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diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/alpha.xml b/fr/preparing/nondeb-part/alpha.xml index d287456e9..de6df9471 100644 --- a/fr/preparing/nondeb-part/alpha.xml +++ b/fr/preparing/nondeb-part/alpha.xml @@ -1,59 +1,58 @@ -<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> <!-- original version: 43576 --> <sect2 arch="alpha"><title>Partitionnement sous Tru64 UNIX</title> <para> -Tru64 UNIX, anciennement appelé Digital UNIX, lui-même anciennement -appelé OSF/1, utilise un schéma de partitionnement semblable aux -<quote>étiquettes de disque</quote> des BSD, ce qui lui permet d'avoir -jusqu'à huit partitions par disque. Les partitions sont numérotées de 1 -à 8 avec Linux, et <quote>lettrées</quote> de <quote>a</quote> à -<quote>h</quote> pour UNIX. Les noyaux Linux 2.2 et supérieurs font -toujours correspondre 1 à <quote>a</quote>, 2 à <quote>b</quote>, etc. +Tru64 UNIX, anciennement appelé Digital UNIX, lui-même anciennement +appelé OSF/1, utilise un schéma de partitionnement semblable aux +<quote>étiquettes de disque</quote> des BSD, ce qui lui permet d'avoir +jusqu'à huit partitions par disque. Les partitions sont numérotées de 1 +à 8 avec Linux, et <quote>lettrées</quote> de <quote>a</quote> à +<quote>h</quote> pour UNIX. Les noyaux Linux 2.2 et supérieurs font +toujours correspondre 1 à <quote>a</quote>, 2 à <quote>b</quote>, etc. Par exemple, <filename>rz0e</filename> pour Tru64 UNIX serait certainement <filename>sda5</filename> pour Linux. </para><para> Les partitions pour disque Tru64 peuvent se chevaucher. De plus, si le disque -est utilisé par Tru64, la partition +est utilisé par Tru64, la partition <quote>c</quote> doit recouvrir le disque entier (et donc chevaucher toutes les autres partitions non vides). Sous Linux, cela implique que -<filename>sda3</filename> soit identique à <filename>sda</filename> -(<filename>sdb3</filename> à <filename>sdb</filename> s'il existe, etc). -Pour l'instant, partman, le partitionneur de l'installateur Debian, ne gère -pas le chevauchement des partitions. Vous devez donc éviter d'utiliser un même -disque pour Tru64 et Debian. Les partitions sur disque Tru64 peuvent être -montées dans Debian, une fois l'installation terminée. +<filename>sda3</filename> soit identique à <filename>sda</filename> +(<filename>sdb3</filename> à <filename>sdb</filename> s'il existe, etc). +Pour l'instant, partman, le partitionneur de l'installateur Debian, ne gère +pas le chevauchement des partitions. Vous devez donc éviter d'utiliser un même +disque pour Tru64 et Debian. Les partitions sur disque Tru64 peuvent être +montées dans Debian, une fois l'installation terminée. </para><para> Une autre contrainte est que, par convention, la partition <quote>a</quote> -commence au début du disque, afin qu'elle inclue toujours le bloc -d'amorçage qui contient les étiquettes. Si vous souhaitez démarrer +commence au début du disque, afin qu'elle inclue toujours le bloc +d'amorçage qui contient les étiquettes. Si vous souhaitez démarrer Debian depuis ce disque, il faut qu'elle contienne au moins 2 Mo -pour pouvoir y mettre aboot et peut-être un noyau. -Notez que cette partition n'est nécessaire que pour des raisons -de compatibilité ; vous ne devez pas y mettre un système de fichiers, -sous peine de détruire des données. +pour pouvoir y mettre aboot et peut-être un noyau. +Notez que cette partition n'est nécessaire que pour des raisons +de compatibilité ; vous ne devez pas y mettre un système de fichiers, +sous peine de détruire des données. </para> <para> Il est possible, et d'ailleurs assez raisonnable, de partager une -partition d'échange entre UNIX et Linux. Dans ce cas, il -faut lancer <command>mkswap</command> sur cette partition à chaque changement -de système, car UNIX détruit la signature de la