-archives;">archives des listes de diffusion +Debian</ulink>. + +</para> + + </sect1> + + <sect1 id="contributors"> + <title>Principales contributions</title> + +<para> +Bruce Perens, Sven Rudolph, Igor Grobman, James Treacy, et Adam Di Carlo +sont les premiers auteurs de ce texte. Sebastian Ley a écrit le Guide +d'installation. +Beaucoup, beaucoup d'utilisateurs et de développeurs Debian ont participé à +ce document. On doit mentionner particulièrement Michael Schmitz (pour m68k), +Frank Neumann (à l'origine du +<ulink url="&url-m68k-old-amiga-install;"> +guide d'installation de Debian sur Amiga</ulink>), Arto Astala, Eric Delaunay +et Ben Collins (SPARC information), Tapio Lehtonen et Stéphane Bortzmeyer +pour de nombreux textes. Nous remercions aussi Pascal Le Bail pour ses +informations sur la manière d'amorcer à partir des clés USB. + +</para><para> + +Des informations extrêmement utiles ont été +piochées dans le HOWTO sur le démarrage réseau de Jim Mintha +(pas d'URL disponible), la +<ulink url="&url-debian-faq;">FAQ Debian</ulink>, la +<ulink url="&url-m68k-faq;">FAQ Linux/m68k</ulink>, la +<ulink url="&url-sparc-linux-faq;">FAQ Linux pour processeurs SPARC</ulink>, +la <ulink url="&url-alpha-faq;">FAQ Linux/Alpha</ulink>, et d'autres encore. +Que les auteurs de ces sources d'informations riches et librement accessibles +soient remerciés. +</para> +<para> +La section de ce manuel <quote>Installer debian à partir d'un système Unix/Linux</quote> +(<xref linkend="linux-upgrade"/>) est partiellement reprise d'un document +avec copyright Karsten M. Self. +</para> + +<para arch="i386"> + +La section sur l'installation avec plip (<xref linkend="plip"/>) est basée sur le +<ulink url="&url-plip-install-howto;">PLIP-Install-HOWTO</ulink> de Gilles Lamiral. +</para> + + </sect1> + + <sect1 id="trademarks"> + <title>Marques déposées</title> +<para> + +Les marques déposées citées dans ce document appartiennent à leurs +propriétaires. + +</para> + </sect1> +</appendix> + diff --git a/fr/appendix/chroot-install.xml b/fr/appendix/chroot-install.xml new file mode 100644 index 000000000..15e8e45fa --- /dev/null +++ b/fr/appendix/chroot-install.xml @@ -0,0 +1,446 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect1 id="linux-upgrade"> + <title>Installer &debian; à partir d'un système Unix/Linux</title> + +<para> + +Cette partie explique comment installer &debian; à partir d'un système +Unix ou Linux existant, sans utiliser le système d'installation avec menus +qui est expliqué dans la suite de ce manuel. Les utilisateurs +qui changeaient leur distribution Red Hat, Mandrake et Suse pour &debian; +réclamaient ce guide d'installation. Dans cette +partie, on suppose que le lecteur a acquis une certaine familiarité avec +les commandes *nix et qu'il sait parcourir le système de fichiers. +<prompt>$</prompt> symbolisera une commande qui devra être saisie dans +le système actuel, alors que <prompt>#</prompt> fera référence à une commande +qui devra être saisie dans le chroot Debian. + +</para><para> + +Une fois que vous aurez configuré le nouveau système Debian, +vous pourrez y installer les données des utilisateurs (s'il y en a), +et continuer à travailler. &debian; s'installe sans aucune interruption de +service. C'est également une façon intelligente de résoudre les problèmes +d'équipement qui, d'ordinaire, donnent du fil à retordre aux systèmes +d'installation ou aux systèmes d'amorçage. + +</para> + + <sect2> + <title>Pour commencer</title> +<para> + +Avec votre outil habituel de partitionnement *nix, partitionnez le disque +dur et créez au moins un système de fichiers ainsi qu'une zone d'échange +(swap). Vous devez disposer d'au moins 150 Mo pour +l'installation d'un système en mode console et d'au moins 300 Mo si vous +avez l'intention d'installer X. + +</para><para> + +Pour créer un système de fichiers sur vos partitions, par exemple, pour créer +un système de fichiers ext3 sur la partition <filename>/dev/hda6</filename> +(ce sera la partition racine dans notre exemple), il suffit de faire : + +<informalexample><screen> +# mke2fs -j /dev/hda6 +</screen></informalexample> + +Pour créer un système de fichier ext2, il suffit d'enlever le +<userinput>-j</userinput>. + +</para><para> + +Initialisez et activez la zone d'échange (swap) (modifiez le numéro de la +partition en fonction de celui que vous souhaitez utiliser avec Debian) : + +<informalexample><screen> +# mkswap /dev/hda5 +# sync; sync; sync +# swapon /dev/hda5 +</screen></informalexample> + +Montez une partition sur <filename>/mnt/debinst</filename> (le point +d'installation, qui deviendra le système de fichier racine +(<filename>/</filename>) sur votre nouveau système). Le point de montage est +totalement arbitraire, c'est de cette façon qu'on y fera référence par la +suite. + +<informalexample><screen> +# mkdir /mnt/debinst +# mount /dev/hda6 /mnt/debinst +</screen></informalexample> + +</para> + </sect2> + + <sect2> + <title>Installer <command>debootstrap</command></title> +<para> + +L'outil utilisé par l'installateur Debian et reconnu comme outil officiel +pour installer un système Debian de base s'appelle +<command>debootstrap</command>. Il utilise <command>wget</command> et +<command>ar</command>, mais ne +dépend que de <classname>/bin/sh</classname>. Installez +<command>wget</command> et <command>ar</command> s'ils ne sont pas déjà +installés sur votre système, +puis téléchargez et installez <command>debootstrap</command>. + +</para><para> + +Si vous possédez un système basé sur rpm, vous pouvez utiliser alien +pour convertir le .deb en .rpm, ou télécharger une « version +rpm-isée » depuis +<ulink url="http://people.debian.org/~blade/install/debootstrap"></ulink> + +</para><para> + +Ou, vous pouvez utiliser la procédure qui suit pour l'installer vous-même. +Créez un répertoire pour y décompresser le .deb : + +<informalexample><screen> +# mkdir work +# cd work +</screen></informalexample> + +Le programme <command>debootstrap</command> se trouve dans l'archive Debian +(assurez-vous d'avoir sélectionné le fichier correspondant à votre +architecture). Téléchargez le <command>debootstrap</command> .deb à partir de +<ulink url="http://ftp.debian.org/debian/pool/main/d/debootstrap/">pool</ulink>, +copiez le paquet dans le répertoire de travail, et décompressez les fichiers +binaires. Vous aurez besoin d'avoir les droits du superutilisateur pour +installer le binaire. + +<informalexample><screen> +# ar -x debootstrap_0.X.X_arch.deb +# cd / +# zcat /full-path-to-work/work/data.tar.gz | tar xv +</screen></informalexample> + +</para> + </sect2> + + <sect2> + <title>Lancer <command>debootstrap</command></title> +<para> + +<command>Debootstrap</command> peut télécharger les fichiers nécessaires +directement depuis l'archive debian. Vous pouvez remplacer toutes les +références à <userinput>http.us.debian.org/debian</userinput> dans les +commandes ci-dessous, par un miroir de l'archive Debian qui se trouve à +proximité de chez vous, relativement au réseau. Les miroirs sont listés sur +<ulink url="http://www.debian.org/misc/README.mirrors"></ulink>. + +</para><para> + +Si vous possédez une version cédérom de &debian; &releasename;, montée sur +/cdrom, +vous pouvez remplacer l'URL http par l'URL d'un fichier : +<userinput>file:/cdrom/debian/</userinput> + +</para><para> + +Dans la commande <command>debootstrap</command> remplacez +<replaceable>ARCH</replaceable> par l'une des expressions suivantes : + +<userinput>alpha</userinput>, +<userinput>arm</userinput>, +<userinput>hppa</userinput>, +<userinput>i386</userinput>, +<userinput>ia64</userinput>, +<userinput>m68k</userinput>, +<userinput>mips</userinput>, +<userinput>mipsel</userinput>, +<userinput>powerpc</userinput>, +<userinput>s390</userinput>, ou +<userinput>sparc</userinput>. + +<informalexample><screen> +# /usr/sbin/debootstrap --arch ARCH &releasename; \ + /mnt/debinst http://http.us.debian.org/debian +</screen></informalexample> + +</para> + </sect2> + + <sect2> + <title>Configurer le sytème de base</title> + +<para> + +Maintenant vous disposez d'un vrai système Debian, certes un peu élémentaire. +Lancez le programme <command>Chroot</command> : + +<informalexample><screen> +# chroot /mnt/debinst /bin/bash +</screen></informalexample> + +</para> + + <sect3> + <title>Monter les partitions</title> +<para> + +Vous devez créer <filename>/etc/fstab</filename>. + +<informalexample><screen> +# editor /etc/fstab +</screen></informalexample> + +Voici un exemple que vous pouvez modifier à votre convenance : + +<informalexample><screen> +# /etc/fstab: static file system information. +# +# file system mount point type options dump pass +/dev/XXX / ext2 defaults 0 0 +/dev/XXX /boot ext2 ro,nosuid,nodev 0 2 + +/dev/XXX none swap sw 0 0 +proc /proc proc defaults 0 0 + +/dev/fd0 /mnt/floppy auto noauto,rw,sync,user,exec 0 0 +/dev/cdrom /mnt/cdrom iso9660 noauto,ro,user,exec 0 0 + +/dev/XXX /tmp ext2 rw,nosuid,nodev 0 2 +/dev/XXX /var ext2 rw,nosuid,nodev 0 2 +/dev/XXX /usr ext2 rw,nodev 0 2 +/dev/XXX /home ext2 rw,nosuid,nodev 0 2 +</screen></informalexample> + +Utilisez <userinput>mount -a</userinput> pour monter l'ensemble des systèmes +de fichiers que vous avez indiqué dans votre fichier +<filename>/etc/fstab</filename>, ou alors +pour monter un à un chaque système de fichiers, utilisez : + +<informalexample><screen> +# mount /path # e.g.: mount /usr +</screen></informalexample> + +Vous pouvez monter le système de fichiers proc plusieurs fois et à divers +endroits, cependant on choisit d'habitude /proc. Si vous n'utilisez pas +<userinput>mount -a</userinput>, assurez-vous d'avoir monté proc avant +d'aller plus loin : + +<informalexample><screen> +# mount -t proc proc /proc +</screen></informalexample> + +</para> + </sect3> + + <sect3> + <title>Configurer le clavier</title> + +<para> + +Pour configurer votre clavier exécutez : + +<informalexample><screen> +# dpkg-reconfigure console-data +</screen></informalexample> + +</para> + </sect3> + + <sect3> + <title>Configurer le réseau</title> +<para> + +Pour configurer le réseau, éditez les fichiers +<filename>/etc/network/interfaces</filename>, +<filename>/etc/resolv.conf</filename>, et +<filename>etc/hostname</filename>. + +<informalexample><screen> +# editor /etc/network/interfaces +</screen></informalexample> + +Voici quelques exemples simples qui proviennent de +<filename>/usr/share/doc/ifupdown/examples</filename> : + +<informalexample><screen> +###################################################################### +# /etc/network/interfaces -- configuration file for ifup(8), ifdown(8) +# See the interfaces(5) manpage for information on what options are +# available. +###################################################################### + +# We always want the loopback interface. +# +auto lo +iface lo inet loopback + +# To use dhcp: +# +# auto eth0 +# iface eth0 inet dhcp + +# An example static IP setup: (broadcast and gateway are optional) +# +# auto eth0 +# iface eth0 inet static +# address 192.168.0.42 +# network 192.168.0.0 +# netmask 255.255.255.0 +# broadcast 192.168.0.255 +# gateway 192.168.0.1 +</screen></informalexample> + +Indiquez vos serveurs de noms et les directives search dans le fichier +<filename>/etc/resolv.conf</filename> : + +<informalexample><screen> +# editor /etc/resolv.conf +</screen></informalexample> + +Un simple <filename>/etc/resolv.conf</filename> : + +<informalexample><screen> +# search hqdom.local\000 +# nameserver 10.1.1.36 +# nameserver 192.168.9.100 +</screen></informalexample> + +Indiquez le nom de votre système (de 2 à 63 caractères) : + +<informalexample><screen> +# echo DebianHostName > /etc/hostname +</screen></informalexample> + +Si vous possédez plusieurs cartes réseau, faites en sorte d'indiquer +par ordre les modules que vous voulez charger dans le fichier +<filename>/etc/modules</filename>. De cette façon, lors du démarrage, chaque +carte sera associée avec le nom d'interface (eth0, eth1, etc.) que vous +souhaitiez. + +</para> + </sect3> + + <sect3> + <title>Configurer le fuseau horaire, les utilisateurs et le progreamme APT</title> + +<para> + +Configurez le fuseau horaire, ajoutez un utilisateur normal, et choisissez +vos sources <command>apt</command> en exécutant + +<informalexample><screen> +# /usr/sbin/base-config new +</screen></informalexample> + +</para> + </sect3> + + <sect3> + <title>Configurer les locales</title> +<para> +Pour configurer les paramètres locaux, pour l'utilisation d'une autre langue +que l'anglais, installez le paquet des locales puis configurez-le : + +<informalexample><screen> +# apt-get install locales +# dpkg-reconfigure locales +</screen></informalexample> + +NOTE : Vous devez au préalable configurer apt, c'est-à-dire lors +de l'étape de configuration du système de base. Avant d'utiliser les locales +avec un jeu de caractères différent de l'ASCII ou de latin1, veuillez consulter +les HOWTO sur la localisation. + +</para> + </sect3> + </sect2> + + <sect2> + <title>Installer un noyau</title> + +<para> + +Si vous avez l'intention de démarrer ce système, vous aurez vraisemblablement +besoin d'un noyau Linux ainsi que d'un gestionnaire de démarrage. Identifiez +les paquets contenant des noyaux avec : + +<informalexample><screen> +# apt-cache search kernel-image +</screen></informalexample> + +Puis installez celui que vous voulez en utilisant son nom de paquet. + +<informalexample><screen> +# apt-get install kernel-image-<replaceable>2.X.X-arch-etc</replaceable> +</screen></informalexample> + +</para> + </sect2> + + <sect2> +<title>Configurer le programme d'amorçage</title> +<para> + +Pour que votre système &debian; puisse démarrer, configurez le programme +d'amorçage pour qu'il charge le noyau installé avec votre nouvelle partition +racine. Debootstrap n'installe pas de programme d'amorçage mais vous pouvez +utiliser apt-get pour en installer un. + +</para><para arch="i386"> + +Faites <userinput>info grub</userinput> ou +<userinput>man lilo.conf</userinput> pour connaître les instructions de +configuration des programmes d'amorçage. Si vous souhaitez conserver le +système dont vous vous êtes servi pour installer Debian, ajoutez simplement +une entrée pour l'installation de Debian dans votre +<filename>menu.lst</filename> ou dans votre <filename>lilo.conf</filename>. +Pour <filename>lilo.conf</filename>, vous pouvez également le copier sur le +nouveau système et l'éditer. Une fois que +vous l'aurez modifié, lancez lilo (souvenez-vous que lilo utilise le fichier +lilo.conf qui se trouve dans le même système que lui). + +</para><para arch="i386"> + +Voici un exemple simple de fichier <filename>/etc/lilo.conf</filename> : + +<informalexample><screen> +boot=/dev/hda6 +root=/dev/hda6 +install=/boot/boot-menu.b +delay=20 +lba32 +image=/vmlinuz +label=Debian +</screen></informalexample> + +</para><para arch="powerpc"> + +Consultez le <userinput>man yaboot.conf</userinput> pour les instructions de +configuration du programme d'amorçage. Si vous souhaitez conserver le système +dont vous vous êtes servi pour installer Debian, ajoutez simplement une +entrée pour l'installation de Debian dans votre yaboot.conf actuel. Vous +pouvez également le copier sur le nouveau système et l'éditer. Une fois que +vous l'aurez +modifié, lancez ybin (souvenez-vous que ybin utilise le yaboot.conf qui se +trouve dans le même système que lui). +</para><para arch="powerpc"> + +Voici un exemple simple de fichier <filename>/etc/yaboot.conf</filename> : + +<informalexample><screen> +boot=/dev/hda2 +device=hd: +partition=6 +root=/dev/hda6 +magicboot=/usr/lib/yaboot/ofboot +timeout=50 +image=/vmlinux +label=Debian +</screen></informalexample> + +Sur certaines machines, vous devrez utiliser <userinput>ide0:</userinput> +au lieu de <userinput>hd:</userinput>. + +</para> + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/appendix/example-preseed-etch.xml b/fr/appendix/example-preseed-etch.xml new file mode 100644 index 000000000..db093dad5 --- /dev/null +++ b/fr/appendix/example-preseed-etch.xml @@ -0,0 +1,390 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30373 --> + +<informalexample condition="etch"><screen> +#### Startup. + +# Pour utiliser un fichier de préconfiguration, vous devez d'abord amorcer +# l'installateur et lui dire où se trouve ce fichier. Il suffit de passer un +# paramètre d'amorçage au noyau, soit au moment de l'amorçage, soit en modifiant +# le fichier syslinux.cfg (ou un fichier du même type) pour ajouter les paramètres +# à la fin des lignes <quote>append</quote> pour le noyau. +# +# Si vous faites une installation par le réseau, utilisez ce paramètre : +# preseed/url=http://host/path/to/preseed +# Si vous recréez un cédérom, vous pouvez utiliser celui-ci : +# preseed/file=/cdrom/preseed +# Si vous faites une installation à partir d'un support USB, utilisez ce +# paramètre et mettez le fichier de préconfiguration dans le répertoire racine +# de la clé USB. +# preseed/file=/hd-media/preseed +# +# Si modifier l'image initrd de l'installateur ne vous pose pas de problèmes, +# vous pouvez aussi mettre un fichier de préconfiguration dans le répertoire +# racine du système de fichiers d'initrd, appelé "preseed.cfg" ; l'installateur +# utilisera toujours ce fichier s'il est présent (la version Sarge de l'installateur +# ne reconnaît pas cette posibilité). Assurez-vous de mettre le fichier au bon endroit. +# +# Pour être sûr que l'installateur prend le bon fichier, vous pouvez indiquer +# une somme de contrôle pour le fichier. Pour le moment, cette somme doit être +# de type md5sum. Quand elle est indiquée, elle doit correspondre au fichier ; +# sinon, l'installateur refuse d'utiliser le fichier. +# preseed/url/checksum=5da499872becccfeda2c4872f9171c3d +# preseed/file/checksum=5da499872becccfeda2c4872f9171c3d +# +# On ne peut pas automatiser certaines étapes de l'installation avec certains types +# de préconfiguration car les questions sont posées avant que le fichier +# ne soit chargé. Si par exemple le fichier est téléchargé sur le réseau, la +# configuration du réseau doit être faite préalablement. L'une des raisons d'utiliser +# la préconfiguration avec initrd est qu'il est alors possible de préconfigurer +# ces étapes. +# +# Quand on ne peut pas utiliser un fichier de préconfiguration pour préconfigurer +# certaines étapes, on peut quand même automatiser l'installation car il est possible +# de passer des paramètres au noyau sur la ligne de commande. Il suffit d'indiquer +# une paire de type path/to/variable=valeur pour toutes les variables listées +# ci-dessous. + +# Pendant que vous y êtes, vous pourriez déclarer un debconf/priority=critical +# pour éviter la plupart des questions, même s'il n'y en a pas beaucoup dans +# la préconfiguration qui suit. +# Et vous pourriez aussi mettre le compte à rebours à 1 dans syslinux.cfg et +# éviter ainsi d'avoir à appuyer sur la touche Entrée pour lancer +# l'installateur. +# +# Il faut savoir que le noyau accepte un maximum de huit options ligne de +# de commandes et huit variables d'environnement. Et les options ajoutées +# par l'installateur sont comprises dans ces chiffres. S'il y a dépassement, +# les noyaux 2.4 ignorent les options en trop et les noyaux 2.6 paniquent. +# À partir des noyaux 2.6.9, vous pouvez employer 32 options ligne de +# commandes et 32 variables d'environnement. +# +# On peut sans risque supprimer certaines options par défaut, comme +# 'vga=normal'. Cela permet de rajouter autant d'options +# pour la préconfiguration. + +# Pour choisir la langue et le pays, utilisez la ligne suivante, mais rappelez-vous +# que cela ne fonctionne qu'avec une préconfiguration de type initrd. +# Pour les autres formes de préconfiguration, vous devez la convertir en paramètre du +# noyau, p. ex debian-installer/locale=fr_FR +d-i debian-installer/locale string fr_FR + +# Pour choisir le clavier, utilisez la ligne suivante. Vous devez la convertir en paramètre du +# noyau avec les autres formes de préconfiguration. +d-i console-keymaps-at/keymap select fr-latin9 + +#### Configuration du réseau. + +# Bien sûr, si vous récupérez le fichier de préconfiguration sur le réseau, +# cela ne marchera pas ! Mais c'est parfait si vous amorcez à partir d'un +# cédérom ou d'une clé USB. Vous pouvez aussi ajouter des paramètres réseau +# aux paramètres du noyau si vous récupérez le fichier de préconfiguration +# sur le réseau. + +# Netcfg choisira une interface connectée si possible. Cela empêchera d'afficher +# une liste s'il y a plusieurs interfaces. +d-i netcfg/choose_interface select auto + +# Quand le serveur dhcp est lent et que l'installateur s'arrête pour l'attendre, +# ceci peut être utile. +#d-i netcfg/dhcp_timeout string 60 + + +# Si vous préférez configurer vous-même le réseau, voici comment faire : +#d-i netcfg/disable_dhcp boolean true +#d-i netcfg/get_nameservers string 192.168.1.1 +#d-i netcfg/get_ipaddress string 192.168.1.42 +#d-i netcfg/get_netmask string 255.255.255.0 +#d-i netcfg/get_gateway string 192.168.1.1 +#d-i netcfg/confirm_static boolean true + +# Remarquez que les valeurs données par dhcp, nom de domaine ou nom de +# machine, prennent le pas sur les valeurs déclarées ici. Cependant, +# cette déclaration empêche que les questions ne soient posées même si les +# valeurs viennent de dhcp. +d-i netcfg/get_hostname string unassigned-hostname +d-i netcfg/get_domain string unassigned-domain + +# Supprimer le dialogue irritant sur la clé WEP. +d-i netcfg/wireless_wep string +# Et l'étonnant nom de machine dhcp que certains FAI utilisent comme mot de +# passe. +#d-i netcfg/dhcp_hostname string radish + +#### Valeurs pour les miroirs + +d-i mirror/country string enter information manually +d-i mirror/http/hostname string http.us.debian.org +d-i mirror/http/directory string /debian +d-i mirror/http/proxy string + +# Quelle distribution Debian installer ? +#d-i mirror/suite string testing +# Quelle distribution Debian utiliser pour charger les composants de l'installateur ? +# (Par défaut, c'est la même que pour mirror/suite.) +#d-i mirror/udeb/suite string testing + +### Partitionnement. + +# Si le système possède un espace libre, vous pouvez ne partitionner que cet +# espace. +#d-i partman-auto/init_automatically_partition \ +# select Use the largest continuous free space + +# Vous pouvez aussi choisir un disque entier. Le format de son nom peut être +# donné selon le format devfs ou le format traditionnel. +# Par exemple, pour utiliser le premier disque connu sous devfs : +d-i partman-auto/disk string /dev/discs/disc0/disc + +# Vous pouvez choisir parmi tous les schémas prédefinis... +d-i partman-auto/choose_recipe select \ + Tous les fichiers dans une seule partition (recommandé aux débutants) +#d-i partman-auto/choose_recipe select Desktop machine +#d-i partman-auto/choose_recipe select Multi-user workstation + +# ...ou donner vous-même votre schéma. +# Le format des schémas est expliqué dans le fichier +# devel/partman-auto-recipe.txt. +# Si vous avez la possibilité d'obtenir un schéma dans l'environnement de +# l'installateur, vous pouvez simplement pointer sur lui. +#d-i partman-auto/expert_recipe_file string /hd-media/recipe + +# Sinon, vous pouvez écrire un schéma en une seule ligne. L'exemple suivant +# crée une petite partition /boot, une partition swap convenable, et utilise le +# reste de l'espace libre pour la partition racine : +#d-i partman-auto/expert_recipe string \ +# boot-root :: \ +# 40 50 100 ext3 \ +# $primary{ } $bootable{ } \ +# method{ format } format{ } \ +# use_filesystem{ } filesystem{ ext3 } \ +# mountpoint{ /boot } \ +# . \ +# 500 10000 1000000000 ext3 \ +# method{ format } format{ } \ +# use_filesystem{ } filesystem{ ext3 } \ +# mountpoint{ / } \ +# . \ +# 64 512 300% linux-swap \ +# method{ swap } format{ } \ +# . + +# Partman créera automatiquement les partitions sans demander de confirmation. +d-i partman/confirm_write_new_label boolean true +d-i partman/choose_partition select \ + Terminer le partitionnement et enregistrer les modifications sur le disque +d-i partman/confirm boolean true + +#### Installation du programme d'amorçage. + +# Grub est le programme d'amorçage par défaut (pour x86). Si vous préférez +# LILO, décommentez la ligne suivante : +#d-i grub-installer/skip boolean true + +# Il n'y a aucun danger à donner ce paramètre : il installe grub sur le +# secteur d'amorçage principal s'il n'existe aucun autre système d'exploitation +# sur la machine. +d-i grub-installer/only_debian boolean true + +# Ce paramètre installe grub sur le secteur d'amorçage principal même s'il +# existe un autre système d'exploitation, ce qui est moins sûr car il pourrait +# ne pas savoir amorcer cet autre système. +d-i grub-installer/with_other_os boolean true + +# Vous pouvez aussi l'installer ailleurs que dans le secteur d'amorçage +# principal. Décommentez et modifiez les lignes suivantes : +#d-i grub-installer/bootdev string (hd0,0) +#d-i grub-installer/only-debian boolean false +#d-i grub-installer/with_other_os boolean false + +#### Terminer la première étape de l'installation. + +# Pour éviter le dernier message disant que l'installation est terminée. +d-i prebaseconfig/reboot_in_progress note + +#### Les commandes du shell. + +# La préconfiguration de l'installation n'est pas sécurisée. Rien dans +# dans l'installateur ne vérifie que des dépassements de tampons ou des +# exploitations quelconques des valeurs données dans ce fichier n'ont pas lieu. +# N'utilisez que les fichiers dont vous connaissez la provenance ! +# Pour tout dire, et parce que c'est en général utile, voici un +# moyen d'exécuter automatiquement une commande dans l'installateur. + +# La première commande est exécutée aussi tôt que possible, juste après +# la lecture du fichier. +#d-i preseed/early_command string anna-install some-udeb + +# Cette commande est exécutée juste avant que l'installation ne se termine, +# mais quand le répertoire /target est encore utilisable. +#d-i preseed/late_command string echo foo > /target/etc/bar + +# Cette commande est exécutée au moment où base-config commence. +#base-config base-config/early_command string echo hi mom + +# Cette commande est exécutée après base-config, juste avant la connexion. +# C'est un bon moyen d'installer les paquets que vous voulez ou d'affiner la +# la configuration du système. +#base-config base-config/late_command string \ +# apt-get install zsh; chsh -s /bin/zsh + +###### Preseeding the 2nd stage of the installation. + +#### Préconfiguration de base-config. + +# Pour éviter le message d'introduction. +base-config base-config/intro note + +# Pour éviter le dernier message. +base-config base-config/login note + +# Si vous installez un gestionnaire d'affichage et si vous ne voulez pas le +# lancer immédiatemment après base-config : +#base-config base-config/start-display-manager boolean false + +# Certaines versions de l'installateur peuvent dire ce que vous avez installé. +# Par défaut, rien n'est signalé. Mais l'envoi de rapport d'installation aide le projet +# à connaître les logiciels populaires. +#popularity-contest popularity-contest/participate boolean false + +#### Configuration du fuseau horaire. + +# Cette commande règle l'horloge matérielle sur UTC ou non : +d-i clock-setup/utc boolean true + +# Vous pouvez mettre toute valeur acceptée pour $TZ. +# Voyez ce que contient /usr/share/zoneinfo/ pour des options. +d-i time/zone string US/Eastern + +#### Configuration des comptes. + +# Pour préconfigurer le mot de passe de root, vous devez le mettre en clair +# dans le fichier. Ce n'est pas une très bonne idée, faites attention ! +#passwd passwd/root-password password r00tme +#passwd passwd/root-password-again password r00tme + +# Si vous voulez ne pas créer d'utilisateur : +#passwd passwd/make-user boolean false + +# Vous pouvez aussi présélectionner le nom de l'utilisateur et son identifiant +# de connexion. +#passwd passwd/user-fullname string Debian User +#passwd passwd/username string debian +# Et le mot de passe, mais faites attention ! +#passwd passwd/user-password password insecure +#passwd passwd/user-password-again password insecure + +#### Configuration d'Apt.. + +# Cette question contrôle la source des paquets qui sera utilisée dans la +# deuxième étape de l'installation. Les choix sont cdrom, http, ftp, +# filesystem, modifier soi-même le fichier sources list. +base-config apt-setup/uri_type select http + +# Si vous choisissez ftp ou http, on vous demandera un pays et un miroir. +base-config apt-setup/country select enter information manually +base-config apt-setup/hostname string http.us.debian.org +base-config apt-setup/directory string /debian +# Ne faire le choix que d'un miroir. +base-config apt-setup/another boolean false + +# Vous pouvez choisir d'installer des paquets de non-free et contrib. +#base-config apt-setup/non-free boolean true +#base-config apt-setup/contrib boolean true + +# Pour autoriser les mises à jour de sécurité. +base-config apt-setup/security-updates boolean true + +#### Sélection des paquets. + +# Vous pouvez installer toute combinaison de tâches parmi celles disponibles. +# Pour l'heure, les tâches disponibles sont les suivantes : environnement +# de bureau, serveur Web, serveur d'impression, serveur DNS, serveur de +# fichiers, serveur de courrier, base SQL, portable, système standard, sélection manuelle +# des paquets. +# La dernière utilise aptitude. Vous pouvez aussi de ne pas installer de tâches +# et de forcer l'installation de paquets par un autre moyen. +# Il est recommandé de toujours inclure la tâche Système standard +tasksel tasksel/first multiselect Desktop environment, Standard system +#tasksel tasksel/first multiselect Web server, Standard system + +#### Configuration du MTA. + +# Pendant une installation normale, exim pose peu de questions. Voici +# comment les éviter. Une préconfiguration plus complexe est possible. +exim4-config exim4/dc_eximconfig_configtype \ + select no configuration at this time +exim4-config exim4/no_config boolean true +exim4-config exim4/no_config boolean true + +# C'est une bonne idée d'indiquer ici le nom de l'utilisateur que vous avez +# créé. Si vous n'indiquez aucune valeur, le courrier pour postmaster ira dans +# /var/mail/mail. +exim4-config exim4/dc_postmaster string + +#### Configuration du serveur X. + +# Préconfigurer le serveur X est possible, mais vous devrez sans doute +# connaître les caractéristiques du matériel video de votre machine. Le +# configurateur Debian du serveur X ne configure rien automatiquement. + +# X peut détecter le bon pilote pour certaines cartes, mais si vous faites une +# préconfiguration, vous annulez ce qu'il aura choisi. Cependant vesa +# fonctionne la plupart du temps. +#xserver-xfree86 xserver-xfree86/config/device/driver select vesa + +# Pour la détection automatique de la souris, il faut savoir que si elle +# échoue, X recommence sans fin le processus. Donc, s'il y a préconfiguration, +# une boucle infinie peut apparaître si la souris n'est pas détectée. +#xserver-xfree86 xserver-xfree86/autodetect_mouse boolean true + +# La détection automatique du moniteur est recommandée. +xserver-xfree86 xserver-xfree86/autodetect_monitor boolean true +# Décommentez la ligne suivante si vous posséder un écran LCD. +#xserver-xfree86 xserver-xfree86/config/monitor/lcd boolean true +# X possède trois adresses pour la configuration du moniteur. Voici comment +# présélectionner l'adresse <quote>medium</quote>, qui est toujours disponible. +# L'adresse <quote>simple</quote> peut ne pas être disponible et l'adresse +# <quote>advanced</quote> pose trop de questions. +xserver-xfree86 xserver-xfree86/config/monitor/selection-method \ + select medium +xserver-xfree86 xserver-xfree86/config/monitor/mode-list \ + select 1024x768 @ 60 Hz + +#### Les autres questions. + +# Selon les logiciels que vous avez installés et s'il y a eu des problèmes +# pendant le processus d'installation, d'autres questions peuvent être posées. +# Vous pouvez bien sûr les préconfigurer ! Pour obtenir la liste de toutes +# les questions possibles, faites une installation, et exécutez ces +# commandes : +# debconf-get-selections --installer > fichier +# debconf-get-selections >> fichier + +# Si vous voulez, vous pouvez inclure dans ce fichier d'autres fichiers de +# de préconfiguration. Toutes les valeurs de ces fichiers annuleront les +# valeurs préexistantes. Vous pouvez indiquer plus d'un fichier, en les +# séparant par des espaces ; tous seront chargés. Ces fichiers peuvent +# à leur tour contenir d'autres directives de préconfiguration ou d'inclusion. +# Notez que si les fichiers sont relatifs, ils seront pris dans le répertoire +# où se trouve le fichier qui les inclut. +#d-i preseed/include string x.cfg + +# L'installateur peut vérifier la somme de contrôle des fichiers de +# préconfiguration avant de les utiliser. Pour le moment, cette somme doit être +# de type md5sum. Il faut lister les sommes de contrôles dans le même ordre +# que les fichiers à inclure. L'installateur de sarge +# n'accepte pas les sommes de contrôle. +#d-i preseed/include/checksum string 5da499872becccfeda2c4872f9171c3d + +# D'une manière plus souple, cela exécute des commandes du shell et si le +# résultat donne les noms de ces fichiers, ils sont inclus. Par exemple, +# pour changer de configuration, selon tel périphérique de stockage USB, +# dans ce cas, un lecteur carte intégré : +#d-i preseed/include_command string \ +# string echo if [ "`hostname`" = bob ]; then echo bob.cfg; fi + +# Pour vérifier le format de votre fichier de préconfiguration avant de +# commencer une installation, vous pouvez utiliser debconf-set-selections : +# debconf-set-selections -c preseed.cfg +</screen></informalexample> diff --git a/fr/appendix/example-preseed-sarge.xml b/fr/appendix/example-preseed-sarge.xml new file mode 100644 index 000000000..a0dc321c9 --- /dev/null +++ b/fr/appendix/example-preseed-sarge.xml @@ -0,0 +1,398 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30372 --> + +<informalexample condition="sarge"><screen> +#### Pour commencer. + +# Pour utiliser un fichier de préconfiguration, vous devez d'abord amorcer +# l'installateur et lui dire où se trouve ce fichier. Il suffit de passer un +# paramètre d'amorçage au noyau, soit au moment de l'amorçage, soit en modifiant +# le fichier syslinux.cfg (ou un fichier du même type) pour ajouter les paramètres +# à la fin des lignes <quote>append</quote> pour le noyau. +# +# Si vous faites une installation par le réseau, utilisez ce paramètre : +# preseed/url=http://host/path/to/preseed +# Si vous recréez un cédérom, vous pouvez utiliser celui-ci : +# preseed/file=/cdrom/preseed +# Si vous faites une installation à partir d'un support USB, utilisez ce +# paramètre et mettez le fichier de préconfiguration dans le répertoire racine +# de la clé USB. +# preseed/file=/hd-media/preseed +# Faites attention à mettre le fichier à l'endroit indiqué. +# +# On ne peut pas automatiser certaines étapes de l'installation avec certains types +# de préconfiguration car les questions sont posées avant que le fichier +# ne soit chargé. Si par exemple le fichier est téléchargé sur le réseau, la +# configuration du réseau doit être faite préalablement. L'une des raisons d'utiliser +# la préconfiguration avec initrd est qu'il est alors possible de préconfigurer +# ces étapes. +# +# Quand on ne peut pas utiliser un fichier de préconfiguration pour préconfigurer +# certaines étapes, on peut quand même automatiser l'installation car il est possible +# de passer des paramètres au noyau sur la ligne de commande. Il suffit d'indiquer +# une paire de type path/to/variable=valeur pour toutes les variables listées +# ci-dessous. + +# Pendant que vous y êtes, vous pourriez déclarer un debconf/priority=critical +# pour éviter la plupart des questions, même s'il n'y en a pas beaucoup dans +# la préconfiguration qui suit. +# Et vous pourriez aussi mettre le compte à rebours à 1 dans syslinux.cfg et +# éviter ainsi d'avoir à appuyer sur la touche Entrée pour lancer +# l'installateur. +# +# Il faut savoir que le noyau accepte un maximum de huit options ligne de +# de commandes et huit variables d'environnement. Et les options ajoutées +# par l'installateur sont comprises dans ces chiffres. S'il y a dépassement, +# les noyaux 2.4 ignorent les options en trop et les noyaux 2.6 paniquent. +# À partir des noyaux 2.6.9, vous pouvez employer 32 options ligne de +# commandes et 32 variables d'environnement. +# +# On peut sans risque supprimer certaines options par défaut, comme +# 'vga=normal'. Cela permet de rajouter autant d'options +# pour la préconfiguration. +# +# On ne peut pas préconfigurer la langue, le pays ou le clavier. Vous devez +# à la place utiliser les paramètres du noyau. Par exemple : +# languagechooser/language-name=French +# countrychooser/shortlist=fr_FR +# console-keymaps-at/keymap=fr-latin9 + +#### Configuration du réseau. + +# Bien sûr, si vous récupérez le fichier de préconfiguration sur le réseau, +# cela ne marchera pas ! Mais c'est parfait si vous amorcez à partir d'un +# cédérom ou d'une clé USB. Vous pouvez aussi ajouter des paramètres réseau +# aux paramètres du noyau si vous récupérez le fichier de préconfiguration +# sur le réseau. + +# Netcfg choisira une interface connectée si possible. Cela empêchera d'afficher +# une liste s'il y a plusieurs interfaces. +d-i netcfg/choose_interface select auto + +# Quand le serveur dhcp est lent et que l'installateur s'arrête pour l'attendre, +# ceci peut être utile. +#d-i netcfg/dhcp_timeout string 60 + +# Si vous préférez configurer vous-même le réseau, voici comment faire : +#d-i netcfg/disable_dhcp boolean true +#d-i netcfg/get_nameservers string 192.168.1.1 +#d-i netcfg/get_ipaddress string 192.168.1.42 +#d-i netcfg/get_netmask string 255.255.255.0 +#d-i netcfg/get_gateway string 192.168.1.1 +#d-i netcfg/confirm_static boolean true + +# Remarquez que les valeurs données par dhcp, nom de domaine ou nom de +# machine, prennent le pas sur les valeurs déclarées ici. Cependant, +# cette déclaration empêche que les questions ne soient posées même si les +# valeurs viennent de dhcp. +d-i netcfg/get_hostname string unassigned-hostname +d-i netcfg/get_domain string unassigned-domain + +# Supprimer le dialogue irritant sur la clé WEP. +d-i netcfg/wireless_wep string +# Et l'étonnant nom de machine dhcp que certains FAI utilisent comme mot de +# passe. +#d-i netcfg/dhcp_hostname string radish + +#### Valeurs pour les miroirs + +d-i mirror/country string enter information manually +d-i mirror/http/hostname string http.us.debian.org +d-i mirror/http/directory string /debian +d-i mirror/suite string testing +d-i mirror/http/proxy string + +### Partitionnement. + +# Si le système possède un espace libre, vous pouvez ne partitionner que cet +# espace. +#d-i partman-auto/init_automatically_partition \ +# select Use the largest continuous free space + +# Vous pouvez aussi choisir un disque entier. Le format de son nom peut être +# donné selon le format devfs ou le format traditionnel. +# Par exemple, pour utiliser le premier disque connu sous devfs : +d-i partman-auto/disk string /dev/discs/disc0/disc + +# Vous pouvez choisir parmi tous les schémas prédefinis... +d-i partman-auto/choose_recipe select \ + Tous les fichiers dans une seule partition (recommandé aux débutants) +#d-i partman-auto/choose_recipe select Desktop machine +#d-i partman-auto/choose_recipe select Multi-user workstation + +# ...ou donner vous-même votre schéma. +# Le format des schémas est expliqué dans le fichier +# devel/partman-auto-recipe.txt. +# Si vous avez la possibilité d'obtenir un schéma dans l'environnement de +# l'installateur, vous pouvez simplement pointer sur lui. +#d-i partman-auto/expert_recipe_file string /hd-media/recipe + +# Sinon, vous pouvez écrire un schéma en une seule ligne. L'exemple suivant +# crée une petite partition /boot, une partition swap convenable, et utilise le +# reste de l'espace libre pour la partition racine : +#d-i partman-auto/expert_recipe string boot-root :: \ +# 20 50 100 ext3 $primary{ } $bootable{ } method{ format } format{ } \ +# use_filesystem{ } filesystem{ ext3 } mountpoint{ /boot } . \ +# 500 10000 1000000000 ext3 method{ format } format{ } \ +# use_filesystem{ } filesystem{ ext3 } mountpoint{ / } . \ +# 64 512 300% linux-swap method{ swap } format{ } . +# Pour explication, voici le même schéma dans une forme plus lisible : +# boot-root :: +# 40 50 100 ext3 +# $primary{ } $bootable{ } +# method{ format } format{ } +# use_filesystem{ } filesystem{ ext3 } +# mountpoint{ /boot } +# . +# 500 10000 1000000000 ext3 +# method{ format } format{ } +# use_filesystem{ } filesystem{ ext3 } +# mountpoint{ / } +# . +# 64 512 300% linux-swap +# method{ swap } format{ } +# . + +# Partman créera automatiquement les partitions sans demander de confirmation. +d-i partman/confirm_write_new_label boolean true +d-i partman/choose_partition select \ + Terminer le partitionnement et enregistrer les modifications sur le disque +d-i partman/confirm boolean true + +#### Installation du programme d'amorçage. + +# Grub est le programme d'amorçage par défaut (pour x86). Si vous préférez +# LILO, décommentez la ligne suivante : +#d-i grub-installer/skip boolean true + +# Il n'y a aucun danger à donner ce paramètre : il installe grub sur le +# secteur d'amorçage principal s'il n'existe aucun autre système d'exploitation +# sur la machine. +d-i grub-installer/only_debian boolean true + +# Ce paramètre installe grub sur le secteur d'amorçage principal même s'il +# existe un autre système d'exploitation, ce qui est moins sûr car il pourrait +# ne pas savoir amorcer cet autre système. +d-i grub-installer/with_other_os boolean true + +# Vous pouvez aussi l'installer ailleurs que dans le secteur d'amorçage +# principal. Décommentez et modifiez les lignes suivantes : +#d-i grub-installer/bootdev string (hd0,0) +#d-i grub-installer/only-debian boolean false +#d-i grub-installer/with_other_os boolean false + +#### Terminer la première étape de l'installation. + +# Pour éviter le dernier message disant que l'installation est terminée. +d-i prebaseconfig/reboot_in_progress note + +#### Les commandes du shell. + +# La préconfiguration de l'installation n'est pas sécurisée. Rien dans +# dans l'installateur ne vérifie que des dépassements de tampons ou des +# exploitations quelconques des valeurs données dans ce fichier n'ont pas lieu. +# N'utilisez que les fichiers dont vous connaissez la provenance ! +# Pour tout dire, et parce que c'est en général utile, voici un +# moyen d'exécuter automatiquement une commande dans l'installateur. + +# La première commande est exécutée aussi tôt que possible, juste après +# la lecture du fichier. +#d-i preseed/early_command string anna-install some-udeb + +# Cette commande est exécutée juste avant que l'installation ne se termine, +# mais quand le répertoire /target est encore utilisable. +#d-i preseed/late_command string echo foo > /target/etc/bar + +# Cette commande est exécutée au moment où base-config commence. +#base-config base-config/early_command string echo hi mom + +# Cette commande est exécutée après base-config, juste avant la connexion. +# C'est un bon moyen d'installer les paquets que vous voulez ou d'affiner la +# la configuration du système. +#base-config base-config/late_command string \ +# apt-get install zsh; chsh -s /bin/zsh + +###### Preseeding the 2nd stage of the installation. + +#### Préconfiguration de base-config. + +# Pour éviter le message d'introduction. +base-config base-config/intro note + +# Pour éviter le dernier message. +base-config base-config/login note + +# Si vous installez un gestionnaire d'affichage et si vous ne voulez pas le +# lancer immédiatemment après base-config : +#base-config base-config/start-display-manager boolean false + +# Certaines versions de l'installateur peuvent dire ce que vous avez installé. +# Par défaut, rien n'est signalé. Mais l'envoi de rapport d'installation aide le projet +# à connaître les logiciels populaires. +#popularity-contest popularity-contest/participate boolean false + +#### Configuration du fuseau horaire. + +# Cette commande règle l'horloge matérielle sur UTC ou non : +#base-config tzconfig/gmt boolean true +# Si vous avez dit à l'installateur que vous habitez aux USA, vous pouvez +# utiliser cette valeur pour déclarer le fuseau horaire. +# (Les choix sont les suivants : Eastern, Central, Mountain, Pacific, +# Alaska, Hawaii, Aleutian, Arizona East-Indiana, Indiana-Starke, Michigan, +# Samoa, autre) +#base-config tzconfig/choose_country_zone/US select Eastern + +# Si vous avez dit à l'installateur que vous habitez au Canada. +# (Choix : Newfoundland, Atlantic, Eastern, Central, +# East-Saskatchewan, Saskatchewan, Mountain, Pacific, Yukon, autre) +#base-config tzconfig/choose_country_zone/CA select Eastern + +# Si vous avez dit à l'installateur que vous habitez au Brésil. (Choix : +# East, West, Acre, DeNoronha, autre) +#base-config tzconfig/choose_country_zone/BR select East + +# Beaucoup de pays n'ont qu'un seul fuseau horaire. Si vous avez dit à +# l'installateur que vous habitez dans l'un de ces pays, vous pouvez le choisir +# avec cette question. +#base-config tzconfig/choose_country_zone_single boolean true + +# Cette question est posée pour les pays qui n'appartiennent pas à la liste +# précédente et qui ont plusieurs fuseaux horaires. Vous pouvez préconfigurer +# l'un des fuseaux ou <quote>autre</quote>. +#base-config tzconfig/choose_country_zone_multiple select + +#### Configuration des comptes. + +# Pour préconfigurer le mot de passe de root, vous devez le mettre en clair +# dans le fichier. Ce n'est pas une très bonne idée, faites attention ! +#passwd passwd/root-password password r00tme +#passwd passwd/root-password-again password r00tme + +# Si vous voulez ne pas créer d'utilisateur : +#passwd passwd/make-user boolean false + +# Vous pouvez aussi présélectionner le nom de l'utilisateur et son identifiant +# de connexion. +#passwd passwd/user-fullname string Debian User +#passwd passwd/username string debian + +# Et le mot de passe, mais faites attention ! +#passwd passwd/user-password password insecure +#passwd passwd/user-password-again password insecure + +#### Configuration d'Apt.. + +# Cette question contrôle la source des paquets qui sera utilisée dans la +# deuxième étape de l'installation. Les choix sont cdrom, http, ftp, +# filesystem, modifier soi-même le fichier sources list. +base-config apt-setup/uri_type select http + +# Si vous choisissez ftp ou http, on vous demandera un pays et un miroir. +base-config apt-setup/country select enter information manually +base-config apt-setup/hostname string http.us.debian.org +base-config apt-setup/directory string /debian +# Ne faire le choix que d'un miroir. +base-config apt-setup/another boolean false + +# Vous pouvez choisir d'installer des paquets de non-free et contrib. +#base-config apt-setup/non-free boolean true +#base-config apt-setup/contrib boolean true + +# Pour autoriser les mises à jour de sécurité. +base-config apt-setup/security-updates boolean true + +#### Sélection des paquets. + +# Vous pouvez installer toute combinaison de tâches parmi celles disponibles. +# Pour l'heure, les tâches disponibles sont les suivantes : environnement +# de bureau, serveur Web, serveur d'impression, serveur DNS, serveur de +# fichiers, serveur de courrier, base SQL, portable, système standard, sélection manuelle +# des paquets. +# La dernière utilise aptitude. Vous pouvez aussi de ne pas installer de tâches +# et de forcer l'installation de paquets par un autre moyen. +# Il est recommandé de toujours inclure la tâche Système standard +tasksel tasksel/first multiselect Desktop environment, Standard system +#tasksel tasksel/first multiselect Web server, Standard system + +#### Configuration du MTA. + +# Pendant une installation normale, exim pose peu de questions. Voici +# comment les éviter. Une préconfiguration plus complexe est possible. +exim4-config exim4/dc_eximconfig_configtype \ + select no configuration at this time +exim4-config exim4/no_config boolean true +exim4-config exim4/no_config boolean true + +# C'est une bonne idée d'indiquer ici le nom de l'utilisateur que vous avez +# créé. Si vous n'indiquez aucune valeur, le courrier pour postmaster ira dans +# /var/mail/mail. +exim4-config exim4/dc_postmaster string + +#### Configuration du serveur X. + +# Préconfigurer le serveur X est possible, mais vous devrez sans doute +# connaître les caractéristiques du matériel video de votre machine. Le +# configurateur Debian du serveur X ne configure rien automatiquement. + +# X peut détecter le bon pilote pour certaines cartes, mais si vous faites une +# préconfiguration, vous annulez ce qu'il aura choisi. Cependant vesa +# fonctionne la plupart du temps. +#xserver-xfree86 xserver-xfree86/config/device/driver select vesa + +# Pour la détection automatique de la souris, il faut savoir que si elle +# échoue, X recommence sans fin le processus. Donc, s'il y a préconfiguration, +# une boucle infinie peut apparaître si la souris n'est pas détectée. +#xserver-xfree86 xserver-xfree86/autodetect_mouse boolean true + +# La détection automatique du moniteur est recommandée. +xserver-xfree86 xserver-xfree86/autodetect_monitor boolean true +# Décommentez la ligne suivante si vous posséder un écran LCD. +#xserver-xfree86 xserver-xfree86/config/monitor/lcd boolean true +# X possède trois adresses pour la configuration du moniteur. Voici comment +# présélectionner l'adresse <quote>medium</quote>, qui est toujours disponible. +# L'adresse <quote>simple</quote> peut ne pas être disponible et l'adresse +# <quote>advanced</quote> pose trop de questions. +xserver-xfree86 xserver-xfree86/config/monitor/selection-method \ + select medium +xserver-xfree86 xserver-xfree86/config/monitor/mode-list \ + select 1024x768 @ 60 Hz + +#### Les autres questions. + +# Selon les logiciels que vous avez installés et s'il y a eu des problèmes +# pendant le processus d'installation, d'autres questions peuvent être posées. +# Vous pouvez bien sûr les préconfigurer ! Pour obtenir la liste de toutes +# les questions possibles, faites une installation, et exécutez ces +# commandes : +# debconf-get-selections --installer > fichier +# debconf-get-selections >> fichier + +# Si vous voulez, vous pouvez inclure dans ce fichier d'autres fichiers de +# de préconfiguration. Toutes les valeurs de ces fichiers annuleront les +# valeurs préexistantes. Vous pouvez indiquer plus d'un fichier, en les +# séparant par des espaces ; tous seront chargés. Ces fichiers peuvent +# à leur tour contenir d'autres directives de préconfiguration ou d'inclusion. +# Notez que si les fichiers sont relatifs, ils seront pris dans le répertoire +# où se trouve le fichier qui les inclut. +#d-i preseed/include string x.cfg + +# L'installateur peut vérifier la somme de contrôle des fichiers de +# préconfiguration avant de les utiliser. Pour le moment, cette somme doit être +# de type md5sum. Il faut lister les sommes de contrôles dans le même ordre +# que les fichiers à inclure. L'installateur de sarge +# n'accepte pas les sommes de contrôle. +#d-i preseed/include/checksum string 5da499872becccfeda2c4872f9171c3d + +# D'une manière plus souple, cela exécute des commandes du shell et si le +# résultat donne les noms de ces fichiers, ils sont inclus. Par exemple, +# pour changer de configuration, selon tel périphérique de stockage USB, +# dans ce cas, un lecteur carte intégré : +#d-i preseed/include_command string \ +# if $(grep -q "GUID: 0aec3050aec305000001a003" /proc/scsi/usb-storage-*/*); \ +# then echo kraken.cfg; else echo otherusb.cfg; fi + +# Pour vérifier le format de votre fichier de préconfiguration avant de +# commencer une installation, vous pouvez utiliser debconf-set-selections : +# debconf-set-selections -c preseed.cfg +</screen></informalexample> + diff --git a/fr/appendix/example-preseed.xml b/fr/appendix/example-preseed.xml new file mode 100644 index 000000000..b5fa2f8ef --- /dev/null +++ b/fr/appendix/example-preseed.xml @@ -0,0 +1,39 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30379 --> + +<sect1 id="example-preseed"> +<title>Exemple de fichier de préconfiguration</title> + +<para> + +Ce fichier est un exemple complet et fonctionnel de fichier de +préconfiguration pour les installations automatiques. Son usage est expliqué +dans <xref linkend="automatic-install"/>. N'hésitez pas à modifier certaines +lignes avant d'utiliser ce fichier. + +</para> +<note condition="sarge"><para> + +Pour bien présenter cet exemple, nous avons dû couper certaines lignes. +C'est le caractère <quote>\</quote> qui marque ces coupures, avec un +renfoncement à la ligne suivante. Dans un vrai fichier de préconfiguration, les +lignes doivent êtres jointes en <emphasis>une seule ligne</emphasis>. +Si elles ne le sont pas, la préconfiguration échouera avec des conséquences +imprévisibles. +</para> +<para> + +Un fichier d'exemple <quote>très clair</quote> se trouve dans &urlset-example-preseed;. +</para></note> + +<para condition="etch"> + +Le fichier d'exemple est aussi disponible dans &urlset-example-preseed;. + +</para><para> + +&example-preseed-sarge.xml; +&example-preseed-etch.xml; + +</para> +</sect1>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/appendix/files.xml b/fr/appendix/files.xml new file mode 100644 index 000000000..be84cee17 --- /dev/null +++ b/fr/appendix/files.xml @@ -0,0 +1,294 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="linuxdevices"><title>Périphériques Linux</title> +<para> + +Sous Linux, vous disposez de fichiers spéciaux dans +<filename>/dev</filename>. Ces fichiers sont appelés fichiers de +périphérique. Dans le monde Unix, l'accès au matériel se fait de façon +particulière. En effet, vous utilisez un fichier qui commande un pilote, qui +à son tour accède au matériel. Le fichier de périphérique est une interface +au composant système. Les fichiers sous <filename>/dev</filename> se +comportent différemment des fichiers ordinaires. Ci-dessous sont repris les +fichiers de périphérique les plus importants. + +</para><para> + +<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> +<row> + <entry><filename>fd0</filename></entry> + <entry>1er lecteur de disquette</entry> +</row><row> + <entry><filename>fd1</filename></entry> + <entry>2e lecteur de disquette</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> +<row> + <entry><filename>hda</filename></entry> + <entry>Disque dur IDE ou cédérom sur le premier port IDE (maître)</entry> +</row><row> + <entry><filename>hdb</filename></entry> + <entry>Disque dur IDE ou cédérom sur le premier port IDE (esclave)</entry> +</row><row> + <entry><filename>hdc</filename></entry> + <entry>Disque dur IDE ou cédérom sur le second port IDE (maître)</entry> +</row><row> + <entry><filename>hdd</filename></entry> + <entry>Disque dur IDE ou cédérom sur le second port IDE (esclave)</entry> +</row><row> + <entry><filename>hda1</filename></entry> + <entry>1re partition sur le premier disque dur IDE</entry> +</row><row> + <entry><filename>hdd15</filename></entry> + <entry>15e partition sur le quatrième disque dur IDE</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> +<row> + <entry><filename>sda</filename></entry> + <entry>Disque SCSI avec l'identificateur SCSI le plus bas (p. ex. 0)</entry> +</row><row> + <entry><filename>sdb</filename></entry> + <entry>Disque SCSI avec l'identificateur suivant (p. ex. 1)</entry> +</row><row> + <entry><filename>sdc</filename></entry> + <entry>Disque SCSI avec l'identificateur suivant (p. ex. 2)</entry> +</row><row> + <entry><filename>sda1</filename></entry> + <entry>1re partition du premier disque SCSI</entry> +</row><row> + <entry><filename>sdd10</filename></entry> + <entry>10e partition du quatrième disque SCSI</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> +<row> + <entry><filename>sr0</filename></entry> + <entry>cédérom SCSI avec l'identificateur SCSI le plus bas</entry> +</row><row> + <entry><filename>sr1</filename></entry> + <entry>cédérom SCSI avec l'identificateur SCSI suivant</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> +<row> + <entry><filename>ttyS0</filename></entry> + <entry>Port série 0 (COM1: sous DOS)</entry> +</row><row> + <entry><filename>ttyS1</filename></entry> + <entry>Port série 1 (COM2: sous DOS)</entry> +</row><row> + <entry><filename>psaux</filename></entry> + <entry>port souris PS/2</entry> +</row><row> + <entry><filename>gpmdata</filename></entry> + <entry>pseudo périphérique, répétiteur du démon GPM de souris</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> +<row> + <entry><filename>cdrom</filename></entry> + <entry>Lien symbolique vers le lecteur de cédérom</entry> +</row><row> + <entry><filename>mouse</filename></entry> + <entry>Lien symbolique vers le fichier de périphérique de la souris</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> +<row> + <entry><filename>null</filename></entry> + <entry>tout ce qui pointe vers ce fichier disparaît</entry> +</row><row> + <entry><filename>zero</filename></entry> + <entry>fichier qui fabrique continuellement des zéros</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +</para> + + <sect2> +<title>Régler la souris</title> + +<para> + +La souris peut être utilisée aussi bien dans une console Linux (avec gpm) +qu'en environnement X Window. Les deux modes sont compatibles entre eux si le +répétiteur gpm est utilisé afin de permettre au signal de suivre le parcours +suivant : + +<informalexample><screen> +mouse => /dev/psaux => gpm => /dev/gpmdata -> /dev/mouse => X + /dev/ttyS0 (repeater) (symlink) + /dev/ttyS1 +</screen></informalexample> + +Ajustez le protocole de répétition sur « raw » (dans +<filename>/etc/gpm.conf</filename>) tandis que vous réglerez X pour + utiliser le protocole original de la souris dans +<filename>/etc/X11/XF86Config</filename> ou +<filename>/etc/X11/XF86Config-4</filename>. + +</para><para> + +Cette approche qui préconise l'utilisation de gpm même sous X a des avantages. +Si, par exemple, vous déconnectez la souris par erreur, il suffit de redémarrer +gpm par + +<informalexample><screen> +# /etc/init.d/gpm restart +</screen></informalexample> + +et la souris recommencera à fonctionner sous X sans qu'il y ait besoin de +redémarrer le serveur. + +</para><para> + +Si gpm est désactivé ou n'est pas installé, assurez-vous que X est réglé de +façon à lire directement la souris à travers par exemple /dev/psaux. Pour +plus de détails, reportez-vous au mini-Howto +« Souris Série 3 Boutons » dans +<filename>/usr/share/doc/HOWTO/en-txt/mini/3-Button-Mouse.gz</filename>, +<userinput>man gpm</userinput>, <filename>/usr/share/doc/gpm/FAQ.gz</filename>, +et <ulink url="&url-xfree86;current/mouse.html">README.mouse</ulink>. + +</para><para arch="powerpc"> + +Pour les PowerPC, dans <filename>/etc/X11/XF86Config</filename> ou +<filename>/etc/X11/XF86Config-4</filename>, réglez le périphérique de + souris sur <userinput>"/dev/input/mice"</userinput>. + +</para><para arch="powerpc"> + +Les noyaux modernes vous offrent la possibilité d'émuler une souris 3 boutons +quand votre souris n'en a qu'un. Ajoutez simplement les lignes suivantes au +fichier <filename>/etc/sysctl.conf</filename> : + +<informalexample><screen> +# émulation d'une souris à 3 boutons +# mettre en œuvre l'émulation +/dev/mac_hid/mouse_button_emulation = 1 +# Envoyer le signal du bouton du milieu avec la touche F11 +/dev/mac_hid/mouse_button2_keycode = 87 +# Envoyer le signal du bouton de droite avec la touche F12 +/dev/mac_hid/mouse_button3_keycode = 88 +# Pour d'autres touches, utilisez showkey pour connaître les codes +</screen></informalexample> +</para> + </sect2> + </sect1> + + <sect1 id="tasksel-size-list"> + <title>Ressources d'espace disque pour les tâches</title> + +<!-- Note for d-i and manual maintainers + Sizes of tasks should be determined by running "tasksel new" on a system + that been fully installed without selecting any tasks. By selecting a + task together with the "manual selection" option, aptitude will be started + and show the sizes for the task. After deselecting the packages to be + installed, quit aptitude and repeat for other tasks. + Space requirements need to be determined from tasksel as tasksel will not + install recommended packages while selecting a task from aptitude will. +--> +<para> +Une installation de base, avec le noyau 2.4 par défaut et tous les paquets standard, +demande 573 Mo. +</para> +<para> +Le tableau suivant montre les tailles rapportées par aptitude pour les tâches +affichées dans tasksel. Certaines tâches ont des éléments +communs, et donc la taille totale pour ces deux tâches peut être moindre que +le total obtenu en additionnant les deux tailles. +</para> +<para> +Pour déterminer la dimension d'une partition, vous devez ajouter les tailles +dans le tableau et la taille de l'installation de base. Ce que représente +<quote>Taille installée</quote> va dans <filename>/usr</filename> ; et ce +que représente <quote>Taille à charger</quote> va (provisoirement) dans +<filename>/var</filename>. +</para> +<para> + +<informaltable><tgroup cols="4"> +<thead> +<row> + <entry>Tâches</entry> + <entry>Taille Installée (Mo)</entry> + <entry>Taille à charger (Mo)</entry> + <entry>Espace à prendre (Mo)</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>Desktop</entry> + <entry>1392</entry> + <entry>460</entry> + <entry>1852</entry> +</row> + +<row> + <entry>Serveur web</entry> + <entry>36</entry> + <entry>12</entry> + <entry>48</entry> +</row> + +<row> + <entry>Serveur d'impression</entry> + <entry>168</entry> + <entry>58</entry> + <entry>226</entry> +</row> + +<row> + <entry>serveur DNS</entry> + <entry>2</entry> + <entry>1</entry> + <entry>3</entry> +</row> + +<row> + <entry>Serveur de fichiers</entry> + <entry>47</entry> + <entry>24</entry> + <entry>71</entry> +</row> + +<row> + <entry>serveur de courrier</entry> + <entry>10</entry> + <entry>3</entry> + <entry>13</entry> +</row> + +<row> + <entry>Base de données SQL</entry> + <entry>66</entry> + <entry>21</entry> + <entry>87</entry> +</row> + +</tbody> +</tgroup></informaltable> + +<note><para> +La tâche <emphasis>Desktop</emphasis> installe à la fois les environnements +Gnome et Kde. +</para></note> +</para> +<para> +Si vous faites une installation dans une langue autre que l'anglais, +<command>tasksel</command> installera d'abord une <firstterm>locale</firstterm> +s'il en existe une pour votre langue. Chaque langue demande un espace disque. +Vous devriez accorder 200 Mo pour l'installation et le téléchargement. +</para> + </sect1> + diff --git a/fr/appendix/gpl.xml b/fr/appendix/gpl.xml new file mode 100644 index 000000000..e7ecd50c4 --- /dev/null +++ b/fr/appendix/gpl.xml @@ -0,0 +1,515 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> + +<!-- original version: 29618 --> + +<!-- pas besoin de traduire --> + +<appendix id="appendix-gpl"><title>GNU General Public License</title> + +<para> + +Version 2, June 1991 + +</para><para> + +Copyright (C) 1989, 1991 Free Software Foundation, Inc. +— +51 Franklin St, Fifth Floor, Boston, MA 02110-1301, USA. +</para><para> + +Everyone is permitted to copy and distribute verbatim copies +of this license document, but changing it is not allowed. + +</para> + + <sect1><title>Preamble</title> +<para> + +The licenses for most software are designed to take away your freedom +to share and change it. By contrast, the gnu General Public License +is intended to guarantee your freedom to share and change free +software — to make sure the software is free for all its users. This +General Public License applies to most of the Free Software +Foundation's software and to any other program whose authors commit +to using it. (Some other Free Software Foundation software is covered +by the gnu Library General Public License instead.) You can apply it +to your programs, too. + +</para><para> + +When we speak of free software, we are referring to freedom, not +price. Our General Public Licenses are designed to make sure that you +have the freedom to distribute copies of free software (and charge +for this service if you wish), that you receive source code or can +get it if you want it, that you can change the software or use pieces +of it in new free programs; and that you know you can do these +things. + +</para><para> + +To protect your rights, we need to make restrictions that forbid +anyone to deny you these rights or to ask you to surrender the +rights. These restrictions translate to certain responsibilities for +you if you distribute copies of the software, or if you modify it. + +</para><para> + +For example, if you distribute copies of such a program, whether +gratis or for a fee, you must give the recipients all the rights that +you have. You must make sure that they, too, receive or can get the +source code. And you must show them these terms so they know their +rights. + +</para><para> + +We protect your rights with two steps: (1) copyright the software, +and (2) offer you this license which gives you legal permission to +copy, distribute and/or modify the software. + +</para><para> + +Also, for each author's protection and ours, we want to make certain +that everyone understands that there is no warranty for this free +software. If the software is modified by someone else and passed on, +we want its recipients to know that what they have is not the +original, so that any problems introduced by others will not reflect +on the original authors' reputations. + +</para><para> + +Finally, any free program is threatened constantly by software +patents. We wish to avoid the danger that redistributors of a free +program will individually obtain patent licenses, in effect making +the program proprietary. To prevent this, we have made it clear that +any patent must be licensed for everyone's free use or not licensed +at all. + +</para><para> + +The precise terms and conditions for copying, distribution and +modification follow. + +</para> + </sect1> + + <sect1><title>GNU GENERAL PUBLIC LICENSE</title> +<para> + +TERMS AND CONDITIONS FOR COPYING, DISTRIBUTION AND MODIFICATION + +</para> + +<itemizedlist><listitem><para> + +This License applies to any program or other work which contains a +notice placed by the copyright holder saying it may be distributed +under the terms of this General Public License. The "Program", below, +refers to any such program or work, and a "work based on the Program" +means either the Program or any derivative work under copyright law: +that is to say, a work containing the Program or a portion of it, +either verbatim or with modifications and/or translated into another +language. (Hereinafter, translation is included without limitation in +the term "modification".) Each licensee is addressed as "you". + +</para><para> + +Activities other than copying, distribution and modification are not +covered by this License; they are outside its scope. The act of +running the Program is not restricted, and the output from the +Program is covered only if its contents constitute a work based on +the Program (independent of having been made by running the Program). +Whether that is true depends on what the Program does. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +You may copy and distribute verbatim copies of the Program's +source code as you receive it, in any medium, provided that you +conspicuously and appropriately publish on each copy an appropriate +copyright notice and disclaimer of warranty; keep intact all the +notices that refer to this License and to the absence of any +warranty; and give any other recipients of the Program a copy of this +License along with the Program. + +</para><para> + +You may charge a fee for the physical act of transferring a copy, and +you may at your option offer warranty protection in exchange for a +fee. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +You may modify your copy or copies of the Program or any portion +of it, thus forming a work based on the Program, and copy and +distribute such modifications or work under the terms of Section 1 +above, provided that you also meet all of these conditions: + +</para><para> + +a) You must cause the modified files to carry prominent notices +stating that you changed the files and the date of any change. + +</para><para> + +b) You must cause any work that you distribute or publish, that in +whole or in part contains or is derived from the Program or any part +thereof, to be licensed as a whole at no charge to all third parties +under the terms of this License. + +</para><para> + +c) If the modified program normally reads commands interactively when +run, you must cause it, when started running for such interactive use +in the most ordinary way, to print or display an announcement +including an appropriate copyright notice and a notice that there is +no warranty (or else, saying that you provide a warranty) and that +users may redistribute the program under these conditions, and +telling the user how to view a copy of this License. (Exception: if +the Program itself is interactive but does not normally print such an +announcement, your work based on the Program is not required to print +an announcement.) + +</para><para> + +These requirements apply to the modified work as a whole. If +identifiable sections of that work are not derived from the Program, +and can be reasonably considered independent and separate works in +themselves, then this License, and its terms, do not apply to those +sections when you distribute them as separate works. But when you +distribute the same sections as part of a whole which is a work based +on the Program, the distribution of the whole must be on the terms of +this License, whose permissions for other licensees extend to the +entire whole, and thus to each and every part regardless of who wrote +it. + +</para><para> + +Thus, it is not the intent of this section to claim rights or contest +your rights to work written entirely by you; rather, the intent is to +exercise the right to control the distribution of derivative or +collective works based on the Program. + +</para><para> + +In addition, mere aggregation of another work not based on the +Program with the Program (or with a work based on the Program) on a +volume of a storage or distribution medium does not bring the other +work under the scope of this License. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +You may copy and distribute the Program (or a work based on it, +under Section 2) in object code or executable form under the terms of +Sections 1 and 2 above provided that you also do one of the +following: + +</para><para> + +a) Accompany it with the complete corresponding machine-readable +source code, which must be distributed under the terms of Sections 1 +and 2 above on a medium customarily used for software interchange; +or, + +</para><para> + +b) Accompany it with a written offer, valid for at least three years, +to give any third party, for a charge no more than your cost of +physically performing source distribution, a complete +machine-readable copy of the corresponding source code, to be +distributed under the terms of Sections 1 and 2 above on a medium +customarily used for software interchange; or, + +</para><para> + +c) Accompany it with the information you received as to the offer to +distribute corresponding source code. (This alternative is allowed +only for noncommercial distribution and only if you received the +program in object code or executable form with such an offer, in +accord with Subsection b above.) + +</para><para> + +The source code for a work means the preferred form of the work for +making modifications to it. For an executable work, complete source +code means all the source code for all modules it contains, plus any +associated interface definition files, plus the scripts used to +control compilation and installation of the executable. However, as a +special exception, the source code distributed need not include +anything that is normally distributed (in either source or binary +form) with the major components (compiler, kernel, and so on) of the +operating system on which the executable runs, unless that component +itself accompanies the executable. + +</para><para> + +If distribution of executable or object code is made by offering +access to copy from a designated place, then offering equivalent +access to copy the source code from the same place counts as +distribution of the source code, even though third parties are not +compelled to copy the source along with the object code. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +You may not copy, modify, sublicense, or distribute the Program +except as expressly provided under this License. Any attempt +otherwise to copy, modify, sublicense or distribute the Program is +void, and will automatically terminate your rights under this +License. However, parties who have received copies, or rights, from +you under this License will not have their licenses terminated so +long as such parties remain in full compliance. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +You are not required to accept this License, since you have not +signed it. However, nothing else grants you permission to modify or +distribute the Program or its derivative works. These actions are +prohibited by law if you do not accept this License. Therefore, by +modifying or distributing the Program (or any work based on the +Program), you indicate your acceptance of this License to do so, and +all its terms and conditions for copying, distributing or modifying +the Program or works based on it. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Each time you redistribute the Program (or any work based on the +Program), the recipient automatically receives a license from the +original licensor to copy, distribute or modify the Program subject +to these terms and conditions. You may not impose any further +restrictions on the recipients' exercise of the rights granted +herein. You are not responsible for enforcing compliance by third +parties to this License. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +If, as a consequence of a court judgment or allegation of patent +infringement or for any other reason (not limited to patent issues), +conditions are imposed on you (whether by court order, agreement or +otherwise) that contradict the conditions of this License, they do +not excuse you from the conditions of this License. If you cannot +distribute so as to satisfy simultaneously your obligations under +this License and any other pertinent obligations, then as a +consequence you may not distribute the Program at all. For example, +if a patent license would not permit royalty-free redistribution of +the Program by all those who receive copies directly or indirectly +through you, then the only way you could satisfy both it and this +License would be to refrain entirely from distribution of the +Program. + +</para><para> + +If any portion of this section is held invalid or unenforceable under +any particular circumstance, the balance of the section is intended +to apply and the section as a whole is intended to apply in other +circumstances. + +</para><para> + +It is not the purpose of this section to induce you to infringe any +patents or other property right claims or to contest validity of any +such claims; this section has the sole purpose of protecting the +integrity of the free software distribution system, which is +implemented by public license practices. Many people have made +generous contributions to the wide range of software distributed +through that system in reliance on consistent application of that +system; it is up to the author/donor to decide if he or she is +willing to distribute software through any other system and a +licensee cannot impose that choice. + +</para><para> + +This section is intended to make thoroughly clear what is believed to +be a consequence of the rest of this License. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +If the distribution and/or use of the Program is restricted in +certain countries either by patents or by copyrighted interfaces, the +original copyright holder who places the Program under this License +may add an explicit geographical distribution limitation excluding +those countries, so that distribution is permitted only in or among +countries not thus excluded. In such case, this License incorporates +the limitation as if written in the body of this License. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +The Free Software Foundation may publish revised and/or new +versions of the General Public License from time to time. Such new +versions will be similar in spirit to the present version, but may +differ in detail to address new problems or concerns. Each version is +given a distinguishing version number. If the Program specifies a +version number of this License which applies to it and "any later +version", you have the option of following the terms and conditions +either of that version or of any later version published by the Free +Software Foundation. If the Program does not specify a version number +of this License, you may choose any version ever published by the +Free Software Foundation. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +If you wish to incorporate parts of the Program into other free +programs whose distribution conditions are different, write to the +author to ask for permission. For software which is copyrighted by +the Free Software Foundation, write to the Free Software Foundation; +we sometimes make exceptions for this. Our decision will be guided by +the two goals of preserving the free status of all derivatives of our +free software and of promoting the sharing and reuse of software +generally. + +</para><para> + +NO WARRANTY + +</para></listitem> +<listitem><para> + +because the program is licensed free of charge, there is no +warranty for the program, to the extent permitted by applicable law. +except when otherwise stated in writing the copyright holders and/or +other parties provide the program "as is" without warranty of any +kind, either expressed or implied, including, but not limited to, the +implied warranties of merchantability and fitness for a particular +purpose. the entire risk as to the quality and performance of the +program is with you. should the program prove defective, you assume +the cost of all necessary servicing, repair or correction. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +in no event unless required by applicable law or agreed to in +writing will any copyright holder, or any other party who may modify +and/or redistribute the program as permitted above, be liable to you +for damages, including any general, special, incidental or +consequential damages arising out of the use or inability to use the +program (including but not limited to loss of data or data being +rendered inaccurate or losses sustained by you or third parties or a +failure of the program to operate with any other programs), even if +such holder or other party has been advised of the possibility of +such damages. + +</para></listitem> +</itemizedlist> +<para> + +END OF TERMS AND CONDITIONS + +</para> + </sect1> + + <sect1><title>How to Apply These Terms to Your New Programs</title> +<para> + +If you develop a new program, and you want it to be of the greatest +possible use to the public, the best way to achieve this is to make +it free software which everyone can redistribute and change under +these terms. + +</para><para> + +To do so, attach the following notices to the program. It is safest +to attach them to the start of each source file to most effectively +convey the exclusion of warranty; and each file should have at least +the "copyright" line and a pointer to where the full notice is found. + +</para><para> + +one line to give the program's name and a brief idea of what it +does. + +</para><para> + +Copyright (C) year name of author + +</para><para> + +This program is free software; you can redistribute it and/or modify +it under the terms of the gnu General Public License as published by +the Free Software Foundation; either version 2 of the License, or (at +your option) any later version. + +</para><para> + +This program is distributed in the hope that it will be useful, but +without any warranty; without even the implied warranty of +merchantability or fitness for a particular purpose. See the gnu +General Public License for more details. + +</para><para> + +You should have received a copy of the gnu General Public License +along with this program; if not, write to the Free Software +Foundation, Inc., 51 Franklin Street, Fifth Floor, Boston, +MA 02110-1301, USA. + +</para><para> + +Also add information on how to contact you by electronic and paper +mail. + +</para><para> + +If the program is interactive, make it output a short notice like +this when it starts in an interactive mode: + +</para><para> + +Gnomovision version 69, Copyright (C) year name of author + +</para><para> + +Gnomovision comes with absolutely no warranty; for details type `show +w'. + +</para><para> + +This is free software, and you are welcome to redistribute it under +certain conditions; type `show c' for details. + +</para><para> + +The hypothetical commands `show w' and `show c' should show the +appropriate parts of the General Public License. Of course, the +commands you use may be called something other than `show w' and +`show c'; they could even be mouse-clicks or menu items — whatever +suits your program. + +</para><para> + +You should also get your employer (if you work as a programmer) or +your school, if any, to sign a "copyright disclaimer" for the +program, if necessary. Here is a sample; alter the names: + +</para><para> + +Yoyodyne, Inc., hereby disclaims all copyright interest in the +program `Gnomovision' (which makes passes at compilers) written by +James Hacker. + +</para><para> + +signature of Ty Coon, 1 April 1989 + +</para><para> + +Ty Coon, President of Vice + +</para><para> + +This General Public License does not permit incorporating your +program into proprietary programs. If your program is a subroutine +library, you may consider it more useful to permit linking +proprietary applications with the library. If this is what you want +to do, use the gnu Library General Public License instead of this +License. + +</para> + </sect1> +</appendix> diff --git a/fr/appendix/plip.xml b/fr/appendix/plip.xml new file mode 100644 index 000000000..0b8a1c40b --- /dev/null +++ b/fr/appendix/plip.xml @@ -0,0 +1,188 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29687 --> + + <sect1 id="plip" arch="i386"> + <title>Installer &debian; grâce au protocole PLIP (IP sur port parallèle)</title> + +<para> + +Cette section explique comment installer &debian; sur un ordinateur sans carte +Ethernet mais qui est relié à une passerelle distante par un câble appelé Null-Modem +ou Null-Printer. La passerelle doit être connectée à un réseau qui possède un +miroir Debian (p. ex. internet). + +</para><para> + +Dans cet exemple, nous allons configurer une connexion PLIP à une passerelle +qui est connectée à internet avec une connexion par téléphone (ppp0). +Nous utiliserons les adresses 192.168.0.1 et 192.168.0.2 pour les interfaces PLIP +du système cible et du système source. Ces adresses ne doivent pas être utilisées par +ailleurs. + +</para><para> + +La connexion PLIP configurée pendant l'installation sera disponible après le +réamorçage du système installé, voyez <xref linkend="boot-new"/>. + +</para><para> + +Avant de commencer, vous devez vérifier la configuration du BIOS pour les ports parallèle +(adresses IO et IRQ) des deux systèmes (cible et source). Les valeurs habituelles sont +<literal>io=0x378</literal>, <literal>irq=7</literal>. + +</para> + + <sect2> + <title>Pré-requis</title> + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +Une machine cible, appelée <emphasis>target</emphasis>, où Debian sera installé ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +un support d'installation, voyez <xref linkend="installation-media"/> ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +une autre machine connectée à internet, appelée <emphasis>source</emphasis>, +qui fonctionnera comme passerelle ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +un câble Null-Modem DB-25, voyez le +<ulink url="&url-plip-install-howto;">PLIP-Install-HOWTO</ulink> pour des +informations sur ce câble et sur la manière d'en fabriquer un. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + + </sect2> + + <sect2> + <title>Configuration du système source</title> +<para> + +Le script suivant montre comment configurer simplement la machine source en tant que +passerelle vers internet avec ppp0. + +<informalexample><screen> +#!/bin/sh + +# Suppression des modules du noyau pour éviter des conflits +# et reconfiguration. +modprobe -r lp parport_pc +modprobe parport_pc io=<replaceable>0x378</replaceable> irq=<replaceable>7</replaceable> +modprobe plip + +# Configuration de l'interface plip (plip0 ici, voyez dmesg | grep plip) +ifconfig <replaceable>plip0 192.168.0.2</replaceable> pointopoint <replaceable>192.168.0.1</replaceable> netmask 255.255.255.255 up + +# Configuration de la passerelle +modprobe iptable_nat +iptables -t nat -A POSTROUTING -o <replaceable>ppp0</replaceable> -j MASQUERADE +echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_forward +</screen></informalexample> + +</para> + </sect2> + + <sect2> + <title>Installation du système cible</title> +<para> + +Amorcez le support d'installation. L'installation doit se faire en mode expert. Pour cela, +saisissez <userinput>expert</userinput> à l'invite d'amorçage. +Voici les réponses que vous devrez donner à différents moments de l'installation. + +</para> + +<orderedlist> +<listitem><para> + +<guimenuitem>Chargement des composants de l'installateur</guimenuitem> + +</para><para> + +Sélectionnez l'option <userinput>plip-modules</userinput> dans la liste. Le pilote PLIP sera +ainsi disponible pour le système d'installation. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<guimenuitem>Détection du matériel réseau</guimenuitem> + +</para> + + <itemizedlist> + <listitem><para> + +Si la machine cible possède une carte réseau, une liste des modules pour la carte détectée sera +affichée. Si vous voulez que l'installateur utilise plip, vous devez dé-sélectionner tous les +modules affichés. Il est évident que si la machine ne possède pas de carte réseau, cette liste +ne sera pas affichée. + + </para></listitem> + <listitem><para> + +Invite pour les paramètres des modules : Yes + + </para></listitem> + <listitem><para> + +Puisqu'aucune carte réseau n'a été détectée ou sélectionnée, l'installateur vous demande de +choisir un pilote réseau dans une liste. Choisissez le module <userinput>plip</userinput>. + + </para></listitem> + <listitem><para> + +Paramètres supplémentaires pour le module parport_pc : +<userinput><replaceable>io=0x378 irq=7</replaceable></userinput> + + </para></listitem> + <listitem><para> + +Paramètres supplémentaires pour le module plip : ne rien mettre + + </para></listitem> + </itemizedlist> + +</listitem> +<listitem><para> + +<guimenuitem>Configuration du réseau</guimenuitem> + + <itemizedlist> + <listitem><para> + +Configuration automatique du réseau avec DHCP : No + + </para></listitem> + <listitem><para> + +Adresse IP : <userinput><replaceable>192.168.0.1</replaceable></userinput> + + </para></listitem> + <listitem><para> + +Adresse Point-to-Point : +<userinput><replaceable>192.168.0.2</replaceable></userinput> + + </para></listitem> + <listitem><para> + +Adresses des serveurs de noms : vous pouvez mettre les adresses utilisées par le système +source, voyez <filename>/etc/resolv.conf</filename>. + + </para></listitem> + </itemizedlist> + +</para></listitem> +</orderedlist> + + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/appendix/random-bits.xml b/fr/appendix/random-bits.xml new file mode 100644 index 000000000..4f64691a3 --- /dev/null +++ b/fr/appendix/random-bits.xml @@ -0,0 +1,11 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29687 --> + +<appendix id="random-bits"><title>Informations diverses</title> + +&example-preseed.xml; +&files.xml; +&chroot-install.xml; +&plip.xml; + +</appendix> diff --git a/fr/bookinfo.xml b/fr/bookinfo.xml new file mode 100644 index 000000000..805ce16e2 --- /dev/null +++ b/fr/bookinfo.xml @@ -0,0 +1,50 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29882 --> + +<bookinfo id="debian_installation_guide"> +<title>&debian; Guide d'installation</title> + +<abstract> +<para> +Ce document contient les instructions d'installation du système +&debian;(nommé <quote>&releasename;</quote>), sur l'architecture &arch-title; +(<quote>&architecture;</quote>). +Des pointeurs vers d'autres sources d'informations vous permettront de tirer +le meilleur parti de votre nouveau système Debian. +</para> +<para> +<warning condition="not-checked"><para> +Ce guide d'installation est basé sur un ancien manuel d'installation, le +<quote>boot-floppies</quote>, qui a été mis à jour pour servir de guide au +nouvel installateur Debian. Cependant, pour &architecture;, le manuel n'a +pas été complètement mis à jour ni vérifié. Certaines parties du manuel +peuvent être incomplètes ou dépassées, ou bien elles documentent encore +l'ancien installateur. Une nouvelle version de ce manuel, avec de meilleures +informations sur cette architecture, se trouve sur la <ulink url="&url-d-i;"> +page de l'installateur Debian</ulink>. De nouvelles traductions y sont +disponibles. +</para></warning> +<note condition="checked"><para> +Ce guide d'installation pour &architecture; est, pour l'essentiel, à jour. +Nous avons néanmoins l'intention d'en réorganiser certaines parties après +la publication de la version officielle, &releasename;. Une nouvelle version +de ce manuel se trouvera sur la <ulink url="&url-d-i;">page de l'installateur</ulink>. Vous y trouverez aussi de nouvelles traductions. +</para></note> +</para> +</abstract> + +<copyright> + <year>2004</year> + <year>2005</year> + <holder>L'équipe de l'installateur Debian</holder> +</copyright> + +<legalnotice> +<para> +Ce manuel est un logiciel libre ; vous pouvez le distribuer ou le +modifier selon les termes de la Licence publique générale GNU. Veuillez +consulter la licence à l'<xref linkend="appendix-gpl"/>. +</para> + +</legalnotice> +</bookinfo> diff --git a/fr/boot-installer/alpha.xml b/fr/boot-installer/alpha.xml new file mode 100644 index 000000000..53206c0e5 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/alpha.xml @@ -0,0 +1,460 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29334 --> + + + <sect2 arch="alpha" id="alpha-firmware"> + <title>Le microprogramme Alpha Console</title> +<para> + +Le microprogramme pour la console est stocké dans une ROM flash. Il est +lancé lorsqu'un système Alpha est allumé ou remis à zéro. Il y a deux sortes +de spécifications utilisées sur les systèmes Alpha et ainsi deux classes du +microprogramme console disponibles : + +</para> + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +La <emphasis>console SRM</emphasis> basée sur une spécification du +sous-système console Alpha et qui fournit un environnement opérationnel pour +OpenVMS, Tru64 UNIX et les systèmes d'exploitations de type Linux ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Les <emphasis>consoles ARC, AlphaBIOS ou ARCSBIOS</emphasis>, + basées sur les spécifications <quote>Advanced RISC + Computing</quote>(ARC) qui fournissent un environnement + opérationnel pour Windows NT. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +<para> + +Du point de vue de l'utilisateur, la plus grosse différence entre SRM et ARC +est que le choix de la console induit le schéma de partitionnement du disque +sur lequel vous choisirez d'amorcer. + +</para><para> + +ARC requiert l'utilisation d'une table de partition MS-DOS +(créée par <command>cfdisk</command>) pour le disque amorçable. Les tables +des partitions MS-DOS sont donc les formats de partition <quote>natifs</quote> +lorsque l'on amorce avec ARC. En effet, depuis qu' AlphaBIOS contient un +partititionneur de disque, vous préférerez peut-être partitionner vos disques +depuis le menu du microprogramme avant d'installer Linux. +</para> +<para> + +Inversement, SRM est <emphasis>incompatible</emphasis> avec les tables des +partitions MS-DOS +<footnote><para>Précisément, le format du secteur d'amorçage requis par la +spécification du sous-système console entre en conflit avec le placement de +la table des partitions MS-DOS.</para></footnote>. +Depuis que Unix Tru64 utilise le format des disques BSD, c'est le format +<quote>natif</quote> des partitions pour les installations à partir de SRM. + +</para><para> + +GNU/Linux est le seul système d'exploitation sur Alpha qui peut être +amorcé à partir des deux types de console, mais la version &debian; &release; +ne peut s'amorcer qu'à partir d'un système basé sur SRM. Si vous possédez un +Alpha sans SRM, si vous voulez pouvoir lancer aussi Windows NT ou si votre +programme d'amorçage demande une console ARC pour initialiser le BIOS, vous +ne pourrez pas utiliser l'installateur Debian. Vous pourrez toujours lancer +&debian; &release; sur de tels systèmes en utilisant un autre support +d'installation. Par exemple, vous pouvez installer Debian woody et faire une +mise à jour. +</para> +<para> +Comme <command>MILO</command> n'est pas disponible sur tous les systèmes +Alpha actuels (Février 2000) et comme il n'est plus nécessaire d'acheter +une license OpenVMS ou Tru64 Unix pour avoir un microprogramme SRM sur les +anciens Alpha, il est recommandé d'utiliser SRM dès que possible. + +</para><para> + +Le tableau suivant résume les combinaisons type de système / console +disponibles (cf. <xref linkend="alpha-cpus"/> pour les noms des types de +système). Le mot <quote>ARC</quote> ci-dessous désigne toute console compatible + avec ARC. + +</para><para> + +<informaltable><tgroup cols="2"> +<thead> +<row> + <entry>Système</entry> + <entry>Console acceptée</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>alcor</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>avanti</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>book1</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>cabriolet</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>dp264</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>eb164</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>eb64p</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>eb66</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>eb66p</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>jensen</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>lx164</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>miata</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>mikasa</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>mikasa-p</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>nautilus</entry> + <entry>ARC (voyez le manuel de la carte mère) ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>noname</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>noritake</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>noritake-p</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>pc164</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>rawhide</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>ruffian</entry> + <entry>ARC</entry> +</row><row> + <entry>sable</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>sable-g</entry> + <entry>SRM</entry> +</row><row> + <entry>sx164</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>takara</entry> + <entry>ARC ou SRM</entry> +</row><row> + <entry>xl</entry> + <entry>ARC</entry> +</row><row> + <entry>xlt</entry> + <entry>ARC</entry> +</row> + +</tbody> +</tgroup> +</informaltable> + +</para><para> + +D'une façon générale, aucune de ces consoles ne peut amorcer Linux +directement ; il est donc nécessaire d'avoir recours à un programme +d'amorçage intermédiaire. Pour la console SRM, on utilise +<command>aboot</command>, un programme d'amorçage léger et indépendant de la +plateforme. Voyez l' obsolète <ulink url="&url-srm-howto;">SRM HOWTO</ulink> +pour d'autres informations. +</para> +<para condition="FIXME"> +les paragraphes suivants proviennent du manuel d'installation de la version +Woody. Ils sont là pour référence et seront peut-être utiles quand Debian +pourra utiliser à nouveau MILO. +</para> + +<para condition="FIXME"> +D'une façon générale, aucune de ces consoles ne peut amorcer Linux +directement ; il est donc nécessaire d'avoir recours à un programme +d'amorçage intermédiaire. Il existe deux programmes d'amorçage +principaux : <command>MILO</command> and <command>aboot</command>. +</para> +<para> +<command>MILO</command> est lui-même une console, qui remplace ARC ou +SRM en mémoire. <command>MILO</command> peut être amorcé à la fois par ARC et +SRM et c'est même la seule façon de démarrer Linux à partir d'une console +ARC. <command>MILO</command> est dépendant de la plateforme (un programme +différent de <command>MILO</command> est nécessaire pour chaque système) et +n'existe, pour le support ARC, que pour les systèmes listés ci-dessus. +Reportez-vous aussi au <ulink url="&url-milo-howto;">MILO HOWTO</ulink>, +malheureusement plus très à jour. + +</para><para> + +<command>aboot</command> est un petit programme d'amorçage, indépendant +de la plateforme et qui fonctionne uniquement avec SRM. Reportez-vous au +<ulink url="&url-srm-howto;">SRM HOWTO</ulink> (hélas plus très à jour) pour +obtenir d'autres informations sur <command>aboot</command>. + +</para><para condition="FIXME"> + +Vous pouvez donc être confronté à trois types de scénario possibles, selon le +microprogramme de la console du système et selon que <command>MILO</command> +est disponible ou non : + +<informalexample><screen> +SRM -> aboot +SRM -> MILO +ARC -> MILO +</screen></informalexample> + +Comme <command>MILO</command> n'est disponible pour aucun des systèmes Alpha +actuellement en production (février 2000) et comme il n'est plus nécessaire +d'acheter une licence OpenVMS ou Unix Tru64 pour avoir le microprogramme sur +votre vieil Alpha, il est recommandé d'utiliser SRM et +<command>aboot</command> pour une nouvelle installation de GNU/Linux, à moins +que vous ne désiriez pouvoir amorcer aussi Windows NT. + +</para><para> + +La majorité des AlphaServer, tous les serveurs et tous les postes de travail +contiennent à la fois SRM et AlphaBIOS dans leur microprogramme. Pour les +machines <quote>half-flash</quote> comme les nombreuses cartes d'évaluation, +il est possible de passer d'une version à l'autre par flashage du +microprogramme. Ainsi, lorsque SRM est installé, il est possible d'exécuter +ARC/AlphaBIOS depuis une disquette (en utilisant la commande +<command>arc</command>). Pour les raisons mentionnées précédemment, nous +recommandons de passer à SRM avant d'installer Debian. + +</para><para> + +Comme pour toutes les autres architectures, vous devez installer la révision +la plus récente du microprogramme +<footnote> +<para>À l'exception de Jensen, où +les versions du microprogramme plus récentes que la version 1.7 +ne reconnaissent pas linux — voyez +<ulink url="&url-jensen-howto;"></ulink> pour plus d'informations. +</para></footnote> + avant d'installer Debian. Pour les Alpha, la mise à jour +du microprogramme peut s'obtenir à partir des +<ulink url="&url-alpha-firmware;">mises à jour du Firmware Alpha</ulink>. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="alpha"><title>Amorcer avec TFTP</title> +<para> + +Pour SRM, les interfaces Ethernet sont nommées +avec le préfixe <userinput>ewa</userinput> et seront affichées en sortie de + la commande <userinput>show dev</userinput>, comme ceci : + +<informalexample><screen> +>>> show dev +ewa0.0.0.9.0 EWA0 08-00-2B-86-98-65 +ewb0.0.0.11.0 EWB0 08-00-2B-86-98-54 +ewc0.0.0.2002.0 EWC0 00-06-2B-01-32-B0 +</screen></informalexample> + +Vous devez commencer par configurer le protocole d'amorçage : + +<informalexample><screen> +>>> set ewa0_protocol bootp +</screen></informalexample> + +puis vérifier que le type du média est correct : + +<informalexample><screen> +>>> set ewa0_mode <replaceable>mode</replaceable> +</screen></informalexample> + +Vous pouvez obtenir une liste de modes valides avec +<userinput>>>>set ewa0_mode</userinput>. + +</para><para> + +Ensuite, pour amorcer sur la première interface Ethernet, vous + devrez taper : + +<informalexample><screen> +>>> boot ewa -flags "" +</screen></informalexample> + +L'amorçage se fera avec les paramètres par défaut du noyau qui sont dans +l'image netboot. +</para> +<para> + +Si vous souhaitez utiliser une console série, vous +<emphasis>devez</emphasis> passer le paramètre <userinput>console=</userinput> +au noyau. Cela peut être fait avec l'argument +<userinput>-flags</userinput> de la commande SRM <userinput>boot</userinput>. +Les ports série portent le même nom que leur fichier correspondant dans +<userinput>/dev</userinput>. Et si vous ajoutez des paramètres du noyau, vous +devez répéter certaines options par défaut nécessaires aux images de +l'installateur Debian. +Par exemple, pour amorcer depuis +<userinput>ewa0</userinput> + en utilisant la console sur le premier port série, vous devrez + saisir : + +<informalexample><screen> +>>> boot ewa0 -flags "root=/dev/ram ramdisk_size=16384 console=ttyS0" +</screen></informalexample> + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="alpha"><title>Amorcer depuis un cédérom avec une console SRM +</title> +<para> + +Exécutez + +<informalexample><screen> +>>> boot xxxx -flags 0 +</screen></informalexample> + +où <replaceable>xxxx</replaceable> est votre lecteur de cédérom +en notation SRM. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="alpha" condition="FIXME"> + <title>Amorcer depuis un cédérom avec une console ARC ou AlphaBIOS</title> +<para> + +Pour amorcer un cédérom depuis la console ARC, trouvez le nom de +code de votre sous-architecture (voyez : +<xref linkend="alpha-cpus"/>, puis entrez +<filename>\milo\linload.exe</filename> + comme programme d'amorçage et + <filename>\milo\<replaceable>subarch</replaceable></filename> +(où <replaceable>subarch</replaceable> + est le nom de la sous-architecture) comme chemin vers + le système d'exploitation dans le + menu <quote>OS Selection Setup</quote>. Les + <quote>Ruffians</quote> font exception : vous aurez besoin + d'utiliser <filename>\milo\ldmilo.exe</filename> comme programme + d'amorçage. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="alpha" condition="supports-floppy-boot"> + <title>Amorcer à partir de disquette avec la console SRM</title> +<para> + +À l'invite (<prompt>>>></prompt>) de SRM, exécutez la + commande suivante : + +<informalexample><screen> +>>> boot dva0 -flags 0 +</screen></informalexample> + +en remplaçant <filename>dva0</filename> avec le périphérique en service + sur votre machine. D'habitude, <filename>dva0</filename> est le lecteur + de disquette ; tapez + +<informalexample><screen> +>>> show dev +</screen></informalexample> + +pour afficher la liste des périphériques (si vous désirez + amorcer par exemple depuis un cédérom). Remarquez que si vous +amorcez via MILO, l'argument <command>-flags</command> est ignoré, + donc vous pouvez simplement taper <command>boot dva0</command>. +Si tout se déroule normalement, vous devriez voir l'amorçage + du noyau Linux. + +</para><para> + +Si vous désirez spécifier des arguments pour le noyau en amorçant +via <command>aboot</command>, utilisez la commande suivante : + +<informalexample><screen> +>>> boot dva0 -file linux.bin.gz -flags "root=/dev/fd0 load_ramdisk=1 arguments" +</screen></informalexample> + +(saisissez sur une seule ligne) en substituant, si nécessaire, le + nom de périphérique d'amorçage SRM utilisé pour +<filename>dva0</filename>, le nom de périphérique d'amorçage de Linux + pour <filename>fd0</filename> et les paramètres noyau désirés pour + <filename>arguments</filename>. + +</para><para> + +Si vous désirez spécifier des paramètres au noyau lors d'un +amorçage via <command>MILO</command>, il vous faudra interrompre le +chargement une fois entré dans MILO. Voyez <xref linkend="booting-from-milo"/>. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="alpha"> + <title>Amorcer depuis les disquettes avec la console ARC ou ALphaBIOS</title> + +<para> + +Dans le menu de <quote>OS selection</quote>, choisissez +<command>linload.exe</command> comme programme d'amorçage et +<command>milo</command> comme chemin vers le système + d'exploitation. L'amorçage se fera depuis cette nouvelle + entrée. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="alpha" condition="FIXME" id="booting-from-milo"> +<title>Amorcer avec MILO</title> +<para> + +Le programme MILO, contenu dans le média d'amorçage, est configuré + pour amorcer automatiquement Linux. Si vous désirez + intervenir, il vous suffit d'appuyer sur la touche d'espacement + durant le compte à rebours de MILO. + +</para><para> + +Si vous désirez tout spécifier (pour fournir par exemple des paramètres +supplémentaires), vous pouvez utiliser une commande de ce type : + +<informalexample><screen> +MILO> boot fd0:linux.bin.gz root=/dev/fd0 load_ramdisk=1 <!-- arguments --> +</screen></informalexample> + +Si vous amorcez sur un autre support qu'une disquette, +substituez <filename>fd0</filename> dans l'exemple ci-dessus par le nom + de périphérique approprié dans la nomenclature Linux. La + commande <command>help</command> vous fournira un rapide aperçu des + commandes MILO. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/arm.xml b/fr/boot-installer/arm.xml new file mode 100644 index 000000000..968b46268 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/arm.xml @@ -0,0 +1,117 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect2 arch="arm" id="boot-tftp"><title>Amorcer à partir de TFTP</title> + +&boot-installer-intro-net.xml; + + <sect3 arch="arm"><title>Amorcer à partir de TFTP sur une NetWinder</title> + +<para> + +Les NetWinders possèdent deux interfaces réseau : la carte 10 Mbps +compatible NE2000 est l'interface réseau <filename>eth0</filename> et la +carte Tulip en 100 Mbps est l'interface réseau <filename>eth1</filename>. + +</para><note><para> + +Vous aurez besoin de NeTTrom version 2.2.1 ou supérieure pour amorcer le +système d'installation. Il est recommandé d'utiliser NeTTrom 2.3.3 : +Vous pouvez l'obtenir à partir de +<ulink url="ftp://ftp.netwinder.org/pub/netwinder/firmware/"></ulink> : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<filename>nettrom-2.3-3.armv4l.rpm</filename> + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>nettrom-2.3.3.bin</filename> + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>nettrom-2.3.3.bin.md5sum</filename> + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +</para></note><para> + +Après avoir réamorcé et interrompu le processus d'amorçage pendant la phase +de compte à rebours, vous devez configurer le réseau avec une adresse +précise : + +<informalexample><screen> + NeTTrom command-> setenv eth0_ip 192.168.0.10/24 +</screen></informalexample> + +où 24 est le nombre de bits du masque réseau, ou bien sans adresse : + +<informalexample><screen> + NeTTrom command-> boot diskless +</screen></informalexample> + +Il se peut que vous ayez aussi à configurer les réglages de +<userinput>route1</userinput> si le serveur TFTP n'est pas sur le + sous-réseau local. Le reste de la configuration est tout à + fait standard (l'étape de sauvegarde de l'ensemble est + facultative) : + +<informalexample><screen> + NeTTrom command-> setenv kerntftpserver 192.168.0.1 + NeTTrom command-> setenv kerntftpfile boot.img + NeTTrom command-> save-all + NeTTrom command-> setenv netconfig_eth0 flash + NeTTrom command-> setenv kernconfig tftp + NeTTrom command-> setenv rootdev /dev/ram + NeTTrom command-> setenv cmdappend root=/dev/ram +</screen></informalexample> + +Seules les quatre dernières commandes interfèrent avec l'amorçage normal des +disques. Il est donc prudent de tout sauvegarder avec +<command>save-all</command> avant de le faire, ce qui permettra de +sauvegarder les réglages réseau au cas où vous auriez à réamorcer depuis le +réseau. + +Si vous voulez installer NetWinder avec la console série, vous devez utiliser +la commande qui suit. + +<informalexample><screen> + NeTTrom command-> setenv cmdappend root=/dev/ram console=ttyS0,115200 +</screen></informalexample> + +Utilisez la commande <command>printenv</command> pour réafficher vos +réglages. +Finalement, si la variable de NeTTrom <envar>cmdappend</envar> +possède l'option <option>noinitrd</option>, vous devrez la supprimer pour que +le noyau puisse amorcer avec ses disques virtuels. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="arm"><title>Amorcer à partir de TFTP sur CATS</title> + +<para> + +Sur les machines CATS, utilisez <command>boot de0:</command> + ou quelque chose de similaire à l'invite de Cyclone. + +</para> + </sect3> + </sect2> + + + + <sect2 arch="arm"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> + +&boot-installer-intro-cd.xml; + +<para> +Pour amorcer à partir d'un cédérom depuis l'invite sur une console +Cyclone, utilisez la commande +<command>boot cd0:cats.bin</command> +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/boot-installer.xml b/fr/boot-installer/boot-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..2c42e9c5d --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/boot-installer.xml @@ -0,0 +1,35 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24701 --> + +<chapter id="boot-installer"><title>Démarrer le système d'installation</title> + +<!-- Include only archs that are documented to avoid build-errors --> +<!-- The arch="..." condition can be deleted when al archs are present --> + <sect1 arch="alpha;arm;i386;ia64;m68k;mips;s390;powerpc;sparc"> + +<title>Démarrer l'installateur sur &arch-title;</title> + +<!-- This info is so architecture dependent, that I have turned the --> +<!-- structure inside out for this chapter. Each arch has a document. --> +<!-- Note: archs hppa and mipsel are currently missing --> + +&boot-installer-alpha.xml; +&boot-installer-arm.xml; +<!-- &boot-installer-hppa.xml; --> +&boot-installer-i386.xml; +&boot-installer-ia64.xml; +&boot-installer-m68k.xml; +&boot-installer-mips.xml; +<!-- &boot-installer-mipsel.xml; --> +&boot-installer-s390.xml; +&boot-installer-powerpc.xml; +&boot-installer-sparc.xml; + + </sect1> + +&boot-installer-parameters.xml; +&boot-installer-trouble.xml; + +</chapter> + + diff --git a/fr/boot-installer/hppa.xml b/fr/boot-installer/hppa.xml new file mode 100644 index 000000000..f2524c91d --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/hppa.xml @@ -0,0 +1,11 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24701 --> + <sect2 arch="hppa"> + <title></title> +<para> + +<!-- Placeholder document; please write and include in + boot-installer.xml and build/templates/docstruct.ent --> + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/i386.xml b/fr/boot-installer/i386.xml new file mode 100644 index 000000000..74a5b7217 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/i386.xml @@ -0,0 +1,376 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="i386"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> + +&boot-installer-intro-cd.xml; + +<!-- We'll comment the following section until we know exact layout --> +<!-- +Le cédérom n° 1 du jeu officiel de cédéroms pour + &arch-title; vous présentera une invite <prompt>boot:</prompt> sur la + plupart des matériels. Appuyez sur <keycap>F3</keycap> pour afficher la + liste des options du noyau disponibles à partir desquelles + amorcer. Tapez simplement le nom de la saveur (idepci, vanilla, + compact, bf24) après l'invite de <prompt>boot:</prompt> et validez par + &enterkey;. + +</para><para> + +Si votre matériel ne supporte pas l'amorçage d'images multiples, + insérez un des autres cédéroms dans le lecteur. Il semble que la + plupart des lecteurs de cédéroms SCSI soient incapables de gérer +l'amorçage d'images multiples de <command>isolinux</command>, les + possesseurs de tels lecteurs de cédéroms devraient essayer le + cédérom 2 (vanilla), 3 (compact) ou 5 (bf2.4). + +</para><para> + +Les cédéroms numéro 2 à 5 amorceront chacun sur une saveur différente +dépendant du cédérom inséré. cf.<xref linkend="kernel-choice"/> +pour une discussion sur les différentes +variantes. Voici comment sont disposées les variantes sur les + différents cédéroms : + +<variablelist> +<varlistentry> +<term>CD 1</term><listitem><para> + + Sur les nouveaux matériels, il permet une sélection + d'images de noyau à amorcer. Sur les vieux matériels, il + amorcera le noyau en saveur « idepci » ; + +</para></listitem></varlistentry> +<varlistentry> +<term>CD 2</term><listitem><para> + +Amorce la saveur « vanilla » ; + +</para></listitem></varlistentry> +<varlistentry> +<term>CD 3</term><listitem><para> + +Amorce la saveur « compact » ; + +</para></listitem></varlistentry> +<varlistentry> +<term>CD 4</term><listitem><para> + +Amorce la saveur « idepci » ; + +</para></listitem></varlistentry> +<varlistentry> +<term>CD 5</term><listitem><para> + +Amorce la saveur « bf2.4 ». + +</para></listitem></varlistentry> + + </variablelist> + +</para><para> + +--> + +</sect2> + +<!-- FIXME the documented procedure does not exactly work, commented out + until fixes + + <sect2 arch="i386" id="install-from-dos"> + <title>Amorcer depuis une partition DOS</title> + +&boot-installer-intro-hd.xml; + +<para> + +Démarrez en MS-DOS (pas en Windows) sans charger de pilotes. Pour faire cela, +il faut presser <keycap>F8</keycap> au bon moment (et éventuellement +sélectionner l'option « safe mode command prompt only » : +« mode DOS sans échec »). Puis allez dans le sous-répertoire qui +contient la saveur que vous avez choisie, p. ex. + +<informalexample><screen> +cd c:\current\compact +</screen></informalexample>. + +Ensuite exécutez <command>install.bat</command>. Le noyau se chargera et +lancera l'installateur. + +</para><para> + +Veuillez noter qu'il y a actuellement un problème avec loadlin +(bogue n°142421) qui empêche le fichier <filename>install.bat</filename> +d'être utilisé par la saveur bf2.4. Le symptôme de ce problème est le message +<computeroutput>invalid compressed format</computeroutput>. + +</para> + </sect2> + +END FIXME --> + + <sect2 arch="i386" id="boot-initrd"> + <title>Amorcer à partir de Linux avec <command>LILO</command> + ou <command>GRUB</command></title> + +<para> +Pour amorcer l'installateur sur un disque dur, vous devez d'abord télécharger +les fichiers et les installer comme l'explique la section +<xref linkend="boot-drive-files"/>. +</para> + +<para> +Si vous voulez utiliser le disque seulement pour l'amorçage et ensuite +utiliser le réseau pour télécharger tous les paquets, vous devez récupérer +le fichier <filename>netboot/debian-installer/i386/initrd.gz</filename> et le +noyau qui lui correspond. Vous pourrez ainsi repartitionner le disque sur +lequel se trouve l'installateur. Toutefois cette opération demande un grand +soin. +</para> + +<para> +Si vous voulez garder intacte une partition sur ce disque, vous pouvez +télécharger le fichier <filename>hd-media/initrd.gz</filename> et le noyau +correspondant ; copiez aussi une image CD sur le disque (assurez-vous +que le nom de cette image finit en <literal>.iso</literal>). L'installateur +peut alors se lancer à partir du disque dur et s'installer à partir de cette +image, sans avoir besoin du réseau. +</para> + +<para> + +Pour <command>LILO</command>, vous devez configurer deux choses essentielles +dans <filename>/etc/lilo.conf</filename> : +<itemizedlist> +<listitem><para> + +le chargement de <filename>initrd.gz</filename> au moment de l'amorçage ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +l'utilisation par le noyau <filename>vmlinuz</filename> d'un disque virtuel +en mémoire comme sa partition racine. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + + +Voici un exemple de fichier <filename>/etc/lilo.conf</filename> : + + +</para><para> + +<informalexample><screen> +image=/boot/newinstall/vmlinuz + label=newinstall + initrd=/boot/newinstall/initrd.gz + root=/dev/ram0 + append="<phrase condition="sarge">devfs=mount,dall </phrase>ramdisk_size=12000" +</screen></informalexample> + +Pour plus de précisions, référez-vous aux pages de manuel de +<citerefentry><refentrytitle>initrd</refentrytitle> +<manvolnum>4</manvolnum></citerefentry> et de +<citerefentry><refentrytitle>lilo.conf</refentrytitle> +<manvolnum>5</manvolnum></citerefentry>. Exécutez maintenant +<userinput>lilo</userinput> et relancez la machine. +</para> + +<para> +La procédure pour <command>GRUB</command> est relativement similaire. +Cherchez le fichier <filename>menu.lst</filename> dans le répertoire +<filename>/boot/grub/</filename> (parfois dans +<filename>/boot/boot/grub/</filename>), ajoutez les lignes suivantes : + +<informalexample><screen> +title New Install +kernel (hd0,0)/boot/newinstall/vmlinuz root=/dev/ram0 ramdisk_size=12000 +initrd (hd0,0)/boot/newinstall/initrd.gz +</screen></informalexample> + +et redémarrez. <phrase condition="sarge">En cas d'échec, vous pouvez ajouter +<userinput>devfs=mount,dall</userinput> à la ligne <quote>kernel</quote>. +</phrase></para> +<para> +Il sera peut-être nécessaire d'augmenter +le paramètre <userinput>ramdisk_size</userinput>, selon l'image que vous +démarrez. +À partir de maintenant, il ne devrait plus y avoir de différences +entre <command>GRUB</command> et <command>LILO</command>. +</para> +</sect2> + +<sect2 arch="i386" id="usb-boot"> +<title>Amorcer sur une clé USB</title> + +<para> +Supposons que tout a été préparé comme l'expliquent les sections +<xref linkend="boot-dev-select"/> et <xref linkend="boot-usb-files"/>. +Branchez maintenant votre clé USB dans un port libre et relancez la machine. +Le système devrait se lancer et une invite <prompt>boot:</prompt> apparaître. +Maintenant, vous pouvez donner des paramètres optionnels ou simplement +appuyer sur la touche &enterkey;. +</para> + +<para> +Si votre ordinateur ne permet pas l'amorçage par clé USB, vous pouvez +toujours amorcer avec une disquette et passer ensuite sur la clé USB. +Procédez selon la <xref linkend="floppy-boot"/> ; le noyau sur la disquette +détectera automatiquement la clé USB. Quand il demande la disquette root, +appuyez simplement sur la touche &enterkey;. L'installateur devrait se lancer. +</para> +</sect2> + + <sect2 arch="i386" id="floppy-boot"> + <title>Amorcer depuis des disquettes</title> +<para> + +Vous devez avoir déjà téléchargé les images de disquettes nécessaires +à partir des images présentes dans <xref linkend="create-floppy"/>. +<!-- missing-doc FIXME If you need to, you can also modify the boot floppy; see\ +<xref linkend="rescue-replace-kernel"/>. --> +</para> +<para> + +Pour amorcer depuis la disquette d'amorçage, placez-la dans le premier +lecteur de disquette, éteignez la machine comme +vous le faites habituellement puis rallumez-la. + +</para><para> + +Pour réaliser l'installation à partir d'un lecteur LS-120 (version ATAPI) +avec un jeu de disquettes, vous devrez préciser l'emplacement virtuel du +lecteur de disquette. On utilise le paramètre de démarrage +<emphasis>root=</emphasis> pour le faire, en indiquant le périphérique que le +pilote ide-floppy aura simulé. Par exemple si votre lecteur est connecté sur +la première interface IDE en seconde position sur le câble, entrez +<userinput>linux root=/dev/hdc</userinput> lors de l'invite de démarrage. +L'installation depuis un lecteur LS-120 n'est possible qu'à partir des noyaux +2.4. + +</para><para> + +Remarquez bien que sur certaines machines <keycombo><keycap>Control</keycap> +<keycap>Alt</keycap> <keycap>Delete</keycap></keycombo> ne remet pas +proprement à zéro la machine. Éteindre la machine est alors recommandé. Si +vous installez depuis un système d'exploitation existant, (p. ex. à partir +d'une machine MS-DOS), vous n'aurez pas le choix. Sinon, veuillez éteindre la +machine et rallumez-là. + +</para><para> + +La disquette sera lue et vous devriez apercevoir un écran +présentant la disquette d'amorçage et l'invite <prompt>boot:</prompt> au bas de +l'écran. +</para> + +<para> + +Une fois que vous avez appuyé sur la touche &enterkey;, vous devez voir le +message +<computeroutput>Loading...</computeroutput> suivi par +<computeroutput>Uncompressing Linux...</computeroutput> et ensuite un écran +rempli d'informations sur les éléments matériels de votre machine. Vous +pouvez trouver un complément d'information sur cette phase dans la +<xref linkend="kernel-msgs"/>. +</para> + +<para> +Après avoir démarré depuis la disquette d'amorçage, la disquette root est +démandée. Insérez-la puis pressez la touche &enterkey; et le contenu est +chargé en mémoire. L'<command>installateur Debian</command> est +automatiquement lancé. +</para> +</sect2> + + <sect2 arch="i386" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> + +&boot-installer-intro-net.xml; + +<para> + +Il y a plusieurs façons d'amorcer avec TFTP sur une machine i386. + +</para> + + <sect3><title>NIC ou carte mère avec PXE</title> +<para> + +Il se pourrait que votre interface réseau ou votre carte mère permettent +l'amorcage PXE. C'est une réimplémentation de l'amorçage TFTP par +<trademark class="trade">Intel</trademark>. Dans ce cas, vous pourrez +configurer votre bios pour qu'il s'amorce sur le réseau. + +</para> + </sect3> + + <sect3><title>NIC avec ROM de démarrage réseau</title> +<para> + +Une carte d'interface réseau peut offrir la possibilité de démarrer par TFTP. + +</para><para condition="FIXME"> + +Dites-nous (<email>&email-debian-boot-list;</email>) comment vous +avez fait. Veuillez vous référer à ce document. + +</para> + </sect3> + + <sect3><title>Etherboot</title> +<para> +Le <ulink url="http://www.etherboot.org">projet etherboot</ulink> offre des +disquettes d'amorçage et même des ROMS qui permettent l'amorçage par TFTP. +</para> +</sect3> +</sect2> + + <sect2 arch="i386"> +<title>L'invite d'amorçage</title> +<para> +Quand l'installateur démarre, une invite d'amorçage, <prompt>boot:</prompt> +apparaît dans un joli écran montrant le logo de la distribution. + +<informalexample><screen> +Press F1 for help, or ENTER to boot: +</screen></informalexample> + +Vous pouvez maintenant appuyer sur la touche &enterkey; pour +lancer l'installateur avec les options par défaut, ou vous pouvez +indiquer une méthode spécifique d'installation avec d'autres paramètres d'amorçage. +</para> + +<para> +Des informations utiles sur les paramètres d'amorçage peuvent être consultées +en pressant les touches <keycap>F3</keycap> à +<phrase condition="sarge"><keycap>F7</keycap></phrase><phrase condition="etch"><keycap>F8</keycap></phrase>. +Si vous ajoutez des paramètres à la ligne de commande d'amorçage, assurez-vous +d'indiquer la méthode d'amorçage (la valeur par défaut est +<userinput>linux</userinput>) et un espace avant le premier paramètre +(par exemple, <userinput>linux debconf/priority=medium</userinput>). + +<note><para> +Si vous installez le système depuis une machine distante qui offre une +interface texte à la console VGA, il se peut que l'écran graphique +n'apparaisse pas ; vous pouvez aussi ne pas voir l'invite +d'amorçage elle-même. Sur ces systèmes distants comme la console texte +<quote>integrated Lights Out</quote> (iLO) de Compaq ou la +<quote>Integrated Remote Assistant</quote> (IRA) de HP, vous pouvez +simplement appuyer sur la touche F1 <footnote> +<para> +Ces systèmes demandent parfois des séquences spéciales pour activer +cette touche. Par exemple, la console IRA utilise +<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>F</keycap> </keycombo>, <keycap>1</keycap>. +</para></footnote> +pour sauter cet écran et voir le texte d'aide. Une fois dans l'aide, les +touches produiront le résultat attendu. Pour empêcher l'installateur +d'utiliser le tampon vidéo dans la suite de l'installation, vous pouvez +ajouter le paramètre +<userinput>debian-installer/framebuffer=false</userinput> à l'invite +d'amorçage. + +</para></note> + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/ia64.xml b/fr/boot-installer/ia64.xml new file mode 100644 index 000000000..4d63e729d --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/ia64.xml @@ -0,0 +1,488 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect2 arch="ia64"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> + +&boot-installer-intro-cd.xml; + +<note> +<title>Contenus du cédérom</title> + +<para> +Trois variantes des cédéroms d'installation Debian existent. +Le cédérom <emphasis>Business Card</emphasis> offre une installation +minimale qui tient sur ce support de petite taille. Il exige une connexion +au réseau pour installer le reste du système de base et rendre le système +utilisable. Le cédérom <emphasis>Network Install</emphasis> possède tous les +paquets du système de base, mais il exige une connexion au réseau pour +installer les paquets supplémentaires nécessaires à un système complet. +L'ensemble des cédéroms Debian peut installer un système complet sans avoir +besoin du réseau. +</para> +</note> + +<para> + +L'architecture IA-64 utilise la nouvelle interface +<quote>Extensible Firmware Interface</quote> (EFI) d'Intel. Contrairement au +traditionnel BIOS x86 qui ne connaît rien du périphérique de démarrage +sinon la table des partitions et le secteur principal d'amorçage (MBR), le +programme EFI peut lire et écrire des fichiers provenant d'une partition FAT16 +ou FAT32. Cela simplifie le processus souvent mystérieux de l'amorçage du +système. Le programme d'amorçage du système et le firmware EFI possèdent un +système de fichiers complet pour stocker les fichiers nécessaires au démarrage +du système. Cela signifie que le disque système sur un système IA-64 possède +une partition additionnelle dédiée à EFI à la place du simple MBR ou du bloc +de démarrage sur les systèmes plus conventionnels. + +</para> +<para> + +Le cédérom Debian contient une petite partition EFI sur laquelle résident le +programme d'amorçage <command>ELILO</command>, son fichier de configuration, +le noyau de l'installateur ainsi qu'un système de fichiers initial (initrd). +Le système en marche contient aussi une partition EFI sur laquelle résident +les fichiers nécessaires au démarrage du système. Ces fichiers sont lisibles +depuis le shell EFI comme décrit plus bas. + +</para> +<para> + +La plupart des détails sur la manière dont <command>ELILO</command> se charge +et démarre le système sont transparents pour l'installateur du système. +Toutefois, celui-ci doit d'abord mettre en place une partition EFI avant +d'installer le système de base. Autrement, l'installation de +<command>ELILO</command> échouera rendant le système non amorçable. La +partition EFI est allouée et formatée lors de l'étape partitionnement de +l'installation, avant le chargement des paquets sur le disque système. La +tâche de partitionnement vérifie aussi qu'une partition EFI convenable est +présente avant de permettre l'installation. + +</para><para> + +Le gestionnaire de démarrage EFI est la dernière étape de l'initialisation du +firmware. Il montre un menu où l'utilisateur peut choisir une option. +Dépendant du modèle du système ainsi que des autres programmes chargés, ce +menu peut être différent d'un système à l'autre. Il devrait y avoir au moins +deux menus affichés, <command>Boot Option Maintenance Menu</command> et +<command>EFI Shell (Built-in)</command>. L'utilisation de la première option +est conseillée ; néanmoins si cette option n'est pas disponible, ou si +le cédérom ne peut pas s'amorcer, utilisez la seconde option. + +</para> + + <warning> + <title>IMPORTANT</title> +<para> + +Le gestionnaire de démarrage EFI choisira une action de démarrage par défaut, +typiquement le premier choix du menu, après un nombre prédéfini de secondes. +C'est indiqué par un compte à rebours situé au bas de l'écran. Une fois ce +temps expiré et l'action par défaut lancée, vous aurez peut-être besoin de +redémarrer la machine afin de continuer l'installation. Si l'action par +défaut est le shell EFI, vous pouvez retourner au gestionnaire d'amorçage en +tapant <command>exit</command> à l'invite du shell. + +</para> + </warning> + + <sect3 arch="ia64" id="bootable-cd"> + <title>Option 1 : Amorcer à partir du menu <quote>Boot Option Maintenance</quote></title> +<para> + +</para> + +<itemizedlist> + +<listitem><para> + +Insérez le cédérom dans le lecteur DVD/CD et réamorcez la machine. Le +firmware affichera la page du gestionnaire d'amorçage EFI ainsi que le menu +après avoir terminé l'initialisation du système. + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Sélectionnez <command>Boot Maintenance Menu</command> du menu avec les +touches flèches et appuyez sur <command>ENTER</command>. Un nouveau menu +s'affichera. + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Sélectionnez <command>Amorcer depuis un fichier</command> depuis le menu avec +les touches flèches et appuyez sur <command>ENTER</command>. Une liste des +périphériques testés par le firmware s'affichera. Vous devriez voir deux +lignes de menu contenant soit l'étiquette +<command>Debian Inst [Acpi ...</command> soit +<command>Removable Media Boot</command>. Si vous examinez le reste de la +ligne de menu, vous noterez que les informations sur le périphérique et sur +le contrôleur sont les mêmes. + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Vous pouvez choisir n'importe quelle entrée qui se réfère au lecteur DVD/CD. +Faites votre choix à l'aide des touches flèches et appuyez sur +<command>ENTER</command>. Si vous choisissez +<command>Removable Media Boot</command>, la machine débutera immédiatement la +séquence de démarrage. Si vous choisissez plutôt +<command>Debian Inst [Acpi ...</command>, il affichera le contenu de la +partie amorçable du cédérom, vous demandant de passer à la prochaine étape. + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Vous n'aurez besoin de cette étape que si vous choisissez +<command>Debian Inst [Acpi ...</command>. L'affichage du contenu du +répertoire montrera également +<command>[Treat like Removable Media Boot]</command> sur l'avant dernière +ligne. Sélectionnez cette ligne avec les touches flèches et appuyez sur +<command>ENTER</command>. Cela lancera la séquence d'amorçage. + +</para></listitem> + +</itemizedlist> +<para> + +Ces étapes lancent le programme d'amorçage de Debian qui affichera une page +de menu vous permettant de sélectionner un noyau et des options. Poursuivez +en choisissant le noyau et les options. + +</para> +</sect3> + + + <sect3 arch="ia64" id="boot-with-efi"> + <title>Option 2 : Amorcer depuis le Shell EFI</title> +<para> + +Si pour une raison ou pour une autre, l'option 1 n'est pas couronnée de +succès, relancez la machine et lorsque l'écran du gestionnaire d'amorçage EFI +apparaît, il devrait y avoir une option appelée +<command>EFI Shell [Built-in]</command>. Amorcez le cédérom d'installation de +Debian en suivant ces étapes : + +</para> + +<itemizedlist> + +<listitem><para> + +Insérez le cédérom dans le lecteur DVD/CD et réamorcez la machine. Le +firmware affichera la page et le menu du gestionnaire d'amorçage EFI après +avoir terminé l'initialisation du système. + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Sélectionnez <command>EFI Shell</command> depuis le menu avec les touches +flèches et appuyez sur <command>ENTER</command>. Le shell EFI va examiner +tous les périphériques amorçables et les affichera sur le terminal avant +d'afficher son invite. Les partitions amorçables reconnues sur les +périphériques auront un nom comme : +<filename>fs<replaceable>n</replaceable>:</filename>. Toutes les autres +partitions seront nommées comme : +<filename>blk<replaceable>n</replaceable>:</filename>. +Si vous avez inséré le cédérom juste avant d'entrer dans le Shell, cet examen +pourrait prendre quelques secondes de plus car il initialise le lecteur CD. + +</para> +</listitem> + +<listitem><para> + +Examinez la sortie du shell en cherchant le lecteur de cédérom. C'est très +probablement le périphérique <filename>fs0:</filename> bien que que d'autres +périphériques ayant une partition amorçable seront affichées comme +<filename>fs<replaceable>n</replaceable></filename>. + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Entrez <command>fs<replaceable>n</replaceable>:</command> et appuyez sur +<command>ENTER</command> afin de sélectionner le périphérique ayant +<replaceable>n</replaceable> comme numéro de partition pour le cédérom. +Le shell affichera maintenant le numéro de partition dans son invite. + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Entrez <command>elilo</command> et appuyez sur <command>ENTER</command>. +Cela lancera la séquence d'amorçage. + +</para></listitem> + +</itemizedlist> + +<para> + +Comme avec l'option 1, ces étapes démarrent le programme d'amorçage Debian +qui affichera une page de menu vous permettant de sélectionner un noyau et +des options. Vous pouvez également entrer la commande plus courte +<command>fs<replaceable>n</replaceable>:elilo</command> à l'invite du shell. +Poursuivez en choisissant le noyau et les options. + +</para> +</sect3> + + <sect3 arch="ia64" id="serial-console"> + <title>Installer avec une console série</title> + +<para> + +Pour faire l'installation, vous pouvez choisir d'utiliser un écran et un +clavier ou d'utiliser une connexion série. Pour choisir une installation +écran/clavier, sélectionnez une option contenant la chaîne de caractère +[VGA console]. Pour installer via une connexion série, choisissez une option +contenant la chaîne de caractère [<replaceable>BAUD</replaceable> baud serial +console], où <replaceable>BAUD</replaceable> est la vitesse de votre terminal +série. Les articles du menu pour les réglages les plus typiques des taux sur +le périphérique ttyS0 sont préconfigurés. +</para> + +<para> +Dans la plupart des cas, vous voudrez que l'installateur utilise le même taux +que celui de votre connexion au terminal EFI. Si vous n'êtes pas sûr de ce +réglage, vous pouvez l'obtenir grâce à la commande <command>baud</command> +entrée dans le shell EFI. +</para> + +<para> +Si aucune des options disponibles n'est appropriée à votre périphérique série +ou à votre taux baud, vous pouvez passer outre les réglages de la console +pour une des options existantes du menu. Par exemple, pour utiliser une +console avec un taux de 57600 bauds sur le périphérique ttyS1, entrez +<command>console=ttyS1,57600n8</command> dans la fenêtre +<classname>Boot:</classname>. +</para> + +<note><para> + +La plupart des machines IA-64 sont livrées avec une console réglée sur +9600 bauds. Ce réglage est plutôt lent, et le processus normal d'installation +prendra un temps relativement long pour afficher chaque écran. Vous devriez +augmenter le taux baud utilisé pour l'installation, ou alors utiliser une +installation en mode texte. Voyez le menu d'aide +<classname>Params</classname> pour des instructions sur la manière de lancer +l'installateur en mode texte. +</para></note> + +<warning><para> +Si vous choisissez le mauvais type de console, vous aurez la possibilité de +choisir le noyau et d'entrer les paramètres, mais tant le terminal que vos +choix seront perdus dès que le noyau se chargera, vous obligeant à réamorcer +la machine avant de pouvoir débuter l'installation. +</para></warning> +</sect3> + +<sect3 arch="ia64" id="kernel-option-menu"> + <title>Sélection du noyau et des options</title> + +<para> + +Le programme d'amorçage affichera un formulaire avec une liste et une +fenêtre de texte avec une invite<classname>Boot:</classname>. Les touches +flèches sélectionnent un article du menu et tout texte entré au clavier +apparaîtra dans la fenêtre de texte. Il y a aussi des écrans d'aide qui +peuvent être affichés en appuyant sur la touche de fonction appropriée. +L'écran d'aide <classname>General</classname> explique les choix du menu et +l'écran <classname>Params</classname> expliquent les options communes de +la ligne de commande. + +</para> + +<para> + +Consultez l'écran d'aide <classname>General</classname> pour la description +des noyaux et des modes d'installation les plus appropriés pour votre +installation. Vous devriez aussi consulter <xref linkend="boot-parms"/> +plus bas pour tous les paramètres additionnels que vous voudriez régler dans +la fenêtre de texte <classname>Boot:</classname>. La version du noyau que vous +choisissez sélectionne la version du noyau qui sera utilisée tant pour le +processus d'installation que pour le système installé. Les deux prochaines +étapes sélectionneront et lanceront l'installation : + +</para> + +<itemizedlist> + +<listitem><para> +Sélectionnez avec les touches flèches la version du noyau et le mode +d'installation le plus approprié à vos besoins. +</para></listitem> + +<listitem><para> +Entrez les paramètres de démarrage au clavier. Le texte sera affiché +directement dans la fenêtre de texte. C'est là que les paramètres du noyau +sont spécifiés (tels que les réglages de la console série). +</para></listitem> + +<listitem><para> +Appuyez sur <command>ENTER</command>. Le noyau sera chargé. Il affichera les +messages d'initialisation usuels suivis par le premier écran de +l'installateur Debian. +</para></listitem> + +</itemizedlist> + +<para> + +Passez au prochain chapitre pour continuer l'installation. Là vous pourrez +régler la localisation, le réseau et les partitions des disques. + +</para> +</sect3> + </sect2> + +<sect2 arch="ia64" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> + +<para> + +Amorcer un système IA64 depuis le réseau est similaire à amorcer depuis un +cédérom. La seule différence est la manière dont le noyau est chargé. Le +gestionnaire d'amorçage EFI peut charger et lancer des programmes depuis un +serveur sur le réseau. Une fois que le noyau d'installation est chargé et +démarré, l'installation du système suivra les mêmes étapes que l'installation +depuis un cédérom avec pour seule exception que les paquets seront chargés +depuis le réseau plutôt que depuis le cédérom. + +</para> + +&boot-installer-intro-net.xml; + +<para> + +Amorcer un système ia64 depuis le réseau demande deux actions spécifiques à +l'architecture. Sur le serveur d'amorçage, DHCP et TFTP doivent être +configurés afin de distribuer <command>elilo</command>. Sur le client, une +nouvelle option d'amorçage doit être définie dans le gestionnaire d'amorçage +EFI afin de permettre le chargement via le réseau. + +</para> + + <sect3 arch="ia64" id="boot-tftp-server"> + <title>Configuration du serveur</title> + +<para> + +Une entrée TFTP convenable pour l'amorçage via le réseau ressemble à +ceci : + +<informalexample><screen> +host mcmuffin { + hardware ethernet 00:30:6e:1e:0e:83; + fixed-address 10.0.0.21; + filename "debian-installer/ia64/elilo.efi"; +} +</screen></informalexample> + +Notez que le but est d'obtenir que <command>elilo.efi</command> soit lancé +sur le client. + +</para><para> + +Extrayez le fichier <filename>netboot.tar.gz</filename> dans le répertoire +racine de votre serveur tftp. Typiquement, les répertoires racine du serveur +tftp incluent <filename>/var/lib/tftp</filename> et +<filename>/tftpboot</filename>. Cela créera un répertoire +<filename>debian-installer</filename> contenant les fichiers de démarrage +pour un système IA-64. + +</para><para> + + +<informalexample><screen> +# cd /var/lib/tftp +# tar xvfz /home/user/netboot.tar.gz +./ +./debian-installer/ +./debian-installer/ia64/ +[...] +</screen></informalexample> + +Le fichier <filename>netboot.tar.gz</filename> contient un fichier +<filename>elilo.conf</filename> qui devrait fonctionner avec la plupart des +configurations. Toutefois, si vous êtes amené à modifier ce fichier, vous +pouvez le trouver dans le répertoire +<filename>debian-installer/ia64/</filename>. + +Il est possible d'avoir des fichiers de configurations différents pour +différents clients en les nommant selon l'adresse IP du client en hexadécimal, +avec un suffixe <filename>.conf</filename>, à la place du fichier +<filename>elilo.conf</filename>. Pour plus de détails, voyez la documentation +fournie dans le paquet <classname>elilo</classname>. + +</para> + </sect3> + +<sect3 arch="ia64" id="boot-tftp-client"> + <title>Configuration du client</title> + +<para> + +Pour configurer le client et permettre le démarrage par TFTP, commencez par +amorcer EFI et entrez dans le menu <guimenu>Boot Option Maintenance</guimenu>. + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +Ajoutez une option de démarrage. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Vous devriez voir une ou plusieurs lignes contenant le texte +<guimenuitem>Load File [Acpi()/.../Mac()]</guimenuitem>. Si plus d'une de ces + entrées existent, choisissez celle contenant l'adresse MAC de l'interface +depuis laquelle vous allez amorcer. Utilisez les touches flèches pour mettre en +évidence votre choix, et ensuite appuyez sur entrée. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Nommez l'entrée <userinput>Netboot</userinput> ou quelque chose de semblable, +sauvegardez, et retournez au menu des options de démarrage. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + + +Vous devriez voir la nouvelle option de démarrage que vous venez de créer, et +en la sélectionnant, cela devrait amorcer une requête DHCP, menant au +chargement depuis le serveur via TFTP du fichier +<filename>elilo.efi</filename>. + +</para><para> + +Le programme d'amorçage affichera son invite dès qu'il aura téléchargé et +traité son fichier de configuration. À ce stade, l'installation commence avec +les mêmes étapes qu'une installation via cédérom. Sélectionnez une option de +démarrage comme ci-dessus et lorsque le noyau aura terminé de s'installer +depuis le réseau, il lancera l'installateur Debian. + +</para><para> + +Allez au prochain chapitre pour poursuivre l'installation. Là vous pourrez +régler la localisation, le réseau et les partitions des disques. + +</para> + </sect3> + </sect2> + + + + + + + + + + diff --git a/fr/boot-installer/intro-cd.xml b/fr/boot-installer/intro-cd.xml new file mode 100644 index 000000000..640e86163 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/intro-cd.xml @@ -0,0 +1,37 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + +<para> + +La manière la plus facile est d'utiliser +les cédéroms Debian. Si vous avez un jeu de cédéroms, et si votre machine peut +s'amorcer depuis un cédérom, ce sera parfait ! Il suffit +<phrase arch="i386"> de configurer votre système pour amorcer depuis +un cédérom, voyez la <xref linkend="boot-dev-select"/>, +</phrase> +de placer votre cédérom et de réamorcer. Vous pouvez continuer avec le +chapitre suivant. + +</para><para> + +Notez que certains lecteurs de cédéroms peuvent demander des pilotes +particuliers, et sont donc inaccessibles au tout début de l'installation. Si +cette façon d'installer, en amorçant depuis un cédérom échoue, veuillez +relire ce chapitre et la partie sur les autres noyaux et sur les autres +méthodes d'installation possibles. + +</para><para> + +Même si vous ne pouvez amorcer depuis un cédérom, vous pouvez probablement +installer les composants du système Debian ou des paquets à partir du cédérom. +Amorcez simplement à partir d'un autre support, comme les disquettes. +Lorsqu'arrivera le moment d'installer le système d'exploitation, le système +de base et les paquets, faites pointer le système d'installation sur le +lecteur de cédérom. + +</para><para> + +Si vous avez des problèmes lors de l'amorçage, voyez la +<xref linkend="boot-troubleshooting"/>. + +</para> diff --git a/fr/boot-installer/intro-hd.xml b/fr/boot-installer/intro-hd.xml new file mode 100644 index 000000000..26fb07632 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/intro-hd.xml @@ -0,0 +1,18 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<para> + +Dans certains cas, vous pourriez avoir envie de démarrer le + système à partir d'un autre système d'exploitation + existant. Sur certains systèmes, c'est même la seule méthode + d'installation. + +</para><para> + +Pour amorcer l'installateur depuis un disque dur, vous + devrez avoir déjà téléchargé complètement et déposé les + fichiers nécessaires dans : +<xref linkend="boot-drive-files"/>. + +</para> diff --git a/fr/boot-installer/intro-net.xml b/fr/boot-installer/intro-net.xml new file mode 100644 index 000000000..89a7147b3 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/intro-net.xml @@ -0,0 +1,19 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + +<para> + + Pour amorcer depuis le réseau, il vous faut une connection au réseau et +un serveur TFTP réseau (DHCP, RARP, or BOOTP). + +</para><para arch="hppa"> + +Les vieux systèmes comme le 715 peuvent demander l'utilisation d'un serveur +RBOOT à la place d'un serveur BOOTP. + +</para><para> + +La méthode d'installation avec amorçage depuis TFTP est décrite dans : +<xref linkend="install-tftp"/>. + +</para> diff --git a/fr/boot-installer/m68k.xml b/fr/boot-installer/m68k.xml new file mode 100644 index 000000000..248a366d8 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/m68k.xml @@ -0,0 +1,330 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30283 --> + +<sect2 arch="m68k"><title>Choisir une méthode d'installation</title> + +<para> +Certaines sous-architectures de &arch-title; peuvent être amorcées avec +un noyau linux de la série 2.2.x ou un noyau de la série 2.4.x. Quand ce choix +existe, essayez la série 2.4.x. L'installateur demande moins de mémoire avec +un noyau de la série 2.4.x et il utilise tmpfs. Un noyau de la série 2.2.x +demande un disque virtuel de taille fixe. +</para> +<para condition="etch"> +Si vous utilisez un noyau de la série 2.2.x, vous devez utiliser +le paramètre du noyau &ramdisksize;. +</para> +<para condition="sarge"> +Si vous utilisez un noyau de la série 2.2.x, vous devez utiliser +un disque virtuel qui correspond à ce noyau ; voyez +<ulink url="&disturl;/main/installer-&architecture;/current/images/MANIFEST">MANIFEST</ulink>. +Cela veut dire que vous devez utiliser le fichier initrd22.gz. +</para> + +<para> +Assurez-vous que vous avez bien passé le paramètre +<userinput>root=/dev/ram</userinput> au noyau. +</para> +<para> +En cas de problèmes, consultez +<ulink url="&url-m68k-cts-faq;">cts's &arch-title; debian-installer FAQ</ulink>. +</para> + +<itemizedlist> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boot-amiga"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boot-amiga"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boot-atari"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boot-bvme6000"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boot-mac"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boot-mvme"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boot-q40"/></para></listitem> +</itemizedlist> + +<sect3 id="m68k-boot-amiga"><title>Amiga</title> +<para> + +La seule méthode possible pour amorcer un Amiga est d'utiliser un disque +dur (voyez <xref linkend="m68k-boot-hd"/>). +<emphasis>Autrement dit, le cédérom n'est pas amorçable.</emphasis> +</para> +<para> +Amiga ne fonctionne pas avec bogl, et si vous voyez des erreurs venant de +bogl, vous devez passer le paramètre suivant au noyau, +<userinput>debian-installer/framebuffer=false</userinput>. +</para> +</sect3> + +<sect3 id="m68k-boot-atari"><title>Atari</title> +<para> +Avec Atari, vous pouvez lancer l'installateur soit à partir d'un disque dur +(voyez <xref linkend="m68k-boot-hd"/>) soit à partir de disquettes (voyez +<xref linkend="boot-from-floppies"/>). +<emphasis>Autrement dit, le cédérom n'est pas amorçable.</emphasis> +</para> +<para> +Atari ne fonctionne pas avec bogl, et si vous voyez des erreurs venant de +bogl, vous devez passer le paramètre suivant au noyau, +<userinput>debian-installer/framebuffer=false</userinput>. +</para> +</sect3> + +<sect3 id="m68k-boot-bvme6000"><title>BVME6000</title> +<para> + +L'installateur pour BVME6000 peut être lancé à partir d'un cédérom +(voyez <xref linkend="m68k-boot-cdrom"/>), de disquettes (voyez +<xref linkend="boot-from-floppies"/>) ou à partir du réseau (voyez +<xref linkend="boot-tftp"/>). +</para> +</sect3> + +<sect3 id="m68k-boot-mac"><title>Macintosh</title> +<para> + +Le seule méthode d'installation possible pour un mac est d'utiliser un +disque dur (voyez<xref linkend="m68k-boot-hd"/>). +<emphasis>Autrement dit, le cédérom n'est pas amorçable.</emphasis> +Il n'y a pas de noyau 2.4.x pour les Macs. +</para> +<para> +Si votre matériel utilise un bus scsi de type 53c9x, vous devrez sans doute +inclure le paramètre <userinput>mac53c9x=1,0</userinput>. Si votre matériel +utilise deux bus scsi, par exemple Quadra 950, vous devrez inclure le +paramètre <userinput>mac53c9x=2,0</userinput>. Vous pouvez aussi indiquer +<userinput>mac53c9x=-1,0</userinput>, ce qui conserve la détection automatique mais +désactive la fonction SCSI de déconnexion. Ce paramètre n'est pas nécessaire si vous +n'avez qu'un seul disque. Le système ira plus vite si vous ne l'utilisez pas. + +</para> +</sect3> + +<sect3 id="m68k-boot-mvme"><title>MVME147 et MVME16x</title> +<para> + +L'installateur pour MVME147 et MVME16x peut être lancé à partir de disquettes +(voyez <xref linkend="boot-from-floppies"/>) ou partir du réseau (voyez +<xref linkend="boot-tftp"/>). +<emphasis>Autrement dit, le cédérom n'est pas amorçable.</emphasis> +</para> +</sect3> + +<sect3 id="m68k-boot-q40"><title>Q40/Q60</title> +<para> + +Le seule méthode d'installation possible pour un Q40/Q60 est d'utiliser un +disque dur (voyez<xref linkend="m68k-boot-hd"/>). +<emphasis>Autrement dit, le cédérom n'est pas amorçable.</emphasis> +</para> +</sect3> + + </sect2> + + <sect2 arch="m68k" id="m68k-boot-hd"><title>Amorcer depuis un disque dur</title> + +&boot-installer-intro-hd.xml; + +<para> +On peut utiliser au moins six disques virtuels différents pour amorcer depuis +un disque dur : trois types, chacun avec ou sans le noyau de la série +2.2.x +(voyez <ulink url="&disturl;/main/installer-&architecture;/cur\rent/images/MANIFEST">MANIFEST</ulink> pour des précisions). +</para> +<para> +Les trois types de disques virtuels sont <filename>cdrom</filename>, +<filename>hd-media</filename> et <filename>nativehd</filename>. Ces disques +diffèrent seulement par la source où ils prennent les paquets de +l'installation. Le disque <filename>cdrom</filename> utilise un cédérom pour +obtenir les paquets de l'installateur. Le disque <filename>hd-media</filename> +utilise une image iso de cédérom qui se trouve sur le disque dur. Et le disque +<filename>nativehd</filename> utilise le réseau pour installer les paquets. +</para> + +<itemizedlist> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boothd-amiga"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boothd-atari"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boothd-mac"/></para></listitem> + <listitem><para><xref linkend="m68k-boothd-q40"/></para></listitem> +</itemizedlist> + +<sect3 id="m68k-boothd-amiga"><title>Amorcer sur AmigaOS</title> +<para> + +Dans le <command>Workbench</command>, lancez le processus d'installation de Linux en cliquant deux fois sur l'icône <guiicon>StartInstall</guiicon> dans le +répertoire <filename>debian</filename>. + +</para><para> + +Vous devrez sans doute enfoncer deux fois la touche &enterkey; après que le +programme d'installation d'Amiga aura affiché des informations de débogage +dans une fenêtre. Après cela, l'écran deviendra gris, il faudra attendre +quelques secondes, puis un écran noir avec du texte en blanc devrait +apparaître et afficher toutes sortes d'informations de débogage du noyau. +Ces messages pourraient défiler trop vite pour pouvoir être lus, mais ce +n'est pas grave. Après quelques secondes, le programme d'installation devrait +démarrer automatiquement et vous pourrez poursuivre avec la section +<xref linkend="d-i-intro"/>. + +</para> + </sect3> + + + <sect3 id="m68k-boothd-atari"><title>Amorcer sur Atari TOS</title> +<para> + +Sur le bureau GEM, lancez le processus d'installation en cliquant deux fois +sur l'icône <guiicon>bootstra.prg</guiicon> dans le répertoire +<filename>debian</filename> et en cliquant sur <guibutton>Ok</guibutton> dans +la boîte de dialogue d'options. + +</para> +<para> + +Vous devrez sans doute enfoncer la touche &enterkey; après que le programme +d'installation d'Atari aura affiché des informations de débogage dans une +fenêtre. Après cela, l'écran deviendra gris, il faudra attendre quelques +secondes, puis un écran noir avec du texte en blanc devrait apparaître et +afficher toutes sortes d'informations de débogage du noyau. Ces messages +pourraient défiler trop vite pour pouvoir être lus, mais ce n'est pas grave. +Après quelques secondes, le programme d'installation devrait démarrer +automatiquement et vous pourrez continuer avec la section +<xref linkend="d-i-intro"/>. + +</para> +</sect3> + + + <sect3 id="m68k-boothd-mac"><title>Amorcer sur MacOS</title> +<para> +Vous devez garder le système original Mac et amorcer avec lui. Il est +<emphasis>essentiel</emphasis>, lorsque vous lancez MacOS pour amorcer le +programme Penguin linux, que vous teniez la touche <keycap>shift</keycap> +enfoncée pour empêcher le chargement d'extensions. Si vous n'utilisez MacOS +que pour charger linux, vous pouvez arriver au même résultat en supprimant +toutes les extensions et les panneaux de contrôle dans le dossier System de +Mac. Sinon des extensions peuvent s'exécuter et empécher le bon fonctionnement du noyau linux. +</para> +<para> +Les Mac demandent le programme d'amorçage <command>Penguin</command>. Si vous +n'avez pas les outils pour gérer une archive <command>Stuffit</command>, +&penguin19.hfs; est une image disque hfs qui contient un +<command>Penguin</command> décompressé. La section <xref linkend="create-floppy"/> explique comment copier cette image sur une disquette. +</para> +<para> +Sur le bureau MacOS, lancez le processus d'installation de +Linux en cliquant deux foix sur l'icône <guiicon>Penguin Prefs</guiicon> +dans le dossier <filename>Penguin</filename>. Le programme +<command>Penguin</command> va s'exécuter. Allez dans +<guimenuitem>Settings</guimenuitem>, dans le menu +<guimenu>File</guimenu>, cliquez sur <guilabel>Kernel</guilabel>. +Sélectionnez le noyau (<filename>vmlinuz</filename>) et le disque virtuel +(<filename>initrd.gz</filename>) dans le répertoire +<filename>install</filename> en cliquant sur les boutons correspondant dans +le coin supérieur droit et en se déplaçant dans les dialogues de choix de +fichier afin de trouver les fichiers. +</para> +<para> +Pour indiquer les paramètres dans Penguin, choisissez +<guimenu>File</guimenu> -> <guimenuitem>Settings...</guimenuitem>, et +passez sur <guilabel>Options</guilabel>. On peut saisir les paramètres +dans la zone de texte. Si vous voulez conserver ces paramètres, choisissez +<guimenu>File</guimenu> -> <guimenuitem>Save Settings as Default</guimenuitem>. +</para> +<para> +Fermez la boite de dialogue <guilabel>Settings</guilabel>, sauvegardez vos +paramètres et lancez l'amorçage avec l'élément <guimenuitem>Boot Now</guimenuitem> du menu <guimenu>File</guimenu>. +</para> + +<para> +Le programme <command>Penguin</command> affichera quelques infos de débogage +dans une fenêtre. Après cela, l'écran deviendra gris et il y aura une pause +de quelques secondes. Ensuite, un écran noir avec du texte blanc devrait +apparaître et afficher de informations de débogage du noyau. Ces messages +pourraient défiler trop vite pour que vous ayez le temps de les lire. Ce +n'est pas grave. Après quelques secondes, le programme d'installation devrait +démarrer automatiquement, et vous pouvez continuer avec la section +<xref linkend="d-i-intro"/>. + +</para> + +</sect3> + +<sect3 id="m68k-boothd-q40"><title>Amorcer avec Q40/Q60</title> + + +<para> +FIXME +</para> +<para> +Le programme d'installation devrait se lancer automatiquement. Vous pouvez +continuer avec <xref linkend="d-i-intro"/>. +</para> +</sect3> +</sect2> + + + <sect2 arch="m68k" id="m68k-boot-cdrom"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> +<para> +La seule sous-architecture de &arch-title; qui peut s'amorcer à partir d'in +cédérom est BVME6000. +</para> + +&boot-installer-intro-cd.xml; +</sect2> + + +<sect2 arch="m68k" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> + +&boot-installer-intro-net.xml; + +<para> +Après l'amorçage des systèmes VMEbus, vous aurez l'invite LILO : +<prompt>Boot:</prompt>. Tapez l'un des arguments suivants pour amorcer Linux +et commencer l'installation dans de bonnes conditions, en utilisant +l'émulation du terminal vt102 : + +<!-- Because the &enterkey; definition uses <keycap>, --> +<!-- we use <screen> instead of <userinput> in this list --> + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +tapez <screen>i6000 &enterkey;</screen> pour l'installation BVME4000/6000 + +</para></listitem> +<listitem><para> + +tapez <screen>i162 &enterkey;</screen> pour l'installation MVME162 + +</para></listitem> +<listitem><para> + +tapez <screen>i167 &enterkey;</screen> pour l'installation MVME166/167 + +</para></listitem> + </itemizedlist> + +</para><para> + +Vous pouvez aussi ajouter la chaîne <screen>TERM=vt100</screen> pour utiliser +une émulation du terminal vt100, par exemple, +<screen>i6000 TERM=vt100 &enterkey;</screen>. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="m68k" id="boot-from-floppies"> + <title>Amorcer depuis des disquettes</title> +<para> + +La méthode recommandée pour la plupart des architectures &arch-title; est +d'amorcer depuis un système de fichiers local. + +</para><para> + +Amorcer depuis la disquette de secours n'est possible qu'avec Atari et VME +(avec le lecteur de disquettes SCSI pour les VME). + +</para> + </sect2> + diff --git a/fr/boot-installer/mips.xml b/fr/boot-installer/mips.xml new file mode 100644 index 000000000..d7897f036 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/mips.xml @@ -0,0 +1,91 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24663 --> + + <sect2 arch="mips" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> + +<sect3><title>Amorcer avec TFTP les SGI Indy</title> +<para> +Une fois entré dans le moniteur de commandes, utilisez + +<informalexample><screen> +bootp(): +</screen></informalexample> + +sur les stations SGI Indy pour amorcer Linux et commencer l'installation de +Debian. Pour ce faire, il sera peut-être nécessaire de déconfigurer la +variable d'environnement <envar>netaddr</envar>. Tapez : + +<informalexample><screen> +unsetenv netaddr +</screen></informalexample> +dans le moniteur de commandes. + +</para> +</sect3> + +<sect3> + <title>Amorcer avec TFTP la carte Broadcom BCM91250A</title> +<para> + +Avec la carte d'évaluation Broadcom BCM91250A, vous devez charger via TFTP +le programme d'amorçage SiByl, lequel chargera et lancera l'installateur +Debian. Dans la plupart des cas vous obtiendrez une adresse IP par DHCP, mais +il est aussi possible d'indiquer une adresse fixe. Pour utiliser DHCP, il +suffit d'entrer la commande suivante à l'invite CFE : + +<informalexample><screen> +ifconfig eth0 -auto +</screen></informalexample> + +Une fois l'adresse obtenue, vous pouvez charger SiByl avec la commande +suivante : + +<informalexample><screen> +boot 192.168.1.1:/boot/sibyl +</screen></informalexample> + +Vous devez changer l'adresse donnée dans l'exemple et indiquer soit le nom soit +l'adresse de votre serveur TFTP. Une fois cette commande exécutée, +l'installateur sera automatiquement chargé. +</para> +</sect3> +</sect2> + + <sect2 arch="mips"><title>Paramètres d'amorçage</title> + +<sect3> +<title>Amorcer avec TFTP les SGI Indy</title> +<para> +Sur les SGI Indy, vous pouvez ajouter des paramètres d'amorçage après la +commande <command>bootp():</command> dans le moniteur de commandes. + +</para><para> + +Après la commande <command>bootp():</command>, vous pouvez ajouter le chemin +et le nom du fichier à amorcer si vous ne donnez pas un nom explicite via +votre serveur BOOTP/DHCP. Par exemple : + +<informalexample><screen> +bootp():/boot/tftpboot.img +</screen></informalexample> + +Vous pouvez passer d'autres paramètres au noyau avec la commande +<command>append</command> : + +<informalexample><screen> +bootp(): append="root=/dev/sda1" +</screen></informalexample> +</para> + </sect3> + +<sect3> + <title>Amorcer avec TFTP la carte Broadcom BCM91250A</title> +<para> +Vous ne pouvez pas indiquer des paramètres d'amorçage à l'invite CFE. +Vous devez modifier le fichier <filename>/boot/sibyl.conf</filename> sur le +serveur TFTP et mettre vos paramètres dans la variable +<replaceable>extra_args</replaceable>. +</para> +</sect3> + +</sect2> diff --git a/fr/boot-installer/mipsel.xml b/fr/boot-installer/mipsel.xml new file mode 100644 index 000000000..f8fd64c01 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/mipsel.xml @@ -0,0 +1,12 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24701 --> + + <sect2 arch="mipsel"> + <title></title> +<para> + +<!-- Placeholder document; please write and include in + boot-installer.xml and build/templates/docstruct.ent --> + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/parameters.xml b/fr/boot-installer/parameters.xml new file mode 100644 index 000000000..5ebeb63d3 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/parameters.xml @@ -0,0 +1,358 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30084 --> + + <sect1 id="boot-parms"><title>Paramètres d'amorçage</title> +<para> + +Les paramètres d'amorçage sont des paramètres passés au noyau Linux pour +s'assurer que les périphériques seront correctement pris en compte. Dans la +plupart des cas le noyau détecte les périphériques, mais parfois vous devez +l'aider un peu. + +</para><para> + +Si c'est la première fois que vous démarrez le système, essayez les paramètres +par défaut ; autrement dit, ne donnez pas de paramètre et vérifiez que +cela fonctionne correctement. Ce devrait être le cas. Sinon, vous pouvez +redémarrer et donner les paramètres nécessaires à votre matériel. + +</para><para> + +Toutes les informations nécessaires sur les paramètres +d'amorçage sont disponibles dans le +<ulink url="http://www.tldp.org/HOWTO/BootPrompt-HOWTO.html">HOWTO Linux BootPrompt</ulink> ; +la présente section contient seulement un résumé des paramètres les +plus utilisés. Certains <quote>trucs</quote> sont donnés dans la +<xref linkend="boot-troubleshooting"/>. + +</para><para> + +Lorsque le noyau démarre, un message + +<informalexample><screen> +Memory:<replaceable>avail</replaceable>k/<replaceable>total</replaceable>k available +</screen></informalexample> + +doit être affiché assez tôt durant le processus. +<replaceable>Total</replaceable> doit correspondre à la quantité de mémoire +vive (exprimée en kilo-octets) que contient votre machine. Si la quantité de +mémoire vive détectée ne correspond pas à la quantité de mémoire de votre +machine, vous devrez utiliser le paramètre +<userinput>mem=<replaceable>ram</replaceable></userinput>, où +<replaceable>ram</replaceable> est la taille mémoire de votre machine, suivie +par <quote>k</quote> pour kilo-octets ou <quote>m</quote> pour méga-octets. Par +exemple, <userinput>mem=65536k</userinput> et <userinput>mem=64m</userinput> +sont équivalents pour forcer l'utilisation de 64 Mo de mémoire vive. +</para> + +<para condition="supports-serial-console"> + +Si vous démarrez avec la console série, le noyau la +détecte automatiquement<phrase arch="mipsel"> (sauf pour les DECstations)</phrase>. +Si une carte vidéo (« framebuffer ») et un clavier sont également +connectés à l'ordinateur que vous voulez démarrer à l'aide de la console +série, vous devrez peut-être passer l'option +<userinput>console=<replaceable>device</replaceable></userinput> au noyau, où +<replaceable>device</replaceable> est votre interface série, c'est-à-dire +quelque chose comme <filename>ttyS0</filename>. + </para> + +<para arch="sparc"> +Pour &arch-title;, les interfaces série sont <filename>ttya</filename> ou +<filename>ttyb</filename>. Alternativement, mettez les + variables OpenPROM <envar>input-device</envar> et +<envar>output-device</envar> à <filename>ttya</filename>. +</para> + + + <sect2 id="installer-args"><title>Paramètres pour l'installateur Debian</title> +<para> + +Le système d'installation reconnaît des paramètres d'amorçage <footnote> + +<para> +Il faut savoir que le noyau accepte un maximum de huit options ligne de +de commandes et huit variables d'environnement. Et les options ajoutées +par l'installateur sont comprises dans ces chiffres. S'il y a dépassement, +les noyaux 2.4 ignorent les options en trop et les noyaux 2.6 paniquent. +<phrase condition="etch">À partir des noyaux de la série 2.6.9, on peut utiliser +32 options sur la ligne de commande et 32 options d'environnement.</phrase> + +</para></footnote> + +qui peuvent être utiles. + +</para> + +<variablelist> +<varlistentry> +<term>debconf/priority</term> +<listitem><para> + +Ce paramètre sert à déclarer le niveau de la priorité à partir de laquelle +les messages seront affichés. + +</para><para> + +Dans l'installation par défaut, ce paramètre est égal à +<userinput>debconf/priority=high</userinput>. Cela signifie que les messages +avec des priorités <quote>high</quote> et <quote>critical</quote> seront +affichés, mais non les messages avec des priorités <quote>medium</quote> et +<quote>low</quote>. Si des problèmes apparaissent, l'installateur fixe la +priorité comme il est nécessaire. + +</para><para> + +Si vous ajoutez le paramètre <userinput>debconf/priority=medium</userinput> +au démarrage, vous obtiendrez le menu d'installation et un contrôle plus fin +du processus d'installation. Si vous ajoutez +<userinput>debconf/priority=low</userinput>, tous les messages seront affichés, +c'est l'équivalent de la méthode de démarrage <emphasis>expert</emphasis>. +Si vous utilisez <userinput>debconf/priority=critical</userinput>, seuls les +messages critiques seront affichés et l'installateur fera ce qu'il faut pour +tout faire correctement. + +</para></listitem> +</varlistentry> + + +<varlistentry> +<term>DEBIAN_FRONTEND</term> +<listitem><para> + +Ce paramètre contrôle le type d'interface qu'utilisera l'installateur. +Voici les valeurs possibles actuellement : + +<itemizedlist> +<listitem> +<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=noninteractive</userinput></para> +</listitem><listitem> +<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=text</userinput></para> +</listitem><listitem> +<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=newt</userinput></para> +</listitem><listitem> +<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=slang</userinput></para> +</listitem><listitem> +<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=ncurses</userinput></para> +</listitem><listitem> +<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=bogl</userinput></para> +</listitem><listitem> +<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=gtk</userinput></para> +</listitem><listitem> +<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=corba</userinput></para> +</listitem> +</itemizedlist> + +L'interface par défaut est <userinput>DEBIAN_FRONTEND=newt</userinput>. +<userinput>DEBIAN_FRONTEND=text</userinput> est peut-être préférable pour les +installations avec une console série. Les autres interfaces ne sont pas +disponibles sur les supports d'installation, et ne sont pas utiles pour +l'instant. + +</para></listitem> +</varlistentry> + + +<varlistentry> +<term>BOOT_DEBUG</term> +<listitem><para> + +Si l'on donne la valeur 2 à ce paramètre, le processus d'amorçage de l'installateur sera +enregistré avec beaucoup de détails dans les journaux du démarrage. Si l'on donne la valeur 3, +des interpréteurs seront disponibles à des endroits stratégiques du processus d'amorçage. +Il faut quitter (exit) les interpréteurs pour revenir au processus d'amorçage. + +<variablelist> +<varlistentry> +<term><userinput>BOOT_DEBUG=0</userinput></term> +<listitem><para>valeur par défaut.