summaryrefslogtreecommitdiff
path: root/fr/partitioning
diff options
context:
space:
mode:
authorPhilippe Batailler <philippe.batailler@free.fr>2007-08-04 08:31:13 +0000
committerPhilippe Batailler <philippe.batailler@free.fr>2007-08-04 08:31:13 +0000
commited7bd05db98b30815a00ca0c74c3cf0c4fa3feca (patch)
treeb4326d6e02b35a289ef05808602f958241931294 /fr/partitioning
parent2edf5c9f8daef7eee781a5c49e4a8123ceed72ea (diff)
downloadinstallation-guide-ed7bd05db98b30815a00ca0c74c3cf0c4fa3feca.zip
French files now utf-8
Diffstat (limited to 'fr/partitioning')
-rw-r--r--fr/partitioning/device-names.xml107
-rw-r--r--fr/partitioning/partition-programs.xml45
-rw-r--r--fr/partitioning/partition/alpha.xml47
-rw-r--r--fr/partitioning/partition/hppa.xml23
-rw-r--r--fr/partitioning/partition/ia64.xml117
-rw-r--r--fr/partitioning/partition/mips.xml15
-rw-r--r--fr/partitioning/partition/powerpc.xml43
-rw-r--r--fr/partitioning/partition/sparc.xml39
-rw-r--r--fr/partitioning/partition/x86.xml89
-rw-r--r--fr/partitioning/partitioning.xml1
-rw-r--r--fr/partitioning/schemes.xml85
-rw-r--r--fr/partitioning/sizing.xml71
-rw-r--r--fr/partitioning/tree.xml113
13 files changed, 391 insertions, 404 deletions
diff --git a/fr/partitioning/device-names.xml b/fr/partitioning/device-names.xml
index 59b0f5bb7..8c6be386b 100644
--- a/fr/partitioning/device-names.xml
+++ b/fr/partitioning/device-names.xml
@@ -1,88 +1,87 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 39614 -->
<sect1 id="device-names">
- <title>Noms des périphériques sous Linux</title>
+ <title>Noms des périphériques sous Linux</title>
<para>
-Le nom des disques et des partitions sous Linux peut être différent des autres
-systèmes d'exploitation. Vous devez connaître les noms utilisés lors
-de la création et du montage de partitions. Voici les principales
+Le nom des disques et des partitions sous Linux peut être différent des autres
+systèmes d'exploitation. Vous devez connaître les noms utilisés lors
+de la création et du montage de partitions. Voici les principales
conventions de nommage&nbsp;:
</para>
<itemizedlist arch="not-s390">
<listitem><para>
-Le premier lecteur de disquette est nommé <filename>/dev/fd0</filename>.
+Le premier lecteur de disquette est nommé <filename>/dev/fd0</filename>.
</para></listitem>
<listitem><para>
-Le second lecteur de disquette est nommé <filename>/dev/fd1</filename>.
+Le second lecteur de disquette est nommé <filename>/dev/fd1</filename>.
</para></listitem>
<listitem><para>
-Le premier disque SCSI (selon l'ID SCSI) est nommé
+Le premier disque SCSI (selon l'ID SCSI) est nommé
<filename>/dev/sda</filename>.
</para></listitem>
<listitem><para>
-Le deuxième disque SCSI (selon l'ID) est nommé
+Le deuxième disque SCSI (selon l'ID) est nommé
<filename>/dev/sdb</filename>, etc.
</para></listitem>
<listitem><para>
-Le premier cédérom SCSI est nommé <filename>/dev/scd0</filename>,
+Le premier cédérom SCSI est nommé <filename>/dev/scd0</filename>,
ou encore <filename>/dev/sr0</filename>.
</para></listitem>
<listitem><para>
-Le disque maître sur le contrôleur IDE primaire est nommé
+Le disque maître sur le contrôleur IDE primaire est nommé
<filename>/dev/hda</filename>.
</para></listitem>
<listitem><para>
-Le disque esclave sur le contrôleur IDE primaire est nommé
+Le disque esclave sur le contrôleur IDE primaire est nommé
<filename>/dev/hdb</filename>.