partition. Vous pouvez -faire exécuter <command>mkswap</command> par les scripts au démarrage de Linux -avant d'ajouter la zone d'échange avec la commande +partition d'échange entre UNIX et Linux. Dans ce cas, il +faut lancer <command>mkswap</command> sur cette partition à chaque changement +de système, car UNIX détruit la signature de la partition. Vous pouvez +faire exécuter <command>mkswap</command> par les scripts au démarrage de Linux +avant d'ajouter la zone d'échange avec la commande <command>swapon -a</command>. </para><para> Si vous souhaitez monter des partitions UNIX sous Linux, notez que -Digital UNIX peut utiliser deux systèmes de fichiers différents, UFS et -AdvFS, et Linux ne reconnaît que le premier. +Digital UNIX peut utiliser deux systèmes de fichiers différents, UFS et +AdvFS, et Linux ne reconnaît que le premier. </para> </sect2> @@ -63,26 +62,26 @@ AdvFS, et Linux ne reconnaît que le premier. <para> Windows NT utilise une table des partitions similaire aux PC. Si vous -manipulez des partitions FAT ou NTFS existantes, il est recommandé +manipulez des partitions FAT ou NTFS existantes, il est recommandé d'utiliser les outils fournis avec Windows NT (ou le programme de partitionnement se trouvant dans le menu de configuration de -l'AlphaBIOS). Sinon, il n'est pas nécessaire de partitionner depuis +l'AlphaBIOS). Sinon, il n'est pas nécessaire de partitionner depuis windows, et les outils de Linux feront souvent un meilleur travail. Notez que, lorsque vous lancez NT, l'administrateur de disques -(<emphasis>Disk Administrator</emphasis>) peut vous conseiller d'écrire +(<emphasis>Disk Administrator</emphasis>) peut vous conseiller d'écrire une <quote>signature inoffensive</quote> sur les partitions non Windows, si vous en avez. Ne le laissez <emphasis>jamais</emphasis> faire cela, car la -signature détruit les informations sur la partition. +signature détruit les informations sur la partition. </para><para> -Si vous décidez de démarrer Linux depuis une console +Si vous décidez de démarrer Linux depuis une console ARC/AlphaBIOS/ARCSBIOS, vous aurez besoin d'une (petite) partition FAT -pour MILO, 5 Mo est généralement suffisant. Si Windows NT est -installé, sa partition de démarrage de 6 Mo peut très bien faire +pour MILO, 5 Mo est généralement suffisant. Si Windows NT est +installé, sa partition de démarrage de 6 Mo peut très bien faire l'affaire. La version &releasename; ne sait pas installer MILO. Si MILO est -déjà installé sur le système ou si MILO est sur un autre support, Debian -peut être amorcée depuis ARC. +déjà installé sur le système ou si MILO est sur un autre support, Debian +peut être amorcée depuis ARC. </para> </sect2> diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/m68k.xml b/fr/preparing/nondeb-part/m68k.xml index cb01d20db..eea834cee 100644 --- a/fr/preparing/nondeb-part/m68k.xml +++ b/fr/preparing/nondeb-part/m68k.xml @@ -1,4 +1,3 @@ -<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> <!-- original version: 43576 --> @@ -15,40 +14,40 @@ l'installation. <sect2 arch="m68k"><title>Partitionnement d'un Atari TOS</title> <para> -Les identificateurs de partition pour Atari sont formés de trois -caractères ASCII. Utilisez <quote>LNX</quote> pour les données et <quote>SWP</quote> pour les -partitions d'échange. Si vous utilisez une méthode d'installation -pour machine avec peu de mémoire, une petite partition Minix est aussi -nécessaire (environ 2 Mo), pour laquelle l'identificateur est <quote>MNX</quote>. -Une erreur dans la configuration des identificateurs des partitions empêche -non seulement l'installateur de Debian de reconnaître les -partitions, mais fait aussi que le système d'exploitation -essaye d'utiliser les partitions Linux, ce qui perturbe le contrôleur +Les identificateurs de partition pour Atari sont formés de trois +caractères