</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term><userinput>BOOT_DEBUG=1</userinput></term> +<listitem><para>Un peu plus bavard qu'habituellement.</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term><userinput>BOOT_DEBUG=2</userinput></term> +<listitem><para>Beaucoup d'informations.</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term><userinput>BOOT_DEBUG=3</userinput></term> +<listitem><para> + +À certains moments du processus de démarrage, un shell est exécuté pour +permettre un débogage approfondi. Quittez le shell pour revenir au processus +de démarrage. + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +</para></listitem> +</varlistentry> + + +<varlistentry> +<term>INSTALL_MEDIA_DEV</term> +<listitem><para> + +La valeur de ce paramètre donne l'adresse du périphérique sur lequel se +trouve l'installateur Debian. +Par exemple, +<userinput>INSTALL_MEDIA_DEV=/dev/floppy/0</userinput> + +</para><para> + + +La disquette de démarrage recherche la disquette racine sur toutes les +disquettes et sur toutes les clés USB. Grâce à ce paramètre, on peut limiter +cette recherche à un seul périphérique. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>debian-installer/framebuffer</term> +<listitem><para> + +Certaines architectures utilisent le tampon vidéo du noyau afin d'offrir +l'installation en plusieurs langues. Si le tampon vidéo provoque des +problèmes sur votre système, vous pouvez utiliser le paramètre +<userinput>debian-installer/framebuffer=false</userinput> pour le désactiver. +Les symptômes de ce problème sont des messages d'erreur au sujet de bterm ou +bogl, un écran noir, ou un blocage quelques minutes après le début de +l'installation. + +</para><para arch="i386"> + +Le paramètre <userinput>video=vga16:off</userinput> peut être utilisé pour +désactiver le tampon video. Des problèmes semblables ont +été rencontrés sur un Dell Inspiron avec la carte graphique Radeon Mobile. + +</para><para arch="m68k"> + +Des problèmes semblables ont été rencontrés sur les Amiga 1200 et SE/30. + +</para><para arch="hppa"> + +Des problèmes semblables ont été rencontrés sur les hppa. + +</para><note arch="sparc"><para> + +La gestion du tampon video est <emphasis>désactivé par défaut</emphasis> +sur &arch-title; à cause de problèmes d'affichage sur certains systèmes. +Cela provoque un affichage très laid sur des systèmes qui gèrent correctement +le tampon video, comme les systèmes avec des cartes graphiques ATI. +Si vous rencontrez des problèmes d'affichage avec l'installateur, vous +pouvez amorcer avec le paramètre +<userinput>debian-installer/framebuffer=true</userinput>. + +</para></note></listitem> + +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>debian-installer/probe/usb</term> +<listitem><para> + +On peut empêcher la recherche de périphériques USB avec le paramètre +<userinput>debian-installer/probe/usb=false</userinput>. + + </para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>netcfg/disable_dhcp</term> +<listitem><para> + +L'installateur Debian recherche automatiquement la configuration du réseau +avec DHCP. Si la +recherche réussit, vous n'aurez plus la possibilité de vérifier et de modifier +les valeurs obtenues. Vous pouvez obtenir la configuration manuelle du réseau +que si la recherche avec DHCP a échoué. + </para> +<para> + +S'il y a un serveur DHCP sur votre réseau local et si vous voulez l'ignorer +parce qu'il donne, par exemple, des valeurs fausses, vous pouvez utiliser le +paramètre <userinput>netcfg/disable_dhcp=true</userinput> pour le désactiver et +indiquer vous-même les valeurs. + </para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>hw-detect/start_pcmcia</term> +<listitem><para> + +Fixez ce paramètre à <userinput>false</userinput> pour empêcher de démarrer +les services PCMCIA. Certains portables connaissent des problèmes avec les +PCMCIA. + </para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>preseed/url</term> +<listitem><para> + +Indique le chemin du fichier de préconfiguration à télécharger pour +automatiser l'installation. Voyez la <xref linkend="automatic-install"/>. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>preseed/file</term> +<listitem><para> + +Indique l'URL d'un fichier de préconfiguration à utiliser pour +automatiser l'installation. Voyez la <xref linkend="automatic-install"/>. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="etch"> +<term>cdrom-detect/eject</term> +<listitem><para> + +By default, before rebooting, &d-i; automatically ejects the optical +media used during the installation. This can be unnecessary if the system +does not automatically boot off the CD. In some cases it may even be +undesirable, for example if the optical drive cannot reinsert the media +itself and the user is not there to do it manually. Many slot loading, +slim-line, and caddy style drives cannot reload media automatically. + +</para><para> + +Set to <userinput>false</userinput> to disable automatic ejection, and +be aware that you may need to ensure that the system does not +automatically boot from the optical drive after the initial +installation. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>ramdisk_size</term> +<listitem><para> + +Si vous utilisez un noyau de la série 2.2.x, vous aurez besoin de +déclarer &ramdisksize;. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="etch"> +<term>rescue/enable</term> +<listitem><para> + +Mettez ce paramètre à <userinput>true</userinput> pour entrer dans le mode de secours +au lieu de faire une installation normale. Voyez <xref linkend="rescue"/>. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +</variablelist> + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/boot-installer/powerpc.xml b/fr/boot-installer/powerpc.xml new file mode 100644 index 000000000..3fc4c9bb9 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/powerpc.xml @@ -0,0 +1,248 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-15"?> +<!-- original version: 28672 --> + + + <sect2 arch="powerpc" id="boot-cd"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> + +&boot-installer-intro-cd.xml; + +<para> + +Aujourd'hui, les seules sous-architectures &arch-title; qui peuvent +s'amorcer depuis un cédérom sont les PReP et les PowerMac NewWorld. Sur les +PowerMac, appuyez sur la touche +<keycap>c</keycap>, ou bien la combinaison des touches +<keycap>Command</keycap>, <keycap>Option</keycap>, +<keycap>Shift</keycap>, and <keycap>Delete</keycap> +lors du démarrage pour amorcer sur le cédérom. + +</para><para> + +Les OldWorld Powermac ne s'amorceront pas depuis un cédérom Debian, car les +ordinateurs OldWorld ont besoin d'un pilote de cédérom Mac OS ROM sur le +cédérom, et une version libre de ce pilote n'est pas disponible. Tous les +systèmes OldWorld possèdent un lecteur de disquettes, vous devrez par +conséquent l'utiliser pour lancer le programme d'installation, et ensuite +indiquer à ce programme d'utiliser le cédérom. + +</para><para> + +Si votre système ne s'amorce pas à partir d'un cédérom, vous pouvez quand +même l'utiliser pour installer votre système. Sur les machines NewWorld, vous +pouvez aussi utiliser une commande du microprogramme pour amorcer le cédérom +manuellement. Suivez les instructions de <xref linkend="boot-newworld"/> pour +amorcer depuis le disque dur à l'exception de l'utilisation du chemin vers +<command>yaboot</command> sur le cédérom à l'invite de OF, comme : + +<informalexample><screen> + +0 > boot cd:,\install\yaboot + +</screen></informalexample> +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="powerpc" id="install-drive"> + <title>Amorcer à partir d'un disque dur</title> + +&boot-installer-intro-hd.xml; + + <sect3><title>Amorcer CHRP à partir d'OpenFirmware</title> + +<para> + + <emphasis>Pas encore écrit</emphasis> + +</para> + </sect3> + + <sect3><title>Amorcer les PowerMAC OldWorld à partir de MacOS</title> +<para> + +Si vous configurez BootX dans <xref linkend="files-oldworld"/>, vous pouvez +l'utiliser pour amorcer le système d'installation. Cliquez deux fois sur +l'icône de l'application <guiicon>BootX</guiicon>. Cliquez sur le bouton de +l'option <guibutton>Options</guibutton> et sélectionnez +<guilabel>Utiliser le disque virtuel spécifié</guilabel>. Cela vous laissera +la possibilité de sélectionner le fichier +<filename>ramdisk.image.gz</filename>. +Il se peut que, suivant votre matériel, vous ayez à sélectionner +l'option <guilabel>No Video Driver</guilabel>. Ensuite, cliquez sur le bouton +<guibutton>Linux</guibutton> pour éteindre MacOS et lancer l'installateur. + +</para> + </sect3> + + + <sect3 id="boot-newworld"> + <title>Amorcer les Mac NewWorld depuis OpenFirmware</title> +<para> + +Vous devez déjà avoir placé les fichiers <filename>vmlinux</filename>, +<filename>initrd.gz</filename>, <filename>yaboot</filename> et +<filename>yaboot.conf</filename> à la racine de votre partition HFS dans +<xref linkend="files-newworld"/>. +Redémarrez votre ordinateur et immédiatement après le carillon, +appuyez simultanément sur les touches <keycap>Option</keycap>, +<keycap>Command (touche trèfle/Apple)</keycap>, <keycap>o</keycap> et +<keycap>f</keycap>. Vous aurez l'invite du microprogramme OpenFirmware au +bout de quelques secondes : + +<informalexample><screen> + +0 > boot hd:<replaceable>x</replaceable>,yaboot + +</screen></informalexample> + +en remplaçant <replaceable>x</replaceable> par la numéro de la partition HFS +où se trouvent le noyau et les fichiers de yaboot, le tout suivi + par &enterkey;. Sur certaines machines, vous devrez utiliser +<userinput>ide0:</userinput> à la place de <userinput>hd:</userinput>. Après +quelques secondes, vous devriez voir apparaître l'invite de yaboot. + +<informalexample><screen> + +boot: + +</screen></informalexample> + +À l'invite <prompt>boot:</prompt>, saisissez soit +<userinput>install</userinput> soit <userinput>install video=ofonly</userinput> +suivi de &enterkey;.. Le paramètre <userinput>video=ofonly</userinput> offre +une compatibilité maximale ; vous pouvez l'essayer si l'argument +<userinput>install</userinput> échoue. L'installateur Debian devrait démarrer. + +</para> + </sect3> + </sect2> + +<sect2 arch="powerpc" id="usb-boot"> +<title>Amorcer sur une clé USB</title> +<para> + +Les systèmes NewWorld PowerMac peuvent s'amorcer sur un périphérique USB. +</para> +<para> +Préparez tout suivant <xref linkend="boot-usb-files"/>. Pour amorcer un +système Macintosh sur une clé USB, vous devez utiliser l'invite +du microprogramme Open Firmware car celui-ci ne recherche pas automatiquement +les périphériques USB. +<!-- TODO: although it could be made to; watch this space --> +Pour obtenir l'invite, appuyez simultanément sur les touches +<keycombo><keycap>Command</keycap> <keycap>Option</keycap> +<keycap>o</keycap> <keycap>f</keycap></keycombo> lors de l'amorçage, voyez +<xref linkend="invoking-openfirmware"/>. +</para> + +<para> +Vous devez chercher où se trouve le périphérique USB dans l'arborescence car +pour l'instant <command>ofpath</command> ne peut pas le trouver +automatiquement. Saisissez, à l'invite du microprogramme, +<userinput>dev / ls</userinput> et <userinput>devalias</userinput> pour obtenir +une liste des périphériques connus et de leurs alias. Sur le système de +l'auteur, de telles adresses existent, <filename>usb0/disk</filename>, +<filename>usb0/hub/disk</filename>, +<filename>/pci@f2000000/usb@1b,1/disk@1</filename>, et +<filename>/pci@f2000000/usb@1b,1/hub@1/disk@1</filename>. +</para> +<para> + +Quand vous connaissez l'adresse du périphérique, amorcez l'installateur +comme suit : + +<informalexample><screen> +boot <replaceable>usb0/disk</replaceable>:<replaceable>2</replaceable>,\\:tbxi +</screen></informalexample> + +Le <replaceable>2</replaceable> signifie la partition Apple_HFS ou +Apple_Bootstrap sur laquelle vous avez copié l'image d'amorçage, et +le <userinput>,\\:tbxi</userinput> demande au microprogramme d'amorcer sur +un fichier HFS de type "tbxi" (<command>yaboot</command>) qui se trouve dans +le répertoire préalablement préparé avec <command>hattrib -b</command>. +</para> +<para> +Le système devrait s'amorcer et vous devriez voir une invite +<prompt>boot:</prompt>. Vous pouvez saisir des paramètres d'amorçage, ou +appuyer simplement sur &enterkey;. +</para> +<warning><para> +Cette méthode est nouvelle. Il se peut qu'elle soit difficile à mettre en +œuvre sur des systèmes NewWorld. Si vous rencontrez des problèmes, +envoyez un rapport de bogue. Voyez <xref linkend="submit-bug"/>. +</para></warning> +</sect2> + +<sect2 arch="powerpc" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> + +&boot-installer-intro-net.xml; + +<para> + +Aujourd'hui, les systèmes PReP et PowerMac NewWorld peuvent s'amorcer depuis +le réseau. + +</para><para> + +Sur les machines avec Open Firmware, comme les Macs NewWorld Power, entrez +simplement dans le moniteur d'amorçage (voir +<xref linkend="invoking-openfirmware"/>) et utilisez la commande +<command>boot enet:0</command>. Les machines PReP et CHRP peuvent avoir une +façon différente de se connecter au réseau. +Sur une machine PReP, vous pouvez essayer +<userinput>boot <replaceable>server_ipaddr</replaceable>, +<replaceable>file</replaceable>,<replaceable>client_ipaddr</replaceable></userinput>. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="powerpc"> + <title>Amorcer depuis des disquettes</title> +<para> + +&arch-title; peut s'amorcer depuis des disquettes, bien que cela soit +généralement réservé aux systèmes OldWorld. Les systèmes NewWorld n'ont pas de +de lecteurs de disquettes et ils ne peuvent pas s'amorcer depuis des lecteurs +de disquettes USB. + +</para><para> + +Vous devez avoir déjà téléchargé les images de disquettes nécessaires à +partir des images présentes dans <xref linkend="create-floppy"/>. + +</para><para> + +Pour amorcer à partir de la disquette <filename>boot-floppy-hfs.img</filename>, + placez-la dans le lecteur de disquettes après avoir arrêté le + système et avant d'avoir pressé le bouton de mise en route. + +</para><note><para> +Pour les personnes qui ne seraient pas habituées à manipuler des + disquettes Macintosh : une disquette présente dans la machine + avant le démarrage sera considérée comme prioritaire lors du lancement + du système. Une disquette sans système de démarrage valide sera éjectée, + et la machine recherchera alors les partitions amorçables du disque dur. + +</para></note><para> + +Après l'amorçage, la disquette <filename>root.bin</filename> est requise. + Insérez la disquette root et pressez &enterkey;. Le programme + d'installation est automatiquement lancé à la suite du chargement en +mémoire du système root. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="powerpc"><title>Paramètres d'amorçage PowerPC</title> +<para> + +De nombreux moniteurs Apple utilisent un mode 640x480 67Hz. Si + l'affichage est oblique sur un vieux moniteur Apple, essayez +d'utiliser le paramètre d'amorçage <userinput>video=atyfb:vmode:6</userinput>, + qui choisira ce mode pour la plus part des cartes vidéo Mach64 + et Rage. Pour les cartes à base de Rage 128, il s'agit de +<userinput>video=aty128fb:vmode:6</userinput>. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/s390.xml b/fr/boot-installer/s390.xml new file mode 100644 index 000000000..ae2fdfff4 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/s390.xml @@ -0,0 +1,34 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect2 arch="s390"><title>Limitations des s390</title> +<para> + +Pour pouvoir lancer le système d'installation sur les S/390, vous + aurez besoin d'un réseau qui soit en état de marche ainsi qu'une + session ssh. + +</para><para> + +Le processus de démarrage commence avec la configuration du réseau, + où l'on vous demandera d'entrer les paramètres de votre réseau. Si + la configuration s'achève convenablement, vous vous connecterez + sur le système en lançant une session ssh, ce qui lancera le + système d'installation standard. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="s390"><title>Paramètres d'amorçage pour s390</title> +<para> + +Sur les S/390, vous pouvez passer les paramètres d'amorçage dans + le fichier « parm ». Ce fichier peut être au choix en + ASCII ou au format EBCDIC. Veuillez lire +<ulink url="&url-s390-devices;">Pilotes de périphériques et commandes + d'installation</ulink> pour avoir plus d'informations au sujet des + paramètres d'amorçage spécifiques à S/390. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/sparc.xml b/fr/boot-installer/sparc.xml new file mode 100644 index 000000000..38c9cad4c --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/sparc.xml @@ -0,0 +1,94 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="sparc" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> + +&boot-installer-intro-net.xml; + +<para> + +Sur les machines avec OpenBoot, entrez simplement dans le moniteur d'amorçage +de la machine que vous êtes en train d'installer +(voir <xref linkend="invoking-openboot"/>). Utilisez la commande +<userinput>boot net</userinput> pour amorcer depuis un serveur TFTP et +RARP ; vous pouvez aussi utiliser les commandes +<userinput>boot net:bootp</userinput> ou <userinput>boot net:dhcp</userinput> +pour amorcer avec un serveur TFTP et BOOTP ou avec un serveur DHCP. +Certaines anciennes versions d'OpenBoot nécessitent d'utiliser le nom du +périphérique, comme <userinput>boot le()</userinput> ; il est peu +probable que ces périphériques acceptent BOOTP ou DHCP. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="sparc"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> + +&boot-installer-intro-cd.xml; + +<para> + +La plupart des versions d'OpenBoot acceptent la commande +<userinput>boot cdrom</userinput>qui est un simple alias pour amorcer sur le +périphérique SCSI n°6 (ou le second maître pour les systèmes à base d'IDE). +Il se peut que vous ayez à passer le véritable nom du périphérique pour les +vieilles versions d'OpenBoot qui ne proposent pas cette commande. +il a été reporté des problèmes sur Sun4m (p. ex. SPARC 10s et SPARC 20s) +lors de l'amorçage depuis un cédérom. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="sparc" condition="supports-floppy-boot"> + <title>Amorcer depuis des disquettes</title> +<para> + +Pour amorcer depuis une disquette sur une SPARC, utilisez + +<informalexample><screen> +Stop-A -> OpenBoot: "boot floppy" +</screen></informalexample> + +La nouvelle architecture Sun4u (ultra) ne peut s'amorcer depuis une +disquette. Le message typique d'erreur est +<computeroutput>Bad magic number in disk label - Can't open disk label package</computeroutput>. +En outre, certains modèles Sun4c (comme les IPX) ne reconnaissent pas les +images compressées trouvées sur les disques. Elles ne peuvent donc pas non +plus s'amorcer depuis une disquette. + +</para><para> + +Certaines SPARC (comme par exemple les Ultra 10) ont un bogue OBP qui les +empêchent d'amorcer (mais elles peuvent s'amorcer). La mise à jour appropriée +de OBP peut être téléchargé comme produit ID 106121 à partir de +<ulink url="http://sunsolve.sun.com"></ulink>. + +</para><para> + +Si vous amorcez depuis une disquette et si vous apercevez + des messages comme + +<informalexample><screen> +Fatal error: Cannot read partition +Illegal or malformed device name +</screen></informalexample> + +alors, il est tout simplement possible que l'amorçage depuis une disquette +ne soit pas possible sur votre machine. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="sparc"><title>Messages IDPROM</title> +<para> + +Si vous ne pouvez pas amorcer parce que vous avez des messages au sujet d'un +problème avec l'<quote>IDPROM</quote>, alors il est possible que la batterie +de la NVRAM, qui permet de garder en mémoire les informations +de votre microprogramme, soit épuisée. Voir la +<ulink url="&url-sun-nvram-faq;">FAQ Sun NVRAM</ulink> pour plus + d'informations. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/trouble.xml b/fr/boot-installer/trouble.xml new file mode 100644 index 000000000..b95fcec21 --- /dev/null +++ b/fr/boot-installer/trouble.xml @@ -0,0 +1,276 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect1 id="boot-troubleshooting"> + <title>Dysfonctionnements pendant la procédure d'installation</title> +<para> +</para> + + <sect2 condition="supports-floppy-boot" id="unreliable-floppies"> + <title>Fiabilité des disquettes</title> + +<para> + +Le plus gros problème pour les gens qui utilisent des disquettes pour installer Debian +est celui de la fiabilité des disquettes. + +</para><para> + +La disquette d'amorçage est celle qui pose les problèmes les plus embêtants +car elle est lue directement par le matériel, avant que Linux ne se charge. +Souvent, le matériel ne lit pas aussi sûrement qu'avec un lecteur de +disquette Linux et peut s'arrêter sans message d'erreur quand il lit +des données incorrectes. Il peut aussi y avoir des erreurs dans les +disquettes de pilotes et la plupart d'entre elles se signalent par des +messages sur des erreurs d'entrée/sortie. + +</para><para> + +Si vous êtes bloqué pendant l'installation avec une disquette, la première +chose à faire est de télécharger à nouveau l'image de la disquette et de la +réécrire sur une <emphasis>nouvelle</emphasis> disquette. Reformater +simplement l'ancienne disquette peut être insuffisant, même si la disquette est +reformatée et écrite sans erreur. Il est parfois utile d'écrire les disquettes +sur un autre système. + +</para><para> + +Un utilisateur a rapporté qu'il avait dû réécrire les +images sur la disquette <emphasis>trois</emphasis> fois avant qu'elle +fonctionne ; ensuite, tout s'est bien déroulé avec cette +troisième disquette. + +</para><para> + +D'autres utilisateurs ont signalé qu'en redémarrant plusieurs fois avec la +même disquette, on arrive parfois à faire amorcer le système. Tout cela est +dû à des défaillances matérielles ou à des défaillances du microprogramme +de contrôle des lecteurs de disquettes. + +</para> + </sect2> + + <sect2><title>Configuration d'amorçage</title> + +<para> + +Si vous avez des problèmes et que le noyau se bloque pendant +la phase d'amorçage, qu'il ne reconnaisse pas vos périphériques ou bien que +les disques ne soient pas reconnus correctement, la première chose à faire +est de vérifier les paramètres d'amorçage, ainsi qu'il a été discuté +dans la <xref linkend="boot-parms"/>. + +</para><para> + +Si vous amorcez avec votre propre noyau plutôt que celui fourni par +l'installateur, assurez-vous que <userinput>CONFIG_DEVFS</userinput> ne soit +pas déclaré dans le noyau. L'installateur n'est pas compatible avec +<userinput>CONFIG_DEVFS</userinput>. + +</para><para> + +Les problèmes peuvent être souvent résolus en retirant périphériques et +extensions et en essayant de réamorcer. <phrase arch="i386">Modems internes, +cartes son et périphériques Plug'n Play peuvent être particulièrement +problématiques.</phrase> + +</para> +<para> + +Si votre machine possède beaucoup de mémoire, plus de 512 Mo, et si +l'installateur se bloque lors de l'amorçage du noyau, vous pouvez donner un +paramètre d'amorçage pour limiter le total de la mémoire que le noyau devra +voir, par exemple <userinput>mem=512m</userinput>. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="i386" id="i386-boot-problems"> + <title>Problèmes communs pour &arch-title;</title> +<para> +Certains problèmes d'installation peuvent être résolus ou évités en +passant des paramètres d'amorçage à l'installateur. +</para> +<para> +Certains systèmes ont un lecteur de disquettes avec +« DCL inversés ». Si vous obtenez des erreurs lors de la +lecture de disquettes et si vous savez que les disquettes sont +« bonnes », essayez le paramètre +<userinput>floppy=thinkpad</userinput>. +</para> +<para> +Sur certains systèmes, tels que les IBM PS/1 ou ValuePoint (qui ont des +pilotes de disques ST-506), le disque IDE peut ne pas être reconnu. Encore +une fois, essayez d'abord sans paramètre supplémentaire pour voir si +votre disque IDE est reconnu correctement. Si ce n'est pas le cas, déterminez +la géométrie du disque (cylindres, têtes et secteurs) et utilisez le +paramètre +<userinput>hd=<replaceable>cylindres</replaceable>,<replaceable>têtes</replaceable>,<replaceable>secteurs</replaceable></userinput>. +</para> +<para> +Si vous avez une très vieille machine et si le noyau gèle après avoir +affiché <computeroutput>Checking 'hlt' instruction...</computeroutput>, +vous devez passer le paramètre d'amorçage <userinput>no-hlt</userinput> +qui désactive ce test. +</para> +<para> +Si votre écran commence à afficher une image bizarre lors des démarrages +du noyau, par exemple, un écran entièrement blanc, noir ou un écran +contenant un mélange de couleurs, alors votre système a très certainement une carte +video problématique qui ne parvient pas à passer en mode +<emphasis>framebuffer</emphasis> correctement. Dans ce cas, essayez de +passer le paramètre d'amorçage +<userinput>debian-installer/framebuffer=false</userinput> ou +<userinput>video=vga16:off</userinput>, +pour désactiver la console <emphasis>framebuffer</emphasis>. Le menu de +sélection de la langue n'apparaîtra pas, et l'anglais sera la seule +langue utilisable pour l'installation ; c'est dû aux caractéristiques +limitées de la console. Référez-vous à la <xref linkend="boot-parms"/> pour plus +de précisions. +</para> + +<sect3> +<title>Le système bloque lors de la configuration du module PCMCIA</title> +<para> +Quelques ordinateurs portables fabriqués par Dell plantent fréquemment +lorsque la détection des périphériques essaie d'accéder à certaines +adresses matérielles. D'autres portables ont aussi des problèmes +semblables. Si vous rencontrez un tel problème et si vous n'avez pas besoin de +PCMCIA pendant l'installation, vous pouvez désactiver cette option avec le +paramètre <userinput>hw-detect/start_pcmcia=false</userinput>. Vous pourrez +configurer PCMCIA après l'installation et éviter le problème des adresses des +ressources. + </para> +<para> +Vous pouvez aussi démarrer l'installateur en mode expert. +On vous demandera d'indiquer les options pour les adresses des +ressources de votre matériel. Par exemple, si votre ordinateur est un des portables +Dell mentionnés plus haut, vous pouvez indiquer +<userinput>exclude port 0x800-0x8ff</userinput>. Il existe une liste de +ces options communes dans la section sur les ressources système du +<ulink +url="http://pcmcia-cs.sourceforge.net/ftp/doc/PCMCIA-HOWTO-1.html#ss1.12">HOWTO +PCMCIA</ulink>. Notez qu'il faut supprimer les virgules quand vous +passez ces valeurs à l'installateur. +</para> +</sect3> + +<sect3> +<title>Le système se bloque lors du chargement des modules USB</title> +<para> +Le noyau essaye normalement d'installer les modules USB et les pilotes +de claviers USB afin de permettre l'installation de quelques claviers USB +non standard. Cependant, sur certains systèmes USB, le pilote provoque un +blocage lors du démarrage. +Il est possible d'éviter ces problèmes en désactivant le contrôleur USB +dans la configuration BIOS de votre carte mère. Il est également possible +d'utiliser le paramètre <userinput>debian-installer/probe/usb=false</userinput> à l'invite de +démarrage, ce qui empêchera le chargement de ces modules. +</para> +</sect3> +</sect2> + + <sect2 id="kernel-msgs"> + <title>Comprendre les messages du noyau au démarrage</title> + +<para> + +Durant la séquence de démarrage, vous pourriez voir beaucoup de messages du +genre +<computeroutput>can't find <replaceable>something</replaceable></computeroutput>, +ou <computeroutput><replaceable>something</replaceable> not present</computeroutput>, +<computeroutput>can't initialize <replaceable>something</replaceable></computeroutput> ou même +<computeroutput>this driver release depends on <replaceable>something</replaceable> </computeroutput>. La plupart de ces messages sont sans conséquence. +Vous les voyez parce que le noyau du système d'installation est conçu pour +tourner sur des ordinateurs avec un grand nombre de périphériques très +différents. Évidemment, aucun ordinateur ne possède tous les +périphériques possibles, et le système d'exploitation pourrait se plaindre +alors qu'il recherche un périphérique que vous ne possédez pas. Vous pourriez +également voir le système s'arrêter pendant un moment. Cela arrive quand il +attend la réponse d'un périphérique qui n'est pas présent sur votre système. +Si vous trouvez le temps de démarrage du système exagérément long, vous +pourrez créer un noyau personnalisé plus tard (voyez : +<xref linkend="kernel-baking"/>). + +</para> + </sect2> + + + <sect2 id="problem-report"> + <title>Rapporteur de bogues</title> +<para> + +Si vous parvenez à la fin de la phase d'amorçage mais que vous ne parveniez +pas à terminer l'installation, le choix « Rapporteur de bogues » +du menu peut vous aider. Il copie les journaux contenant les erreurs système +et des informations sur la configuration sur une disquette. Toutes ces +informations peuvent donner des indications sur ce qui s'est mal déroulé et +sur la manière de le corriger. Si vous envoyez un rapport de bogue, vous +pouvez attacher cette information au rapport. + +</para><para> + +Pendant l'installation, d'autres messages intéressants se trouvent dans le +fichier <filename>/target/var/log/debian-installer/</filename>, et, quand +l'ordinateur a démarré le nouveau système installé, ces messages se trouvent +dans le fichier <filename>/var/log/debian-installer/</filename>. + +</para> + </sect2> + + <sect2 id="submit-bug"> + <title>Faire un rapport de bogue</title> +<para> + +Si vous avez toujours des ennuis, faites un rapport de bogue. +Nous vous demandons aussi d'envoyer des rapports sur les installations +réussies, car nous cherchons des informations sur un maximum de configurations +matérielles. Vous pouvez utiliser le modèle suivant. Envoyez-le comme un +rapport de bogue pour le paquet <classname>installation-reports</classname>, +à l'adresse <email>submit@bugs.debian.org</email>. + +<informalexample><screen> +Package: installation-reports + +Debian-installer-version: <date et provenance de l'image> +uname -a: <Résultat de la commande uname -a dans un shell> +Date: <Date et heure de l'installation> +Method: <Type de l'installation ? Comment avez-vous amorcé ? Si installation + par le réseau, d'où ? Y-avait-il un proxy ?> + +Machine: <Description de la machine (p. ex. IBM Thinkpad R32)> +Processor: +Memory: +Root Device: <IDE? SCSI? Nom du périphérique ?> +Root Size/partition table: < copiez la tables des partitions, avec des + notes sur les points de montage des partitions.> +Résultat de lspci et lspci -n : + +Base System Installation Checklist: +[O] = OK, [E] = Error (please elaborate below), [ ] = didn't try it + +Initial boot worked: [ ] +Configure network HW: [ ] +Config network: [ ] +Detect CD: [ ] +Load installer modules: [ ] +Detect hard drives: [ ] +Partition hard drives: [ ] +Create file systems: [ ] +Mount partitions: [ ] +Install base system: [ ] +Install boot loader: [ ] +Reboot: [ ] + +Comments/Problems: +<Décrivez l'installation, les pensées, commentaires ou idées de propositions +que vous avez eus pendant cette installation.> +</screen></informalexample> + +Dans le rapport de bogue, décrivez le problème en incluant les derniers +messages visibles du noyau dans le cas d'un plantage du noyau. Décrivez les +étapes que vous avez effectuées pour arriver là. + +</para> +</sect2> +</sect1> diff --git a/fr/boot-new/boot-new.xml b/fr/boot-new/boot-new.xml new file mode 100644 index 000000000..22e4e7d77 --- /dev/null +++ b/fr/boot-new/boot-new.xml @@ -0,0 +1,290 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28730 --> + +<chapter id="boot-new"> + <title>Démarrer votre nouveau système Debian</title> + + <sect1 id="base-boot"><title>Le moment de vérité</title> +<para> + +Voici ce que les ingénieurs en électronique appellent le +<quote>test de la fumée</quote> : démarrer un système pour la +première fois. +</para> +<para> + +Si vous démarrez directement sur Debian, et que le système ne démarre pas, +utilisez le support d'installation d'origine, ou insérez la disquette de +secours si vous l'avez créée, puis relancez votre système. Vous devrez sans +doute ajouter des paramètres de démarrage comme +<userinput>root=<replaceable>root</replaceable></userinput>, où +<replaceable>root</replaceable> est votre partition racine, +par exemple : <filename>/dev/sda1</filename>. +<phrase condition="etch"> +Il est aussi possible d'utiliser le mode de secours intégré dans l'installateur. +Voyez <xref linkend="rescue"/>. +</phrase> + + +</para> + + <sect2 arch="m68k"><title>Amorcer une BVME 6000</title> +<para> + +Si vous faites une installation sans disque sur une machine BVM ou Motorola +VMEbus : une fois que le système a lancé le programme +<command>tftplilo</command> depuis le serveur TFTP, à l'invite +<prompt>LILO Boot:</prompt> entrez l'une des options suivantes : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<userinput>b6000</userinput> suivi par &enterkey; +pour amorcer une BVME4000/6000 + +</para></listitem><listitem><para> + +<userinput>b162</userinput> suivi par &enterkey; +pour amorcer une MVME162 + +</para></listitem><listitem><para> + +<userinput>b167</userinput> suivi par &enterkey; +pour amorcer une MVME166/167 + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +</para> + + </sect2> + + <sect2 arch="m68k"><title>Amorcer un Macintosh</title> + +<para> + +Allez dans le répertoire qui contient les fichiers d'installation et +démarrez le programme d'amorçage <command>Penguin</command>, en pressant +la touche <keycap>command</keycap>. Allez sur la boîte de dialogue +<userinput>Settings</userinput> +(<keycombo><keycap>command</keycap> <keycap>T</keycap> </keycombo>), et +identifiez la ligne d'options du noyau. Elle devrait ressembler à +<userinput>root=/dev/ram video=font:VGA8x16</userinput>. + +</para><para> + +Vous devez la remplacer par +<userinput>root=/dev/<replaceable>yyyy</replaceable></userinput>. +Remplacez le <replaceable>yyyy</replaceable> par le nom de la partition Linux +sur laquelle vous avez installé le système. Par exemple, +<filename>/dev/sda1</filename>, vous l'aviez noté précédemment. +Le paramètre <userinput>video=font:VGA8x8</userinput> est particulièrement +recommandé +aux utilisateurs qui possèdent un écran minuscule. Le noyau devrait +sélectionner une police plus jolie (6x11) mais les pilotes de la console +pour cette police peuvent bloquer la machine ; aussi l'emploi des tailles +« 8x16 » et « 8x8 » est plus sûr pour l'instant. +Vous pouvez changer ce paramètre à tout moment. + +</para><para> + +Si vous ne souhaitez pas automatiquement démarrer GNU/Linux à chaque +démarrage, désélectionnez l'option <userinput>Auto Boot</userinput>. +Enregistrez vos paramètres dans le fichier <filename>Prefs</filename> avec +l'option <userinput>Save Settings As Default</userinput>. + +</para><para> + +Sélectionnez maintenant <userinput>Boot Now</userinput> +(<keycombo><keycap>command</keycap> <keycap>B</keycap> </keycombo>) pour +démarrer votre système GNU/Linux, fraîchement installé, à la place du +système d'installation sur le disque virtuel. + +</para><para> + +Debian devrait démarrer, et vous devriez voir défiler les mêmes messages que +lorsque vous avez démarré le système d'installation, suivis de nouveaux +messages. +</para> + </sect2> + +<sect2 arch="powerpc"><title>OldWorld PowerMacs</title> +<para> + +Si la machine ne démarre pas quand l'installation est terminée, et s'arrête +avec l'invite <prompt>boot:</prompt>, saisissez +<userinput>Linux</userinput> suivi de &enterkey;. La configuration par défaut +dans le fichier <filename>quik.conf</filename> est nommée Linux. Les noms +définis dans ce fichier seront affichés si vous pressez la touche +<keycap>Tab</keycap> à l'invite <prompt>boot:</prompt>. Vous pouvez essayer +de réamorcer l'installateur et de modifier le fichier +<filename>/target/etc/quik.conf</filename> qui a été créé à l'étape +<guimenuitem>Installer Quik sur un disque dur</guimenuitem>. +Des renseignements sur <command>quik</command> sont disponibles dans +<ulink url="&url-powerpc-quik-faq;"></ulink>. +</para> +<para> +Pour démarrer de nouveau sous MacOS sans réinitialiser la nvram, +saisissez <userinput>bye</userinput> à l'invite de l'Open Firmware (en +supposant que MacOS n'a pas été enlevé de la machine). Pour obtenir une invite +Open Firmware, appuyez simultanément sur les touches +<keycombo><keycap>command</keycap> <keycap>option</keycap> <keycap>o</keycap> +<keycap>f</keycap> </keycombo> pendant le démarrage à froid de la machine. +Si vous devez réinitialiser les changements de l'Open Firmware en nvram, +appuyez simultanément sur les touches +<keycombo><keycap>command</keycap> <keycap>option</keycap> <keycap>p</keycap><keycap>r</keycap> </keycombo> +lors d'un démarrage à froid de la machine. +</para> +<para> +Si vous amorcez le système installé avec <command>BootX</command>, choisissez +simplement le noyau dans le dossier <filename>Linux Kernels</filename>, +ne choisissez pas l'option ramdisk et ajoutez un périphérique racine pour +votre installation, par exemple <userinput>/dev/hda8</userinput>. +</para> + +</sect2> + + <sect2 arch="powerpc"><title>NewWorld PowerMacs</title> + +<para> +Sur les machines de type G4 et iBook, vous pouvez maintenir la touche +<keycap>option</keycap> enfoncée pour obtenir un écran graphique, avec un +bouton pour chaque système d'exploitation démarrable ; pour &debian; +il s'agit d'un bouton avec une icône de petit pingouin. +</para> +<para> +Si vous avez conservé MacOS et qu'à un moment ou à un autre la variable +<envar>boot-device</envar> de l'Open Firmware a été modifiée, vous devrez +restaurer sa configuration. Pour cela, maintenez enfoncées les touches +<keycombo><keycap>command</keycap> <keycap>option</keycap> <keycap>p</keycap><keycap>r</keycap> </keycombo> +lors du démarrage à froid de la machine. +</para> +<para> +Les noms définis dans <filename>yaboot.conf</filename> seront +affichés si vous appuyez sur la touche <keycap>Tab</keycap> à l'invite +<prompt>boot:</prompt>. +</para> +<para> +La réinitialisation de l'Open Firmware sur les matériels G3 et G4 les fera +démarrer par défaut sur &debian; (à condition d'avoir effectué un +partitionnement correct et d'avoir placé la partition Apple_Bootstrap en +premier). Si &debian; se trouve sur un disque SCSI et que MacOS se trouve sur +un disque IDE, il se pourrait que cela ne fonctionne pas et que vous deviez +lancer l'OpenFirmware et déclarer la variable <envar>boot-device</envar> +manuellement ; en principe, <command>ybin</command> le fait +automatiquement. +</para> +<para> +Après avoir lancé &debian; pour la première fois, vous pourrez ajouter autant +d'options que vous le souhaitez (par exemple, les options pour amorcer +d'autres systèmes) +dans le fichier <filename>/etc/yaboot.conf</filename> et démarrer +<command>ybin</command> pour mettre à jour votre partition de démarrage avec +la nouvelle configuration. Lisez le +<ulink url="&url-powerpc-yaboot-faq;">yaboot HOWTO</ulink>. +</para> +</sect2> + + </sect1> + + <sect1 id="base-config"> + <title>Paramétrage post-démarrage de Debian (Base)</title> + +<para> + +Après le démarrage, on vous demandera de terminer la configuration de votre +système de base, et ensuite de sélectionner les paquets supplémentaires que +vous souhaitez installer. L'application qui vous guidera au cours de cette +étape s'appelle <classname>base-config</classname>. Sa conception est proche +de celle de l'installateur debian, utilisé dans la première étape. +<classname>Base-config</classname> comprend plusieurs éléments spécialisés, +chaque élément accomplissant une seule tâche de configuration ; elle +contient un <quote>menu caché en arrière-plan</quote> et utilise le même +système de navigation que l'installateur. + + </para><para> + +Si vous souhaitez relancer l'application <classname>base-config</classname> +une fois l'installation terminée, exécutez <userinput>base-config</userinput> +en tant que superutilisateur. + +</para> + +&module-bc-timezone.xml; +&module-bc-shadow.xml; +&module-bc-ppp.xml; +&module-bc-apt.xml; +&module-bc-packages.xml; +&module-bc-install.xml; +&module-bc-mta.xml; + + + </sect1> + + <sect1 id="login"> + <title>Se connecter</title> + +<para> + +Après avoir installé les paquets, vous vous retrouvez face à l'invite de +connexion (login). Connectez-vous en utilisant le nom d'utilisateur et le mot +de passe que vous avez choisi. Vous pouvez maintenant utiliser votre système. + +</para><para> + +Si vous êtes un nouvel utilisateur, vous voudrez peut-être parcourir la +documentation qui est déjà installée sur votre système. Il existe plusieurs +systèmes de documentation ; un travail est en cours afin de les intégrer +dans un tout cohérent. Vous trouverez ci-dessous quelques points de départ. + +</para><para> + +La documentation qui accompagne les programmes que vous avez installés +se trouve dans le répertoire <filename>/usr/share/doc/</filename>, dans un +sous-répertoire qui porte le nom du programme. Par exemple, +le Guide de l'utilisateur d'<command>apt</command>, programme qui +installe d'autres programmes sur votre système, se situe dans le fichier +<filename>/usr/share/doc/apt/guide.html/index.html</filename>. + +</para><para> + +De plus, il y a quelques répertoires spéciaux dans le répertoire +<filename>/usr/share/doc/</filename>. Les HOWTO Linux sont installés au +format <emphasis>.gz</emphasis> dans le répertoire + <filename>/usr/share/doc/HOWTO/en-txt/</filename>. +Une fois <command>dhelp</command> installé, vous pouvez consulter avec votre +navigateur le fichier +<filename>/usr/share/doc/HTML/index.html</filename> +qui contient un index sur la documentation installée. + +</para><para> + +Un moyen facile de consulter ces documents est d'exécuter +<userinput>cd /usr/share/doc/</userinput>, puis de saisir +<userinput>lynx</userinput> suivi d'un espace et d'un point +(le point représente le répertoire courant). + +</para><para> + +Vous pouvez aussi saisir <userinput>info +<replaceable>command</replaceable></userinput> ou <userinput>man +<replaceable>command</replaceable></userinput> pour obtenir des informations +sur la plupart des commandes disponibles depuis l'interpréteur de commandes. +En exécutant <userinput>help</userinput>, vous afficherez l'aide sur les +commandes de l'interpréteur de commandes. Et si vous tapez une commande +suivie par <userinput>--help</userinput>, un court résumé sur l'usage de +cette commande sera affiché. Si le résultat d'une commande défile au-delà du +haut de l'écran, tapez <userinput>| more</userinput> après la commande de +façon à provoquer une pause entre chaque écran. Pour voir une liste de toutes +les commandes disponibles qui commencent par une lettre donnée, tapez cette +lettre, suivie de deux fois la touche de tabulation. + +</para><para> + +Pour une introduction plus complète sur Debian et GNU/Linux, voyez +<filename>/usr/share/doc/debian-guide/html/noframes/index.html</filename>. + +</para> + + </sect1> +</chapter> diff --git a/fr/boot-new/modules/apt.xml b/fr/boot-new/modules/apt.xml new file mode 100644 index 000000000..315d42582 --- /dev/null +++ b/fr/boot-new/modules/apt.xml @@ -0,0 +1,118 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 23845 --> + + <sect2 id="configure-apt"> + <title>La configuration d'APT</title> + +<para> + +Le principal outil utilisé pour installer des paquets sur les systèmes Debian +est un programme appelé <command>apt-get</command> qui se trouve dans le +paquet <classname>apt</classname> <footnote> +<para> +Notez que le programme effectivement utilisé pour installer des paquets est +nommé <command>dpkg</command>. Toutefois, ce paquet est un outil de bas niveau +qu'<command>apt-get</command> appelle lorsqu'il en a besoin. +Ce dernier est un outil de plus haut niveau car il sait aussi bien installer +les paquets nécessaires à l'installation du paquet que vous essayez +d'installer, que récupérer le paquet à partir d'un cédérom, du réseau, etc. +</para></footnote>. + +D'autres paquets, comme <command>aptitude</command>, +<command>synaptic</command> ou l'ancien <command>dselect</command> dépendent +d'<command>apt</command> et l'utilisent. Ces programmes de gestion des +paquets, avec une belle interface utilisateur, offrent des fonctions +supplémentaires comme la recherche de paquets ou la vérification des statuts. +</para><para> +APT doit être configuré, pour qu'il sache où récupérer les paquets. +L'application qui vous aidera dans cette tâche s'appelle +<command>apt-setup</command>. + +</para><para> + + +L'étape suivante dans votre processus de configuration est d'indiquer à APT +où trouver les autres paquets Debian. Notez que vous pouvez relancer cet +outil à tout moment après l'installation en exécutant +<command>apt-setup</command> ou en modifiant vous-même +<filename>/etc/apt/sources.list</filename>. + +</para><para> + + +Si un cédérom officiel se trouve dans le lecteur, ce cédérom sera +automatiquement configuré comme une source APT. Vous le remarquerez en voyant +que le cédérom est lu. + +</para><para> + + +Pour les utilisateurs sans cédérom officiel, d'autres possibilités sont +proposées pour accéder aux paquets Debian : +FTP, HTTP, cédérom ou système de fichiers local. + +</para><para> + +Il est parfaitement acceptable d'avoir plusieurs sources APT, y compris pour +une même archive Debian. +<command>apt-get</command> choisira automatiquement le paquet ayant le numéro +de version le plus élevé parmi les sources disponibles. Si vous avez par +exemple une source HTTP et un cédérom, +<command>apt-get</command> utilisera automatiquement le cédérom local, sauf +si la source HTTP est une version plus récente. Néanmoins, il n'est pas +judicieux d'ajouter des sources inutiles, dans la mesure où cela aura +tendance à ralentir la recherche de nouvelles versions sur le réseau. + + +</para> + + <sect3 id="configure-apt-net"> + <title>Configurer les sources de paquets sur le réseau</title> + +<para> + +Si vous prévoyez d'installer le reste de votre système via le réseau, +l'option la plus commune est de sélectionner la source +<userinput>HTTP</userinput>. La source <userinput>FTP</userinput> est aussi +acceptable, mais a tendance à être légèrement plus lente dans l'établissement +des connexions. + + +</para><para> + +L'étape suivante durant la configuration des sources des paquets du réseau +est d'indiquer à <command>apt-setup</command> votre pays de résidence. Cela +configure le miroir réseau Debian officiel que vous allez utiliser. Selon le +pays que vous choisissez, une liste des machines possibles vous sera proposée. +Il est bon de choisir la première de la liste, mais toutes devraient +fonctionner. Cette machine est ensuite testée ; si vous rencontrez des +problèmes, choisissez une autre machine. Il faut noter que la liste des +miroirs a été créée au moment de la parution de cette version de Debian ; +ainsi certains miroirs peuvent avoir disparu entre cette date et le moment où +vous faites votre installation. + +</para><para> + + +Après avoir choisi un miroir, il vous sera demandé si vous voulez configurer +un serveur mandataire (« proxy »). Un serveur mandataire est un +serveur qui envoie les requêtes HTTP ou FTP sur internet ; on l'utilise +pour réguler et optimiser l'accès à internet dans les réseaux d'entreprise. +Dans certains réseaux, seul le serveur accède à internet ; dans ce cas +vous devez donner le nom de ce serveur et peut-être aussi un nom d'utilisateur +et le mot de passe. La plupart des utilisateurs n'en ont pas besoin. Certains +FAI offrent des serveurs mandataires à leurs abonnés. + </para> + +<para> + +Après la sélection du miroir, votre nouvelle source de paquets va être +testée. Si tout va bien, on vous demandera si vous souhaitez ajouter une +autre source. Si vous avez un problème avec la source des paquets, utilisez +un autre miroir (à choisir dans la liste pour votre pays ou dans la liste +générale) ou bien changez la source des paquets. + + +</para> + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/boot-new/modules/install.xml b/fr/boot-new/modules/install.xml new file mode 100644 index 000000000..6c766978b --- /dev/null +++ b/fr/boot-new/modules/install.xml @@ -0,0 +1,40 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 id="debconf"> + <title>Interrogations lors de l'installation des logiciels</title> + +<para> + +Chaque paquet que vous avez sélectionné avec <command>tasksel</command>, +<command>aptitude</command> ou <command>dselect</command> est tour à tour +téléchargé, dépaqueté et installé par les programmes +<command>apt-get</command> et <command>dpkg</command>. Si un programme +particulier requiert plus d'informations de la part de l'utilisateur, il le + demandera lors de ce processus. Vous pourriez également vouloir + garder un oeil sur la sortie du processus d'installation, de manière à voir + d'éventuelles erreurs (mais l'on vous demandera + de constater les erreurs empêchant l'installation d'un paquet). + + +</para> + + <sect3 arch="powerpc" id="xserver"> + <title>Paramètres pour le serveur X</title> + +<para> + +Sur les iMacs et aussi sur quelques vieux Macintoshs, le serveur X ne +parvient pas à calculer les bons paramètres d'affichage. Il sera +nécessaire de sélectionner l'option <guimenuitem>Avancée</guimenuitem> pendant la +configuration de vos paramètres vidéo. Pour la fréquence horizontale de votre +moniteur, saisissez 59–63. Vous pouvez conserver la fréquence verticale par +défaut. + +</para><para> + +La souris se trouve sur <userinput>/dev/input/mice</userinput>. + +</para> + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/boot-new/modules/mta.xml b/fr/boot-new/modules/mta.xml new file mode 100644 index 000000000..3950adfd3 --- /dev/null +++ b/fr/boot-new/modules/mta.xml @@ -0,0 +1,94 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 22935 --> + + <sect2 id="base-config-mta"> + <title>Configuration de l'agent de transport du courrier <quote>MTA</quote></title> + +<para> + +Le courrier électronique tient aujourd'hui une grande place dans la vie des +gens ; ce n'est donc pas surprenant que Debian permette la configuration +du système de courrier pendant le processus d'installation. L'agent de +transport du courrier installé par défaut est <command>exim4</command>, un +programme relativement petit, souple et facile à apprendre. + +</para><para> + +Vous pourriez demander si l'installer sur un ordinateur non connecté est +vraiment nécessaire. La réponse courte est : oui. Une explication plus +longue : certains utilitaires du système comme <command>cron</command>, +<command>quota</command>, <command>aide</command>… peuvent vous +envoyer des messages importants sous forme de courriel. + +</para><para> + +Sur le premier écran, les scénarios les plus courants concernant les systèmes +de courrier vous seront présentés. Choisissez celui qui s'accorde le mieux +avec vos besoins. + +</para> + +<variablelist> +<varlistentry> +<term>site internet</term> +<listitem><para> + +Votre système est connecté à un réseau et le courrier est expédié et reçu +directement avec SMTP. Dans les écrans suivants, on vous posera quelques +questions élémentaires comme le nom de votre machine pour le courrier, les +domaines dont vous acceptez ou relayez les courriels. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>courrier envoyé par un <quote>smarthost</quote>(machine relais)</term> +<listitem><para> + +Dans ce scénario, le courrier sortant est envoyé à une autre machine, appelé +le « smarthost » qui fait le travail pour vous. Cette machine relais garde les +courriels qui vous sont adressés et vous permet de ne pas être constamment +connecté. Vous devez donc récupérer vos courriels sur cette machine avec des +programmes comme fetchmail. C'est l'option adaptée à un système connecté par +le réseau téléphonique. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>Distribution locale seulement</term> +<listitem><para> + +Le système n'est pas sur un réseau. Le courrier est uniquement envoyé et reçu +par des utilisateurs locaux. Même si vous n'avez pas l'intention d'envoyer des +messages, cette option est hautement conseillée car certains utilitaires du +système peuvent vous envoyer divers messages d'alerte, p. ex. le bien aimé +<quote>Disk quota exceeded</quote>. Cette option convient aussi aux nouveaux +utilisateurs, elle ne posera pas de question. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>Pas de configuration pour le moment</term> +<listitem><para> + +Choisissez cette option si vous êtes absolument certain de savoir ce que vous +faites. Le système de courrier ne sera pas configuré. Tant qu'il ne le sera +pas, vous ne pourrez ni envoyer ni recevoir des courriels. Les messages +importants venant des utilitaires du système ne vous parviendront pas. + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +<para> + +Si aucun de ces scénarios ne s'accorde à vos besoins, ou si vous voulez un +réglage très fin, vous devrez modifier les fichiers de configuration qui se +trouvent dans le répertoire <filename>/etc/exim4</filename>. D'autres +informations sur le programme <command>exim4</command> se trouvent dans +<filename>/usr/share/doc/exim4</filename>. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/boot-new/modules/packages.xml b/fr/boot-new/modules/packages.xml new file mode 100644 index 000000000..fd2676372 --- /dev/null +++ b/fr/boot-new/modules/packages.xml @@ -0,0 +1,149 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + + <sect2 id="install-packages"> + <title>Installation des paquets</title> + +<para> + +Il vous sera ensuite proposé un certain nombre de configurations logicielles +préparées par Debian. Mais vous pourrez toujours choisir d'installer ce que +vous voulez installer sur votre nouvelle machine, paquet par paquet. +C'est la raison d'être du programme <command>aptitude</command> décrit plus +bas. Toutefois, avec près de &num-of-distrib-pkgs; paquets disponibles, +cela peut être long ! +</para> +<para> +Vous pouvez d'abord choisir des <emphasis>tâches</emphasis>, et ensuite +ajouter des paquets individuellement. Ces tâches représentent +approximativement les différents travaux qu'on peut faire avec son ordinateur, +par exemple de la <quote>bureautique</quote>, du <quote>service web</quote> +ou encore du <quote>service d'impression</quote> <footnote> +<para> +Il faut savoir que pour présenter cette liste, <command>base-config</command> +appelle simplement le programme <command>tasksel</command>. Pour une +sélection manuelle des paquets, c'est <command>aptitude</command> qui est +exécuté. Chacun de ces programmes peut être utilisé à tout moment une fois +l'installation terminée. Une fois que +l'installation est finie, si vous voulez un paquet particulier, exécutez +simplement +<userinput>aptitude install <replaceable>paquet</replaceable></userinput>, où +<replaceable>paquet</replaceable> est le nom du paquet voulu. +</para> +</footnote>. +L'espace nécessaire pour chaque tâche est indiqué dans +<xref linkend="tasksel-size-list"/>. + +</para> + +<para> +Une fois les tâches sélectionnées, choisissez <guibutton>Ok</guibutton>. +<command>Aptitude</command> installera les paquets demandés. + +<note><para> +Même si vous n'avez sélectionné aucune tâche, tous les paquets dont la priorité +est de type standard, important ou nécessaire seront installés. Cela revient à +exécuter <userinput>taskel -ris</userinput> sur la ligne de commande ; +environ 37 Mo d'archives seront téléchargés. Le nombre de paquets à installer +et la taille en Mo de ces paquets seront affichées. +</para></note> +</para> +<para> +Si vous choisissez d'installer des paquets sur une base individuelle, +sélectionnez <quote>Sélection manuelle des paquets</quote> dans + <command>tasksel</command>. Si vous choisissez une ou plusieurs tâches, +aptitude sera appelé avec l'option <command>--visual-preview</command>. +Vous pourrez ainsi revoir +<footnote><para> +Vous pouvez aussi modifier les sélections par défaut. Si vous voulez choisir +un paquet supplémentaire, utilisez <menuchoice> <guimenu>Voir</guimenu> +<guimenuitem>Voir les nouveaux paquets</guimenuitem> </menuchoice>. +</para></footnote> + +les paquets à installer. Si vous ne sélectionnez pas de tâche, l'écran +habituel d'<command>aptitude</command> sera affiché. Une fois vos choix faits, +pressez la touche <quote><userinput>g</userinput></quote> pour commencer le +téléchargement et l'installation des paquets. + +<note><para> +Si vous choisissez <quote>Sélection manuelle des paquets</quote> +<emphasis>sans</emphasis> choisir de tâche, aucun paquet ne sera installé. +Vous pouvez ainsi installer un système minimal. Cependant il vous incombera +d'installer les paquets nécessaires à votre système qui ne font pas partie du +système de base. +</para></note> + +</para> + +<para> +Sur les &num-of-distrib-pkgs; paquets disponibles dans les archives Debian, +seule une petite minorité est comprise dans les tâches offertes par +l'installateur des tâches. Afin d'obtenir plus d'information sur les paquets, +utilisez soit +<userinput>apt-cache search <replaceable>chaîne de recherche</replaceable></userinput> pour une chaîne de caractères donnée (voir la page de manuel + <citerefentry><refentrytitle>apt-cache</refentrytitle> + <manvolnum>8</manvolnum></citerefentry>), soit exécutez + <command>aptitude</command> comme décrit plus bas. +</para> + + <sect3 id="aptitude"> + <title>Sélection moderne des paquets avec + <command>aptitude</command></title> + +<para> + +<command>Aptitude</command> est un programme moderne de gestion de paquets. +Il permet de sélectionner des paquets individuels, des ensembles de paquets +suivant des critères donnés (pour utilisateurs avancés) ou encore des tâches +complètes. + +</para> +<para> + + +Les actions les plus basiques sont : + +<informaltable> +<tgroup cols="2"> +<thead> +<row> + <entry>Touche</entry><entry>Action</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry><keycap>Haut</keycap>, <keycap>Bas</keycap></entry> + <entry>Déplacer la sélection vers le haut ou vers le bas.</entry> +</row><row> + <entry>&enterkey;</entry> + <entry>Ouvrir/fermer/activer un élément.</entry> +</row><row> + <entry><keycap>+</keycap></entry> + <entry>Marquer le paquet pour l'installation.</entry> +</row><row> + <entry><keycap>-</keycap></entry> + <entry>Marquer le paquet pour la suppression.</entry> +</row><row> + <entry><keycap>d</keycap></entry> + <entry>Montrer les dépendances d'un paquet.</entry> +</row><row> + <entry><keycap>g</keycap></entry> + <entry>Télécharger/installer/supprimer les paquets.</entry> +</row><row> + <entry><keycap>q</keycap></entry> + <entry>Quitter la vue actuelle.</entry> +</row><row> + <entry><keycap>F10</keycap></entry> + <entry>Activer le menu.</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +Pour plus de commandes, veuillez vous référer à l'aide en ligne avec la +touche <keycap>?</keycap>. + +</para> + </sect3> + </sect2> + diff --git a/fr/boot-new/modules/ppp.xml b/fr/boot-new/modules/ppp.xml new file mode 100644 index 000000000..63bc92011 --- /dev/null +++ b/fr/boot-new/modules/ppp.xml @@ -0,0 +1,142 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 23660 --> + + <sect2 arch="not-s390" id="PPP"> + <title>Paramétrage de PPP</title> + +<para> + +Si votre ordinateur n'a pas été connecté à un réseau pendant la première +phase de l'installation, on vous demandera +si vous souhaitez installer le reste du système avec PPP. Le protocole PPP +sert à établir des connexions internet avec modem. Si vous configurez la +connexion maintenant, le système d'installation pourra télécharger d'autres +paquets ou +des mises à jour de paquet. Si vous n'avez pas de modem ou si vous préférez +le configurer par la suite, vous pouvez sauter cette étape. +</para> +<para> +Pour configurer la connexion, vous aurez besoin de connaître certaines +informations données par votre fournisseur d'accès à internet : +numéro d'appel, nom d'utilisateur, mot de passe, serveurs DNS (facultatif). +Certains FAI fournissent des aides +pour les distributions Linux. Vous pouvez utiliser cette information même si +elle ne vise pas expressément Debian. La plupart des paramètres de +configuration sont semblables dans toutes les distributions Linux. + +</para><para> + +Si vous choisissez de configurer PPP, un programme nommé +<command>pppconfig</command> sera lancé. Ce programme vous aidera à +configurer votre connexion PPP. <emphasis>Assurez-vous, quand on vous +demandera le nom de votre connexion, de l'appeler +<userinput>provider</userinput>.</emphasis> + +</para><para> + +Le programme <command>pppconfig</command> vous guidera et facilitera +la configuration de PPP. Néanmoins, si cela ne marche pas, regardez +ci-dessous pour des instructions détaillées. + +</para><para> +Pour configurer PPP, vous devez connaître les bases de l'affichage et de +l'édition des fichiers sous GNU/Linux. Pour afficher les fichiers, vous +pouvez utiliser le programme <command>more</command> et le programme +<command>zmore</command> pour les fichiers compressés dont l'extension est +<userinput>.gz</userinput>. Par exemple, pour afficher le fichier +<filename>README.debian.gz</filename>, saisissez +<userinput>zmore README.debian.gz</userinput>. Le système de base est fourni +avec un éditeur nommé <command>nano</command>, très simple d'utilisation mais +qui ne possède pas beaucoup de fonctions. Vous souhaiterez probablement +installer des +éditeurs et des afficheurs plus complets, comme <command>jed</command>, +<command>nvi</command>, <command>less</command> ou <command>emacs</command>. + +</para><para> + +Éditez le fichier <filename>/etc/ppp/peers/provider</filename> et remplacez +<userinput>/dev/modem</userinput> par +<userinput>/dev/ttyS<replaceable>#</replaceable></userinput> où +<replaceable>#</replaceable> correspond au numéro de votre port série. Sous +Linux, les ports série sont numérotés à partir de 0 ; votre premier port +série <phrase arch="i386">(p. ex. <userinput>COM1</userinput>)</phrase> +est <filename>/dev/ttyS0</filename>. + +<phrase arch="powerpc;m68k">Sur les Macintosh équipés de ports série, le port +du modem est <filename>/dev/ttyS0</filename> et le port de l'imprimante est +<filename>/dev/ttyS1</filename>.</phrase> + +L'étape suivante consiste à éditer le fichier +<filename>/etc/chatscripts/provider</filename> pour y ajouter le numéro +de téléphone de votre fournisseur d'accès, votre identifiant de connexion et +votre mot de passe. S'il vous plaît, n'effacez pas le <quote>\q</quote> qui +précède le mot de passe. Il évite que le mot de passe n'apparaisse dans les +journaux de connexion. + +</para><para> + +De nombreux fournisseurs d'accès utilisent PAP ou CHAP pour la séquence de +connexion, à la place d'une authentification en mode texte. D'autres +utilisent les deux. Si votre fournisseur requiert PAP ou CHAP, vous devrez +suivre une procédure différente. Commentez tout ce qui se trouve après la +chaîne de numérotation (celle qui débute par <quote>ATDT</quote>) dans le +fichier <filename>/etc/chatscripts/provider</filename>, modifiez le +fichier <filename>/etc/ppp/peers/provider</filename> tel que décrit plus haut, +et ajoutez <userinput>user <replaceable>nom</replaceable></userinput> où +<replaceable>nom</replaceable> correspond à l'identifiant que vous utilisez +pour vous connecter à votre fournisseur d'accès. Éditez ensuite +<filename>/etc/ppp/pap-secrets</filename> ou +<filename>/etc/ppp/chap-secrets</filename> et insérez votre mot de passe. + +</para><para> + +Vous aurez aussi besoin de modifier le fichier +<filename>/etc/resolv.conf</filename> pour y ajouter les adresses IP +des serveurs de noms (DNS) de votre fournisseur d'accès. Les lignes de +<filename>/etc/resolv.conf</filename> sont dans le format suivant : +<userinput>nameserver +<replaceable>xxx.xxx.xxx.xxx</replaceable></userinput> où un +<replaceable>x</replaceable> est un chiffre de l'adresse IP. Vous pouvez +éventuellement ajouter l'option <userinput>usepeerdns</userinput> au fichier +<filename>/etc/ppp/peers/provider</filename>, ce qui permettra de choisir +automatiquement les serveurs DNS appropriés et d'utiliser les réglages +normalement fournis par la machine distante. + +</para><para> + +À moins que votre fournisseur d'accès n'utilise une séquence de connexion +différente de la majorité des autres FAI, l'affaire est réglée ! Lancez +la connexion PPP en saisissant <command>pon</command> en tant que root et +suivez l'exécution avec la commande <command>plog</command>. Pour déconnecter, +utilisez <command>poff</command>, aussi en tant que root. + +</para><para> + +Lisez le fichier <filename>/usr/share/doc/ppp/README.Debian.gz</filename> +pour de plus amples informations sur l'utilisation de PPP sous Debian. + +</para><para> + +Pour les connexions SLIP statiques, vous devez ajouter la commande +<userinput>slattach</userinput> (depuis le paquet +<classname>net-tools</classname>) dans le fichier +<filename>/etc/init.d/network</filename>. Les connexions SLIP dynamiques +nécessitent l'utilisation du paquet <classname>gnudip</classname>. + +</para> + +<sect3 id="PPPOE"> +<title>PPP sur Ethernet (PPPOE)</title> + +<para> +PPPOE est un protocole lié à PPP qui permet d'établir des connexions. Le +système de base n'offre aucune aide pour configurer ces connexions. Mais les +programmes nécessaires sont installés ; vous pouvez configurer +manuellement PPPOE en passant sur la console n° 2 et en exécutant +<command>pppoeconf</command>. + + +</para> +</sect3> + + </sect2> diff --git a/fr/boot-new/modules/shadow.xml b/fr/boot-new/modules/shadow.xml new file mode 100644 index 000000000..30c79af05 --- /dev/null +++ b/fr/boot-new/modules/shadow.xml @@ -0,0 +1,73 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 18642 --> + + <sect2 id="base-config-users"> + <title>Utilisateurs et mots de passe</title> + + <sect3 id="base-config-root"> + <title>Mot de passe pour <quote>Root</quote></title> + +<para> + +Le compte <emphasis>root</emphasis> est aussi appelé le + <emphasis>superutilisateur</emphasis>; c'est un utilisateur qui + outrepasse toutes les protections de sécurité de votre + système. Le compte root ne devrait être utilisé que pour faire + de l'administration système, et le moins longtemps possible. + +</para><para> + +Tout mot de passe devrait faire au moins 6 caractères, et devrait + contenir tant des minuscules que des majuscules ainsi que des + caractères de ponctuation. Soyez particulièrement soigneux lors + du choix de votre mot de passe root en raison des privilèges qui + sont associés à ce compte. Evitez les mots du dictionnaire ou toutes +les informations personnelles qui pourraient être devinées. + +</para><para> + +Si jamais quelqu'un vous dit qu'il a besoin de votre mot de passe + root, soyez extrêmement vigilant. Vous ne devriez normalement + jamais avoir besoin de le donner, à moins que vous + n'administriez une machine avec plus d'un administrateur + système. +</para> + </sect3> + + <sect3 id="make-normal-user"> + <title>Création d'un utilisateur ordinaire</title> + +<para> + +Le système va vous demander à ce stade si vous désirez créer un + compte utilisateur ordinaire. Ce compte devrait être votre + compte personnel principal. Vous ne devriez + <emphasis>pas</emphasis> utiliser le compte root pour un usage + quotidien ou comme votre compte personnel. + +</para><para> + +Pourquoi ? Et bien, une raison d'éviter l'utilisation des + privilèges de root est qu'il est très aisé de faire des dommages + irréparables en tant que root. Une autre raison est que vous + pourriez lancer, sans le savoir, un programme de type + <emphasis>Cheval de Troie</emphasis> — qui utilise + avantageusement vos pouvoirs de superutilisateur pour + compromettre, à votre insu, la sécurité de votre + système. Tout bon livre sur l'administration d'un système Unix couvre + ce sujet en détails — envisagez la lecture d'un tel livre + si tout cela est nouveau pour vous. + +</para><para> +On vous demandera d'abord le nom et le prénom de l'utilisateur. Puis +vous choisirez un mot pour nommer le compte de l'utilisateur. En général, +c'est votre prénom ou quelque chose d'approchant. Vous indiquerez enfin le +mot de passe pour ce compte. +</para><para> + +Si vous désirez créer un nouveau compte après l'installation, utilisez + la commande <command>adduser</command>. + +</para> + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/boot-new/modules/timezone.xml b/fr/boot-new/modules/timezone.xml new file mode 100644 index 000000000..9746d4b0c --- /dev/null +++ b/fr/boot-new/modules/timezone.xml @@ -0,0 +1,34 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 19108 --> + + <sect2 id="base-config-tz"> + <title>Configuration de votre fuseau horaire</title> + +<para> + +Après un écran de bienvenue, il vous sera demandé de configurer votre +fuseau horaire. Indiquez d'abord si votre système est réglé sur +l'heure locale ou sur le " Greenwich Mean Time " (GMT ou UTC). +L'heure affichée dans la boîte de dialogue peut vous aider dans votre choix. + <phrase arch="m68k;powerpc">Les horloges des machines + Macintosh utilisent normalement une heure locale. Si vous + désirez amorcer plusieurs systèmes, sélectionnez heure locale plutôt + que GMT.</phrase> + <phrase arch="i386">Les machines qui tournent (aussi) sous Dos ou + Windows sont normalement réglées sur l'heure locale. Si vous + désirez utiliser amorcer plusieurs systèmes, sélectionnez heure locale plutôt + que GMT.</phrase> + +</para><para> + +Selon le lieu que vous avez sélectionné au début du processus d'installation, +il vous sera ensuite montré soit un seul fuseau horaire, soit une liste de +fuseaux horaires appropriés à cette localisation. Si un seul fuseau horaire +est montré, choisissez <guibutton>OUI</guibutton> ou + <guibutton>NON</guibutton> pour sélectionner à partir d'une liste + complète de fuseaux horaires. Si une liste est montrée, + sélectionnez-y votre fuseau horaire, ou choisissez Autre pour la + liste complète. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/hardware/hardware-supported.xml b/fr/hardware/hardware-supported.xml new file mode 100644 index 000000000..83c242179 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/hardware-supported.xml @@ -0,0 +1,325 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect1 id="hardware-supported"> +<title>Matériel reconnu</title> + +<para> +En ce qui concerne le matériel, Debian n'a pas plus d'exigences que le noyau +Linux et les outils GNU. Par conséquent, toute architecture ou plateforme, sur +laquelle le noyau Linux, la libc, le compilateur gcc, etc. ont été +portés, et pour laquelle un portage de Debian existe, peuvent faire fonctionner +Debian. Reportez-vous aux pages sur les portages +<ulink url="&url-ports;"></ulink> pour plus de précisions concernant les +systèmes d'architecture &arch-title; qui ont été testés avec Debian. +</para> + +<para> +Plutôt que d'essayer de décrire les différentes configurations +matérielles acceptées par &arch-title;, cette +section contient des informations générales et des pointeurs +vers des informations supplémentaires. +</para> + + <sect2><title>Architectures reconnues</title> + +<para> +Debian &release; fonctionne sur onze architectures +principales et sur de nombreuses variantes de celles-ci, +appelées <quote>saveurs</quote>. +</para> + +<para> +<informaltable> +<tgroup cols="4"> +<thead> +<row> + <entry>Architecture</entry><entry>Étiquette Debian</entry> + <entry>Sous-Architecture</entry><entry>Saveur</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry morerows="2">Intel x86-based</entry> + <entry morerows="2">i386</entry> + <entry morerows="2"></entry> + <entry>vanilla</entry> +</row><row> + <entry>speakup</entry> +</row><row> + <entry>linux26</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="5">Motorola 680x0</entry> + <entry morerows="5">m68k</entry> + <entry>Atari</entry> + <entry>atari</entry> +</row><row> + <entry>Amiga</entry> + <entry>amiga</entry> +</row><row> + <entry>68k Macintosh</entry> + <entry>mac</entry> +</row><row> + <entry morerows="2">VME</entry> + <entry>bvme6000</entry> +</row><row> + <entry>mvme147</entry> +</row><row> + <entry>mvme16x</entry> +</row> + +<row> + <entry>DEC Alpha</entry> + <entry>alpha</entry> + <entry></entry> + <entry></entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="1">Sun SPARC</entry> + <entry morerows="1">sparc</entry> + <entry morerows="1"></entry> + <entry>sun4cdm</entry> +</row><row> + <entry>sun4u</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="3">ARM and StrongARM</entry> + <entry morerows="3">arm</entry> + <entry morerows="3"></entry> + <entry>netwinder</entry> +</row><row> + <entry>riscpc</entry> +</row><row> + <entry>shark</entry> +</row><row> + <entry>lart</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="3">IBM/Motorola PowerPC</entry> + <entry morerows="3">powerpc</entry> + <entry>CHRP</entry> + <entry>chrp</entry> +</row><row> + <entry>PowerMac</entry> + <entry>pmac</entry> +</row><row> + <entry>PReP</entry> + <entry>prep</entry> +</row><row> + <entry>APUS</entry> + <entry>apus</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="1">HP PA-RISC</entry> + <entry morerows="1">hppa</entry> + <entry>PA-RISC 1.1</entry> + <entry>32</entry> +</row><row> + <entry>PA-RISC 2.0</entry> + <entry>64</entry> +</row> + +<row> + <entry>Intel ia64-based</entry> + <entry>ia64</entry> + <entry></entry> + <entry></entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="2">MIPS (big endian)</entry> + <entry morerows="2">mips</entry> + <entry morerows="1">SGI Indy/Indigo 2</entry> + <entry>r4k-ip22</entry> +</row><row> + <entry>r5k-ip22</entry> +</row><row> + <entry>Broadcom BCM91250A (SWARM)</entry> + <entry>sb1-swarm-bn</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="1">MIPS (petit boutien)</entry> + <entry morerows="1">mipsel</entry> + <entry>Cobalt</entry> + <entry>cobalt</entry> +</row><row> + <entry morerows="1">DECstation</entry> + <entry>r4k-kn04</entry> +</row><row> + <entry>r3k-kn02</entry> +</row><row> + <entry>Broadcom BCM91250A (SWARM)</entry> + <entry>sb1-swarm-bn</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="1">IBM S/390</entry> + <entry morerows="1">s390</entry> + <entry>IPL avec VM-reader et DASD</entry> + <entry>generic</entry> +</row><row> + <entry>IPL avec bande</entry> + <entry>bande</entry> +</row> + +</tbody></tgroup></informaltable> + +</para> + +<para> +Ce document décrit l'installation pour l'architecture +<emphasis>&arch-title;</emphasis>. Des versions pour les autres +architectures disponibles existent sur les pages <ulink url="http://www.debian.org/ports/">Debian-Ports</ulink>. +</para> + +<para condition="new-arch"> +Voici la première version officielle de &debian; pour l'architecture +&arch-title;. Nous pensons que le portage a fait ses preuves et qu'il peut +être rendu public. Cependant, comme il n'a pas encore été soumis à la +<quote>vraie vie</quote> (ni testé par d'autres utilisateurs) comme l'ont été +d'autres architectures, vous pourriez rencontrer quelques bogues. Utilisez +notre <ulink url="&url-bts;">système de suivi des bogues</ulink> pour +signaler les problèmes ; n'oubliez pas de mentionner que le bogue s'est +produit sur une plateforme &arch-title;. Et prévenez aussi la +<ulink url="&url-list-subscribe;">liste de diffusion debian-&architecture;</ulink>. +</para> + + </sect2> + +<!-- supported cpu docs --> +&supported-alpha.xml; +&supported-arm.xml; +&supported-hppa.xml; +&supported-i386.xml; +&supported-ia64.xml; <!-- FIXME: currently missing --> +&supported-m68k.xml; +&supported-mips.xml; +&supported-mipsel.xml; +&supported-powerpc.xml; +&supported-s390.xml; +&supported-sparc.xml; + + <sect2 id="gfx" arch="not-s390"> +<title>Cartes graphiques</title> + +<para arch="i386"> +Vous devriez utiliser une interface graphique compatible +VGA pour le terminal de console. Pratiquement toutes les +cartes graphiques modernes sont compatibles VGA. Les +anciens standards comme CGA, MDA ou HGA devraient également +fonctionner, pour autant que vous ne vouliez pas utiliser +X11. Il faut remarquer que X11 n'est pas utilisé durant le +processus d'installation décrit dans ce document. +</para> + +<para> +Debian reconnaît les interfaces graphiques dans la mesure où elles sont +reconnues par le système X11 de XFree86. La plupart des +cartes AGP, PCI et PCIe fonctionnent sous XFree86. Des précisions sur les bus +graphiques +acceptés, les cartes, les moniteurs et les souris sont disponibles sur +<ulink url="&url-xfree;"></ulink>. Debian &release; est fourni avec +la version &x11ver; de XFree86. +</para> + +<para arch="mips"> +Le système X11 de XFree86 n'est disponible pour le moment que sur SGI Indy. +La carte Broadcom BCM91250A possède des supports PCI 3.3v et accepte +l'émulation VGA ou le <quote>framebuffer Linux</quote> pour certaines cartes +graphiques. Voyez la <ulink url="&url-bcm91250a-hardware;">page</ulink> pour +la carte BCM91250A. +</para><para arch="mipsel"> +Le système X11 de XFree86 est disponible sur certains modèles DECstation. +La carte Broadcom BCM91250A possède des supports PCI 3.3v et accepte +l'émulation VGA ou le <quote>framebuffer Linux</quote> pour certaines cartes +graphiques. Voyez la <ulink url="&url-bcm91250a-hardware;">page</ulink> pour +la carte BCM91250A. +</para> + + </sect2> + + <sect2 arch="i386" id="laptops"><title>Portables</title> + +<para> +Les ordinateurs portables sont aussi supportés. Les +portables sont souvent spécialisés ou contiennent du +matériel propriétaire. Pour voir si votre portable fonctionne bien avec +GNU/Linux, voyez les +<ulink url="&url-x86-laptop;">pages sur les portables sous Linux</ulink>. +</para> + </sect2> + + <sect2 condition="defaults-smp"> +<title>Processeurs multiples</title> + +<para> +Cette architecture accepte un système multiprocesseurs — appelé +aussi <quote>multiprocesseurs symétriques</quote> +(<quote>symmetric multi-processing</quote> ou SMP, +NdT). L'image standard du noyau Debian &release; a été compilé avec SMP. Cela +ne devrait pas empêcher l'installation, puisque le noyau SMP devrait démarrer +sur les systèmes non-SMP (le noyau sera simplement un peu plus gros). +</para> + +<para> +Pour optimiser le noyau pour un seul processeur, vous devrez +remplacer le noyau Debian standard. Vous trouverez une +discussion sur la façon de faire dans la <xref linkend="kernel-baking"/>. +Aujourd'hui (version &kernelversion; du noyau) la façon de désactiver SMP est +de ne pas choisir<quote>symmetric multi-processing</quote> dans la section +<quote>General</quote> quand on configure le noyau. +</para> + + </sect2> +<sect2 condition="supports-smp"> + <title>Processeurs multiples</title> +<para> +Cette architecture accepte un système multiprocesseurs — appelé +aussi <quote>multiprocesseurs symétriques</quote> +(<quote>symmetric multi-processing</quote> ou SMP, +NdT). Cependant, l'image standard du noyau Debian &release; ne reconnaît pas +le SMP. Cela ne devrait pas empêcher l'installation, puisque le noyau non-SMP +devrait démarrer sur les systèmes SMP, le noyau utilisera simplement le +premier CPU. + </para> +<para> +Afin de tirer profit de plusieurs processeurs, vous devrez remplacer le +noyau standard Debian. Vous trouverez une +discussion sur la façon de faire dans la <xref linkend="kernel-baking"/>. +Aujourd'hui (version &kernelversion; du noyau) la façon d'activer SMP est de +choisir <quote>&smp-config-option;</quote> dans la section +<quote>&smp-config-section;</quote> quand on configure le noyau. +</para> + </sect2> +<sect2 condition="supports-smp-sometimes"> + <title>Processeurs multiples</title> +<para> +Cette architecture accepte un système multiprocesseurs — appelé +aussi <quote>multiprocesseurs symétriques</quote> +(<quote>symmetric multi-processing</quote> ou SMP, +NdT). Une image standard du noyau Debian &release; a été compilé avec SMP. +Selon votre support d'installation, ce noyau peut ou non être installé par +défaut. Cela ne devrait pas empêcher l'installation, puisque le noyau non-SMP +devrait démarrer +sur les systèmes SMP ; le noyau utilisera simplement le premier +processeur. +</para><para> +Afin de tirer profit de plusieurs processeurs, vous devrez vérifier que le +noyau installé accepte le SMP ou bien vous en installerez un. + +Vous pouvez aussi compiler vous-même un noyau avec SMP. Vous trouverez une +discussion sur la façon de faire dans la <xref linkend="kernel-baking"/>. +Aujourd'hui (version &kernelversion; du noyau) la façon d'activer SMP est de +choisir <quote>&smp-config-option;</quote> dans la section +<quote>&smp-config-section;</quote> quand on configure le noyau. +</para> +</sect2> + </sect1> diff --git a/fr/hardware/hardware.xml b/fr/hardware/hardware.xml new file mode 100644 index 000000000..ff6e7be6c --- /dev/null +++ b/fr/hardware/hardware.xml @@ -0,0 +1,20 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + +<chapter id="hardware-req"> +<title>Configuration nécessaire</title> + +<para> +Cette section contient des informations sur le matériel dont +vous avez besoin pour démarrer sur Debian. Vous trouverez +aussi des liens vers des informations supplémentaires +concernant le matériel reconnu par GNU et Linux. +</para> + +&hardware-supported.xml; +&installation-media.xml; +&supported-peripherals.xml; +&memory-disk-requirements.xml; +&network-cards.xml; + +</chapter> diff --git a/fr/hardware/installation-media.xml b/fr/hardware/installation-media.xml new file mode 100644 index 000000000..e615d147f --- /dev/null +++ b/fr/hardware/installation-media.xml @@ -0,0 +1,301 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect1 id="installation-media"> +<title>Les supports d'installation</title> + +<para> +Cette section précise les différents supports utilisables pour installer +Debian. Il est possible par exemple d'installer debian avec un lecteur de +disquettes. Un chapitre entier est consacré aux supports, le +<xref linkend="install-methods"/> ; il indique les avantages et les +désavantages de chaque support. +</para> + +<sect2 condition="supports-floppy-boot"> +<title>Les disquettes</title> + +<para> +Dans certains cas, vous devrez effectuer votre premier amorçage depuis un +lecteur de disquettes. En général vous +avez besoin d'une disquette haute densité (1440 kilo-octets) de 3,5 pouces. +</para> + +<para arch="powerpc"> +Pour CHRP, l'utilisation de disquette est actuellement impossible. +</para> +</sect2> + +<sect2><title>CD-ROM, DVD-ROM</title> + +<note><para> +Chaque fois que vous lirez <quote>cédérom</quote> dans ce manuel, cela +voudra dire aussi bien cédérom que DVD-ROM, car, du point de vue du système +d'exploitation, les deux techniques sont les mêmes, mis à part quelques +vieux lecteurs non standard, ni SCSI ni IDE/ATAPI. +</para></note> + +<para> +L'installation à partir d'un cédérom est aussi possible avec certaines +architectures. Sur les ordinateurs qui acceptent de démarrer sur cédérom +(cédérom amorçable), vous devriez pouvoir faire une installation entièrement +<phrase arch="not-s390">sans disquette</phrase> +<phrase arch="s390">sans bande</phrase>. +Même si votre système ne peut pas démarrer à +partir d'un cédérom, vous pouvez utiliser le cédérom en même +temps que les autres techniques pour installer votre +système, une fois que vous avez démarré par d'autres +moyens ; voyez le <xref linkend="boot-installer"/>. +</para> + +<para arch="i386"> +Les cédéroms de type SCSI et IDE/ATAPI sont reconnus. +De plus, toutes les interfaces de cédérom +non standard reconnues par Linux sont reconnues par les +disquettes de démarrage (comme les lecteurs Mitsumi et +Matsushita). Cependant, ces modèles peuvent demander des +paramètres de démarrage spéciaux ou d'autres méthodes pour +les faire fonctionner ; et démarrer à partir de ces interfaces +non standard risque de ne pas être possible. Le +<ulink url="&url-cd-howto;">HOWTO Linux CD-ROM</ulink> contient des +informations détaillées sur l'utilisation des cédéroms avec +Linux. +</para> + +<para arch="i386"> +Les lecteurs USB sont reconnus, comme le sont les périphériques FireWire +reconnus par les pilotes ohci1394 et sbp2. +</para> +<para arch="alpha"> +L'architecture &arch-title; reconnaît les lecteurs de cédéroms SCSI et +IDE/ATAPI si le contrôleur est reconnu par la console SRM. Cela exclut +beaucoup de cartes avec contrôleur intégré mais la plupart des cartes avec +puces IDE et SCSI fournies par le constructeur devraient fonctionner. Pour +savoir si votre matériel est reconnu par la console SRM, voyez le +<ulink url="&url-srm-howto;">SRM HOWTO</ulink>. +</para> + + +<para arch="arm"> +Les cédéroms IDE/ATAPI sont reconnus par toutes +les architectures ARM. Sur les RiscPC, les cédéroms SCSI sont +aussi reconnus. +</para> + +<para arch="mips"> +Sur les machines SGI, amorcer depuis un cédérom demande un lecteur SCSI qui +puisse fonctionner avec un bloc logique de 512 bytes. La plupart des lecteurs +SCSI vendus sur le marché ne le peuvent pas. Si votre lecteur possède un +cavalier <quote>Unix/PC ou 512/2048</quote>, mettez-le en position Unix ou +512. +Pour commencer l'installation, choisissez l'entrée +<quote>System installation</quote> dans le firmware. La carte Broadcom +BCM91250A reconnaît les périphériques IDE standard, comme les lecteurs de +cédérom, mais +les images sur cédérom pour cette plateforme ne sont pas fournies car le +firmware ne reconnaît pas les lecteurs de cédérom. +</para> + + +<para arch="mipsel"> +Sur les DECstations, l'amorçage depuis le +cédérom nécessite un lecteur de cédéroms SCSI capable de +travailler avec une taille de bloc logique de 512 octets. +Beaucoup de lecteurs de cédéroms SCSI vendus sur le marché +des PC n'offrent pas cette possibilité. Si votre lecteur de +cédéroms possède un cavalier dénommé « Unix/PC » ou +« 512/2048 », placez-le en position +« Unix » ou « 512 ». +</para> + +<para arch="mipsel"> +Le cédérom n° 1 contient le programme d'installation +pour la sous-architecture r3k-kn02 (DECstations 5000/1xx +et 5000/240 basées sur un processeur R3000, ainsi que pour les +modèles Personal DECstation basés sur un processeur R3000), +et le cédérom n° 2 celui pour la sous-architecture r4k-kn04 +(DECstations 5000/150 et 5000/260 basées sur un processeur +R4x00, ainsi que pour la Personal DECstation 5000/50). +</para> + +<para arch="mipsel"> +Pour amorcer depuis un cédérom, tapez la commande +<userinput>boot +<replaceable>#</replaceable>/rz<replaceable>id</replaceable></userinput> +à l'invite du microprogramme (<emphasis>firmware</emphasis>), où +<replaceable>#</replaceable> est le numéro de périphérique TurboChannel +depuis lequel se fait l'amorçage (3 sur la plupart des +DECstations) et <replaceable>id</replaceable> est l'identifiant SCSI du +lecteur de cédéroms. Si vous avez besoin de fournir des +paramètres supplémentaires, ils peuvent être ajoutés en +suivant cette syntaxe : +</para> + +<para arch="mipsel"> +<userinput>boot +<replaceable>#</replaceable>/rz<replaceable>id</replaceable> +param1=valeur1 param2=valeur2 ...