</para></listitem>
<listitem><para>
-Les disques maître et esclave sur le deuxième contrôleur sont nommés
+Les disques maître et esclave sur le deuxième contrôleur sont nommés
respectivement <filename>/dev/hdc</filename> et
-<filename>/dev/hdd</filename>. Les nouveaux contrôleurs
-IDE peuvent avoir deux canaux fonctionnant comme deux contrôleurs
+<filename>/dev/hdd</filename>. Les nouveaux contrôleurs
+IDE peuvent avoir deux canaux fonctionnant comme deux contrôleurs
distincts&nbsp;;
<phrase arch="m68k">
-Les lettres peuvent différer de ce que montre le programme Mac
-pdisk (ce que pdisk affiche comme étant <filename>/dev/hdc</filename> peut
-être vu comme <filename>/dev/hda</filename> dans Debian).
+Les lettres peuvent différer de ce que montre le programme Mac
+pdisk (ce que pdisk affiche comme étant <filename>/dev/hdc</filename> peut
+être vu comme <filename>/dev/hda</filename> dans Debian).
</phrase>
</para></listitem>
<listitem arch="x86"><para>
-Le premier disque XT est nommé <filename>/dev/xda</filename>.
+Le premier disque XT est nommé <filename>/dev/xda</filename>.
</para></listitem>
<listitem arch="x86"><para>
-Le second disque XT est nommé <filename>/dev/xdb</filename>.
+Le second disque XT est nommé <filename>/dev/xdb</filename>.
</para></listitem>
<listitem arch="m68k"><para>
-Le premier périphérique ACSI est appelé <filename>/dev/ada</filename>,
-le deuxième, <filename>/dev/adb</filename>.
+Le premier périphérique ACSI est appelé <filename>/dev/ada</filename>,
+le deuxième, <filename>/dev/adb</filename>.
</para></listitem>
</itemizedlist>
@@ -90,12 +89,12 @@ le deuxième, <filename>/dev/adb</filename>.
<itemizedlist arch="s390">
<listitem><para>
-Le premier périphérique DASD est appelé
+Le premier périphérique DASD est appelé
<filename>/dev/dasda</filename>.
</para></listitem>
<listitem><para>
-Le second périphérique DASD est appelé
+Le second périphérique DASD est appelé
<filename>/dev/dasdb</filename>, etc.
</para></listitem>
@@ -103,60 +102,60 @@ Le second périphérique DASD est appelé
<para arch="not-s390">
-Les partitions sur chaque disque sont représentées en ajoutant un
-numéro au nom du disque&nbsp;: <filename>sda1</filename> et
-<filename>sda2</filename> représentent la première et la seconde partition du
-premier disque SCSI du système.
+Les partitions sur chaque disque sont représentées en ajoutant un
+numéro au nom du disque&nbsp;: <filename>sda1</filename> et
+<filename>sda2</filename> représentent la première et la seconde partition du
+premier disque SCSI du système.
</para><para arch="not-s390">
Voici un exemple concret. Supposons que vous ayez deux disques SCSI,
-l'un à l'adresse SCSI 2 et l'autre à l'adresse SCSI 4. Le premier disque (à
-l'adresse 2) est nommé <filename>sda</filename>, et le second
+l'un à l'adresse SCSI 2 et l'autre à l'adresse SCSI 4. Le premier disque (à
+l'adresse 2) est nommé <filename>sda</filename>, et le second
<filename>sdb</filename>. Si le disque <filename>sda</filename> a
trois partitions, elles s'appelleront <filename>sda1</filename>,
-<filename>sda2</filename> et <filename>sda3</filename>. La même convention
-s'applique au disque <filename>sdb</filename> et à ses partitions.
+<filename>sda2</filename> et <filename>sda3</filename>. La même convention
+s'applique au disque <filename>sdb</filename> et à ses partitions.
</para><para arch="not-s390">
-Notez que si vous avez deux adaptateurs SCSI (c.-à-d. des contrôleurs SCSI),
-l'ordre de nommage des disques peut-être embrouillé. La meilleure
-solution est de regarder les messages au démarrage, en supposant que
-vous connaissiez les modèles ou les tailles des disques.