ASCII. Utilisez <quote>LNX</quote> pour les données et <quote>SWP</quote> pour les +partitions d'échange. Si vous utilisez une méthode d'installation +pour machine avec peu de mémoire, une petite partition Minix est aussi +nécessaire (environ 2 Mo), pour laquelle l'identificateur est <quote>MNX</quote>. +Une erreur dans la configuration des identificateurs des partitions empêche +non seulement l'installateur de Debian de reconnaître les +partitions, mais fait aussi que le système d'exploitation +essaye d'utiliser les partitions Linux, ce qui perturbe le contrôleur de disque et rend tout le disque inutilisable. </para><para> Il y a de nombreux outils de partitionnement disponibles (les outils -<command>harddisk</command> propres à Atari ne permettent pas de changer les +<command>harddisk</command> propres à Atari ne permettent pas de changer les identificateurs de partitions) ; ce manuel ne peut pas donner de -description détaillée pour chacun. La description ci-dessous ne concerne +description détaillée pour chacun. La description ci-dessous ne concerne que <command>SCSITool</command> (de Hard+Soft GmBH). <orderedlist> <listitem><para> -Démarrez <command>SCSITool</command> et choisissez le disque que vous voulez +Démarrez <command>SCSITool</command> et choisissez le disque que vous voulez partitionner (menu <guimenu>Disk</guimenu>, choix <guimenuitem>select</guimenuitem>) ; </para></listitem> <listitem><para> -À partir du menu <guimenu>Partition</guimenu>, choisissez soit +À partir du menu <guimenu>Partition</guimenu>, choisissez soit <guimenuitem>New</guimenuitem> pour ajouter de nouvelles partitions ou changer la taille des partitions existantes, soit <guimenuitem>Change</guimenuitem> pour changer -une partition spécifique. Sauf si vous avez déjà ajouté de nouvelles +une partition spécifique. Sauf si vous avez déjà ajouté de nouvelles partitions avec la bonne taille et voulez seulement changer les identificateurs, <guimenuitem>New</guimenuitem> est certainement le meilleur choix ; @@ -57,56 +56,56 @@ choix ; <listitem><para> Pour l'option <guimenuitem>New</guimenuitem>, choisissez -<guilabel>existing</guilabel> dans la boîte de dialogue qui demande les -paramètres initiaux. La fenêtre suivante donne des informations -détaillées sur l'emplacement des partitions existantes ; la première colonne +<guilabel>existing</guilabel> dans la boîte de dialogue qui demande les +paramètres initiaux. La fenêtre suivante donne des informations +détaillées sur l'emplacement des partitions existantes ; la première colonne de cette liste indique le type de la partition. Vous pouvez le modifier en cliquant -sur le champ du texte. Sauvez les changements en quittant la fenêtre avec le +sur le champ du texte. Sauvez les changements en quittant la fenêtre avec le bouton <guibutton>OK</guibutton> ; </para></listitem> <listitem><para> -Pour l'option <guimenuitem>Change</guimenuitem>, choisissez la partition à -modifier dans la liste de sélection, et choisissez -<guilabel>other systems</guilabel> dans la boîte de dialogue. La fenêtre +Pour l'option <guimenuitem>Change</guimenuitem>, choisissez la partition à +modifier dans la liste de sélection, et choisissez +<guilabel>other systems</guilabel> dans la boîte de dialogue. La fenêtre suivante donne des informations -détaillées sur l'emplacement de cette partition, et permet d'en changer -l'identificateur. Sauvez les changements en quittant la fenêtre avec le +détaillées sur l'emplacement de cette partition, et permet d'en changer +l'identificateur. Sauvez les changements en quittant la fenêtre avec le bouton <guibutton>OK</guibutton> ; </para></listitem> <listitem><para> Inscrivez les noms Linux pour chacune de ces partitions qui seront -utilisées avec Linux — voir <xref linkend="device-names"/> ; +utilisées avec Linux — voir <xref