</userinput> +</para> + +</sect2> + +<sect2><title>Les disques durs</title> +<para> +L'installation à partir d'un disque local est possible sur beaucoup +d'architectures. Cela demande qu'un autre système d'exploitation charge +l'installateur sur le disque dur. +</para> + +<para arch="m68k"> +En fait, l'installation à partir d'un disque +local est la technique d'installation préférée pour les +machines &architecture;. +</para> + +<para arch="sparc"> +Malgré que &arch-title; ne permette pas de +démarrer à partir de SunOS (Solaris), l'installation à +partir d'une partition SunOS (par exemple, des tranches UFS) +est tout à fait possible. +</para> + </sect2> + +<sect2 condition="bootable-usb"><title>Les clés USB</title> + +<para> +Beaucoup de machines Debian n'ont besoin d'un lecteur de disquettes ou +d'un lecteur de cédéroms que pour l'installation du système ou pour gérer +des problèmes. Si vous administrez des serveurs, vous avez sans doute déjà +penser à vous débarrasser de ces lecteurs et à utiliser les clés USB. Elles +sont aussi utiles pour les systèmes avec peu de place. +</para> +</sect2> + +<sect2><title>Le réseau</title> + +<para condition="supports-tftp"> +Vous pouvez aussi <emphasis>amorcer</emphasis> votre système sur le réseau. +<phrase arch="mips">C'est la méthode d'installation préférée pour Mips.</phrase> +</para> + +<para condition="supports-nfsroot"> +L'installation sans disque, en utilisant le démarrage par réseau et le +montage par NFS de tous les systèmes de fichiers locaux, est une autre option. +</para> + +<para> +Après l'installation de votre système de base, vous pouvez +installer le reste de votre système grâce à toutes sortes de connexion +réseau (y compris PPP), via FTP ou HTTP. +</para> +</sect2> + +<sect2><title>Un*x ou système GNU</title> +<para> +Si vous utilisez un système de type Unix, vous pouvez installer &debian; sans +utiliser l'installateur qui est décrit dans la suite de ce manuel. Cette manière de +faire peut servir à des utilisateurs qui possèdent des matériels non reconnus +ou qui sont sur des machines qui ne peuvent se permettre un temps d'arrêt. +Si cette technique vous intéresse, reportez-vous à la +<xref linkend="linux-upgrade"/>. + </para> + </sect2> + +<sect2><title>Systèmes de stockage reconnus</title> +<para> +Les disquettes de démarrage Debian contiennent un noyau +construit pour permettre de faire tourner un maximum de +systèmes. Malheureusement, sa taille augmente en conséquence, avec beaucoup +de pilotes qui ne seront jamais utilisés +(voyez la <xref linkend="kernel-baking"/> pour apprendre à +construire le vôtre). Cependant, le support du plus grand +nombre de périphériques possible est voulu afin de +s'assurer que l'on puisse installer Debian sur le plus de +matériel possible. +</para> + +<para arch="i386"> +En général, le système d'installation Debian reconnaît les disquettes, les +disques IDE, les disquettes IDE, les périphériques IDE sur le port parallèle, +les contrôleurs et disques SCSI, les périphériques USB et FireWire. Les +systèmes de fichiers reconnus comprennent FAT, les extensions FAT Win-32 +(VFAT), NTFS et d'autres encore. +</para> + +<para arch="i386"> +Les interfaces disques qui émulent l'interface du disque +dur « AT », qu'on appelle souvent MFM, RLL, IDE +ou ATA sont reconnues. Les très vieux contrôleurs de +disques 8 bits utilisés dans l'ordinateur IBM XT ne sont +acceptés que par module. Les contrôleurs de disques SCSI +provenant de beaucoup de constructeurs différents sont +reconnus. Voyez le +<ulink url="&url-hardware-howto;">HOWTO sur la compatibilité des matériels avec Linux</ulink> +pour plus de détails. +</para> + +<para arch="m68k"> +À peu près tous les systèmes de stockage reconnus par le +noyau Linux sont reconnus par le système d'installation +Debian. Notez que le noyau Linux courant n'accepte pas du tout les disquettes +sur le Macintosh, et le système d'installation Debian ne reconnaît pas les +disquettes pour Amiga. Le système HFS de Macintosh est aussi reconnu sur +les Atari, et l'AFFS en tant que module. Les Macs acceptent le système de +fichiers Atari (FAT). Les Amiga acceptent le système de fichiers FAT et celui +de HFS en module. +</para> + +<para arch="sparc"> +Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est aussi +reconnu par le système de démarrage. Les pilotes SCSI +suivants sont reconnus dans le noyau par défaut : +<itemizedlist> +<listitem><para>Sparc ESP</para></listitem> +<listitem><para>PTI Qlogic,ISP</para></listitem> +<listitem><para>Adaptec AIC7xxx</para></listitem> +<listitem><para>NCR and Symbios 53C8XX</para></listitem> +</itemizedlist> + +Les systèmes IDE (tels que UltraSPARC 5) sont aussi +reconnus. Voyez la <ulink url="&url-sparc-linux-faq;">FAQ Linux pour les processeurs SPARC</ulink> pour plus d'informations +sur le matériel SPARC reconnu par le noyau Linux. +</para> + +<para arch="alpha"> +Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est reconnu par le +système de démarrage. Les disques IDE et SCSI sont reconnus.Il faut cependant +noter que sur de nombreux systèmes, la console SRM est incapable de démarrer +à partir des lecteurs IDE, et la Jensen est incapable de démarrer à partir des +disquettes, voyez + <ulink url="&url-jensen-howto;">&url-jensen-howto;</ulink> pour plus +d'informations sur le démarrage de Jensen. +</para> + +<para arch="powerpc"> +Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est +aussi reconnu par le système de démarrage. Il faut +remarquer que le noyau Linux actuel n'accepte pas du +tout les disquettes sur les systèmes CHRP. +</para> + +<para arch="hppa"> +Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est +aussi reconnu par le système de démarrage. Il faut +remarquer que le noyau Linux actuel n'accepte pas les +disquettes. +</para> + +<para arch="mips"> +Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est +aussi reconnu par le système de démarrage. +</para> + +<para arch="s390"> +Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est +aussi supporté par le système de démarrage. Cela signifie +que les DASD FBA et ECKD sont reconnus pour les vieux +formats de disque Linux (ldl) et le nouveau format de +disque S/390 plus courant (cdl). +</para> + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/hardware/memory-disk-requirements.xml b/fr/hardware/memory-disk-requirements.xml new file mode 100644 index 000000000..1818911a5 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/memory-disk-requirements.xml @@ -0,0 +1,46 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="memory-disk-requirements"> +<title>Mémoire et espace disque</title> + +<para> +Vous devez posséder au moins &minimum-memory; de mémoire vive +et &minimum-fs-size; d'espace disque. Pour un système minimal en mode console +(tous les paquets standard), 250 Mo seront nécessaires. Si vous voulez +installer un nombre raisonnable de logiciels, y compris le système X Window, +des programmes et bibliothèques de développement, il vous faudra au moins +400 Mo. Pour une installation plus ou moins complète, vous aurez besoin +de plusieurs Go. +</para> + +<para arch="m68k"> +Sur l'Amiga, la taille de la FastRAM est en rapport avec la mémoire totale +nécessaire. De plus, l'utilisation de cartes Zorro avec de la mémoire 16 bits +n'est pas possible ; vous aurez besoin de mémoire 32 bits. Vous pouvez +utiliser le programme <command>amiboot</command> pour désactiver la mémoire +16 bits ; voir la <ulink url="&url-m68k-faq;">FAQ Linux/m68k</ulink>. +Les noyaux récents désactivent automatiquement la mémoire 16 bits. +</para> + +<para arch="m68k"> +Sur l'Atari, aussi bien la ST-RAM que la Fast RAM (TT-RAM) sont utilisées par +Linux. De nombreux utilisateurs ont signalé des problèmes en faisant tourner +le noyau en Fast-RAM, aussi le démarrage Atari placera le noyau en ST-RAM. Le +minimum de mémoire ST-RAM nécessaire est 2 Mo. Vous aurez besoin d'au +moins 12 Mo supplémentaires de TT-RAM. +</para> + +<para arch="m68k"> +Sur Macintosh, il faut faire attention avec les machines qui utilisent la +RAM-based video (RBV). Le segment de mémoire à l'adresse physique 0 est +utilisé comme mémoire d'écran, rendant la position de chargement par défaut +du noyau indisponible. Le segment de mémoire alternatif utilisé par le noyau +et ramdisk doit être d'au moins 4 Mo. +</para> + +<para arch="m68k"> +<emphasis condition="FIXME">FIXME: is this still true?</emphasis> +</para> + + </sect1> diff --git a/fr/hardware/network-cards.xml b/fr/hardware/network-cards.xml new file mode 100644 index 000000000..ba7d7b5a1 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/network-cards.xml @@ -0,0 +1,158 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="network-cards"> +<title>Matériel de connexion réseau</title> + +<para arch="i386"> +<!-- last updated for kernel-image_2.0.36-2 --> + +La plupart des cartes PCI et beaucoup des anciennes cartes ISA sont +acceptées. Certaines cartes réseau ne sont pas reconnues par les disques +d'installation Debian, comme les cartes et protocoles AX.25, +les cartes NI16510 EtherBlaster, les cartes Schneider & Koch G16 et les +cartes Zenith Z-Note. Les cartes réseau Microchannel (MCA) ne sont pas +reconnues par le système d'installation standard, mais +<ulink url="&url-linux-mca;">Linux sur MCA</ulink> donnent de (vieilles) +instructions. +Les réseaux FDDI ne sont pas reconnus par les disques d'installation, +à la fois cartes et protocoles. + +<!-- missing-doc FIXME You can create a custom kernel which supports an +otherwise unsupported card and then substitute in the installer (see +<xref linkend="rescue-replace-kernel"/>). --> +</para> + +<para arch="i386"> +Pour ce qui est du RNIS, le protocole sur canal D pour l'1TR6 +allemand n'est pas reconnu ; les cartes Spellcaster BRI +ISDN ne sont pas reconnues non plus par l'installateur Debian. +</para> + +<para arch="m68k"> +Toute carte d'interface réseau (NIC, network interface card) +reconnue par le noyau Linux devrait aussi être reconnue par les disques de +démarrage. Vous aurez peut-être besoin de charger votre pilote réseau en +module. De même, voyez la <ulink url="&url-m68k-faq;">FAQ Linux/m68k</ulink> +pour des détails complets. +</para> + +<para arch="sparc"> +Les cartes réseaux (NIC) suivantes sont reconnues directement par +le noyau de démarrage : +<itemizedlist> +<listitem><para>Sun LANCE</para></listitem> +<listitem><para>Sun Happy Meal</para></listitem> +</itemizedlist> +</para> + +<para arch="sparc"> +Les cartes d'interface réseau (NIC) suivantes sont reconnues en module. Elles +peuvent être activées une fois que les pilotes ont été installés durant la +configuration. Cependant, à cause de la magie de l'OpenPROM, vous devriez +quand même pouvoir démarrer à partir de ces périphériques : +<itemizedlist> +<listitem><para>Sun BigMAC</para></listitem> +<listitem><para>Sun QuadEthernet</para></listitem> +<listitem><para>MyriCOM Gigabit Ethernet</para></listitem> +</itemizedlist> +</para> + +<para arch="alpha"> +Toute carte réseau (NIC) reconnue par le noyau Linux devrait aussi +être reconnue par les disques de démarrage. Vous pourriez avoir besoin de +charger le pilote de la carte en tant que module. +</para> + +<para arch="powerpc"> +Toute carte réseau (NIC) reconnue par le noyau Linux devrait +aussi être reconnue par les disques de démarrage. Vous +pourriez avoir besoin de charger le pilote de la carte en tant que +module. +</para> + +<para arch="hppa"> +Toute carte réseau (NIC) reconnue par le noyau Linux devrait +aussi être reconnue par les disques de démarrage. Vous +pourriez avoir besoin de charger le pilote de la carte en tant que +module. +</para> +<para arch="ia64"> +Toute carte réseau (NIC) reconnue par le noyau Linux devrait aussi +être reconnue par les disques de démarrage. Vous pourriez avoir besoin de +charger le pilote de la carte en tant que module. +</para> + +<para arch="mips"> +Toute carte réseau (NIC) reconnue par le noyau Linux devrait +aussi être reconnue par les disques de démarrage. Vous +pourriez avoir besoin de charger le pilote de la carte en tant que +module. +</para> + +<para arch="mipsel"> +À cause des limitations du noyau, seules les interfaces réseau sur +DECstations sont reconnues, les cartes réseaux optionnelles +TurboChannel ne fonctionnent pas pour le moment. +</para> + +<para arch="s390"> +Toute carte réseau (NIC) reconnue par le noyau Linux devrait +aussi être reconnue par les disques de démarrage. Vous +pourriez avoir besoin de charger le pilotede la carte en tant que +module. La liste des périphériques reconnus est : +<itemizedlist> +<listitem><para> +Connexion canal à canal («nbsp;Channel to Channel +(CTC) ») et connexion ESCON (réelle ou émulée). +</para></listitem> +<listitem><para> +OSA-2 Token Ring/Ethernet et OSA-Express Fast Ethernet +(non-QDIO) +</para></listitem> +<listitem><para> +Véhicule de communication inter-utilisateurs +(« Inter-User Communication Vehicle (IUCV) » +— disponible pour les invités VM seulement +</para></listitem> +<listitem><para> +OSA-Express en mode QDIO, HiperSockets et Guest-LANs +</para></listitem> +</itemizedlist> +</para> + +<para arch="arm"> +Les interfaces réseau suivantes sont reconnues directement par +les disques d'installation sur machines NetWinder et CATS : +<itemizedlist> +<listitem><para>PCI-based NE2000</para></listitem> +<listitem><para>DECchip Tulip</para></listitem> +</itemizedlist> +</para> + +<para arch="arm"> +Les cartes suivantes sont reconnues directement par les +disquettes d'installation sur RiscPCs : +<itemizedlist> +<listitem><para>Ether1</para></listitem> +<listitem><para>Ether3</para></listitem> +<listitem><para>EtherH</para></listitem> +</itemizedlist> +</para> + +<para arch="arm"> +Si votre carte est mentionnée dans la liste ci-dessus, +l'installation complète peut être réalisée depuis le réseau sans +nécessiter de disquette ou de cédérom. +</para> + +<para arch="arm"> +Toute autre carte réseau (NIC) reconnue par le noyau Linux +devrait également être reconnue par les disques +d'installation. Vous devrez peut-être charger le pilote de la +carte en tant que module ; cela signifie que vous devrez +installer le noyau du système d'exploitation et les modules à +partir d'un autre support. +</para> + + </sect1> diff --git a/fr/hardware/supported-peripherals.xml b/fr/hardware/supported-peripherals.xml new file mode 100644 index 000000000..331546bee --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported-peripherals.xml @@ -0,0 +1,187 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29467 --> + + <sect1 id="supported-peripherals"> +<title>Périphériques et autres matériels</title> + +<para arch="not-s390"> +Linux reconnaît une large gamme de périphériques comme les souris, les +imprimantes, les scanners, les modems, les cartes réseau, les périphériques +PCMCIA et USB, etc. Cependant aucun de ces périphériques n'est requis lors de +l'installation du système. +</para> + +<para arch="i386"> +Le matériel USB fonctionne correctement mais certains +claviers USB peuvent nécessiter une configuration supplémentaire +(voyez la <xref linkend="usb-keyboard-config"/>). +</para> + +<para arch="i386"> +Encore une fois, reportez-vous au +<ulink url="&url-hardware-howto;">HOWTO sur la compatibilité des matériels avec Linux</ulink> +pour déterminer si votre matériel est reconnu par Linux. +</para> + +<para arch="s390"> +Les installations de paquets à partir de XPRAM ou d'une bande ne sont pas +reconnues par le système. Tous les paquets que vous désirez installer doivent +être disponibles sur un DASD ou bien sur le réseau via NFS, HTTP ou FTP. +</para> + +<para arch="mips"> +La carte d'évaluation Broadcom BCM91250A fournit des emplacements PCI 3,3v +32 et 64 bits ainsi que des connecteurs USB. + +</para><para arch="mipsel"> + +La carte d'évaluation Broadcom BCM91250A fournit des emplacements PCI 3,3v +32 et 64 bits ainsi que des connecteurs USB. Le Cobalt RaQ ne permet pas +l'ajout de périphérique mais le Qube a un emplacement PCI libre. + +</para> + + </sect1> + + <sect1 arch="not-s390"> +<title>Acheter du matériel spécialement pour GNU/Linux</title> + +<para> +Il existe des vendeurs qui livrent des systèmes en +<ulink url="&url-pre-installed;">préinstallant</ulink> Debian ou d'autres +distributions de GNU/Linux. Vous paierez +peut-être plus cher pour avoir ce privilège, mais vous achetez ainsi un peu +de tranquillité d'esprit, puisque vous serez certain que le matériel est bien +reconnu par GNU/Linux. +</para> + +<para arch="m68k"> +Malheureusement, il est assez rare de trouver un vendeur qui livre des +machines &arch-title; neuves. +</para> + +<para arch="i386"> +Si vous devez acheter un ordinateur fourni avec Windows, lisez attentivement +la licence logicielle accompagnant Windows ; vous pourrez peut-être +rejeter la licence et obtenir un rabais de votre vendeur. Une recherche sur internet +avec la chaine <quote>rabais sur Windows</quote> peut vous donner des pistes. +</para> + +<para> +Que vous achetiez ou non un système livré avec Linux, ou même un système +d'occasion, il est important de vérifier que votre matériel est reconnu par +le noyau Linux. Vérifiez si votre matériel est listé dans les références +ci-dessus. Indiquez à votre revendeur que vous recherchez un +système Linux. Soutenez les revendeurs de matériel amis de Linux. +</para> + + <sect2> +<title>Éviter les matériels propriétaires ou fermés</title> + +<para> +Certains constructeurs refusent simplement de fournir les informations qui +permettraient d'écrire des pilotes pour leurs matériels. D'autres +n'autorisent pas l'accès à la documentation sans accord de confidentialité, +ce qui nous empêche de distribuer le code source pour Linux. + </para> + +<para arch="m68k"> +Un exemple est le matériel propriétaire dans les anciennes gammes +Macintosh. En fait, aucune spécification ni documentation n'a été donnée +sur le matériel Macintosh, surtout en ce qui concerne le contrôleur ADB +(utilisé par la souris et le clavier), le contrôleur de disquettes, et toute +l'accélération et la manipulation des CLUT sur le matériel vidéo (bien que +la manipulation des CLUT soit maintenant possible sur la plupart des +composants vidéo internes). Cela explique en partie pourquoi le portage de +Linux sur Macintosh est en retard par rapport aux autres portages Linux. +</para> + +<para> +Puisque nous n'avons pas été autorisés à accéder à la documentation sur ces +périphériques, ils ne fonctionneront simplement pas sous Linux. Vous pouvez +nous aider en demandant à ces constructeurs de distribuer la documentation +sur de tels matériels. Si suffisamment de personnes font cette demande, ils +réaliseront que la communauté du logiciel libre est un marché important. +</para> + + </sect2> + + <sect2 arch="i386"> +<title>Matériels spécifiques à Windows</title> + +<para> +La prolifération de modems et d'imprimantes spécifiques à Windows est une +fâcheuse tendance. Ces périphériques sont spécialement conçus pour être +directement gérés par le système d'exploitation Windows de Microsoft et +portent le terme <quote>WinModem</quote> ou +<quote>fabriqué spécifiquement pour les ordinateurs utilisant +Windows</quote>. Cela est généralement obtenu en enlevant les processeurs +internes aux périphériques et en confiant le travail qu'ils accomplissaient à +un pilote Windows qui tourne en utilisant le processeur de votre ordinateur. +Cette stratégie permet la fabrication d'un matériel à moindre coût mais les +utilisateurs <emphasis>ne bénéficient pas</emphasis> souvent de ces économies +et ces matériels peuvent être parfois plus chers que des périphériques +équivalents qui gardent leur « intelligence » interne. +</para> + +<para> +Vous devriez éviter les périphériques spécifiques à Windows pour deux +raisons. La première est que les constructeurs ne rendent généralement pas +publics les moyens nécessaires pour écrire un pilote Linux. Le matériel et +l'interface logicielle du périphérique sont propriétaires et la +documentation, quand elle existe, n'est pas disponible sans un accord de +confidentialité. Cela empêche toute utilisation dans un logiciel libre, +puisque les auteurs de logiciel libre communiquent le code source de leurs +programmes. La seconde raison est que lorsqu'on retire de ces périphériques +leurs processeurs internes, le système d'exploitation doit accomplir +le travail de ces processeurs internes, souvent dans une priorité +<emphasis>temps réel</emphasis> ; ainsi le processeur n'est plus +disponible pour faire tourner vos programmes pendant qu'il gère ces +périphériques. Puisque l'utilisateur moyen de Windows n'utilise pas aussi +intensivement que celui de Linux le multitâche, les constructeurs espèrent +que l'utilisateur de Windows ne remarquera pas la charge que fait porter ce +matériel sur le processeur. Mais de toute façon, tout système d'exploitation +multitâche, même Windows 95 ou NT, est affaibli lorsque les constructeurs de +périphériques lésinent sur la puissance de calcul interne de leurs matériels. +</para> + +<para> +Vous pouvez changer cette situation en encourageant ces constructeurs à +publier les documentations et tout autre moyen nécessaire à la programmation +de leurs matériels. Mais la meilleure stratégie est simplement d'éviter ce +genre de matériel tant qu'il n'est pas répertorié dans le +<ulink url="&url-hardware-howto;">HOWTO sur la compatibilité des matériels avec Linux</ulink>. +</para> + + </sect2> + + <sect2 id="Parity-RAM"> +<title>Fausse mémoire ou « mémoire virtuelle » à parité</title> + +<para> +Si vous demandez de la mémoire à parité dans un magasin d'informatique, vous +aurez probablement des barrettes à <emphasis>parité virtuelle</emphasis> à la +place de celles à <emphasis>parité réelle</emphasis>. Les barrettes SIMM à +parité virtuelle peuvent souvent (mais pas toujours) être distinguées car +elles n'ont qu'un composant de plus qu'une barrette SIMM normale +équivalente et ce composant supplémentaire est plus petit que les autres. Les +barrettes SIMM à parité virtuelle fonctionnent exactement comme de la mémoire +normale. Elles ne peuvent pas vous avertir lorsque vous avez une erreur sur +un simple bit comme le font les barrettes SIMM à parité réelle dans des +cartes mères qui implémentent la parité. Ne payez jamais plus pour une +barrette SIMM à parité virtuelle que pour une barrette normale. Attendez-vous +à payer un petit peu plus cher pour des barrettes à parité réelle, car vous +achetez vraiment un bit supplémentaire de mémoire pour chaque 8 bits. +</para> + +<para> +Si vous voulez des informations complètes sur les problèmes liés à la mémoire +&arch-title;, et sur la meilleure mémoire à acheter, voyez la +<ulink url="&url-pc-hw-faq;">FAQ sur le matériel PC</ulink>. +</para> +<para arch="alpha"> +Presque tous, sinon tous, les systèmes Alpha demandent une RAM à parité +réelle. + </para> + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/hardware/supported/alpha.xml b/fr/hardware/supported/alpha.xml new file mode 100644 index 000000000..2d50030e4 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/alpha.xml @@ -0,0 +1,461 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="alpha" id="alpha-cpus"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> +Vous pourrez trouver une information complète concernant les architectures +DEC Alpha reconnues dans le +<ulink url="&url-alpha-howto;">HOWTO Linux Alpha</ulink>. Le but de cette +section est de décrire les sous-architectures reconnues par les disquettes de +démarrage. +</para> + +<para> +Les stations Alpha sont groupées en sous-architectures car il existe un +certain nombre de générations de cartes mère et de chipsets associés. Des +sous-architectures différentes ont souvent des possibilités et une +fabrication radicalement différentes. Par conséquent, le processus +d'installation, et plus précisément, le démarrage, peuvent varier d'un +système à l'autre. +</para> + +<para> +Le tableau suivant énumère les sous-architectures +reconnues par le système d'installation de Debian. La +table indique aussi le <emphasis>nom de code</emphasis> pour ces +sous-architectures. Vous aurez besoin de connaître ce nom +de code quand vous commencerez effectivement le processus +d'installation : +</para> + +<informaltable> +<tgroup cols="4"> +<colspec colname="c1"/> +<colspec colname="c2"/> +<colspec colname="c3"/> +<colspec colname="c4"/> +<thead> +<row> + <entry namest="c1" nameend="c2">Hardware Type</entry> + <entry>Aliases</entry><entry>MILO image</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry morerows="3">ALCOR</entry> + <entry>AlphaStation 500 5/266.300</entry> + <entry>Maverick</entry> + <entry>alcor</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 500 5/333...500</entry> + <entry>Bret</entry> + <entry>alcor</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 600/266...300</entry> + <entry>Alcor</entry> + <entry>alcor</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 600/300...433</entry> + <entry>XLT</entry> + <entry>xlt</entry> +</row> + +<row> + <entry>BOOK1</entry> + <entry>AlphaBook1 (laptop)</entry> + <entry>Alphabook1/Burns</entry> + <entry>book1</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="7">AVANTI</entry> + <entry>AlphaStation 200 4/100...166</entry> + <entry>Mustang</entry> + <entry>avanti</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 200 4/233</entry> + <entry>Mustang+</entry> + <entry>avanti</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 205 4/133...333</entry> + <entry>LX3</entry> + <entry>avanti</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 250 4/300</entry> + <entry>M3+</entry> + <entry>avanti</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 255 4/133...333</entry> + <entry>LX3+</entry> + <entry>avanti</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 300 4/266</entry> + <entry>Melmac</entry> + <entry>avanti</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 400 4/166</entry> + <entry>Chinet</entry> + <entry>avanti</entry> +</row><row> + <entry>AlphaStation 400 4/233...300</entry> + <entry>Avanti</entry> + <entry>avanti</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="3">EB164</entry> + <entry>AlphaPC164</entry> + <entry>PC164</entry> + <entry>pc164</entry> +</row><row> + 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DS10</entry> + <entry>Webbrick</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>AlphaServer DS10L</entry> + <entry>Slate</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>AlphaServer DS20</entry> + <entry>Catamaran/Goldrush</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>AlphaServer DS20E</entry> + <entry>Goldrack</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>AlphaServer DS20L</entry> + <entry>Shark</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>AlphaServer ES40</entry> + <entry>Clipper</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>DP264</entry> + <entry>DP264</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>SMARTengine 21264 PCI/ISA SBC</entry> + <entry>Eiger</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>UNKNOWN</entry> + <entry>Warhol</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>UNKNOWN</entry> + <entry>Windjammer</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>UP2000</entry> + <entry>Swordfish</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>XP1000</entry> + <entry>Monet/Brisbane</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>XP900</entry> + <entry>Webbrick</entry> + <entry>N/A</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="1">WILDFIRE</entry> + <entry>AlphaServer GS160</entry> + <entry>Wildfire</entry> + <entry>N/A</entry> +</row><row> + <entry>AlphaServer GS320</entry> + <entry>Wildfire</entry> + <entry>N/A</entry> +</row> + +<row> + <entry>XL</entry> + <entry>XL-233...266</entry> + <entry>XL</entry> + <entry>xl</entry> +</row> + +</tbody></tgroup></informaltable> + + +<para> + +Nous pensons que la version Debian &releasename; s'installe sur toutes les +sous-architectures alpha, sauf les sous-architectures Ruffian avec ARC et XL +ainsi que la sous-architecture Titan, qui demandent une modification des +options de compilation du noyau. +</para> + + </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/arm.xml b/fr/hardware/supported/arm.xml new file mode 100644 index 000000000..8a2e08df7 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/arm.xml @@ -0,0 +1,95 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 25809 --> + + <sect2 arch="arm"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> +Chaque architecture ARM différente exige son propre noyau. C'est pour cela +que la distribution Debian standard ne propose d'installation que sur les +principaux systèmes. Mais <emphasis>tout</emphasis> CPU ARM avec xscale peut +utiliser le <quote>Debian userland</quote>. +</para> +<para> +La plupart des CPU ARM peuvent fonctionner en mode petit-boutien ou +en mode grand-boutien. Cependant les systèmes les plus courants utilisent +le mode petit-boutien. +Debian fonctionne uniquement sur les processeurs ARM petit-boutiens. +</para> + +<para> +Les machines reconnues sont les suivantes : + + +<variablelist> +<varlistentry> +<term>Netwinder</term> +<listitem><para> + +C'est le nom d'un groupe de machines basées sur le processeur +StrongARM 110 et le Northbridge 21285 d'intel : Netwinder +(l'une des machines ARM les plus connues), CATS (EB110ATX), EBSA 285 et Compaq +personal server (cps, skiff). + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>Bast</term> +<listitem><para> + +C'est une carte moderne ARM 920 avec un processeur Samsung à +266 MHz. +Elle possède des interfaces intégrées IDE, USB, série, parallèle, audio, vidéo, +flash et deux ports Ethernet. Le système possède un bon programme d'amorçage, +qu'on peut trouver sur les systèmes CATS et Riscstation. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>RiscPC</term> +<listitem><para> + +Cette machine, apparue en 1994, est le plus vieux matériel reconnu. +Elle possède RISC OS en ROM. Linux peut être amorcé à partir de ce système +avec linloader. RiscPC possède une carte pour des processeurs de type +610 à 30 MHz, 710 à 40 MHz ou Strongarm 110 à 233 MHz. +La carte mère possède des interfaces +intégrées IDE, SVGA vidéo, un port parallèle, un port série, un clavier PS/2 +et un port pour la souris. Le bus d'extension pour des modules propriétaires +autorise jusqu'à huit cartes d'extension selon la configuration ; +plusieurs de ces modules ont des pilotes Linux. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>Riscstation</term> +<listitem><para> + +C'est une machine bon marché avec un processeur 7500FE à 56 MHz et des +interfaces intégrées, vidéo, IDE, un clavier et une souris PS/2 et deux ports +série. Son prix compensait son manque de puissance. On la trouve avec deux +configurations, l'une avec RISC OS et l'autre avec un simple programme +d'amorçage. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>LART</term> +<listitem><para> + + +C'est une plateforme avec du matériel modulaire à destination des +enthousiastes. Pour utiliser Debian avec fruit, le système doit posséder une +carte d'extension KSB. + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +</para> + </sect2> + diff --git a/fr/hardware/supported/hppa.xml b/fr/hardware/supported/hppa.xml new file mode 100644 index 000000000..29c611b33 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/hppa.xml @@ -0,0 +1,15 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + + <sect2 arch="hppa"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> +Il y a 2 versions principales de <emphasis>&architecture;</emphasis> : +PA-RISC 1.1 et PA-RISC 2.0. L'architecture PA-RISC 1.1 +s'adresse aux processeurs 32 bits tandis que la 2.0 s'adresse aux processeurs +64 bits. Certains systèmes permettent d'exécuter l'un ou l'autre noyau. +Dans les deux cas, l'espace utilisateur (<quote>userland</quote>) est en +32 bits. Il y a aura peut-être un espace utilisateur en 64 bits. +</para> + </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/i386.xml b/fr/hardware/supported/i386.xml new file mode 100644 index 000000000..f5bac3982 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/i386.xml @@ -0,0 +1,38 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + + <sect2 arch="i386"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> +Vous pouvez trouver une information complète concernant les périphériques +reconnus dans le <ulink url="&url-hardware-howto;">HOWTO sur la compatibilité +des matériels avec Linux</ulink>. +Cette section présente seulement les éléments de base. +</para> + + <sect3> +<title>Microprocesseur</title> + +<para> +Quasiment tous les processeurs de la famille x86 sont reconnus ; cela +veut dire également les processeurs AMD et VIA (anciennement Cyrix). Les +nouveaux processeurs tels que Athlon XP et Intel P4 Xeon sont également +reconnus. Cependant, Linux <emphasis>ne fonctionnera pas</emphasis> sur les +processeurs 286 ou antérieurs. +</para> + </sect3> + + <sect3 id="bus"> +<title>Bus d'entrée-sortie</title> + +<para> +Le bus système est la partie de la carte mère permettant au CPU de +communiquer avec les périphériques tels que les périphériques de stockage. +Votre ordinateur doit utiliser l'un des bus ISA, EISA, PCI, l'architecture +Microchannel (MCA, utilisée sur la gamme des PS/2 d'IBM) ou VESA Local Bus +(VLB, parfois appelé bus VL). +</para> + + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/ia64.xml b/fr/hardware/supported/ia64.xml new file mode 100644 index 000000000..3e80b9919 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/ia64.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/hardware/supported/m68k.xml b/fr/hardware/supported/m68k.xml new file mode 100644 index 000000000..a161a8e1d --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/m68k.xml @@ -0,0 +1,39 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="m68k"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> +Vous trouverez une information complète sur les systèmes +à base de M68000 (<emphasis>&architecture;</emphasis>) reconnus dans +la <ulink url="&url-m68k-faq;">FAQ Linux/m68k</ulink>. Cette section presente +seulement les éléments de base. +</para> + +<para> +Le portage &architecture; de Linux tourne sur tout 680x0 comportant un PMMU +(« Paged Memory Management Unit » ou Unité de Gestion de Mémoire +Paginée) et un FPU (« floating-point unit » ou Unité à Virgule +Flottante). Cela comprend les 68020 avec un PMMU 68851 externe, les 68030 et +suivants, et exclut la gamme <quote>EC</quote> des processeurs 680x0. Voyez +la <ulink url="&url-m68k-faq;">FAQ Linux/m68k</ulink> pour des +détails complets. +</para> + +<para> +Il y a quatre grands groupes parmi l'architecture +<emphasis>&architecture;</emphasis> : les machines Amiga, Atari, +Macintosh et VME. Les Amiga et Atari ont été les deux premiers systèmes sur +lesquels Linux a été porté ; ainsi, ce sont les deux meilleurs portages +de Debian. La gamme Macintosh est reconnue de manière incomplète, à la fois +par Debian et par le noyau Linux ; voyez +<ulink url="&url-m68k-mac;">Linux m68k pour Macintosh</ulink> pour avoir un +état du projet et du matériel reconnu. Les ordinateurs à carte VMEbus BVM et +Motorola sont les ajouts les plus récents à la liste du matériel reconnu par +Debian. Les portages vers d'autres architectures &architecture;, telles +que l'architecture Sun3 et la boîte noire NeXT, sont en cours mais pas encore +reconnus par Debian. +</para> + + </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/mips.xml b/fr/hardware/supported/mips.xml new file mode 100644 index 000000000..1b6314184 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/mips.xml @@ -0,0 +1,54 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 22939 --> + + <sect2 arch="mips"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> + +Debian sur &arch-title; gère actuellement deux sous-architectures : + +<itemizedlist> +<listitem><para> +SGI IP22 : Cette plateforme englobe les machines SGI Indy, Indigo 2 et +Challenge S. Puisque ces machines sont très semblables, chaque fois que ce +document se rapporte au machine SGI Indy, cela concerne aussi les machines +Indigo 2 et Challenge S. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Broadcom BCM1250 (SWARM) : C'est une carte d'évaluation au format ATX de +Broadcom basé sur la famille de leur processeur SiByte. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +Une information complète à propos des machines mips/mipsel se trouve dans la +<ulink url="&url-mips-howto;">page Linux-MIPS</ulink>. Dans la suite, seuls les +systèmes gérés par l'installateur Debian seront traités. Si vous recherchez de +l'aide pour d'autres sous-architectures, vous pouvez contacter la +<ulink url="&url-list-subscribe;">liste de diffusion debian-&architecture;</ulink>. + +</para> + + <sect3> +<title>Microprocesseur</title> + +<para> + +Sur SGI IP22, les plateformes SGI Indy, Indigo 2 et Challenge S utilisant +les processeurs R4000, R4400, R4600 et R5000 sont reconnues par le système +d'installation de Debian pour MIPS grand-boutien. La carte BCM91250A de +Broadcom qui possède une puce SB1250 avec deux processeurs est gérée en mode +SMP par l'installateur. + +</para><para> + +Certaines machines MIPS peuvent fonctionner dans les modes grand-boutien +ou petit-boutien. Pour les MIPS petit-boutien, veuillez-vous reporter à +la documentation sur l'architecture « mipsel ». + +</para> + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/mipsel.xml b/fr/hardware/supported/mipsel.xml new file mode 100644 index 000000000..20501273b --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/mipsel.xml @@ -0,0 +1,148 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="mipsel"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> + +Debian sur &arch-title; gère actuellement trois sous-architectures : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +DECstation : différents modèles de DECstation sont reconnus. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Cobalt Microserver : seules les machines Cobalt basées sur +MIPS seront traitées ici. Cela inclut les plateformes Cobalt Qube, +RaQ, Qube2 et RaQ2, et la passerelle Microserver. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Broadcom BCM91250A (SWARM) : C'est une carte d'évaluation au format ATX de +Broadcom basé sur la famille de leur processeur SiByte. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +Une information complète à propos des machines mips/mipsel se trouve dans la +<ulink url="&url-mips-howto;">page Linux-MIPS</ulink>. Dans la suite, seuls les +systèmes gérés par l'installateur Debian seront traités. Si vous recherchez de +l'aide pour d'autres sous-architectures, vous pouvez contacter la +<ulink url="&url-list-subscribe;">liste de diffusion debian-&architecture;</ulink>. + +</para> + + <sect3><title>Microprocesseur/types de machine</title> + +<para> +Actuellement seules les DECstations utilisant les processeurs R3000 +et R4000/R4400 sont reconnues par le système d'installation de Debian +pour MIPS petit-boutien. Le système d'installation de Debian fonctionne +sur les machines suivantes : +</para> + +<para> +<informaltable> +<tgroup cols="4"> +<thead> +<row> + <entry>Type système</entry><entry>CPU</entry><entry>Nom de code</entry> + <entry>sous-architecture Debian</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>DECstation 5000/1xx</entry> + <entry>R3000</entry> + <entry>3MIN</entry> + <entry>r3k-kn02</entry> +</row><row> + <entry>DECstation 5000/150</entry> + <entry>R4000</entry> + <entry>3MIN</entry> + <entry>r4k-kn04</entry> +</row><row> + <entry>DECstation 5000/200</entry> + <entry>R3000</entry> + <entry>3MAX</entry> + <entry>r3k-kn02</entry> +</row><row> + <entry>DECstation 5000/240</entry> + <entry>R3000</entry> + <entry>3MAX+</entry> + <entry>r3k-kn02</entry> +</row><row> + <entry>DECstation 5000/260</entry> + <entry>R4400</entry> + <entry>3MAX+</entry> + <entry>r4k-kn04</entry> +</row><row> + <entry>Personal DECstation 5000/xx</entry> + <entry>R3000</entry> + <entry>Maxine</entry> + <entry>r3k-kn02</entry> +</row><row> + <entry>Personal DECstation 5000/50</entry> + <entry>R4000</entry> + <entry>Maxine</entry> + <entry>r4k-kn04</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +</para><para> + +Toutes les machines Cobalt avec une console série sont reconnues (la +console série est nécessaire pour l'installation). + +</para><para> + +La carte Broadcom BCM91250A avec une puce SB1250 à deux processeurs SB-1 +est reconnue en mode SMP par l'installateur +</para> + </sect3> + + <sect3> +<title>Options pour consoles</title> + +<para> + +La console série est disponible sur toutes les DECstations reconnues +(9600 bps, 8N1). Pour utiliser une console série, vous devez démarrer l'image +d'installation en passant l'option <literal>console=ttyS</literal><replaceable>x</replaceable> +(<replaceable>x</replaceable> étant le numéro du port série auquel est connecté le terminal, +généralement <literal>2</literal>, mais <literal>0</literal> pour les Personal DECstations). Sur +3MIN et 3MAX+ (DECstation 5000/1xx, 5000/240 et 5000/260), la console +locale est disponible avec les options graphiques PMAG-BA et PMAGB-B. + +</para><para> + +Si vous possédez un système Linux avec un terminal série, une façon simple de +travailler est d'exécuter <command>cu</command> <footnote> +<para> +Dans Woody, cette commande faisait partie du paquet +<classname>uucp</classname>, mais elle est maintenant dans un paquet distinct. +</para></footnote>. +Exemple : + +<informalexample><screen> +$ cu -l /dev/ttyS1 -s 9600 +</screen></informalexample> + +où l'option <literal>-l</literal> (line) représente le port série à utiliser et +<literal>-s</literal> (speed) la vitesse de transmission (9600 bits par seconde). + +</para><para> + +les plateformes Cobalt et Broadcom BCM91250A utilisent une vitesse de +transmission de 115200 bps. + +</para> + + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/powerpc.xml b/fr/hardware/supported/powerpc.xml new file mode 100644 index 000000000..160dec628 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/powerpc.xml @@ -0,0 +1,384 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30269 --> + + <sect2 arch="powerpc"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> + +Il y a quatre variantes principales de <emphasis>&architecture;</emphasis> +reconnues : PMac (Power-Macintosh), PReP, APUS (Amiga Power-UP System) et +CHRP. Chacune de ces sous-architectures possède sa méthode d'amorçage. Les +différents processeurs sont associés à quatre noyaux différents. +</para> +<para> +Des portages d'autres architectures <emphasis>&architecture;</emphasis>, +telles que Be-Box et MBX sont en cours, mais pas encore faits. Nous aurons +peut-être aussi un portage 64 bits (Power3). +</para> + + +<sect3><title>Les différents noyaux</title> + +<para> +Il existe quatre variantes du noyau powerpc, basées sur le type de +processeur : + +<variablelist> +<varlistentry> +<term>powerpc</term> +<listitem><para> + +La plupart des systèmes utilisent cette variante qui reconnaît les processeurs +PowerPC 601, 603, 604, 740, 750 et 7400. Tous les systèmes Apple Power +Macintosh jusqu'au G4 utilisent l'un de ces processeurs. +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>power3</term> +<listitem><para> + +Le processeur POWER3 est utilisé par les anciens systèmes IBM 64 bits. +On trouve les machines IntelliStation POWER Model 265, les pSeries 610 et 640 +et les RS/6000 7044-170, 7043-260, 7044-270. +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>power4</term> +<listitem><para> + +Le processeur POWER4 est utilisé par les nouveaux systèmes IBM 64 bits. On +trouve les machines pSeries 615, 630, 650, 655, 670 et 690. +</para> +<para> + +L'Apple G5 est aussi basé sur l'architecture POWER4 et utilise cette variante +du noyau. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>apus</term> +<listitem><para> + +Cette variante est destinée au système Amiga Power-UP. + +</para></listitem> + +</varlistentry> +</variablelist> + +</para> +</sect3> + +<sect3><title>La sous-architecture Power Macintosh (pmac)</title> + +<para> +Apple (et quelques autres constructeurs, Power Computing, par +exemple), produit une série d'ordinateurs Macintosh basés sur le processeur +PowerPC. On distingue trois catégories : Nubus, OldWorld PCI et NewWorld. +</para> + +<para> +Les ordinateurs Macintosh utilisant la série des microprocesseurs 680x0 ne +font pas partie de la famille des PowerPC mais de celle des machines m68k. +Ces modèles commencent avec les <quote>Mac II</quote> ou bien ont un +numéro de modèle à trois chiffres comme « Centris 650 » ou +« Quadra 950 ». Les numéros de modèles PowerPC pré-iMac de chez +Apple ont quatre chiffres. +</para> + +<para> +Les systèmes Nubus ne sont pas reconnus par debian/powerpc +pour le moment. L'architecture monolithique du noyau +Linux/PPC n'accepte pas ces machines ; à la place, il faut +utiliser le micronoyau MkLinux Mach, que Debian ne gère pas encore. +Cela inclut les modèles suivants : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +Power Macintosh 6100, 7100, 8100 + + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Performa 5200, 6200, 6300 + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Powerbook 1400, 2300 et 5300 + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Workgroup Server 6150, 8150, 9150 + +</para></listitem> + +</itemizedlist> + +Il existe un noyau Linux pour ces machines et on trouve un support limité +sur la <ulink url="http://nubus-pmac.sourceforge.net/">page</ulink>. + + +</para> + +<para> +Les systèmes OldWorld représentent la plupart des Power +Macintosh qui possèdent un lecteur de disquettes et un bus +PCI. La plupart des Power Macintoshs 603,603e,604 et 604e, +en incluant les 7200, 7300, 7500, 7600, 8500, 8600, 9500 et +9600 sont des machines OldWorld. Les systèmes G3 de couleur +beige sont aussi des OldWorld. +</para> + +<para> +Les machines appelées PowerMacs NewWorld sont les PowerMacs +avec un boîtier en plastique de couleur translucide : +tous les iMacs, iBooks, G4, G3 de couleur bleue et +la plupart des PowerBooks fabriqués à partir de 1999. Les +PowerMacs NewWorld sont aussi connus pour utiliser le +système <quote>Rom en Ram</quote> de MacOS et ont commencé +à être fabriqués à partir de mi-1998. +</para> + +<para> + +Les spécifications pour le matériel Apple sont disponibles sur +<ulink url="http://www.info.apple.com/support/applespec.html">AppleSpec</ulink>, +et pour le matériel plus ancien, +<ulink url="http://www.info.apple.com/support/applespec.legacy/index.html">AppleSpec Legacy</ulink>. +</para> + +<para> + +<informaltable> +<tgroup cols="3"> +<colspec colname="c1"/> +<colspec colname="c2"/> +<colspec colname="c3"/> +<thead> +<row> + <entry namest="c1" nameend="c2">Modèle Nom/Numéro</entry> + <entry>Génération</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry morerows="22">Apple</entry> + <entry>iMac Bondi Blue, 5 Flavors, Slot Loading</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>iMac Summer 2000, Early 2001</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>iMac G5</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>iBook, iBook SE, iBook Dual USB</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>iBook2</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>iBook G4</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh Blue and White (B&W) G3</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh G4 PCI, AGP, Cube</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh G4 Gigabit Ethernet</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh G4 Digital Audio, Quicksilver</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh G5</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>PowerBook G3 FireWire Pismo (2000)</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>PowerBook G3 Lombard (1999)</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>PowerBook G4 Titanium</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>PowerBook G4 Aluminum</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>Xserve G5</entry> + <entry>NewWorld</entry> +</row><row> + <entry>Performa 4400, 54xx, 5500</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Performa 6360, 6400, 6500</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh 4400, 5400</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh 7200, 7300, 7500, 7600</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh 8200, 8500, 8600</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh 9500, 9600</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh (Beige) G3 Minitower</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Power Macintosh (Beige) Desktop, All-in-One</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>PowerBook 2400, 3400, 3500</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>PowerBook G3 Wallstreet (1998)</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Twentieth Anniversary Macintosh</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>Workgroup Server 7250, 7350, 8550, 9650, G3</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="1">Power Computing</entry> + <entry>PowerBase, PowerTower / Pro, PowerWave</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row><row> + <entry>PowerCenter / Pro, PowerCurve</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row> + +<row> + <entry>UMAX</entry> + <entry>C500, C600, J700, S900</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row> + +<row> + <entry>APS</entry> + <entry>APS Tech M*Power 604e/2000</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row> + +<row> + <entry>Motorola</entry> + <entry>Starmax 3000, 4000, 5000, 5500</entry> + <entry>OldWorld</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +</para> + +</sect3> + +<sect3><title>La sous-subarchitecture PReP</title> + +<para> + +<informaltable> +<tgroup cols="2"> +<colspec colname="c1"/> +<colspec colname="c2"/> +<thead> +<row> + <entry namest="c1" nameend="c2">Modèle Nom/Numéro</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry morerows="4">Motorola</entry> + <entry>Firepower, PowerStack Series E, PowerStack II</entry> +</row><row> + <entry>MPC 7xx, 8xx</entry> +</row><row> + <entry>MTX, MTX+</entry> +</row><row> + <entry>MVME2300(SC)/24xx/26xx/27xx/36xx/46xx</entry> +</row><row> + <entry>MCP(N)750</entry> +</row> + +<row> + <entry morerows="3">IBM RS/6000</entry> + <entry>40P, 43P</entry> +</row><row> + <entry>Power 830/850/860 (6070, 6050)</entry> +</row><row> + <entry>6030, 7025, 7043</entry> +</row><row> + <entry>p640</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +</para> +</sect3> + +<sect3><title>La sous-architecture CHRP</title> +<para> + +<informaltable> +<tgroup cols="2"> +<colspec colname="c1"/> +<colspec colname="c2"/> +<thead> +<row> + <entry namest="c1" nameend="c2">Modèle Nom/Numéro</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>IBM RS/6000</entry> + <entry>B50, 43P-150, 44P</entry> +</row> +<row> + <entry>Genesi</entry> + <entry>Pegasos I, Pegasos II</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> +</para> +</sect3> + + <sect3><title>La sous-architecture APUS</title> +<para> +<informaltable> +<tgroup cols="2"> +<colspec colname="c1"/> +<colspec colname="c2"/> +<thead> +<row> + <entry namest="c1" nameend="c2">Modèle Nom/Numéro</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>Amiga Power-UP Systems (APUS)</entry> + <entry>A1200, A3000, A4000</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> + +</para> + +</sect3> + </sect2>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/hardware/supported/s390.xml b/fr/hardware/supported/s390.xml new file mode 100644 index 000000000..5a9b57b6d --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/s390.xml @@ -0,0 +1,18 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect2 arch="s390"> +<title>Types de machine S/390 et zSeries</title> + +<para> +L'information complète en ce qui concerne les machines S/390 et zSeries peut +être trouvée dans le livre rouge d'IBM +<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf">Linux pour IBM eServer zSeries et S/390: distributions</ulink> +au chapitre 2.1 ou dans la +<ulink url="http://oss.software.ibm.com/developerworks/opensource/linux390/documentation-2.4.shtml">page web des détails techniques</ulink> sur +<ulink url="http://oss.software.ibm.com/developerworks/opensource/linux390/index.shtml">developerWorks</ulink>. Pour résumer, +les machines G5, Multiprise 3000, G6 et toutes les zSerie sont reconnues avec +l'émulation en virgule flottante IEEE et donc avec des performances dégradées. +</para> + + </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/sparc.xml b/fr/hardware/supported/sparc.xml new file mode 100644 index 000000000..20fd57754 --- /dev/null +++ b/fr/hardware/supported/sparc.xml @@ -0,0 +1,93 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="sparc" id="sparc-cpus"> +<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> + +<para> +Pour le moment, le portage <emphasis>&architecture;</emphasis> reconnaît de +nombreux types de systèmes Sparc. Les étiquettes habituelles +pour ces systèmes sont sun4, sun4c, sun4m, sun4d and +sun4u. Actuellement, le très vieux matériel sun4 n'est pas géré. Cependant, +les autres systèmes sont reconnus. Sun4d est le dernier à avoir été testé, +attendez-vous donc à des problèmes possibles concernant la stabilité du +noyau. Sun4c et Sun4m, le matériel déclassé le plus courant de chez Sun, +comprennent SparcStation1, 1+, IPC, IPX, et SparcStation +LX,5,10,20 respectivement. La gamme UltraSPARC fait partie de +sun4u et utilise le jeu d'images d'installation sparc64. Certains +systèmes qui portent ces étiquettes ne sont pas reconnus. Il +s'agit, par exemple, du supercomputer AP1000 et du Tadpole +Sparcbook 1. Voyez la <ulink url="&url-sparc-linux-faq;">FAQ Linux pour les +processeurs SPARC</ulink> pour des informations complètes. +</para> + + <sect3> +<title>Configuration de la mémoire</title> + +<para> +Certains postes de travail de Sun, plus anciens, en +particulier le Sun IPX et le Sun IPC, affectent un emplacement fixe +dans la mémoire physique aux banques mémoire. Cela signifie que +si les banques mémoire ne sont pas remplies, il y aura des +« trous » dans l'espace mémoire physique. L'installation +de Linux nécessite un bloc de mémoire continu dans lequel puisse se +charger le noyau et un ramdisk initial. Si ce n'est pas le +cas une <quote>Data Access Exception</quote> se produira. +</para> + +<para> +Vous devez donc configurer la mémoire de telle sorte que le +bloc de mémoire le plus bas soit continu sur au moins +8 Mo. Sur les IPX et IPC cités plus haut, les +banques mémoire sont découpées en tranche de +16 Mo. Dans la pratique, cela signifie que vous devez +avoir installé une SIMM suffisamment grande dans +la banque 0 afin d'héberger le noyau et le ramdisk. Dans +le cas qui nous occupe, 4 Mo n'est <emphasis>pas</emphasis> +suffisant. +</para> + +<para> +Exemple : dans un Sun IPX, vous avez une SIMM de 16 Mo +et une de 4 Mo. Il y a quatre banques SIMM +(0,1,2,3). [La banque 0 est la plus éloignée des +connecteurs SBUS]. Il vous faudra donc installer la SIMM +16 Mo dans l'emplacement 0 ; il est recommandé +d'installer la SIMM de 4 Mo dans la banque 2. +</para> + + </sect3> + + <sect3> +<title>Configuration graphique</title> + +<para> +Particulièrement dans le cas des anciens postes de +travail Sun, il est courant de posséder sur la carte mère un +tampon vidéo désuet (par exemple le bwtwo sur +Sun IPC), et une carte SBUS qui contient un tampon plus récent, accéléré, a +été insérée dans un emplacement SBUS. Sous Solaris/SunOS, ce n'est pas un +problème car les deux cartes sont initialisées. +</para> + +<para> +Cependant, avec Linux, cela peut poser un problème, dans le +sens où le moniteur bootprom peut afficher sa sortie sur la +carte additionnelle ; cependant, les messages de démarrage du +noyau linux peuvent alors être redirigés vers le framebuffer +original, <emphasis>sans</emphasis> afficher de messages d'erreur +à l'écran, laissant croire que la machine +est apparemment bloquée par le chargement du ramdisk. +</para> + +<para> +Pour éviter ce problème, connectez le moniteur (si +nécessaire) à la carte vidéo se trouvant dans l'emplacement +SBUS de numéro le plus bas (sur les cartes mères la carte a +un numéro inférieur aux numéros des connecteurs +externes). Alternativement, il est possible d'utiliser une +console série. +</para> + + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/howto/installation-howto.xml b/fr/howto/installation-howto.xml new file mode 100644 index 000000000..095c4e6f9 --- /dev/null +++ b/fr/howto/installation-howto.xml @@ -0,0 +1,374 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29046 --> + +<appendix id="installation-howto"><title>Guide de l'installation</title> +<para> + +Ce document décrit l'installation de &debian; &releasename; pour +&arch-title; (<quote>&architecture;</quote>) avec le nouvel installateur +Debian. +Il reproduit le processus d'installation et donne les informations qui +serviront à la plupart des installations. Quand des informations +supplémentaires peuvent être utiles, nous renverrons aux explications +plus détaillées du <link linkend="debian_installation_guide">&debian;Installation Guide</link>. + +</para> +<sect1 id="howto-preliminaries"> +<title>Préliminaires</title> +<para> + +<phrase condition="unofficial-build"> +L'installateur Debian est encore en phase bêta. +</phrase> +Si vous rencontrez des erreurs lors de l'installation, veuillez vous +référer à <xref linkend="submit-bug" /> pour savoir comment les signaler. +Si ce document ne répond pas à vos questions, posez-les sur la liste de +diffusion debian-boot (&email-debian-boot-list;) ou demandez sur +IRC (#debian-boot, réseau freenode). + +</para> + </sect1> + + <sect1 id="howto-getting-images"> +<title>Démarrer l'installateur</title> +<para> + +<phrase condition="unofficial-build"> +Des informations sur les images CD se trouvent sur la <ulink url="&url-d-i;"> +page de l'installateur Debian</ulink>. +</phrase> +L'équipe debian-cd fournit des images CD avec l'installateur sur la +<ulink url="&url-debian-cd;">page Debian CD</ulink>. +Pour savoir où trouver des cédéroms, lisez <xref linkend="official-cdrom" />. + +</para><para> + +Certaines méthodes d'installation demandent des images différentes des +images CD. +<phrase condition="unofficial-build"> +La <ulink url="&url-d-i;">page de l'installateur</ulink> offre des liens vers +ces images. +</phrase> +La <xref linkend="where-files" /> explique comment trouver des images sur les +miroirs Debian. + +</para> +<para> + +Les sections suivantes donnent des précisions sur les images nécessaires +pour chaque type d'installation. + +</para> + <sect2 id="howto-getting-images-cdrom"> +<title>CDROM</title> +<para> + +Pour installer &releasename; avec l'installateur, il existe deux sortes +d'image CD +de type <quote>netinst</quote>. Ces images s'amorcent à partir du cédérom +et installent les paquets en les récupérant sur le réseau, d'où le nom, +<quote>netinst</quote>. La différence entre ces images est que, sur l'image +complète, sont inclus les paquets du système de base, tandis que sur l'image +<quote>business card</quote> ils sont récupérés sur le web. Si vous préférez, +vous pouvez obtenir une image complète qui n'a pas besoin du réseau pour +l'installation. Seul le premier cédérom de cet ensemble est nécessaire. + +</para><para> + +Téléchargez l'image que vous préférez et gravez-la sur un cédérom. +<phrase arch="i386">Pour amorcer à partir du cédérom, vous devrez sans doute +changer la configuration du BIOS ; c'est expliqué dans la +<xref linkend="bios-setup" />.</phrase> +<phrase arch="powerpc"> +Pour amorcer un PowerMac à partir du cédérom, appuyez sur la touche +<keycap>c</keycap> lors du démarrage. Voyez la +<xref linkend="boot-cd" /> pour d'autres façons de faire. +</phrase> + +</para> + </sect2> + + <sect2 condition="supports-floppy-boot" id="howto-getting-images-floppy"> +<title>Disquettes</title> +<para> + +Si vous ne pouvez pas amorcer le système à partir du cédérom, vous pouvez +télécharger des images sur disquette. Vous avez besoin de +<filename>floppy/boot.img</filename>, <filename>floppy/root.img</filename> et +peut-être d'une disquette de pilotes. + +</para><para> + +La disquette d'amorçage est celle qui contient <filename>boot.img</filename>. +Lors de l'amorçage, cette disquette demandera l'insertion de la seconde +disquette, celle qui contient <filename>root.img</filename>. + +</para><para> + +Si vous prévoyez d'utiliser le réseau pour faire l'installation, vous aurez +besoin d'une disquette qui contient <filename>floppy/net-drivers.img</filename> +avec les pilotes pour les cartes ethernet ou la gestion des PCMCIA. + +</para><para> + +Si vous possédez un cédérom que vous ne pouvez utiliser pour l'amorçage, +amorcez à partir des disquettes et prenez +<filename>floppy/cd-drivers.img</filename> sur une disquette de pilotes pour +terminer l'installation avec votre cédérom. + +</para><para> + +Les disquettes font partie des supports les moins fiables. Attendez-vous à +trouver beaucoup de disquettes défectueuses +(lisez la <xref linkend="unreliable-floppies" />). Chaque fichier +<filename>.img</filename> téléchargé doit être placé sur une seule disquette. +Vous pouvez utiliser la commande dd pour écrire sur /dev/fd0, ou tout +autre moyen, voyez la <xref linkend="create-floppy" />. +Puisque vous avez plusieurs disquettes, c'est une bonne idée de les +étiqueter. + +</para> + </sect2> + + <sect2 condition="bootable-usb" id="howto-getting-images-usb"> +<title>Clés USB</title> +<para> + +On peut aussi amorcer à partir de support USB amovible. Par exemple, une clé +USB, facilement transportable, peut servir à installer Debian. + +</para><para> + +La manière la plus facile de préparer la clé USB est de télécharger le fichier +<filename>hd-media/boot.img.gz</filename>, puis d'extraire avec gunzip l'image +de 128 Mo. Transférez directement cette image sur la clé, dont la taille doit +évidemment être au moins égale à 128 Mo. Bien sûr, cela détruira toutes les +données présentes sur la clé. Puis montez la clé, avec un système de fichiers +FAT. Téléchargez maintenant une image de type netinst et copiez ce fichier, +dont le nom doit se terminer par <literal>.iso</literal>, sur la clé. + +</para><para> + +Il y a d'autres moyens, plus souples, de mettre en oeuvre une clé USB et +l'installateur Debian peut fonctionner avec des clés qui possèdent moins de +mémoire. Pour des précisions, voyez la <xref linkend="boot-usb-files" />. + +</para><para arch="i386"> + +Certains BIOS peuvent lancer directement des périphériques USB, d'autres +non. Il vous faudra configurer le BIOS et permettre l'amorçage d'un +<quote>disque amovible</quote> ou d'un <quote>USB-ZIP</quote>. Si cela ne +fonctionne pas, vous pouvez amorcer depuis une disquette et utiliser la clé USB +pour la suite de l'installation. Pour des précisions, voyez la +<xref linkend="usb-boot" />. + +</para><para arch="powerpc"> + +Pour amorcer les systèmes Macintosh sur des périphériques USB, il faut +manipuler le microprogramme Open Firmware. Pour des indications, voyez +<xref linkend="usb-boot" />. + +</para> + </sect2> + + <sect2 id="howto-getting-images-netboot"> +<title>Amorcer sur le réseau</title> +<para> + +Il est aussi possible de lancer l'installateur Debian à partir du réseau. +Les différentes méthodes pour cet amorçage réseau dépendent de l'architecture +et de la configuration. Les fichiers dans <filename>netboot/</filename> servent +à l'amorçage de l'installateur. + +</para><para arch="i386"> + +La méthode la plus facile est l'amorçage de type PXE. Extrayez les fichiers +de <filename>netboot/pxeboot.tar.gz</filename> dans le répertoire +<filename>/var/lib/tftpboot</filename> ou dans le répertoire que demande +le serveur tftp. Et configurez le serveur DHCP pour qu'il passe le +nom <filename>/pxelinux.0</filename> aux clients. Avec un peu de chance, +tout marchera bien. +Pour des instructions précises, voyez la <xref linkend="install-tftp" />. + +</para> + </sect2> + + <sect2 id="howto-getting-images-hard-disk"> +<title>Amorcer depuis un disque dur</title> +<para> + + +Il est possible de faire une installation sans utiliser de support +amovible, par exemple avec un disque dur possédant déjà un autre système +d'exploitation. Téléchargez <filename>hd-media/initrd.gz</filename>, +<filename>hd-media/initrd.gz</filename> et une image CD dans le répertoire +racine du disque. Assurez-vous que le nom de l'image CD se termine par +<literal>.iso</literal>. Maintenant, il suffit d'amorcer Linux avec initrd. +<phrase arch="i386"> +La <xref linkend="boot-initrd" /> explique comment faire. +</phrase> + +</para> + </sect2> +</sect1> + +<sect1 id="howto-installation"> +<title>Installation</title> +<para> + +Après le démarrage de l'installateur, l'écran initial est affiché. +Appuyez sur la touche &enterkey; pour amorcer, ou bien lisez les instructions +sur les autres méthodes d'amorçage et sur les paramètres (voyez la +<xref linkend="boot-parms" />). +<phrase arch="i386"> +<phrase condition="sarge"> +Si vous voulez un noyau de la série 2.6, saisissez +<userinput>linux26</userinput> à l'invite <prompt>boot:</prompt> +</phrase> +<phrase condition="etch"> +Si vous voulez un noyau de la série 2.4, saisissez +<userinput>install24</userinput> à l'invite <prompt>boot:</prompt> +</phrase> +<footnote> + <para> +<phrase condition="sarge"> +Le noyau 2.6 est disponible pour toutes les méthodes +d'amorçage, sauf l'amorçage par disquette. +</phrase> +<phrase condition="etch"> +Le noyau 2.6 est le noyau utilisé avec la plupart des méthodes d'amorçage +mais il n'est pas disponible pour amorcer à partir d'une disquette. +</phrase> + +</para> +</footnote>. +</phrase> + +</para> +<para> + +On vous demandera ensuite de choisir une langue. Déplacez-vous avec les flèches +et appuyez sur la touche &enterkey; quand vous avez choisi. On vous demandera +un pays, à choisir parmi les pays où cette langue est parlée. Si votre pays +n'est pas dans la première liste, une liste contenant tous les pays est +disponible. + +</para> +<para> + +On vous demandera de confirmer la carte clavier. Choisissez la carte par +défaut, sauf si vous en connaissez une meilleure. + +</para> +<para> + +Patientez maintenant, tandis que l'installateur détecte le matériel et +charge ses composants à partir d'un cédérom, d'une disquette, d'une clé USB, +etc. +</para> +<para> + +Ensuite l'installateur recherche le matériel réseau et configure le réseau +avec DHCP. Si vous n'êtes pas sur un réseau ou si vous n'utilisez pas DHCP, +vous aurez la possibilité de configurer vous-même le réseau. + +</para> +<para> + +Il est temps maintenant de partitionner les disques. Vous aurez d'abord la +possibilité de partitionner automatiquement soit un disque entier soit l'espace +libre d'un disque. C'est la méthode recommandé pour les débutants ou pour les +gens pressés. Si vous ne voulez pas du partitionnement automatique, choisissez +de partitionner vous-même dans le menu. +</para> + +<para arch="i386"> + +Si vous voulez préserver une partition DOS ou Windows, faites attention en +utilisant le partitionnement automatique. Si vous utiliser le partitionnement +automatique, vous pouvez redimensionner une +partition FAT ou NTFS avec l'installateur pour faire de la place à +Debian : choisissez simplement la partition et indiquez la taille +voulue. +</para> + +<para> + +L'écran suivant montre la table des partitions, avec les systèmes de fichiers +et les points de montage. Choisissez une partition que vous voulez modifier +ou détruire. Si vous aviez choisi le partitionnement automatique, il vous +suffira de sélectionner <guimenuitem>Terminer le partitionnement</guimenuitem> dans le +menu pour accepter ce qui a été fait. N'oubliez pas qu'il vous faut au moins +une partition d'échange et une partition racine montée sur +<filename>/</filename>. D'autres informations sur le partitionnement se +trouvent dans l'<xref linkend="partitioning"/>. + +</para> +<para> + +L'installateur formate les partitions et installe le système de base, +ce qui peut prendre du temps. Puis le noyau est installé. + +</para> +<para> + +La dernière étape est l'installation d'un programme d'amorçage. Si +l'installateur a détecté d'autres systèmes d'exploitation sur la machine, +il les ajoutera au menu du programme d'amorçage. +<phrase arch="i386">GRUB est par défaut installé sur le secteur principal +d'amorçage du premier disque dur, ce qui est une bonne idée. Mais vous avez la +possibilité d'annuler ce choix et de l'installer ailleurs. +</phrase> + +</para> +<para> + +L'installateur annonce maintenant que l'installation est terminée. Retirez le +cédérom ou tout autre support utilisé et appuyez sur la touche &enterkey; pour +réamorcer la machine. +Cela vous conduira à la deuxième étape du processus d'installation qui est +expliquée dans le <xref linkend="boot-new" />. + +</para> +<para> + +Si vous avez besoin d'autres informations sur ce processus d'installation, +voyez le <xref linkend="d-i-intro" />. + +</para> + </sect1> + +<sect1 id="howto-installation-report"> +<title>Envoyez-nous un rapport d'installation</title> +<para> + +Si l'installateur Debian a installé correctement le système, veuillez prendre +le temps de nous envoyer un rapport. Il y a un modèle, +<filename>install-report.template</filename>, dans le répertoire +<filename>/root</filename> du système nouvellement installé. +Remplissez-le et envoyez-le comme un rapport de bogue pour le paquet +<classname>installation-reports</classname>. Voyez les explications dans la +<xref linkend="submit-bug" />. + +</para><para> + +Si l'installation n'a pas atteint base-config ou a rencontré d'autres +problèmes, vous avez sans doute trouvé un bogue dans l'installateur. +Il est nécessaire que nous le connaissions pour améliorer l'installateur. +Veuillez prendre le temps de nous le signaler. Vous pouvez utiliser le modèle +précédent. Si l'installateur a complètement échoué, voyez la +<xref linkend="problem-report" />. + +</para> + </sect1> + + <sect1 id="howto-installation-finally"> +<title>Et ils eurent...</title> +<para> + +Nous espérons que votre système Debian vous plaira et qu'il sera utile. +Vous pouvez maintenant lire le <xref linkend="post-install" />. + +</para> + </sect1> +</appendix> diff --git a/fr/install-methods/automatic-install.xml b/fr/install-methods/automatic-install.xml new file mode 100644 index 000000000..6afa3cf03 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/automatic-install.xml @@ -0,0 +1,110 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="automatic-install"> + <title>Installation automatisée</title> +<para> + +Pour installer Debian sur de nombreux ordinateurs, il est possible +d'automatiser complètement l'installation en utilisant les +paquets Debian suivants : +<classname>fai</classname> (qui utilise un serveur d'installation), +<classname>replicator</classname>, +<classname>systemimager</classname>, +<classname>autoinstall</classname> et +l'installateur Debian lui-même. + +</para> + +<sect2 id="preseed"> +<title>Installation automatique avec l'installateur Debian</title> + +<para> +L'installateur Debian peut automatiser des installations grâce à des fichiers +de préconfiguration. Un fichier de préconfiguration peut se trouver sur le +réseau ou sur un support amovible. Il sert à répondre aux questions qui seront +posées pendant l'installation. +</para> + +<para> +La plupart des dialogues de l'installateur Debian peuvent être +préconfigurés de cette manière. Il y a cependant des exceptions +notables. On peut partitionner tout un disque ou partitionner seulement +une partie de l'espace disponible ; on ne peut pas utiliser des +partitions existantes . +On ne peut pas installer RAID et LVM en utilisant cette méthode. +<phrase condition="sarge">Il n'est pas possible non plus de +préconfigurer les paramètres des modules du noyau, à l'exception des +modules réseau.</phrase> +</para> + +<para> +Le format de ce fichier est celui de la commande debconf-set-selections. +Un exemple fonctionnel et bien documenté, que vous pouvez modifier, se trouve +dans <xref linkend="example-preseed"/>. +</para> +<para> +Une façon simple de créer le fichier complet est de faire une installation, +puis d'utiliser la commande <filename>debconf-get-selections</filename> qui +se trouve dans le paquet <classname>debconf-utils</classname> pour copier les +données de debconf et cdebconf dans /var/log/debian-installer/cdebconf et les +mettre dans un seul fichier : + +<informalexample><screen> +$ debconf-get-selections --installer > <replaceable>fichier</replaceable> +$ debconf-get-selections >> <replaceable>fichier</replaceable> +</screen></informalexample> + +Cependant, un fichier créé de cette manière possédera des éléments qu'on ne +doit pas préconfigurer ; le fichier dans <xref linkend="example-preseed"/> +est un meilleur point de départ pour la plupart des utilisateurs. +</para> +<para> +Une fois que vous avez créé ce fichier de préconfiguration, vous pouvez le +modifier, le placer sur un serveur web ou le copier sur le support de +l'installateur. Mais, quelque soit sa place, vous devez dire à l'installateur +de l'utiliser au moment de l'amorçage. +</para> +<para> +Pour que l'installateur utilise un fichier de préconfiguration sur le réseau, +il faut ajouter preseed/url=http://url/to/preseed.cfg aux paramètres +d'amorçage du noyau. Bien sûr, la préconfiguration ne fonctionnera pas avant +que l'installateur n'ait installé le réseau et récupéré le fichier ; +le mieux est que l'installateur utilise DHCP et installe le réseau sans poser +de questions. On peut aussi régler la priorité à « critique » pour +éviter toute question pendant l'installation du réseau. +Voyez <xref linkend="installer-args"/>. +</para> +<para> +Pour mettre un fichier de préconfiguration sur un cédérom, il faut recréer +l'image ISO et y ajouter le fichier. Voyez la page de manuel de mkisofs. +Vous pouvez aussi mettre le fichier de préconfiguration sur une disquette et +utiliser preseed/file=/floppy/preseed.cfg +</para> +<para arch="i386"> +Si vous voulez amorcer à partir d'une clé USB, vous pouvez copier le fichier de +préconfiguration sur le système de fichiers de la clé, modifier le fichier +syslinux.cfg et y ajouter preseed/file=/hd-media/preseed.cfg pour les +paramètres d'amorçage du noyau. +</para> + + <sect3 condition="etch"> + <title>Préconfiguration des valeurs par défaut</title> +<para> + +Il est possible de préconfigurer la réponse à une question tout en +permettant que la question soit posée. Le drapeau +<firstterm>seen</firstterm> doit être mis à <quote>false</quote> une +fois la valeur déclarée. + +<informalexample><screen> +d-i foo/bar string value +d-i foo/bar seen false +</screen></informalexample> + +</para> + </sect3> + +</sect2> +</sect1> + diff --git a/fr/install-methods/boot-drive-files.xml b/fr/install-methods/boot-drive-files.xml new file mode 100644 index 000000000..3ba8f55fe --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/boot-drive-files.xml @@ -0,0 +1,178 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect1 condition="bootable-disk" id="boot-drive-files"> + <title>Préparer les fichiers pour amorcer depuis un disque dur</title> +<para> + +L'installateur peut être amorcé avec les fichiers d'amorçage placés sur une +partition existante du disque dur, ou bien lancé depuis un autre +système d'exploitation ou en invoquant un programme d'amorçage depuis le +BIOS. + +</para><para> + +Une installation complète via le réseau peut s'effectuer en utilisant cette +technique. Cela évite les manipulations pénibles des supports amovibles, +trouver puis graver des images de cédérom ou manipuler un nombre +faramineux de disquettes peu fiables. + +</para><para arch="i386"> + +L'installateur ne peut amorcer avec des fichiers placés sur un système de +fichiers NTFS. + +</para><para arch="powerpc"> + +L'installateur ne peut amorcer avec des fichiers placés dans un système de +fichiers HFS+. Ce système de fichiers peut être utilisé par le système +MacOS 8.1 et suivants ; les PowerMac NewWolrd utilisent tous HFS+. Pour +savoir quel type de système de fichiers est présent sur votre système, +sélectionnez <userinput>Get Info</userinput> sur le volume en question. Les +systèmes de fichiers HFS apparaissent alors comme +<userinput>Mac OS Standard</userinput> tandis que ceux en HFS+ +renvoient <userinput>Mac OS Extended</userinput>. Vous devez avoir une +partition HFS pour échanger des fichiers entre MacOS et Linux, en particulier +les fichiers d'installation que vous avez téléchargés. + +</para><para arch="powerpc"> + +On utilise différents programmes pour l'installation sur disque dur suivant +que le système est un modèle <quote>NewWorld</quote> ou un modèle +<quote>OldWorld</quote>. + +</para> + + <sect2 arch="i386" id="files-lilo"> +<title>Démarrage du programme d'installation à partir du disque dur avec <command>LILO</command> ou <command>GRUB</command></title> +<para> + +Cette section explique comment ajouter ou remplacer une partition linux +existante en utilisant <command>LILO</command> ou <command>GRUB</command>. + +</para><para> + +Lors du démarrage, les programmes d'amorçage permettent de charger en mémoire +non seulement le noyau, mais également une image de disque. Cette image en +mémoire peut être utilisée en tant que système de fichier racine par le noyau. + +</para><para> + +Copiez les fichiers suivants depuis l'archive Debian sur votre disque dur, +par exemple dans <filename>/boot/newinstall/</filename>. + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<filename>vmlinuz</filename> (noyau binaire) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>initrd.gz</filename> (image disque virtuel) + +</para></listitem> +</itemizedlist> +</para><para> + +Et, pour configurer le programme d'amorçage, +continuez avec la <xref linkend="boot-initrd"/>. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="powerpc" id="files-oldworld"> + <title>Amorçage de l'installateur sur disque dur pour les Mac OldWorld</title> +<para> + +La disquette <filename>boot-floppy-hfs</filename> utilise le programme +<application>miBoot</application> pour lancer l'installation de Linux +mais on ne peut pas l'utiliser facilement pour amorcer +depuis le disque dur. Le programme <application>BootX</application> +lancé depuis MacOS accepte l'amorçage depuis des fichiers situés sur un +disque dur. On peut aussi utiliser <application>BootX</application> pour +charger au choix MacOS et Linux après que votre installation de Debian +a été terminée. Pour le Performa 6360, il semble que <command>quik</command> +ne parvienne pas à rendre le disque dur amorçable. Vous devrez donc utiliser +<application>BootX</application> pour ce modèle. + +</para><para> + +Téléchargez et décompactez la distribution <application>BootX</application> que +vous pouvez obtenir à partir de <ulink url="&url-powerpc-bootx;"></ulink>, +ou bien dans le répertoire +<filename>dists/woody/main/disks-powerpc/current/powermac</filename> +sur un des miroirs http/ftp ou sur les cédéroms officiels de Debian. Utilisez +<application>Stuffit Expander</application> pour l'extraire de son archive. +À l'intérieur de ce paquet, vous trouverez +un dossier vide appelé <filename>Linux Kernels</filename>. Téléchargez +<filename>linux.bin</filename> et <filename>ramdisk.image.gz</filename> +depuis le dossier <filename>disks-powerpc/current/powermac</filename> et +placez-les dans le dossier <filename>Linux Kernels</filename>. Placez +ensuite le dossier <filename>Linux Kernels</filename> dans le dossier +système actif. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="powerpc" id="files-newworld"> + <title>Amorçage de l'installateur sur disque dur pour les Mac NewWorld.</title> +<para> + +Les PowerMac NewWolrd acceptent l'amorçage depuis le réseau ou bien depuis un +cédérom ISO9660 aussi bien que depuis le chargement de binaires au format ELF +depuis le disque dur. Ces machines amorceront Linux directement depuis +<command>yaboot</command> qui accepte le chargement du noyau et du ramsdik +directement depuis une partition ext2 aussi bien qu'un amorçage multiple avec +MacOS. La possibilité de démarrer l'installateur depuis un disque dur est +particulièrement approprié pour les nouvelles machines dépourvues de lecteur +de disquettes. <command>BootX</command> n'est pas reconnu et ne doit pas être +utilisé avec les PowerMac NewWorld. + +</para><para> + +<emphasis>Copiez</emphasis> (et non pas déplacez) les quatre fichiers +que vous avez téléchargés depuis les archives Debian à la racine de votre +disque dur (vous pouvez faire glisser chaque fichier sur l'icône du disque +dur) : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<filename>vmlinux</filename> + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>initrd.gz</filename> + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>yaboot</filename> + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>yaboot.conf</filename> + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +</para><para> + +Notez quelque part le numéro de la partition MacOS sur laquelle vous avez +placé ces fichiers. Si vous possédez le programme MacOS +<command>pdisk</command>, vous pouvez utiliser la commande L pour vérifier le +numéro de partition. Vous aurez besoin de ce numéro pour l'invite de +Open Firmware lorsque vous amorcerez l'installateur. + +</para><para> + +Pour amorcer l'installateur, continuez avec +<xref linkend="boot-newworld"/>. + +</para> + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/install-methods/boot-usb-files.xml b/fr/install-methods/boot-usb-files.xml new file mode 100644 index 000000000..13713fad9 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/boot-usb-files.xml @@ -0,0 +1,127 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 25496 --> + + <sect1 condition="bootable-usb" id="boot-usb-files"> + <title>Préparation des fichiers pour un amorçage avec une clé USB</title> + +<para> + +Pour préparer une clé USB, vous avez besoin d'un système GNU/Linux fonctionnel +et qui accepte les périphériques USB. Vérifiez que le module du noyau +usb-storage est chargé (<userinput>modprobe usb-storage</userinput>) et trouvez +à quel périphérique SCSI la clé USB est attribuée (dans cet exemple, c'est +<filename>/dev/sda</filename>). Pour pouvoir écrire sur la clé, il vous faudra +sans doute enlever la protection contre l'écriture. +</para> +<para> + +Notez que la taille de la clé doit être au moins de 128 Mo. Pour des +tailles inférieures, voyez <xref linkend="usb-copy-flexible"/>. + +</para> + + <sect2 id="usb-copy-easy"> + <title>Copie des fichiers — la méthode simple</title> +<para arch="i386"> + +Le fichier <filename>hd-media/boot.img.gz</filename> contient tous les +fichiers de l'installateur, le noyau et le programme +<command>SYSLINUX</command> avec son fichier de configuration. Il vous suffit +d'extraire ces fichiers dans votre clé USB : + +<informalexample><screen> +# zcat boot.img.gz > /dev/<replaceable>sda</replaceable> +</screen></informalexample> + +Bien sûr toutes les données présentes sur la clé seront détruites. Utilisez +le bon périphérique pour votre clé ! +</para> +<para arch="powerpc"> + +Le fichier <filename>hd-media/boot.img.gz</filename> contient tous les +fichiers de l'installateur, le noyau et le programme +<command>yaboot</command> avec son fichier de configuration. Créez une +partition <quote>Apple_Bootstrap</quote> sur la clé avec la commande +<userinput>C</userinput> de <command>mac-fdisk</command> et mettez l'image +avec : + +<informalexample><screen> +# zcat boot.img.gz > /dev/<replaceable>sda2</replaceable> +</screen></informalexample> + + +Bien sûr toutes les données présentes sur la clé seront détruites. Utilisez +le bon périphérique pour votre clé ! +</para> +<para> + +Montez ensuite la clé (<userinput>mount +<replaceable arch="i386">/dev/sda</replaceable> +<replaceable arch="powerpc">/dev/sda2</replaceable> +/mnt</userinput>), qui aura +maintenant un système de fichiers +<phrase arch="i386">FAT</phrase> +<phrase arch="powerpc">HFS</phrase>, et copiez une image ISO de type +netinst ou businesscard. Le nom de ce fichier doit se terminer par +<filename>.iso</filename>. Démontez la clé (<userinput>umount /mnt</userinput>) +et voilà, c'est fait ! +</para> +</sect2> + + <sect2 id="usb-copy-flexible"> + <title>Copie des fichiers — la méthode souple</title> +<para> + +Si vous aimez la souplesse ou si vous voulez simplement savoir ce qui se +passe, vous pouvez utiliser la méthode suivante pour mettre les fichiers +sur la clé. +</para> + +&usb-setup-i386.xml; +&usb-setup-powerpc.xml; + +<sect3> +<title>Ajouter une image ISO</title> +<para> + +Vous pouvez maintenant mettre une image ISO (businesscard, netinst ou même +l'image complète) sur la clé. Le nom de cette image doit se terminer par +<filename>.iso</filename>. + +</para> +<para> + +Si vous voulez faire une installation sur le réseau, sans utiliser d'image +ISO, vous sauterez bien sûr l'étape précédente. De plus vous devrez utiliser +le disque virtuel initial qui se trouve dans le répertoire +<filename>netboot</filename> au lieu de celui dans le répertoire +<filename>hd-media</filename>, car le fichier +<filename>hd-media/initrd.gz</filename> n'a aucun support pour le réseau. + +</para> +<para> + +Quand tout est fait, démontez la clé USB (<userinput>umount /mnt</userinput>) +et activez la protection contre l'écriture. + +</para> +</sect3> + +<!-- TODO: doesn't this section belong later? --> +<sect3 arch="i386"> + <title>Amorcer la clé USB</title> +<warning><para> + +Si le système refuse de s'amorcer à partir de la clé, il se peut que la clé +possède un secteur principal d'amorçage défectueux. Corrigez-le avec le +programme <command>install-mbr</command> qui se trouve dans le paquet +<classname>mbr</classname> : + +<informalexample><screen> +# install-mbr /dev/<replaceable>sda</replaceable> +</screen></informalexample> + +</para></warning> +</sect3> + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/install-methods/create-floppy.xml b/fr/install-methods/create-floppy.xml new file mode 100644 index 000000000..7a8138acc --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/create-floppy.xml @@ -0,0 +1,107 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 condition="supports-floppy-boot" id="create-floppy"> + <title>Comment créer des disquettes depuis des images disque ?</title> +<para> + +Les disquettes d'amorçage sont la plupart du temps utilisées en dernier +recours pour lancer l'installateur sur des machines qui ne peuvent être +amorcées à partir d'un cédérom ou par d'autres moyens. + +</para><para arch="powerpc"> + +On note que l'amorçage par disquette sur Mac échoue sur les lecteurs de +disquettes USB. + + +</para><para arch="m68k"> + +L'amorçage par disquette n'est pas possible sur les Amiga et les Mac 68k. + +</para><para> + +Les images disque sont des fichiers contenant l'ensemble du +contenu d'une disquette en mode <emphasis>raw</emphasis> (ou copie brute des +secteurs physiques). Les images disque, +comme <filename>rescue.bin</filename>, ne peuvent pas être simplement copiées +sur une disquette. Un programme spécial est utilisé pour copier les fichiers +d'images sur des disquettes en mode <emphasis>raw</emphasis>. +C'est obligatoire car ces images sont une représentation brute du +disque ; il faut donc recopier les données par +<emphasis>copie des secteurs</emphasis> du fichier vers la disquette. + +</para><para> + +Il y a différentes méthodes pour créer des disquettes à partir +d'images disque ; elles dépendent de votre plateforme. Cette partie +décrit comment le faire sur les différentes plateformes. + + +</para><para> + +Quelle que soit la manière dont vous les obtiendrez, n'oubliez pas de +verrouiller les disquettes créées de façon à vous assurer qu'elles ne seront +pas endommagées par mégarde. + +</para> + + <sect2><title>Écrire des images disque depuis Linux ou un système Unix</title> +<para> + +Pour écrire une image disque vers une disquette, vous aurez certainement +besoin d'un accès avec les droits du superutilisateur. Placez une disquette +vierge non défectueuse dans le lecteur. Ensuite, exécutez la commande +suivante : + +<informalexample><screen> +$ dd if=<replaceable>fichier</replaceable> of=/dev/fd0 bs=1024 conv=sync ; sync +</screen></informalexample> + +où <replaceable>fichier</replaceable> est un des fichiers image disque +(voyez la <xref linkend="downloading-files"/> pour savoir quel fichier. +<filename>/dev/fd0</filename> est généralement le nom utilisé pour le lecteur +de disquette. Cela peut être différent sur une station de travail +(sur Solaris, c'est <filename>/dev/fd/0</filename>). Il se peut que vous +récupériez la main avant que votre système Unix n'ait fini d'écrire la +disquette ; aussi, assurez-vous que le signal lumineux, activé lors du +fonctionnement du lecteur, soit bien éteint, et que la disquette ne tourne +plus avant de la sortir. Sur certains systèmes, vous devez utiliser une +commande pour éjecter la disquette du lecteur. <phrase arch="sparc">Sur +Solaris, utilisez <command>eject</command> et lisez la page de manuel +associée</phrase>. + +</para><para> + +Certains systèmes tentent de monter automatiquement la disquette lorsque vous +la placez dans le lecteur. Vous devrez désactiver cette option sinon la +station de travail ne vous permettra pas d'écrire des données +<emphasis>brutes</emphasis> (« raw mode ») sur la disquette. +Malheureusement, la façon de le faire varie considérablement suivant le système +d'exploitation. <phrase arch="sparc">Sur Solaris, vous pouvez configurer le +gestionnaire de volumes pour autoriser les accès directs sur les disquettes +(utilisez <command>volcheck</command> ou une commande équivalente dans le +gestionnaire de fichiers). Ensuite, utilisez la commande <command>dd</command> +avec la forme donnée au-dessus en remplaçant simplement +<filename>/dev/fd0</filename> par <filename>/vol/rdsk/<replaceable>floppy_name</replaceable></filename>, où +<replaceable>floppy_name</replaceable> est le nom donné au lecteur de +disquettes lors de sa création (les lecteurs non nommés ont un nom générique +<filename>unnamed_floppy</filename>). Sur les autres systèmes, il faut demander +à l'administrateur. +</phrase> + +</para><para arch="powerpc"> + +Si vous écrivez une disquette pour un powerpc, vous +devrez pouvoir l'éjecter. Le programme <command>eject</command> s'en chargera +très bien ; vous devrez l'installer. + +</para> + + </sect2> + +&floppy-i386.xml; <!-- can be used for other arches --> +&floppy-m68k.xml; +&floppy-powerpc.xml; + + </sect1> diff --git a/fr/install-methods/download/alpha.xml b/fr/install-methods/download/alpha.xml new file mode 100644 index 000000000..7240add18 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/download/alpha.xml @@ -0,0 +1,40 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect3 arch="alpha"><title>Alpha Installation Files</title> +<para> + +Si vous décidez d'amorcer depuis une console microprogramme ARC en +utilisant <command>MILO</command>, il vous sera nécessaire de +préparer une disquette contenant <command>MILO</command> et +<command>LINLOAD.EXE</command> à partir des images de disquettes + adéquates. Reportez-vous à <xref linkend="alpha-firmware"/> sur les + microprogrammes Alpha et les chargeurs d'amorçage. Les + images de disquettes peuvent être trouvées dans le répertoire + <filename>MILO</filename> sous le nom de +<filename>milo_<replaceable>subarchitecture</replaceable>.bin</filename>. + +</para><para> + +Malheureusement, ces images <command>MILO</command> n'ont pu être + testées et peuvent ne pas fonctionner sur quelques + sous-architectures. Si c'est le cas, essayez de + copier le fichier binaire <command>MILO</command> sur une disquette +(<ulink url="&disturlftp;main/disks-alpha/current/MILO/"></ulink>). + Remarquez que ces programmes <command>MILO</command> n'acceptent + pas la version de ext2 avec les <quote>sparse superblocks</quote>. +Vous ne pouvez donc pas les utiliser pour + charger une version de noyau avec un système de fichiers très + récent. Comme moyen de contournement, vous pouvez déposer + votre noyau sur une partition FAT juste après le programme +<command>MILO</command>. + +</para><para> + +Les binaires <command>MILO</command> sont spécifiques à chaque + plate-forme. Voyez <xref linkend="alpha-cpus"/> pour déterminer + l'image appropriée de <command>MILO</command> pour votre plate-forme + Alpha. +</para> + </sect3> diff --git a/fr/install-methods/download/arm.xml b/fr/install-methods/download/arm.xml new file mode 100644 index 000000000..0c5d4793f --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/download/arm.xml @@ -0,0 +1,38 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + + <sect3 arch="arm" id="riscpc-install-files"> + <title>Fichiers d'installation pour RiscPC</title> +<para> + +L'installateur RiscPC est amorcé initialement depuis RISC + OS. Tous les fichiers nécessaires sont fournis sur une archive + Zip, &rpc-install-kit;. Téléchargez ce fichier sur la machine +RISC OS, copiez-y les objets <filename>linloader.!Boot</filename>, et + lancez <filename>!dInstall</filename>. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="arm" id="netwinder-install-files"> + <title>Fichiers d'installation pour NetWinder</title> +<para> + +La façon la plus simple de démarrer une NetWinder, c'est de le faire + par le réseau, en utilisant l'image TFTP &netwinder-boot-img; fournie. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="arm" id="cats-install-files"> + <title>Fichiers d'installation pour CATS</title> +<para> + +La seule méthode de démarrage qui fonctionne pour CATS consiste + à utiliser l'image combinée &cats-boot-img;. Elle peut être chargée + depuis n'importe quel périphérique accessible au gestionnaire de démarrage + Cyclone. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/install-methods/download/m68k.xml b/fr/install-methods/download/m68k.xml new file mode 100644 index 000000000..2ec349a55 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/download/m68k.xml @@ -0,0 +1,123 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect3 arch="m68k" id="kernel-22"> + <title>Choisir un noyau</title> +<para> +Certaines sous-architectures m68k peuvent installer plusieurs noyaux. +Nous recommendons d'utiliser d'abord le noyau le plus récent. Si votre +sous-architecture demande un noyau de la série 2.2.x, choisissez bien l'une des +images pour ces noyaux. Voyez le fichier +<ulink url="&disturl;/main/installer-&architecture;/current/images/MANIFEST">MANIFEST</ulink>. +</para> +<para> +Toutes les images m68k pour les noyaux de la série 2.2.x exigent le +paramètre du noyau &ramdisksize;. +</para> +</sect3> + +<!-- + <sect3 arch="m68k" id="amiga-install-files"> + <title>Fichiers d'installation pour AmigaOS</title> + +<orderedlist> +<listitem><para> + +À la place des fichiers de secours, du noyau et des +pilotes ci-dessus, téléchargez simplement &amiga-install-tarball;. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Dépaquetez &amiga-install-tarball;. dans une partition + ayant au moins 25 Mo libres. Nous vous recommandons + de le faire dans un répertoire appelé +<filename>debian</filename>. L'archive &amiga-install-tarball; + créera un sous-répertoire <filename>amiga</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Repérez le nom de la partition Linux où se trouve le +répertoire <filename>debian</filename>. Voyez <xref linkend="device-names"/> +pour plus d'information sur la dénomination d'une partition Linux. + +</para></listitem> +</orderedlist> + </sect3> + + <sect3 arch="m68k" id="atari-install-files"> + <title>Fichiers d'installation pour Atari TOS</title> + +<orderedlist> +<listitem><para> + +À la place des fichiers de secours, du noyau et des +pilotes ci-dessus, téléchargez simplement &atari-install-tarball;. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Dépaquetez &atari-install-tarball;. dans une partition + ayant au moins 25 Mo de libre.Nous vous recommandons + de le faire dans un répertoire appelé + <filename>debian</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Après dépaquetage, l'archive &atari-install-tarball; créera +un sous-répertoire <filename>atari</filename>. Ne renommez aucun + fichier dans ce répertoire. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Repérez le nom de la partition Linux où se trouve le +répertoire <filename>debian</filename>. Voyez <xref linkend="device-names"/> +pour plus d'information sur la + dénomination d'une partition Linux. + +</para></listitem> +</orderedlist> + </sect3> + + <sect3 arch="m68k" id="mac-install-files"> + <title>Fichiers d'installation pour MacOS 68k</title> + +<orderedlist> +<listitem><para> + +À la place des fichiers de secours, du noyau et des + pilotes ci-dessus, téléchargez simplement + &mac-install-tarball;. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Unpack &mac-install-tarball; into a partition with at least 25 MB +free. We recommend you unpack it into a directory named +<filename>debian</filename>. Use <application>Stuffit Expander</application> +(at least version 5.5) or <command>MacGZip</command> to extract it +from its archive. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Après dépaquetage, vous aurez un sous-répertoire <filename>mac</filename>. +Ne renommez aucun fichier dans ce répertoire. +Do not allow your +decompression program to decompress drivers.tgz. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Repérez le nom de la partition Linux où se trouve le +répertoire <filename>debian</filename>. Voyez <xref linkend="device-names"/> +pour plus d'information sur la + dénomination d'une partition Linux. + +</para></listitem> +</orderedlist> + </sect3> +-->
\ No newline at end of file diff --git a/fr/install-methods/download/powerpc.xml b/fr/install-methods/download/powerpc.xml new file mode 100644 index 000000000..1c00c0bbd --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/download/powerpc.xml @@ -0,0 +1,29 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<!-- commented out as it seems out of date and the links are broken + <sect3 arch="powerpc" id="newworld-install-files"> + <title>Fichiers d'installation pour MacOS NewWorld</title> +<para> + +Pour l'installation sans disquette sur les Mac NewWorld, il est + peut-être plus simple d'obtenir tous les fichiers nécessaires, + empaquetés dans une archive Stuffit, à partir de +<ulink url="&url-powerpc-of;"></ulink> (des instructions distinctes sont +jointes + dans l'archive). Sinon, récupérez les fichiers normaux + d'installation présentés précédemment. Déposez-les sur une + partition HFS (et pas HFS+) de votre système. Vous aurez aussi + besoin de <filename>yaboot</filename> et du fichier +<filename>yaboot.conf</filename> placés dans le dossier archive +<ulink url="&downloadable-file;new-powermac/">new-powermac</ulink> ou +<ulink url="&downloadable-file;powermac/">powermac</ulink>. + Cependant, les PowerMacs G4 les plus récents, et ceux qui + fonctionnent sans MacOS 9 nécessitent la toute dernière version de +<command>yaboot</command> ; celle disponible dans l'archive ne suffit pas. + Vous pouvez obtenir une version plus récente depuis +<ulink url="http://penguinppc.org/projects/yaboot/"></ulink>. + +</para> + </sect3> +--> diff --git a/fr/install-methods/downloading-files.xml b/fr/install-methods/downloading-files.xml new file mode 100644 index 000000000..3480c50aa --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/downloading-files.xml @@ -0,0 +1,37 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 25148 --> + + <sect1 id="downloading-files"> + <title>Télécharger les fichiers depuis les miroirs Debian</title> + +<para> + +Pour trouver le miroir le plus proche (et sans doute le plus rapide), voyez +la <ulink url="&url-debian-mirrors;">liste des miroirs Debian</ulink>. + +</para> + +<para> + +Lorsque vous téléchargez les fichiers depuis un miroir Debian, assurez-vous +de bien être en mode <emphasis>binaire</emphasis> et non en mode texte ou en +mode automatique. +</para> + + <sect2 id="where-files"> + <title>Où trouver les fichiers d'installation ?</title> + +<para> +Sur tous les miroirs Debian, les images pour l'installation sont situées dans +le répertoire <ulink url="&url-debian-installer;/images">debian/dists/&releasename;/main/installer-&architecture;/current/images/</ulink> +— le fichier <ulink url="&url-debian-installer;/images/MANIFEST">MANIFEST</ulink> liste toutes les images. +</para> + +&download-alpha.xml; +&download-arm.xml; +&download-powerpc.xml; +&download-m68k.xml; + + </sect2> + + </sect1> diff --git a/fr/install-methods/floppy/i386.xml b/fr/install-methods/floppy/i386.xml new file mode 100644 index 000000000..6de47a600 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/floppy/i386.xml @@ -0,0 +1,34 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + +<!-- This is not set off for i386 only, because many people will have --> +<!-- access to a PC in order to make a floppy for other arches. --> + + <sect2><title>Écrire des images disque depuis DOS, Windows ou OS/2</title> + +<para> + +Si vous avez accès à une machine i386, vous pouvez utiliser l'un des +programmes suivants pour copier les images sur les disquettes. + +</para><para> + +Sous MS-DOS, on peut utiliser les programmes <command>rawrite1</command> et +<command>rawrite2</command>. +Assurez-vous d'abord d'amorcer votre système sous DOS. Tenter d'utiliser ces +programmes dans une fenêtre DOS sous Windows, ou cliquer deux fois sur eux +depuis l'explorateur de Windows ne fonctionnera pas. +</para> +<para> +Le programme <command>rwwrtwin</command> fonctionne sur Windows 95, NT, 98, +2000, ME, XP et probablement sur les prochaines versions. Il faut +dépaqueter diskio.dll dans le même répertoire pour pouvoir l'utiliser. +</para> + +<para> +Ces programmes sont sur les cédéroms officiels Debian +dans le répertoire <filename>/tools</filename>. +</para> + + </sect2> diff --git a/fr/install-methods/floppy/m68k.xml b/fr/install-methods/floppy/m68k.xml new file mode 100644 index 000000000..3d8ea19e2 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/floppy/m68k.xml @@ -0,0 +1,31 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 18672 --> + + + <sect2 arch="m68k"> +<title>Écrire des images disque depuis les systèmes Atari</title> +<para> + +Vous trouverez le programme &rawwrite.ttp; dans le même répertoire que celui +des images disque des disquettes. Lancez le programme en cliquant deux fois +sur son icône ; entrez alors le nom du fichier image disque que vous +voulez écrire sur la disquette lors de l'invite de commande du programme TOS +dans la boîte de dialogue. + +</para> + + </sect2> + + <sect2 arch="m68k"> +<title>Écrire des images disque depuis les systèmes Macintosh</title> +<para> + +Il n'existe pas d'applications MacOS pour écrire les images sur les disquettes +(et cela n'aurait pas de sens, car on ne peut pas les utiliser pour amorcer le +système d'installation ou installer le noyau et les pilotes sur un Macintosh). +Cependant, ces fichiers seront nécessaires pour l'installation du système +d'exploitation et de ses modules, plus loin dans le processus d'installation. + +</para> + + </sect2> diff --git a/fr/install-methods/floppy/powerpc.xml b/fr/install-methods/floppy/powerpc.xml new file mode 100644 index 000000000..895a3d365 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/floppy/powerpc.xml @@ -0,0 +1,137 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect2 arch="powerpc"><title>Écrire des images disque depuis MacOS</title> +<para> + +Un script Apple (<quote>AppleScript</quote>), +<application>Make Debian Floppy</application>, est disponible pour écrire +les disquettes à partir des fichiers images disque disponibles. Vous pouvez + le télécharger à partir de +<ulink url="ftp://ftp2.sourceforge.net/pub/sourceforge/d/de/debian-imac/MakeDebianFLoppy.sit"></ulink>. +Pour l'utiliser, décompressez-le sur votre bureau et glissez une image +dessus. AppleScript doit être + installé et configuré dans votre gestionnaire + d'extensions. <quote>Disk Copy</quote> vous demandera une + confirmation si vous désirez écraser le contenu de la + disquette et écrire le fichier image dessus. +</para><para> + +Vous pouvez aussi utiliser l'utilitaire MacOS <command>Disk Copy</command> + directement ou bien le graticiel +<command>suntar</command>. Le fichier <filename>root.bin</filename> est un + exemple d'image de disquette. Utilisez une des méthodes + suivantes pour créer une disquette à partir des images de + disquettes avec l'un de ces utilitaires. + +</para> + + <sect3> + <title>Écrire des images disque avec <command>Disk Copy</command></title> +<para> + +Si vous créez l'image de la disquette à partir des fichiers placés sur le +cédérom officiel de &debian; alors le <quote>Type</quote> et le + <quote>Creator</quote> sont déjà corrects. Ces étapes +<command>Creator-Changer</command> + ne sont nécessaires que si vous téléchargez les images + depuis un miroir Debian. + +</para> +<orderedlist> +<listitem><para> + +Téléchargez +<ulink url="&url-powerpc-creator-changer;">Creator-Changer</ulink> +et utilisez-le pour ouvrir le fichier <filename>root.bin</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Changez le <quote>Creator</quote> en <userinput>ddsk</userinput> + (Disk copy) et le <quote>Type</quote> en +<userinput>DDim</userinput> (image de disquette binaire). Pour ces champs, +la casse des lettres importe. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<emphasis>Important :</emphasis> dans le Finder, utilisez +<userinput>Get Info</userinput> pour afficher les + informations du Finder au sujet des images de + disquettes et utilisez <quote>X</quote> dans la boîte +de dialogue <userinput>File Locked</userinput> sinon MacOS ne pourra pas +retirer les secteurs d'amorçage si + l'image est montée par accident. + +</para></listitem> + <listitem><para> + +Téléchargez <command>Disk Copy</command> ; si vous + avez un système MacOS ou un cédérom, il devrait + déjà être présent, sinon essayez +<ulink url="&url-powerpc-diskcopy;"></ulink>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Lancez <command>Disk Copy</command> puis sélectionnez +<menuchoice> <guimenu>Utilities</guimenu> <guimenuitem>Fabriquer une disquette</guimenuitem> +</menuchoice> dans le menu. Sélectionnez ensuite le fichier + image <emphasis>locked</emphasis> à partir de la fenêtre + résultante. Il vous sera demandé ensuite d'insérer + une disquette puis si vous voulez + l'effacer. Lorsque l'opération est terminée, la + disquette sera éjectée. + +</para></listitem> +</orderedlist> + + </sect3> + + <sect3> + <title>Écrire des images disque avec <command>suntar</command></title> +<para> + +<orderedlist> +<listitem><para> + +Téléchargez <command>suntar</command> à partir de +<ulink url="&url-powerpc-suntar;"></ulink>. Lancez ensuite le + programme <command>suntar</command> et sélectionnez + <quote>Réécrire sur les secteurs...</quote> à partir du + menu <userinput>Special</userinput>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Insérez ensuite la disquette comme demandé puis tapez + sur la touche &enterkey; (cela commence au secteur 0). + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Sélectionnez le fichier <filename>root.bin</filename> dans la + boîte de dialogue de sélection des fichiers. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Après que les disquettes ont été créées correctement, +cliquez sur <menuchoice> <guimenu>File</guimenu> <guimenuitem>Eject</guimenuitem> </menuchoice> +dans le menu. S'il y a des erreurs lors de la copie de la disquette, +jetez-la et essayez avec une autre. + +</para></listitem> +</orderedlist> + +Avant d'utiliser la disquette que vous venez de créer, + assurez-vous de <emphasis>bien la protéger contre + l'écriture</emphasis> ! Sinon, si vous la montez + accidentellement sous MacOS, ce dernier l'abîmera + irrémédiablement. + +</para> + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/install-methods/install-methods.xml b/fr/install-methods/install-methods.xml new file mode 100644 index 000000000..0a7e7bf17 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/install-methods.xml @@ -0,0 +1,16 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + +<chapter id="install-methods"> + <title>Comment obtenir les supports du système d'installation ?</title> + +&official-cdrom.xml; +&downloading-files.xml; +&ipl-tape.xml; +&create-floppy.xml; +&boot-usb-files.xml; +&boot-drive-files.xml; +&install-tftp.xml; +&automatic-install.xml; + +</chapter> diff --git a/fr/install-methods/install-tftp.xml b/fr/install-methods/install-tftp.xml new file mode 100644 index 000000000..7f67e300c --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/install-tftp.xml @@ -0,0 +1,449 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29334 --> + + <sect1 condition="supports-tftp" id="install-tftp"> + <title>Préparer les fichiers pour amorcer depuis le réseau avec TFTP</title> +<para> + +Si votre machine est connectée à un réseau local, vous pouvez l'amorcer +directement à travers le réseau à partir d'une autre machine en utilisant +TFTP. Si vous décidez de le faire, les fichiers d'amorçage doivent être +placés à un endroit spécifique de cette machine et elle doit savoir +amorcer votre propre machine. + +</para><para> + +Vous devez configurer un serveur TFTP et, pour beaucoup de machines, +un serveur BOOTP<phrase condition="supports-rarp">, ou un serveur RARP</phrase> +<phrase condition="supports-dhcp">, ou un serveur DHCP</phrase>. + +</para><para> + +<phrase condition="supports-rarp">Le protocole de recherche des adresses +inverses (<emphasis>Reverse address Resolution Protocol</emphasis> ou RARP) +est une solution pour indiquer à votre client l'adresse IP qu'il doit +utiliser pour lui-même. Une autre solution est d'utiliser le protocole BOOTP. +</phrase> + +<phrase condition="supports-bootp">BOOTP est un protocole IP qui indique à un +ordinateur quelle est son adresse IP et lui dit où obtenir sur le réseau une +image d'amorçage.</phrase> + +<phrase arch="m68k">Il existe désormais une autre solution pour les systèmes +VMEbus : l'adresse IP peut être configurée manuellement dans la ROM +d'amorçage.</phrase> + +<phrase condition="supports-dhcp">Le protocole DHCP +(« Dynamic Host Configuration Protocole », Protocole de +configuration dynamique des hôtes) est une extension bien plus flexible +de BOOTP (et respectant la compatibilité ascendante). Certains systèmes ne +peuvent être configurés que via DHCP.</phrase> + +</para><para arch="powerpc"> + +Pour les PowerPC, si vous avez une machine Power Macintosh NewWorld, il vaut +mieux utiliser DHCP plutôt que BOOTP. Certaines de ces machines ne peuvent pas +s'amorcer avec BOOTP. + +</para><para arch="alpha"> + +À la différence du microprogramme Open Firmware que l'on trouve sur les +machines SPARC et PowerPC, la console SRM n'utilisera +<emphasis>pas</emphasis> RARP pour obtenir les adresses IP ; vous devrez +donc utiliser BOOTP pour amorcer votre Alpha <footnote> + +<para> +Les systèmes Alpha peuvent aussi s'amorcer depuis le réseau en utilisant +MOP DECNet (« Maintenance Operations Protocol », protocole des +opérations de maintenance), mais l'on n'en dira rien ici. Il est +vraisemblable que votre opérateur local OpenVMS sera ravi de vous assister si +vous ne pouvez résister à l'envie d'utiliser MOP pour amorcer Linux sur votre +Alpha. +</para> + +</footnote> depuis le réseau. Vous pouvez aussi entrer directement depuis la console VRM +la configuration IP des interfaces réseau. +</para><para arch="hppa"> + +Quelques vieilles machines HPPA (p. ex. 715/75) utilisent RBOOTD plutôt que +BOOTP. Un paquet RBOOTD est disponible sur le site web de parisc-linux. + +</para><para> + +Le protocole trivial de transfert des fichiers (« Trivial Transfert File +Protocol » ou TFTP) est utilisé pour transférer l'image d'amorçage +au client. Théoriquement, tout serveur sur toutes les plateformes qui +implémentent ces protocoles peut être utilisé. Dans les exemples qui vont +suivre, on donnera les commandes pour SunOS 4.x, SunOS 5.x (mieux connu sous +le nom de Solaris) et GNU/Linux. + +<note arch="i386"><para> + +Pour utiliser la méthode de démarrage par l'exécution d'un environnement de +pré-amorçage (PXE) de TFTP, vous avez besoin d'un serveur TFTP avec +<userinput>tsize</userinput>. Sur un serveur &debian;, les paquets +<classname>atftpd</classname> et <classname>tftp-hpa</classname> +sont bons ; nous vous conseillons <classname>tftpd-hpa</classname>. + +</para></note> + +</para> + +&tftp-rarp.xml; +&tftp-bootp.xml; +&tftp-dhcp.xml; + + <sect2 id="tftpd"> + <title>Activer le serveur TFTP</title> +<para> + +Pour faire fonctionner le serveur TFTP, vous devez vous assurer au préalable +que <command>tftpd</command> est activé. Ce dernier est généralement activé +grâce à la ligne suivante dans <filename>/etc/inetd.conf</filename> : + +<informalexample><screen> +tftp dgram udp wait root /usr/sbin/tcpd in.tftpd /tftpboot +</screen></informalexample> + +Les paquets Debian, quand ils sont installés, écrivent correctement cette +ligne. +</para><para> + +Lisez ce fichier et mémorisez le répertoire passé en argument de +<command>in.tftpd</command> ; vous en aurez besoin ultérieurement. +L'option <userinput>-l</userinput> autorise certaines versions de +<command>in.tftpd</command> à enregistrer toutes les requêtes dans le journal +du système ; c'est extrêmement pratique en cas d'erreur d'amorçage. Si +vous avez dû modifier <filename>/etc/inetd.conf</filename>, vous devrez le +signaler au processus <command>inetd</command>. Sur une machine Debian, +lancez <userinput>/etc/init.d/inetd reload</userinput> ; sur les autres +machines, retrouvez le numéro de processus de <command>inetd</command> et +tuez-le avec la commande +<userinput>kill -HUP <replaceable>inetd-pid</replaceable></userinput>. + +</para><para arch="mips"> + +Si vous voulez installer Debian sur une machine SGI et si votre serveur TFTP +est une machine GNU/Linux avec Linux 2.4.X, il vous faudra effectuer la +manœuvre suivante sur votre serveur : + +<informalexample><screen> +# echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_no_pmtu_disc +</screen></informalexample> + +de façon à détourner la détection du MTU, sinon la PROM de l'Indy ne pourra +pas télécharger le nouveau noyau. En outre, assurez-vous que les paquets TFTP +transitent par un port source inférieur à 32767 ou bien le téléchargement +s'arrêtera après le premier paquet. Vous pouvez toujours contourner ce + bogue de la PROM grâce au noyau 2.4.X en ajustant + +<informalexample><screen> +# echo "2048 32767" > /proc/sys/net/ipv4/ip_local_port_range +</screen></informalexample> + +pour fixer l'intervalle des ports source que le serveur TFTP peut utiliser. + +</para> + </sect2> + + <sect2 id="tftp-images"> + <title>Mettre les images TFTP en place</title> +<para> + +Ensuite, placez les images TFTP dont vous avez besoin (décrites dans la +<xref linkend="where-files"/>) dans le répertoire des images d'amorce +de <command>tftpd</command>. Généralement, ce répertoire s'appelle +<filename>/tftpboot</filename>. Vous aurez à faire un lien depuis ce fichier +vers le fichier que <command>tftpd</command> utilisera pour amorcer un client +particulier. Malheureusement, le nom du fichier est déterminé par le client +TFTP et il n'y a pas vraiment de standard. + +</para> +<para arch="powerpc"> + +Sur les machines Power Macintosh NewWorld, vous devrez configurer le programme +d'amorçage <command>yaboot</command> comme une image d'amorçage TFTP. +<command>Yaboot</command> chargera les images du noyau et du disque virtuel à +travers TFTP. Pour amorcer sur le réseau, utilisez +<filename>yaboot-netboot.conf</filename>. Renommez-le simplement en +<filename>yaboot.conf</filename> dans le répertoire TFTP. + +</para> +<para arch="i386"> + +Pour le démarrage PXE, tout ce dont vous avez besoin est dans l'archive +<filename>netboot/netboot.tar.gz</filename>. Extrayez les fichiers dans le +répertoire de l'image <command>tftpd</command>. Assurez-vous que le serveur +DHCP donnera bien le fichier <filename>/pxelinux.0</filename> comme fichier +d'amorçage à <command>tftpd</command>. +</para> +<para arch="ia64"> +Pour le démarrage PXE, tout ce dont vous avez besoin est dans l'archive +<filename>netboot/netboot.tar.gz</filename>. Extrayez les fichiers dans le +répertoire de l'image <command>tftpd</command>. Assurez-vous que le serveur +DHCP donnera bien le fichier +<filename>/debian-installer/ia64/elilo.efi</filename> comme fichier +d'amorçage à <command>tftpd</command>. +</para> + + <sect3 arch="mipsel"> + <title>Images TFTP pour les DECstation</title> +<para> + +Pour les DECstation, il y a des fichiers tftpimage pour chaque +sous-architecture ; ils contiennent à la fois un noyau et un +installateur en un seul fichier. La convention +de nommage est <replaceable>subarchitecture</replaceable>/netboot-boot.img. +Copiez l'image tftp que vous allez utiliser dans +<userinput>/tftpboot/tftpboot.img</userinput> si vous travaillez avec +l'exemple de configuration de BOOTP/DHCP décrit plus haut. + +</para><para> + +Le microprogramme des DECstation autorise l'amorçage via TFTP par +la commande <userinput>boot <replaceable>#</replaceable>/tftp</userinput> +où <replaceable>#</replaceable> est le numéro de périphérique +« TurboChannel » sur lequel amorcer. Sur la plupart des DECstation, +c'est le numéro <quote>3</quote>. Si le serveur BOOTP/DHCP ne fournit pas le +nom du fichier ou bien que vous ayez besoin de passer des paramètres +supplémentaires, cela peut se faire avec la syntaxe suivante : + +</para><para> + +<userinput>boot #/tftp/filename param1=value1 param2=value2 ...</userinput> + +</para><para> + +Plusieurs révisions des microprogrammes des DECstation ont un problème avec +l'amorçage sur le réseau : le transfert débute mais après un certain +temps, il s'arrête avec <computeroutput>a.out err</computeroutput>. +Il peut y avoir plusieurs causes : + +<orderedlist> +<listitem><para> + +Le microprogramme ne répond pas à une requête ARP durant un transfert TFTP. +Cela conduit à une suspension ARP et le transfert s'arrête. La solution est +d'ajouter l'adresse MAC de la carte Ethernet dans la table +ARP du serveur TFTP. On peut le faire avec +<userinput>arp -s <replaceable>IP-address</replaceable> +<replaceable>MAC-address</replaceable></userinput> en tant que root sur la +machine serveur TFTP. On peut lire l'adresse MAC de la DECstation en entrant +<command>cnfg</command> à l'invite du microprogramme de la DECstation. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Le microprogramme impose une taille limite aux fichiers + utilisés pour amorcer par TFTP. + +</para></listitem> +</orderedlist> + +Il y aussi des révisions de microprogramme qui ne peuvent pas s'amorcer du +tout par TFTP, voyez +<ulink url="http://www.netbsd.org/Ports/pmax/board-list.html#proms">les pages web de NetBSD</ulink>. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="alpha"> + <title>Amorçage TFTP pour Alpha</title> +<para> +Sur Alpha, vous devez spécifier le nom de fichier (le chemin étant +relatif au répertoire de l'image d'amorçage) en utilisant l'argument +<userinput>-file</userinput> de la commande <userinput>boot</userinput> +de SRM ou en configurant la variable d'environnement +<userinput>BOOT_FILE</userinput>. Vous pouvez aussi passer le nom de fichier +via BOOTP (pour <command>dhcpd</command> ISC, utilisez la directive +<userinput>filename</userinput>). À la différence de Open Firmware, il n'y a +pas de <emphasis>nom de fichier par défaut</emphasis> dans SRM donc vous +<emphasis>devez</emphasis> utiliser une de ces méthodes pour spécifier un nom +de fichier. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="sparc"> + <title>Amorçage TFTP pour SPARC</title> +<para> + +Les architectures SPARC utilisent des noms de sous-architecture, comme +<quote>SUN4M</quote> ou <quote>SUN4C</quote> ; dans certains cas, +l'architecture est laissée en blanc et le fichier que le client recherche +est simplement <filename>ip-du-client-en-hexa</filename>. Ainsi, si +votre sous-architecture système est SUN4C et que son adresseIP est +192.168.1.3, le nom de fichier sera <filename>C0A80103.SUN4C</filename>. +Pour déterminer facilement ce nom et en supposant que l'adresse IP est +10.0.0.4, lancez un interpréteur de commandes et faites : + +<informalexample><screen> +$ printf '%.2x%.2x%.2x%.2x\n' 10 0 0 4 +</screen></informalexample> + +Cela recrache l'adresse en hexadécimal. Il suffira de mettre les lettres en +majuscule et d'ajouter le nom de la sous-architecture pour obtenir le nom du +fichier. + +</para><para> + +Vous pouvez aussi forcer certains systèmes SPARC à rechercher un nom de +fichier spécifique en l'ajoutant à la fin de la commande d'amorçage de +OpenPROM, p. ex. <userinput>boot net my-sparc.image</userinput>. +Ce fichier doit bien sûr être présent dans un répertoire connu du serveur TFTP. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="m68k"> + <title>Amorçage TFTP pour BVM/Motorola</title> +<para> + +Pour BVM et les systèmes VMEbus Motorola, recopiez les fichiers +&bvme6000-tftp-files; dans <filename>/tftpboot/</filename>. + +</para><para> + +Ensuite, configurez votre ROM d'amorçage et votre serveur BOOTP pour charger +en premier les fichiers <filename>tftplilo.bvme</filename> ou +<filename>tftplilo.mvme</filename> du serveur TFTP. Reportez-vous au fichier +<filename>tftplilo.txt</filename> de votre sous-architecture pour obtenir +des informations supplémentaires sur la configuration de votre système. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="mips"> + <title> Amorçage TFTP pour SGI Indy</title> +<para> + +Sur les Indy de SGI, vous pouvez compter sur <command>bootpd</command> pour +obtenir le nom du fichier TFTP. Il est donné soit par +<userinput>bf=</userinput> dans <filename>/etc/bootptab</filename> ou +bien par l'option <userinput>filename=</userinput> dans +<filename>/etc/dhcpd.conf</filename>. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="mips"> + <title>Amorcer avec TFTP la carte Broadcom BCM91250A</title> +<para> + +Il n'est pas utile de configurer DHCP car vous indiquerez à CFE l'adresse +exacte du fichier qui doit être chargé + +</para> + </sect3> + </sect2> +<!-- FIXME: commented out since it seems too old to be usable and a current + way is not known + + + <sect2 id="tftp-low-memory"> + <title>Installation de TFTP sur système avec peu de mémoire</title> +<para> + +Sur certains systèmes, le disque virtuel d'installation + standard, combiné avec les exigences en mémoire de l'image + d'amorçage TFTP, ne peuvent tenir en mémoire. Dans ce cas, + vous pouvez quand même utiliser TFTP mais vous aurez à + passer par une étape supplémentaire pour monter votre + répertoire racine à travers le réseau. Ce type de + configuration est aussi approprié pour les clients sans + disque et les clients sans données. + +</para><para> + +Commencez par suivre toutes les étapes ci-dessus dans +<xref linkend="install-tftp"/>. + +<orderedlist> +<listitem><para> + +Copiez l'image du noyau Linux sur votre serveur TFTP en +utilisant l'image <userinput>a.out</userinput> de l'architecture sur + laquelle vous êtes en train d'amorcer. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +« Détarez » l'archive de root sur votre serveur + NFS (qui peut être le même que votre serveur TFTP) : + +<informalexample><screen> +# cd /tftpboot +# tar xvzf root.tar.gz +</screen></informalexample> + +Assurez-vous d'utiliser le <command>tar</command> de GNU (les + autres programmes, comme celui de SunOS, manipulent + incorrectement certains périphériques comme les fichiers + ordinaires). + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Exportez votre répertoire +<filename>/tftpboot/debian-sparc-root</filename> avec les accès + root pour votre client. Vous devez ajouter la ligne + suivante à <filename>/etc/exports</filename> (syntaxe GNU/Linux, + cela devrait être similaire pour SunOS jusqu'à la version + 4.1.x) : + +<informalexample><screen> + +/tftpboot/debian-sparc-root client(rw,no_root_squash) + +</screen></informalexample> + +Note : <replaceable>client</replaceable> est le nom d'hôte ou bien + l'adresse IP reconnue par le serveur pour le système que + vous allez amorcer. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Créez un lien symbolique depuis votre adresse IP cliente + sous forme de nombres séparés par des points dans le fichier +<filename>debian-sparc-root</filename> du répertoire + <filename>/tftpboot</filename>. Par exemple, si l'adresse IP client + est 192.168.1.3, faites : + +<informalexample><screen> +# ln -s debian-sparc-root 192.168.1.3 +</screen></informalexample> + +</para></listitem> +</orderedlist> + +</para> + + </sect2> + + <sect2> + <title>Installation avec une racine TFTP et NFS</title> +<para> + +C'est très proche de l'installation pour système avec peu de +mémoire <xref linkend="tftp-low-memory"/> parce que vous ne voulez pas +charger le disque virtuel mais amorcer depuis le système de fichier nfs-root + créé il y a peu. Vous n'avez qu'à remplacer le lien vers + l'image tftpboot par un lien vers l'image du noyau +(p. ex. <filename>linux-a.out</filename>). + +</para><para> + +RARP/TFTP requires all daemons to be running on the same server (the +workstation is sending a TFTP request back to the server that replied +to its previous RARP request). + +</para><para> + +Pour amorcer la machine cliente, allez à <xref linkend="boot-tftp"/>. + +</para> + + </sect2> +END FIXME --> + </sect1> diff --git a/fr/install-methods/ipl-tape.xml b/fr/install-methods/ipl-tape.xml new file mode 100644 index 000000000..10791d392 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/ipl-tape.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 arch="s390" id="ipl-tape"> + <title>Création d'une bande IPL</title> + +<para> + +Quand on ne peut pas amorcer (IPL) depuis un cédérom et qu'on n'utilise pas +VM, on doit d'abord créer une bande IPL. La section 3.4.3 du livre rouge +d'IBM +<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf">Linux pour IBM eServer zSeries et distributions S/390</ulink> +décrit le processus. Les fichiers qu'il faut mettre sur cette bande +sont (dans cet ordre) : <filename>kernel.debian</filename>, +<filename>parmfile.debian</filename> et <filename>initrd.debian</filename>. +Les trois fichiers peuvent être récupérés dans le sous-répertoire +<filename>tape</filename>, voyez <xref linkend="where-files"/>, + +</para> +</sect1> + diff --git a/fr/install-methods/official-cdrom.xml b/fr/install-methods/official-cdrom.xml new file mode 100644 index 000000000..453c81513 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/official-cdrom.xml @@ -0,0 +1,73 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="official-cdrom"> + <title>Cédéroms Debian GNU/Linux officiels</title> +<para> + +La méthode la plus facile pour installer Debian GNU/Linux est sûrement +celle à partir du jeu des cédéroms officiels (vous pouvez en acheter, voyez la +<ulink url="&url-debian-cd-vendors;">page des revendeurs de +cédéroms</ulink>. Vous pouvez aussi télécharger les images ISO à partir +d'un miroir de Debian et fabriquer votre propre jeu, si vous avez une +connexion rapide et un graveur (cf. la +<ulink url="&url-debian-cd;">page des cédéroms Debian</ulink> +pour des instructions détaillées). Si vous possédez un jeu de cédéroms et +si votre machine peut s'amorcer à partir d'un cédérom, vous pouvez aller +directement au <xref linkend="boot-installer"/> ; un effort particulier a +été fait pour s'assurer que les fichiers les plus communément demandés soient +présents sur les cédéroms. L'ensemble des paquets binaires nécessite +plusieurs cédéroms, mais vous aurez rarement besoin de paquets qui se +trouvent au delà du troisième cédérom. Il est aussi possible d'utiliser la +version DVD, ce qui sauve de la place sur vos étagères et vous évite +le fastidieux enregistrement de tous les cédéroms. + +</para><para> + +Si vous avez des cédéroms alors que votre machine ne sait pas amorcer à partir +d'un cédérom, vous pouvez utiliser une autre stratégie, p. ex. + +<phrase condition="supports-floppy-boot">disquette,</phrase> + +<phrase arch="s390">bande, bande simulée,</phrase> + +<phrase condition="bootable-disk">disque dur,</phrase> + +<phrase condition="bootable-usb">clé usb,</phrase> + +<phrase condition="supports-tftp">démarrage sur le réseau,</phrase> + +ou bien encore, chargement manuel du noyau et premier démarrage de +l'installateur. Les fichiers requis pour ces différents amorçages sont +aussi sur le cédérom ; l'archive réseau de Debian et l'organisation des +répertoires du cédérom sont identiques. Ainsi, lorsqu'un chemin d'archive est +demandé pour un fichier particulier requis pour amorcer, cherchez ce fichier +dans le même répertoire ou sous-répertoire de votre cédérom. + +</para><para> + +Une fois l'installateur amorcé, il est capable d'obtenir tous les autres +fichiers nécessaires à partir du cédérom. + +</para><para> + +Si vous n'avez pas de jeu de cédéroms, il vous sera nécessaire de télécharger +les fichiers du système d'installation et de les placer sur votre disque +dur ou sur + +<phrase arch="s390">une bande d'installation</phrase> + +<phrase condition="supports-floppy-boot">une disquette ou</phrase> + +<phrase condition="bootable-disk">un disque dur ou</phrase> + +<phrase condition="bootable-usb">une clé usb ou</phrase> + +<phrase condition="supports-tftp">un ordinateur connecté</phrase> + +que vous pourrez utiliser pour amorcer l'installateur. + + +</para> + + </sect1> diff --git a/fr/install-methods/tftp/bootp.xml b/fr/install-methods/tftp/bootp.xml new file mode 100644 index 000000000..07ba81637 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/tftp/bootp.xml @@ -0,0 +1,69 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect2 condition="supports-bootp" id="tftp-bootp"> + <title>Configurer un serveur BOOTP</title> +<para> + +Il existe deux serveurs BOOTP pour GNU/Linux, <command>bootpd</command> CMU +et le second est en fait un serveur DHCP, <command>dhcpd</command> ISC, que +l'on peut trouver dans les paquets <classname>bootp</classname> et +<classname>dhcp</classname> dans &debian;. + +</para><para> + +Pour utiliser <command>bootpd</command> CMU, vous devez commencer par +décommenter (ou ajouter) la ligne adéquate dans +<filename>/etc/inetd.conf</filename>. Dans &debian;, vous pouvez tout +simplement lancer <userinput>update-inetd --enable bootps</userinput> suivi +de <userinput>/etc/init.d/inetd reload</userinput> pour le faire. Sinon, la +ligne en question devrait ressembler à : + +<informalexample><screen> +bootps dgram udp wait root /usr/sbin/bootpd bootpd -i -t 120 +</screen></informalexample> + +Maintenant, vous devez créer le fichier <filename>/etc/bootptab</filename>. +C'est le même genre de format familier et cryptique que ceux des bons vieux +fichiers BSD <filename>printcap</filename>, <filename>termcap</filename>, et +<filename>disktab</filename>. Voyez la page de manuel de +<filename>bootptab</filename> pour d'autres informations. +Pour <command>bootpd</command> CMU, il sera nécessaire d'obtenir l'adresse +matérielle (MAC) du client. Voici un exemple du fichier +<filename>/etc/bootptab</filename> : + +<informalexample><screen> +client:\ + hd=/tftpboot:\ + bf=tftpboot.img:\ + ip=192.168.1.90:\ + sm=255.255.255.0:\ + sa=192.168.1.1:\ + ha=0123456789AB: +</screen></informalexample> + +Vous devrez changer au moins l'option <quote>ha</quote> qui spécifie l'adresse +matérielle du client. L'option <quote>bf</quote> spécifie le fichier que le +client devra récupérer via TFTP ; cf. <xref linkend="tftp-images"/> pour +plus de précisions. + +<phrase arch="mips"> +Pour les SGI Indys, il suffit d'entrer la commande de contrôle +<userinput>printenv</userinput>. La valeur de la variable +<userinput>eaddr</userinput> est celle de l'adresse MAC de la machine. +</phrase> + +</para><para> + +En comparaison, configurer BOOTP avec <command>dhcpd</command> ISC est très +facile parce qu'il traite les clients BOOTP comme des clients DHCP légèrement +spéciaux. Certaines architectures requièrent une configuration complexe pour +amorcer les clients via BOOTP. Si la vôtre en fait partie, lisez la partie +<xref linkend="dhcpd"/>. Sinon, vous pouvez simplement ajouter la directive +<userinput>allow bootp</userinput> au bloc de configuration pour le +sous-réseau contenant le client, puis redémarrer <command>dhcpd</command> +avec <userinput>/etc/init.d/dhcpd restart</userinput>. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml b/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml new file mode 100644 index 000000000..76c536c0a --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml @@ -0,0 +1,99 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version 29400 --> + + + <sect2 condition="supports-dhcp" id="dhcpd"> + <title>Configurer un serveur DHCP</title> +<para> + +Il existe un seul serveur DHCP libre, <command>dhcpd</command> ISC. Dans +&debian;, il est disponible dans le paquet <classname>dhcp</classname>. +Voici un exemple de fichier de configuration (habituellement +<filename>/etc/dhcpd.conf</filename>) : + +<informalexample><screen> +option domain-name "example.com"; +option domain-name-servers ns1.example.com; +option subnet-mask 255.255.255.0; +default-lease-time 600; +max-lease-time 7200; +server-name "servername"; + +subnet 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 { + range 192.168.1.200 192.168.1.253; + option routers 192.168.1.1; +} + +host clientname { + filename "/tftpboot/tftpboot.img"; + server-name "servername"; + next-server servername; + hardware ethernet 01:23:45:67:89:AB; + fixed-address 192.168.1.90; +} +</screen></informalexample> + +Note : dans le nouveau paquet <classname>dhcp3</classname>, ce fichier +s'appelle <filename>/etc/dhcp3/dhcpd.conf</filename>. + +</para><para> + +Dans cet exemple, il y a un serveur <replaceable>servername</replaceable> +qui joue le rôle de serveur DHCP, serveur TFTP et passerelle réseau. Vous +devrez certainement changer les options de domain-name ainsi que le nom du +serveur et les adresses matérielles du client. L'option +<replaceable>filename</replaceable> devrait être le nom du fichier extrait +via TFTP. + +</para><para> + +Après avoir modifié le fichier de configuration de <command>dhcpd</command>, +relancez <command>dhcpd</command> par +<userinput>/etc/init.d/dhcpd restart</userinput>. + +</para> + + <sect3 arch="i386"> + <title>Amorçage PXE et configuration de DHCP</title> +<para> +Voici un autre exemple de fichier <filename>dhcp.conf</filename> utilisant +la méthode de chargement du système d'exploitation par le réseau gérée par le +matériel (« Pre-boot Execution Environment ») (PXE) de TFTP. + +<informalexample><screen> +option domain-name "example.com"; + +default-lease-time 600; +max-lease-time 7200; + +allow booting; +allow bootp; + +# The next paragraph needs to be modified to fit your case +subnet 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 { + range 192.168.1.200 192.168.1.253; + option broadcast-address 192.168.1.255; +# the gateway address which can be different +# (access to the internet for instance) + option routers 192.168.1.1; +# indicate the dns you want to use + option domain-name-servers 192.168.1.3; +} + +group { + next-server 192.168.1.3; + host tftpclient { +# tftp client hardware address + hardware ethernet 00:10:DC:27:6C:15; + filename "/tftpboot/pxelinux.0"; + } +} +</screen></informalexample> + +Veuillez noter que pour un démarrage PXE, le fichier du client +<filename>pxelinux.0</filename> est un programme d'amorçage et non une image +du noyau (voir <xref linkend="tftp-images"/> ci-dessous). + +</para> + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/install-methods/tftp/rarp.xml b/fr/install-methods/tftp/rarp.xml new file mode 100644 index 000000000..73021fae6 --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/tftp/rarp.xml @@ -0,0 +1,65 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect2 condition="supports-rarp" id="tftp-rarp"> + <title>Configurer un serveur RARP</title> +<para> + +Pour configurer RARP, il vous faudra connaître l'adresse Ethernet du client +(c'est-à-dire, l'<quote>adresse MAC</quote>). + Si vous n'avez pas cette donnée, vous pouvez + +<phrase arch="sparc">l'extraire des messages d'amorçage initiaux de l'OpenPROM, + utiliser la commande OpenBoot <userinput>.enet-addr</userinput> ou +</phrase> + +amorcer en mode <quote>secours</quote> (p. ex. à partir de la disquette +de secours) et utiliser la commande +<userinput>/sbin/ifconfig eth0</userinput>. + +</para><para> + +Pour GNU/Linux (noyau 2.2.x), vous devez renseigner la table RARP du + noyau. Pour ce faire, exécutez + +<informalexample><screen> +# <userinput>/sbin/rarp -s +<replaceable>client-hostname</replaceable> +<replaceable>client-enet-addr</replaceable></userinput> + +# <userinput>/usr/sbin/arp -s +<replaceable>client-ip</replaceable> +<replaceable>client-enet-addr</replaceable></userinput> +</screen></informalexample> + +Si en retour vous obtenez : + +<informalexample><screen> +SIOCSRARP: Invalid argument +</screen></informalexample> + +vous devrez probablement charger le module rarp du noyau ou bien recompiler +le noyau pour accepter RARP. Essayez <userinput>modprobe rarp</userinput> +puis essayez à nouveau la commande <command>rarp</command>. + +</para><para> + +Les systèmes avec un noyau Linux 2.4.x n'ont pas de module RARP, +et il faut dans ce cas utiliser le programme <command>rarpd</command>. +La procédure est identique à celle utilisée sous SunOS dans le prochain +paragraphe. + +</para><para> + +Sous SunOS, vous devez vous assurer que les adresses matérielles +Ethernet pour les clients soient listées dans la base de +données <quote>ether</quote> (soit dans le fichier +<filename>/etc/ethers</filename> soit via NIS/NIS+) et dans la base de +données <quote>hosts</quote>. Ensuite, vous devez lancer le démon RARP. +Pour SunOS 4, essayez la commande (en tant que superutilisateur) : +<userinput>/usr/etc/rarpd -a</userinput> ; pour SunOS 5, +<userinput>/usr/sbin/rarpd -a</userinput>. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/install-methods/usb-setup/i386.xml b/fr/install-methods/usb-setup/i386.xml new file mode 100644 index 000000000..f1c243e6a --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/usb-setup/i386.xml @@ -0,0 +1,100 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 27345 --> + + <sect3 arch="i386"> + <title>Partitionner un périphérique USB sur &arch-title;</title> +<para> + +Nous montrerons comment n'utiliser que la première partition, +au lieu de tout le périphérique. + +</para><note><para> + +La plupart des clés USB sont préconfigurées avec une seule partition FAT16. +Vous n'aurez sans doute pas à partitionner ou à formater la clé. Si vous +devez le faire, utilisez le programme <command>cfdisk</command> ou un autre +programme de partitionnement pour créer cette partition et tapez : + +<informalexample><screen> +# mkdosfs /dev/<replaceable>sda1</replaceable> +</screen></informalexample> + +Faites attention à utiliser le périphérique correct pour la clé. Le programme +<command>mkdosfs</command> se trouve dans le paquet Debian +<classname>dosfstools</classname>. + +</para></note><para> + +Pour pouvoir lancer le noyau après l'amorçage sur la clé, nous y mettons +un programme d'amorçage. Tous les programmes d'amorçage fonctionnent +(p. ex. <command>LILO</command>), mais <command>SYSLINUX</command> est +préférable car il utilise une partition FAT16 et peut être reconfiguré en +modifiant un simple fichier texte. On peut modifier la configuration du +programme d'amorçage avec tous les systèmes d'exploitation qui acceptent +le système de fichiers FAT. + +</para><para> + +Pour mettre <command>SYSLINUX</command> sur la partition FAT16 de la clé, +installez les paquets <classname>syslinux</classname> et +<classname>mtools</classname> sur votre système et faites : + +<informalexample><screen> +# syslinux /dev/<replaceable>sda1</replaceable> +</screen></informalexample> + +Encore une fois, faites bien attention à utiliser le nom correct pour la clé. +La partition ne doit pas être montée au lancement de +<command>SYSLINUX</command>. Cette procédure écrit un secteur d'amorçage sur +la partition et crée le fichier <filename>ldlinux.sys</filename> qui contient +le code du programme d'amorçage. + +</para><para> + +Montez la partition (<userinput>mount /dev/sda1 /mnt</userinput>) et +copiez les fichiers suivants sur la clé : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<filename>vmlinuz</filename> (noyau binaire) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>initrd.gz</filename> (image du disque virtuel initial) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>syslinux.cfg</filename> (fichier de configuration de SYSLINUX) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Modules optionnels du noyau + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +Si vous voulez modifier le nom des fichiers, remarquez que +<command>SYSLINUX</command> ne peut traiter que des noms de type DOS (8.3). + +</para><para> + +Le fichier de configuration <filename>syslinux.cfg</filename> doit contenir +les deux lignes suivantes : + +<informalexample><screen> +default vmlinuz +append initrd=initrd.gz ramdisk_size=12000 root=/dev/rd/0 init=/linuxrc rw +</screen></informalexample> + +Remarquez que la valeur du paramètre <userinput>ramdisk_size</userinput> +doit être augmentée avec la taille de l'image qui est amorcée. +<phrase condition="sarge"> +En cas d'échec, vous pouvez ajouter <userinput>devfs=mount,dall</userinput> +à la ligne <quote>append</quote> +</phrase> +</para> + </sect3> diff --git a/fr/install-methods/usb-setup/powerpc.xml b/fr/install-methods/usb-setup/powerpc.xml new file mode 100644 index 000000000..c131f5eec --- /dev/null +++ b/fr/install-methods/usb-setup/powerpc.xml @@ -0,0 +1,111 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 27345 --> + + <sect3 arch="powerpc"> + <title>Partitionner un périphérique USB sur &arch-title;</title> +<para> + + +La plupart des périphériques USB ne sont pas prêts à être amorcés par le +microprogramme Open Firmware, et vous devez les repartitionner. +Sur les systèmes Mac, faites <userinput>mac-fdisk /dev/sda</userinput>, +initialisez une nouvelle table des partitions avec la commande +<userinput>i</userinput> et créez une nouvelle partition Apple_Bootstrap +avec la commande <userinput>C</userinput>. +Remarquez que la première partition sera toujours la table des partitions +elle-même. Saisissez : + +<informalexample><screen> +$ hformat /dev/<replaceable>sda2</replaceable> +</screen></informalexample> + +Faites attention à utiliser le périphérique correct pour la clé. Le programme +<command>hformat</command> se trouve dans le paquet Debian +<classname>hfsutils</classname>. + +</para><para> + +Pour pouvoir lancer le noyau après l'amorçage sur la clé, nous y mettons +un programme d'amorçage. Le programme <command>yaboot</command> peut être +installer sur un système de fichiers HFS et configuré en modifiant un +simple fichier texte. On peut modifier la configuration du +programme d'amorçage avec tous les systèmes d'exploitation qui acceptent +le système de fichiers HFS. + +</para><para> + +L'utilitaire <command>ybin</command> de <command>yaboot</command> ne +comprend pas pour l'instant les périphériques USB, et vous devrez +installer <command>yaboot</command> manuellement avec les outils +<classname>hfsutils</classname>. Saisissez : + +<informalexample><screen> +$ hmount /dev/sda2 +$ hcopy -r /usr/lib/yaboot/yaboot : +$ hattrib -c UNIX -t tbxi :yaboot +$ hattrib -b : +$ humount +</screen></informalexample> + +Encore une fois, faites bien attention à utiliser le nom correct pour la clé. +La partition ne doit pas être montée pendant la procédure. Cette procédure +met le programme d'amorçage sur la partition et utilise les outils HFS pour +préparer ce programme à être lancé par le microprogramme Open Firmware. +Ensuite, la clé USB peut être préparée avec les outils standards d'Unix. + +</para><para> +Montez la partition (<userinput>mount /dev/sda2 /mnt</userinput>) et +copiez les fichiers suivants sur la clé : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<filename>vmlinux</filename> (noyau binaire) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>initrd.gz</filename> (image du disque virtuel initial) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>yaboot.conf</filename> (fichier de configuration de yaboot) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>boot.msg</filename> (message optionnel) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Modules optionnels du noyau + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +</para><para> + +Le fichier de configuration <filename>yaboot.conf</filename> doit contenir +les lignes suivantes : + +<informalexample><screen> +default=install +root=/dev/ram + +message=/boot.msg + +image=/vmlinux + label=install + initrd=/initrd.gz + initrd-size=10000<phrase condition="sarge"> + append="devfs=mount,dall --"</phrase> + read-only +</screen></informalexample> + +Remarquez que la valeur du paramètre <userinput>ramdisk_size</userinput> +doit être augmentée avec la taille de l'image qui est amorcée. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/partitioning/device-names.xml b/fr/partitioning/device-names.xml new file mode 100644 index 000000000..8b5a90467 --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/device-names.xml @@ -0,0 +1,162 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect1 id="device-names"> + <title>Noms des périphériques sous Linux</title> +<para> + +Le nom des disques et des partitions sous Linux peut être différent des autres +systèmes d'exploitation. Vous devez connaître les noms utilisés lors +de la création et du montage de partitions. Voici les principales +conventions de nommage : + +</para> +<itemizedlist arch="not-s390"> +<listitem><para> + +Le premier lecteur de disquette est nommé <filename>/dev/fd0</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Le second lecteur de disquette est nommé <filename>/dev/fd1</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Le premier disque SCSI (selon l'ID SCSI) est nommé +<filename>/dev/sda</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Le deuxième disque SCSI (selon l'ID) est nommé +<filename>/dev/sdb</filename>, etc. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Le premier cédérom SCSI est nommé <filename>/dev/scd0</filename>, +ou encore <filename>/dev/sr0</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Le disque maître sur le contrôleur IDE primaire est nommé +<filename>/dev/hda</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Le disque esclave sur le contrôleur IDE primaire est nommé +<filename>/dev/hdb</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Les disques maître et esclave sur le deuxième contrôleur sont nommés +respectivement <filename>/dev/hdc</filename> et +<filename>/dev/hdd</filename>. Les nouveaux contrôleurs +IDE peuvent avoir deux canaux fonctionnant comme deux contrôleurs +distincts ; + +<phrase arch="m68k"> +Les lettres peuvent différer de ce que montre le programme Mac +pdisk (ce que pdisk affiche comme étant <filename>/dev/hdc</filename> peut +être vu comme <filename>/dev/hda</filename> dans Debian). +</phrase> + +</para></listitem> + +<listitem arch="i386"><para> + +Le premier disque XT est nommé <filename>/dev/xda</filename>. + +</para></listitem> +<listitem arch="i386"><para> + +Le second disque XT est nommé <filename>/dev/xdb</filename>. + +</para></listitem> +<listitem arch="m68k"><para> + +Le premier périphérique ACSI est appelé <filename>/dev/ada</filename>, +le deuxième, <filename>/dev/adb</filename>. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +<itemizedlist arch="s390"> +<listitem><para> + +Le premier périphérique DASD est appelé +<filename>/dev/dasda</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> +Le second périphérique DASD est appelé +<filename>/dev/dasdb</filename>, etc. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +<para arch="not-s390"> + +Les partitions sur chaque disque sont représentées en ajoutant un +numéro au nom du disque : <filename>sda1</filename> et +<filename>sda2</filename> représentent la première et la seconde partition du +premier disque SCSI du système. + +</para><para arch="not-s390"> + +Voici un exemple concret. Supposons que vous ayez deux disques SCSI, +l'un à l'adresse SCSI 2 et l'autre à l'adresse SCSI 4. Le premier disque (à +l'adresse 2) est nommé <filename>sda</filename>, et le second +<filename>sdb</filename>. Si le disque <filename>sda</filename> a +trois partitions, elles s'appelleront <filename>sda1</filename>, +<filename>sda2</filename> et <filename>sda3</filename>. La même convention +s'applique au disque <filename>sdb</filename> et à ses partitions. + +</para><para arch="not-s390"> + +Notez que si vous avez deux adaptateurs SCSI (c.-à-d. des contrôleurs SCSI), +l'ordre de nommage des disques peut-être embrouillé. La meilleure +solution est de regarder les messages au démarrage, en supposant que +vous connaissiez les modèles ou les tailles des disques. + +</para><para arch="i386"> + +Linux représente les partitions primaires par le nom du disque, suivi +des nombres 1 à 4. Par exemple la première partition sur le premier +disque IDE est <filename>/dev/hda1</filename>. Les partitions logiques sont +numérotées à partir de 5. Donc, la première partition logique sur ce +même disque est <filename>/dev/hda5</filename>. Rappelez-vous que la partition +étendue, c'est-à-dire la partition primaire contenant les partitions +logiques, n'est pas utilisable en elle-même. +Cela s'applique aussi bien aux disques IDE qu'aux disques SCSI. + +</para><para arch="m68k"> + +Les systèmes à VMEbus utilisant le lecteur de disquettes SCSI TEAC FC-1 +le verront comme un disque SCSI normal. Pour faciliter +l'identification du lecteur, le logiciel d'installation créera un lien +symbolique <filename>/dev/sfd0</filename> vers le périphérique approprié. + +</para><para arch="sparc"> + +Les partitions des disques Sun autorisent 8 partitions différentes (ou +tranches, <emphasis>slices</emphasis>). La troisième partition est +habituellement (et de préférence) la partition « Disque Entier ». +Cette partition référence tous les secteurs du disque, et est utilisée +par le programme d'amorçage (soit SILO, soit celui de Sun). + +</para><para arch="s390"> + +Les partitions sur chaque disque sont représentées en ajoutant un +numéro au nom du disque : <filename>dasda1</filename> et +<filename>dasda2</filename> représentent la première et la seconde partition du +premier périphérique DASD du système. + +</para> + </sect1> diff --git a/fr/partitioning/partition-programs.xml b/fr/partitioning/partition-programs.xml new file mode 100644 index 000000000..ae130440d --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partition-programs.xml @@ -0,0 +1,183 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect1 id="partition-programs"> + <title>Programmes de partitionnement de Debian</title> +<para> + +Plusieurs sortes d'utilitaires de partitionnement ont été adaptés par +les développeurs Debian pour tourner sur différents types de disques +et d'architectures matérielles. +Voici les programmes qui sont disponibles sur votre architecture : + +</para> + +<variablelist> + +<varlistentry> +<term><command>partman</command></term> +<listitem><para> + +C'est le partitionneur que recommande Debian. Ce <quote>couteau suisse</quote> +sait aussi redimensionner des partitions et monter des systèmes de fichiers +<phrase arch="i386"> (<quote>formater</quote> en langage Windows)</phrase> +sur des points de montage. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="fdisk.txt"> +<term><command>fdisk</command></term> +<listitem><para> + +Le premier partitionneur de disque pour Linux, bon pour les gourous. + +</para><para> + +Faites attention si vous avez des partitions FreeBSD sur votre machine. Les +noyaux d'installation incluent un support pour ces partitions, mais la façon +dont <command>fdisk</command> les représente (ou pas) peut faire varier les +noms de périphériques. Lisez attentivement le +<ulink url="&url-linux-freebsd;">Linux+FreeBSD HOWTO</ulink> + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="cfdisk.txt"> +<term><command>cfdisk</command></term> +<listitem><para> + +Un partitionneur simple à utiliser, fonctionnant en mode plein écran, +pour nous autres. + +</para><para> + +Remarquez que <command>cfdisk</command> ne comprend pas du tout +les partitions FreeBSD et que les noms de périphériques peuvent +être différents. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="atari-fdisk.txt"> +<term><command>atari-fdisk</command></term> +<listitem><para> + +Version de +<command>fdisk</command> pour machines Atari. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="amiga-fdisk.txt"> +<term><command>amiga-fdisk</command></term> +<listitem><para> + +Version de +<command>fdisk</command> pour machines Amiga. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="mac-fdisk.txt"> +<term><command>mac-fdisk</command></term> +<listitem><para> + +Version de +<command>fdisk</command> pour Mac. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="pmac-fdisk.txt"> +<term><command>pmac-fdisk</command></term> +<listitem><para> + +Version de +<command>fdisk</command> pour les PowerMac, et les systèmes BVM et +Motorola VMEbus. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry condition="fdasd.txt"> +<term><command>fdasd</command></term> +<listitem><para> + +Version de <command>fdisk</command> pour les &arch-title;. +Lisez la page de manuel de fdasd ou le +chapitre 13 de +<ulink url="http://oss.software.ibm.com/developerworks/opensource/linux390/docu\/l390dd08.pdf">Pilotes de périphériques et commandes d'installation</ulink>. + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +<para> + +L'un de ces programmes sera lancé par défaut quand vous sélectionnerez : +<guimenuitem>Partitionner un disque dur</guimenuitem>. Si ce n'est pas celui +que vous souhaitez utiliser, quittez le programme de partitionnement, allez à +la console 2 +(<userinput>tty2</userinput>) en appuyant simultanément sur les touches +<keycap>Alt</keycap> et <keycap>F2</keycap>, et tapez +manuellement dans le shell le nom du programme que vous voulez utiliser +(et ses arguments, si nécessaire). +Ensuite, sautez l'étape <guimenuitem>Partitionner un disque dur</guimenuitem> +de l'installateur et continuez à l'étape suivante. + +</para><para> + +Si vous souhaitez que cela fonctionne avec plus de 20 partitions sur votre +disque ide, vous devrez créer manuellement les périphériques à partir de la +partition n° 21. L'étape suivante d'initialisation de la partition +échouera sauf si le bon périphérique est présent. Comme exemple, voici +les commandes que vous pouvez utiliser dans <userinput>tty2</userinput> ou sous +<quote>Exécuter un shell</quote>, pour ajouter le périphérique nécessaire à la +la 21e partition : + +<informalexample><screen> +# cd /dev +# mknod hda21 b 3 21 +# chgrp disk hda21 +# chmod 660 hda21 +</screen></informalexample> + +Le démarrage sur le nouveau système échouera sauf si les bons périphériques +sont présents sur le système en question. Après avoir installé le noyau et les +modules, exécutez : + +<informalexample><screen> +# cd /target/dev +# mknod hda21 b 3 21 +# chgrp disk hda21 +# chmod 660 hda21 +</screen></informalexample> + +<phrase arch="i386"> +N'oubliez pas de rendre amorçable votre partition racine. +</phrase> + +</para><para condition="mac-fdisk.txt"> + +Un point important est que +la partition d'échange (<emphasis>swap</emphasis>) est identifiée sur les +disques +de type Mac par son nom : ce doit être <quote>swap</quote>. Toutes +les partitions Mac linux sont identifiées sous le même type de partition, +Apple_UNIX_SRV2. Veuillez lire le manuel approprié. +Nous vous suggérons aussi de lire le <ulink url="&url-mac-fdisk-tutorial;"> +guide d'initiation à mac-fdisk"></ulink>, qui décrit les étapes que vous devez +suivre si vous voulez partager votre disque avec MacOS. + +</para> + +&partition-alpha.xml; +&partition-hppa.xml; +&partition-i386.xml; +&partition-ia64.xml; +&partition-mips.xml; +&partition-powerpc.xml; +&partition-sparc.xml; + + </sect1> diff --git a/fr/partitioning/partition/alpha.xml b/fr/partitioning/partition/alpha.xml new file mode 100644 index 000000000..c1046c37b --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partition/alpha.xml @@ -0,0 +1,57 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="alpha"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> +<para> + +Pour démarrer Debian à partir d'une console SRM (seule méthode possible pour +amorcer sur un disque avec &releasename;), le disque d'amorçage doit +avoir une table des partitions de type BSD et non pas de type DOS. +Rappelez-vous que le bloc de démarrage SRM est incompatible avec les tables +de partition MS-DOS — voyez <xref linkend="alpha-firmware"/>. Pour +l'architecture &architecture;, <command>partman</command> créera une table +de type BSD ; si le disque contient une table de type DOS, il faudra +supprimer les partitions existantes pour que partman puisse modifier le +disque. +</para> +<para> +Si vous voulez utiliser <command>fdisk</command> pour partitionner le +disque et si le disque ne contient pas une table de type BSD, vous devez +utiliser la commande <quote>b</quote> pour passer en mode BSD. +</para> + +<para> +À moins que vous ne vouliez utiliser le disque que vous partitionnez +pour des systèmes d'exploitation dérivés de Tru64 Unix ou de +4.4BSD-Lite (FreeBSD, OpenBSD ou NetBSD), il est suggéré de <emphasis>ne +pas</emphasis> créer une 3e partition contenant le disque entier. Cela n'est +pas nécessaire à <command>aboot</command>, et peut, en fait, être source de +confusion, car l'utilitaire <command>swriteboot</command> qui installe +par défaut <command>aboot</command> sur le secteur de démarrage se plaindra +de ce qu'une partition empiète sur le bloc de démarrage + +</para><para> + +De même, puisque <command>aboot</command> est écrit sur les premiers secteurs +du disque (actuellement, il occupe environ 70 Ko, soit 150 secteurs), +vous <emphasis>devez</emphasis> lui laisser suffisamment d'espace libre en +début de disque. Par le passé, on suggérait de créer une petite partition +en début de disque, non formatée. Pour la même raison que celle +évoquée plus haut, nous suggérons maintenant de ne pas faire cela +sur les disques qui ne seront utilisés que pour GNU/Linux. Avec +<command>partman</command>, cette partition est toujours créée pour des +raisons pratiques. + +</para><para condition="FIXME"> + +Pour les installations ARC, vous devriez créer une petite partition FAT +en début de disque, qui contienne <command>MILO</command> et +<command>linload.exe</command> — 5 Mo devraient suffire, voir +<xref linkend="non-debian-partitioning"/>. Malheureusement, la création de +systèmes de fichiers FAT n'est pas encore intégrée dans le menu, aussi, +vous devrez le faire manuellement à partir du shell d'installation +avec <command>mkdosfs</command> avant de tenter d'installer le chargeur de +boot. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/partitioning/partition/hppa.xml b/fr/partitioning/partition/hppa.xml new file mode 100644 index 000000000..6e9e752b4 --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partition/hppa.xml @@ -0,0 +1,22 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="hppa"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> +<para> + +PALO, le programme d'amorçage pour HPPA, nécessite une partition de type +<quote>F0</quote> quelque part dans les deux premiers Go. C'est la partition où seront +stockés le programme d'amorçage, le noyau et un disque virtuel optionnel, +aussi faites-la assez grande, au moins 4 Mo +(je préfère 8 à 16 Mo). Le microprogramme (<emphasis>firmware</emphasis>) +exige de plus que le noyau Linux réside dans les deux premiers Go. +On règle souvent cette question en mettant la totalité de la partition racine +ext2 dans les deux premiers Go du disque. Sinon, vous pouvez créer +une petite partition ext2 au début du disque et la monter sur +<filename>/boot</filename>, le répertoire où les noyaux Linux seront stockés. +<filename>/boot</filename> doit être assez gros pour contenir autant de noyaux +que vous pourriez vouloir charger ; 8 à 16 Mo sont +généralement suffisants. + +</para> + </sect2>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/partitioning/partition/i386.xml b/fr/partitioning/partition/i386.xml new file mode 100644 index 000000000..02a6ebde4 --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partition/i386.xml @@ -0,0 +1,104 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect2 arch="i386"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> +<para> + +Si vous voulez préserver un système d'exploitation existant comme +DOS ou Windows, il vous faudra redimensionner sa partition pour faire de la +place pour installer Debian. L'installateur sait redimensionner les systèmes +de fichiers FAT et NTFS ; quand vous arrivez à l'étape +<quote>Partitionnement</quote> de l'installateur, choisissez le +partitionnement manuel et indiquez la nouvelle taille de la partition voulue. +</para> + +<para> + +Les BIOS des PC ont généralement leurs propres contraintes pour le +partitionnement des disques. Il y a une limite sur le nombre de +partitions « primaires » et « logiques » qu'un disque +peut contenir. +De plus, avec les BIOS antérieurs à 1994–98 (selon les constructeurs), +il y a des limites sur l'emplacement des partitions à +partir desquelles on peut démarrer le système. Vous trouverez plus +d'information dans le +<ulink url="&url-partition-howto;">HOWTO Linux Partition</ulink> et la +<ulink url="&url-phoenix-bios-faq-large-disk;">FAQ Phoenix BIOS</ulink>, mais +cette section contient un bref survol pour vous aider à aplanir les difficultés +les plus courantes. + +</para><para> + +À l'origine, le système de partitionnement des disques de PC est basé +sur les partitions « primaires », mais il ne peut y en avoir que +quatre. +Pour passer outre cette limitation, les partitions « étendues » +et « logiques » ont été inventées. En configurant une partition +primaire +en partition étendue, vous pouvez subdiviser l'espace alloué à cette +partition en partitions « logiques ». La partition étendue peut +contenir jusqu'à 60 partitions logiques ; en revanche, +il ne peut y avoir qu'une seule partition étendue par disque. + +</para><para> + +Linux limite le nombre de partitions à 15 par disque SCSI (3 +partitions primaires utilisables et 12 partitions logiques dans la +partition étendue) et à 63 +par disque IDE (3 partitions primaires et 60 partitions logiques). +Cependant, le système &debian; classique fournit seulement 20 périphériques +pour les partitions, c'est pourquoi vous ne pourrez pas procéder à +l'installation sur des partitions supérieures à 20, à moins d'avoir +créé manuellement des périphériques pour ces partitions. + +</para><para> + +Si vous avez un gros disque IDE, et que vous n'utilisez ni l'adressage +LBA ni les pilotes en couche (quelquefois fournis par les +constructeurs de disques), la partition de démarrage (celle qui +contient l'image noyau) doit être placée dans les 1024 premiers +cylindres de votre disque dur (habituellement, autour de 524 Mo, sans +la translation du BIOS). + +</para><para> + +Cette restriction ne s'applique pas si vous avez un BIOS postérieur à +1995–98 (selon les constructeurs) qui prend en charge la norme +<quote>Enhanced Disk Drive Support Specification</quote>. +Lilo, le chargeur Linux, et l'alternative Debian, <command>mbr</command>, ont +besoin du BIOS pour charger en RAM le noyau lu sur le disque. +Si les extensions du BIOS int 0x13 pour l'accès aux gros disques sont +présentes, elles seront utilisées. Sinon, l'interface standard d'accès +au disque sera utilisée par défaut, et elle ne permettra pas de +démarrer sur des emplacements situés après le 1023e cylindre du +disque. Une fois que Linux est démarré, peu importe le BIOS de votre +ordinateur, ces restrictions ne s'appliquent plus, puisque Linux +n'utilise pas le BIOS pour les accès disque. + +</para><para> + +Si vous avez un gros disque, vous devrez peut-être utiliser des +techniques de translation de cylindres que vous pouvez configurer +dans le BIOS, comme le mode d'adressage LBA (Linear Block Addressing), +ou le mode de translation CHS. +Vous trouverez plus d'informations sur la gestion des gros disques dans le +<ulink url="&url-large-disk-howto;">HOWTO Large Disk</ulink>. +Si vous utilisez une méthode de translation de cylindres, et que le +BIOS ne supporte pas les extensions pour l'accès aux gros disques, votre +partition de démarrage devra être contenue dans la partie correspondant +aux 1024 premiers cylindres <emphasis>translatés</emphasis>. + +</para><para> + +La meilleure façon de régler ce problème est de créer une petite +partition (5 à 10 Mo doivent suffire) en début de disque, qui sera la +partition de démarrage, puis de créer toutes les autres partitions que +vous voulez dans l'espace restant. Cette partition de démarrage +<emphasis>devra</emphasis> être montée sur <filename>/boot</filename>, +le répertoire où +seront stockés les noyaux Linux. Cette configuration marchera sur tous +les systèmes, quel que soit votre mode d'adressage (LBA) ou de +translation (CHS), et quel que soit votre BIOS, avec ou sans extensions. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/partitioning/partition/ia64.xml b/fr/partitioning/partition/ia64.xml new file mode 100644 index 000000000..aad4e34d3 --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partition/ia64.xml @@ -0,0 +1,124 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect2 arch="ia64"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> +<para> +<command>Partman</command> est l'outil de partitionement par défaut de +l'installateur. Il permet de créer les partitions et de positionner les +points de montage pour s'assurer que les disques et les systèmes de fichiers +seront correctement configurés lors de l'installation. Il utilise le programme +<command>parted</command> pour créer les partitions du disque. + +</para> + + <note> + <title>Formats reconnu par EFI</title> +<para> +Le microprogramme (<emphasis>firmware</emphasis>) EFI pour ia64 accepte deux +formats de table de partitions (ou d'étiquette disque), GPT et MS-DOS. +MS-DOS est le format classique des PC i386, et n'est pas recommandé +pour les systèmes ia64. Bien que l'installateur fournisse aussi l'utilitaire +<command>cfdisk</command>, vous devez utiliser uniquement +<ulink url="parted.txt"><command>parted</command></ulink>, parce qu'il est le +seul capable de gérer correctement à la fois les tables GPT et MS-DOS. + +</para></note> + +<para> + +Les règles de partitionnement automatique de <command>partman</command> +attribuent la première partition du disque à EFI. +Vous pouvez également installer la partition depuis le menu principal +sous <guimenuitem>Partitionnement assisté</guimenuitem> de la même manière +que vous avez installé la partition d'échange (<emphasis>swap</emphasis>). + +</para><para> + +<command>Partman</command> est capable de gérer la plupart des disques. +Pour les rares cas où il est nécessaire d'installer manuellement un disque, +vous pouvez exécuter l'utilitaire <command>parted</command> directement en +utilisant son interface en ligne de commande. En supposant que vous désiriez +effacer tout votre disque, et créer une table GPT et des partitions, +les commandes suivantes peuvent être utilisées : + +<informalexample><screen> + mklabel gpt + mkpartfs primary fat 0 50 + mkpartfs primary linux-swap 51 1000 + mkpartfs primary ext2 1001 3000 + set 1 boot on + print + quit +</screen></informalexample> + +Ces commandes créent une nouvelle table de partitions, et trois partitions, +utilisées en tant que partition d'amorçage EFI, partition d'échange, et +système de fichiers racine. Enfin, on positionne le drapeau de boot +sur la partition EFI. +Les partitions sont spécifiées en Mo, avec les décalages de début et +de fin à partir du début du disque. Ainsi, par exemple, nous avons +créé ci-dessus un système de fichier ext2 de 1999 Mo, démarrant à +1001 Mo du début du disque. +Notez que le formatage de l'espace d'échange avec <command>parted</command> +peut prendre quelques minutes, car il cherche à détecter les blocs défectueux +de la partition. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="ia64"><title>Partition nécessaire pour le programme d'amorçage</title> + +<para> + +ELILO, le programme d'amorçage pour ia64, nécessite une partition +contenant un système FAT avec le drapeau <userinput>boot</userinput> +positionné. La partition doit être assez grande pour contenir le programme +d'amorçage et tous les noyaux et les images des disques virtuels que vous +voudrez utiliser pour démarrer. Une taille minimale serait de 20 Mo, +mais si vous souhaitez avoir différents noyaux, 128 Mo est sûrement +plus adapté. + +</para><para> + +le programme d'amorçage EFI et le shell EFI gèrent tous les deux les tables +GPT, donc la partition de démarrage ne doit pas nécessairement être la +première partition ni même être sur le même disque. +Cela peut être pratique, si vous avez oublié d'allouer une partition et +que vous vous en apercevez seulement après avoir formaté les autres +partitions de vos disques. L'utilitaire <command>partman</command> vérifie +la partition EFI en même temps qu'il vérifie que l'installation de la partition +racine (<emphasis>root</emphasis>) s'est correctement passée. +Cela vous donne une occasion de corriger la disposition du disque avant que +l'installation des paquets commence. +La manière la plus facile de corriger cette omission est de rétrécir la +dernière partition du disque afin d'obtenir suffisamment d'espace libre et de +pouvoir rajouter une partition EFI. + +</para><para> + +Il est fortement recommandé que votre partition d'amorçage EFI soit sur le +même disque que la racine de votre sytème de fichiers. +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="ia64"><title>Partitions de diagnostic EFI</title> + +<para> + +Le microprogramme EFI est sensiblement plus sophistiqué que le BIOS habituel +qu'on trouve sur les PC x86. +Quelques fournisseurs de système tirent profit des capacités du microprogramme +EFI à accéder aux fichiers et à exécuter des programmes depuis un système de +fichiers +pour stocker sur le disque des utilitaires de diagnostics et d'administration +système basés sur EFI. Ils sont sur une partition séparée de type FAT sur le +disque système. +Reportez-vous à la documentation et aux accessoires fournis avec votre système +pour plus de détails. +Le moment le plus approprié pour installer une partition de diagnostic est au +moment de l'installation de la partition de démarrage EFI. + +</para> + + </sect2> diff --git a/fr/partitioning/partition/mips.xml b/fr/partitioning/partition/mips.xml new file mode 100644 index 000000000..bc319918a --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partition/mips.xml @@ -0,0 +1,18 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect2 arch="mips"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> +<para> + +SGI Indys nécessite une étiquette de disque (<emphasis>disklabel</emphasis>) +SGI afin de pouvoir démarrer le système depuis le disque dur. Elle peut +être créée à partir du menu expert de <command>fdisk</command>. +L'en-tête du volume ainsi créé (numéro de partition 9) devrait faire au moins +3 Mo. Afin de pouvoir y stocker plusieurs noyaux, une taille de +10 Mo est recommandée. Si l'en-tête de volume est trop petit, vous +pouvez tout simplement effacer la partition numéro 9 et le recréer +avec une taille différente. Notez que l'en-tête de volume doit démarrer +au secteur 0. + +</para> + </sect2>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/partitioning/partition/powerpc.xml b/fr/partitioning/partition/powerpc.xml new file mode 100644 index 000000000..9833cb404 --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partition/powerpc.xml @@ -0,0 +1,58 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 23146 --> + + <sect2 arch="powerpc"><title>Partitionnement pour les PowerMacs</title> +<para> + +Si vous faites l'installation sur un PowerMac NewWorld, +vous devez créer une partition de démarrage spéciale pour contenir le +programme d'amorçage. Sa taille doit être de 800 Ko et son type +de partition, <emphasis>Apple_Bootstrap</emphasis>. Si la partition n'est pas +créée avec ce type précis, votre machine ne pourra pas démarrer à +partir du disque dur. Vous pouvez utiliser <command>partman</command> et créer +une partition de démarrage <quote>NewWorld</quote> ; vous pouvez aussi +utiliser <command>mac-fdisk</command> avec la commande +<userinput>b</userinput>. + +</para><para> + +Le type spécial de partition Apple_Bootstrap est nécessaire pour +empêcher MacOS de monter et d'endommager la partition de démarrage, car +elle contient des modifications spécialement faites pour permettre à +Open Firmware de la démarrer automatiquement. + +</para><para> + +Notez que cette partition n'est supposée contenir que 3 +petits fichiers : le binaire <command>yaboot</command>, son fichier de +configuration <filename>yaboot.conf</filename>, et un premier niveau du +chargeur OpenFirmware, <command>ofboot.b</command>. +Il est inutile de la monter dans votre système de fichiers (et elle ne doit +pas l'être), ni d'y copier un noyau ou quoi que ce soit d'autre. +Les utilitaires <command>ybin</command> et <command>mkofboot</command> +servent à manipuler cette partition. + +</para><para> + +Afin qu'Open Firmware démarre automatiquement &debian;, la partition +de démarrage doit apparaître sur le disque avant toute autre partition, +et surtout, avant les partitions de démarrage de MacOS. +Vous devriez créer en premier la partition de démarrage. +Cependant, si vous ajoutez une partition de démarrage, vous +pouvez utilisez la commande <userinput>r</userinput> de +<command>mac-fdisk</command> pour +réordonner les partitions, de sorte que celle de démarrage suive +immédiatement la table (c'est toujours la première partition). +C'est l'ordre logique de la table qui compte, pas l'ordre des adresses +physiques sur le disque. + +</para><para> + +Les disques Apple ont habituellement plusieurs petites partitions pour +les pilotes. Si vous envisagez de pouvoir amorcer aussi MacOSX, vous devez +garder ces partitions et une petite partition HFS (800 Ko au minimum). +En effet, à chaque démarrage, MacOSX propose d'initialiser chaque disque qui +n'a pas de partition MacOS active ou pas de partition pour les pilotes. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/partitioning/partition/sparc.xml b/fr/partitioning/partition/sparc.xml new file mode 100644 index 000000000..a1576303f --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partition/sparc.xml @@ -0,0 +1,37 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + + <sect2 arch="sparc"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> +<para> + +Assurez-vous de créer un <quote>Sun disk label</quote> sur votre disque de +démarrage. +C'est le seul type de schéma de partition que comprend l'OpenBoot en PROM, +et donc le seul schéma de partition à partir duquel vous pouvez démarrer. +Dans <command>fdisk</command>, c'est la touche <keycap>s</keycap> qui est +utilisée pour créer les <quote>Sun disk labels</quote>. + +</para><para> + +De plus, avec les disques &arch-title;, assurez-vous que la première +partition de votre disque de démarrage commence au cylindre 0. C'est +obligatoire et cela signifie également que la première partition +contient la table de partitions et le bloc de démarrage (<emphasis>boot +block</emphasis>), qui représentent les 2 premiers secteurs du disque. +Vous <emphasis>ne devez pas</emphasis> placer la partition d'échange +sur la première partition du disque de démarrage, vu que les +partitions d'échange ne respectent pas les premiers secteurs +de la partition. Vous pouvez placer une partition ext2 ou UFS à cet +endroit ; cela laissera la table de partitions et le bloc de +démarrage tranquilles. + +</para><para> + +Il est aussi conseillé que la 3e partition soit de type +« Whole disk » (type 5), +et contienne le disque entier (du premier au dernier cylindre). +C'est une convention des étiquettes des disques Sun et cela aide le +chargeur de démarrage <command>SILO</command> à ne pas perdre la tête. + +</para> + </sect2>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/partitioning/partitioning.xml b/fr/partitioning/partitioning.xml new file mode 100644 index 000000000..131e62ee0 --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/partitioning.xml @@ -0,0 +1,12 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + +<appendix id="partitioning"> +<title>Partitionnement pour Debian</title> + +&sizing.xml; +&tree.xml; +&schemes.xml; +&device-names.xml; +&partition-programs.xml; +</appendix> diff --git a/fr/partitioning/schemes.xml b/fr/partitioning/schemes.xml new file mode 100644 index 000000000..3202186bf --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/schemes.xml @@ -0,0 +1,91 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1> + <title>Schéma de partitionnement recommandé</title> +<para> + +Pour les nouveaux utilisateurs, les machines Debian personnelles ou +familiales, et autres systèmes mono-utilisateurs, une simple partition +<filename>/</filename> (plus celle d'échange) est sans doute la solution la +plus simple. Cependant, si votre partition a une taille supérieure à +6 Go, choisissez le type ext3 pour votre système de fichier. Les +partitions de type ext2 ont besoin d'une vérification périodique de +l'intégrité du système de fichier, et cela peut prendre au démarrage un temps +non négligeable lorsque la taille de la partition est importante. + +</para><para> + +Pour les systèmes multi-utilisateurs, ou les systèmes avec beaucoup d'espace +disque, il vaut mieux placer les répertoires <filename>/usr</filename>, +<filename>/var</filename>, <filename>/tmp</filename>, et +<filename>/home</filename> chacun sur une +partition distincte de la partition <filename>/</filename>. + +</para><para> + +Dans certains cas, vous pourriez avoir besoin d'une partition +<filename>/usr/local</filename> distincte si vous prévoyez d'installer +beaucoup de programmes qui ne font pas partie de la distribution Debian. +Si votre machine est destinée à être un serveur de courrier, vous +pourriez avoir besoin de mettre aussi <filename>/var/mail</filename> +sur une partition distincte. Parfois, mettre le répertoire +<filename>/tmp</filename> sur sa propre partition, par exemple 20 à +50 Mo peut être une bonne idée. Si vous mettez sur pied un serveur +avec beaucoup d'utilisateurs, il est généralement intéressant +d'avoir une grande partition distincte pour <filename>/home</filename>. +En général, la méthode de partitionnement varie d'un ordinateur à l'autre, +en fonction de son usage. + +</para><para> + +Pour des systèmes très complexes, consultez le +<ulink url="&url-multidisk-howto;">HOWTO Multi Disk</ulink>. Il contient des +informations très précises qui intéresseront les fournisseurs d'accès à +Internet et les personnes installant des serveurs. + +</para><para> + +En ce qui concerne la taille de la partition d'échange (swap), +les avis sont partagés. Une règle traditionnelle, qui fonctionne bien, +est d'utiliser autant d'espace d'échange que de RAM. Dans la plupart +des cas, cette taille ne devrait pas être inférieure à 16 Mo. +Bien sûr, il y a des exceptions à cette règle. Si vous essayez de résoudre +simultanément 10 000 équations sur une machine avec 256 Mo de RAM, +vous pourriez avoir besoin d'un gigaoctet (ou plus) d'échange. + +</para><para arch="m68k"> + +D'un autre côté, les performances des Atari Falcons et des Macs semblent +chuter quand ils doivent utiliser la swap. En conséquence, au lieu d'augmenter +la partition d'échange, il vaut mieux ajouter autant de RAM que possible. + +</para><para> + +Sur les architectures 32 bits (i386, m68k, SPARC 32 bits et PowerPC), +la taille maximale d'une partition d'échange est de 2 Go. Cela +devrait suffire pour presque tous les systèmes. De toute façon, si vos +besoins en espace d'échange sont aussi importants, vous devriez probablement +essayer de disperser les partitions d'échange sur des disques différents +(appelés aussi « spindles ») et, si possible, sur des canaux IDE +ou SCSI différents. Le noyau équilibrera l'utilisation de l'espace d'échange +entre les différentes partitions, afin d'obtenir de meilleures performances. + +</para><para> + +Avec une machine possédant 32 Mo de RAM et un disque IDE +de 1.7 Go sur <filename>/dev/hda</filename>, on pourrait créer une +partition de 500 Mo pour un système sur <filename>/dev/hda1</filename>, +une partition d'échange de 32 Mo sur <filename>/dev/hda3</filename> et +une partition Linux d'environ 1,2 Go sur <filename>/dev/hda2</filename>. + +</para><para> + + +Pour avoir une idée de la place nécessaire pour les tâches que vous pourriez +avoir envie de rajouter à la fin de votre installation, consultez : +<xref linkend="tasksel-size-list"/>. + +</para> + + </sect1> diff --git a/fr/partitioning/sizing.xml b/fr/partitioning/sizing.xml new file mode 100644 index 000000000..6a0580681 --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/sizing.xml @@ -0,0 +1,58 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + + <sect1 id="partition-sizing"> + <title>Décider des partitions et de leurs tailles</title> +<para> + +Au strict minimum, GNU/Linux a besoin d'une partition pour lui-même. +Vous pouvez avoir une seule partition contenant le système entier, les +applications et vos fichiers personnels. La plupart des gens pensent +qu'une partition d'échange (swap) est nécessaire, bien que ce ne soit +pas tout à fait vrai. +Le « Swap » est l'espace de travail du système d'exploitation ; +il lui permet d'utiliser de l'espace disque comme « mémoire +virtuelle ». En le plaçant sur une partition séparée, Linux peut en +faire un usage bien plus efficace. Il est possible de forcer Linux à +utiliser un fichier normal comme espace d'échange, mais ce n'est pas +recommandé. + +</para><para> + +La plupart des gens choisissent d'utiliser plus de partitions que le +minimum requis pour GNU/Linux. +Il y a deux raisons pour que vous ayez envie de diviser le système +de fichiers en de nombreuses petites partitions. La première +concerne la sécurité. Si le système de fichiers est corrompu, +en général une seule partition est affectée. Donc, vous n'avez à remplacer +(à partir des sauvegardes que vous avez soigneusement conservées) qu'une +partie de votre système. Au minimum, vous devriez envisager la création +de ce qui est communément appelée la « partition racine ». +Elle contient les composants les plus essentiels du système. Si une autre +partition est corrompue, vous pourrez toujours amorcer Linux pour réparer le +système. Cela peut vous épargner le désagrément d'avoir à réinstaller le +système entier. + +</para><para> + +La seconde raison est généralement plus importante pour une +entreprise, mais cela dépend vraiment de l'utilisation de votre machine. +Par exemple, recevoir des envois en nombre de messages électroniques +peut facilement remplir une partition. Si vous avez placé +<filename>/var/mail</filename> sur sa propre +partition, la majeure partie du système marchera même si vous êtes +submergé de courrier non sollicité (<emphasis>spam</emphasis>). + +</para><para> + +Le seul inconvénient qu'il y a à utiliser plusieurs partitions est qu'il +est souvent difficile de connaître ses besoins à l'avance. Si vous +faites une partition trop petite, vous aurez soit à réinstaller +le système soit à déplacer constamment des fichiers pour faire +de la place sur la partition trop petite. D'un autre côté, si +vous faites une partition trop grande, vous aurez perdu de l'espace +pouvant être utile ailleurs. L'espace disque est bon marché de nos +jours, mais pourquoi jeter votre argent par les fenêtres ? + +</para> + </sect1> diff --git a/fr/partitioning/tree.xml b/fr/partitioning/tree.xml new file mode 100644 index 000000000..fddbdb6d4 --- /dev/null +++ b/fr/partitioning/tree.xml @@ -0,0 +1,153 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="directory-tree"> + <title>L'arborescence des fichiers</title> +<para> + +&debian; adhère à la <ulink url="&url-fhs-home;">norme sur l'organisation des systèmes de fichiers</ulink> pour le nommage +des fichiers et des répertoires. Cette norme permet aux utilisateurs et aux auteurs de logiciel de +prévoir l'emplacement des fichiers et des répertoires. Le répertoire +racine est simplement représenté par la barre oblique <filename>/</filename>. +Au niveau de la racine, tous les systèmes Debian incluent ces +répertoires : + +<informaltable> +<tgroup cols="2"> +<thead> +<row> + <entry>Répertoire</entry><entry>Contenu</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry><filename>bin</filename></entry> + <entry>Binaires (exécutables) des commandes essentielles</entry> +</row><row> + <entry><filename>boot</filename></entry> + <entry>Fichiers statiques pour le programme d'amorçage</entry> +</row><row> + <entry><filename>dev</filename></entry> + <entry>Fichiers des pilotes de périphériques</entry> +</row><row> + <entry><filename>etc</filename></entry> + <entry>Configuration système propre à la machine</entry> +</row><row> + <entry><filename>home</filename></entry> + <entry>Répertoires personnels des utilisateurs</entry> +</row><row> + <entry><filename>lib</filename></entry> + <entry>Bibliothèques partagées et modules noyaux essentiels</entry> +</row><row> + <entry><filename>media</filename></entry> + <entry>Points de montage pour les supports amovibles</entry> +</row><row> + <entry><filename>mnt</filename></entry> + <entry>Point de montage pour les montages temporaires</entry> +</row><row> + <entry><filename>proc</filename></entry> + <entry>Répertoire virtuel pour les informations système (noyaux 2.4 et 2.6)</entry> +</row><row> + <entry><filename>root</filename></entry> + <entry>Répertoire personnel de l'utilisateur root</entry> +</row><row> + <entry><filename>sbin</filename></entry> + <entry>Exécutables système essentiels</entry> +</row><row> + <entry><filename>sys</filename></entry> + <entry>Répertoire virtuel pour les informations système (noyaux 2.6)</entry> +</row><row> + <entry><filename>tmp</filename></entry> + <entry>Fichiers temporaires</entry> +</row><row> + <entry><filename>usr</filename></entry> + <entry>Hiérarchie secondaire</entry> +</row><row> + <entry><filename>var</filename></entry> + <entry>Données variables</entry> +</row><row> + <entry><filename>opt</filename></entry> + <entry>Répertoire pour d'autres logiciels</entry> +</row> +</tbody></tgroup></informaltable> +</para> + +<para> + +La liste suivante décrit quelques caractéristiques importantes +des répertoires et des partitions. L'utilisation de l'espace disque +varie grandement avec la configuration du système et les modes +d'utilisation. Les principes généraux énoncés ici constitue une +introduction au partitionnement des disques. + +</para> +<itemizedlist> +<listitem><para> + +La partition racine <filename>/</filename> doit toujours contenir les +répertoires : +<filename>/etc</filename>, <filename>/bin</filename>, +<filename>/sbin</filename>, <filename>/lib</filename> et +<filename>/dev</filename>, sinon votre système ne pourra pas démarrer. +En général, 150 à 250 Mo sont nécessaires ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>/usr</filename> : tous les programmes des utilisateurs +(<filename>/usr/bin</filename>), les bibliothèques +(<filename>/usr/lib</filename>), +la documentation (<filename>/usr/share/doc</filename>), etc. sont dans ce +répertoire. +Cette partie du système de fichiers a besoin du plus d'espace possible. +Vous devriez disposer d'au moins 500 Mo d'espace disque. +Si vous voulez installer plus de paquets, vous devriez augmenter +l'espace disque attribué à ce répertoire. Pour installer un poste de travail +ou un serveur <quote>généreux</quote>, 4 à 6 GO sont nécessaires ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>/var</filename> : toutes les données variables comme les +articles des forums usenet, les messages électroniques, les sites web, +le cache du système des paquets, etc. seront placées dans ce répertoire. La place +nécessaire dépend énormément de l'usage que vous faites de votre +ordinateur, mais pour la plupart des administrateurs, elle sera dictée +par la charge due aux outils de gestion des paquets. +Si vous envisagez de faire une installation complète de tout ce que +Debian peut vous offrir en une seule fois, réserver 2 à 3 Go d'espace +pour <filename>/var</filename> devrait suffire. Si vous préférez installer +le tout en plusieurs étapes (p. ex. d'abord les services et +utilitaires, puis les outils texte, puis X11...), vous pouvez vous +contenter de 300 à 500 Mo. +Si l'espace disque est une contrainte majeure et que vous ne voulez +pas faire de mises à jour majeures, vous +pouvez vous en tirer avec 30 à 40 Mo ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>/tmp</filename> : si un programme crée des données temporaires, +elles seront probablement placées dans <filename>/tmp</filename>. +40 à 100 Mo devraient suffire. Certaines applications, gestionnaires +d'archives, outils pour créer des CD/DVD, logiciels multimedia, peuvent se +servir de <filename>/tmp</filename> pour stocker provisoirement des +images. Si vous comptez utiliser ces programmes, vous devrez recalculer +l'espace nécessaire dans <filename>/tmp</filename>. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>/home</filename> : chaque utilisateur mettra ses données dans +un sous-répertoire de ce répertoire. La place nécessaire dépend du +nombre d'utilisateurs sur le système, et du genre de fichiers qu'ils +devront stocker. Selon l'utilisation du système, vous devriez réserver +environ 100 Mo par utilisateur, à adapter selon vos besoins. Réservez +beaucoup plus d'espace si des fichiers multimedia (MP3, films) seront +conservés dans le répertoire. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + + </sect1> diff --git a/fr/post-install/further-reading.xml b/fr/post-install/further-reading.xml new file mode 100644 index 000000000..65c242753 --- /dev/null +++ b/fr/post-install/further-reading.xml @@ -0,0 +1,48 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30719 --> + + <sect1 id="further-reading"><title>Pour aller plus loin</title> +<para> + +Si vous avez besoin d'informations à propos d'un programme particulier, +vous devriez d'abord essayer +<userinput>man <replaceable>programme</replaceable></userinput>, ou +<userinput>info <replaceable>programme</replaceable></userinput>. + +</para><para> + +Vous pourrez également trouver beaucoup de documents utiles dans +<filename>/usr/share/doc</filename>. En particulier, +<filename>/usr/share/doc/HOWTO</filename> +et <filename>/usr/share/doc/FAQ</filename> contiennent beaucoup d'informations +intéressantes. Pour signaler des bogues, regardez les fichiers +<filename>/usr/share/doc/debian/bug*</filename>. Pour connaître des +informations spécifiques à Debian pour un programme particulier, lisez +<filename>/usr/share/doc/(nom du paquet)/README.Debian</filename>. + +</para><para> + +Le <ulink url="http://www.debian.org/">site web Debian</ulink> +contient beaucoup de documentation sur Debian. Vous pouvez consulter en +particulier la <ulink url="http://www.debian.org/doc/FAQ/">FAQ Debian</ulink> et la +<ulink url="http://www.debian.org/doc/user-manuals#quick-reference">Référence +Debian</ulink>. +Le <ulink url="http://www.debian.org/doc/ddp">Projet de documentation sur Debian</ulink> +répertorie d'autres documents sur Debian. +Les membres de la communauté Debian s'entraident ; pour vous abonner à +une ou plusieurs listes de diffusion Debian, voyez la page d' +<ulink url="http://www.debian.org/MailingLists/subscribe">abonnement aux listes de diffusion</ulink>. +Enfin les <ulink url="http://lists.debian.org/">archives des listes de diffusion</ulink> +sont une mine d'informations sur Debian. + +</para><para> + +Le +<ulink url="http://www.tldp.org/">Projet de documentation sur Linux</ulink> +est une source d'informations générales sur GNU/Linux. +Vous y trouverez des guides et des liens vers d'autres informations sur le +système GNU/Linux. + +</para> + + </sect1> diff --git a/fr/post-install/kernel-baking.xml b/fr/post-install/kernel-baking.xml new file mode 100644 index 000000000..cd9b945cf --- /dev/null +++ b/fr/post-install/kernel-baking.xml @@ -0,0 +1,191 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="kernel-baking"><title>Compiler un nouveau noyau</title> +<para> + +Pourquoi vouloir compiler un nouveau noyau ? +Ce n'est en général pas nécessaire, étant donné que le noyau par défaut de +Debian reconnaît la plupart des configurations. Cependant, il peut être +utile de compiler un nouveau noyau dans les cas suivants : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +Gérer des périphériques spéciaux, ou des conflits de périphériques dans +les noyaux par défaut ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Gérer des périphériques ou activer des options qui ne sont pas incluses +dans le noyau par défaut, tel que l'APM ou le SMP ; + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Optimiser le noyau en enlevant les pilotes inutiles, ce qui peut +accélérer le démarrage de la machine ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Utiliser des options du noyau qui ne sont pas reconnues par le +noyau par défaut, la gestion de la mémoire haute par exemple ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Utiliser une version de développement du noyau ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Impressionner vos ami(e)s, essayer de nouvelles choses. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +</para> + + <sect2><title>Gestion des images du noyau</title> +<para> + +N'ayez pas peur de compiler un nouveau noyau. C'est amusant et vous apprendrez +de nouvelles choses. + +</para><para> + +Pour compiler un noyau « façon Debian », vous avez besoin des +paquets suivants : +<classname>kernel-package</classname>, +<classname>kernel-source-&kernelversion;</classname> (la version la plus +récente lors de la rédaction de ce document), +<classname>fakeroot</classname> +et quelques autres qui sont probablement déjà installés sur votre machine +(pour la liste complète, voyez +<filename>/usr/share/doc/kernel-package/README.gz</filename>). + +</para><para> + +Cette méthode crée un .deb à partir des sources du noyau ; si +vous utilisez des modules non standard, elle incorpore aussi ces dépendances +dans le .deb. C'est une bonne solution pour gérer les images du noyau ; +le répertoire <filename>/boot</filename> contiendra le noyau, le System.map +et une sauvegarde du fichier de configuration utilisé pour ce paquet. + +</para><para> + +Il faut remarquer qu'il n'est pas <emphasis>obligatoire</emphasis> de +compiler votre noyau « façon Debian »; mais vous vous rendrez compte +qu'utiliser le système de gestion des paquets pour +gérer les noyaux rend leur installation plus simple et plus sûre. +En fait, vous pouvez utiliser directement les sources de Linus et ne +pas utiliser <classname>kernel-source-&kernelversion;</classname>, tout en +utilisant la méthode de compilation <classname>kernel-package</classname>. + +</para><para> + +Notez que vous trouverez une documentation complète sur l'utilisation de +<classname>kernel-package</classname> dans le répertoire +<filename>/usr/share/doc/kernel-package</filename>. Cette section ne +contient qu'un bref didacticiel. + +</para> +<para> + +Dans ce qui suit, nous supposerons que vous pouvez tout faire sur votre +machine et que vous allez extraire les sources du noyau dans votre répertoire +personnel <footnote> +<para> D'autres endroits sont possibles pour extraire les sources et construire +le noyau, mais c'est le plus facile car aucun droit spécial n'est demandé. +</para></footnote>. +Nous supposerons aussi que la version du noyau est &kernelversion;. Allez +dans le répertoire où vous voulez désarchiver +les sources et désarchivez-les avec +<userinput>tar xjf /usr/src/kernel-source-&kernelversion;.tar.bz2</userinput> +, et déplacez-vous dans le répertoire +<filename>kernel-source-&kernelversion;</filename> qui vient d'être créé. + +</para><para> + +Maintenant, vous pouvez configurer votre noyau. Exécutez +<userinput>make xconfig</userinput> si X11 est installé, configuré et lancé. +Exécutez <userinput>make menuconfig</userinput> dans le cas contraire +(vous aurez alors besoin du paquet <classname>libncurses5-dev</classname>). +Prenez le temps +de lire l'aide en ligne et de choisir judicieusement les options à activer. +En cas de doute, il est souvent préférable d'inclure les pilotes de +périphériques (tels que les contrôleurs SCSI, cartes Ethernet, etc.) que vous +ne connaissez pas bien. +Faites attention : les autres options, non spécifiques au matériel, +doivent être laissées à leur valeur par défaut si vous ne les comprenez pas. +N'oubliez pas de sélectionner « Kernel module loader » dans la +section « Loadable module support » +(elle n'est pas sélectionnée par défaut), sinon votre système Debian risque +d'avoir des problèmes. + +</para><para> + +Nettoyez l'arborescence des sources et réinitialisez les paramètres +de <classname>kernel-package</classname>. Pour ce faire, tapez +<userinput>make-kpkg clean</userinput>. + +</para><para> + +Maintenant, compilez votre noyau : +<userinput>fakeroot make-kpkg --revision=custom.1.0 kernel_image</userinput>. +Bien sûr, le numéro de version « 1.0 » peut être changé ; +il s'agit juste d'un moyen de suivre vos différentes +versions du noyau. De la même façon, vous pouvez remplacer le mot +« custom\ » par ce que vous voulez (par exemple le nom d'une +machine). La compilation d'un noyau peut être assez longue selon la puissance +de votre machine. + +</para><para condition="supports-pcmcia"> + +Si vous avez besoin du PCMCIA, vous devrez installer le +paquet <classname>pcmcia-source</classname>. Désarchivez le fichier +tar comprimé, en tant que superutilisateur, dans le répertoire +<filename>/usr/src</filename> (il est important que les modules soient à +l'endroit où ils sont supposés être, c'est-à-dire dans +<filename>/usr/src/modules</filename>). Ensuite, en étant superutilisateur, +tapez <userinput>make-kpkg modules_image</userinput>. + +</para><para> + +Une fois la compilation terminée, vous pouvez installer votre noyau +personnalisé comme n'importe quel autre paquet. En étant superutilisateur, +tapez <userinput>dpkg -i ../kernel-image-&kernelversion;-<replaceable>subarchitecture</replaceable>_custom.1.0_&architecture;.deb</userinput>. +La partie <replaceable>subarchitecture</replaceable> est une +sous-architecture optionnelle, +<phrase arch="i386"> telle que <quote>i586</quote>, </phrase> +suivant les options de compilation que vous avez définies. +<userinput>dpkg -i kernel-image...</userinput> installera votre noyau ainsi +que les autres fichiers qui lui seront nécessaires. +Par exemple, le fichier <filename>System.map</filename> sera installé +correctement (très utile pour le débogage des problèmes de noyau) et un +fichier <filename>/boot/config-&kernelversion;</filename> sera installé, qui +contiendra votre configuration noyau. +Votre nouveau paquet <classname>kernel-image-&kernelversion;</classname> est +tellement malin qu'il utilise automatiquement le programme d'amorçage de votre +plateforme pour mettre à jour l'information sur l'image de noyau utilisée +pendant le démarrage, sans qu'il soit nécessaire de réexécuter le programme +d'amorçage. Si vous avez créé un paquet pour les modules, par exemple si vous +avez PCMCIA, vous devrez installer ce paquet également. + +</para><para> + +Vous devez maintenant redémarrer votre système : lisez attentivement les +éventuels avertissements produits par les étapes précédentes, puis exécutez +<userinput>shutdown -r now</userinput>. + +</para><para> + +Pour plus d'informations sur <classname>kernel-package</classname>, lisez +la documentation dans <filename>/usr/share/doc/kernel-package</filename>. + +</para> + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/post-install/new-to-unix.xml b/fr/post-install/new-to-unix.xml new file mode 100644 index 000000000..f349292ba --- /dev/null +++ b/fr/post-install/new-to-unix.xml @@ -0,0 +1,43 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="unix-intro"> + <title>Si vous débutez sous Unix</title> +<para> + +Si vous ne connaissez pas Unix, vous devrez sans doute acheter et +lire quelques livres sur le sujet. +Vous trouverez de bonnes informations dans la +<ulink url="&url-debian-reference;">Réference Debian</ulink>. +La <ulink url="&url-unix-faq;">liste des FAQ Unix</ulink> référence beaucoup +de documents UseNet à valeur historique. + +La +<ulink url="ftp://rtfm.mit.edu/pub/usenet/news.answers/unix-faq/faq/"> +Foire Aux Questions UNIX</ulink> +contient un certain nombre de références à des livres et à des groupes de +discussion Usenet qui pourront vous aider. Vous pouvez également regarder +la +<ulink url="http://www.camelcity.com/~noel/usenet/cuuf-FAQ.htm"> +User-Friendly Unix FAQ</ulink>. + +</para><para> + +Linux est une implémentation d'Unix. Le +<ulink url="&url-ldp;">projet de documentation Linux (LDP)</ulink> +rassemble un certain nombre de <emphasis>HOWTO</emphasis> et de livres en ligne +relatifs à Linux. La plupart de ces documents peuvent être installés sur +votre machine ; il suffit d'installer le paquet +<classname>doc-linux-fr</classname>, +et de consulter les documentations disponibles dans le répertoire +<filename>/usr/share/doc/LANG/fr/HOWTO</filename>. La version originale en +anglais des HOWTO du LDP est également disponible dans les paquets +<classname>doc-linux-html</classname> (documentation au format HTML) et +<classname>doc-linux-text</classname> (documentation au format ASCII), et +s'installe dans <filename>/usr/share/doc/HOWTO</filename>. D'autres versions +traduites des HOWTO du LDP sont également disponibles sous forme de paquets +Debian. + +</para> + + </sect1> diff --git a/fr/post-install/orientation.xml b/fr/post-install/orientation.xml new file mode 100644 index 000000000..50b992608 --- /dev/null +++ b/fr/post-install/orientation.xml @@ -0,0 +1,114 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version:28997 --> + + <sect1 id="debian-orientation"><title>S'orienter dans Debian</title> +<para> + +Debian est un peu différente des autres distributions. Même si vous +êtes habitué à travailler avec d'autres distributions Linux, il y a +quelques détails que vous devez connaître à propos de Debian pour garder +votre système en bon état. Le contenu de ce chapitre vous aidera à +vous orienter ; ce n'est pas un didacticiel sur l'utilisation de Debian, +mais un bref coup d'oeil sur le système, pour les gens pressés. + +</para> + + <sect2><title>Le système des paquets</title> +<para> + +Le concept le plus important à assimiler est le système de gestion des +paquets. La plus grande partie de votre système est sous le contrôle du +système de gestion des paquets. Cela inclut : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<filename>/usr</filename> (en excluant <filename>/usr/local</filename>) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>/var</filename> (vous pourriez créer +<filename>/var/local</filename> en toute sécurité) + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>/bin</filename> + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>/sbin</filename> + +</para></listitem> +<listitem><para> + +<filename>/lib</filename> + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +Par exemple, si vous remplacez <filename>/usr/bin/perl</filename>, cela +fonctionnera, mais lors de la prochaine mise à jour du paquet +<classname>perl</classname>, le fichier +que vous avez modifié sera remplacé. Les experts évitent cela en +marquant le paquet comme <quote>à conserver (hold)</quote> avec +l'application <command>aptitude</command>. + +</para><para> + +L'une des meilleures méthodes d'installation est la méthode apt. Vous pouvez +utiliser la version ligne de commande <command>apt-get</command>, ou bien la +version plein écran <application>aptitude</application>. Notez qu'apt permet +de fusionner plusieurs sources pour les paquets : main, +contrib et non-free ; ainsi vous avez accès aussi bien aux paquets soumis +à des restrictions d'export qu'aux versions standard. + +</para> + </sect2> + + <sect2><title>Gestion des versions des applications</title> +<para> + +Les différentes versions des applications sont gérées par +update-alternatives. Si vous utilisez plusieurs versions +de vos applications, lisez la page de manuel de +update-alternatives. + +</para> + </sect2> + + <sect2><title>Gestion des tâches récurrentes</title> +<para> + +Les actions dont l'administrateur a la +responsabilité devraient se trouver dans le répertoire +<filename>/etc</filename>, car ce sont des fichiers de +configuration. Si un travail doit être répété chaque jour, semaine ou mois, +mettez simplement +un script ou une application exécutant cette action respectivement dans +<filename>/etc/cron.daily</filename>, <filename>/etc/cron.weekly</filename> et +<filename>/etc/cron.monthly</filename>. Ils seront appelés depuis +<filename>/etc/crontab</filename>, et lancés consécutivement par ordre +alphabétique. + +</para><para> + +D'un autre côté, si vous avez une tâche qui doit être lancée par un +utilisateur particulier, ou à une heure ou à une fréquence bien précise, +vous pouvez utiliser <filename>/etc/crontab</filename>, ou, mieux encore, +<filename>/etc/cron.d/votre_choix</filename>. Ces fichiers possèdent aussi un +champ supplémentaire qui permet de spécifier sous quelle identité l'action +sera exécutée. + +</para><para> + +Dans tous les cas, vous n'avez qu'à modifier les fichiers, et cron +le remarquera automatiquement. Vous n'avez pas à lancer de commandes spéciales. +Pour plus d'informations, lisez cron(8), crontab(5) et +<filename>/usr/share/doc/cron/README.Debian</filename>. + +</para> + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/post-install/post-install.xml b/fr/post-install/post-install.xml new file mode 100644 index 000000000..ac9133bb9 --- /dev/null +++ b/fr/post-install/post-install.xml @@ -0,0 +1,14 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28715 --> + +<chapter id="post-install"> + <title>Les prochaines étapes</title> + +&new-to-unix.xml; +&orientation.xml; +&reactivating-win.xml; +&further-reading.xml; +&kernel-baking.xml; +&rescue.xml; + +</chapter> diff --git a/fr/post-install/reactivating-win.xml b/fr/post-install/reactivating-win.xml new file mode 100644 index 000000000..37d090749 --- /dev/null +++ b/fr/post-install/reactivating-win.xml @@ -0,0 +1,70 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 arch="i386" id="reactivating-win"> + <title>Réactiver DOS et Windows</title> +<para> + +Après avoir installé le système de base et écrit le secteur d'amorçage +principal (<emphasis>Master Boot Record</emphasis>), vous pourrez démarrer +Linux, mais probablement rien d'autre. Cela dépendra de ce que vous avez +choisi durant l'installation. Ce chapitre vous explique comment vous pouvez +réactiver votre ancien système afin de pouvoir démarrer sous DOS ou Windows. + +</para><para> + +<command>LILO</command> est un programme d'amorçage avec lequel vous pouvez +lancer d'autres systèmes d'exploitation que Linux, et qui répond aux normes +des PC. Le programme d'amorçage est configuré avec le fichier +<filename>/etc/lilo.conf</filename>. Si vous modifiez ce dernier, il faudra +exécuter <command>lilo</command> ensuite. Car les changements ne +prennent effet que quand vous lancez le programme. + +</para><para> + +Les parties importantes de <filename>lilo.conf</filename> sont les lignes +contenant les mots-clés <userinput>image</userinput> et +<userinput>other</userinput>, et les lignes qui les suivent. Elles sont +utilisées pour décrire un système qui peut être lancé par +<command>LILO</command>. Un tel système peut inclure un noyau +(<userinput>image</userinput>), une partition racine, des paramètres +additionnels pour le noyau, ainsi que la configuration pour lancer un +autre système d'exploitation, non-Linux (<userinput>other</userinput>). Ces +mots-clés peuvent être utilisés plus d'une fois. L'ordre dans lequel sont +déclarés ces différents systèmes d'exploitation est important, car il +détermine quel système sera lancé automatiquement lorsque, par exemple, +le délai (<userinput>delay</userinput>) d'attente est écoulé (en admettant +que <command>LILO</command> n'ait pas été arrêté en pressant la touche +<keycap>shift</keycap>. + +</para><para> + +Après une nouvelle installation de Debian, seul le système courant est +configuré pour démarrer avec <command>LILO</command>. Si vous voulez lancer +un autre noyau Linux, vous devez modifier le fichier de configuration +<filename>/etc/lilo.conf</filename> et ajouter les lignes suivantes : + +<informalexample><screen> +&additional-lilo-image; +</screen></informalexample> + +Pour un réglage de base, les deux premières lignes sont suffisantes. Si vous +voulez en savoir plus sur les deux autres options, jetez un oeil à la +documentation de <command>LILO</command>. Elle se trouve dans +<filename>/usr/share/doc/lilo/</filename>. Le fichier à lire est +<filename>Manual.txt</filename>. Si vous êtes trop impatient de pénétrer dans +le monde magique des amorçages, reportez-vous aux pages de manuel de +<command>LILO</command>,<filename>lilo.conf</filename> pour un survol des +options de configuration et <filename>lilo</filename> pour une description de +l'installation d'une nouvelle configuration dans le secteur d'amorçage. + +</para><para> + +Il faut noter qu'il y a d'autres programmes d'amorçage disponibles dans +&debian;, comme GRUB (dans le paquet <classname>grub</classname>), CHOS (dans +le paquet <classname>chos</classname>), Extended-IPL (dans +<classname>extipl</classname>), loadlin (dans <classname>loadlin</classname>), +etc. + +</para> + </sect1> diff --git a/fr/post-install/rescue.xml b/fr/post-install/rescue.xml new file mode 100644 index 000000000..dad965631 --- /dev/null +++ b/fr/post-install/rescue.xml @@ -0,0 +1,70 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28732 --> + + <sect1 id="rescue" condition="etch"> + <title>Réparer un système cassé</title> +<para> + +Les choses tournent mal parfois, et le système que vous avez soigneusement +installé ne peut plus être démarré. Vous avez modifié et... cassé la configuration +du programme d'amorçage ; le nouveau noyau que vous avez installé ne peut pas +s'amorcer ou bien des rayons cosmiques ont atteint le disque et déplacé un bit dans +<filename>/sbin/init</filename>. Mais, quelle que soit la raison, vous avez besoin d'un +système pour pouvoir corriger le problème. Le mode de secours peut vous aider. + +</para><para> + +<!-- TODO: describe what to do on arches where this isn't set up in the + bootloader --> + +Pour passer en mode de secours, saisissez <userinput>rescue</userinput> à l'invite +<prompt>boot:</prompt> ou amorcez le système avec le paramètre +<userinput>rescue/enable=true</userinput>. Les premiers écrans de l'installateur +seront affichés, avec une note dans un coin de l'écran qui indique que vous êtes +en mode rescue et non pas dans un processus d'installation. Ne vous inquiétez pas, +votre système ne va pas être réécrit ! Le mode de secours exploite +simplement les possibilités de détection de matériel qui existent dans l'installateur +pour rendre disponibles les disques, les périphériques réseau, etc. pendant que +vous réparez le système. + +</para><para> + +À la place du partitionneur, une liste des partitions présentes sur le système +est affichée et on vous demande d'en choisir une. Normalement, vous devez choisir +la partition contenant le système de fichiers racine à réparer. Vous pouvez choisir +aussi bien des partitions sur des périphériques RAID ou LVM que celles créées +directement sur des disques. + +</para><para> + +S'il le peut, l'installateur affichera l'invite d'un interpréteur de commandes dans +le système de fichiers que vous avez sélectionné ; et vous pourrez l'utiliser pour +effectuer les corrections nécessaires. + +<phrase arch="i386"> +Par exemple, pour réinstaller le programme d'amorçage GRUB +sur le secteur principal d'amorçage du premier disque dur, vous pouvez +lancer la commande <userinput>grub-install '(hd0)'</userinput>. +</phrase> + +</para><para> + +Si l'installateur ne peut pas lancer un interpréteur de commandes dans le +système de fichiers que vous avez sélectionné, il vous avertira et proposera +un interpréteur dans l'environnement de l'installateur. Dans cet environnement +vous aurez moins d'outils, mais souvent ils seront +suffisants pour réparer votre système. Le système de fichiers racine que vous +aurez sélectionné sera monté sur le répertoire <filename>/target</filename>. + +</para><para> + +Dans les deux cas, après que vous aurez quitté l'interpréteur, le système sera relancé. + +</para><para> + +Il faut remarquer que réparer un système cassé peut être difficile et ce manuel +ne cherche pas à recenser tous les problèmes possibles ni à les corriger. +Si vous avez des problèmes, consultez un expert. + +</para> + </sect1> diff --git a/fr/post-install/shutdown.xml b/fr/post-install/shutdown.xml new file mode 100644 index 000000000..4d55c01e1 --- /dev/null +++ b/fr/post-install/shutdown.xml @@ -0,0 +1,25 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 21690 --> + + + <sect1 id="shutdown"> + <title>Arrêter le système</title> + +<para> + +Pour arrêter un système Linux en marche, vous ne devez pas redémarrer en +appuyant sur le bouton-poussoir « reset » sur le devant de +votre ordinateur, ni simplement arrêter l'ordinateur. Linux doit être +arrêté de la bonne manière, sinon des fichiers pourraient être perdus et +le disque pourrait être endommagé. Vous pouvez appuyer sur la +combinaison de touches +<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap> <keycap>Del</keycap> </keycombo>. <phrase arch="powerpc;m68k"> ou <keycombo> <keycap>Control<keycap> +<keycap>Shift</keycap> <keycap>Power</keycap></keycombo> +sur Macintosh</phrase>. Vous pouvez aussi vous connecter en tant que +superutilisateur et exécuter +<userinput>shutdown -h now</userinput>, <userinput>reboot</userinput>, +ou <userinput>halt</userinput>, quand les combinaisons de touchent ne +fonctionnent pas ou si vous préférez exécuter des commandes. + +</para> + </sect1> diff --git a/fr/preface.xml b/fr/preface.xml new file mode 100644 index 000000000..b8be00fb9 --- /dev/null +++ b/fr/preface.xml @@ -0,0 +1,30 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24750 --> + +<preface> +<title>Installer Debian GNU/Linux &release; sur &architecture;</title> + +<para> +Nous sommes enchantés que vous ayez choisi Debian. Nous sommes sûrs +que vous trouverez cette distribution GNU/Linux de Debian remarquable. +Debian GNU/Linux rassemble des logiciels libres de qualité, faits par des gens +disséminés aux quatre coins du monde, et les intègre en un tout cohérent. +Nous croyons que vous trouverez ce tout réellement supérieur à la simple somme +des parties. +</para> +<para> +Nous comprenons bien que beaucoup d'entre vous voudront installer Debian +sans lire ce manuel ; la conception de l'installateur le permet. Si vous +n'avez pas le temps de le lire en entier, nous vous recommandons de +lire le Guide de l'installation. Ce guide vous présentera les bases du +processus d'installation et renverra au manuel pour les sujets complexes ou +pour des aides en cas de problèmes. Le guide de l'installation se trouve à l' +<xref linkend="installation-howto"/>. +</para> + +<para> +Cela dit, nous espérons que vous aurez le temps de lire la plus grande +partie de ce manuel. Votre installation sera facilitée par la connaissance +acquise. +</para> +</preface> diff --git a/fr/preparing/backup.xml b/fr/preparing/backup.xml new file mode 100644 index 000000000..4021234a9 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/backup.xml @@ -0,0 +1,44 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect1 id="backup"> + <title>Sauvegardez vos données !</title> +<para> + +Avant de commencer, assurez-vous d'avoir effectué une sauvegarde de chaque +fichier qui se trouve actuellement sur votre système. Si c'est la première +fois que vous installez un autre système d'exploitation sur votre machine, +il est probable que vous devrez repartitionner votre disque dur afin de faire +de la place à &debian;. À chaque partitionnement, il y a un risque de +perdre toutes les données du disque, quel que soit le programme utilisé pour +cette opération. Les programmes utilisés à l'installation sont assez fiables +et la plupart ont été utilisés pendant des années, mais ils sont très +puissants et un faux mouvement peut vous coûter cher. Même après la sauvegarde, +soyez attentif et réfléchissez à vos réponses et à vos actions. Deux minutes de +réflexion peuvent vous épargner des heures de travail inutile. +</para> + +<para> + +Si vous voulez pouvoir amorcer plusieurs systèmes, assurez-vous que vous disposez du +support de distribution des autres systèmes d'exploitation présents. Surtout +si vous repartitionnez votre disque dur ou se fait l'amorçage, vous pourriez avoir à +réinstaller le chargeur de votre système d'exploitation, ou dans certains cas, +le système d'exploitation en entier et tous les fichiers sur les partitions +touchées. +</para> + +<para arch="m68k"> + +La seule méthode d'installation pour les ordinateurs m68k, +à l'exception de ceux à base de BVM ou VMEbus Motorola, consiste à amorcer à +partir d'un disque local ou d'une disquette contenant une amorce basée sur +celle de AmigaOS/TOS/MacOS. Pour ces machines, vous aurez besoin du système +d'exploitation d'origine pour amorcer Linux. Pour les ordinateurs BVM ou VMEbus +Motorola, il vous faudra les ROM <quote>BVMBug</quote> ou <quote>16xBug</quote>. +</para> + + </sect1> + + + diff --git a/fr/preparing/bios-setup/i386.xml b/fr/preparing/bios-setup/i386.xml new file mode 100644 index 000000000..307b3217c --- /dev/null +++ b/fr/preparing/bios-setup/i386.xml @@ -0,0 +1,343 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect2 arch="i386" id="bios-setup"> +<title>Le menu de configuration du BIOS</title> + +<para> + +Le BIOS fournit les fonctions de base nécessaires à l'amorçage de votre +machine pour permettre au système d'exploitation d'accéder au matériel. Le +système fournit probablement un menu destiné à la configuration du BIOS. +Avant l'installation, vous <emphasis>devez</emphasis> vous assurer que votre +BIOS est configuré correctement ; ne pas le faire peut mener à des +plantages intermittents ou à l'impossibilité d'installer Debian. + +</para><para> + +La suite de cette section provient de la +<ulink url="&url-pc-hw-faq;">FAQ sur le matériel PC"></ulink>, et répond à la +question : +<quote>comment entrer dans le menu de configuration CMOS ?</quote>. +La manière d'accéder au menu de configuration de BIOS (ou <quote>CMOS</quote>) +dépend du concepteur du BIOS : + +</para> + +<!-- From: burnesa@cat.com (Shaun Burnet) --> +<variablelist> + +<varlistentry> + <term>AMI BIOS</term> + <listitem><para> + +<keycap>Suppr</keycap> pendant l'auto-test de démarrage. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> + <term>Award BIOS</term> + <listitem><para> + +<keycombo> + <keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>Esc</keycap> +</keycombo>, ou <keycap>Suppr</keycap> pendant l'auto-test de démarrage + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry><term>DTK BIOS</term> + <listitem><para> + +<keycap>Esc</keycap> pendant l'auto-test de démarrage +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry><term>IBM PS/2 BIOS</term> + <listitem><para> + +<keycombo> + <keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>Insert</keycap> +</keycombo> +après +<keycombo> + <keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>Suppr</keycap> +</keycombo> + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> + <term>Phoenix BIOS</term> + <listitem><para> + +<keycombo> + <keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>Esc</keycap> +</keycombo> +ou +<keycombo> + <keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap><keycap>S</keycap> +</keycombo> +ou +<keycap>F1</keycap> + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +<para> + +Des informations pour appeler d'autres routines du BIOS se trouvent dans +<ulink url="&url-invoking-bios-info;"></ulink>. + +</para><para> + +Certaines machines &arch-title; n'ont pas de menu de configuration CMOS +dans le BIOS. Elles ont besoin d'un programme de configuration CMOS au +niveau logiciel. Si vous n'avez pas les disquettes d'installation ou de +diagnostics, vous pouvez essayer un programme gratuit ou un partagiciel. +Consultez <ulink url="&url-simtel;"></ulink>. + +</para> + </sect2> + + + <sect2 arch="i386" id="boot-dev-select"><title>Sélection du périphérique d'amorçage</title> + +<para> + +De nombreux menus de configuration des BIOS permettent de choisir les +périphériques utilisés pour l'amorçage du système. Réglez votre BIOS +pour rechercher un système d'exploitation amorçable sur +<filename>A:</filename> (le premier lecteur de disquettes), puis en option +sur le premier lecteur de cédérom (qui apparaît peut-être comme +<filename>D:</filename> ou <filename>E:</filename>), et ensuite +sur <filename>C:</filename> (le premier disque dur). Cette configuration +permet de démarrer soit à partir d'une disquette, soit d'un cédérom, qui sont +les deux périphériques de démarrage les plus courants pour installer Debian. + +</para><para> + +Si vous possédez un contrôleur SCSI récent et un lecteur de cédérom qui lui +est attaché, vous pourrez normalement amorcer depuis le lecteur de cédérom. +Tout ce que vous avez à faire est de permettre l'amorçage depuis un cédérom +dans le BIOS SCSI de votre contrôleur. + +</para><para> + +Une autre option est d'amorcer à partir d'un périphérique USB, appelé aussi +mémoire USB ou clé USB. Certain BIOS savent amorcer directement les +périphériques USB, d'autres non. Il vous faudra peut-être configurer votre +BIOS et choisir <quote>disque extractible</quote> ou même +<quote>USB-ZIP</quote> pour qu'il puisse amorcer le périphérique USB. + +</para><para> + +Voici quelques précisions permettant de choisir l'ordre d'amorçage. +Il faudra remettre l'ordre initial après avoir installé Linux, afin de +pouvoir réamorcer la machine à partir du disque dur. + +</para> + + <sect3 id="ctbooi"> + <title>Changer l'ordre d'amorçage sur les ordinateurs IDE</title> + +<orderedlist> +<listitem><para> + +Au démarrage de l'ordinateur, appuyez sur les touches qui +permettent d'entrer dans le menu de BIOS. Souvent, il s'agit de la +touche <keycap>Suppr</keycap>. Cependant, consultez le manuel fourni +avec votre matériel pour connaître la séquence de touches exacte ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Trouvez la séquence d'amorçage dans l'utilitaire de configuration. +Son emplacement dépend de votre BIOS, mais cherchez un champ qui +liste les disques durs. + +</para><para> + +Les entrées habituelles sur des machines IDE sont C, A, cdrom ou A, C, cdrom. + +</para><para> + +C est le disque dur, et A le lecteur de disquettes. + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Modifiez l'ordre d'amorçage afin de mettre le cédérom ou la disquette en +premier. Souvent, les touches <keycap>Page Up</keycap> +et <keycap>Page Down</keycap> permettent de se déplacer dans les +différents choix ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Enregistrez vos modifications. Des instructions à l'écran vous +indiquent comment effectuer cette opération sur votre ordinateur. + +</para></listitem> +</orderedlist> + </sect3> + + <sect3 id="ctboos"> + <title>Changer l'ordre d'amorçage sur les ordinateurs SCSI</title> +<para> + +<orderedlist> +<listitem><para> + +Au démarrage de l'ordinateur, appuyez sur les touches qui + permettent d'entrer dans le menu de configuration SCSI. + +</para><para> + +Vous pouvez lancer l'utilitaire de configuration SCSI après la + phase de vérification de la mémoire et l'affichage du message + indiquant comment entrer dans la configuration du BIOS, lors du + démarrage de l'ordinateur. + +</para><para> + +Les touches sur lesquelles appuyer dépendent de l'utilitaire. +Souvent, il s'agit de +<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>F2</keycap></keycombo>. +Cependant, vérifiez dans le manuel fourni avec votre matériel pour connaître +la séquence de touches exacte ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Trouvez l'utilitaire qui permet de changer l'ordre d'amorçage ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Configurez l'utilitaire afin de mettre l'identifiant du disque + SCSI en premier dans la liste ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Enregistrez vos modifications. Des instructions à l'écran vous indiquent +comment effectuer cette opération sur votre ordinateur. +Souvent, vous devez appuyer sur <keycap>F10</keycap>. + +</para></listitem> +</orderedlist> + +</para> + </sect3> +</sect2> +<sect2 arch="i386"> + <title>Autres réglages du BIOS</title> + + + <sect3 id="cd-settings"><title>Paramètres du cédérom</title> +<para> + +Certains BIOS (tels les BIOS Award) permettent de régler automatiquement +la vitesse du cédérom. Vous devriez éviter cela et, à la place, utiliser la +vitesse la plus basse possible. Quand vous obtenez un message d'erreur du +type <userinput>seek failed</userinput>, le problème vient sans doute de là. + +</para> + </sect3> + + <sect3><title>Mémoire étendue (Extended Memory) contre mémoire paginée (Expanded Memory)</title> +<para> + +Si vous pouvez utiliser sur votre système à la fois de la mémoire étendue +(<emphasis>extended</emphasis>) et de la mémoire paginée +(<emphasis>expanded</emphasis>), configurez-le pour utiliser un maximum de +mémoire étendue et un minimum de mémoire paginée. Linux a besoin de mémoire +étendue et ne peut pas utiliser la mémoire paginée. + +</para> + </sect3> + + <sect3><title>Protection contre les virus</title> +<para> + +Désactivez tout système de détection de virus fourni par le BIOS. +Si vous avez une carte ou tout autre matériel de protection contre les +virus, vérifiez qu'ils sont désactivés ou retirés physiquement +pendant que Linux fonctionne. Ils ne sont pas compatibles avec GNU/Linux ; +de plus, à cause des permissions sur le système de fichiers et de la mémoire +protégée du noyau Linux, on n'entend quasiment jamais parler de virus +<footnote> +<para> + +Après l'installation vous pouvez activer la protection du secteur de +démarrage si vous le désirez. Cela n'offre pas de sécurité +supplémentaire pour Linux, mais si vous utilisez aussi Windows, cela peut +éviter une catastrophe. Il n'y a pas besoin de modifier le secteur +d'amorçage principal (MBR) après l'installation du gestionnaire d'amorçage. +</para> +</footnote>. + +</para> + </sect3> + <sect3><title>Cache mémoire (Shadow RAM)</title> +<para> + +Votre carte mère permet sûrement d'utiliser de la <emphasis>Shadow +RAM</emphasis> ou <quote>BIOS caching</quote>. Vous pouvez voir des +options pour <quote>Vidéo BIOS Shadow</quote>, <quote>C800-CBFF +Shadow</quote>, etc. <emphasis>Désactivez</emphasis> toute utilisation de +<quote>Shadow</quote> RAM. La <quote>Shadow</quote> RAM est utilisée pour +accélérer l'accès à la mémoire morte (ROM) sur votre carte mère et sur +certaines cartes contrôleurs. +Linux n'utilise pas ces mémoires mortes une fois amorcé car il fournit +ses propres logiciels 32 bits plus rapides, à la place des logiciels 16 +bits des mémoires mortes. La désactivation de ces <quote>Shadow</quote> +RAM peut vous permettre de libérer de la mémoire pour les logiciels. +L'activation de ces <quote>Shadow</quote> RAM pourrait interférer avec +les accès de Linux aux périphériques matériels. + +</para> + </sect3> + + <sect3><title>le trou dans la mémoire</title> +<para> + +Si votre BIOS propose quelque chose comme <quote>15-16 MB Memory +Hole</quote>, désactivez cette option. Linux s'attend à trouver de la +mémoire à cet endroit, si vous avez autant de RAM. + +</para><para> + +Sur les cartes mères Intel Endeavor, il existe une option appelée +<quote>LFB</quote> ou <quote>Linear Frame Buffer</quote>. Deux choix sont +possibles : <quote>Disabled</quote> et <quote>1 Megabyte</quote>. +Choisissez <quote>1 Megabyte</quote>. Lorsque cette option est +désactivée, la disquette d'installation n'est pas lue correctement et le +système peut se planter. À ce jour, nous ne +comprenons pas l'origine du problème avec ce périphérique, nous savons juste +que cela fonctionne avec ce choix et pas avec l'autre. + +</para> + </sect3> + + +<!-- no other platforms other than x86 provide this sort of thing, AFAIK --> + + <sect3><title>Gestion de l'énergie (APM)</title> +<para> + +Si votre carte mère possède une fonction d'économie d'énergie par le +système APM, configurez-la pour que l'énergie soit contrôlée par ce +système APM. Désactivez les modes <quote>doze</quote>, +<quote>standby</quote>, <quote>suspend</quote>, <quote>nap</quote> et +<quote>sleep</quote> ainsi que la minuterie de mise en veille du disque +dur. Linux peut se charger de contrôler ces modes et fera un meilleur +travail d'économie d'énergie que le BIOS. + +</para> + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/preparing/bios-setup/m68k.xml b/fr/preparing/bios-setup/m68k.xml new file mode 100644 index 000000000..8b38e3009 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/bios-setup/m68k.xml @@ -0,0 +1,22 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + + <sect2 arch="m68k" id="firmware-revs"> + <title>Versions du micrologiciel et réglage de l'OS existant</title> + +<para> + +Les ordinateurs &arch-title; se configurent en général tout seuls et n'ont +pas besoin de configuration pour le micrologiciel. Cependant, vous devriez vous +assurer que vous avez les bons dispositifs ROM et système. Sur les +Macintosh, une version de MacOS >= 7.1 est recommandée car un bogue dans la +version 7.0.1 empêche le chargeur de désactiver les interruptions vidéo, +provoquant ainsi un blocage de l'amorçage. Sur les systèmes VMEbus BVM, vous +devriez n'utiliser que des ROM d'amorçage BVMBug révision G ou supérieure. +Les ROM d'amorçage BVMBug ne sont pas livrées en standard sur les systèmes +BVM mais sont disponibles gratuitement sur demande à BVM. + +</para> + + </sect2> diff --git a/fr/preparing/bios-setup/powerpc.xml b/fr/preparing/bios-setup/powerpc.xml new file mode 100644 index 000000000..6a7d3f81f --- /dev/null +++ b/fr/preparing/bios-setup/powerpc.xml @@ -0,0 +1,55 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + + <sect2 arch="powerpc" id="invoking-openfirmware"> + <title>Exécuter OpenFirmware</title> +<para> + +Il n'y a normalement pas besoin de configurer le BIOS (appelé +OpenFirmware) sur les systèmes &arch-title;. PReP et CHRP sont équipés +avec OpenFirmware, mais, malheureusement, les méthodes utilisées pour +l'invoquer varient d'un constructeur à l'autre. Vous devrez consulter +la documentation du matériel livrée avec votre machine. + +</para><para> + +Pour invoquer OpenFirmware sur les Macintosh &arch-title;, appuyez sur +<keycombo><keycap>Command</keycap> <keycap>option</keycap> +<keycap>O</keycap> <keycap>F</keycap></keycombo> pendant l'amorçage. +Généralement, cette combinaison de touches est testée après le carillon, mais +le moment exact du test varie selon les modèles. consultez +<ulink url="&url-netbsd-powerpc-faq;"></ulink> +pour obtenir d'autres conseils. + +</para><para> + +L'invite d'OpenFirmware ressemble à ceci : + +<informalexample><screen> +ok +0 > +</screen></informalexample> + +Notez que sur les anciens modèles de Macs &arch-title;, les +entrées-sorties pour l'interaction avec OpenFirmware se font par défaut +à travers un port série (modem). Si vous appelez OpenFirmware depuis une +de ces machines, vous n'aurez droit qu'à un écran noir. Dans ce cas, un +programme lancé sur une autre machine et se connectant sur le port modem +est nécessaire pour interagir avec OpenFirmware. + +</para><para> + +Sur les machines OldWorld Beige G3, les OpenFirmware versions 2.0f1 et +2.4 sont bogués. Ces machines ne seront certainement pas capables +d'amorcer depuis le disque dur à moins que le microprogramme ne soit +corrigé. Une rustine pour le microprogramme est incluse dans +l'utilitaire <application>System Disk/ 2.3.1</application>, disponible chez +Apple à +<ulink url="ftp://ftp.apple.com/developer/macosxserver/utilities/SystemDisk2.3.\1.smi.bin"></ulink>. +Après avoir désarchivé l'utilitaire sur MacOS, et l'avoir lancé, +choisissez le bouton Save pour installer les routines pour le +microprogramme dans la nvram. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/preparing/bios-setup/s390.xml b/fr/preparing/bios-setup/s390.xml new file mode 100644 index 000000000..a45d88cb3 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/bios-setup/s390.xml @@ -0,0 +1,106 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + + <sect2 arch="s390"><title>Paramètrage du BIOS</title> +<para> + +Afin d'installer Debian GNU/Linux sur une machine de la gamme &arch-title; ou +zSeries, vous devez d'abord démarrer un noyau sur le système. Le mécanisme +d'amorçage est intrinsèquement différent des autres, en particulier des +PC : il n'y a pas de lecteur de disquettes. Vous remarquerez une +autre différence lorsque vous travaillez sur cette plateforme ; la +plupart du temps (si ce n'est tout le temps), vous travaillerez à +distance, avec l'aide d'un logiciel approprié comme telnet, ou un +navigateur. C'est dû à l'architecture spéciale du système, où la console +3215/3270 est orientée ligne et non caractère. + +</para><para> + +Linux sur cette plateforme travaille soit nativement sur la machine nue, +dans une LPAR (partition logique), soit dans une machine virtuelle +fournie par le système VM. Vous pouvez utiliser une bande d'installation +sur tous ces systèmes ; vous pouvez aussi utiliser un autre support +d'amorçage, mais il peut ne pas être disponible. Par exemple, vous +pouvez utiliser le lecteur de carte virtuel d'une machine virtuelle, ou +démarrez depuis la HMC (<emphasis>Hardware Management Console</emphasis>, +console d'administration matérielle) d'une LPAR si la HMC et cette option sont +disponibles. + +</para><para> + +Avant de vous lancer dans une installation, vous devez d'abord passer +par des étapes préliminaires. IBM fournit une documentation sur le +processus, par exemple sur la préparation du support d'installation et +sur le démarrage depuis ce support. Recopier cette information ici n'est +ni possible, ni nécessaire. Cependant, nous décrivons quels sont les +points spécifiques à Debian et comment les trouver. Quel que soit le +mode d'installation choisi, vous devez d'abord préparer votre machine et +le support d'installation, puis démarrer depuis celui-ci. Une fois le +message de bienvenue affiché dans votre client de session, revenez lire +ce document pour les étapes de l'installation spécifiques à Debian. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="s390"> + <title>Installations en mode natif et sur LPAR</title> +<para> + +Veuillez consulter le chapitre 5 du livre rouge +<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg244987.pdf"> +Linux pour S/390"></ulink> et le chapitre 3.2 du livre rouge +<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf"> +Linux pour IBM eServer zSeries et les distributions S/390</ulink> pour +apprendre comment configurer une LPAR pour Linux. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="s390"> + <title>Installation en tant qu'invité VM</title> + +<para> + +Veuillez consulter le chapitre 6 du livre rouge +<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg244987.pdf"> +Linux pour S/390</ulink> et le chapitre 3.1 du livre rouge +<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf"> +Linux pour IBM eServer zSeries et distributions S/390</ulink> pour +apprendre comment configurer un invité VM pour Linux. + +</para><para> + +Vous devez copier tous les fichiers depuis le sous-répertoire +<filename>generic</filename> sur votre disque CMS. Assurez-vous d'avoir +transféré +<filename>kernel.debian</filename> et <filename>initrd.debian</filename> en +mode binaire avec une taille fixe de 80 caractères pour les enregistrements. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="s390"> + <title>Configurer un serveur d'installation</title> + +<para> + +Si vous n'avez pas de connexion à internet (directement ou à travers un +mandataire web), vous devez créer un serveur d'installation local qui +peut être atteint depuis votre S/390. Ce serveur garde tous les paquets +que vous voulez installer et doit les rendre accessibles via NFS, HTTP +ou FTP. + +</para><para> + +Le serveur d'installation a besoin de copier l'arborescence exacte +depuis n'importe quel miroir Debian GNU/Linux, mais il n'a besoin de copier que +les fichiers s390 et ceux indépendants de l'architecture. Vous pouvez +aussi utiliser le contenu des cédéroms d'installation. + +</para><para condition="FIXME"> + +<emphasis>FIXME: more information needed — from a Redbook?</emphasis> + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/preparing/bios-setup/sparc.xml b/fr/preparing/bios-setup/sparc.xml new file mode 100644 index 000000000..7d800450a --- /dev/null +++ b/fr/preparing/bios-setup/sparc.xml @@ -0,0 +1,107 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect2 arch="sparc" id="invoking-openboot"><title>Appel d'OpenBoot</title> + +<para> + +OpenBoot fournit les fonctions de base nécessaires à l'amorçage de +l'architecture &arch-title;. Les fonctions sont à peu près similaires à celles +du BIOS de l'architecture x86, mais c'est plus joli. Les PROM d'amorçage Sun +possèdent un interpréteur Forth intégré qui permet de faire pas mal de +choses, comme des tests, des scripts simples, etc. + +</para><para> + +Pour obtenir l'invite d'OpenBoot vous devez maintenir la touche +<keycap>Stop</keycap> (ou la touche <keycap>L1</keycap> sur les vieux +claviers Type 4) et appuyer sur la touche <keycap>A</keycap>. Si vous avez un +adaptateur de clavier PC, maintenez la touche <keycap>Pause</keycap> (ou +<keycap>Break</keycap>) et appuyez sur <keycap>A</keycap>. Cela vous donnera +une invite, soit <userinput>ok</userinput> soit <userinput>></userinput>. +Il est préférable d'avoir l'invite <userinput>ok</userinput>. Si vous obtenez +le vieux modèle d'invite (<userinput>></userinput>), appuyez +la touche <keycap>n</keycap> pour obtenir le nouveau modèle d'invite. + +</para> +<para> + +Si vous utilisez une console série, envoyez un <quote>break</quote> à la +machine. Avec Minicom, utilisez <keycap>Ctrl-A F</keycap> ; avec cu, +utilisez <keycap>Enter</keycap>. Puis saisissez +<userinput>%~break</userinput>. Veuillez consulter la documentation de votre +terminal si vous utilisez un programme différent. +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="sparc" id="boot-dev-select-sun"> + <title>Sélection du périphérique d'amorçage</title> + +<para> + +Vous pouvez utiliser OpenBoot pour démarrer à partir de périphériques +spécifiques, et aussi pour modifier le périphérique de démarrage par défaut. +Cependant, vous devez connaître certains détails sur la manière dont OpenBoot +nomme les périphériques ; c'est assez différent du nommage de +périphériques sous Linux, décrit dans <xref linkend="device-names"/>. De +plus, la commande varie légèrement, selon la version d'OpenBoot que vous +avez. Vous trouverez plus d'informations sur OpenBoot dans la +<ulink url="&url-openboot;">référence OpenBoot Sun </ulink>. + +</para><para> + +Dans les versions récentes, vous pouvez utiliser les périphériques +OpenBoot tels que <quote>floppy</quote>, <quote>cdrom</quote>, <quote>net</quote>, +<quote>disk</quote> ou <quote>disk2</quote>. Ceux-ci ont des significations +évidentes (N.D.T : pour les anglophones). Le périphérique +<quote>net</quote> sert à démarrer par le réseau. Le nom du périphérique peut indiquer +une partition de disque comme <quote>disk2:a</quote> pour amorcer le second disque. Le nom des +périphériques OpenBoot est de cette forme : + +<informalexample> +<screen> +<replaceable>nom-pilote</replaceable>@ +<replaceable>adresse-unité</replaceable>: +<replaceable>arguments-périphériques</replaceable> +</screen></informalexample>. + +Avec les anciennes versions d'OpenBoot, le nommage des périphériques est +légèrement différent. Le lecteur de disquettes s'appelle <quote>/fd</quote>, et +les noms des disques durs SCSI sont de la forme +<quote>sd(<replaceable>contrôleur</replaceable>, +<replaceable>disk-target-id</replaceable>, +<replaceable>unité-logique-du-disque</replaceable>)</quote>. +La commande <userinput>show-devs</userinput> dans les nouvelles versions +d'OpenBoot est utile pour voir les périphériques actuellement configurés. +Pour des informations complètes quelle que soit votre version d'OpenBoot, +voyez la <ulink url="&url-openboot;">référence OpenBoot Sun</ulink>. + +</para><para> + +Pour démarrer sur un périphérique spécifique, utilisez la commande +<userinput>boot <replaceable>device</replaceable></userinput>. Vous pouvez +positionner ce comportement comme valeur par défaut en utilisant la commande +<userinput>setenv</userinput>. +Cependant, le nom de la variable à positionner a changé entre les versions +d'OpenBoot. Dans OpenBoot 1.x, utilisez la commande +<userinput>setenv boot-from <replaceable>device</replaceable></userinput>. Dans +les versions ultérieures, utilisez la commande +<userinput>setenv boot-device <replaceable>device</replaceable></userinput>. +N.B. On peut faire ce réglage à partir de la commande +<command>eeprom</command> sous Solaris, ou, sous Linux, en modifiant les +fichiers dans <filename>/proc/openprom/options/</filename>. Par exemple sous +Linux : + +<informalexample><screen> +# echo disk1:1 > /proc/openprom/options/boot-device +</screen></informalexample> + +et sous Solaris : + +<informalexample><screen> +# eeprom boot-device=disk1:1 +</screen></informalexample> + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/preparing/install-overview.xml b/fr/preparing/install-overview.xml new file mode 100644 index 000000000..315adf391 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/install-overview.xml @@ -0,0 +1,185 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="install-overview"> + <title>Vue générale du processus d'installation</title> +<para> + +D'abord, une note au sujet des réinstallations. Avec Debian, il est très +rare d'avoir à réinstaller complètement son système. La cause la plus +commune est sans doute une défaillance mécanique du disque dur. + +</para><para> + +Beaucoup de systèmes d'exploitation nécessitent une installation complète +quand des échecs critiques se produisent ou quand on fait une mise à jour du +système. Et même s'il n'est pas nécessaire de refaire entièrement une +installation, les programmes que vous utilisez doivent être réinstallés +pour fonctionner correctement. + +</para><para> + +Avec &debian;, il est bien plus probable que votre OS puisse être réparé quand +les choses tournent mal, et non pas remplacé. Les mises à jour n'exigent +jamais une installation complète ; vous pouvez toujours les faire à +partir du système existant. Les programmes sont presque toujours compatibles +avec les versions successives du système. Quand la nouvelle version d'un +programme exige d'autres logiciels, le système d'empaquetage fait en sorte +que tous les logiciels nécessaires soient listés et installés. Beaucoup +d'efforts ont été déployés pour éviter le besoin d'une réinstallation : +c'est la dernière option ! Et l'installateur +<emphasis>n'est pas</emphasis> +conçu pour faire une installation sur un système existant. + +</para><para> + +Voici les étapes qui composent le processus d'installation : + +</para> + +<orderedlist> +<listitem><para> + +Sauvegarder toutes les données ou documents du disque dur sur lequel +l'installation sera faite ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Rassembler les informations concernant l'ordinateur, ainsi +que la documentation nécessaire ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Préparer de l'espace libre sur le disque dur ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Télécharger l'installateur et tous les pilotes nécessaires à l'ordinateur +(quand on n'utilise pas les cédéroms Debian) ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Préparer les bandes, les disquettes ou les clés USB pour l'amorçage, ou +installer les fichiers d'amorçage - les utilisateurs des cédéroms Debian +peuvent amorcer à partir de l'un des cédéroms ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Amorcer l'installateur ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Choisir une langue ; + + </para></listitem> + +<listitem arch="not-s390"><para> + +Mettre en place la connexion réseau ethernet, si nécessaire ; + + </para></listitem> + +<listitem arch="s390"><para> + +Configurer une interface réseau ; + +</para></listitem> +<listitem arch="s390"><para> + +Ouvrir une connexion ssh au nouveau système ; + +</para></listitem> +<listitem arch="s390"><para> + +Attacher un ou plusieurs DASD (Direct Access Storage Device) ; + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Créer et monter les partitions sur lesquelles Debian sera installé ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Regarder le processus automatique de téléchargement/installation/configuration +du <firstterm>système de base</firstterm> ; + + </para></listitem> +<listitem><para> + +Installer un <firstterm>programme d'amorçage</firstterm> qui puisse +démarrer &debian; ou un autre système ; + + </para></listitem> +<listitem><para> + +Charger le nouveau système pour la première fois et faire les premiers +réglages ; + + </para></listitem> +<listitem arch="s390"><para> + +Ouvrir une connexion ssh au nouveau système ; + +</para></listitem> + +<listitem><para> + +Installer à volonté d'autres logiciels (les <firstterm>tâches</firstterm> +ou des <firstterm>paquets</firstterm>). + + </para></listitem> + </orderedlist> + +<para> + +Connaître les paquets qui sont impliqués dans chaque étape peut aider à la +résolution des problèmes qui peuvent se produire durant l'installation. Voici +les principaux acteurs de ce drame : + +</para><para> + +L'<classname>installateur Debian</classname> est le sujet +principal de ce manuel. Il détecte le matériel et charge les pilotes +nécessaires, il met en place la connexion au réseau avec +<classname>dhcp-client</classname> et il installe les paquets du système de +base avec <classname>debootstrap</classname>. Il y a bien d'autres acteurs +mineurs, mais l'<classname>installateur Debian</classname> a terminé sa +tâche quand vous installez pour la première fois le nouveau système. + +</para><para> + +En chargeant le nouveau système, <classname>base-config</classname> ajoute +les utilisateurs, règle le fuseau horaire avec <classname>tzsetup</classname> +et met en place le système d'installation des paquets, avec +<classname>apt-setup</classname>. Il propose ensuite de lancer +<classname>tasksel</classname> qui peut installer des ensembles thématiques +de paquets, ou <classname>aptitude</classname> qui permet de choisir les +paquets individuellement. + +</para><para> + +</para><para> + +Quand le travail de l'installateur est terminé, avant le premier chargement +du système, vous n'avez qu'un système minimal avec ligne de commande. +L'interface graphique qui affiche des fenêtres sur votre écran n'est +installée que si vous l'avez demandé avec <classname>tasksel</classname> ou +<classname>aptitude</classname>. Son installation est facultative car +beaucoup de systèmes Debian sont des serveurs qui n'ont pas vraiment besoin +d'une interface graphique pour être opérationnels. + +</para><para arch="not-s390"> + +L'installateur ne prend pas en charge le système X. Son installation et les +problèmes liés ne sont pas du ressort de ce manuel. + +</para> + </sect1> diff --git a/fr/preparing/minimum-hardware-reqts.xml b/fr/preparing/minimum-hardware-reqts.xml new file mode 100644 index 000000000..0c9b7b0aa --- /dev/null +++ b/fr/preparing/minimum-hardware-reqts.xml @@ -0,0 +1,138 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="minimum-hardware-reqts"> +<title>Satisfaire les besoins matériels minimum</title> +<para> + +Une fois rassemblées les informations sur votre matériel, vérifiez que +vous pouvez faire le type d'installation souhaité. + +</para><para arch="not-s390"> + +Selon vos besoins, vous pouvez continuer avec du matériel inférieur au +matériel recommandé dans le tableau ci-dessous. Cependant, la plupart des +utilisateurs seront frustrés s'ils ignorent ces suggestions. + +</para><para arch="i386"> + +Un Pentium 100 est la configuration minimale recommandée +pour une machine de bureau, et un Pentium II-300 pour un serveur. + +</para><para arch="m68k"> + +Un processeur 68030 ou au-dessus est recommandé pour les +installations sur m68k. Vous pouvez avoir besoin d'un peu moins d'espace +disque qu'indiqué ci-dessous. + +</para><para arch="powerpc"> + +Tout PowerPC OldWorld ou NewWorld convient +parfaitement pour une machine de bureau. Pour un serveur, un processeur +d'au moins 132 Mhz est recommandé. + +</para> + +<table> +<title>Configuration matérielle minimale recommandée</title> +<tgroup cols="3"> +<thead> +<row> + <entry>Type d'inst.