+Notez que si vous avez deux adaptateurs SCSI (c.-à-d. des contrôleurs SCSI),
+l'ordre de nommage des disques peut-être embrouillé. La meilleure
+solution est de regarder les messages au démarrage, en supposant que
+vous connaissiez les modèles ou les tailles des disques.
</para><para arch="x86">
-Linux représente les partitions primaires par le nom du disque, suivi
-des nombres 1 à 4. Par exemple la première partition sur le premier
+Linux représente les partitions primaires par le nom du disque, suivi
+des nombres 1 à 4. Par exemple la première partition sur le premier
disque IDE est <filename>/dev/hda1</filename>. Les partitions logiques sont
-numérotées à partir de 5. Donc, la première partition logique sur ce
-même disque est <filename>/dev/hda5</filename>. Rappelez-vous que la partition
-étendue, c'est-à-dire la partition primaire contenant les partitions
-logiques, n'est pas utilisable en elle-même.
+numérotées à partir de 5. Donc, la première partition logique sur ce
+même disque est <filename>/dev/hda5</filename>. Rappelez-vous que la partition
+étendue, c'est-à-dire la partition primaire contenant les partitions
+logiques, n'est pas utilisable en elle-même.
Cela s'applique aussi bien aux disques IDE qu'aux disques SCSI.
</para><para arch="m68k">
-Les systèmes à VMEbus utilisant le lecteur de disquettes SCSI TEAC FC-1
+Les systèmes à VMEbus utilisant le lecteur de disquettes SCSI TEAC FC-1
le verront comme un disque SCSI normal. Pour faciliter
-l'identification du lecteur, le logiciel d'installation créera un lien
-symbolique <filename>/dev/sfd0</filename> vers le périphérique approprié.
+l'identification du lecteur, le logiciel d'installation créera un lien
+symbolique <filename>/dev/sfd0</filename> vers le périphérique approprié.
</para><para arch="sparc">
-Les partitions des disques Sun autorisent 8 partitions différentes (ou
-tranches, <emphasis>slices</emphasis>). La troisième partition est
-habituellement (et de préférence) la partition «&nbsp;Disque Entier&nbsp;».
-Cette partition référence tous les secteurs du disque, et est utilisée
-par le programme d'amorçage (soit SILO, soit celui de Sun).
+Les partitions des disques Sun autorisent 8 partitions différentes (ou
+tranches, <emphasis>slices</emphasis>). La troisième partition est
+habituellement (et de préférence) la partition «&nbsp;Disque Entier&nbsp;».
+Cette partition référence tous les secteurs du disque, et est utilisée
+par le programme d'amorçage (soit SILO, soit celui de Sun).
</para><para arch="s390">
-Les partitions sur chaque disque sont représentées en ajoutant un
-numéro au nom du disque&nbsp;: <filename>dasda1</filename> et
-<filename>dasda2</filename> représentent la première et la seconde partition du
-premier périphérique DASD du système.
+Les partitions sur chaque disque sont représentées en ajoutant un
+numéro au nom du disque&nbsp;: <filename>dasda1</filename> et
+<filename>dasda2</filename> représentent la première et la seconde partition du
+premier périphérique DASD du système.
</para>
</sect1>
diff --git a/fr/partitioning/partition-programs.xml b/fr/partitioning/partition-programs.xml
index 52e5a32a9..67ad0e920 100644
--- a/fr/partitioning/partition-programs.xml
+++ b/fr/partitioning/partition-programs.xml
@@ -1,13 +1,12 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 42302 -->
<sect1 id="partition-programs">
<title>Programmes de partitionnement</title>
<para>
-De nombreux utilitaires de partitionnement ont été adaptés par
-les développeurs Debian pour fonctionner sur différents types de disques
-et d'architectures matérielles.
+De nombreux utilitaires de partitionnement ont été adaptés par
+les développeurs Debian pour fonctionner sur différents types de disques
+et d'architectures matérielles.