linkend="device-names"/> ; </para></listitem> <listitem><para> Quittez <command>SCSITool</command> avec le choix <guimenuitem>Quit</guimenuitem> du menu <guimenu>File</guimenu>. -L'ordinateur va redémarrer pour s'assurer que la -nouvelle table de partitions sera prise en compte par le système -d'exploitation. Si vous avez modifié des partitions pour le système +L'ordinateur va redémarrer pour s'assurer que la +nouvelle table de partitions sera prise en compte par le système +d'exploitation. Si vous avez modifié des partitions pour le système d'exploitation (TOS) ou l'environnement graphique (GEM), elles seront -rendues inopérantes et devront être réinitialisées ; nous vous -avions prévenus qu'il fallait faire une sauvegarde, n'est-ce-pas ? +rendues inopérantes et devront être réinitialisées ; nous vous +avions prévenus qu'il fallait faire une sauvegarde, n'est-ce-pas ? </para></listitem> </orderedlist> </para><para> -Il y a un outil de partitionnement pour Linux/m68k appelé -<command>atari-fdisk</command> dans le système d'installation, +Il y a un outil de partitionnement pour Linux/m68k appelé +<command>atari-fdisk</command> dans le système d'installation, mais pour l'instant nous vous recommandons de partitionner votre disque en -utilisant un éditeur de partition TOS ou tout autre utilitaire disque. Si -votre éditeur de partition ne dispose pas d'option pour changer le -type de partition, vous pourrez faire cette étape cruciale à un moment -différent (à partir du RAMdisk au démarrage de l'installation). -<command>SCSITool</command> n'est qu'un des éditeurs de partition qui -supportent la sélection de type quelconque de partitions. Il y en a +utilisant un éditeur de partition TOS ou tout autre utilitaire disque. Si +votre éditeur de partition ne dispose pas d'option pour changer le +type de partition, vous pourrez faire cette étape cruciale à un moment +différent (à partir du RAMdisk au démarrage de l'installation). +<command>SCSITool</command> n'est qu'un des éditeurs de partition qui +supportent la sélection de type quelconque de partitions. Il y en a d'autres, choisissez celui qui vous convient. </para> @@ -115,21 +114,21 @@ d'autres, choisissez celui qui vous convient. <sect2 arch="m68k"><title>Partitionnement sous MacOS</title> <para> -Les outils de partitionnement pour Macintosh que nous avons testés sont +Les outils de partitionnement pour Macintosh que nous avons testés sont <command>pdisk</command>, <command>HD SC Setup</command> 7.3.5 (Apple), <command>HDT</command> 1.8 (FWB), <command>SilverLining</command> (LaCie) et <command>DiskTool</command> (Tim Endres, GPL). -Des versions complètes sont nécessaires pour <command>HDT</command> et -<command>SilverLining</command>. L'utilitaire d'Apple nécessite un correctif -pour reconnaître des disques étrangers (un descriptif expliquant comment +Des versions complètes sont nécessaires pour <command>HDT</command> et +<command>SilverLining</command>. L'utilitaire d'Apple nécessite un correctif +pour reconnaître des disques étrangers (un descriptif expliquant comment corriger <command>HD SC Setup</command> avec <command>ResEdit</command> peut -être trouvé sur +être trouvé sur <ulink url="http://www.euronet.nl/users/ernstoud/patch.html"></ulink>). </para><para> Pour des Macs IDE, vous devez utiliser l'application -<command>Apple Drive Setup</command> pour libérer de la place pour les +<command>Apple Drive Setup</command> pour libérer de la place pour les partitions Linux, puis poursuivez le partitionnement sous Linux, ou utilisez la version MacOS de pdisk disponible sur <ulink url="http://homepage.mac.com/alk/downloads/pdisk.sit.hqx">Alsoft</ulink>. diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml b/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml index ffe9edfa3..059c4f30a 100644 --- a/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml +++ b/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml @@ -1,4 +1,3 @@ -<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> <!