</entry><entry>RAM</entry><entry>Disque dur</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>Sans desktop</entry> + <entry>24 mega-octets</entry> + <entry>450 mega-octets</entry> +</row><row> + <entry>Avec desktop</entry> + <entry>64 mega-octets</entry> + <entry>1 giga-octets</entry> +</row><row> + <entry>Serveur</entry> + <entry>128 mega-octets</entry> + <entry>4 giga-octets</entry> +</row> + +</tbody></tgroup></table> + + +<para> + +Voici quelques exemples typiques de configuration de systèmes Debian. +Vous pouvez aussi vous faire une idée de l'espace disque nécessaire +à certaines tâches en lisant la <xref linkend="tasksel-size-list"/>. + +</para> + +<variablelist> + +<varlistentry> + <term>Serveur standard</term> + <listitem><para> + +C'est un profil de petit serveur : serveur minimaliste et sans +utilitaires sophistiqués pour les utilisateurs d'un interpréteur de +commandes. Il contient un serveur FTP, un serveur web, DNS, NIS et POP. +Pour ces services, 100 Mo d'espace disque devraient suffire, il faut +ensuite compter la place nécessaire aux données ; + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry arch="not-s390"> + <term>Machine de bureau</term> + <listitem><para> + +Une machine de bureau classique, comprenant l'interface graphique +X Window, des applications multimédia, des éditeurs, etc. Avec la tâche +standard Desktop, vous aurez besoin d'environ 2 Go ; Mais on peut +faire avec beaucoup moins. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry arch="not-s390"> + <term>Travail en mode console</term> + <listitem><para> + +Une machine de bureau minimaliste, sans interface graphique X Window ni +applications graphiques. Peut convenir à un portable ou à un ordinateur +mobile. L'ensemble approche 140 Mo ; + +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> + <term>Developpeur</term> + <listitem><para> + +Une configuration avec tous les paquets pour faire du développement, +comme Perl, C, C++, etc. La taille est d'environ 475 Mo. +En supposant que vous installerez X11 et d'autres paquets +supplémentaires, une taille de 800 Mo est à prévoir pour ce type +de machine. + +</para></listitem> +</varlistentry> + +</variablelist> + +<para> + +Il faut remarquer que ces mesures ne comptabilisent pas tous les +fichiers, comme les fichiers des utilisateurs, la messagerie et +les données. Il vaut toujours mieux prévoir large quand il s'agit de +ses propres fichiers et données. En particulier, la partition +<filename>/var</filename> dans Debian contient beaucoup d'informations sur +l'état du système. Les fichiers de <command>dpkg</command> (contenant des +informations sur tous les paquets installés) peuvent facilement +atteindre 20 Mo ; <command>apt-get</command> y met les paquets +téléchargés avant de les installer. Au moins 100 Mo +devraient être attribués à <filename>/var</filename>. +</para> + + </sect1> diff --git a/fr/preparing/needed-info.xml b/fr/preparing/needed-info.xml new file mode 100644 index 000000000..4e63bdb27 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/needed-info.xml @@ -0,0 +1,381 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect1 id="needed-info"> + <title>Informations à connaître</title> + + <sect2> + <title>Documentation</title> + + <sect3> + <title>Manuel d'installation</title> + +<para> +Le fichier que vous lisez, au format texte, HTML +ou PDF. +</para> +<itemizedlist> +&list-install-manual-files; +</itemizedlist> +</sect3> + + <sect3><title>Documentation du matériel</title> +<para> + +Elles contiennent souvent des informations utiles pour l'utilisation et la +configuration de votre matériel. +</para> + +<!-- We need the arch dependence for the whole list to ensure proper xml + as long as not architectures have a paragraph --> + <itemizedlist arch="i386;m68k;alpha;sparc;mips;mipsel"> + +<listitem arch="i386"><para> + +<ulink url="&url-hardware-howto;">HOWTO sur la compatibilité des matériels avec Linux</ulink> + +</para></listitem> + +<listitem arch="m68k"><para> + +<ulink url="&url-m68k-faq;">FAQ Linux/m68k</ulink> + +</para></listitem> + +<listitem arch="alpha"><para> + +<ulink url="&url-alpha-faq;">FAQ Linux/Alpha</ulink> + +</para></listitem> + +<listitem arch="sparc"><para> + +<ulink url="&url-sparc-linux-faq;">FAQ pour les processeurs SPARC sous Linux</ulink> + +</para></listitem> + +<listitem arch="mips;mipsel"><para> + +<ulink url="&url-mips-howto;">HOWTO Linux/Mips</ulink> + +</para></listitem> + +</itemizedlist> + </sect3> + + <sect3 arch="s390"> + <title>Références pour le matériel &arch-title;</title> +<para>q +Les instructions d'installation et les pilotes de périphériques +(DASD, XPRAM, console, bande, crypto z90, chandev, réseau) pour Linux +sur &arch-title; avec un noyau 2.4 ; + +</para> + +<itemizedlist> +<listitem><para> + + +<ulink url="http://oss.software.ibm.com/developerworks/opensource/linux390/docu\/l390dd08.pdf">Pilotes de périphériques et commandes d'installation</ulink> + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +<para> + +Le livre rouge d'IBM décrit comment combiner Linux avec z/VM +sur matériel zSeries et &arch-title;. +</para> + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg244987.pdf"> +Linux pour &arch-title;</ulink> + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +<para> + +Le livre rouge d'IBM indique les distributions Linux disponibles +sur ce matériel. Il n'a pas de chapitre spécifique à Debian, mais +les concepts de base pour l'installation sont les mêmes pour +toutes les distributions sur &arch-title; ; + +</para> + + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf"> +Linux pour IBM eServer zSeries et distributions &arch-title;</ulink> + +</para></listitem> +</itemizedlist> + </sect3> + +</sect2> + <sect2 id="fsohi"> + <title>Comment trouver les sources d'informations sur le matériel ?</title> + +<para> +La plupart du temps, l'installateur détectera automatiquement votre matériel. +Mais nous vous conseillons de bien connaître votre matériel avant de +commencer l'installation. +</para> + +<para> +On peut trouver des informations à partir de plusieurs sources : +</para> + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +Les manuels accompagnant chaque élément ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Les informations sur la configuration du BIOS de votre ordinateur. +Vous pouvez accéder à ces écrans pendant le démarrage de l'ordinateur +en appuyant sur une combinaison de touches. Consultez votre manuel +pour connaître cette combinaison. Il s'agit souvent de la touche +<keycap>Suppr</keycap> ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Les boîtes et cartons de chaque pièce ; + +</para></listitem> +<listitem arch="i386"><para> + +La fenêtre « Système » dans le panneau de configuration + de Windows ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Les commandes système ou les outils d'un autre système d'exploitation, +incluant les affichages d'un gestionnaire de fichiers. +Cette source est particulièrement utile pour trouver des informations +sur la mémoire vive et les disques durs ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Votre administrateur système ou votre fournisseur d'accès à internet. +Ces sources peuvent vous indiquer les réglages nécessaires à la +configuration du réseau et du courrier. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +<para> + +<table> +<title>Informations sur le matériel nécessaire pour l'installation</title> +<tgroup cols="2"> +<thead> +<row> + <entry>Matériel</entry><entry>Informations dont vous pouvez avoir besoin</entry> +</row> +</thead> +<tbody> +<row arch="not-s390"> + <entry morerows="5">Disques durs</entry> + <entry>Le nombre</entry> +</row> +<row arch="not-s390"><entry>Leur ordre dans le système</entry></row> +<row arch="not-s390"> + <entry>S'ils sont IDE ou SCSI (la plupart sont en IDE)</entry> +</row> +<row arch="not-s390"><entry>Espace disponible</entry></row> +<row arch="not-s390"><entry>Partitions</entry></row> +<row arch="not-s390"> + <entry>Partitions contenant d'autres systèmes d'exploitation</entry> +</row> + +<row arch="not-s390"> + <entry morerows="5">Moniteur</entry> + <entry>Modèle et marque</entry> +</row> +<row arch="not-s390"><entry>Résolutions acceptées</entry></row> +<row arch="not-s390"><entry>Taux de rafraîchissement horizontal</entry></row> +<row arch="not-s390"><entry>Taux de rafraîchissement vertical</entry></row> +<row arch="not-s390"> + <entry>Profondeurs de couleurs (nombre de couleurs) acceptées</entry> +</row> +<row arch="not-s390"><entry>Taille de l'écran</entry></row> + +<row arch="not-s390"> + <entry morerows="3">Souris</entry> + <entry>Type : série, PS/2, ou USB</entry> +</row> +<row arch="not-s390"><entry>Port</entry></row> +<row arch="not-s390"><entry>Marque</entry></row> +<row arch="not-s390"><entry>Nombre de boutons</entry></row> + +<row arch="not-s390"> + <entry morerows="1">Réseau</entry> + <entry>Modèle et marque</entry> +</row> +<row arch="not-s390"><entry>Type d'interface</entry></row> + +<row arch="not-s390"> + <entry morerows="1">Imprimante</entry> + <entry>Modèle et marque</entry> +</row> +<row arch="not-s390"><entry>Résolutions d'impression acceptées</entry></row> + +<row arch="not-s390"> + <entry morerows="2">Carte vidéo</entry> + <entry>Modèle et marque</entry> +</row> +<row arch="not-s390"><entry>Mémoire vidéo disponible</entry></row> +<row arch="not-s390"> + <entry>Résolutions et profondeurs de couleurs acceptées (à choisir parmi + celles reconnues par le moniteur)</entry> +</row> + +<row arch="s390"> + <entry morerows="1">DASD</entry> + <entry>Numéro du périphérique</entry> +</row> +<row arch="s390"><entry>Espace disponible</entry></row> + +<row arch="s390"> + <entry morerows="2">Réseau</entry> + <entry>Type d'interface</entry> +</row> +<row arch="s390"><entry>Numéros des périphériques</entry></row> +<row arch="s390"><entry>Numéro de l'adaptateur associé pour les cartes OSA</entry></row> + +</tbody></tgroup></table> + +</para> + </sect2> + + + <sect2> + <title>Compatibilité matérielle</title> + +<para> + +Beaucoup de produits de marques fonctionnent sans problèmes sous Linux. +De plus, le matériel pour Linux est amélioré chaque jour. Cependant, +Linux ne peut pas utiliser autant de matériels que d'autres +systèmes d'exploitation. + +</para><para arch="i386"> + +En particulier, Linux n'est pas compatible avec le matériel +qui nécessite Windows pour fonctionner. + +</para><para arch="i386"> + +Bien que Linux puisse faire fonctionner certains matériels spécifiques à +Windows, le faire demande un effort supplémentaire. D'autre part, les +pilotes Linux pour ce type de matériel sont souvent dépendants d'une +version du noyau, et sont donc rapidement obsolètes. + +</para><para arch="i386"> + +Les dénommés win-modems sont le cas le plus courant de ce type de +matériel. Mais des imprimantes et d'autres périphériques peuvent +aussi être spécifiques à Windows. + +</para><para> + +Voici quelques pistes pour vérifier la compatibilité de votre matériel : +<itemizedlist> +<listitem><para> + +Cherchez de nouveaux pilotes sur le site web des fabricants ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Cherchez des informations pour une possible émulation sur les + sites web ou les manuels. Des marques moins connues peuvent parfois + fournir des pilotes ou des réglages pour des marques plus connues ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Vérifiez les listes de matériel compatible avec Linux sur les + sites web dédiés à votre architecture ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Cherchez sur internet l'expérience d'autres utilisateurs. + +</para></listitem> +</itemizedlist> + +</para> + </sect2> + + <sect2> + <title>Configuration du réseau</title> + +<para> + +Vous devriez demander à votre administrateur système si votre machine est +connectée à un réseau 24h/24 — avec une connexion Ethernet ou +équivalente, pas une connexion PPP. + +<itemizedlist> +<listitem><para> +Le nom de votre machine (à choisir vous-même) ; +</para></listitem> +<listitem><para> +Le nom de votre domaine ; +</para></listitem> +<listitem><para> +L'adresse IP de votre machine ; +</para></listitem> +<listitem><para> +Le masque-réseau à utiliser ; +</para></listitem> +<listitem><para> +L'adresse IP de la passerelle qui sert de routeur, <emphasis>si</emphasis> +votre réseau possède une passerelle ; +</para></listitem> +<listitem><para> +La machine de votre réseau qui servira de serveur DNS (Domain Name Service). +</para></listitem> +</itemizedlist> +</para> +<para condition="supports-dhcp"> +Si votre administrateur système vous a informé qu'un serveur DHCP était +disponible, vous n'avez pas besoin de toutes ces informations. Le serveur +DHCP les fournira directement pendant le processus d'installation. +</para> +<para> +Pour un réseau sans fil, vous aurez besoin des informations suivantes : + +<itemizedlist> +<listitem><para> + +L'ESSID du réseau sans fil ; +</para></listitem> +<listitem><para> +La clé WEP (si nécesaire). +</para></listitem> +</itemizedlist> + +</para> + </sect2> + </sect1> + + + + + + + + diff --git a/fr/preparing/non-debian-partitioning.xml b/fr/preparing/non-debian-partitioning.xml new file mode 100644 index 000000000..b205fa7eb --- /dev/null +++ b/fr/preparing/non-debian-partitioning.xml @@ -0,0 +1,198 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + <sect1 id="non-debian-partitioning"> + <title>Partitionnement préalable d'une machine multisystème</title> +<para> + +Partitionner votre disque dur est simplement le fait de le diviser +en plusieurs sections. Chaque section est alors indépendante des +autres. C'est en gros équivalent à ajouter des cloisons dans une +maison : ajouter des meubles dans une pièce n'affecte pas les +autres pièces. + +</para><para arch="s390"> + +Dans cette section, vous devez remplacer les occurrences de +<quote>disque</quote> par un mini-disque DASD ou VM du monde &arch-title;. +De même, une machine signifie une LPAR ou VM. + +</para><para> + +Si vous avez déjà un système d'exploitation sur votre machine + +<phrase arch="i386"> +(Windows 9x, Windows NT/2000/XP, OS/2, MacOS, Solaris, FreeBSD…) +</phrase> + +<phrase arch="alpha"> +(Tru64 (Digital UNIX), OpenVMS, Windows NT, FreeBSD…) +</phrase> + +<phrase arch="s390"> +(VM, z/OS, OS/390…) +</phrase> + +et si vous désirez placer Linux sur le même disque, vous devrez repartitionner +ce disque. Debian a besoin de partitions spécifiques. Il +ne peut pas être installé sur des partitions Windows ou MacOS. Il peut +partager des partitions avec d'autres systèmes Linux, mais ce point n'est +pas abordé ici. Vous devez attribuer au moins une partition à la +racine du système Debian. + +</para><para> + +Vous pouvez trouver des informations sur le partitionnement actuel +en utilisant un outil approprié pour votre système d'exploitation<phrase arch="i386">, tel que fdisk ou PartitionMagic</phrase><phrase arch="powerpc">, +tel que Drive Setup, HD Toolkit ou MacTools</phrase><phrase arch="m68k">, +tel que HD SC Setup, HDToolBox ou SCSITool</phrase><phrase arch="s390">, +tel que le diskmap VM</phrase>. Les outils de partitionnement permettent +toujours de montrer l'état actuel sans faire de changement. + +</para><para> + +En général, modifier une partition contenant déjà un système de fichiers +va détruire des fichiers. Vous devriez donc toujours faire des +sauvegardes avant tout partitionnement. En continuant l'analogie avec +la maison, avant d'abattre une cloison, vous voudrez certainement déplacer +les meubles, afin de ne pas les endommager. + +</para> + +<para arch="hppa" condition="FIXME"> + +<emphasis>FIXME: write about HP-UX disks?</emphasis> + +</para><para> + +Si votre ordinateur possède plus d'un disque dur, vous pouvez souhaiter +en dédier un à Debian. Ainsi, vous n'aurez pas besoin +de partitionner le disque avant de commencer l'installation ; le +partitionneur inclus dans l'installateur fera très bien l'affaire. + +</para><para> + +Si votre ordinateur ne possède qu'un seul disque, et si vous désirez +remplacer complètement le système d'exploitation actuel par +Debian GNU/Linux, vous pouvez aussi attendre d'être dans le processus +d'installation pour partitionner le disque (<xref linkend="partman"/>). +Cependant, cela ne marchera que si vous commencez l'installation à partir +d'une bande, d'un cédérom ou de fichiers sur une machine connectée. En effet, +si vous démarrez à partir de fichiers sur le disque dur, puis +partitionnez ce disque dur pendant l'installation, vous effacerez les +fichiers de démarrage, et il vaut alors mieux que l'installation se +déroule sans accroc. Si vous voulez vraiment faire ainsi, vous devez +vous assurer qu'il existe un moyen de ressusciter la machine en cas de +problème, par exemple avec les bandes ou les cédéroms d'installation du système +actuel. + +</para><para> + +Si votre machine possède déjà plusieurs partitions, et si suffisamment de +place peut être obtenue en effaçant ou remplaçant une ou plusieurs de +ces partitions, alors vous pouvez aussi attendre et utiliser le +programme de partitionnement de l'installateur Debian. +Vous devriez néanmoins continuer de lire les paragraphes suivants, car +il existe certains cas qui obligent à partitionner avant de +démarrer l'installation. + +</para><para arch="i386"> +Si votre machine possède un système de fichiers FAT ou NTFS, utilisé par DOS +et Windows, vous pouvez attendre et utiliser le +partitionneur de l'installateur Debian pour redimensionner le système de +fichiers FAT. +</para> +<para> + +Dans tous les autres cas, vous aurez besoin de partitionner votre disque +dur avant de démarrer l'installation afin de créer de l'espace +disponible sur lequel les partitions pour &debian; seront créées. +Si certaines de ces partitions sont attribuées à un autre système +d'exploitation, il vaut mieux utiliser le programme de partitionnement +de ce système d'exploitation. Dans ce cas, nous vous recommandons de +<emphasis>ne pas</emphasis> essayer de créer des partitions Linux Debian avec +ces outils. +Il faut seulement créer les partitions dédiées à l'autre système +d'exploitation. + +</para><para> + +Si vous installez plus d'un système d'exploitation sur la même +machine, vous devriez commencer par les autres OS avant d'installer +Linux. Windows ainsi que d'autres installateurs d'OS peuvent vous +empêcher de démarrer Linux, ou vous encourager à reformater les +partitions non reconnues. + +</para><para> + +Vous pouvez annuler ces actions ou les éviter, mais installer en premier +le système natif vous épargnera des problèmes. + +</para><para arch="powerpc"> + +Pour qu'OpenFirmware puisse démarrer automatiquement &debian;, +les partitions Linux doivent apparaître avant toute autre partition +sur le disque, en particulier avant les partitions d'amorçage de MacOS. +Il faut absolument garder ceci à l'esprit lorsque l'on partitionne le +disque ; vous devez créer une place pour les partitions Linux +<emphasis>avant</emphasis> les autres partitions amorçables du disque (les +petites partitions dédiées aux contrôleurs de disques Apple ne sont pas +amorçables). Vous pourrez supprimer cet espace libre avec les outils de +partitionnement Linux durant la phase d'installation, et le remplacer par des +partitions Linux. + +</para><para> + +Si vous avez actuellement un disque dur avec une seule partition (ce qui +est courant pour des ordinateurs de bureau), et si vous voulez pouvoir +démarrer Debian ainsi que d'autres systèmes d'exploitation, vous aurez +besoin de : + + <orderedlist> +<listitem><para> + +sauvegarder tout ce qui se trouve sur l'ordinateur ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +démarrer depuis le support d'installation (du système d'exploitation +actuellement installé), par exemple un cédérom ou des bandes ; + +<phrase arch="powerpc">Si vous démarrez depuis un cédérom MacOS, maintenez la +touche <keycap>c</keycap> appuyée pendant le démarrage pour forcer le cédérom +à devenir le système actif pour MacOS) ;</phrase> + +</para></listitem> +<listitem><para> + +utiliser les outils de partitionnement natifs pour créer soit de nouvelles +partitions, soit de l'espace libre pour Debian GNU/Linux ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +installer le système d'exploitation natif sur sa nouvelle partition ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +démarrer ce système pour vérifier que tout fonctionne, et pour télécharger +les fichiers de démarrage pour l'installateur Debian ; +</para></listitem> +<listitem><para> + +démarrer l'installateur Debian pour commencer à installer Debian. + +</para></listitem> +</orderedlist> + +</para> + +&nondeb-part-alpha.xml; +&nondeb-part-i386.xml; +&nondeb-part-m68k.xml; +&nondeb-part-sparc.xml; +&nondeb-part-powerpc.xml; + + </sect1> diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/alpha.xml b/fr/preparing/nondeb-part/alpha.xml new file mode 100644 index 000000000..65e63d29c --- /dev/null +++ b/fr/preparing/nondeb-part/alpha.xml @@ -0,0 +1,88 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect2 arch="alpha"><title>Partitionnement sous Tru64 UNIX</title> +<para> + +Tru64 UNIX, anciennement appelé Digital UNIX, lui-même anciennement +appelé OSF/1, utilise un schéma de partitionnement semblable aux +<quote>étiquettes de disque</quote> des BSD, ce qui lui permet d'avoir +jusqu'à huit partitions par disque. Les partitions sont numérotées de 1 +à 8 avec Linux, et <quote>lettrées</quote> de <quote>a</quote> à +<quote>h</quote> pour UNIX. Les noyaux Linux 2.2 et supérieurs font +toujours correspondre 1 à <quote>a</quote>, 2 à <quote>b</quote>, etc. +Par exemple, <filename>rz0e</filename> pour Tru64 UNIX serait certainement +<filename>sda5</filename> pour Linux. + +</para><para> + +Les partitions pour disque Tru64 peuvent se chevaucher. De plus, si le disque +est utilisé par Tru64, la partition +<quote>c</quote> doit recouvrir le disque entier (et donc chevaucher +toutes les autres partitions non vides). Sous Linux, cela implique que +<filename>sda3</filename> soit identique à <filename>sda</filename> +(<filename>sdb3</filename> à <filename>sdb</filename> s'il existe, etc). +Pour l'instant, partman, le partitionneur de l'installateur Debian, ne gère +pas le chevauchement des partitions. Vous devez donc éviter d'utiliser un même +disque par Tru64 et Debian. Les partitions sur disque Tru64 peuvent être +montées dans Debian, une fois l'installation terminée. + +</para><para> + +Une autre contrainte est que, par convention, la partition <quote>a</quote> +commence au début du disque, afin qu'elle inclue toujours le bloc +d'amorçage qui contient les étiquettes. Si vous souhaitez démarrer +Debian depuis ce disque, il faut qu'elle contienne au moins 2 Mo +pour pouvoir y mettre aboot et peut-être un noyau. +Notez que cette partition n'est nécessaire que pour des raisons +de compatibilité ; vous ne devez pas y mettre un système de fichiers, +sous peine de détruire des données. +</para> +<para> + +Il est possible, et d'ailleurs assez raisonnable, de partager une +partition d'échange entre UNIX et Linux. Dans ce cas, il +faut lancer <command>mkswap</command> sur cette partition à chaque changement +de système, car UNIX détruit la signature de la partition. Vous pouvez +faire exécuter <command>mkswap</command> par les scripts au démarrage de Linux +avant d'ajouter la zone d'échange avec la commande +<command>swapon -a</command>. + +</para><para> + +Si vous souhaitez monter des partitions UNIX sous Linux, notez que +Digital UNIX peut utiliser deux systèmes de fichiers différents, UFS et +AdvFS, et Linux ne reconnaît que le premier. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="alpha"><title>Partitionnement sous Windows NT</title> + +<para> + +Windows NT utilise une table des partitions similaire aux PC. Si vous +manipulez des partitions FAT ou NTFS existantes, il est recommandé +d'utiliser les outils fournis avec Windows NT (ou le programme de +partitionnement se trouvant dans le menu de configuration de +l'AlphaBIOS). Sinon, il n'est pas nécessaire de partitionner depuis +windows, et les outils de Linux feront souvent un meilleur travail. +Notez que, lorsque vous lancez NT, l'administrateur de disques +(<emphasis>Disk Administrator</emphasis>) peut vous conseiller d'écrire +une <quote>signature inoffensive</quote> sur les partitions non Windows, +si vous en avez. Ne le laissez <emphasis>jamais</emphasis> faire cela, car la +signature détruit les informations sur la partition. + +</para><para> + +Si vous décidez de démarrer Linux depuis une console +ARC/AlphaBIOS/ARCSBIOS, vous aurez besoin d'une (petite) partition FAT +pour MILO, 5 Mo est généralement suffisant. Si Windows NT est +installé, sa partition de démarrage de 6 Mo peut très bien faire +l'affaire. La version &releasename; ne sait pas installer MILO. Si MILO est +déjà installé sur le système ou si MILO est sur un autre support, Debian +peut être amorcée depuis ARC. + +</para> + </sect2> diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/i386.xml b/fr/preparing/nondeb-part/i386.xml new file mode 100644 index 000000000..7edcb010f --- /dev/null +++ b/fr/preparing/nondeb-part/i386.xml @@ -0,0 +1,128 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29561 --> + + + <sect2 arch="i386"><title>Partitionnement depuis DOS ou Windows</title> +<para> + +Si vous manipulez des partitions FAT ou NTFS existantes, il est +recommandé de suivre la méthode ci-dessous ou d'utiliser des produits +DOS ou Windows. Il n'est pas utile de partitionner à partir de +DOS ou Windows ; les outils de partitionnement Linux sont généralement +meilleurs. + +</para><para> + +Si vous avez un grand disque IDE, et que vous n'utilisiez ni l'adressage LBA, +ni des pilotes de recouvrement (parfois fournis par les constructeurs de +disques durs), ni un BIOS récent (après 1998) qui accepte les extensions +d'accès pour disques de haute capacité, vous devez faire attention +à la position de la partition de démarrage de Debian : vous +devez la placer dans les premiers 1024 cylindres de votre disque dur +(habituellement aux alentours de 524 Mo, sans conversion par le +BIOS). Et il faudra peut-être déplacer une partition FAT ou NTFS +existante. + +</para> + + <sect3 id="lossless"> + <title>Repartitionnement sans perte sous DOS, Windows-32 ou OS/2 + </title> + +<para> + +L'une des situations les plus courantes, c'est d'avoir un système qui contient +déjà DOS (y compris Windows 3.1), Win32 (comme Windows 95, 98, Me, NT, 2000, +XP) ou OS/2, et l'on veut installer Debian sur le même disque, sans détruire +le précédent système. L'installateur Debian sait redimensionner les systèmes de +fichiers FAT et NTFS utilisés par DOS et Windows. Lancez simplement +l'installateur, choisissez l'option +<menuchoice> <guimenuitem>Modifier manuellement la table des partitions</guimenuitem> </menuchoice>, +choisissez la partition à redimensionner et indiquez la +taille voulue. Dans la plupart des cas, vous n'aurez pas besoin de la méthode +décrite plus bas. + +</para><para> + +Avant d'aller plus loin, vous devez avoir décidé comment vous allez +diviser le disque. La méthode présentée dans ce chapitre ne vise qu'à +découper une partition en deux parties. L'une contiendra l'OS original +et l'autre sera utilisée pour Debian. +Pendant l'installation de Debian, vous aurez l'occasion de terminer la division +de la partie Debian du disque comme vous le souhaitez (partition d'échange ou +partition avec système de fichiers). + +</para><para> + +L'idée est de déplacer toutes les données au début de la partition, avant de +changer les caractéristiques de la partition : ainsi rien ne sera perdu. +Il est important que vous fassiez le moins de chose possible entre le +déplacement des données et le repartitionnement, pour minimiser le risque qu'un +fichier soit écrit près de la fin de la partition puisque cela diminuerait +la quantité d'espace pouvant être pris sur la partition. + +</para><para> + +Il faut tout d'abord une copie de <command>fips</command> qui est disponible +dans le répertoire <filename>tools/</filename> du miroir Debian le plus +proche. Décompressez l'archive et copiez les fichiers +<filename>RESTORRB.EXE</filename>, +<filename>FIPS.EXE</filename> et <filename>ERRORS.TXT</filename> sur une +disquette amorçable. Une disquette amorçable peut être créée en utilisant la +commande <filename>sys a:</filename> sous DOS. <command>Fips</command> est +fourni avec une très bonne documentation qu'il faudrait lire. Vous devrez la +lire si vous utilisez un pilote de compression de disque ou un gestionnaire +de disque. Créez la disquette et lisez la documentation +<emphasis>avant</emphasis> de défragmenter le disque. + +</para><para> + +L'étape suivante consiste à déplacer toutes les données au début de +la partition. L'utilitaire <command>defrag</command>, qui est livré en +standard avec DOS 6.0 et les versions supérieures, peut facilement faire ce +travail. Consultez la documentation de fips pour une liste des autres +logiciels qui peuvent faire l'affaire. Notez que si vous avez Windows95, vous +devez lancer <command>defrag</command> depuis celui-ci, puisque DOS ne +comprend pas le type de système de fichiers VFAT qui est utilisé pour gérer +les noms longs depuis Windows 95 et les versions supérieures + +</para><para> + +Après la défragmentation (qui peut prendre du temps sur un grand +disque), réamorcez avec la disquette <command>fips</command> que vous avez +créée dans le lecteur de disquette. Saisissez simplement +<filename>a:\fips</filename> et suivez les instructions. + +</para><para> + +Il existe beaucoup d'autres utilitaires de partitionnement +au cas où <command>fips</command> ne conviendrait pas. + +</para> + </sect3> + + <sect3 id="partitioning-for-dos"><title>Partitionnement sous DOS</title> + +<para> + +Si vous partitionnez des disques DOS, ou si vous changez la taille de +partitions DOS, en utilisant des outils Linux, sachez que beaucoup de +problèmes ont été constatés avec +les partitions FAT obtenues. Par exemple, on a remarqué des problèmes de +performance ou des problèmes de cohérence avec <command>scandisk</command>, et +d'autres erreurs bizarres sous DOS ou Windows. + +</para><para> + +Apparemment, chaque fois que vous créez ou que vous redimensionnez une +partition destinée à être utilisée sous DOS, c'est une bonne idée de +remplir avec des zéros quelques-uns des premiers secteurs. Faites-le depuis +Linux avant de lancer la commande DOS <command>format</command> : + +<informalexample><screen> +# dd if=/dev/zero of=/dev/hdXX bs=512 count=4 +</screen></informalexample> + +</para> + </sect3> + </sect2> diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/m68k.xml b/fr/preparing/nondeb-part/m68k.xml new file mode 100644 index 000000000..d94a4ca2f --- /dev/null +++ b/fr/preparing/nondeb-part/m68k.xml @@ -0,0 +1,138 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect2 arch="m68k"><title>Partitionnement sur AmigaOS</title> +<para> + +Si vous utilisez AmigaOS, vous pouvez vous servir du programme +<command>HDToolBox</command> pour partitionner votre disque avant +l'installation. + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="m68k"><title>Partitionnement d'un Atari TOS</title> +<para> + +Les identificateurs de partition pour Atari sont formés de trois +caractères ASCII. Utilisez <quote>LNX</quote> pour les données et <quote>SWP</quote> pour les +partitions d'échange. Si vous utilisez une méthode d'installation +pour machine avec peu de mémoire, une petite partition Minix est aussi +nécessaire (environ 2 Mo), pour laquelle l'identificateur est <quote>MNX</quote>. +Une erreur dans la configuration des identificateurs des partitions empêche +non seulement l'installateur de Debian de reconnaître les +partitions, mais fait aussi que le système d'exploitation +essaye d'utiliser les partitions Linux, ce qui perturbe le contrôleur +de disque et rend tout le disque inutilisable. + +</para><para> + +Il y a de nombreux outils de partitionnement disponibles (les outils +<command>harddisk</command> propres à Atari ne permettent pas de changer les +identificateurs de partitions) ; ce manuel ne peut pas donner de +description détaillée pour chacun. La description ci-dessous ne concerne +que <command>SCSITool</command> (de Hard+Soft GmBH). + +<orderedlist> +<listitem><para> + +Démarrez <command>SCSITool</command> et choisissez le disque que vous voulez +partitionner (menu <guimenu>Disk</guimenu>, +choix <guimenuitem>select</guimenuitem>) ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +À partir du menu <guimenu>Partition</guimenu>, choisissez soit +<guimenuitem>New</guimenuitem> pour ajouter de nouvelles partitions ou +changer la taille des partitions existantes, soit +<guimenuitem>Change</guimenuitem> pour changer +une partition spécifique. Sauf si vous avez déjà ajouté de nouvelles +partitions avec la bonne taille et voulez seulement changer les +identificateurs, <guimenuitem>New</guimenuitem> est certainement le meilleur +choix ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Pour l'option <guimenuitem>New</guimenuitem>, choisissez +<guilabel>existing</guilabel> dans la boîte de dialogue qui demande les +paramètres initiaux. La fenêtre suivante donne des informations +détaillées sur l'emplacement des partitions existantes ; la première colonne +de cette liste indique le type de la partition. Vous pouvez le modifier en cliquant +sur le champ du texte. Sauvez les changements en quittant la fenêtre avec le +bouton <guibutton>OK</guibutton> ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Pour l'option <guimenuitem>Change</guimenuitem>, choisissez la partition à +modifier dans la liste de sélection, et choisissez +<guilabel>other systems</guilabel> dans la boîte de dialogue. La fenêtre +suivante donne des informations +détaillées sur l'emplacement de cette partition, et permet d'en changer +l'identificateur. Sauvez les changements en quittant la fenêtre avec le +bouton <guibutton>OK</guibutton> ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Inscrivez les noms Linux pour chacune de ces partitions qui seront +utilisées avec Linux — voir <xref linkend="device-names"/> ; + +</para></listitem> +<listitem><para> + +Quittez <command>SCSITool</command> avec le choix +<guimenuitem>Quit</guimenuitem> du menu <guimenu>File</guimenu>. +L'ordinateur va redémarrer pour s'assurer que la +nouvelle table de partitions sera prise en compte par le système +d'exploitation. Si vous avez modifié des partitions pour le système +d'exploitation (TOS) ou l'environnement graphique (GEM), elles seront +rendues inopérantes et devront être réinitialisées ; nous vous +avions prévenus qu'il fallait faire une sauvegarde, n'est-ce-pas ? + +</para></listitem> +</orderedlist> + +</para><para> + +Il y a un outil de partitionnement pour Linux/m68k appelé +<command>atari-fdisk</command> dans le système d'installation, +mais pour l'instant nous vous recommandons de partitionner votre disque en +utilisant un éditeur de partition TOS ou tout autre utilitaire disque. Si +votre éditeur de partition ne dispose pas d'option pour changer le +type de partition, vous pourrez faire cette étape cruciale à un moment +différent (à partir du RAMdisk au démarrage de l'installation). +<command>SCSITool</command> n'est qu'un des éditeurs de partition qui +supportent la sélection de type quelconque de partitions. Il y en a +d'autres, choisissez celui qui vous convient. + +</para> +</sect2> + + <sect2 arch="m68k"><title>Partitionnement sous MacOS</title> +<para> + +Les outils de partitionnement pour Macintosh que nous avons testés sont +<command>pdisk</command>, <command>HD SC Setup</command> 7.3.5 (Apple), +<command>HDT</command> 1.8 (FWB), <command>SilverLining</command> (LaCie) et +<command>DiskTool</command> (Tim Endres, GPL). +Des versions complètes sont nécessaires pour <command>HDT</command> et +<command>SilverLining</command>. L'utilitaire d'Apple nécessite un correctif +pour reconnaître des disques étrangers (un descriptif expliquant comment +corriger <command>HD SC Setup</command> avec <command>ResEdit</command> peut +être trouvé sur +<ulink url="http://www.euronet.nl/users/ernstoud/patch.html"></ulink>). + +</para><para> + +Pour des Macs IDE, vous devez utiliser l'application +<command>Apple Drive Setup</command> pour libérer de la place pour les +partitions Linux, puis poursuivez le partitionnement sous Linux, +ou utilisez la version MacOS de pdisk disponible sur le serveur FTP de +MkLinux. + +</para> +</sect2> diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml b/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml new file mode 100644 index 000000000..ffe9edfa3 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml @@ -0,0 +1,51 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + + <sect2 arch="powerpc"><title>Partitionnement sous MacOS/OSX</title> + +<para> + +L'application <application>Apple Drive Setup</application> se trouve dans le +dossier <filename>Utilities</filename> sur le cédérom MacOS.Il ne permet pas +d'ajuster des partitions existantes ; il se contente +de créer une partition unique occupant tout le disque, +L'application <application>Drive Setup</application> ne +montre pas les partitions dédiées aux contrôleurs de disques Apple. + +</para><para> + +N'oubliez pas de créer la place pour les partitions GNU/Linux, de +préférence au début du disque. Le type de cette partition importe peu +la partition sera modifiée plus tard par l'installateur Debian. + +</para><para> + +Si vous prévoyez d'installer MacOS 9 et OS X, il vaut mieux créer des +partitions distinctes pour les deux systèmes. S'ils sont installés sur la +même partition, <application>Startup Disk</application> (et redémarrer) doit +être exécuté +pour choisir entre les deux, ce choix ne peut être fait lors du +démarrage. Avec des partitions distinctes, des options différentes pour +OS 9 et OS X apparaitront en appuyant sur la touche +<keycap>option</keycap> +pendant le démarrage, et des options différentes peuvent aussi être +installées dans le menu de démarrage <application>yaboot</application>. +Aussi, <application>Startup Disk</application> va « désacraliser» +(<emphasis>de-bless</emphasis>) toutes les autres partitions montées, ce qui +peut perturber le démarrage de GNU/Linux. Les partitions d'OS 9 et +OS X seront accessibles indifféremment depuis OS 9 et OS X. + +</para><para> + +GNU/Linux est incapable d'aller chercher les informations sur des +partitions NFS+ (aussi appelées MacOS étendues) ou UFS. OS X a +besoin d'un de ces types pour sa partition de démarrage. MacOS 9 +peut être installé soit sur HFS (aussi appelé MacOS standard), soit sur +HFS+. Pour partager des informations entre les systèmes MacOS et +GNU/Linux, une partition d'échange est très pratique. Les partitions HFS +et MS-DOS FAT sont reconnues par les deux systèmes. + +</para> + </sect2> + diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml b/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml new file mode 100644 index 000000000..3b6a53c38 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml @@ -0,0 +1,48 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect2 arch="sparc"><title>Partitionnement sous SunOS</title> + +<para> + +Il est tout à fait possible de partitionner depuis SunOS ; en fait, +si vous souhaitez avoir SunOS et Debian sur la même machine, il est +recommandé de partitionner avec SunOS avant d'installer Debian. +Le noyau Linux comprend les étiquettes des disques Sun, il n'y aura donc +aucun problème. Vérifiez simplement que vous avez laissé suffisamment de +place pour la partition racine de Debian, qui doit tenir dans le premier +Go du disque. Vous pouvez aussi mettre l'image du noyau sur une +partition UFS si c'est plus facile que de faire de la place pour la +partition racine. SILO permet d'amorcer Linux et SunOS depuis des +partitions EXT2 (Linux), UFS (SunOS), romfs et iso9660 (cédérom). + +</para> + </sect2> + + <sect2 arch="sparc"><title>Partitionnement sous Linux ou sous un autre OS</title> + +<para> + +Quel que soit le système utilisé pour partitionner, vérifiez que vous +créez une étiquette de disque Sun sur le disque d'amorçage. C'est le +seul schéma de partitionnement que la PROM OpenBoot comprend, et donc +c'est le seul moyen d'amorçage. Dans <command>fdisk</command>, la touche +<keycap>s</keycap> est utilisée pour créer des étiquettes de disque Sun. +Vous n'avez besoin de le faire que sur les disques sans +étiquette de disque Sun. Si vous utilisez un disque qui avait été +formaté sur PC (ou toute autre architecture), vous devez créer une +nouvelle étiquette, ou attendez-vous à avoir des problèmes avec une +mauvaise reconnaissance de la géométrie du disque. + +</para><para> + +Vous allez certainement utiliser <command>SILO</command> comme chargeur +d'amorçage (le petit programme qui lance le noyau du système +d'exploitation). <command>SILO</command> impose certaines contraintes sur +l'emplacement et la taille des partitions. +Voir <xref linkend="partitioning"/>. + +</para> + </sect2> + diff --git a/fr/preparing/pre-install-bios-setup.xml b/fr/preparing/pre-install-bios-setup.xml new file mode 100644 index 000000000..6dbc9ebb7 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/pre-install-bios-setup.xml @@ -0,0 +1,165 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + + + <sect1 id="pre-install-bios-setup"> + <title>Configuration matérielle et système avant l'installation</title> +<para> + +Cette section passe en revue les réglages matériels que vous devrez peut-être +effectuer avant d'installer Debian. En général, +cela implique de vérifier, et parfois de modifier, les réglages du +micrologiciel (BIOS, etc.) sur votre système. Le micrologiciel est le logiciel +de base utilisé par le matériel ; il est plus spécifiquement exécuté +pendant le processus d'amorçage (après la mise sous tension). Les +problèmes matériels connus qui affectent la fiabilité de &debian; sur votre +système sont aussi mis en lumière. + +</para> + +&bios-setup-i386.xml; +&bios-setup-m68k.xml; +&bios-setup-powerpc.xml; +&bios-setup-sparc.xml; +&bios-setup-s390.xml; + + <sect2><title>Problèmes matériels à surveiller</title> +<para arch="not-s390"> + +Beaucoup de personnes ont essayé de faire fonctionner leur processeur +90 MHz à 100 MHz, etc. Cela fonctionne parfois, mais le système +devient sensible à la température et à d'autres facteurs et cela peut +réellement l'endommager. +Un des auteurs de ce document a changé la fréquence de son propre +système pendant un an et puis le système a commencé à interrompre le +programme <command>gcc</command> par un signal inattendu pendant qu'il +compilait le noyau du système d'exploitation. Baisser la vitesse du +processeur à sa valeur de départ a résolu le problème. + +</para><para arch="not-s390"> + +Le compilateur <command>gcc</command> est souvent le premier à subir des +dysfonctionnements à cause d'une mémoire RAM défectueuse (ou d'autres problèmes +matériels qui changent les données de manière imprévisible), parce qu'il +construit des structures de données gigantesques qu'il traverse plusieurs +fois. Une erreur dans ces structures de données le fera exécuter une +instruction illégale ou accéder à une adresse inexistante. Le symptôme de +ce défaut est la mort de <command>gcc</command> par un signal inattendu. + +</para><para arch="m68k"> + +Les cartes RAM Atari TT sont connues pour poser des problèmes de RAM sous +Linux. Si vous rencontrez des problèmes étranges, essayez de faire +fonctionner au moins le noyau en ST-RAM. Les utilisateurs d'Amiga +devront peut-être exclure de la RAM en utilisant un fichier mémoire au +démarrage. + +<phrase condition="FIXME"><emphasis> + +FIXME: description plus poussée nécessaire. + +</emphasis></phrase> + +</para><para arch="i386"> + +Les meilleures cartes mères supportent la mémoire à parité et vous +indiqueront si votre système possède une telle mémoire. +Malheureusement, elles n'ont pas le moyen de corriger l'erreur, ainsi elles +planteront en général aussitôt après vous avoir prévenu du problème sur la +mémoire vive. Mais il est préférable d'être averti de la présence de mémoire +vive défectueuse plutôt que d'avoir des erreurs s'insérant silencieusement dans +vos données. En conclusion, les meilleurs systèmes ont des cartes mères qui +supportent la mémoire à parité et des barrettes SIMM à parité réelle ; +voir : <xref linkend="Parity-RAM"/>. + +</para><para arch="i386"> + +Si vous avez de la mémoire vive à parité réelle et que votre carte mère peut +en tenir compte, activez tous les réglages du BIOS qui causeront +l'interruption par la carte mère en cas d'erreur de parité mémoire. + +</para> + + <sect3 arch="i386"><title>Le bouton-poussoir « turbo »</title> +<para> + +Beaucoup de systèmes ont un bouton-poussoir <emphasis>turbo</emphasis> qui +contrôle la vitesse du processeur. Choisissez le réglage haute vitesse. Si +votre BIOS vous permet de désactiver le contrôle logiciel du bouton-poussoir +turbo (ou le contrôle logiciel de la vitesse du processeur), faites-le +et verrouillez le système dans le mode haute vitesse. On nous a +signalé que Linux, pendant qu'il recherche des périphériques +matériels, peut modifier accidentellement le contrôle logiciel du +bouton-poussoir turbo. +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="i386"><title>CPU Cyrix et erreurs de disquettes</title> +<para> + +Beaucoup d'utilisateurs de processeur Cyrix ont dû désactiver le cache dans +leur système pendant l'installation, car sinon le lecteur de disquettes +rencontrait des erreurs. Si vous devez le faire, activez à +nouveau votre cache lorsque vous aurez fini l'installation, puisque le +système fonctionne <emphasis>beaucoup</emphasis> plus lentement avec le cache +désactivé. + +</para><para> + +Nous ne pensons pas que cela soit nécessairement la faute du processeur +Cyrix. Cela peut être quelque chose que Linux peut corriger. Nous +continuerons d'analyser le problème. Pour les personnes techniquement +curieuses, sachez que nous suspectons un problème de cache devenant +invalide après un passage du code 16-bit en code 32-bit. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="i386"><title>Configuration matérielle</title> +<para> + +Vous devrez peut-être modifier certaines configurations ou certains +cavaliers sur les cartes de votre ordinateur. Certaines cartes possèdent +des menus de configuration alors que d'autres se contentent de +cavaliers. Ce document ne peut pas se permettre de fournir des +informations complètes sur chaque périphérique matériel ; il espère au +moins fournir des indices utiles. + +</para><para> + +Si l'une de vos cartes offre de la mémoire du type « mapped +memory », utilisez une valeur comprise entre 0xA0000 et 0xFFFFF (de +640 Ko jusqu'à 1 Mo) ou une adresse au moins 1 Mo plus +haute que le total de votre mémoire RAM (ou mémoire vive) de votre système. + +</para> + </sect3> + + <sect3 arch="i386" id="usb-keyboard-config"> +<title>BIOS et Claviers USB</title> +<para> + +Si vous n'avez pas de clavier de type AT, mais seulement un modèle USB, +vous devrez peut-être activer l'émulation AT dans la configuration du +BIOS. Ne l'activez que si l'installateur n'a pu utiliser le clavier en mode +USB. Mais, à l'inverse, pour certains systèmes, en particulier les portables, +vous devrez désactiver la gestion de l'USB si votre clavier ne répond pas. +Consultez le manuel de votre carte mère et regardez dans le BIOS +pour une option « Legacy keyboard emulation » ou « USB +keyboard support ». + +</para> + </sect3> + + <sect3><title>Plus de 64 Mo de mémoire vive</title> +<para> + +Le noyau Linux peut ne pas toujours détecter la quantité de mémoire vive. +Si c'est le cas, veuillez regarder : <xref linkend="boot-parms"/>. + +</para> + </sect3> + </sect2> + </sect1> + + diff --git a/fr/preparing/preparing.xml b/fr/preparing/preparing.xml new file mode 100644 index 000000000..8bb6d8033 --- /dev/null +++ b/fr/preparing/preparing.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 16467 --> + +<chapter id="preparing"> + <title>Avant d'installer &debian;</title> + +<para> + +Ce chapitre traite de la préparation nécessaire à l'installation d'un système +Debian, avant même tout amorçage de l'installateur. Cela concerne la sauvegarde +des données, la connaissance de votre matériel et des informations nécessaires. +</para> + +&install-overview.xml; +&backup.xml; +&needed-info.xml; +&minimum-hardware-reqts.xml; +&non-debian-partitioning.xml; +&pre-install-bios-setup.xml; + +</chapter> diff --git a/fr/using-d-i/components.xml b/fr/using-d-i/components.xml new file mode 100644 index 000000000..51d461d72 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/components.xml @@ -0,0 +1,159 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29895 --> + + <sect1 id="module-details"> + <title>Utilisation des composants</title> +<para> + +Dans cette section, nous décrirons en détail chaque composant de +l'installateur. Ces composants sont groupés en étapes reconnaissables par les +utilisateurs. Ils sont présentés selon l'ordre d'apparition dans le +processus d'installation. Notez que les modules ne sont pas tous utilisés dans +toutes les installations. Leur utilisation dépend du matériel et du +type d'installation choisi. +</para> + + <sect2 id="di-setup"> + <title>L'installateur Debian et la configuration du matériel</title> +<para> + +Supposons que l'installateur Debian a démarré et vous propose son +premier écran. Les fonctionnalités de l'installateur sont à ce moment très +limitées. Il ne connaît pas votre matériel, la langue voulue, ni même ce qu'il +doit faire. Ne vous inquiétez pas ! L'installateur est un programme +intelligent qui peut explorer votre matériel, trouver ses composants et se +transformer en un système d'installation opérationnel. + +Cependant certaines valeurs comme la langue choisie, la carte clavier ou +le miroir sur le réseau qui ne peuvent être automatiquement déterminées, +doivent lui être données. +</para> + +<para> +Il faut noter que l'installateur procède à plusieurs détections de matériel +pendant +cette étape. La première recherche particulièrement le matériel nécessaire à +l'installation des composants de l'installateur (le lecteur de cédérom ou la +carte réseau par exemple). Comme tous les pilotes ne sont pas disponibles +lors de cette première recherche, d'autres détections de matériel seront +nécessaires. +</para> + +&module-lowmem.xml; +&module-languagechooser.xml; +&module-countrychooser.xml; +&module-localechooser.xml; +&module-kbd-chooser.xml; +&module-s390-netdevice.xml; +&module-ddetect.xml; +&module-cdrom-detect.xml; +&module-iso-scan.xml; +&module-anna.xml; +&module-netcfg.xml; +&module-choose-mirror.xml; + + </sect2> + + <sect2 id="di-partition"> + <title>Partitionnement et points de montage</title> +<para> + +Après la dernière détection de matériel, l'installateur est pleinement +opérationnel et connaît les besoins de l'utilisateur. + +Comme l'indique le titre de cette section, la tâche des composants de cette +étape est de partitionner les disques, créer les systèmes de fichiers et +déclarer les points de montage. Des tâches proches, comme la configuration de +périphériques LVM ou RAID, peuvent aussi être menées à bien. + +</para> + +&module-s390-dasd.xml; +&module-partman.xml; +&module-autopartkit.xml; +&module-partitioner.xml; +&module-partconf.xml; +&module-lvmcfg.xml; +&module-mdcfg.xml; + </sect2> + + <sect2 id="di-install-base"> + <title>L'installation du système de base</title> +<para> + +Quoique cette étape de l'installation soit la moins problématique, elle +consomme la plus grande partie du temps d'une installation ; elle +télécharge, vérifie et dépaquette tous les paquets du système de base. Si +votre ordinateur est lent ou si vous utilisez une connexion réseau, cela peut +prendre du temps. + +</para> + +&module-base-installer.xml; + + </sect2> + + <sect2 id="di-make-bootable"> + <title>Rendre le système amorçable</title> + + +<para condition="supports-nfsroot"> + +Si vous installez Debian sur un poste de travail sans disque, amorcer le +disque n'est pas une option valable et cette étape sera évitée. +<phrase arch="sparc">Il est possible de régler l'<quote>OpenBoot</quote> pour +qu'il s'amorce sur le réseau : voyez <xref linkend="boot-dev-select-sun"/>.</phrase> +</para> + +<para> +Il faut remarquer que la possibilité d'amorcer différents systèmes sur une +seule machine relève encore de la magie noire. Ce document ne se veut pas +une information sur les programmes d'amorçage qui sont différents d'une +architecture à l'autre. Voyez la documentation propre à votre programme +d'amorçage. +</para> + +&module-os-prober.xml; +&module-alpha-aboot-installer.xml; +&module-hppa-palo-installer.xml; +&module-i386-grub-installer.xml; +&module-i386-lilo-installer.xml; +&module-ia64-elilo-installer.xml; +&module-mips-arcboot-installer.xml; +&module-mipsel-colo-installer.xml; +&module-mipsel-delo-installer.xml; +&module-powerpc-yaboot-installer.xml; +&module-powerpc-quik-installer.xml; +&module-s390-zipl-installer.xml; +&module-sparc-silo-installer.xml; +&module-nobootloader.xml; + </sect2> + + <sect2 id="di-finish"> + <title>Comment terminer la première étape ?</title> +<para> + +Voici les dernières choses à faire avant de relancer la machine pour amorcer +votre système Debian. Cela consiste essentiellement à faire un nettoyage +après le travail de l'installateur. + +</para> + +&module-prebaseconfig.xml; + </sect2> + + <sect2 id="di-miscellaneous"> + <title>Divers</title> +<para> + +Les composants suivants ne participent pas au processus d'installation, ils +attendent en silence que l'utilisateur ait besoin d'aide. + +</para> +&module-save-logs.xml; +&module-cdrom-checker.xml; +&module-shell.xml; +&module-network-console.xml; +&module-baseconfig.xml; + </sect2> + </sect1> diff --git a/fr/using-d-i/modules/alpha/aboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/alpha/aboot-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..978b04ffd --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/alpha/aboot-installer.xml @@ -0,0 +1,18 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 25496 --> + + <sect3 arch="alpha"> + <title>Installer <command>aboot</command> sur un disque dur.</title> +<para> + +Si vous avez démarré depuis SRM, et si vous choisissez cette option, +l'installateur écrira le programme <command>aboot</command> sur le +premier secteur du disque où vous avez installé Debian. Faites +<emphasis>très</emphasis> attention, il <emphasis>n'est pas</emphasis> +possible de démarrer plusieurs systèmes d'exploitation comme GNU/Linux, +Free/Open/NetBSD, OSF/1 (Digital Unix, Tru64 Unix), ou OpenVMS +depuis le même disque. Si un autre système d'exploitation est installé +sur le disque où est Debian, vous devrez démarrer Debian depuis une disquette. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/anna.xml b/fr/using-d-i/modules/anna.xml new file mode 100644 index 000000000..84545cc82 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/anna.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml b/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml new file mode 100644 index 000000000..84545cc82 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..07fa89fa3 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml @@ -0,0 +1,31 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect3 id="base-installer"> + <title>Installation du système de base</title> + +<para> + +Pendant l'installation du système de base, les messages concernant le +dépaquetage et la configuration des paquets sont redirigés sur +<userinput>tty3</userinput>. On peut accéder à ce terminal en faisant +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F3</keycap></keycombo> ; +et l'on revient au processus principal avec +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F1</keycap></keycombo>. + + +</para><para> + +Les messages concernant le dépaquetage et la configuration des paquets +produits par le processus d'installation sont enregistrés dans le fichier +<filename>/var/log/messages</filename> quand l'installation se fait +à travers une console série. + +</para> +<para> +Le noyau Linux fait partie de l'installation. Avec la priorité par défaut, +l'installateur choisira le noyau qui correspond le mieux à votre matériel. +Avec les prioritée les plus basses, vous pourrez en choisir un dans une liste. +</para> + </sect3> + diff --git a/fr/using-d-i/modules/baseconfig.xml b/fr/using-d-i/modules/baseconfig.xml new file mode 100644 index 000000000..2e49d8fb8 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/baseconfig.xml @@ -0,0 +1,15 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29903 --> + +<sect3 id="baseconfig"> +<title>Executer <command>base-config</command> depuis l'installateur</title> +<para> + +Il est possible de configurer le système de base pendant la première partie +de l'installation (avant de redémarrer à partir du disque dur), en exécutant +<command>base-config</command> dans un environnement <firstterm>chroot</firstterm>. +Cela sert principalement à tester l'installateur. Normalement, il faut éviter de le faire. +<!-- n'hésitez pas à me contredire --> + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml b/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml new file mode 100644 index 000000000..49e514a61 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14337 -->
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml b/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml new file mode 100644 index 000000000..84545cc82 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml b/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml new file mode 100644 index 000000000..de75f14c8 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml @@ -0,0 +1,17 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 16990 --> + +<!-- +- Component is only selected and executed if the installer needs to load + installer components or the base system from the network + (either local or the internet). +- This means you first have to configure a network interface. +- A list of countries is displayed with the default based on the country you + selected earlier. +- Note that not all mirrors are equal (see http://www.nl.debian.org/mirror/list) +- Selection of a local mirror (at top of the list: manual selection). +- After selecting a country, a list of mirrors in the country will be shown. + +- The selected mirror will be tested. +- How to handle problems with mirrors. +--> diff --git a/fr/using-d-i/modules/countrychooser.xml b/fr/using-d-i/modules/countrychooser.xml new file mode 100644 index 000000000..8fb37f1e4 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/countrychooser.xml @@ -0,0 +1,25 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28343 --> + + + <sect3 id="country-chooser" condition="sarge" ><title>Choix du pays</title> +<para> + +Si vous choisissez dans <xref linkend="lang-chooser"/> une langue qui +est parlée dans plus d'un pays (comme le chinois, l'anglais, le +français ou d'autres langues), vous pouvez choisir le pays ici. Si vous +choisissez <guimenuitem>Autre</guimenuitem> à la fin de la liste, vous +aurez une liste de tous les pays regroupés par continent. + +</para><para> + +Ce choix sera utilisé plus tard pendant l'installation pour configurer +votre fuseau horaire et le miroir Debian correspondant à votre zone +géographique. Si les choix par défaut proposés par l'installateur ne sont +pas appropriés, vous pouvez faire un choix différent. Le choix du pays et +de la langue influent sur le paramétrage des locales de votre nouveau +système Debian. + +</para> + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml b/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml new file mode 100644 index 000000000..3e80b9919 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..11daec5f5 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14602 --> + + <sect3 arch="hppa"> + <title>Installer <command>palo</command></title> +<para> + +Le programme d'amorçage sur PA-RISC est <quote>palo</quote>. +<command>PALO</command> est dans sa configuration +et son utilisation similaire à <command>LILO</command> à quelques +différences près. <command>PALO</command> vous permet +de démarrer n'importe quel noyau présent sur votre partition de +démarrage. Car <command>PALO</command> est capable de lire les +partitions Linux. + +</para><para condition="FIXME"> + +hppa FIXME ( need more info ) + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/i386/grub-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/i386/grub-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..b98b612ea --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/i386/grub-installer.xml @@ -0,0 +1,22 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 18640 --> + +<sect3 arch="i386"> +<title>Installer le programme d'amorçage <command>Grub</command> sur un disque +dur</title> + +<para> +Le principal programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>grub</quote>. +Grub est un programme souple et stable, il constitue un bon choix pour les +débutants aussi bien que pour les gens expérimentés. +</para> +<para> +Par défaut, il sera installé sur le secteur principal d'amorçage (MBR) d'où +il prendra un contrôle total sur le processus d'amorçage. Mais vous pouvez +l'installer ailleurs. Voyez le manuel pour des informations complètes. +</para> +<para> +Si vous ne voulez pas installer grub, utilisez le bouton <quote>Back</quote> +pour aller sur le menu principal et choisissez un autre programme d'amorçage. +</para> +</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/i386/lilo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/i386/lilo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..2ec21c38e --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/i386/lilo-installer.xml @@ -0,0 +1,63 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 22935 --> + + <sect3 arch="i386"> +<title>Installer le programme d'amorçage <command>LILO</command> +sur un disque dur</title> + +<para> +Le deuxième programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>LILO</quote>. +C'est un vieux programme complexe qui offre beaucoup de fonctions, +notamment la gestion de l'amorçage de DOS, Windows et OS/2. Lisez +attentivement les instructions dans le répertoire +<filename>/usr/share/doc/lilo/</filename> si vous avez des besoins +particuliers. Voyez aussi le <ulink url="&url-lilo-howto;">LILO mini-HOWTO</ulink>. +</para> +<note><para> + +L'installation de LILO crée seulement des entrées pour les systèmes +d'exploitation qui peuvent être +<firstterm>« chainloaded »</firstterm>. +Cela signifie que vous aurez à ajouter vous-même une entrée pour les +systèmes tels que GNU/Linux et GNU/Hurd après l'installation. +</para></note> + +<para> +L'installateur propose trois endroits où installer <command>LILO</command> : +<variablelist> +<varlistentry> +<term>Le secteur principal d'amorçage (MBR)</term><listitem><para> + +De cette façon, <command>LILO</command> contrôlera totalement le processus +d'amorçage. +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term>une nouvelle partition Debian</term><listitem><para> + +Choisissez cette option si vous voulez utiliser un autre programme d'amorçage. +<command>LILO</command> s'installera au début de cette nouvelle partition et +servira de second programme d'amorçage. +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term>Autre choix</term><listitem><para> + +Cette option est utile aux experts qui veulent installer +<command>LILO</command> ailleurs. Dans ce cas, on vous demandera où. +Vous pouvez utiliser des noms style devfs, qui commencent comme +<filename>/dev/ide</filename>, <filename>/dev/scsi</filename> ou +<filename>/dev/discs</filename> ; vous pouvez aussi utiliser les noms +traditionnels, comme <filename>/dev/hda</filename> ou <filename>/dev/sda</filename>. +</para></listitem></varlistentry> +</variablelist> +</para> +<para> +Si vous ne pouvez plus amorcer Windows 9x (ou DOS) après cette étape, +vous devrez utiliser le disque de Windows 9x (MS-DOS) ou utiliser la +commande <userinput>fdisk /mbr</userinput> pour réinstaller le secteur +d'amorçage principal MS-DOS. Cependant vous devrez revenir à Debian par un +autre moyen ! Voyez la <xref linkend="reactivating-win"/> pour d'autres +informations sur le sujet. +</para> +</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..46fe3637d --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml @@ -0,0 +1,121 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24321 --> + +<sect3 arch="ia64"> +<title>Installation du programme d'amorçage <command>ELILO</command> sur un disque dur</title> +<para> +Le programme d'amorçage pour &architecture; est appelé <quote>elilo</quote>. +Il est conçu sur le modèle du programme d'amorçage <quote>lilo</quote> pour +l'architecture x86 et il utilise un fichier de configuration semblable. +Cependant, il n'écrit pas sur le secteur principal d'amorçage d'un disque ou +d'une partition ; il copie les fichiers nécessaires sur une partition +FAT distincte et modifie le menu du +<guimenuitem>gestionnaire d'amorçage EFI</guimenuitem> dans le firmware pour +qu'il pointe vers les fichiers de la partition EFI. Le programme +<command>elilo</command> a réellement deux parties. La commande +<filename>/usr/sbin/elilo</filename> gère la partition et copie les fichiers. +Le programme <filename>elilo.efi</filename> est copié dans la partition EFI et +il est exécuté par le <quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> dans le but +de charger et lancer le noyau Linux. +</para> +<para> +La configuration et l'installation du programme <quote>elilo</quote> sont +faites dans la dernière étape de l'installation des paquets de base. +L'installateur affichera une liste de partitions EFI possibles. Choisissez la +partition que vous avez définie plus tôt dans le processus d'installation, par +exemple une partition sur le disque qui contient le système de fichiers racine. +</para> + +<warning><title>Choisissez la bonne partition !</title> +<para> +Cette partition doit posséder un système de fichiers FAT et le drapeau +<emphasis>boot</emphasis> doit être mis. L'installateur peut afficher plusieurs +partitions selon ce qu'il a trouvé sur tous les disques du système, comme des +partitions EFI d'autres systèmes ou des partitions de diagnostic EFI. +N'oubliez pas que le programme <command>elilo</command> peut formater la +partition pendant l'installation et effacer toutes les données ! +</para></warning> +</sect3> + + <sect3 arch="ia64"> + <title>Le contenu de la partition EFI</title> + +<para> + +La partition EFI est une partition avec un système de fichiers de type FAT +sur l'un des disques du système ; habituellement c'est le disque qui +contient le système de fichiers racine. Elle n'est pas montée sur un système +en fonctionnement car seul le <quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> en +a besoin pour charger le système. Et la partie installation du programme +<command>elilo</command> écrit directement sur le système de fichiers. +Pendant l'installation, le programme <command>/usr/sbin/elilo</command> écrit +les fichiers suivants dans le répertoire <filename>efi/debian</filename> qui +se trouve sur la partition EFI. Il faut remarquer que le +<quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> cherchera ces fichiers en utilisant +le chemin <filename>fs<replaceable>n</replaceable>:\efi\debian</filename>. +Il peut exister d'autres fichiers dans ce système car avec le temps +le système est mis à jour ou reconfiguré. + +</para> + +<variablelist> + +<varlistentry> +<term><filename>elilo.conf</filename></term> +<listitem><para> + +Le programme d'amorçage lit ce fichier quand il démarre. +C'est une copie de <filename>/etc/elilo.conf</filename> où les noms ont été +changés pour désigner les fichiers dans la partition EFI. + +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term><filename>elilo.efi</filename></term> +<listitem><para> + +C'est le programme d'amorçage que lance le <quote>gestionnaire EFI</quote> +pour amorcer le système. L'élément <guimenuitem>Debian GNU/Linux</guimenuitem> +du menu <quote>gestionnaire EFI</quote> y fait appel. + +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term><filename>initrd.img</filename></term> +<listitem><para> + +C'est le système de fichiers racine initial qui sert à amorcer le noyau. +C'est aussi une copie du fichier référencé dans +<filename>/etc/elilo.conf</filename>. +Dans une installation standard Debian, ce serait le fichier dans le répertoire +<filename>/boot</filename>, pointé par le lien symbolique +<filename>/initrd.img</filename>. + +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term><filename>readme.txt</filename></term> +<listitem><para> + +C'est un petit fichier texte qui vous avertit que le contenu du répertoire +est géré par <command>elilo</command> et que tous les modifications locales +seront perdues la prochaine fois que <filename>/usr/sbin/elilo</filename> +sera relancé. + +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term><filename>vmlinuz</filename></term> +<listitem><para> + +C'est le noyau compressé. C'est aussi la copie du fichier référencé dans +<filename>/etc/elilo.conf</filename>. +Dans une installation standard Debian, ce serait le fichier dans le répertoire +<filename>/boot</filename>, pointé par le lien symbolique +<filename>/vmlinuz</filename>. + +</para></listitem></varlistentry> + +</variablelist> + + </sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml b/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml new file mode 100644 index 000000000..f099a6bec --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml @@ -0,0 +1,49 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 23058 --> + +<sect3 id="iso-scan"> + <title>Rechercher l'image ISO de l'installateur Debian </title> +<para> + +Quand vous faites une installation selon la méthode +<emphasis>hd-media</emphasis>, il arrive un moment où vous devez monter +l'image ISO de l'installateur Debian pour obtenir les autres fichiers +d'installation. C'est le programme <command>iso-scan</command> qui exécute +cette tâche. + +</para><para> + +Dans un premier temps, <command>iso-scan</command> monte automatiquement +tous les périphériques bloc (p. ex. les partitions) qui possèdent un +système +de fichiers connu et recherche les noms de fichiers qui se terminent par +<filename>.iso</filename> (ou <filename>.ISO</filename> pour notre exemple). +Il faut remarquer que la première recherche se fait dans le répertoire racine +et au premier niveau des sous-répertoires (c'est-à-dire que les fichiers +<filename>/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename> ou +<filename>/data/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename> seront +trouvés mais pas le fichier +<filename>/data/tmp/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename>). +Quand une image a été trouvée, <command>iso-scan</command> vérifie que c'est +bien une image iso de Debian. Si ce n'est pas le cas, +<command>iso-scan</command> cherche une autre image. + +</para><para> + +Quand <command>iso-scan</command> ne trouve pas d'image, le programme vous +demande si vous voulez faire une recherche plus approfondie. Cette fois-ci, +la recherche ne se contentera pas des répertoires de premier niveau, mais +elle traversera tout le système de fichiers. + +</para><para> + +Quand <command>iso-scan</command> n'a pas découvert l'image iso de +l'installateur, relancez le premier système d'exploitation et vérifiez que +le nom de l'image se termine bien par <filename>.iso</filename>, qu'elle se +trouve sur un système de fichier reconnu par l'installateur Debian et qu'elle +n'est pas +défectueuse (vérifiez la somme de contrôle). Les utilisateurs expérimentés +d'Unix peuvent faire ça sans redémarrer, dans la deuxième console. + +</para> +</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml b/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml new file mode 100644 index 000000000..67fbf7ffb --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml @@ -0,0 +1,70 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect3 id="kbd-chooser"><title>Choix du clavier</title> +<para> + +Les claviers sont souvent construits en raison des caractères utilisés dans +une langue. +Choisissez un clavier dont la carte répond à la langue de votre pays, ou +bien, si aucune carte clavier ne correspond à ce que vous voulez, choisissez +un clavier approchant. Quand l'installation sera terminée, +vous pourrez en choisir un avec la commande <command>kbdconfig</command>, +lancée en tant que superutilisateur, qui vous présentera un plus grand choix +de cartes clavier. + +</para><para> + +Illuminez l'élément clavier que vous voulez et appuyez sur la touche +&enterkey;. +Servez-vous pour cela des flèches de direction — elles se trouvent +au même endroit dans toutes les cartes clavier, et elles sont indépendantes de +la configuration du clavier. Un clavier <quote>étendu</quote> est un clavier +qui possède une rangée de touches <keycap>F1</keycap> à <keycap>F10</keycap>. + +</para><para arch="mipsel"> + +Sur les DECstations, il n'y a pas de carte clavier à charger, il faut donc +sauter cette étape et se contenter de la carte intégrée dans le noyau +(LK201 US). Cela pourrait changer car cela dépend du développement du noyau +Linux/MIPS. + +</para><para arch="powerpc"> + +Il y a deux cartes pour les claviers américains ; la carte +qwerty/mac-usb-us (Apple USB) installe la fonction Alt sur la touche +<keycap>Command/Apple</keycap> (qui se trouve près de la touche +<keycap>space</keycap>, semblable à <keycap>Alt</keycap> sur les claviers +des PC). La carte qwerty/us (Standard) installe la fonction Alt sur la touche +<keycap>Option</keycap>, marquée d'un 'alt' sur la plupart des claviers Mac. +Pour le reste, ces deux cartes sont identiques. +</para> + +<note arch="sparc"><para> + +Si votre machine possède un clavier Sun USB et que vous avez lancé +l'installateur avec le noyau 2.4, le clavier ne sera pas correctement +identifié. L'installateur vous proposera de choisir une des cartes pour clavier +de type Sun, mais le clavier ne fonctionnera pas. Avec le noyau 2.6, il n'y a +pas de problème. + +</para><para> + +Pour obtenir un clavier fonctionnel, vous devez lancer l'installateur avec +le paramètre <userinput>debconf/priority=medium</userinput>. + +Au moment de choisir un clavier <footnote> + +<para> +Si vous faites l'installation avec la priorité par défaut, vous devez +utiliser le bouton <userinput>Revenir en arrière</userinput> pour retourner +au menu quand vous voyez la liste des cartes pour clavier Sun. +</para></footnote>, + choisissez <quote>Aucun clavier à configurer</quote> si vous possédez un +clavier américain (US) ; dans les autres cas, choisissez +<quote>clavier USB</quote>. Choisir <quote>Aucun clavier à configurer</quote> +conserve la carte du noyau, ce qui est correct pour les claviers américains. +</para></note> + + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/languagechooser.xml b/fr/using-d-i/modules/languagechooser.xml new file mode 100644 index 000000000..535cbb91b --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/languagechooser.xml @@ -0,0 +1,23 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28343 --> + + + <sect3 id="lang-chooser" condition="sarge"><title>Choix de la langue</title> +<para> + +Le choix de la langue dans laquelle vous voulez faire l'installation est la +première étape du processus d'installation. +Les noms des langues sont affichés en anglais (côté gauche) et dans la langue +elle-même (côté droit). Les noms sur la droite sont aussi affichés avec leur +propre script. La liste est triée selon les noms anglais. + +</para><para> + +L'installation se fera dans la langue choisie, à condition que la traduction +des dialogues existe. Quand il n'existe pas de traduction pour la langue +choisie, l'installateur parlera anglais. La langue choisie sert aussi au +choix d'une carte clavier correspondante. + +</para> + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml b/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml new file mode 100644 index 000000000..1b21cb071 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml @@ -0,0 +1,62 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28856 --> + + <sect3 id="localechooser" condition="etch"> + <title>Choix des paramètres régionaux</title> + +<para> + +Les premières questions posées concernent le choix des paramètres régionaux qui +seront utilisés à la fois pour l'installation et pour le système à installer. +Ces paraamètres sont la langue, le pays et les locales. + +</para><para> + +L'installation se fera dans la langue choisie, à condition que la traduction +des dialogues existe. Quand il n'existe pas de traduction pour la langue +choisie, l'installateur parlera anglais. + +</para><para> + +Le pays choisi sera utilisé pendant l'installation pour configurer +votre fuseau horaire et le miroir Debian correspondant à votre zone +géographique. Le choix du pays et de la langue déterminent la locale +par défaut de votre système ainsi que le choix du clavier. + +</para><para> + +On vous demandera d'abord de choisir une langue. +Les noms des langues sont affichés en anglais (côté gauche) et dans la langue +elle-même (côté droit). Les noms sur la droite sont aussi affichés avec leur +propre script. La liste est triée selon les noms anglais. +Une option supplémentaire, au sommet de la liste, permet de choisir la locale +<quote>C</quote> au lieu d'une langue. L'installation se fera alors en anglais. +Le système qui sera installé ne sera pas localisé, puisque le paquet +<classname>locales</classname> n'aura pas été installé. + +</para><para> + + +Si vous avez choisi une langue qui n'est pas reconnue comme la langue +officielle d'au moins deux pays <footnote> + +<para> + +Techniquement parlant : plusieurs locales existent pour cette langue avec des codes de pays +différents. + +</para> + +</footnote>, on vous demandera de choisir un pays. +Si vous avez choisi <guimenuitem>Autre</guimenuitem>, au bas de la liste, +vous verrez une liste de tous les pays, classés par continent. +Si à cette langue n'est associé qu'un pays, ce pays sera choisi automatiquement. + +</para><para> + +Une locale par défaut sera choisie à partir de la langue et du pays sélectionnés. +Si la priorité d'installation est « medium » ou « low », vous pourrez sélectionner +une autre locale par défaut, ou créer d'autres locales pour le système à installer. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml b/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml new file mode 100644 index 000000000..2f0477e2a --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 16990 --> + +<sect3 id="lowmem"> + <title>Vérification de la mémoire disponible</title> + +<para> + +L'une des premières tâches effectuées par l'installateur est la vérification +de la mémoire disponible. Si la mémoire disponible est insuffisante, +le processus d'installation sera modifié pour permettre avec un peu +de chance l'installation de &debian; sur votre machine. + +</para><para> + +Lors de l'installation sur un système n'ayant pas suffisamment de mémoire, +tous les composants ne seront pas disponibles. L'une des limitations est +que vous ne pourrez pas choisir la langue pour l'installation. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/lvmcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/lvmcfg.xml new file mode 100644 index 000000000..9650d945d --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/lvmcfg.xml @@ -0,0 +1,89 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30207 --> + +<sect3 id="lvmcfg"> + <title>Configuration du <quote>Logical Volume Manager</quote> (LVM)</title> +<para> + +Si vous travaillez sur les ordinateurs comme administrateur système ou +si vous êtes un utilisateur <quote>avancé</quote>, vous avez sûrement +rencontré le cas suivant : une partition qui manque d'espace libre +(c'est habituellement la plus importante du système) et une partition +grossièrement sous-utilisée, la gestion de cette situation ayant consisté +en déplacement de fichiers, création de liens symboliques, etc. +</para> +<para> +Pour éviter cette situation, on peut utiliser un gestionnaire de volumes +logiques, <quote>Logical Volume Manager</quote> (LVM). Dit simplement, +avec LVM vous pouvez combiner vos partitions +(<firstterm>volumes physiques</firstterm> dans le lexique LVM) pour former +un disque virtuel (<firstterm>groupe de volumes</firstterm>) qui peut être +divisé en partitions virtuelles (<firstterm>volumes logiques</firstterm>). +L'idée est que les volumes logiques s'étendent sur plusieurs disques physiques. +</para> +<para> +Dès lors, quand vous constatez que votre vieille partition +<filename>/home</filename> de 160 Go a besoin d'espace, vous pouvez +simplement ajouter un disque de 300 Go à votre machine, l'intégrer au +groupe de volumes existant et redimensionner le volume logique qui comprend +la partition <filename>/home</filename> et voilà, vos utilisateurs ont +de nouveau de la place sur la partition de 460 Go ! +Cet exemple est bien sûr un peu simplifié. Si vous ne l'avez pas encore lu, +vous devriez consulter le +<ulink url="&url-lvm-howto;">HOWTO LVM</ulink>. +</para> +<para> +La configuration de LVM dans l'installateur debian est très simple. D'abord, +vous devez marquer les partitions à utiliser comme volumes physiques par +LVM. Cela se fait avec <command>partman</command> dans le menu +<guimenu>Partition settings</guimenu>, où vous choisissez +<menuchoice><guimenu>Use as:</guimenu> +<guimenuitem>volume physique pour LVM</guimenuitem></menuchoice>. +Puis, vous lancez le module <command>lvmcfg</command> (soit directement dans +<command>partman</command>, soit dans le menu principal de l'installateur) et +vous combinez les volumes physiques dans un groupe de volumes dans le menu +<guimenuitem>Modifier les groupes de volumes</guimenuitem>. Enfin vous +devez créer les volumes logiques au dessus des groupes de volumes dans le +menu <guimenuitem>Modifier les volumes logiques</guimenuitem>. + +<note arch="powerpc" condition="sarge"><para> +Il n'existe pas de standard unanimement accepté pour identifier les partitions +de type LVM sur les Apple Power Macintosh et la procédure décrite précédemment +pour créer les volumes et les groupes de volumes ne fonctionne pas. +Il existe cependant, quand on connaît les outils LVM, une manière de faire. + +</para><para> + +Pour installer Debian sur un Power Macintosh en utilisant des volumes logiques, +vous devez créer les partitions pour les volumes logiques. Dans le menu +<guimenu>Paramétres des partitions</guimenu>, vous devez choisir +<menuchoice><guimenu>Utiliser comme :</guimenu> <guimenuitem>Ne pas utiliser</guimenuitem></menuchoice> pour ces partitions (l'option <quote>utiliser la partition +comme volume logique</quote> n'est pas proposée). Quand vous avez créé toutes +vos partitions, vous pouvez lancer le gestionnaire des volumes logiques. Mais +comme aucun volume n'a été créé, vous devez aller sur la deuxième console, +voyez <xref linkend="shell"/>, et créer vous-même les volumes. + +</para><para> + +Pour créer un volume physique sur chacune de vos partitions, vous pouvez +utiliser la commande <command>pvcreate</command> à l'invite de l'interpréteur +de commande. Pour créer un groupe de volumes, utilisez la commande +<command>vgcreate</command>. Vous pouvez sans problème ignorer les messages +d'erreur à propos de <quote>incorrect metadata area header checksums and +fsync failures</quote>. Quand vous avez terminé, vous pouvez revenir sur la +première console et passer directement au menu <command>lvmcfg</command> pour +la gestion des volumes logiques. Vous verrez les groupes de volumes et vous +pourrez créer les volumes logiques dont vous avez besoin. +</para></note> + +</para> + +<para> + +Quand vous aurez quitté <command>lvmcfg</command>, vous verrez dans +<command>partman</command> tous les volumes logiques créés comme si c'étaient +de simples partitions, et vous devez les traiter ainsi. +</para> +</sect3> + + diff --git a/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml new file mode 100644 index 000000000..bf6f817b8 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml @@ -0,0 +1,208 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30377 --> + +<sect3 id="mdcfg"> + <title>Configuration d'un périphérique à plusieurs disques (RAID logiciel)</title> +<para> +Si vous avez plusieurs disques durs <footnote><para> + +Pour être honnête, on peut construire un périphérique à plusieurs disques +même avec les partitions d'un seul disque, mais ça n'apporte pas grand chose. +</para></footnote> + +sur votre machine, vous pouvez utiliser <command>mdcfg</command> pour +obtenir de vos disques de meilleures performances et une meilleure fiabilité de +vos données. Le résultat est un périphérique à plusieurs disques, +<firstterm>Multidisk Device</firstterm>, ou <firstterm>RAID logiciel</firstterm>. +</para> +<para> +Un périphérique à plusieurs disques n'est qu'un ensemble de partitions +situées sur différents disques mais réunies pour former un périphérique +<emphasis>logique</emphasis>. Ce périphérique peut alors être utilisé comme +une simple partition, c'est-à-dire une partition qu'on peut monter et +formater avec <command>partman</command>. +</para> +<para> +Ce que vous gagnez dépend du type de périphérique créé. Voici ceux qui +sont reconnus : +<variablelist> +<varlistentry> + +<term>RAID0</term><listitem><para> +Ce type vise principalement la performance. RAID0 divise toutes les données +entrantes en <firstterm>bandes</firstterm> et les distribue également sur +tous les disques. Cela peut augmenter la vitesse des opérations d'écriture et +de lecture, mais si l'un des disques a un problème, vous perdez +<emphasis>tout</emphasis> : une partie des informations est encore sur +les disques sains, mais l'autre <emphasis>était</emphasis> sur le disque +défectueux. +</para> +<para> +L'usage standard de RAID0 est une partition pour du travail vidéo. +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>RAID1</term><listitem><para> +Ce type est adapté là où la fiabilité est le premier souci. Il consiste en +plusieurs partitions de même taille (deux, habituellement) qui contiennent +exactement les mêmes données. Cela signifie essentiellement trois choses. +Premièrement, si l'un des disques a un problème, les données sont encore sur +les autres disques. Deuxièmement, vous pouvez utiliser une partie seulement +de la capacité disponible, précisément, la taille de la partition la plus +petite du RAID. Troisièmement, la charge de lecture des fichiers est +répartie entre tous les disques, ce qui peut améliorer les performances d'un +serveur, notamment les serveurs de fichiers où les lectures sont +plus nombreuses que les écritures de fichiers. +</para> +<para> +Vous pouvez aussi avoir un disque de rechange qui prendra la place du disque +défectueux en cas de problème. + </para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>RAID5</term><listitem><para> +Ce type est un bon compromis entre vitesse, fiabilité et redondance des +données. RAID5, comme RAID0, divise toutes les données entrantes en bandes et +les distribue également sur tous les disques. Mais contrairement à RAID0, RAID5 +calcule aussi l'information de <firstterm>parité</firstterm>, qui est écrite +sur le disque restant. Le disque de parité n'est pas fixe (ce serait RAID4), il +change périodiquement et ainsi l'information de parité est distribuée également +sur tous les disques. Quand l'un des disques s'arrête, la partie manquante des +données peut être calculée avec les données restantes et la parité. RAID5 doit +comporter au moins trois partitions actives. Vous pouvez aussi avoir un disque +de rechange qui prendra la place du disque défectueux en cas de problème. +</para> +<para> +Comme vous le voyez, RAID5 est aussi fiable que RAID1 tout en évitant de la +redondance. D'un autre côté, il sera un tout petit peu moins rapide dans les +opérations d'écriture que RAID0, à cause du calcul de l'information de +parité. +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +Pour résumer : + +<informaltable> +<tgroup cols="5"> +<thead> +<row> + <entry>Type</entry> + <entry>Nombre minimum de disques</entry> + <entry>Disque de rechange</entry> + <entry>Supporte l'échec d'un disque ?</entry> + <entry>Espace disponible</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>RAID0</entry> + <entry> 2</entry> + <entry>non</entry> + <entry>non</entry> + <entry>Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des périphériques dans le RAID</entry> +</row> + +<row> + <entry>RAID1</entry> + <entry> 2</entry> + <entry>facultatif</entry> + <entry>oui</entry> + <entry>Taille de la plus petite partition dans le RAID</entry> +</row> + +<row> + <entry>RAID5</entry> + <entry> 3</entry> + <entry>facultatif</entry> + <entry>oui</entry> + <entry> + Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des +périphériques dans le RAID moins un. + </entry> +</row> + +</tbody></tgroup></informaltable> +</para> + +<para> +Si vous voulez tout savoir sur le RAID logiciel, lisez le +<ulink url="&url-software-raid-howto;">HOWTO sur le RAID logiciel</ulink>. + +<note arch="powerpc" condition="sarge"><para> + +Il n'existe pas de norme communément acceptée pour l'identification des +partitions contenant des données RAID sur du matériel Apple Power Macintosh. +Cela signifie que l'installateur Debian ne peut pour l'instant configurer du +RAID logiciel sur cette plateforme. + +</para></note> + +</para> +<para> +Pour créer un périphérique à plusieurs disques, vous devez préparer les +partitions nécessaires. Vous pouvez le faire avec <command>partman</command>, +dans le menu <guimenu>Définitions des partitions</guimenu> où vous +choisirez <menuchoice><guimenu>Utiliser comme :</guimenu> +<guimenuitem>volume physique pour RAID</guimenuitem> +</menuchoice> +</para> +<warning><para> +L'installateur gère le RAID logiciel depuis peu. Vous pourrez rencontrer +des problèmes, pour certains niveaux RAID et en combinaison avec les +programmes d'amorçage, si vous essayez d'utiliser un périphérique de ce type +pour la partition racine, <filename>/</filename>. Les experts pourront +sans doute contourner ces problèmes en exécutant certaines étapes de +configuration ou d'installation dans un shell. +</para></warning> +<para> +Ensuite, vous choisissez <guimenuitem>Configurer le RAID logiciel</guimenuitem> +dans le menu principal de <command>partman</command>. Dans le premier écran +de <command>mdcfg</command>, sélectionnez +<guimenuitem>Créer un périphérique à plusieurs disques</guimenuitem>. Une liste +des types acceptés pour ces périphériques est affichée et vous pouvez en +choisir un, par exemple RAID1. La suite dépend du type que vous avez choisi. +</para> + +<itemizedlist> +<listitem><para> +Le type RAID0 est simple. Une liste des partitions RAID disponibles est +présentée et tout ce que vous avez à faire est de choisir les partitions qui +composeront le périphérique. +</para></listitem> +<listitem><para> +Le type RAID1 est un peu plus compliqué. On vous demandera d'abord le nombre +de périphériques actifs et le nombre de périphériques de rechange qui +composeront le périphérique. Ensuite vous devrez choisir dans la liste des +partitions RAID celles qui seront actives et celles qui resteront en réserve. +Le nombre de ces partitions devra être égal à celui donné l'instant d'avant. +Mais, si vous n'indiquez pas le même chiffre, l'installateur ne vous laissera +pas continuer et vous demandera une correction. +</para></listitem> +<listitem><para> +RAID5 se configure comme RAID1, mais vous devez utiliser au moins trois +partitions actives. +</para></listitem> +</itemizedlist> + +<para> +Il est parfaitement possible d'avoir plusieurs types de périphériques en même +temps. Par exemple, avec trois disques durs de 200 Go, chacun contenant +deux partitions de 100 Go, vous pouvez créer un périphérique de type +RAID0 avec les premières partitions des trois disques, soit une partition +rapide de 300 Go pour le travail vidéo ; et vous pouvez combiner +les trois partitions restantes (deux actives, une de rechange) dans un +périphérique RAID1, soit une partition très fiable de 100 Go pour +<filename>/home</filename>. +</para> +<para> +Quand vous avez défini vos périphériques, vous pouvez choisir +<guimenuitem>Terminer</guimenuitem> <command>mdcfg</command> pour retourner +au menu de <command>partman</command> et créer les systèmes de fichiers et les +options habituelles comme les points de montage pour ces nouveaux +périphériques. +</para> +</sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..267581b9c --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml @@ -0,0 +1,60 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24663 --> + +<sect3 arch="mips"> + <title>Le programme <command>arcboot</command></title> +<para> +Le programme d'amorçage sur SGI Indy est <command>arcboot</command>. Il doit +être installé sur le disque où se trouve le noyau (c'est fait automatiquement +par l'installateur). Arcboot accepte différentes configurations, définies +dans <filename>/etc/arcboot.conf</filename>. Chaque configuration a son nom. +Celle créée par défaut s'appelle <quote>linux</quote>. Après l'installation +d'arcboot le système peut être amorcé depuis un disque dur en déclarant des +variables d'environnement pour le firmware : +<informalexample><screen> +<userinput> setenv SystemPartition scsi(<replaceable>scsi</replaceable>)disk(<replaceable>disk</replaceable>)rdisk(0)partition(0)</userinput> +<userinput> setenv OSLoadPartition scsi(<replaceable>scsi</replaceable>)disk(<replaceable>disk</replaceable>)rdisk(0)partition(<replaceable>partnr</replaceable>)</userinput> +<userinput> setenv OSLoader arcboot</userinput> +<userinput> setenv OSLoadFilename <replaceable>config</replaceable></userinput> +<userinput> setenv AutoLoad yes</userinput> +</screen></informalexample> + +à l'invite du firmware, puis en lançant <command>boot</command>. +</para> + +<variablelist> +<varlistentry> +<term> <replaceable>scsi</replaceable> </term> +<listitem><para> +est le périphérique SCSI où amorcer, c'est <userinput>0</userinput> sur +les contrôleurs intégrés ; +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>disk</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est l'ID du disque dur où se trouve <command>arcboot</command> ; +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>partnr</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est le numéro de la partition où se trouve +<filename>/etc/arcboot.conf</filename> ; + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>config</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est le nom de la configuration dans <filename>/etc/arcboot.conf</filename>, +qui est par défaut <quote>linux</quote>. + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..caffc4dfe --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14337 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/mipsel/delo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mipsel/delo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..a0ec01cba --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/mipsel/delo-installer.xml @@ -0,0 +1,73 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24663 --> + + + <sect3 arch="mipsel"> + <title>Installer <command>delo</command></title> +<para> + +Le programme d'amorçage pour les DECstations est <command>DELO</command>. +Il doit être installé sur le même disque que le noyau (l'installateur Debian +l'installe automatiquement). DELO accepte différentes configurations, +définies dans le fichier <filename>/etc/delo.conf</filename>. Chaque configuration +possède un nom unique. Le nom par défaut créé par l'installateur est +<quote>linux</quote>. Après l'installation de DELO, vous pouvez amorcer le +système depuis le disque dur en entrant la commande : + +<informalexample><screen> +<userinput>boot <replaceable>#</replaceable>/rz<replaceable>id</replaceable> <replaceable>partnr</replaceable>/<replaceable>name</replaceable></userinput> +</screen></informalexample> + +à l'invite du microcode (<emphasis>firmware</emphasis>) +</para> + +<variablelist> +<varlistentry> +<term> <replaceable>#</replaceable> </term> +<listitem><para> +est le périphérique TurboChannel sur lequel on démarre ; sur la plupart +des DECstations cette valeur est <userinput>3</userinput> pour le contrôleur +intégré à la carte. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>id</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est l'ID SCSI du disque dur sur lequel <command>DELO</command> est +installé. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>partnr</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est le numéro de la partition où l'on peut trouver le fichier +<filename>/etc/delo.conf</filename>. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>name</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est le nom de la configuration dans le fichier <filename>/etc/delo.conf</filename>, +par défaut c'est <quote>linux</quote>. + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +<para> +Dans le cas où le fichier <filename>/etc/delo.conf</filename> est sur +la première partition du disque, et que l'on veuille lancer la +configuration par défaut, il suffit de saisir : + +<informalexample><screen> +<userinput>boot #/rz<replaceable>id</replaceable></userinput> +</screen></informalexample> + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml new file mode 100644 index 000000000..f20b344fd --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml @@ -0,0 +1,49 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 23058 --> + +<sect3 id="netcfg"> + <title>Configuration du réseau</title> + +<para> +Pour cette étape, si l'installateur détecte plusieurs interfaces réseau, vous +devrez indiquer quelle est la principale, c'est-à-dire celle que vous voulez +utiliser pour l'installation. Les autres interfaces ne seront pas configurées +à ce moment. Vous pourrez les configurer une fois l'installation terminée. +Voyez la page du manuel <citerefentry><refentrytitle>interfaces</refentrytitle> <manvolnum>5</manvolnum></citerefentry>. +</para> +<para> +L'installateur essaie d'abord de configurer automatiquement le réseau avec DHCP. +Si le test DHCP réussit, tout est fait. Si le test échoue, il peut y avoir +plusieurs raisons, un câble mal branché, un serveur DHCP mal configuré. Ou bien +votre réseau ne possède pas de serveur DHCP. Lisez les messages d'erreur sur la +troisième console pour d'autres explications. Dans tous les cas, on vous +demandera si vous voulez réessayer ou si vous voulez configurer vous-même le +réseau. Les serveurs DHCP sont parfois très lents et si vous êtes sûr que tout +est en place, réessayez. +</para> +<para> +Si vous configurez vous-même le réseau, on vous demandera +l'<computeroutput>adresse IP</computeroutput> de votre machine, le +<computeroutput>masque réseau</computeroutput>, l'adresse de la +<computeroutput>passerelle</computeroutput>, les +<computeroutput>adresses des serveurs de noms</computeroutput> et le +<computeroutput>nom de la machine</computeroutput>. +De plus, si vous possédez une interface pour réseau sans fil, on vous +demandera le nom <computeroutput>ESSID</computeroutput> du réseau et la +<computeroutput>clé WEP</computeroutput>. Pour ces réponses, voyez +<xref linkend="needed-info"/>. +</para> +<note><para> +Voici quelques précisions techniques que vous trouverez, ou non, utiles : +Le programme suppose que l'adresse IP du réseau est le résultat d'un +<quote>ET logique</quote> entre l'adresse de la machine et l'adresse du +masque réseau. L'adresse <quote>broadcast</quote> sera le résultat d'un +<quote>OU logique</quote> entre l'adresse de la machine et la négation +logique du masque réseau. Si vous ne connaissez aucune de ces valeurs, +utilisez les valeurs proposées par l'installateur. Vous pourrez les +modifier quand le système aura été installé, en modifiant le fichier +<filename>/etc/network/interfaces</filename>. Vous pouvez aussi installer le +paquet <classname>etherconf</classname> qui vous aidera dans la configuration +de votre réseau. +</para></note> +</sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/network-console.xml b/fr/using-d-i/modules/network-console.xml new file mode 100644 index 000000000..2a2d3abce --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/network-console.xml @@ -0,0 +1,103 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30086 --> + + <sect3 id="network-console"> + <title>Installation par le réseau</title> + +<para arch="not-s390"> + +L'un des composants les plus intéressants est +<firstterm>network-console</firstterm>. Il permet de faire une installation +grâce au réseau avec SSH. L'utilisation du réseau implique que vous devez effectuer +les premières étapes de l'installation à partir de la console, jusqu'à la configuration +du réseau. Mais vous pouvez automatiser le processus, voyez +<xref linkend="automatic-install"/>. + +</para><para arch="not-s390"> + +Ce composant n'est pas chargé automatiquement et il vous faut le demander explicitement. + +Si vous faites une installation à partir d'un cédérom, vous devez amorcer avec la priorité +medium ou appeler le menu principal de l'installateur et choisir <guimenuitem>Chargement +des composants de l'installateur à partir d'un cédérom</guimenuitem> puis, choisir sur la +liste des composants supplémentaires <guimenuitem>network-console: Continuer +l'installation depuis une machine distante avec SSH</guimenuitem>. Si le chargement a réussi, +une nouvelle entrée appelée <guimenuitem>Continuer l'installation depuis une machine distante +avec SSH</guimenuitem> apparaît. + +</para><para arch="s390"> + +Les installations sur &arch-title; se font selon cette méthode après la configuration du +réseau. + +</para><para> + +<phrase arch="not-s390">Quand vous avez sélectionné cette nouvelle entrée, on</phrase> +<phrase arch="s390">On</phrase> vous demande le mot de passe qui servira à se connecter +au système d'installation, ainsi que sa confirmation. Et c'est tout. +Vous devez voir maintenant un écran qui vous indique comment accéder à la machine distante +en tant qu'utilisateur <emphasis>installer</emphasis> avec le mot de passe que vous venez +de donner. Un point important à noter dans cet écran est l'empreinte du système. +Vous devez transférer de façon sécurisée cette empreinte à la <quote>personne qui continuera +l'installation à distance</quote>. + +</para><para> + +Si vous décidiez de continuer l'installation localement, vous pourrez toujours appuyer sur +la touche &enterkey;, qui vous ramènera au menu principal où vous pourrez choisir +un autre composant. + +</para><para> + +Passons maintenant à l'autre bout du câble. Vous devez tout d'abord configurer +votre terminal avec le codage UTF-8 car c'est le codage utilisé par le système +d'installation. Si vous n'utilisez pas ce codage, l'installation à distance sera +possible mais vous risquez de rencontrer d'étranges artefacts comme des bordures de dialogues +effacées ou des caractères illisibles. L'établissement de la connexion avec le +système d'installation est très simple : + +<informalexample><screen> +<prompt>$</prompt> <userinput>ssh -l installer <replaceable>install_host</replaceable></userinput> +</screen></informalexample> + +Où <replaceable>install_host</replaceable> est soit le nom soit l'adresse IP de la machine +où sera installé le système. Avant de vous connecter réellement, l'empreinte du système distant +sera affichée et vous devrez confirmer qu'elle est correcte. + +</para><note><para> + +Si vous installez le système sur plusieurs machines, l'une à la suite de l'autre, +et qu'elles possèdent le même nom ou la même adresse IP, <command>ssh</command> +refusera toute connexion. +La raison est qu'il aura différentes empreintes, ce qui est un signe d'une attaque +par mystification (<quote>spoofing attack</quote>). Si vous êtes certain que ce n'est pas +le cas, vous devez supprimer la ligne adéquate dans le fichier +<filename>~/.ssh/known_hosts</filename> et recommencer. + +</para></note><para> + +Après la connexion, un premier écran apparaît et vous avez deux +possibilités appelées <guimenuitem>Lancer le menu</guimenuitem> et +<guimenuitem>Lancer un shell</guimenuitem>. La première vous place dans le menu +principal de l'installateur, où vous pouvez poursuivre l'installation comme +habituellement. La seconde lance un interpréteur de commandes et vous pouvez +examiner ou corriger si nécessaire le système distant. Vous ne pouvez lancer qu'une +seule session ssh pour le menu d'installation, mais vous pouvez lancer plusieurs +interpréteurs. + +</para><warning><para> + +Une fois l'installation à distance commencée, vous ne devez pas revenir +à la session d'installation en cours sur la console locale. Si vous le faites, +vous risquez de corrompre la base de données où est enregistrée la configuration +du nouveau système. Il en résulterait l'échec de l'installation ou des problèmes +dans le système installé. + +</para><para> + +Si vous ouvrez la session SSH dans un terminal X, vous ne devez pas redimensionner +la fenêtre car cela fermerait la connexion. + +</para></warning> + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml b/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml new file mode 100644 index 000000000..b684f2cf9 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml @@ -0,0 +1,29 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 25513 --> + + <sect3 id="nobootloader"> + <title>Continuer sans programme d'amorçage</title> +<para> + +Cette option peut être employée pour terminer l'installation même +lorsqu'aucun programme d'amorçage n'est installé soit parce qu'il n'en existe +aucun pour cette architecture soit parce qu'on veut utiliser un autre +programme. <phrase arch="m68k"> +Cette option est particulièrement utile pour les systèmes Macintosh, Atari +et Amiga où le système d'exploitation original doit être conservé et +utilisé pour amorcer GNU/Linux.</phrase> +</para> +<para> + +Si vous voulez configurer vous-même un programme d'amorçage, vous devez +chercher le nom du noyau installé dans <filename>/target/boot</filename>. +Vous devez aussi vérifier la présence dans ce répertoire d'un +<firstterm>initrd</firstterm>. Si ce fichier existe, vous devrez indiquer au +programme d'amorçage de l'utiliser. Vous devrez connaître aussi le disque et +la partition sur laquelle est monté le système de fichiers racine, +<filename>/</filename> ; si vous avez mis <filename>/boot</filename> +sur une partition distincte, vous devez connaître son système de fichiers . + + </para> + </sect3> + diff --git a/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml b/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml new file mode 100644 index 000000000..ac11625eb --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml @@ -0,0 +1,36 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 27596 --> + +<sect3 id="os-prober"> + <title>Détecter les autres systèmes d'exploitation</title> + +<para> + +Avant l'installation du programme d'amorçage, l'installateur recherche +les systèmes d'exploitation installés sur la machine. S'il reconnaît +un système d'exploitation, vous en serez informé et l'installateur +configurera le programme d'amorçage pour pouvoir démarrer aussi bien ce système +que Debian. + +</para><para> + +Notez que la possibilité d'amorcer différents systèmes sur une même machine +relève encore de la magie. Le support de détection et de configuration +automatique des programmes d'amorçage est différent pour chaque architecture +et même pour chaque sous-architecture. Si l'automatisation ne fonctionne pas +correctement, reportez-vous à la documentation propre à votre programme +d'amorçage pour plus d'information. + +<!-- TODO: Maybe include some arch-dependent tables with supported OS'es here --> +</para> +<note condition="sarge"><para> + +Il se peut que l'installateur ne détecte pas les autres systèmes si les +partitions sur lesquelles ils résident sont montées au moment de la détection. +Cela peut arriver si vous avez choisi dans <command>partman</command> un point +de montage (p. ex. /win) pour une partition qui contient un système +d'exploitation ; ou bien si vous avez monté des partitions dans une +console. +</para></note> + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/partconf.xml b/fr/using-d-i/modules/partconf.xml new file mode 100644 index 000000000..3e80b9919 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/partconf.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml b/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml new file mode 100644 index 000000000..b17739203 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml @@ -0,0 +1,3 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + diff --git a/fr/using-d-i/modules/partman.xml b/fr/using-d-i/modules/partman.xml new file mode 100644 index 000000000..a7058ff96 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/partman.xml @@ -0,0 +1,189 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30158 --> + + <sect3 id="partman"><title>Partitionner les disques</title> +<para> + +Il est temps maintenant de partitionner les disques. Si le partitionnement +vous inquiète ou si vous voulez des précisions supplémentaires, voyez +l'<xref linkend="partitioning"/>. + +</para><para> + +Dans un premier temps, vous aurez la possibilité de partitionner un disque +entier ou une partie de disque, de façon automatique. +C'est le partitionnement <quote>assisté</quote>. Si vous n'aimez pas +ce côté automatique, choisissez l'option +<guimenuitem>Modifier la table des partitions</guimenuitem> dans le menu. +</para> +<para> +Si vous choisissez le partitionnement assisté, vous pourrez choisir les +modèles décrits dans le tableau ci-dessous. Tous ces schémas ont leurs +avantages et leurs inconvénients, certains sont discutés dans +l'<xref linkend="partitioning"/>. Choisissez le premier si vous +n'avez pas d'avis tranché. N'oubliez pas que le partitionnement assisté +a besoin de suffisamment d'espace libre pour pouvoir fonctionner. Si vous ne lui donnez +pas au moins 1 GO, il échouera. + +</para> + +<informaltable> +<tgroup cols="3"> +<thead> +<row> +<entry>Schéma de partitionnement</entry> +<entry>Espace minimum</entry> + <entry>Partitions créées</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>Tous les fichiers dans une seule partition</entry> + <entry>600 Mo</entry> + <entry><filename>/</filename>, swap</entry> +</row><row> + <entry>Machine de bureau</entry> + <entry>500 Mo</entry> + <entry> + <filename>/</filename>, <filename>/home</filename>, swap + </entry> +</row><row> + <entry>Système multiutilisateur</entry> + <entry>1 Go</entry> + <entry> + <filename>/</filename>, <filename>/home</filename>, + <filename>/usr</filename>, <filename>/var</filename>, + <filename>/tmp</filename>, swap + </entry> +</row> + +</tbody></tgroup></informaltable> + +<para arch="ia64"> +Si vous choisissez le partitionnement assisté avec le système IA64, une +partition supplémentaire, avec un système de fichiers FAT16 amorçable, +sera créée pour le programme d'amorçage EFI. Il y a aussi un élément de menu +supplémentaire qui permet de formater soi-même une partition comme partition +EFI amorçable. +</para> +<para arch="alpha"> + +Si vous avez choisi le partitionnement automatique pour le système Alpha, +une partition non formatée sera installée au début du disque pour réserver +de l'espace pour le programme aboot. +</para> + +<para> + +Sur l'écran suivant, vous verrez votre table des partitions, avec le type de +formatage des partitions et leur point de montage. +</para> +<para> +La liste des partitions pourrait ressembler à ceci : +<!-- TODO: show some flags here (lightning, skull, smiley) --> + +<informalexample><screen> + IDE1 master (hda) - 6.4 Go WDC AC36400L + #1 primary 16.4 Mo ext2 /boot + #2 primary 551.0 Mo swap swap + #3 primary 5.8 Go ntfs + pri/log 8.2 Mo FREE SPACE + + IDE1 slave (hdb) - 80.0 Go ST380021A + #1 primary 15.9 Mo ext3 + #2 primary 996.0 Mo fat16 + #3 primary 3.9 Go xfs /home + #5 logical 6.0 Go ext3 / + #6 logical 1.0 Go ext3 /var + #7 logical 498.8 Mo ext3 + #8 logical 551.5 Mo swap swap + #9 logical 65.8 Go ext2 +</screen></informalexample> + +Cet exemple affiche les partitions de deux disques durs IDE. Le premier +possède de l'espace libre. Chaque ligne donne le numéro de la partition, +son type, sa taille, des drapeaux facultatifs, le système de fichiers et le +point de montage s'il existe. +</para> +<para> + +Ainsi se termine le partitionnement assisté. Si vous êtes satisfait de la +table des partitions créée, vous pouvez sélectionner +<guimenuitem>Terminer le partitionnement et écrire les modifications sur +le disque</guimenuitem> dans le menu pour la créer réellement (voyez la fin de +cette section). Si vous n'êtes pas satisfait, vous pouvez choisir +<guimenuitem>Ne pas modifier les partitions</guimenuitem>, pour relancer le +partitionnement assisté ou bien pour modifier les changements proposés, voyez +le partitionnement manuel plus bas. +</para> +<para> +Un écran similaire au précédent sera affiché si vous avez choisi le +partitionnement manuel ; mais c'est votre table des partitions qui est +montrée et sans les points de montages. La suite de cette section expliquera +comment créer une table des partitions et indiquera l'usage de ces partitions. +</para> + +<para> +Si vous avez sélectionné un disque tout neuf, sans partition ni espace libre, +on vous proposera de créer une table des partitions ; c'est nécessaire +pour créer des partitions. Une nouvelle ligne, intitulée +<quote>ESPACE LIBRE</quote> devrait apparaître sous le disque sélectionné. +</para> +<para> +Si vous avez sélectionné un espace libre, on vous proposera de créer +de nouvelles partitions. On vous posera des questions sur la taille de la +partition, son type (principale ou logique), son début et sa fin dans +l'espace libre. Puis la nouvelle partition sera présentée. Il y a des options +comme le point de montage, les options de montage, le drapeau d'amorçage, ou +la manière de l'utiliser. Si vous n'aimez pas les valeurs présélectionnées, +n'hésitez pas à les changer. Par exemple, en choisissant l'option +<guimenuitem>Utiliser comme :</guimenuitem>, vous pouvez demander un autre système de +fichiers ou demander d'utiliser cette partition comme partition +d'échange, comme partition RAID logiciel ou partition LVM, et même demander +de ne pas l'utiliser du tout. Une autre possibilité agréable est de pouvoir +copier les données d'une partition existante sur cette partition. +Quand vous êtes satisfait de votre nouvelle partition, choisissez +<guimenuitem>Terminer le paramètrage de la partition</guimenuitem> et vous serez ramené à +l'écran principal de <command>partman</command>. +</para> +<para> +Si vous voulez modifier votre partition, sélectionnez-la et vous reviendrez +au menu de configuration des partitions. C'est le même écran que pour une +création et vous pourrez aussi changer les mêmes options. Ce n'est pas +évident au premier regard, mais on peut modifier la taille de la partition en +sélectionnant l'élément affichant la taille. +Les systèmes de fichiers fat16, fat32, ext2, ext3 et swap sont réputés bien +fonctionner. Ce menu permet aussi de supprimer une partition. +</para> + +<para> +N'oubliez pas de créer au moins deux partitions, une partition d'échange, +<emphasis>swap</emphasis> et une partition pour le système de fichiers de la +racine (<emphasis>root</emphasis>) qui sera monté en <filename>/</filename>. +Si vous ne montez pas le système de fichiers de la racine, +<command>partman</command> ne pourra continuer que si vous corrigez le +problème. +</para> +<para arch="ia64"> +Si vous oubliez de créer une partition amorçable EFI, +<command>partman</command> le détectera et vous demandera d'en créer une. +</para> +<para> + +On peut ajouter des fonctionnalités à <command>partman</command> avec des +modules de l'installateur. Aussi, quand vous n'avez pas tout ce qu'on vous a +promis, vérifiez que vous avez chargé tous les modules requis, par exemple, +<filename>partman-ext3</filename>, +<filename>partman-xfs</filename>, ou +<filename>partman-lvm</filename>. + +</para><para> + +Quand vous êtes satisfait de vos choix de partitionnement, choisissez l'option +<guimenuitem>Terminer le partitionnement</guimenuitem> du menu. Un résumé des +modifications apportées aux disques sera affiché et on vous demandera une +confirmation avant de créer les systèmes de fichiers. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..0c3271639 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml @@ -0,0 +1,15 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14975 --> + + <sect3 arch="powerpc"> + <title>Installer <command>Quik</command> sur un disque dur</title> +<para> + +Le programme d'amorçage pour les machines Power Macintosh OldWorld est +<command>quik</command>. Vous pouvez aussi utiliser CHRP. L'installateur +Debian essayera d'installer automatiquement <command>quik</command>. +L'installation peut fonctionner avec les Powermacs 7200, 7300, 7600 et +avec certains clones. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..ac1f86f5e --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml @@ -0,0 +1,18 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14975 --> + + <sect3 arch="powerpc"> + <title>Installer <command>Yaboot</command> sur un disque dur</title> +<para> + +Les nouveaux PowerMacs (depuis la mi-1998) utilisent comme programme +d'amorçage <command>yaboot</command>. L'installateur peut configurer +<command>yaboot</command> automatiquement, vous avez besoin pour cela +d'une petite partition de 820 Ko nommée <quote>bootstrap</quote> +de type <emphasis>Apple_Bootstrap</emphasis> créée avec le partitionneur. +Si cette étape a été accomplie avec succès alors votre +disque est maintenant <emphasis>bootable</emphasis> et OpenFirmware +pourra démarrer &debian;. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/prebaseconfig.xml b/fr/using-d-i/modules/prebaseconfig.xml new file mode 100644 index 000000000..ec48a3d91 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/prebaseconfig.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 21672 --> + + <sect3 id="prebaseconfig"> + <title>Terminer l'installation et réamorcer</title> + +<para> + +Voici la dernière étape du processus initial d'installation. On vous +demandera de retirer le support d'installation (cédérom, disquette, etc.) +utilisé pour démarrer l'installateur. Après les derniers préparatifs, +l'installateur amorce le nouveau système Debian. +</para> +<para arch="s390"> +Sélectionnez l'élément <guimenuitem>Terminer l'installation</guimenuitem> +dans le menu. Cela va arrêter le système car &arch-title; ne peut pas être +réamorcé dans ce cas. Vous devez alors amorcer avec IPL GNU/Linux depuis le +DASD que vous avez sélectionné comme système de fichiers racine pendant les +premières étapes de l'installation. +</para> +</sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml new file mode 100644 index 000000000..3e80b9919 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml new file mode 100644 index 000000000..84545cc82 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..8eca56cfc --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml @@ -0,0 +1,19 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14602 --> + + <sect3 arch="s390"> + <title>Installer <command>zipl</command></title> +<para> + +Le programme d'amorçage sur &arch-title; est <quote>zipl</quote>. +<command>ZIPL</command> est dans sa configuration et son utilisation +similaire à <command>LILO</command> à quelques différences près. +Pour plus d'information sur <command>ZIPL</command>, reportez-vous au +document <quote>LINUX for S/390 Device Drivers and Installation Commands</quote> +sur le site web developerWorks d'IBM. + +</para> + </sect3> + + + diff --git a/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml b/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml new file mode 100644 index 000000000..4840ac16e --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml @@ -0,0 +1,25 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect3 id="save-logs"> + <title>Sauvegarde des journaux de l'installation</title> + +<para> + +Si l'installation a réussi, les fichiers journaux créés pendant +l'installation seront automatiquement sauvegardés dans le +répertoire <filename>/var/log/debian-installer/</filename> sur +votre nouveau système Debian. + +</para><para> + +Choisissez <guimenuitem>Sauvegarder les journaux de débogage</guimenuitem> +depuis le menu principal pour sauvegarder les fichiers journaux +sur une disquette<phrase condition="etch">, un réseau, un disque dur ou +un autre support</phrase>. Cela peut être utile, si vous rencontrez des +problèmes durant l'installation et que vous souhaitez étudier les +journaux sur un autre système ou les envoyer dans d'un rapport +de bogue sur l'installation. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/shell.xml b/fr/using-d-i/modules/shell.xml new file mode 100644 index 000000000..3c139884a --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/shell.xml @@ -0,0 +1,43 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 21579 --> + + <sect3 id="shell"> + <title>Utilisation du shell et visualisation des journaux</title> + <!-- TODO: There is nothing about logs in this section! --> + + +<para> +Dans le menu, il y a une entrée <guimenuitem>Exécuter un shell</guimenuitem>. +Si le menu n'est pas disponible au moment où vous avez besoin d'utiliser un +shell, appuyez sur les touches +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap> <keycap>F2</keycap></keycombo> (sur un +clavier Mac, <keycombo><keycap>Option</keycap> <keycap>F2</keycap></keycombo>) +pour obtenir la seconde <emphasis>console virtuelle</emphasis>. +C'est-à-dire qu'il faut appuyer simultanément sur la touche +<keycap>Alt</keycap>, à gauche de la <keycap>barre espace</keycap>, et sur la +touche de fonction <keycap>F2</keycap>. Ce qui ouvrira une nouvelle +fenêtre où s'exécutera un clone du Bourne Shell, <command>ash</command>. + +</para><para> + +Vous avez maintenant amorcé votre système depuis un disque virtuel en mémoire, +et vous avez seulement accès à un ensemble limité d'utilitaires Unix. Vous +pouvez voir les programmes disponibles avec la commande +<userinput>ls /bin /sbin /usr/bin /usr/sbin</userinput> et en utilisant la +commande <command>help</command>. L'éditeur de texte disponible est +<command>nano</command>. Ce shell a quelques fonctionnalités intéressantes +comme la complétion automatique et le rappel des commandes. + +</para><para> + +Utilisez toujours les commandes du menu pour les tâches qu'elles peuvent +accomplir. Le shell est seulement là pour vous dépanner en cas de problème. +En particulier, vous devez toujours utiliser le menu, et pas le shell, +pour activer votre partition d'échange, parce que l'installateur ne peut pas +détecter ce que vous avez fait depuis le shell. Appuyez sur +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap> <keycap>F1</keycap></keycombo> pour +revenir au menu, ou tapez <userinput>exit</userinput> si vous avez utilisé +un objet du menu pour ouvrir le shell. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..cdb385ce5 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml @@ -0,0 +1,27 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24582 --> + + <sect3 arch="sparc"> + <title>Installer le programme d'amorçage <command>SILO</command> + sur un disque dur</title> +<para> + +Le programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>silo</quote>. +La documentation se trouve dans le répertoire <filename>/usr/share/doc/ +silo/</filename>. <command>SILO</command> est dans sa configuration +et son utilisation similaire à <command>LILO</command> à quelques +différences près. Premièrement, <command>SILO</command> vous permet +de démarrer n'importe quel noyau présent sur votre disque, même s'il +n'est pas listé dans votre fichier <filename>/etc/silo.conf</filename>. +En effet <command>SILO</command> est capable de lire les partitions Linux. +De plus le fichier <filename>/etc/silo.conf</filename> est relu à chaque +démarrage, il n'est donc pas nécessaire de relancer <command>SILO</command> +après l'installation d'un nouveau noyau comme vous devez le faire avec +<command>LILO</command>. <command>SILO</command> peut aussi lire les +partitions UFS, et peut donc aussi démarrer à partir d'une partition +SunOS/Solaris. C'est utile si vous souhaitez installer GNU/Linux à +côté de SunOS/Solaris. + +</para> + </sect3> + diff --git a/fr/using-d-i/using-d-i.xml b/fr/using-d-i/using-d-i.xml new file mode 100644 index 000000000..5928fbfd0 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/using-d-i.xml @@ -0,0 +1,367 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28997 --> + +<chapter id="d-i-intro"><title>Comment utiliser l'installateur Debian ?</title> + + <sect1><title>Comment marche l'installateur ?</title> +<para> + +L'installateur Debian comprend plusieurs composants qui ont chacun une tâche +précise à accomplir. Chaque composant pose à l'utilisateur les questions +nécessaires à l'exécution de sa tâche. Chaque question possède une priorité et +cette priorité est déclarée au démarrage de l'installateur. +</para> +<para> +Pour une installation standard, seules les questions essentielles (priorité +<quote>high</quote>) sont posées. Ainsi l'installation est grandement +automatisée, avec peu d'interventions de l'utilisateur. Les composants sont +choisis et exécutés automatiquement selon votre matériel et selon le type +d'installation demandée. L'installateur utilise des valeurs par défaut pour les +questions qui ne sont pas posées à l'utilisateur. +</para> + +<para> +Quand il y a un problème, l'utilisateur voit un message d'erreur et le menu +de l'installateur peut apparaître pour permettre le choix d'une autre action. +Quand il n'y a pas de problème, l'utilisateur ne voit jamais le menu de +l'installateur et il répond simplement aux questions qui lui sont posées par +chaque composant. Les messages concernant des erreurs sérieuses ont une +priorité <quote>critical</quote> pour que l'utilisateur les reçoive toujours. +</para> +<para> +On peut modifier les valeurs par défaut utilisées par l'installateur en passant +des paramètres d'amorçage au démarrage de l'installateur. Si, par exemple, vous +préférez configurer vous-même le réseau — DHCP est utilisé quand c'est +possible —, vous pouvez ajouter le paramètre d'amorçage +<userinput>netcfg/disable_dhcp=true</userinput>. +Les paramètres disponibles sont donnés dans la <xref linkend="installer-args"/>. + +</para><para> + +Certains utilisateurs aiment mieux une interface dotée d'un menu ; ils +préfèrent contrôler chaque étape plutôt que de laisser l'installateur agir +automatiquement. Pour utiliser l'installateur dans ce mode manuel, il faut +ajouter le paramètre de démarrage +<userinput>debconf/priority=medium</userinput>. + +</para> +<para> +Si, quand ils sont installés, vous devez passer des options aux modules du +noyau, vous devrez exécuter l'installateur en mode <quote>expert</quote>. +Vous pouvez le faire en utilisant la commande <command>expert</command> au +démarrage de l'installateur, ou en ajoutant le paramètre d'amorçage +<userinput>debconf/priority=low</userinput>. +Le mode expert permet de contrôler complètement l'installateur. +</para> + +<para> + +L'affichage de l'installateur se fait en mode caractère, il ne possède pas +d'interface graphique. La souris ne fonctionne pas dans cet environnement. +Voici les touches qui servent à naviguer dans les différents menus. +La flèche <keycap>droite</keycap> ou la touche <keycap>Tab</keycap> +servent à avancer dans les sélections ou les boutons affichés, et la flèche +<keycap>gauche</keycap> ou la touche +<keycombo> <keycap>Shift</keycap> <keycap>Tab</keycap></keycombo>, à reculer. +Les flèches <keycap>montée</keycap> et <keycap>descente</keycap> sélectionnent +des élements dans une liste déroulante, et déroulent aussi la liste. De plus, +pour les longues listes, taper une lettre déroulera la liste jusqu'à une +section qui possèdent des éléments commençant par cette lettre ; vous +pouvez utiliser les touches <keycap>Pg-Up</keycap> et <keycap>Pg-Down</keycap> +pour parcourir la liste selon les sections. La touche <keycap>espace</keycap> +sélectionne les éléments de type checkbox. Activez les choix avec +&enterkey;. + +</para><para arch="s390"> + +Les S/390 ne connaissent pas les consoles virtuelles. Vous pouvez ouvrir une +seconde et une troisième session ssh pour visualiser les fichiers-journaux +décrits ci-dessous. + +</para><para> + +Les messages d'erreur sont redirigés vers la troisième console. Vous pouvez +y accéder en pressant +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F3</keycap></keycombo> +(garder la touche <keycap>Alt</keycap> enfoncée pendant que vous appuyez +sur la touche de fonction <keycap>F3</keycap>). Revenez sur le processus +d'installation avec +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F1</keycap></keycombo>. + +</para><para> + +Ces messages se retrouvent aussi dans +<filename>/var/log/messages</filename>. Après l'installation, ce +fichier-journal est copié dans <filename>/var/log/installer.log</filename> +sur votre nouveau système. D'autres messages d'installation se trouvent, +pendant l'installation, dans le fichier +<filename>/var/log/</filename>, et, quand la +machine a démarré le nouveau système, ces messages se trouvent dans +<filename>/var/log/debian-installer/</filename>. + +</para> + </sect1> + + + <sect1 id="modules-list"><title>Introduction aux composants</title> +<para> + +Voici une liste des composants de l'installateur, avec une brève description +des buts de chacun d'eux. Des précisions sur leur utilisation se trouvent +dans <xref linkend="module-details"/>. + +</para> + +<variablelist> +<varlistentry> + +<term>Le menu principal</term><listitem><para> + +Affiche la liste des composants pendant les opérations de l'installateur et +lance le composant qui a été choisi. Les questions du menu principal ont la +priorité medium, et si la priorité que vous avez choisie est +<quote>high</quote> ou <quote>critical</quote> (<quote>high</quote>, par +défaut), vous ne verrez pas le menu. Quand une erreur se +produit, qui demande votre intervention, la priorité de la question peut être +abaissée temporairement pour vous permettre de résoudre le problème, et dans +ce cas, le menu apparaît. +</para> +<para> +Depuis le composant en cours, vous pouvez revenir au menu principal en +sélectionnant plusieurs fois le bouton <quote>Back</quote>. +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry condition="sarge"> + +<term>languagechooser</term><listitem><para> + +Affiche une liste des langues. L'installateur affichera les messages dans +la langue choisie, à moins que certains messages ne soient pas traduits. +Dans ce cas, les messages sont affichés en anglais. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry condition="sarge"> + +<term>countrychooser</term><listitem><para> + +Permet à l'utilisateur de choisir le pays où il vit dans une liste. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry condition="etch"> + +<term>localechooser</term><listitem><para> + +Permet à l'utilisateur de choisir des paramètres régionaux pour l'installation et le système +à installer : la langue, le pays et les locales. L'installateur affiche ses messages dans +la langue choisie ; si la traduction des messages dans cette langue n'est pas complète, +certains messages peuvent être affichés en anglais. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>kbd-chooser</term><listitem><para> + +Affiche une liste des cartes clavier où choisir le bon modèle. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>hw-detect</term><listitem><para> + +Détecte automatiquement la plupart des éléments matériels du système, les +cartes réseau, les disques, PCMCIA. +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>cdrom-detect</term><listitem><para> + +Recherche et monte les cédéroms pour l'installation de Debian. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>netcfg</term><listitem><para> + +Configure la connexion réseau pour la communication sur internet. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>iso-scan</term><listitem><para> + +Recherche les fichiers ISO, qui se trouvent soit sur un cédérom, soit sur un +disque dur. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>choose-mirror</term><listitem><para> + +Affiche une liste des miroirs de l'archive Debian. L'utilisateur peut +choisir la source des paquets qu'il veut installer. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>cdrom-checker</term><listitem><para> + +vérifie l'intégrité des cédéroms. Ainsi l'utilisateur peut s'assurer que +le cédérom d'installation n'est pas corrompu. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>lowmem</term><listitem><para> + +Lowmem essaye de détecter les systèmes qui ont peu de mémoire et s'arrange +pour supprimer les programmes non indispensables de l'installateur, au prix de +certaines fonctionnalités. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>anna</term><listitem><para> + +Anna's Not Nearly APT. C'est un programme qui installe les paquets qui ont été +récupérés sur le miroir choisi. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term>partman</term><listitem><para> + +Ce programme permet de partitionner les disques du système, de créer les +systèmes de fichiers sur les partitions et de monter ces partitions. +Il possède d'autres fonctionnalités intéressantes comme son mode +automatique ou la gestion de LVM. C'est le partitionneur principal de Debian. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>autopartkit</term><listitem><para> + +Ce programme partitionne automatiquement un disque entier suivant des +valeurs préalablement données par l'utilisateur. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>partitioner</term><listitem><para> + +Ce programme permet de partitionner les disques du système. +Un partitionneur approprié à l'architecture de votre système est choisi. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>partconf</term><listitem><para> + +Affiche la liste des partitions et crée les systèmes de fichiers sur les +partitions choisies selon les instructions de l'utilisateur. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>lvmcfg</term><listitem><para> +Aide l'utilisateur dans sa configuration de +<firstterm>LVM</firstterm> (Logical Volume Manager). + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>mdcfg</term><listitem><para> + +Ce programme permet la configuration d'un <firstterm>RAID</firstterm> logiciel +(Redundant Array of Inexpensive Disks). Ce RAID logiciel est supérieur aux +contrôleurs IDE qu'on trouve sur les cartes mères récentes. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>base-installer</term><listitem><para> + +Ce programme installe l'ensemble des programmes de base qui permettront +le fonctionnement de l'ordinateur sous Linux après le redémarrage. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>os-prober</term><listitem><para> + +Ce programme détecte les systèmes d'exploitation présents sur le système et +passe cette information au programme bootloader-installer ; celui-ci +vous donne +la possibilité d'ajouter ces systèmes au menu des programmes d'amorçage. +Ainsi vous pourrez choisir, au moment du démarrage, quel système lancer. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>bootloader-installer</term><listitem><para> + +Ce programme installe un programme d'amorçage sur le disque choisi ; +c'est nécessaire pour démarrer Linux sans lecteur de disquette ou sans cédérom. +Beaucoup de programmes d'amorçage permettent de choisir le système +d'exploitation que l'on veut lancer au démarrage de la machine. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>base-config</term><listitem><para> + +Ce programme fournit les dialogues qui permettent la configuration des +paquets du système de base selon les préférences de l'utilisateur. +Cette configuration est faite après le redémarrage de la machine, c'est la +<quote>première</quote> du nouveau système Debian. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>shell</term><listitem><para> + +Ce programme permet d'exécuter un interpréteur de commandes, à partir du menu +ou dans la deuxième console. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term condition="sarge">bugreporter</term><term condition="etch">save-logs</term><listitem><para> + +Ce programme permet d'enregistrer des informations sur une disquette +<phrase condition="etch">, un réseau, un disque dur ou un autre support</phrase>quand +quelque chose se passe mal ; ainsi on peut par la suite envoyer des +informations précises aux développeurs Debian + +</para></listitem> +</varlistentry> + +</variablelist> + + </sect1> + +&using-d-i-components.xml; + +</chapter> + diff --git a/fr/welcome/about-copyright.xml b/fr/welcome/about-copyright.xml new file mode 100644 index 000000000..c52f16416 --- /dev/null +++ b/fr/welcome/about-copyright.xml @@ -0,0 +1,81 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29000 --> + +<sect1><title>À propos des copyrights et licences des logiciels</title> + +<para> +Nous sommes sûrs que vous avez lu les licences fournies avec la plupart des +logiciels commerciaux : elles disent que vous ne pouvez utiliser +qu'une seule copie du logiciel et sur un seul ordinateur. La licence du +système Debian GNU/Linux est totalement différente. Nous vous encourageons à +copier le système Debian GNU/Linux sur tous les ordinateurs de votre école ou +de votre entreprise. Passez-le à vos amis et aidez-les à l'installer sur leur +ordinateur. Vous pouvez même faire des milliers de copies et les +<emphasis>vendre</emphasis> — avec quelques restrictions. C'est +parce que Debian est basé sur le <emphasis>logiciel libre</emphasis>. +</para> + +<para> +Qu'un logiciel soit <emphasis>libre</emphasis> ne veut pas dire qu'il est +dépourvu de copyright et ne signifie pas que le cédérom qui contient ce +logiciel doit être distribué gratuitement. Cela signifie d'une part que les +licences des programmes individuels ne vous obligent pas à payer pour avoir +le droit d'utiliser ou de distribuer ces programmes. Et cela signifie d'autre +part que non seulement on peut étendre, adapter ou modifier un programme, +mais qu'on peut aussi distribuer le résultat de ce travail. + +<note><para> +Le projet Debian met à disposition beaucoup de paquets qui ne satisfont pas +à nos critères de liberté — c'est une concession pragmatique à nos +utilisateurs. +Ces paquets ne font pas partie de la distribution officielle, et ils sont +distribués dans les parties <userinput>contrib</userinput> et +<userinput>non-free</userinput> des miroirs Debian, ou bien sur des cédéroms +vendus par des tiers ; voyez la +<ulink url="&url-debian-faq;">FAQ Debian</ulink>, +dans les <quote>archives FTP Debian</quote>, pour plus d'informations sur +l'organisation et le contenu des archives.</para></note> +</para> + +<para> +Beaucoup de programmes dans le système Debian sont distribués selon les termes +de la licence <emphasis>GNU</emphasis> +<emphasis>General Public License</emphasis>, souvent simplement appelée +la <quote>GPL</quote>. La licence <emphasis>GPL</emphasis> oblige à donner +le <emphasis>code source</emphasis> du programme lorsque vous distribuez une +copie binaire de ce programme ; cet article assure que tout utilisateur pourra +modifier le programme. Et c'est pourquoi nous avons inclus le code +source <footnote> +<para>Pour savoir où trouver et comment dépaqueter et construire les paquets +source Debian, voyez la +<ulink url="&url-debian-faq;">FAQ Debian</ulink>, sous le titre +<quote>Basics of the Debian Package Management System</quote>. +</para></footnote> de tous les programmes présents dans le système Debian. +</para> + +<para> +D'autres formes de copyright et de licence sont utilisées dans le système +Debian. Vous pourrez trouver les copyrights et les licences de chaque +programme dans le répertoire +<filename>/usr/share/doc/<replaceable>nom-du-paquet</replaceable>/copyright</filename> +une fois le paquet installé. +</para> + +<para> +Pour en savoir plus sur les licences et comment Debian décide de ce qui est +suffisamment libre pour être inclus dans la distribution principale, +consultez les +<ulink url="&url-dfsg;">directives Debian pour le logiciel libre</ulink>. +</para> + +<para> +Légalement, l'avertissement le plus important est que ce logiciel +est fourni <emphasis>sans aucune garantie</emphasis>. Les programmeurs qui +ont créé ce logiciel l'ont fait pour le bénéfice de la communauté. Il n'est +donné aucune garantie quant à la pertinence du logiciel pour un quelconque +usage. Cependant, puisque ce logiciel est libre, vous pouvez le modifier +autant que vous le désirez — et vous pouvez ainsi +profiter du travail de ceux qui ont amélioré le logiciel. +</para> + +</sect1> diff --git a/fr/welcome/doc-organization.xml b/fr/welcome/doc-organization.xml new file mode 100644 index 000000000..a83d60ee8 --- /dev/null +++ b/fr/welcome/doc-organization.xml @@ -0,0 +1,111 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<sect1 id="doc-organization"><title>Organisation de ce document</title> + +<para> +Ce document est fait pour servir de manuel aux personnes qui utilisent Debian +pour la première fois. Il tente de faire aussi peu appel que +possible à des connaissances spéciales de la part du lecteur. Cependant, il +suppose une compréhension élémentaire du fonctionnement de son matériel. +</para> + +<para> +Les utilisateurs expérimentés pourront aussi trouver dans ce document +des informations de référence, comme la place minimale +nécessaire à une installation, des précisions au sujet du matériel reconnu +par le système d'installation de Debian, etc. Nous encourageons les +utilisateurs expérimentés à naviguer dans ce document. +</para> + +<para> +Ce document, organisé de façon linéaire, guide l'utilisateur à travers le +processus d'installation. Voici les différentes étapes de l'installation de +&debian;, et les sections de ce document qui s'y rapportent : + +<orderedlist> +<listitem><para> +Comment déterminer si votre matériel possède la configuration minimale +nécessaire au système d'installation est expliqué dans le +<xref linkend="hardware-req"/> ; +</para></listitem> + +<listitem><para> +Comment faire une sauvegarde de votre système, préparer et configurer le +matériel avant d'installer Debian, est expliqué dans le +<xref linkend="preparing"/>. +Si vous prévoyez de pouvoir démarrer plusieurs systèmes, vous aurez besoin de +partitionner votre disque dur ; +</para></listitem> + +<listitem><para> +Dans le <xref linkend="install-methods"/>, vous trouverez les fichiers +nécessaires pour la méthode d'installation que vous avez choisie ; +</para></listitem> + +<listitem><para> +Le <xref linkend="boot-installer"/> décrit comment amorcer le +système d'installation ; ce chapitre contient aussi des procédures de +dépannage en cas de problèmes lors du démarrage ; +</para></listitem> + +<listitem><para> +L'installation réelle est détaillée dans le <xref linkend="d-i-intro"/>. Elle +comprend le choix d'une langue, la configuration des modules pour les pilotes +de périphériques, la configuration de la connexion réseau — ainsi, quand +on ne fait pas l'installation à partir d'un cédérom, les autres fichiers +d'installation pourront être récupérés directement sur un serveur +Debian —, le partitionnement des disques durs et l'installation d'un +système minimal en état de marche ; +Certains éléments concernant la manière de créer des partitions pour un système +Debian sont donnés dans l' <xref linkend="partitioning"/>. +</para></listitem> + +<listitem><para> +Comment amorcer le système de base installé et configurer ce qui doit être +configuré est expliqué dans le <xref linkend="boot-new"/> ; +</para></listitem> + +<listitem><para> +Comment installer d'autres logiciels est expliqué dans la +<xref linkend="install-packages"/>. + +</para></listitem></orderedlist> +</para> + +<para> +Une fois que vous avez installé votre système, vous pouvez lire le +<xref linkend="post-install"/>. Ce chapitre explique où trouver plus +d'informations sur Unix et Debian et comment remplacer votre noyau. + +<!-- XXX FIXME: If you want to build your own install system +from source, be sure to read <xref linkend="boot-floppy-techinfo"/>. --> + +</para> + +<para> +Enfin, vous trouverez des informations sur ce document et sur la manière d'y +contribuer dans l'<xref linkend="administrivia"/>. +</para> + +</sect1> + + <sect1 condition="FIXME"> + <title>Toute aide est la bienvenue</title> + + <para> +Aide et suggestions, en particulier les correctifs, sont grandement +appréciés. Les versions de travail de ce document sont sur +<ulink url="&url-d-i-alioth-manual;"></ulink>. Vous y trouverez les +architectures et les langues pour lesquelles ce document est disponible. + </para> + +<para> +La version source est aussi librement disponible. Pour davantage +d'informations sur la manière de contribuer, voyez l' +<xref linkend="administrivia"/>. +Nous apprécions les suggestions, les commentaires, les correctifs et les +rapports de bogue (envoyez le rapport contre le paquet &d-i-manual;, mais +vérifiez d'abord que le problème ne soit pas déjà connu). +</para> +</sect1> diff --git a/fr/welcome/getting-newest-doc.xml b/fr/welcome/getting-newest-doc.xml new file mode 100644 index 000000000..13f6d0ef0 --- /dev/null +++ b/fr/welcome/getting-newest-doc.xml @@ -0,0 +1,14 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<sect1 id="getting-newest-doc"> +<title>Comment obtenir la plus récente version de ce document</title> + +<para> +Ce document est continuellement révisé. N'oubliez pas de vérifier les +informations de dernière minute sur la +<ulink url="&url-release-area;">page de la version &release;</ulink>. Des +versions à jour de ce manuel sont également disponibles sur les +<ulink url="&url-install-manual;">pages officielles du manuel d'installation</ulink>. +</para> +</sect1> diff --git a/fr/welcome/getting-newest-inst.xml b/fr/welcome/getting-newest-inst.xml new file mode 100644 index 000000000..70ee07aff --- /dev/null +++ b/fr/welcome/getting-newest-inst.xml @@ -0,0 +1,23 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<sect1 id="getting-newest-inst"> +<title>Comment obtenir Debian ?</title> + +<para> +Pour plus d'informations sur la façon de télécharger Debian GNU/Linux depuis +Internet, ou sur la façon de se procurer les cédéroms officiels de Debian, +voyez la +<ulink url="&url-debian-distrib;">page web sur les façons d'obtenir Debian</ulink>. +La +<ulink url="&url-debian-mirrors;">liste des miroirs Debian</ulink> +répertorie tous les miroirs officiels Debian. +</para> + +<para> +Après l'installation, Debian peut être facilement mis à jour. La procédure +d'installation vous aidera à configurer le système de façon à ce que vous +puissiez faire ces mises à jour une fois le système installé. + +</para> +</sect1> diff --git a/fr/welcome/welcome.xml b/fr/welcome/welcome.xml new file mode 100644 index 000000000..8b38d011f --- /dev/null +++ b/fr/welcome/welcome.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<chapter id="welcome"><title>Bienvenue sur Debian</title> + +<para> +Ce chapitre propose un survol du projet Debian et de &debian;. +Si vous connaissez déjà l'histoire du projet Debian et de la distribution +&debian;, vous pouvez, si vous le voulez, passer au chapitre suivant. +</para> + +&what-is-debian.xml; +&what-is-linux.xml; +&what-is-debian-linux.xml; +&what-is-debian-hurd.xml; +&getting-newest-inst.xml; +&getting-newest-doc.xml; +&doc-organization.xml; +&about-copyright.xml; + +</chapter> diff --git a/fr/welcome/what-is-debian-hurd.xml b/fr/welcome/what-is-debian-hurd.xml new file mode 100644 index 000000000..fdfcdb5d3 --- /dev/null +++ b/fr/welcome/what-is-debian-hurd.xml @@ -0,0 +1,27 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<!-- conditionalised because the hurd port is not yet an official debian +release --> + +<sect1 id="what-is-debian-hurd" condition="unofficial-build"> +<title>Qu'est-ce que Debian GNU/Hurd ?</title> + +<para> +Debian GNU/Hurd est le système Debian GNU qui remplace le noyau Linux +monolithique par le noyau GNU Hurd — un ensemble de serveurs +tournant au-dessus d'un micro-noyau GNU Mach. Le Hurd n'est pas encore achevé +et ne convient pas à une utilisation quotidienne, mais le travail est en +cours. Le Hurd n'est, pour le moment, développé que pour l'architecture +i386 : des portages vers d'autres architectures seront faits dès que le +système sera plus stable. +</para> + +<para> +Pour plus d'informations, voir la +<ulink url="http://www.debian.org/ports/hurd/"> +page sur le portage de Debian GNU/Hurd</ulink> +et la liste de diffusion <email>debian-hurd@lists.debian.org</email>. +</para> + +</sect1> diff --git a/fr/welcome/what-is-debian-linux.xml b/fr/welcome/what-is-debian-linux.xml new file mode 100644 index 000000000..89378e42e --- /dev/null +++ b/fr/welcome/what-is-debian-linux.xml @@ -0,0 +1,79 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 25496 --> + +<sect1 id="what-is-debian-linux"> +<title>Qu'est-ce que Debian GNU/Linux ?</title> + +<para> +La philosophie et la méthodologie Debian combinées avec les outils GNU, le +noyau Linux et certains logiciels libres importants, forment une distribution +logicielle unique appelée Debian GNU/Linux. Cette distribution est faite d'un +grand nombre de <emphasis>paquets</emphasis> logiciels. Chaque paquet de la +distribution contient des exécutables, des scripts, de la documentation, des +informations de configuration ; il possède un +<emphasis>responsable</emphasis> dont la principale charge est de tenir le +paquet à jour, de suivre les rapports de bogues et de rester en communication +avec les auteurs amont du paquet. Notre très grande base d'utilisateurs, +combinée avec notre système de suivi des bogues, fait que les problèmes sont +détectés et résolus très rapidement. +</para> + +<para> +Le souci du détail nous permet de donner une distribution paramétrable, stable +et de grande qualité. On peut facilement programmer le système d'installation +pour qu'il installe aussi bien un simple pare-feu qu'un poste de travail +scientifique ou un serveur réseau. +</para> + +<para> +Debian est particulièrement appréciée des utilisateurs avertis pour son +excellence technique et pour son souci constant des besoins et des +attentes de la communauté Linux. Ainsi Debian a inventé beaucoup de +fonctionnalités qui sont maintenant des standards sous Linux. + </para> + +<para> +Par exemple, Debian fut la première distribution Linux à proposer un +système de gestion des paquets qui facilitait l'installation et la suppression +des logiciels. De même, ce fut la première distribution qu'on pouvait +mettre à jour sans avoir besoin d'une réinstallation. + </para> +<para> +Debian continue d'animer le développement de Linux. Son modèle de développement +est exemplaire de l'excellence du modèle Open source, jusque dans les +tâches très complexes de construction et de maintenance d'un système +d'exploitation complet. + </para> +<para> +La fonctionnalité qui distingue le plus Debian des autres distributions +Linux est son système de gestion des paquets. Ces outils donnent à +l'administrateur d'un système Debian un contrôle complet sur les paquets +installés sur le système ; c'est, par exemple, la possibilité +d'installer un seul paquet ou celle de mettre à jour l'ensemble du système. +Certains paquets peuvent aussi être protégés contre une mise à jour. Vous +pouvez même dire au système quels paquets vous avez compilés vous-mêmes et +quelles dépendances ils nécessitent. +</para> + +<para> +Pour protéger votre système contre les <quote>chevaux de Troie</quote> et les +logiciels malveillants, Debian vérifie que les paquets proviennent de leur +responsable Debian officiel. Ceux-ci prennent un grand soin à configurer les +paquets d'une manière sûre. Si des problèmes de sécurité apparaissent dans les +paquets livrés, des corrections sont en général rapidement disponibles. Grâce +à la possibilité de mise à jour simple, offerte par Debian, vous pouvez +récupérer sur Internet et installer automatiquement les corrections +concernant la sécurité. +</para> + +<para> +La première et la meilleure méthode pour obtenir de l'aide pour votre système +Debian GNU/Linux, et pour communiquer avec les développeurs Debian, est +d'utiliser les nombreuses listes de diffusion gérées par le projet Debian +(il y en a plus de &num-of-debian-maillists; à ce jour). La façon la plus +simple de s'abonner à une liste est de visiter la +<ulink url="&url-debian-lists-subscribe;">page d'abonnement aux listes de diffusion Debian</ulink> +et de compléter le formulaire qui s'y trouve. +</para> + +</sect1> diff --git a/fr/welcome/what-is-debian.xml b/fr/welcome/what-is-debian.xml new file mode 100644 index 000000000..0fed7a316 --- /dev/null +++ b/fr/welcome/what-is-debian.xml @@ -0,0 +1,100 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<sect1 id="what-is-debian"> +<title>Qu'est-ce que Debian ?</title> + +<para> +Debian est une organisation composée uniquement de bénévoles, dont le but est +de développer le logiciel libre et de promouvoir les idéaux de la « Free +Software Foundation ». +Le projet Debian a démarré en 1993, quand Ian Murdock invita tous les +développeurs de logiciels à participer à la création d'une distribution +logicielle, complète et cohérente, basée sur le nouveau noyau Linux. Ce petit +groupe d'enthousiastes, d'abord subventionné par la +<ulink url="&url-fsf-intro;">Free Software Foundation</ulink>, et influencé +par la philosophie +<ulink url="&url-gnu-intro;">GNU</ulink>, +a grandi pour devenir une organisation composée par environ +&num-of-debian-developers; <firstterm>développeurs Debian</firstterm>. +</para> + +<para> +Les développeurs Debian s'impliquent dans de multiples activités, +par exemple, l'administration des sites +<ulink url="&url-debian-home;">web</ulink> et +<ulink url="&url-debian-ftp;">FTP</ulink>, la conception graphique, +l'analyse juridique des licences logicielles, l'écriture de la documentation +et, bien sûr, la maintenance des paquets logiciels. +</para> + +<para> +Pour communiquer notre philosophie et attirer des développeurs qui adhèrent +à nos principes, le projet Debian a publié un certain nombre +de documents qui mettent en évidence nos valeurs et expliquent ce que signifie +être un développeur Debian : + +<itemizedlist> +<listitem><para> +Le +<ulink url="&url-social-contract;">contrat social Debian</ulink> +est la déclaration des engagements de Debian vis-à-vis de la communauté du +logiciel libre. Quiconque est d'accord pour se conformer à ce contrat social +peut devenir un +<ulink url="&url-new-maintainer;">développeur Debian</ulink>. Tout +développeur Debian peut introduire de nouveaux logiciels dans Debian, +à condition que ces paquets se conforment à nos critères de liberté et +répondent à nos critères de qualité ; +</para></listitem> +<listitem><para> +Les +<ulink url="&url-dfsg;">directives Debian pour le logiciel libre</ulink> (<emphasis>Debian Free Software Guidelines</emphasis>, ou <emphasis>DFSG</emphasis>) +sont une déclaration claire et concise des critères Debian en matière de +logiciel libre. +Ce document a une grande influence sur le mouvement pour le logiciel +libre ; il est à la base de la définition de l' +<ulink url="&url-osd;">Open Source</ulink> ; +</para></listitem> +<listitem><para> +La <ulink url="&url-debian-policy;">charte Debian</ulink> est une +spécification détaillée des standards de qualité du projet Debian. +</para></listitem></itemizedlist> +</para> + +<para> +Les développeurs Debian participent aussi à d'autres projets : +certains sont spécifiques à Debian, d'autres concernent tout ou partie de la +communauté Linux. Voici quelques exemples : + +<itemizedlist> +<listitem><para> +Le +<ulink url="&url-lsb-org;">Linux Standard Base</ulink> (LSB) est +un projet dont le but est de standardiser le système GNU/Linux de base. Les +concepteurs de matériels et de logiciels pourront ainsi plus facilement +concevoir des applications et des pilotes de périphériques pour un système +Linux générique plutôt que pour une distribution particulière ; +</para></listitem> +<listitem><para> +Le +<ulink url="&url-fhs-home;">standard pour l'organisation des systèmes de +fichiers</ulink> (FHS) +est un effort pour standardiser l'organisation du système de +fichiers Linux. Le FHS permettra aux développeurs de logiciels de se +concentrer sur la conception de programmes, sans avoir à se préoccuper de la +façon dont le paquet sera installé dans les différentes distributions +GNU/Linux ; +</para></listitem> +<listitem><para> +<ulink url="&url-debian-jr;">Debian Jr.</ulink> +est un projet interne dont le but est de s'assurer que Debian a quelque chose +à offrir à nos utilisateurs les plus jeunes. +</para></listitem></itemizedlist> +</para> + +<para> +Pour des informations plus générales sur Debian, voir la +<ulink url="&url-debian-faq;">FAQ Debian</ulink>. +</para> + +</sect1> diff --git a/fr/welcome/what-is-linux.xml b/fr/welcome/what-is-linux.xml new file mode 100644 index 000000000..828fdf388 --- /dev/null +++ b/fr/welcome/what-is-linux.xml @@ -0,0 +1,94 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + +<sect1 id="what-is-linux"> +<title>Qu'est-ce que GNU/Linux ?</title> + +<para> +Linux est un système d'exploitation, c'est-à-dire, un ensemble de programmes +qui permettent d'agir sur la machine et de lancer d'autres programmes. + </para> + +<para> +Un système d'exploitation comprend les programmes fondamentaux dont votre +ordinateur a besoin pour échanger des instructions avec les utilisateurs : +lire et écrire des données sur disque dur, sur bandes ou vers des imprimantes, +contrôler l'utilisation de la mémoire, faire tourner d'autres programmes, etc. +La partie la plus importante d'un système d'exploitation est le noyau. Dans +un système GNU/Linux, c'est le noyau Linux. Le reste du système comprend +d'autres programmes, dont beaucoup ont été écrits par, ou pour, le projet GNU. +Comme le noyau Linux seul ne forme pas un système d'exploitation fonctionnel, +nous préférons, pour nous référer au système que beaucoup de gens appellent +de façon insouciante <quote>Linux</quote>, utiliser le terme +<quote>GNU/Linux</quote>. +</para> + +<para> +Linux est fondé sur le système d'exploitation Unix. Dès le début, +il fut conçu comme un système multitâche et multiutilisateur. Ces +caractéristiques suffisent à distinguer Linux d'autres systèmes bien connus. +Cependant, Linux est encore plus différent que vous ne pouvez l'imaginer. +Personne ne possède Linux, contrairement à d'autres systèmes. L'essentiel de +son développement est fait par des volontaires non payés. + </para> + +<para> +Le développement de ce qui fut appelé plus tard GNU/Linux commença en 1984, +quand la <ulink url="http://www.gnu.org/"><quote>Free Software Foundation</quote></ulink> +entreprit le développement d'un système libre de type Unix, appelé GNU. + </para> + +<para> +Le projet GNU a développé un ensemble complet d'outils libres destinés à +Unix™ et aux systèmes d'exploitation à la Unix, tel que Linux. Ces +outils permettent aux utilisateurs d'accomplir aussi bien les tâches les plus +simples (copier ou effacer un fichier) que les plus complexes (écrire et +compiler des programmes, éditer de façon sophistiquée dans un grand nombre de +formats). + </para> +<para> +Beaucoup de groupes et d'individus ont contribué à Linux mais le plus +important d'entre eux est la <quote>Free Software Foundation</quote> qui +a non seulement créé la plupart des outils utilisés par Linux mais aussi la +philosophie et la communauté qui ont rendu Linux possible. + </para> + +<para> +Le <ulink url="&url-kernel-org;">noyau Linux</ulink> est apparu pour la +première +fois en 1991, quand un étudiant en informatique finlandais du nom de Linus +Torvalds annonça une version de remplacement du noyau Minix dans le groupe de +discussion Usenet <userinput>comp.os.minix</userinput>. Voyez la +<ulink url="&url-linux-history;">page d'histoire de Linux</ulink> +sur Linux International. +</para> + +<para> +Linus Torvalds continue à coordonner le travail de centaines de développeurs, +aidé par quelques personnes de confiance. Un excellent résumé hebdomadaire +des discussions de la liste de diffusion +<userinput>linux-kernel</userinput> se trouve sur +<ulink url="&url-kernel-traffic;">Kernel Traffic</ulink>. Des +informations supplémentaires sur la liste de diffusion +<userinput>linux-kernel</userinput> se trouvent sur la +<ulink url="&url-linux-kernel-list-faq;">FAQ de la liste de diffusion de linux-kernel</ulink>. +</para> + +<para> +Les utilisateurs de Linux n'ont que l'embarras du choix pour les logiciels. +Ils peuvent par exemple hésiter entre une douzaine d'interpréteurs de +commandes, plusieurs interfaces graphiques. Cette possibilité de choix étonne +souvent les utilisateurs d'autres systèmes d'exploitation, qui ne sont pas +habitués à penser qu'ils peuvent changer leur interpréteur de commandes ou +leur interface graphique. + </para> +<para> +Linux <quote>plante</quote> moins, peut plus facilement exécuter plus d'un +programme à la fois, est plus sûr que beaucoup de systèmes d'exploitation. +Ces avantages font de Linux le système d'exploitation dont la demande a la +plus forte croissance sur le marché des serveurs. Plus récemment, Linux a +aussi commencé à gagner en popularité parmi les utilisateurs, qu'ils soient en +entreprise ou chez eux. + </para> + +</sect1> |