Voici les programmes qui sont disponibles sur votre architecture&nbsp;:
</para>
@@ -19,7 +18,7 @@ Voici les programmes qui sont disponibles sur votre architecture&nbsp;:
<listitem><para>
C'est le partitionneur que recommande Debian. Ce <quote>couteau suisse</quote>
-sait aussi redimensionner des partitions et monter des systèmes de fichiers
+sait aussi redimensionner des partitions et monter des systèmes de fichiers
<phrase arch="x86"> (<quote>formater</quote> en langage Windows)</phrase>
sur des points de montage.
@@ -35,9 +34,9 @@ C'est le premier partitionneur de disque pour Linux... bon pour les gourous.
</para><para>
Faites attention si vous avez des partitions FreeBSD sur votre machine. Les
-noyaux d'installation reconnaissent ces partitions, mais la façon
-dont <command>fdisk</command> les représente (ou pas) peut faire varier les
-noms des périphériques. Lisez attentivement le
+noyaux d'installation reconnaissent ces partitions, mais la façon
+dont <command>fdisk</command> les représente (ou pas) peut faire varier les
+noms des périphériques. Lisez attentivement le
<ulink url="&url-linux-freebsd;">Linux+FreeBSD HOWTO</ulink>.
</para></listitem>
@@ -47,14 +46,14 @@ noms des périphériques. Lisez attentivement le
<term><command>cfdisk</command></term>
<listitem><para>
-C'est un partitionneur simple à utiliser, fonctionnant en mode plein écran...
+C'est un partitionneur simple à utiliser, fonctionnant en mode plein écran...
pour nous autres.
</para><para>
-Remarquez que <command>cfdisk</command> ne reconnaît pas du tout
-les partitions FreeBSD et que les noms des périphériques peuvent
-être différents.
+Remarquez que <command>cfdisk</command> ne reconnaît pas du tout
+les partitions FreeBSD et que les noms des périphériques peuvent
+être différents.
</para></listitem>
</varlistentry>
@@ -90,7 +89,7 @@ Version de <command>fdisk</command> pour Mac.
<term><command>pmac-fdisk</command></term>
<listitem><para>
-Version de <command>fdisk</command> pour les PowerMac, et les systèmes BVM et
+Version de <command>fdisk</command> pour les PowerMac, et les systèmes BVM et
Motorola VMEbus.
</para></listitem>
@@ -102,7 +101,7 @@ Motorola VMEbus.
Version de <command>fdisk</command> pour les &arch-title;.
Lisez la page de manuel de fdasd ou le chapitre 13 de
-<ulink url="http://oss.software.ibm.com/developerworks/opensource/linux390/docu\/l390dd08.pdf">Pilotes de périphériques et commandes d'installation</ulink>.
+<ulink url="http://oss.software.ibm.com/developerworks/opensource/linux390/docu\/l390dd08.pdf">Pilotes de périphériques et commandes d'installation</ulink>.
</para></listitem>
</varlistentry>
@@ -110,23 +109,23 @@ Lisez la page de manuel de fdasd ou le chapitre 13 de
<para>
-L'un de ces programmes sera lancé par défaut quand vous sélectionnerez&nbsp;:
+L'un de ces programmes sera lancé par défaut quand vous sélectionnerez&nbsp;:
<guimenuitem>Partitionner un disque dur</guimenuitem>. Il est possible d'utiliser
-un autre partitionneur sur la console VT2 mais cela n'est pas recommandé.
+un autre partitionneur sur la console VT2 mais cela n'est pas recommandé.
</para>
<para arch="x86">
-N'oubliez pas de rendre amorçable votre partition racine.
+N'oubliez pas de rendre amorçable votre partition racine.
</para>
<para condition="mac-fdisk.txt">
-Un point important est que la partition d'échange (<emphasis>swap</emphasis>)
-est identifiée par son nom sur les disques de type Mac&nbsp;: ce doit être <quote>swap</quote>.
-Toutes les partitions Mac linux sont identifiées sous le même type de partition,
-Apple_UNIX_SRV2. Veuillez lire le manuel approprié.