-- original version: 28672 --> @@ -7,44 +6,44 @@ <para> L'application <application>Apple Drive Setup</application> se trouve dans le -dossier <filename>Utilities</filename> sur le cédérom MacOS.Il ne permet pas +dossier <filename>Utilities</filename> sur le cédérom MacOS.Il ne permet pas d'ajuster des partitions existantes ; il se contente -de créer une partition unique occupant tout le disque, +de créer une partition unique occupant tout le disque, L'application <application>Drive Setup</application> ne -montre pas les partitions dédiées aux contrôleurs de disques Apple. +montre pas les partitions dédiées aux contrôleurs de disques Apple. </para><para> -N'oubliez pas de créer la place pour les partitions GNU/Linux, de -préférence au début du disque. Le type de cette partition importe peu -la partition sera modifiée plus tard par l'installateur Debian. +N'oubliez pas de créer la place pour les partitions GNU/Linux, de +préférence au début du disque. Le type de cette partition importe peu +la partition sera modifiée plus tard par l'installateur Debian. </para><para> -Si vous prévoyez d'installer MacOS 9 et OS X, il vaut mieux créer des -partitions distinctes pour les deux systèmes. S'ils sont installés sur la -même partition, <application>Startup Disk</application> (et redémarrer) doit -être exécuté -pour choisir entre les deux, ce choix ne peut être fait lors du -démarrage. Avec des partitions distinctes, des options différentes pour +Si vous prévoyez d'installer MacOS 9 et OS X, il vaut mieux créer des +partitions distinctes pour les deux systèmes. S'ils sont installés sur la +même partition, <application>Startup Disk</application> (et redémarrer) doit +être exécuté +pour choisir entre les deux, ce choix ne peut être fait lors du +démarrage. Avec des partitions distinctes, des options différentes pour OS 9 et OS X apparaitront en appuyant sur la touche <keycap>option</keycap> -pendant le démarrage, et des options différentes peuvent aussi être -installées dans le menu de démarrage <application>yaboot</application>. -Aussi, <application>Startup Disk</application> va « désacraliser» -(<emphasis>de-bless</emphasis>) toutes les autres partitions montées, ce qui -peut perturber le démarrage de GNU/Linux. Les partitions d'OS 9 et -OS X seront accessibles indifféremment depuis OS 9 et OS X. +pendant le démarrage, et des options différentes peuvent aussi être +installées dans le menu de démarrage <application>yaboot</application>. +Aussi, <application>Startup Disk</application> va « désacraliser» +(<emphasis>de-bless</emphasis>) toutes les autres partitions montées, ce qui +peut perturber le démarrage de GNU/Linux. Les partitions d'OS 9 et +OS X seront accessibles indifféremment depuis OS 9 et OS X. </para><para> GNU/Linux est incapable d'aller chercher les informations sur des -partitions NFS+ (aussi appelées MacOS étendues) ou UFS. OS X a -besoin d'un de ces types pour sa partition de démarrage. MacOS 9 -peut être installé soit sur HFS (aussi appelé MacOS standard), soit sur -HFS+. Pour partager des informations entre les systèmes MacOS et -GNU/Linux, une partition d'échange est très pratique. Les partitions HFS -et MS-DOS FAT sont reconnues par les deux systèmes. +partitions NFS+ (aussi appelées MacOS étendues) ou UFS. OS X a +besoin d'un de ces types pour sa partition de démarrage. MacOS 9 +peut être installé soit sur HFS (aussi appelé MacOS standard), soit sur +HFS+. Pour partager des informations entre les systèmes MacOS et +GNU/Linux, une partition d'échange est très pratique. Les partitions HFS +et MS-DOS FAT sont reconnues par les deux systèmes. </para> </sect2> diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml b/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml index e46609420..877fba5fd 100644 --- a/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml +++ b/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml @@ -1,4 +1,3 @@ -<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> <!