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diff --git a/fr/using-d-i/modules/alpha/aboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/alpha/aboot-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..978b04ffd --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/alpha/aboot-installer.xml @@ -0,0 +1,18 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 25496 --> + + <sect3 arch="alpha"> + <title>Installer <command>aboot</command> sur un disque dur.</title> +<para> + +Si vous avez démarré depuis SRM, et si vous choisissez cette option, +l'installateur écrira le programme <command>aboot</command> sur le +premier secteur du disque où vous avez installé Debian. Faites +<emphasis>très</emphasis> attention, il <emphasis>n'est pas</emphasis> +possible de démarrer plusieurs systèmes d'exploitation comme GNU/Linux, +Free/Open/NetBSD, OSF/1 (Digital Unix, Tru64 Unix), ou OpenVMS +depuis le même disque. Si un autre système d'exploitation est installé +sur le disque où est Debian, vous devrez démarrer Debian depuis une disquette. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/anna.xml b/fr/using-d-i/modules/anna.xml new file mode 100644 index 000000000..84545cc82 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/anna.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml b/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml new file mode 100644 index 000000000..84545cc82 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..07fa89fa3 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml @@ -0,0 +1,31 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect3 id="base-installer"> + <title>Installation du système de base</title> + +<para> + +Pendant l'installation du système de base, les messages concernant le +dépaquetage et la configuration des paquets sont redirigés sur +<userinput>tty3</userinput>. On peut accéder à ce terminal en faisant +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F3</keycap></keycombo> ; +et l'on revient au processus principal avec +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F1</keycap></keycombo>. + + +</para><para> + +Les messages concernant le dépaquetage et la configuration des paquets +produits par le processus d'installation sont enregistrés dans le fichier +<filename>/var/log/messages</filename> quand l'installation se fait +à travers une console série. + +</para> +<para> +Le noyau Linux fait partie de l'installation. Avec la priorité par défaut, +l'installateur choisira le noyau qui correspond le mieux à votre matériel. +Avec les prioritée les plus basses, vous pourrez en choisir un dans une liste. +</para> + </sect3> + diff --git a/fr/using-d-i/modules/baseconfig.xml b/fr/using-d-i/modules/baseconfig.xml new file mode 100644 index 000000000..2e49d8fb8 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/baseconfig.xml @@ -0,0 +1,15 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 29903 --> + +<sect3 id="baseconfig"> +<title>Executer <command>base-config</command> depuis l'installateur</title> +<para> + +Il est possible de configurer le système de base pendant la première partie +de l'installation (avant de redémarrer à partir du disque dur), en exécutant +<command>base-config</command> dans un environnement <firstterm>chroot</firstterm>. +Cela sert principalement à tester l'installateur. Normalement, il faut éviter de le faire. +<!-- n'hésitez pas à me contredire --> + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml b/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml new file mode 100644 index 000000000..49e514a61 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14337 -->
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml b/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml new file mode 100644 index 000000000..84545cc82 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml b/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml new file mode 100644 index 000000000..de75f14c8 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml @@ -0,0 +1,17 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 16990 --> + +<!-- +- Component is only selected and executed if the installer needs to load + installer components or the base system from the network + (either local or the internet). +- This means you first have to configure a network interface. +- A list of countries is displayed with the default based on the country you + selected earlier. +- Note that not all mirrors are equal (see http://www.nl.debian.org/mirror/list) +- Selection of a local mirror (at top of the list: manual selection). +- After selecting a country, a list of mirrors in the country will be shown. + +- The selected mirror will be tested. +- How to handle problems with mirrors. +--> diff --git a/fr/using-d-i/modules/countrychooser.xml b/fr/using-d-i/modules/countrychooser.xml new file mode 100644 index 000000000..8fb37f1e4 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/countrychooser.xml @@ -0,0 +1,25 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28343 --> + + + <sect3 id="country-chooser" condition="sarge" ><title>Choix du pays</title> +<para> + +Si vous choisissez dans <xref linkend="lang-chooser"/> une langue qui +est parlée dans plus d'un pays (comme le chinois, l'anglais, le +français ou d'autres langues), vous pouvez choisir le pays ici. Si vous +choisissez <guimenuitem>Autre</guimenuitem> à la fin de la liste, vous +aurez une liste de tous les pays regroupés par continent. + +</para><para> + +Ce choix sera utilisé plus tard pendant l'installation pour configurer +votre fuseau horaire et le miroir Debian correspondant à votre zone +géographique. Si les choix par défaut proposés par l'installateur ne sont +pas appropriés, vous pouvez faire un choix différent. Le choix du pays et +de la langue influent sur le paramétrage des locales de votre nouveau +système Debian. + +</para> + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml b/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml new file mode 100644 index 000000000..3e80b9919 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..11daec5f5 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14602 --> + + <sect3 arch="hppa"> + <title>Installer <command>palo</command></title> +<para> + +Le programme d'amorçage sur PA-RISC est <quote>palo</quote>. +<command>PALO</command> est dans sa configuration +et son utilisation similaire à <command>LILO</command> à quelques +différences près. <command>PALO</command> vous permet +de démarrer n'importe quel noyau présent sur votre partition de +démarrage. Car <command>PALO</command> est capable de lire les +partitions Linux. + +</para><para condition="FIXME"> + +hppa FIXME ( need more info ) + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/i386/grub-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/i386/grub-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..b98b612ea --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/i386/grub-installer.xml @@ -0,0 +1,22 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 18640 --> + +<sect3 arch="i386"> +<title>Installer le programme d'amorçage <command>Grub</command> sur un disque +dur</title> + +<para> +Le principal programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>grub</quote>. +Grub est un programme souple et stable, il constitue un bon choix pour les +débutants aussi bien que pour les gens expérimentés. +</para> +<para> +Par défaut, il sera installé sur le secteur principal d'amorçage (MBR) d'où +il prendra un contrôle total sur le processus d'amorçage. Mais vous pouvez +l'installer ailleurs. Voyez le manuel pour des informations complètes. +</para> +<para> +Si vous ne voulez pas installer grub, utilisez le bouton <quote>Back</quote> +pour aller sur le menu principal et choisissez un autre programme d'amorçage. +</para> +</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/i386/lilo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/i386/lilo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..2ec21c38e --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/i386/lilo-installer.xml @@ -0,0 +1,63 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 22935 --> + + <sect3 arch="i386"> +<title>Installer le programme d'amorçage <command>LILO</command> +sur un disque dur</title> + +<para> +Le deuxième programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>LILO</quote>. +C'est un vieux programme complexe qui offre beaucoup de fonctions, +notamment la gestion de l'amorçage de DOS, Windows et OS/2. Lisez +attentivement les instructions dans le répertoire +<filename>/usr/share/doc/lilo/</filename> si vous avez des besoins +particuliers. Voyez aussi le <ulink url="&url-lilo-howto;">LILO mini-HOWTO</ulink>. +</para> +<note><para> + +L'installation de LILO crée seulement des entrées pour les systèmes +d'exploitation qui peuvent être +<firstterm>« chainloaded »</firstterm>. +Cela signifie que vous