-Nous vous suggérons aussi de lire le <ulink url="&url-mac-fdisk-tutorial;">
-guide d'initiation à mac-fdisk"></ulink>, qui décrit les étapes que vous devez
+Un point important est que la partition d'échange (<emphasis>swap</emphasis>)
+est identifiée par son nom sur les disques de type Mac&nbsp;: ce doit être <quote>swap</quote>.
+Toutes les partitions Mac linux sont identifiées sous le même type de partition,
+Apple_UNIX_SRV2. Veuillez lire le manuel approprié.
+Nous vous suggérons aussi de lire le <ulink url="&url-mac-fdisk-tutorial;">
+guide d'initiation à mac-fdisk"></ulink>, qui décrit les étapes que vous devez
suivre si vous voulez partager votre disque avec MacOS.
</para>
diff --git a/fr/partitioning/partition/alpha.xml b/fr/partitioning/partition/alpha.xml
index 5989ef8d4..6f1aff250 100644
--- a/fr/partitioning/partition/alpha.xml
+++ b/fr/partitioning/partition/alpha.xml
@@ -1,15 +1,14 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 39920 -->
<sect2 arch="alpha"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title>
<para>
-Pour démarrer Debian à partir d'une console SRM (seule méthode possible pour
-amorcer sur un disque avec &releasename;), le disque d'amorçage doit
+Pour démarrer Debian à partir d'une console SRM (seule méthode possible pour
+amorcer sur un disque avec &releasename;), le disque d'amorçage doit
avoir une table des partitions de type BSD et non pas de type DOS.
-Rappelez-vous que le bloc de démarrage SRM est incompatible avec les tables
+Rappelez-vous que le bloc de démarrage SRM est incompatible avec les tables
de partition MS-DOS &mdash; voyez <xref linkend="alpha-firmware"/>. Pour
-l'architecture &architecture;, <command>partman</command> créera une table
+l'architecture &architecture;, <command>partman</command> créera une table
de type BSD&nbsp;; si le disque contient une table de type DOS, il faudra
supprimer les partitions existantes pour que <command>partman</command>
puisse modifier le disque.
@@ -21,36 +20,36 @@ utiliser la commande <quote>b</quote> pour passer en mode BSD.
</para>
<para>
-À moins que vous ne vouliez utiliser le disque que vous partitionnez
-pour des systèmes d'exploitation dérivés de Tru64 Unix ou de
+À moins que vous ne vouliez utiliser le disque que vous partitionnez
+pour des systèmes d'exploitation dérivés de Tru64 Unix ou de
4.4BSD-Lite (FreeBSD, OpenBSD ou NetBSD), vous <emphasis>ne devez
-pas</emphasis> créer une 3e partition contenant le disque entier (c'est-à-dire
-avec des secteurs de début et de fin qui embrassent tout le disque). Cela
-rend le disque incompatible avec les outils qui servent à en faire un disque
-amorçable avec aboot. Cela signifie que le disque configuré par l'installateur
-pour être le disque d'amorçage de Debian ne sera pas accessible aux
-systèmes d'exploitation mentionnés ci-dessus.
+pas</emphasis> créer une 3e partition contenant le disque entier (c'est-à-dire
+avec des secteurs de début et de fin qui embrassent tout le disque). Cela
+rend le disque incompatible avec les outils qui servent à en faire un disque
+amorçable avec aboot. Cela signifie que le disque configuré par l'installateur
+pour être le disque d'amorçage de Debian ne sera pas accessible aux
+systèmes d'exploitation mentionnés ci-dessus.
</para><para>
-De même, puisque <command>aboot</command> est écrit sur les premiers secteurs
+De même, puisque <command>aboot</command> est écrit sur les premiers secteurs
du disque (actuellement, il occupe environ 70 Ko, soit 150 secteurs),
vous <emphasis>devez</emphasis> lui laisser suffisamment d'espace libre en
-début de disque. Par le passé, on suggérait de créer une petite partition
-en début de disque, non formatée. Pour la même raison que celle
-évoquée plus haut, nous suggérons maintenant de ne pas faire cela
-sur les disques qui ne seront utilisés que pour GNU/Linux. Avec
-<command>partman</command>, cette partition est toujours créée pour des
+début de disque. Par le passé, on suggérait de créer une petite partition
+en début de disque, non formatée. Pour la même raison que celle
+évoquée plus haut, nous suggérons maintenant de ne pas faire cela
+sur les disques qui ne seront utilisés que pour GNU/Linux. Avec
+<command>partman</command>, cette partition est toujours créée pour des
raisons pratiques.