-- original version: 43732 --> @@ -6,12 +5,12 @@ <para> -Il est tout à fait possible de partitionner depuis SunOS ; en fait, -si vous souhaitez avoir SunOS et Debian sur la même machine, il est -recommandé de partitionner avec SunOS avant d'installer Debian. -Le noyau Linux comprend les étiquettes des disques Sun, il n'y aura donc -aucun problème. SILO permet d'amorcer Linux et SunOS depuis des -partitions EXT2 (Linux), UFS (SunOS), romfs et iso9660 (cédérom). +Il est tout à fait possible de partitionner depuis SunOS ; en fait, +si vous souhaitez avoir SunOS et Debian sur la même machine, il est +recommandé de partitionner avec SunOS avant d'installer Debian. +Le noyau Linux comprend les étiquettes des disques Sun, il n'y aura donc +aucun problème. SILO permet d'amorcer Linux et SunOS depuis des +partitions EXT2 (Linux), UFS (SunOS), romfs et iso9660 (cédérom). </para> </sect2> @@ -20,21 +19,21 @@ partitions EXT2 (Linux), UFS (SunOS), romfs et iso9660 (cédérom). <para> -Quel que soit le système utilisé pour partitionner, vérifiez que vous -créez une étiquette de disque Sun sur le disque d'amorçage. C'est le -seul schéma de partitionnement que la PROM OpenBoot comprend, et donc -c'est le seul moyen d'amorçage. Dans <command>fdisk</command>, la touche -<keycap>s</keycap> est utilisée pour créer des étiquettes de disque Sun. +Quel que soit le système utilisé pour partitionner, vérifiez que vous +créez une étiquette de disque Sun sur le disque d'amorçage. C'est le +seul schéma de partitionnement que la PROM OpenBoot comprend, et donc +c'est le seul moyen d'amorçage. Dans <command>fdisk</command>, la touche +<keycap>s</keycap> est utilisée pour créer des étiquettes de disque Sun. Vous n'avez besoin de le faire que sur les disques sans -étiquette de disque Sun. Si vous utilisez un disque qui avait été -formaté sur PC (ou toute autre architecture), vous devez créer une -nouvelle étiquette, ou attendez-vous à avoir des problèmes avec une -mauvaise reconnaissance de la géométrie du disque. +étiquette de disque Sun. Si vous utilisez un disque qui avait été +formaté sur PC (ou toute autre architecture), vous devez créer une +nouvelle étiquette, ou attendez-vous à avoir des problèmes avec une +mauvaise reconnaissance de la géométrie du disque. </para><para> Vous allez certainement utiliser <command>SILO</command> comme programme -d'amorçage (le petit programme qui lance le noyau du système +d'amorçage (le petit programme qui lance le noyau du système d'exploitation). <command>SILO</command> impose certaines contraintes sur l'emplacement et la taille des partitions. Voyez <xref linkend="partitioning"/>. diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/x86.xml b/fr/preparing/nondeb-part/x86.xml index 949be4df4..1acdb5e49 100644 --- a/fr/preparing/nondeb-part/x86.xml +++ b/fr/preparing/nondeb-part/x86.xml @@ -1,4 +1,3 @@ -<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> <!-- original version: 43576 --> @@ -6,21 +5,21 @@ <para> Si vous manipulez des partitions FAT ou NTFS existantes, il est -recommandé de suivre la méthode ci-dessous ou d'utiliser des produits -DOS ou Windows. Il n'est pas utile de partitionner à partir de -DOS ou Windows ; les outils de partitionnement Linux sont généralement +recommandé de suivre la méthode ci-dessous ou d'utiliser des produits +DOS ou Windows. Il n'est pas utile de partitionner à partir de +DOS ou Windows ; les outils de partitionnement Linux sont généralement meilleurs. </para><para> Si vous avez un grand disque IDE, et si vous n'utilisez ni l'adressage LBA, ni des pilotes de