aurez à ajouter vous-même une entrée pour les +systèmes tels que GNU/Linux et GNU/Hurd après l'installation. +</para></note> + +<para> +L'installateur propose trois endroits où installer <command>LILO</command> : +<variablelist> +<varlistentry> +<term>Le secteur principal d'amorçage (MBR)</term><listitem><para> + +De cette façon, <command>LILO</command> contrôlera totalement le processus +d'amorçage. +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term>une nouvelle partition Debian</term><listitem><para> + +Choisissez cette option si vous voulez utiliser un autre programme d'amorçage. +<command>LILO</command> s'installera au début de cette nouvelle partition et +servira de second programme d'amorçage. +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term>Autre choix</term><listitem><para> + +Cette option est utile aux experts qui veulent installer +<command>LILO</command> ailleurs. Dans ce cas, on vous demandera où. +Vous pouvez utiliser des noms style devfs, qui commencent comme +<filename>/dev/ide</filename>, <filename>/dev/scsi</filename> ou +<filename>/dev/discs</filename> ; vous pouvez aussi utiliser les noms +traditionnels, comme <filename>/dev/hda</filename> ou <filename>/dev/sda</filename>. +</para></listitem></varlistentry> +</variablelist> +</para> +<para> +Si vous ne pouvez plus amorcer Windows 9x (ou DOS) après cette étape, +vous devrez utiliser le disque de Windows 9x (MS-DOS) ou utiliser la +commande <userinput>fdisk /mbr</userinput> pour réinstaller le secteur +d'amorçage principal MS-DOS. Cependant vous devrez revenir à Debian par un +autre moyen ! Voyez la <xref linkend="reactivating-win"/> pour d'autres +informations sur le sujet. +</para> +</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..46fe3637d --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml @@ -0,0 +1,121 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24321 --> + +<sect3 arch="ia64"> +<title>Installation du programme d'amorçage <command>ELILO</command> sur un disque dur</title> +<para> +Le programme d'amorçage pour &architecture; est appelé <quote>elilo</quote>. +Il est conçu sur le modèle du programme d'amorçage <quote>lilo</quote> pour +l'architecture x86 et il utilise un fichier de configuration semblable. +Cependant, il n'écrit pas sur le secteur principal d'amorçage d'un disque ou +d'une partition ; il copie les fichiers nécessaires sur une partition +FAT distincte et modifie le menu du +<guimenuitem>gestionnaire d'amorçage EFI</guimenuitem> dans le firmware pour +qu'il pointe vers les fichiers de la partition EFI. Le programme +<command>elilo</command> a réellement deux parties. La commande +<filename>/usr/sbin/elilo</filename> gère la partition et copie les fichiers. +Le programme <filename>elilo.efi</filename> est copié dans la partition EFI et +il est exécuté par le <quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> dans le but +de charger et lancer le noyau Linux. +</para> +<para> +La configuration et l'installation du programme <quote>elilo</quote> sont +faites dans la dernière étape de l'installation des paquets de base. +L'installateur affichera une liste de partitions EFI possibles. Choisissez la +partition que vous avez définie plus tôt dans le processus d'installation, par +exemple une partition sur le disque qui contient le système de fichiers racine. +</para> + +<warning><title>Choisissez la bonne partition !</title> +<para> +Cette partition doit posséder un système de fichiers FAT et le drapeau +<emphasis>boot</emphasis> doit être mis. L'installateur peut afficher plusieurs +partitions selon ce qu'il a trouvé sur tous les disques du système, comme des +partitions EFI d'autres systèmes ou des partitions de diagnostic EFI. +N'oubliez pas que le programme <command>elilo</command> peut formater la +partition pendant l'installation et effacer toutes les données ! +</para></warning> +</sect3> + + <sect3 arch="ia64"> + <title>Le contenu de la partition EFI</title> + +<para> + +La partition EFI est une partition avec un système de fichiers de type FAT +sur l'un des disques du système ; habituellement c'est le disque qui +contient le système de fichiers racine. Elle n'est pas montée sur un système +en fonctionnement car seul le <quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> en +a besoin pour charger le système. Et la partie installation du programme +<command>elilo</command> écrit directement sur le système de fichiers. +Pendant l'installation, le programme <command>/usr/sbin/elilo</command> écrit +les fichiers suivants dans le répertoire <filename>efi/debian</filename> qui +se trouve sur la partition EFI. Il faut remarquer que le +<quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> cherchera ces fichiers en utilisant +le chemin <filename>fs<replaceable>n</replaceable>:\efi\debian</filename>. +Il peut exister d'autres fichiers dans ce système car avec le temps +le système est mis à jour ou reconfiguré. + +</para> + +<variablelist> + +<varlistentry> +<term><filename>elilo.conf</filename></term> +<listitem><para> + +Le programme d'amorçage lit ce fichier quand il démarre. +C'est une copie de <filename>/etc/elilo.conf</filename> où les noms ont été +changés pour désigner les fichiers dans la partition EFI. + +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term><filename>elilo.efi</filename></term> +<listitem><para> + +C'est le programme d'amorçage que lance le <quote>gestionnaire EFI</quote> +pour amorcer le système. L'élément <guimenuitem>Debian GNU/Linux</guimenuitem> +du menu <quote>gestionnaire EFI</quote> y fait appel. + +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term><filename>initrd.img</filename></term> +<listitem><para> + +C'est le système de fichiers racine initial qui sert à amorcer le noyau. +C'est aussi une copie du fichier référencé dans +<filename>/etc/elilo.conf</filename>. +Dans une installation standard Debian, ce serait le fichier dans le répertoire +<filename>/boot</filename>, pointé par le lien symbolique +<filename>/initrd.img</filename>. + +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term><filename>readme.txt</filename></term> +<listitem><para> + +C'est un petit fichier texte qui vous avertit que le contenu du répertoire +est géré par <command>elilo</command> et que tous les modifications locales +seront perdues la prochaine fois que <filename>/usr/sbin/elilo</filename> +sera relancé. + +</para></listitem></varlistentry> + +<varlistentry> +<term><filename>vmlinuz</filename></term> +<listitem><para> + +C'est le noyau compressé. C'est aussi la copie du fichier référencé dans +<filename>/etc/elilo.conf</filename>. +Dans une installation standard Debian, ce serait le fichier dans le répertoire +<filename>/boot</filename>, pointé par le lien symbolique +<filename>/vmlinuz</filename>. + +</para></listitem></varlistentry> + +</variablelist> + + </sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml b/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml new file mode 100644 index 000000000..f099a6bec --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml @@ -0,0 +1,49 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 23058 --> + +<sect3 id="iso-scan"> + <title>Rechercher l'image ISO de l'installateur Debian </title> +<para> + +Quand vous faites une installation selon la méthode +<emphasis>hd-media</emphasis>, il arrive un moment où vous devez monter +l'image ISO de l'installateur Debian pour obtenir les autres fichiers +d'installation. C'est le programme <command>iso-scan</command> qui exécute +cette tâche. + +</para><para> + +Dans un premier temps, <command>iso-scan</command> monte automatiquement +tous les périphériques bloc (p. ex. les partitions) qui possèdent un +système +de fichiers connu et recherche les noms de fichiers qui se terminent par +<filename>.iso</filename> (ou <filename>.ISO</filename> pour notre exemple). +Il faut remarquer que la première recherche se fait dans le répertoire racine +et au premier niveau des sous-répertoires (c'est-à-dire que les fichiers +<filename>/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename> ou +<filename>/data/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename> seront +trouvés mais pas le fichier +<filename>/data/tmp/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename>). +Quand une image a été trouvée, <command>iso-scan</command> vérifie que c'est +bien une image iso de Debian. Si ce n'est pas le cas, +<command>iso-scan</command> cherche une autre image. + +</para><para> + +Quand <command>iso-scan</command> ne trouve pas d'image, le programme vous +demande si vous voulez faire une recherche plus approfondie. Cette fois-ci, +la recherche ne se contentera pas des répertoires de premier niveau, mais +elle traversera tout le système de fichiers. + +</para><para> + +Quand <command>iso-scan</command> n'a pas découvert l'image iso de +l'installateur, relancez le premier système d'exploitation et vérifiez que +le nom de l'image se termine bien par <filename>.iso</filename>, qu'elle se +trouve sur un système de fichier reconnu par l'installateur Debian et qu'elle +n'est pas +défectueuse (vérifiez la somme de contrôle). Les utilisateurs expérimentés +d'Unix peuvent faire ça sans redémarrer, dans la deuxième console. + +</para> +</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml b/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml new file mode 100644 index 000000000..67fbf7ffb --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml @@ -0,0 +1,70 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect3 id="kbd-chooser"><title>Choix du clavier</title> +<para> + +Les claviers sont souvent construits en raison des caractères utilisés dans +une langue. +Choisissez un clavier dont la carte répond à la langue de votre pays, ou +bien, si aucune carte clavier ne correspond à ce que vous voulez, choisissez +un clavier approchant. Quand l'installation sera terminée, +vous pourrez en choisir un avec la commande <command>kbdconfig</command>, +lancée en tant que superutilisateur, qui vous présentera un plus grand choix +de cartes clavier. + +</para><para> + +Illuminez l'élément clavier que vous voulez et appuyez sur la touche +&enterkey;. +Servez-vous pour cela des flèches de direction — elles se trouvent +au même endroit dans toutes les cartes clavier, et elles sont indépendantes de +la configuration du clavier. Un clavier <quote>étendu</quote> est un clavier +qui possède une rangée de touches <keycap>F1</keycap> à <keycap>F10</keycap>. + +</para><para arch="mipsel"> + +Sur les DECstations, il n'y a pas de carte clavier à charger, il faut donc +sauter cette étape et se contenter de la carte intégrée dans le noyau +(LK201 US). Cela pourrait changer car cela dépend du développement du noyau +Linux/MIPS. + +</para><para arch="powerpc"> + +Il y a deux cartes pour les claviers américains ; la carte +qwerty/mac-usb-us (Apple USB) installe la fonction Alt sur la touche +<keycap>Command/Apple</keycap> (qui se trouve près de la touche +<keycap>space</keycap>, semblable à <keycap>Alt</keycap> sur les claviers +des PC). La carte qwerty/us (Standard) installe la fonction Alt sur la touche +<keycap>Option</keycap>, marquée d'un 'alt' sur la plupart des claviers Mac. +Pour le reste, ces deux cartes sont identiques. +</para> + +<note arch="sparc"><para> + +Si votre machine possède un clavier Sun USB et que vous avez lancé +l'installateur avec le noyau 2.4, le clavier ne sera pas correctement +identifié. L'installateur vous proposera de choisir une des cartes pour clavier +de type Sun, mais le clavier ne fonctionnera pas. Avec le noyau 2.6, il n'y a +pas de problème. + +</para><para> + +Pour obtenir un clavier fonctionnel, vous devez lancer l'installateur avec +le paramètre <userinput>debconf/priority=medium</userinput>. + +Au moment de choisir un clavier <footnote> + +<para> +Si vous faites l'installation avec la priorité par défaut, vous devez +utiliser le bouton <userinput>Revenir en arrière</userinput> pour retourner +au menu quand vous voyez la liste des cartes pour clavier Sun. +</para></footnote>, + choisissez <quote>Aucun clavier à configurer</quote> si vous possédez un +clavier américain (US) ; dans les autres cas, choisissez +<quote>clavier USB</quote>. Choisir <quote>Aucun clavier à configurer</quote> +conserve la carte du noyau, ce qui est correct pour les claviers américains. +</para></note> + + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/languagechooser.xml b/fr/using-d-i/modules/languagechooser.xml new file mode 100644 index 000000000..535cbb91b --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/languagechooser.xml @@ -0,0 +1,23 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28343 --> + + + <sect3 id="lang-chooser" condition="sarge"><title>Choix de la langue</title> +<para> + +Le choix de la langue dans laquelle vous voulez faire l'installation est la +première étape du processus d'installation. +Les noms des langues sont affichés en anglais (côté gauche) et dans la langue +elle-même (côté droit). Les noms sur la droite sont aussi affichés avec leur +propre script. La liste est triée selon les noms anglais. + +</para><para> + +L'installation se fera dans la langue choisie, à condition que la traduction +des dialogues existe. Quand il n'existe pas de traduction pour la langue +choisie, l'installateur parlera anglais. La langue choisie sert aussi au +choix d'une carte clavier correspondante. + +</para> + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml b/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml new file mode 100644 index 000000000..1b21cb071 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml @@ -0,0 +1,62 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28856 --> + + <sect3 id="localechooser" condition="etch"> + <title>Choix des paramètres régionaux</title> + +<para> + +Les premières questions posées concernent le choix des paramètres régionaux qui +seront utilisés à la fois pour l'installation et pour le système à installer. +Ces paraamètres sont la langue, le pays et les locales. + +</para><para> + +L'installation se fera dans la langue choisie, à condition que la traduction +des dialogues existe. Quand il n'existe pas de traduction pour la langue +choisie, l'installateur parlera anglais. + +</para><para> + +Le pays choisi sera utilisé pendant l'installation pour configurer +votre fuseau horaire et le miroir Debian correspondant à votre zone +géographique. Le choix du pays et de la langue déterminent la locale +par défaut de votre système ainsi que le choix du clavier. + +</para><para> + +On vous demandera d'abord de choisir une langue. +Les noms des langues sont affichés en anglais (côté gauche) et dans la langue +elle-même (côté droit). Les noms sur la droite sont aussi affichés avec leur +propre script. La liste est triée selon les noms anglais. +Une option supplémentaire, au sommet de la liste, permet de choisir la locale +<quote>C</quote> au lieu d'une langue. L'installation se fera alors en anglais. +Le système qui sera installé ne sera pas localisé, puisque le paquet +<classname>locales</classname> n'aura pas été installé. + +</para><para> + + +Si vous avez choisi une langue qui n'est pas reconnue comme la langue +officielle d'au moins deux pays <footnote> + +<para> + +Techniquement parlant : plusieurs locales existent pour cette langue avec des codes de pays +différents. + +</para> + +</footnote>, on vous demandera de choisir un pays. +Si vous avez choisi <guimenuitem>Autre</guimenuitem>, au bas de la liste, +vous verrez une liste de tous les pays, classés par continent. +Si à cette langue n'est associé qu'un pays, ce pays sera choisi automatiquement. + +</para><para> + +Une locale par défaut sera choisie à partir de la langue et du pays sélectionnés. +Si la priorité d'installation est « medium » ou « low », vous pourrez sélectionner +une autre locale par défaut, ou créer d'autres locales pour le système à installer. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml b/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml new file mode 100644 index 000000000..2f0477e2a --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 16990 --> + +<sect3 id="lowmem"> + <title>Vérification de la mémoire disponible</title> + +<para> + +L'une des premières tâches effectuées par l'installateur est la vérification +de la mémoire disponible. Si la mémoire disponible est insuffisante, +le processus d'installation sera modifié pour permettre avec un peu +de chance l'installation de &debian; sur votre machine. + +</para><para> + +Lors de l'installation sur un système n'ayant pas suffisamment de mémoire, +tous les composants ne seront pas disponibles. L'une des limitations est +que vous ne pourrez pas choisir la langue pour l'installation. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/lvmcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/lvmcfg.xml new file mode 100644 index 000000000..9650d945d --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/lvmcfg.xml @@ -0,0 +1,89 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30207 --> + +<sect3 id="lvmcfg"> + <title>Configuration du <quote>Logical Volume Manager</quote> (LVM)</title> +<para> + +Si vous travaillez sur les ordinateurs comme administrateur système ou +si vous êtes un utilisateur <quote>avancé</quote>, vous avez sûrement +rencontré le cas suivant : une partition qui manque d'espace libre +(c'est habituellement la plus importante du système) et une partition +grossièrement sous-utilisée, la gestion de cette situation ayant consisté +en déplacement de fichiers, création de liens symboliques, etc. +</para> +<para> +Pour éviter cette situation, on peut utiliser un gestionnaire de volumes +logiques, <quote>Logical Volume Manager</quote> (LVM). Dit simplement, +avec LVM vous pouvez combiner vos partitions +(<firstterm>volumes physiques</firstterm> dans le lexique LVM) pour former +un disque virtuel (<firstterm>groupe de volumes</firstterm>) qui peut être +divisé en partitions virtuelles (<firstterm>volumes logiques</firstterm>). +L'idée est que les volumes logiques s'étendent sur plusieurs disques physiques. +</para> +<para> +Dès lors, quand vous constatez que votre vieille partition +<filename>/home</filename> de 160 Go a besoin d'espace, vous pouvez +simplement ajouter un disque de 300 Go à votre machine, l'intégrer au +groupe de volumes existant et redimensionner le volume logique qui comprend +la partition <filename>/home</filename> et voilà, vos utilisateurs ont +de nouveau de la place sur la partition de 460 Go ! +Cet exemple est bien sûr un peu simplifié. Si vous ne l'avez pas encore lu, +vous devriez consulter le +<ulink url="&url-lvm-howto;">HOWTO LVM</ulink>. +</para> +<para> +La configuration de LVM dans l'installateur debian est très simple. D'abord, +vous devez marquer les partitions à utiliser comme volumes physiques par +LVM. Cela se fait avec <command>partman</command> dans le menu +<guimenu>Partition settings</guimenu>, où vous choisissez +<menuchoice><guimenu>Use as:</guimenu> +<guimenuitem>volume physique pour LVM</guimenuitem></menuchoice>. +Puis, vous lancez le module <command>lvmcfg</command> (soit directement dans +<command>partman</command>, soit dans le menu principal de l'installateur) et +vous combinez les volumes physiques dans un groupe de volumes dans le menu +<guimenuitem>Modifier les groupes de volumes</guimenuitem>. Enfin vous +devez créer les volumes logiques au dessus des groupes de volumes dans le +menu <guimenuitem>Modifier les volumes logiques</guimenuitem>. + +<note arch="powerpc" condition="sarge"><para> +Il n'existe pas de standard unanimement accepté pour identifier les partitions +de type LVM sur les Apple Power Macintosh et la procédure décrite précédemment +pour créer les volumes et les groupes de volumes ne fonctionne pas. +Il existe cependant, quand on connaît les outils LVM, une manière de faire. + +</para><para> + +Pour installer Debian sur un Power Macintosh en utilisant des volumes logiques, +vous devez créer les partitions pour les volumes logiques. Dans le menu +<guimenu>Paramétres des partitions</guimenu>, vous devez choisir +<menuchoice><guimenu>Utiliser comme :</guimenu> <guimenuitem>Ne pas utiliser</guimenuitem></menuchoice> pour ces partitions (l'option <quote>utiliser la partition +comme volume logique</quote> n'est pas proposée). Quand vous avez créé toutes +vos partitions, vous pouvez lancer le gestionnaire des volumes logiques. Mais +comme aucun volume n'a été créé, vous devez aller sur la deuxième console, +voyez <xref linkend="shell"/>, et créer vous-même les volumes. + +</para><para> + +Pour créer un volume physique sur chacune de vos partitions, vous pouvez +utiliser la commande <command>pvcreate</command> à l'invite de l'interpréteur +de commande. Pour créer un groupe de volumes, utilisez la commande +<command>vgcreate</command>. Vous pouvez sans problème ignorer les messages +d'erreur à propos de <quote>incorrect metadata area header checksums and +fsync failures</quote>. Quand vous avez terminé, vous pouvez revenir sur la +première console et passer directement au menu <command>lvmcfg</command> pour +la gestion des volumes logiques. Vous verrez les groupes de volumes et vous +pourrez créer les volumes logiques dont vous avez besoin. +</para></note> + +</para> + +<para> + +Quand vous aurez quitté <command>lvmcfg</command>, vous verrez dans +<command>partman</command> tous les volumes logiques créés comme si c'étaient +de simples partitions, et vous devez les traiter ainsi. +</para> +</sect3> + + diff --git a/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml new file mode 100644 index 000000000..bf6f817b8 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml @@ -0,0 +1,208 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30377 --> + +<sect3 id="mdcfg"> + <title>Configuration d'un périphérique à plusieurs disques (RAID logiciel)</title> +<para> +Si vous avez plusieurs disques durs <footnote><para> + +Pour être honnête, on peut construire un périphérique à plusieurs disques +même avec les partitions d'un seul disque, mais ça n'apporte pas grand chose. +</para></footnote> + +sur votre machine, vous pouvez utiliser <command>mdcfg</command> pour +obtenir de vos disques de meilleures performances et une meilleure fiabilité de +vos données. Le résultat est un périphérique à plusieurs disques, +<firstterm>Multidisk Device</firstterm>, ou <firstterm>RAID logiciel</firstterm>. +</para> +<para> +Un périphérique à plusieurs disques n'est qu'un ensemble de partitions +situées sur différents disques mais réunies pour former un périphérique +<emphasis>logique</emphasis>. Ce périphérique peut alors être utilisé comme +une simple partition, c'est-à-dire une partition qu'on peut monter et +formater avec <command>partman</command>. +</para> +<para> +Ce que vous gagnez dépend du type de périphérique créé. Voici ceux qui +sont reconnus : +<variablelist> +<varlistentry> + +<term>RAID0</term><listitem><para> +Ce type vise principalement la performance. RAID0 divise toutes les données +entrantes en <firstterm>bandes</firstterm> et les distribue également sur +tous les disques. Cela peut augmenter la vitesse des opérations d'écriture et +de lecture, mais si l'un des disques a un problème, vous perdez +<emphasis>tout</emphasis> : une partie des informations est encore sur +les disques sains, mais l'autre <emphasis>était</emphasis> sur le disque +défectueux. +</para> +<para> +L'usage standard de RAID0 est une partition pour du travail vidéo. +</para></listitem> +</varlistentry> + +<varlistentry> +<term>RAID1</term><listitem><para> +Ce type est adapté là où la fiabilité est le premier souci. Il consiste en +plusieurs partitions de même taille (deux, habituellement) qui contiennent +exactement les mêmes données. Cela signifie essentiellement trois choses. +Premièrement, si l'un des disques a un problème, les données sont encore sur +les autres disques. Deuxièmement, vous pouvez utiliser une partie seulement +de la capacité disponible, précisément, la taille de la partition la plus +petite du RAID. Troisièmement, la charge de lecture des fichiers est +répartie entre tous les disques, ce qui peut améliorer les performances d'un +serveur, notamment les serveurs de fichiers où les lectures sont +plus nombreuses que les écritures de fichiers. +</para> +<para> +Vous pouvez aussi avoir un disque de rechange qui prendra la place du disque +défectueux en cas de problème. + </para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> + +<term>RAID5</term><listitem><para> +Ce type est un bon compromis entre vitesse, fiabilité et redondance des +données. RAID5, comme RAID0, divise toutes les données entrantes en bandes et +les distribue également sur tous les disques. Mais contrairement à RAID0, RAID5 +calcule aussi l'information de <firstterm>parité</firstterm>, qui est écrite +sur le disque restant. Le disque de parité n'est pas fixe (ce serait RAID4), il +change périodiquement et ainsi l'information de parité est distribuée également +sur tous les disques. Quand l'un des disques s'arrête, la partie manquante des +données peut être calculée avec les données restantes et la parité. RAID5 doit +comporter au moins trois partitions actives. Vous pouvez aussi avoir un disque +de rechange qui prendra la place du disque défectueux en cas de problème. +</para> +<para> +Comme vous le voyez, RAID5 est aussi fiable que RAID1 tout en évitant de la +redondance. D'un autre côté, il sera un tout petit peu moins rapide dans les +opérations d'écriture que RAID0, à cause du calcul de l'information de +parité. +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +Pour résumer : + +<informaltable> +<tgroup cols="5"> +<thead> +<row> + <entry>Type</entry> + <entry>Nombre minimum de disques</entry> + <entry>Disque de rechange</entry> + <entry>Supporte l'échec d'un disque ?