</para><para condition="FIXME">
-Pour les installations ARC, vous devriez créer une petite partition FAT
-en début de disque, qui contienne <command>MILO</command> et
+Pour les installations ARC, vous devriez créer une petite partition FAT
+en début de disque, qui contienne <command>MILO</command> et
<command>linload.exe</command> &mdash; 5&nbsp;Mo devraient suffire, voir
-<xref linkend="non-debian-partitioning"/>. Malheureusement, la création de
-systèmes de fichiers FAT n'est pas encore intégrée dans le menu, aussi,
-vous devrez le faire manuellement à partir du shell d'installation
+<xref linkend="non-debian-partitioning"/>. Malheureusement, la création de
+systèmes de fichiers FAT n'est pas encore intégrée dans le menu, aussi,
+vous devrez le faire manuellement à partir du shell d'installation
avec <command>mkdosfs</command> avant de tenter d'installer le chargeur de
boot.
diff --git a/fr/partitioning/partition/hppa.xml b/fr/partitioning/partition/hppa.xml
index 72e7ac027..eda84717e 100644
--- a/fr/partitioning/partition/hppa.xml
+++ b/fr/partitioning/partition/hppa.xml
@@ -1,21 +1,20 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 35595 -->
<sect2 arch="hppa"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title>
<para>
-PALO, le programme d'amorçage pour HPPA, nécessite une partition de type
-<quote>F0</quote> quelque part dans les deux premiers Go. C'est la partition où seront
-stockés le programme d'amorçage, le noyau et un disque virtuel optionnel,
+PALO, le programme d'amorçage pour HPPA, nécessite une partition de type
+<quote>F0</quote> quelque part dans les deux premiers Go. C'est la partition où seront
+stockés le programme d'amorçage, le noyau et un disque virtuel optionnel,
aussi faites-la assez grande, au moins 4&nbsp;Mo
-(je préfère 8 à 16&nbsp;Mo). Le microprogramme (<emphasis>firmware</emphasis>)
-exige de plus que le noyau Linux réside dans les deux premiers Go.
-On règle souvent cette question en mettant la totalité de la partition racine
-ext2 dans les deux premiers Go du disque. Sinon, vous pouvez créer
-une petite partition ext2 au début du disque et la monter sur
-<filename>/boot</filename>, le répertoire où les noyaux Linux seront stockés.
-<filename>/boot</filename> doit être assez gros pour contenir tous les noyaux (et sauvegardes)
-que vous voulez charger&nbsp;; 25 à 50&nbsp;Mo sont généralement suffisants.
+(je préfère 8 à 16&nbsp;Mo). Le microprogramme (<emphasis>firmware</emphasis>)
+exige de plus que le noyau Linux réside dans les deux premiers Go.
+On règle souvent cette question en mettant la totalité de la partition racine
+ext2 dans les deux premiers Go du disque. Sinon, vous pouvez créer
+une petite partition ext2 au début du disque et la monter sur
+<filename>/boot</filename>, le répertoire où les noyaux Linux seront stockés.
+<filename>/boot</filename> doit être assez gros pour contenir tous les noyaux (et sauvegardes)
+que vous voulez charger&nbsp;; 25 à 50&nbsp;Mo sont généralement suffisants.
</para>
</sect2> \ No newline at end of file
diff --git a/fr/partitioning/partition/ia64.xml b/fr/partitioning/partition/ia64.xml
index 46dd10cb8..8299b4d10 100644
--- a/fr/partitioning/partition/ia64.xml
+++ b/fr/partitioning/partition/ia64.xml
@@ -1,13 +1,12 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 43254 -->
<sect2 arch="ia64"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title>
<para>
-<command>Partman</command> est l'outil de partitionnement par défaut de
-l'installateur. Il permet de créer les partitions et de positionner les
-points de montage pour s'assurer que les disques et les systèmes de fichiers
-seront correctement configurés lors de l'installation. Il utilise le programme
-<command>parted</command> pour créer les partitions du disque.