recouvrement (parfois fournis par les constructeurs de -disques durs), ni un BIOS récent (après 1998) qui accepte les extensions -d'accès pour disques de grande capacité, vous devez faire attention -à la position de la partition de démarrage de Debian : vous +disques durs), ni un BIOS récent (après 1998) qui accepte les extensions +d'accès pour disques de grande capacité, vous devez faire attention +à la position de la partition de démarrage de Debian : vous devez la placer dans les 1024 premiers cylindres de votre disque dur (habituellement aux alentours de 524 Mo, sans conversion par le -BIOS). Et il faudra peut-être déplacer une partition FAT ou NTFS +BIOS). Et il faudra peut-être déplacer une partition FAT ou NTFS existante. </para> @@ -31,70 +30,70 @@ existante. <para> -Il est très courant de vouloir installer Debian sur un système qui contient -déjà DOS (y compris Windows 3.1), Win32 (Windows 95, 98, Me, NT, 2000, -XP) ou OS/2, sans détruire l'ancien système. L'installateur Debian sait -redimensionner les systèmes de fichiers FAT et NTFS utilisés par DOS et Windows. -Lancez simplement l'installateur. Quand vous êtes à l'étape <quote>partitionnement</quote>, +Il est très courant de vouloir installer Debian sur un système qui contient +déjà DOS (y compris Windows 3.1), Win32 (Windows 95, 98, Me, NT, 2000, +XP) ou OS/2, sans détruire l'ancien système. L'installateur Debian sait +redimensionner les systèmes de fichiers FAT et NTFS utilisés par DOS et Windows. +Lancez simplement l'installateur. Quand vous êtes à l'étape <quote>partitionnement</quote>, choisissez l'option <menuchoice> <guimenuitem>Manuel</guimenuitem> </menuchoice>, -puis choisissez la partition à redimensionner et indiquez la -taille voulue. Dans la plupart des cas, vous n'aurez pas besoin de la méthode -décrite plus bas. +puis choisissez la partition à redimensionner et indiquez la +taille voulue. Dans la plupart des cas, vous n'aurez pas besoin de la méthode +décrite plus bas. </para><para> -Avant d'aller plus loin, vous devez avoir décidé comment vous allez -diviser le disque. La méthode présentée dans ce chapitre ne vise qu'à -découper une partition en deux parties. L'une contiendra l'OS original -et l'autre sera utilisée pour Debian. +Avant d'aller plus loin, vous devez avoir décidé comment vous allez +diviser le disque. La méthode présentée dans ce chapitre ne vise qu'à +découper une partition en deux parties. L'une contiendra l'OS original +et l'autre sera utilisée pour Debian. Pendant l'installation de Debian, vous aurez l'occasion de terminer la division -de la partie Debian du disque comme vous le souhaitez (partition d'échange ou -partition avec système de fichiers). +de la partie Debian du disque comme vous le souhaitez (partition d'échange ou +partition avec système de fichiers). </para><para> -L'idée est de déplacer toutes les données au début de la partition, avant de -changer les caractéristiques de la partition : ainsi rien ne sera perdu. -Il est important de ne rien faire entre le déplacement des données et le repartitionnement, -pour minimiser le risque qu'un fichier soit écrit près de la fin de la partition, -puisque cela diminuerait la quantité d'espace pouvant être pris sur la partition. +L'idée est de déplacer toutes les données au début de la partition, avant de +changer les caractéristiques de la partition : ainsi rien ne sera perdu. +Il est important de ne rien faire entre le déplacement des données et le repartitionnement, +pour minimiser le risque qu'un fichier soit écrit près de la fin de la partition, +puisque cela diminuerait la quantité d'espace pouvant être pris sur la partition. </para><para> Il faut tout d'abord une copie de <command>fips</command> qui est disponible -dans le répertoire <filename>tools/</filename> du miroir Debian le plus -proche. Décompressez l'archive et copiez les