</entry> + <entry>Espace disponible</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>RAID0</entry> + <entry> 2</entry> + <entry>non</entry> + <entry>non</entry> + <entry>Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des périphériques dans le RAID</entry> +</row> + +<row> + <entry>RAID1</entry> + <entry> 2</entry> + <entry>facultatif</entry> + <entry>oui</entry> + <entry>Taille de la plus petite partition dans le RAID</entry> +</row> + +<row> + <entry>RAID5</entry> + <entry> 3</entry> + <entry>facultatif</entry> + <entry>oui</entry> + <entry> + Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des +périphériques dans le RAID moins un. + </entry> +</row> + +</tbody></tgroup></informaltable> +</para> + +<para> +Si vous voulez tout savoir sur le RAID logiciel, lisez le +<ulink url="&url-software-raid-howto;">HOWTO sur le RAID logiciel</ulink>. + +<note arch="powerpc" condition="sarge"><para> + +Il n'existe pas de norme communément acceptée pour l'identification des +partitions contenant des données RAID sur du matériel Apple Power Macintosh. +Cela signifie que l'installateur Debian ne peut pour l'instant configurer du +RAID logiciel sur cette plateforme. + +</para></note> + +</para> +<para> +Pour créer un périphérique à plusieurs disques, vous devez préparer les +partitions nécessaires. Vous pouvez le faire avec <command>partman</command>, +dans le menu <guimenu>Définitions des partitions</guimenu> où vous +choisirez <menuchoice><guimenu>Utiliser comme :</guimenu> +<guimenuitem>volume physique pour RAID</guimenuitem> +</menuchoice> +</para> +<warning><para> +L'installateur gère le RAID logiciel depuis peu. Vous pourrez rencontrer +des problèmes, pour certains niveaux RAID et en combinaison avec les +programmes d'amorçage, si vous essayez d'utiliser un périphérique de ce type +pour la partition racine, <filename>/</filename>. Les experts pourront +sans doute contourner ces problèmes en exécutant certaines étapes de +configuration ou d'installation dans un shell. +</para></warning> +<para> +Ensuite, vous choisissez <guimenuitem>Configurer le RAID logiciel</guimenuitem> +dans le menu principal de <command>partman</command>. Dans le premier écran +de <command>mdcfg</command>, sélectionnez +<guimenuitem>Créer un périphérique à plusieurs disques</guimenuitem>. Une liste +des types acceptés pour ces périphériques est affichée et vous pouvez en +choisir un, par exemple RAID1. La suite dépend du type que vous avez choisi. +</para> + +<itemizedlist> +<listitem><para> +Le type RAID0 est simple. Une liste des partitions RAID disponibles est +présentée et tout ce que vous avez à faire est de choisir les partitions qui +composeront le périphérique. +</para></listitem> +<listitem><para> +Le type RAID1 est un peu plus compliqué. On vous demandera d'abord le nombre +de périphériques actifs et le nombre de périphériques de rechange qui +composeront le périphérique. Ensuite vous devrez choisir dans la liste des +partitions RAID celles qui seront actives et celles qui resteront en réserve. +Le nombre de ces partitions devra être égal à celui donné l'instant d'avant. +Mais, si vous n'indiquez pas le même chiffre, l'installateur ne vous laissera +pas continuer et vous demandera une correction. +</para></listitem> +<listitem><para> +RAID5 se configure comme RAID1, mais vous devez utiliser au moins trois +partitions actives. +</para></listitem> +</itemizedlist> + +<para> +Il est parfaitement possible d'avoir plusieurs types de périphériques en même +temps. Par exemple, avec trois disques durs de 200 Go, chacun contenant +deux partitions de 100 Go, vous pouvez créer un périphérique de type +RAID0 avec les premières partitions des trois disques, soit une partition +rapide de 300 Go pour le travail vidéo ; et vous pouvez combiner +les trois partitions restantes (deux actives, une de rechange) dans un +périphérique RAID1, soit une partition très fiable de 100 Go pour +<filename>/home</filename>. +</para> +<para> +Quand vous avez défini vos périphériques, vous pouvez choisir +<guimenuitem>Terminer</guimenuitem> <command>mdcfg</command> pour retourner +au menu de <command>partman</command> et créer les systèmes de fichiers et les +options habituelles comme les points de montage pour ces nouveaux +périphériques. +</para> +</sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..267581b9c --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml @@ -0,0 +1,60 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24663 --> + +<sect3 arch="mips"> + <title>Le programme <command>arcboot</command></title> +<para> +Le programme d'amorçage sur SGI Indy est <command>arcboot</command>. Il doit +être installé sur le disque où se trouve le noyau (c'est fait automatiquement +par l'installateur). Arcboot accepte différentes configurations, définies +dans <filename>/etc/arcboot.conf</filename>. Chaque configuration a son nom. +Celle créée par défaut s'appelle <quote>linux</quote>. Après l'installation +d'arcboot le système peut être amorcé depuis un disque dur en déclarant des +variables d'environnement pour le firmware : +<informalexample><screen> +<userinput> setenv SystemPartition scsi(<replaceable>scsi</replaceable>)disk(<replaceable>disk</replaceable>)rdisk(0)partition(0)</userinput> +<userinput> setenv OSLoadPartition scsi(<replaceable>scsi</replaceable>)disk(<replaceable>disk</replaceable>)rdisk(0)partition(<replaceable>partnr</replaceable>)</userinput> +<userinput> setenv OSLoader arcboot</userinput> +<userinput> setenv OSLoadFilename <replaceable>config</replaceable></userinput> +<userinput> setenv AutoLoad yes</userinput> +</screen></informalexample> + +à l'invite du firmware, puis en lançant <command>boot</command>. +</para> + +<variablelist> +<varlistentry> +<term> <replaceable>scsi</replaceable> </term> +<listitem><para> +est le périphérique SCSI où amorcer, c'est <userinput>0</userinput> sur +les contrôleurs intégrés ; +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>disk</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est l'ID du disque dur où se trouve <command>arcboot</command> ; +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>partnr</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est le numéro de la partition où se trouve +<filename>/etc/arcboot.conf</filename> ; + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>config</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est le nom de la configuration dans <filename>/etc/arcboot.conf</filename>, +qui est par défaut <quote>linux</quote>. + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..caffc4dfe --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14337 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/mipsel/delo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mipsel/delo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..a0ec01cba --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/mipsel/delo-installer.xml @@ -0,0 +1,73 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24663 --> + + + <sect3 arch="mipsel"> + <title>Installer <command>delo</command></title> +<para> + +Le programme d'amorçage pour les DECstations est <command>DELO</command>. +Il doit être installé sur le même disque que le noyau (l'installateur Debian +l'installe automatiquement). DELO accepte différentes configurations, +définies dans le fichier <filename>/etc/delo.conf</filename>. Chaque configuration +possède un nom unique. Le nom par défaut créé par l'installateur est +<quote>linux</quote>. Après l'installation de DELO, vous pouvez amorcer le +système depuis le disque dur en entrant la commande : + +<informalexample><screen> +<userinput>boot <replaceable>#</replaceable>/rz<replaceable>id</replaceable> <replaceable>partnr</replaceable>/<replaceable>name</replaceable></userinput> +</screen></informalexample> + +à l'invite du microcode (<emphasis>firmware</emphasis>) +</para> + +<variablelist> +<varlistentry> +<term> <replaceable>#</replaceable> </term> +<listitem><para> +est le périphérique TurboChannel sur lequel on démarre ; sur la plupart +des DECstations cette valeur est <userinput>3</userinput> pour le contrôleur +intégré à la carte. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>id</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est l'ID SCSI du disque dur sur lequel <command>DELO</command> est +installé. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>partnr</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est le numéro de la partition où l'on peut trouver le fichier +<filename>/etc/delo.conf</filename>. + +</para></listitem> +</varlistentry> +<varlistentry> +<term> <replaceable>name</replaceable> </term> +<listitem><para> + +est le nom de la configuration dans le fichier <filename>/etc/delo.conf</filename>, +par défaut c'est <quote>linux</quote>. + +</para></listitem> +</varlistentry> +</variablelist> + +<para> +Dans le cas où le fichier <filename>/etc/delo.conf</filename> est sur +la première partition du disque, et que l'on veuille lancer la +configuration par défaut, il suffit de saisir : + +<informalexample><screen> +<userinput>boot #/rz<replaceable>id</replaceable></userinput> +</screen></informalexample> + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml new file mode 100644 index 000000000..f20b344fd --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml @@ -0,0 +1,49 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 23058 --> + +<sect3 id="netcfg"> + <title>Configuration du réseau</title> + +<para> +Pour cette étape, si l'installateur détecte plusieurs interfaces réseau, vous +devrez indiquer quelle est la principale, c'est-à-dire celle que vous voulez +utiliser pour l'installation. Les autres interfaces ne seront pas configurées +à ce moment. Vous pourrez les configurer une fois l'installation terminée. +Voyez la page du manuel <citerefentry><refentrytitle>interfaces</refentrytitle> <manvolnum>5</manvolnum></citerefentry>. +</para> +<para> +L'installateur essaie d'abord de configurer automatiquement le réseau avec DHCP. +Si le test DHCP réussit, tout est fait. Si le test échoue, il peut y avoir +plusieurs raisons, un câble mal branché, un serveur DHCP mal configuré. Ou bien +votre réseau ne possède pas de serveur DHCP. Lisez les messages d'erreur sur la +troisième console pour d'autres explications. Dans tous les cas, on vous +demandera si vous voulez réessayer ou si vous voulez configurer vous-même le +réseau. Les serveurs DHCP sont parfois très lents et si vous êtes sûr que tout +est en place, réessayez. +</para> +<para> +Si vous configurez vous-même le réseau, on vous demandera +l'<computeroutput>adresse IP</computeroutput> de votre machine, le +<computeroutput>masque réseau</computeroutput>, l'adresse de la +<computeroutput>passerelle</computeroutput>, les +<computeroutput>adresses des serveurs de noms</computeroutput> et le +<computeroutput>nom de la machine</computeroutput>. +De plus, si vous possédez une interface pour réseau sans fil, on vous +demandera le nom <computeroutput>ESSID</computeroutput> du réseau et la +<computeroutput>clé WEP</computeroutput>. Pour ces réponses, voyez +<xref linkend="needed-info"/>. +</para> +<note><para> +Voici quelques précisions techniques que vous trouverez, ou non, utiles : +Le programme suppose que l'adresse IP du réseau est le résultat d'un +<quote>ET logique</quote> entre l'adresse de la machine et l'adresse du +masque réseau. L'adresse <quote>broadcast</quote> sera le résultat d'un +<quote>OU logique</quote> entre l'adresse de la machine et la négation +logique du masque réseau. Si vous ne connaissez aucune de ces valeurs, +utilisez les valeurs proposées par l'installateur. Vous pourrez les +modifier quand le système aura été installé, en modifiant le fichier +<filename>/etc/network/interfaces</filename>. Vous pouvez aussi installer le +paquet <classname>etherconf</classname> qui vous aidera dans la configuration +de votre réseau. +</para></note> +</sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/network-console.xml b/fr/using-d-i/modules/network-console.xml new file mode 100644 index 000000000..2a2d3abce --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/network-console.xml @@ -0,0 +1,103 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30086 --> + + <sect3 id="network-console"> + <title>Installation par le réseau</title> + +<para arch="not-s390"> + +L'un des composants les plus intéressants est +<firstterm>network-console</firstterm>. Il permet de faire une installation +grâce au réseau avec SSH. L'utilisation du réseau implique que vous devez effectuer +les premières étapes de l'installation à partir de la console, jusqu'à la configuration +du réseau. Mais vous pouvez automatiser le processus, voyez +<xref linkend="automatic-install"/>. + +</para><para arch="not-s390"> + +Ce composant n'est pas chargé automatiquement et il vous faut le demander explicitement. + +Si vous faites une installation à partir d'un cédérom, vous devez amorcer avec la priorité +medium ou appeler le menu principal de l'installateur et choisir <guimenuitem>Chargement +des composants de l'installateur à partir d'un cédérom</guimenuitem> puis, choisir sur la +liste des composants supplémentaires <guimenuitem>network-console: Continuer +l'installation depuis une machine distante avec SSH</guimenuitem>. Si le chargement a réussi, +une nouvelle entrée appelée <guimenuitem>Continuer l'installation depuis une machine distante +avec SSH</guimenuitem> apparaît. + +</para><para arch="s390"> + +Les installations sur &arch-title; se font selon cette méthode après la configuration du +réseau. + +</para><para> + +<phrase arch="not-s390">Quand vous avez sélectionné cette nouvelle entrée, on</phrase> +<phrase arch="s390">On</phrase> vous demande le mot de passe qui servira à se connecter +au système d'installation, ainsi que sa confirmation. Et c'est tout. +Vous devez voir maintenant un écran qui vous indique comment accéder à la machine distante +en tant qu'utilisateur <emphasis>installer</emphasis> avec le mot de passe que vous venez +de donner. Un point important à noter dans cet écran est l'empreinte du système. +Vous devez transférer de façon sécurisée cette empreinte à la <quote>personne qui continuera +l'installation à distance</quote>. + +</para><para> + +Si vous décidiez de continuer l'installation localement, vous pourrez toujours appuyer sur +la touche &enterkey;, qui vous ramènera au menu principal où vous pourrez choisir +un autre composant. + +</para><para> + +Passons maintenant à l'autre bout du câble. Vous devez tout d'abord configurer +votre terminal avec le codage UTF-8 car c'est le codage utilisé par le système +d'installation. Si vous n'utilisez pas ce codage, l'installation à distance sera +possible mais vous risquez de rencontrer d'étranges artefacts comme des bordures de dialogues +effacées ou des caractères illisibles. L'établissement de la connexion avec le +système d'installation est très simple : + +<informalexample><screen> +<prompt>$</prompt> <userinput>ssh -l installer <replaceable>install_host</replaceable></userinput> +</screen></informalexample> + +Où <replaceable>install_host</replaceable> est soit le nom soit l'adresse IP de la machine +où sera installé le système. Avant de vous connecter réellement, l'empreinte du système distant +sera affichée et vous devrez confirmer qu'elle est correcte. + +</para><note><para> + +Si vous installez le système sur plusieurs machines, l'une à la suite de l'autre, +et qu'elles possèdent le même nom ou la même adresse IP, <command>ssh</command> +refusera toute connexion. +La raison est qu'il aura différentes empreintes, ce qui est un signe d'une attaque +par mystification (<quote>spoofing attack</quote>). Si vous êtes certain que ce n'est pas +le cas, vous devez supprimer la ligne adéquate dans le fichier +<filename>~/.ssh/known_hosts</filename> et recommencer. + +</para></note><para> + +Après la connexion, un premier écran apparaît et vous avez deux +possibilités appelées <guimenuitem>Lancer le menu</guimenuitem> et +<guimenuitem>Lancer un shell</guimenuitem>. La première vous place dans le menu +principal de l'installateur, où vous pouvez poursuivre l'installation comme +habituellement. La seconde lance un interpréteur de commandes et vous pouvez +examiner ou corriger si nécessaire le système distant. Vous ne pouvez lancer qu'une +seule session ssh pour le menu d'installation, mais vous pouvez lancer plusieurs +interpréteurs. + +</para><warning><para> + +Une fois l'installation à distance commencée, vous ne devez pas revenir +à la session d'installation en cours sur la console locale. Si vous le faites, +vous risquez de corrompre la base de données où est enregistrée la configuration +du nouveau système. Il en résulterait l'échec de l'installation ou des problèmes +dans le système installé. + +</para><para> + +Si vous ouvrez la session SSH dans un terminal X, vous ne devez pas redimensionner +la fenêtre car cela fermerait la connexion. + +</para></warning> + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml b/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml new file mode 100644 index 000000000..b684f2cf9 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml @@ -0,0 +1,29 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 25513 --> + + <sect3 id="nobootloader"> + <title>Continuer sans programme d'amorçage</title> +<para> + +Cette option peut être employée pour terminer l'installation même +lorsqu'aucun programme d'amorçage n'est installé soit parce qu'il n'en existe +aucun pour cette architecture soit parce qu'on veut utiliser un autre +programme. <phrase arch="m68k"> +Cette option est particulièrement utile pour les systèmes Macintosh, Atari +et Amiga où le système d'exploitation original doit être conservé et +utilisé pour amorcer GNU/Linux.</phrase> +</para> +<para> + +Si vous voulez configurer vous-même un programme d'amorçage, vous devez +chercher le nom du noyau installé dans <filename>/target/boot</filename>. +Vous devez aussi vérifier la présence dans ce répertoire d'un +<firstterm>initrd</firstterm>. Si ce fichier existe, vous devrez indiquer au +programme d'amorçage de l'utiliser. Vous devrez connaître aussi le disque et +la partition sur laquelle est monté le système de fichiers racine, +<filename>/</filename> ; si vous avez mis <filename>/boot</filename> +sur une partition distincte, vous devez connaître son système de fichiers . + + </para> + </sect3> + diff --git a/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml b/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml new file mode 100644 index 000000000..ac11625eb --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml @@ -0,0 +1,36 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 27596 --> + +<sect3 id="os-prober"> + <title>Détecter les autres systèmes d'exploitation</title> + +<para> + +Avant l'installation du programme d'amorçage, l'installateur recherche +les systèmes d'exploitation installés sur la machine. S'il reconnaît +un système d'exploitation, vous en serez informé et l'installateur +configurera le programme d'amorçage pour pouvoir démarrer aussi bien ce système +que Debian. + +</para><para> + +Notez que la possibilité d'amorcer différents systèmes sur une même machine +relève encore de la magie. Le support de détection et de configuration +automatique des programmes d'amorçage est différent pour chaque architecture +et même pour chaque sous-architecture. Si l'automatisation ne fonctionne pas +correctement, reportez-vous à la documentation propre à votre programme +d'amorçage pour plus d'information. + +<!