+<command>Partman</command> est l'outil de partitionnement par défaut de
+l'installateur. Il permet de créer les partitions et de positionner les
+points de montage pour s'assurer que les disques et les systèmes de fichiers
+seront correctement configurés lors de l'installation. Il utilise le programme
+<command>parted</command> pour créer les partitions du disque.
</para>
@@ -15,31 +14,31 @@ seront correctement configurés lors de l'installation. Il utilise le programme
<title>Formats reconnu par EFI</title>
<para>
Le microprogramme (<emphasis>firmware</emphasis>) EFI pour IA-64 accepte deux
-formats de table de partitions (ou d'étiquette disque), GPT et MS-DOS.
-MS-DOS est le format classique des PC i386, et n'est pas recommandé
-pour les systèmes IA-64. Bien que l'installateur fournisse aussi l'utilitaire
+formats de table de partitions (ou d'étiquette disque), GPT et MS-DOS.
+MS-DOS est le format classique des PC i386, et n'est pas recommandé
+pour les systèmes IA-64. Bien que l'installateur fournisse aussi l'utilitaire
<command>cfdisk</command>, vous devez utiliser uniquement
<ulink url="parted.txt"><command>parted</command></ulink>, parce qu'il est le
-seul capable de gérer correctement à la fois les tables GPT et MS-DOS.
+seul capable de gérer correctement à la fois les tables GPT et MS-DOS.
</para></note>
<para>
-Les règles de partitionnement automatique de <command>partman</command>
-attribuent la première partition du disque à EFI.
-Vous pouvez également installer la partition depuis le menu principal
-sous <guimenuitem>Partitionnement assisté</guimenuitem> de la même manière
-que vous avez installé la partition d'échange (<emphasis>swap</emphasis>).
+Les règles de partitionnement automatique de <command>partman</command>
+attribuent la première partition du disque à EFI.
+Vous pouvez également installer la partition depuis le menu principal
+sous <guimenuitem>Partitionnement assisté</guimenuitem> de la même manière
+que vous avez installé la partition d'échange (<emphasis>swap</emphasis>).
</para><para>
-<command>Partman</command> est capable de gérer la plupart des disques.
-Pour les rares cas où il est nécessaire d'installer manuellement un disque,
-vous pouvez exécuter l'utilitaire <command>parted</command> directement en
-utilisant son interface en ligne de commande. En supposant que vous désiriez
-effacer tout votre disque, et créer une table GPT et des partitions,
-les commandes suivantes peuvent être utilisées&nbsp;:
+<command>Partman</command> est capable de gérer la plupart des disques.
+Pour les rares cas où il est nécessaire d'installer manuellement un disque,
+vous pouvez exécuter l'utilitaire <command>parted</command> directement en
+utilisant son interface en ligne de commande. En supposant que vous désiriez
+effacer tout votre disque, et créer une table GPT et des partitions,
+les commandes suivantes peuvent être utilisées&nbsp;:
<informalexample><screen>
mklabel gpt
@@ -51,53 +50,53 @@ les commandes suivantes peuvent être utilisées&nbsp;:
quit
</screen></informalexample>
-Ces commandes créent une nouvelle table de partitions, et trois partitions,
-utilisées en tant que partition d'amorçage EFI, partition d'échange, et
-système de fichiers racine. Enfin, on positionne le drapeau de boot
+Ces commandes créent une nouvelle table de partitions, et trois partitions,
+utilisées en tant que partition d'amorçage EFI, partition d'échange, et
+système de fichiers racine. Enfin, on positionne le drapeau de boot
sur la partition EFI.