fichiers +dans le répertoire <filename>tools/</filename> du miroir Debian le plus +proche. Décompressez l'archive et copiez les fichiers <filename>RESTORRB.EXE</filename>, <filename>FIPS.EXE</filename> et <filename>ERRORS.TXT</filename> sur une -disquette amorçable. Une disquette amorçable peut être créée en utilisant la +disquette amorçable. Une disquette amorçable peut être créée en utilisant la commande <filename>sys a:</filename> sous DOS. <command>Fips</command> est -fourni avec une très bonne documentation qu'il est conseillé de lire. Vous devrez la +fourni avec une très bonne documentation qu'il est conseillé de lire. Vous devrez la lire si vous utilisez un pilote de compression de disque ou un gestionnaire -de disque. Créez la disquette et lisez la documentation -<emphasis>avant</emphasis> de défragmenter le disque. +de disque. Créez la disquette et lisez la documentation +<emphasis>avant</emphasis> de défragmenter le disque. </para><para> -L'étape suivante consiste à déplacer toutes les données au début de -la partition. L'utilitaire <command>defrag</command>, qui est livré en -standard avec DOS 6.0 et les versions supérieures, est parfaitement approprié à cette -tâche. Consultez la documentation de fips pour une liste des autres +L'étape suivante consiste à déplacer toutes les données au début de +la partition. L'utilitaire <command>defrag</command>, qui est livré en +standard avec DOS 6.0 et les versions supérieures, est parfaitement approprié à cette +tâche. Consultez la documentation de fips pour une liste des autres logiciels qui peuvent faire l'affaire. Notez que si vous avez Windows95, vous devez lancer <command>defrag</command> depuis celui-ci, puisque DOS ne -comprend pas le type de système de fichiers VFAT qui est utilisé pour gérer -les noms longs depuis Windows 95 et les versions supérieures +comprend pas le type de système de fichiers VFAT qui est utilisé pour gérer +les noms longs depuis Windows 95 et les versions supérieures </para><para> -Après la défragmentation (qui peut prendre du temps sur un grand -disque), réamorcez avec la disquette <command>fips</command> que vous avez -créée dans le lecteur de disquette. Saisissez simplement +Après la défragmentation (qui peut prendre du temps sur un grand +disque), réamorcez avec la disquette <command>fips</command> que vous avez +créée dans le lecteur de disquette. Saisissez simplement <filename>a:\fips</filename> et suivez les instructions. </para><para> Il existe beaucoup d'autres utilitaires de partitionnement -au cas où <command>fips</command> ne conviendrait pas. +au cas où <command>fips</command> ne conviendrait pas. </para> </sect3> @@ -105,16 +104,16 @@ au cas où <command>fips</command> ne conviendrait pas. Si vous partitionnez des disques DOS, ou si vous changez la taille de partitions DOS, en utilisant des outils Linux, sachez que beaucoup de -problèmes ont été constatés avec -les partitions FAT obtenues. Par exemple, on a remarqué des problèmes de -performance ou des problèmes de cohérence avec <command>scandisk</command>, et +problèmes ont été constatés avec +les partitions FAT obtenues. Par exemple, on a remarqué des problèmes de +performance ou des problèmes de cohérence avec <command>scandisk</command>, et d'autres erreurs bizarres sous DOS ou Windows. </para><para> -Apparemment, chaque fois que vous créez ou que vous redimensionnez une -partition destinée à être utilisée sous DOS, c'est une bonne idée de -remplir avec des zéros quelques-uns des premiers secteurs. Vous pouvez exécuter +Apparemment, chaque fois que vous créez ou que vous redimensionnez une +partition destinée à être utilisée sous DOS, c'est une bonne idée de +remplir avec des zéros quelques-uns des premiers secteurs. Vous pouvez exécuter la commande suivante depuis Linux avant de lancer la commande DOS <command>format</command> : |