-- TODO: Maybe include some arch-dependent tables with supported OS'es here --> +</para> +<note condition="sarge"><para> + +Il se peut que l'installateur ne détecte pas les autres systèmes si les +partitions sur lesquelles ils résident sont montées au moment de la détection. +Cela peut arriver si vous avez choisi dans <command>partman</command> un point +de montage (p. ex. /win) pour une partition qui contient un système +d'exploitation ; ou bien si vous avez monté des partitions dans une +console. +</para></note> + + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/partconf.xml b/fr/using-d-i/modules/partconf.xml new file mode 100644 index 000000000..3e80b9919 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/partconf.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml b/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml new file mode 100644 index 000000000..b17739203 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml @@ -0,0 +1,3 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> + diff --git a/fr/using-d-i/modules/partman.xml b/fr/using-d-i/modules/partman.xml new file mode 100644 index 000000000..a7058ff96 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/partman.xml @@ -0,0 +1,189 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 30158 --> + + <sect3 id="partman"><title>Partitionner les disques</title> +<para> + +Il est temps maintenant de partitionner les disques. Si le partitionnement +vous inquiète ou si vous voulez des précisions supplémentaires, voyez +l'<xref linkend="partitioning"/>. + +</para><para> + +Dans un premier temps, vous aurez la possibilité de partitionner un disque +entier ou une partie de disque, de façon automatique. +C'est le partitionnement <quote>assisté</quote>. Si vous n'aimez pas +ce côté automatique, choisissez l'option +<guimenuitem>Modifier la table des partitions</guimenuitem> dans le menu. +</para> +<para> +Si vous choisissez le partitionnement assisté, vous pourrez choisir les +modèles décrits dans le tableau ci-dessous. Tous ces schémas ont leurs +avantages et leurs inconvénients, certains sont discutés dans +l'<xref linkend="partitioning"/>. Choisissez le premier si vous +n'avez pas d'avis tranché. N'oubliez pas que le partitionnement assisté +a besoin de suffisamment d'espace libre pour pouvoir fonctionner. Si vous ne lui donnez +pas au moins 1 GO, il échouera. + +</para> + +<informaltable> +<tgroup cols="3"> +<thead> +<row> +<entry>Schéma de partitionnement</entry> +<entry>Espace minimum</entry> + <entry>Partitions créées</entry> +</row> +</thead> + +<tbody> +<row> + <entry>Tous les fichiers dans une seule partition</entry> + <entry>600 Mo</entry> + <entry><filename>/</filename>, swap</entry> +</row><row> + <entry>Machine de bureau</entry> + <entry>500 Mo</entry> + <entry> + <filename>/</filename>, <filename>/home</filename>, swap + </entry> +</row><row> + <entry>Système multiutilisateur</entry> + <entry>1 Go</entry> + <entry> + <filename>/</filename>, <filename>/home</filename>, + <filename>/usr</filename>, <filename>/var</filename>, + <filename>/tmp</filename>, swap + </entry> +</row> + +</tbody></tgroup></informaltable> + +<para arch="ia64"> +Si vous choisissez le partitionnement assisté avec le système IA64, une +partition supplémentaire, avec un système de fichiers FAT16 amorçable, +sera créée pour le programme d'amorçage EFI. Il y a aussi un élément de menu +supplémentaire qui permet de formater soi-même une partition comme partition +EFI amorçable. +</para> +<para arch="alpha"> + +Si vous avez choisi le partitionnement automatique pour le système Alpha, +une partition non formatée sera installée au début du disque pour réserver +de l'espace pour le programme aboot. +</para> + +<para> + +Sur l'écran suivant, vous verrez votre table des partitions, avec le type de +formatage des partitions et leur point de montage. +</para> +<para> +La liste des partitions pourrait ressembler à ceci : +<!-- TODO: show some flags here (lightning, skull, smiley) --> + +<informalexample><screen> + IDE1 master (hda) - 6.4 Go WDC AC36400L + #1 primary 16.4 Mo ext2 /boot + #2 primary 551.0 Mo swap swap + #3 primary 5.8 Go ntfs + pri/log 8.2 Mo FREE SPACE + + IDE1 slave (hdb) - 80.0 Go ST380021A + #1 primary 15.9 Mo ext3 + #2 primary 996.0 Mo fat16 + #3 primary 3.9 Go xfs /home + #5 logical 6.0 Go ext3 / + #6 logical 1.0 Go ext3 /var + #7 logical 498.8 Mo ext3 + #8 logical 551.5 Mo swap swap + #9 logical 65.8 Go ext2 +</screen></informalexample> + +Cet exemple affiche les partitions de deux disques durs IDE. Le premier +possède de l'espace libre. Chaque ligne donne le numéro de la partition, +son type, sa taille, des drapeaux facultatifs, le système de fichiers et le +point de montage s'il existe. +</para> +<para> + +Ainsi se termine le partitionnement assisté. Si vous êtes satisfait de la +table des partitions créée, vous pouvez sélectionner +<guimenuitem>Terminer le partitionnement et écrire les modifications sur +le disque</guimenuitem> dans le menu pour la créer réellement (voyez la fin de +cette section). Si vous n'êtes pas satisfait, vous pouvez choisir +<guimenuitem>Ne pas modifier les partitions</guimenuitem>, pour relancer le +partitionnement assisté ou bien pour modifier les changements proposés, voyez +le partitionnement manuel plus bas. +</para> +<para> +Un écran similaire au précédent sera affiché si vous avez choisi le +partitionnement manuel ; mais c'est votre table des partitions qui est +montrée et sans les points de montages. La suite de cette section expliquera +comment créer une table des partitions et indiquera l'usage de ces partitions. +</para> + +<para> +Si vous avez sélectionné un disque tout neuf, sans partition ni espace libre, +on vous proposera de créer une table des partitions ; c'est nécessaire +pour créer des partitions. Une nouvelle ligne, intitulée +<quote>ESPACE LIBRE</quote> devrait apparaître sous le disque sélectionné. +</para> +<para> +Si vous avez sélectionné un espace libre, on vous proposera de créer +de nouvelles partitions. On vous posera des questions sur la taille de la +partition, son type (principale ou logique), son début et sa fin dans +l'espace libre. Puis la nouvelle partition sera présentée. Il y a des options +comme le point de montage, les options de montage, le drapeau d'amorçage, ou +la manière de l'utiliser. Si vous n'aimez pas les valeurs présélectionnées, +n'hésitez pas à les changer. Par exemple, en choisissant l'option +<guimenuitem>Utiliser comme :</guimenuitem>, vous pouvez demander un autre système de +fichiers ou demander d'utiliser cette partition comme partition +d'échange, comme partition RAID logiciel ou partition LVM, et même demander +de ne pas l'utiliser du tout. Une autre possibilité agréable est de pouvoir +copier les données d'une partition existante sur cette partition. +Quand vous êtes satisfait de votre nouvelle partition, choisissez +<guimenuitem>Terminer le paramètrage de la partition</guimenuitem> et vous serez ramené à +l'écran principal de <command>partman</command>. +</para> +<para> +Si vous voulez modifier votre partition, sélectionnez-la et vous reviendrez +au menu de configuration des partitions. C'est le même écran que pour une +création et vous pourrez aussi changer les mêmes options. Ce n'est pas +évident au premier regard, mais on peut modifier la taille de la partition en +sélectionnant l'élément affichant la taille. +Les systèmes de fichiers fat16, fat32, ext2, ext3 et swap sont réputés bien +fonctionner. Ce menu permet aussi de supprimer une partition. +</para> + +<para> +N'oubliez pas de créer au moins deux partitions, une partition d'échange, +<emphasis>swap</emphasis> et une partition pour le système de fichiers de la +racine (<emphasis>root</emphasis>) qui sera monté en <filename>/</filename>. +Si vous ne montez pas le système de fichiers de la racine, +<command>partman</command> ne pourra continuer que si vous corrigez le +problème. +</para> +<para arch="ia64"> +Si vous oubliez de créer une partition amorçable EFI, +<command>partman</command> le détectera et vous demandera d'en créer une. +</para> +<para> + +On peut ajouter des fonctionnalités à <command>partman</command> avec des +modules de l'installateur. Aussi, quand vous n'avez pas tout ce qu'on vous a +promis, vérifiez que vous avez chargé tous les modules requis, par exemple, +<filename>partman-ext3</filename>, +<filename>partman-xfs</filename>, ou +<filename>partman-lvm</filename>. + +</para><para> + +Quand vous êtes satisfait de vos choix de partitionnement, choisissez l'option +<guimenuitem>Terminer le partitionnement</guimenuitem> du menu. Un résumé des +modifications apportées aux disques sera affiché et on vous demandera une +confirmation avant de créer les systèmes de fichiers. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..0c3271639 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml @@ -0,0 +1,15 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14975 --> + + <sect3 arch="powerpc"> + <title>Installer <command>Quik</command> sur un disque dur</title> +<para> + +Le programme d'amorçage pour les machines Power Macintosh OldWorld est +<command>quik</command>. Vous pouvez aussi utiliser CHRP. L'installateur +Debian essayera d'installer automatiquement <command>quik</command>. +L'installation peut fonctionner avec les Powermacs 7200, 7300, 7600 et +avec certains clones. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..ac1f86f5e --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml @@ -0,0 +1,18 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14975 --> + + <sect3 arch="powerpc"> + <title>Installer <command>Yaboot</command> sur un disque dur</title> +<para> + +Les nouveaux PowerMacs (depuis la mi-1998) utilisent comme programme +d'amorçage <command>yaboot</command>. L'installateur peut configurer +<command>yaboot</command> automatiquement, vous avez besoin pour cela +d'une petite partition de 820 Ko nommée <quote>bootstrap</quote> +de type <emphasis>Apple_Bootstrap</emphasis> créée avec le partitionneur. +Si cette étape a été accomplie avec succès alors votre +disque est maintenant <emphasis>bootable</emphasis> et OpenFirmware +pourra démarrer &debian;. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/prebaseconfig.xml b/fr/using-d-i/modules/prebaseconfig.xml new file mode 100644 index 000000000..ec48a3d91 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/prebaseconfig.xml @@ -0,0 +1,21 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 21672 --> + + <sect3 id="prebaseconfig"> + <title>Terminer l'installation et réamorcer</title> + +<para> + +Voici la dernière étape du processus initial d'installation. On vous +demandera de retirer le support d'installation (cédérom, disquette, etc.) +utilisé pour démarrer l'installateur. Après les derniers préparatifs, +l'installateur amorce le nouveau système Debian. +</para> +<para arch="s390"> +Sélectionnez l'élément <guimenuitem>Terminer l'installation</guimenuitem> +dans le menu. Cela va arrêter le système car &arch-title; ne peut pas être +réamorcé dans ce cas. Vous devez alors amorcer avec IPL GNU/Linux depuis le +DASD que vous avez sélectionné comme système de fichiers racine pendant les +premières étapes de l'installation. +</para> +</sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml new file mode 100644 index 000000000..3e80b9919 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml new file mode 100644 index 000000000..84545cc82 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml @@ -0,0 +1,2 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..8eca56cfc --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml @@ -0,0 +1,19 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 14602 --> + + <sect3 arch="s390"> + <title>Installer <command>zipl</command></title> +<para> + +Le programme d'amorçage sur &arch-title; est <quote>zipl</quote>. +<command>ZIPL</command> est dans sa configuration et son utilisation +similaire à <command>LILO</command> à quelques différences près. +Pour plus d'information sur <command>ZIPL</command>, reportez-vous au +document <quote>LINUX for S/390 Device Drivers and Installation Commands</quote> +sur le site web developerWorks d'IBM. + +</para> + </sect3> + + + diff --git a/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml b/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml new file mode 100644 index 000000000..4840ac16e --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml @@ -0,0 +1,25 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 28672 --> + + <sect3 id="save-logs"> + <title>Sauvegarde des journaux de l'installation</title> + +<para> + +Si l'installation a réussi, les fichiers journaux créés pendant +l'installation seront automatiquement sauvegardés dans le +répertoire <filename>/var/log/debian-installer/</filename> sur +votre nouveau système Debian. + +</para><para> + +Choisissez <guimenuitem>Sauvegarder les journaux de débogage</guimenuitem> +depuis le menu principal pour sauvegarder les fichiers journaux +sur une disquette<phrase condition="etch">, un réseau, un disque dur ou +un autre support</phrase>. Cela peut être utile, si vous rencontrez des +problèmes durant l'installation et que vous souhaitez étudier les +journaux sur un autre système ou les envoyer dans d'un rapport +de bogue sur l'installation. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/shell.xml b/fr/using-d-i/modules/shell.xml new file mode 100644 index 000000000..3c139884a --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/shell.xml @@ -0,0 +1,43 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 21579 --> + + <sect3 id="shell"> + <title>Utilisation du shell et visualisation des journaux</title> + <!-- TODO: There is nothing about logs in this section! --> + + +<para> +Dans le menu, il y a une entrée <guimenuitem>Exécuter un shell</guimenuitem>. +Si le menu n'est pas disponible au moment où vous avez besoin d'utiliser un +shell, appuyez sur les touches +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap> <keycap>F2</keycap></keycombo> (sur un +clavier Mac, <keycombo><keycap>Option</keycap> <keycap>F2</keycap></keycombo>) +pour obtenir la seconde <emphasis>console virtuelle</emphasis>. +C'est-à-dire qu'il faut appuyer simultanément sur la touche +<keycap>Alt</keycap>, à gauche de la <keycap>barre espace</keycap>, et sur la +touche de fonction <keycap>F2</keycap>. Ce qui ouvrira une nouvelle +fenêtre où s'exécutera un clone du Bourne Shell, <command>ash</command>. + +</para><para> + +Vous avez maintenant amorcé votre système depuis un disque virtuel en mémoire, +et vous avez seulement accès à un ensemble limité d'utilitaires Unix. Vous +pouvez voir les programmes disponibles avec la commande +<userinput>ls /bin /sbin /usr/bin /usr/sbin</userinput> et en utilisant la +commande <command>help</command>. L'éditeur de texte disponible est +<command>nano</command>. Ce shell a quelques fonctionnalités intéressantes +comme la complétion automatique et le rappel des commandes. + +</para><para> + +Utilisez toujours les commandes du menu pour les tâches qu'elles peuvent +accomplir. Le shell est seulement là pour vous dépanner en cas de problème. +En particulier, vous devez toujours utiliser le menu, et pas le shell, +pour activer votre partition d'échange, parce que l'installateur ne peut pas +détecter ce que vous avez fait depuis le shell. Appuyez sur +<keycombo><keycap>Left Alt</keycap> <keycap>F1</keycap></keycombo> pour +revenir au menu, ou tapez <userinput>exit</userinput> si vous avez utilisé +un objet du menu pour ouvrir le shell. + +</para> + </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml new file mode 100644 index 000000000..cdb385ce5 --- /dev/null +++ b/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml @@ -0,0 +1,27 @@ +<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> +<!-- original version: 24582 --> + + <sect3 arch="sparc"> + <title>Installer le programme d'amorçage <command>SILO</command> + sur un disque dur</title> +<para> + +Le programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>silo</quote>. +La documentation se trouve dans le répertoire <filename>/usr/share/doc/ +silo/</filename>. <command>SILO</command> est dans sa configuration +et son utilisation similaire à <command>LILO</command> à quelques +différences près. Premièrement, <command>SILO</command> vous permet +de démarrer n'importe quel noyau présent sur votre disque, même s'il +n'est pas listé dans votre fichier <filename>/etc/silo.conf</filename>. +En effet <command>SILO</command> est capable de lire les partitions Linux. +De plus le fichier <filename>/etc/silo.conf</filename> est relu à chaque +démarrage, il n'est donc pas nécessaire de relancer <command>SILO</command> +après l'installation d'un nouveau noyau comme vous devez le faire avec +<command>LILO</command>. <command>SILO</command> peut aussi lire les +partitions UFS, et peut donc aussi démarrer à partir d'une partition +SunOS/Solaris. C'est utile si vous souhaitez installer GNU/Linux à +côté de SunOS/Solaris. + +</para> + </sect3> + |