-Les partitions sont spécifiées en Mo, avec les décalages de début et
-de fin à partir du début du disque. Ainsi, par exemple, nous avons
-créé ci-dessus un système de fichier ext2 de 1999&nbsp;Mo, démarrant à
-1001&nbsp;Mo du début du disque.
-Notez que le formatage de l'espace d'échange avec <command>parted</command>
-peut prendre plusieurs minutes, car il cherche à détecter les blocs défectueux
+Les partitions sont spécifiées en Mo, avec les décalages de début et
+de fin à partir du début du disque. Ainsi, par exemple, nous avons
+créé ci-dessus un système de fichier ext2 de 1999&nbsp;Mo, démarrant à
+1001&nbsp;Mo du début du disque.
+Notez que le formatage de l'espace d'échange avec <command>parted</command>
+peut prendre plusieurs minutes, car il cherche à détecter les blocs défectueux
de la partition.
</para>
</sect2>
- <sect2 arch="ia64"><title>Partition nécessaire pour le programme d'amorçage</title>
+ <sect2 arch="ia64"><title>Partition nécessaire pour le programme d'amorçage</title>
<para>
-ELILO, le programme d'amorçage pour IA-64, nécessite une partition
-contenant un système FAT avec le drapeau <userinput>boot</userinput>
-positionné. La partition doit être assez grande pour contenir le programme
-d'amorçage et tous les noyaux et les images des disques virtuels que vous
-voudrez utiliser pour démarrer. Une taille minimale serait de 20&nbsp;Mo,
-mais si vous souhaitez avoir différents noyaux, 128&nbsp;Mo est sûrement
-plus adapté.
+ELILO, le programme d'amorçage pour IA-64, nécessite une partition
+contenant un système FAT avec le drapeau <userinput>boot</userinput>
+positionné. La partition doit être assez grande pour contenir le programme
+d'amorçage et tous les noyaux et les images des disques virtuels que vous
+voudrez utiliser pour démarrer. Une taille minimale serait de 20&nbsp;Mo,
+mais si vous souhaitez avoir différents noyaux, 128&nbsp;Mo est sûrement
+plus adapté.
</para><para>
-le programme d'amorçage EFI et le shell EFI gèrent tous deux les tables
-GPT, donc la partition de démarrage ne doit pas nécessairement être la
-première partition ni même être sur le même disque.
-C'est pratique si vous avez oublié d'allouer une partition et
-que vous vous en aperceviez seulement après avoir formaté les autres
-partitions de vos disques. L'utilitaire <command>partman</command> vérifie
-la partition EFI en même temps qu'il vérifie que l'installation de la partition
-racine (<emphasis>root</emphasis>) s'est correctement passée.
+le programme d'amorçage EFI et le shell EFI gèrent tous deux les tables
+GPT, donc la partition de démarrage ne doit pas nécessairement être la
+première partition ni même être sur le même disque.
+C'est pratique si vous avez oublié d'allouer une partition et
+que vous vous en aperceviez seulement après avoir formaté les autres
+partitions de vos disques. L'utilitaire <command>partman</command> vérifie
+la partition EFI en même temps qu'il vérifie que l'installation de la partition
+racine (<emphasis>root</emphasis>) s'est correctement passée.
Cela vous donne une occasion de corriger la disposition du disque avant que
l'installation des paquets commence.
-La manière la plus facile de corriger cette omission est de rétrécir la
-dernière partition du disque afin d'obtenir suffisamment d'espace libre et de
+La manière la plus facile de corriger cette omission est de rétrécir la
+dernière partition du disque afin d'obtenir suffisamment d'espace libre et de
pouvoir rajouter une partition EFI.
</para><para>
-Il est fortement recommandé que votre partition d'amorçage EFI soit sur le
-même disque que la racine de votre sytème de fichiers.
+Il est fortement recommandé que votre partition d'amorçage EFI soit sur le
+même disque que la racine de votre sytème de fichiers.
</para>
</sect2>
@@ -106,17 +105,17 @@ même disque que la racine de votre sytème de fichiers.
<para>
-Le microprogramme EFI est sensiblement plus sophistiqué que le BIOS habituel
+Le microprogramme EFI est sensiblement plus sophistiqué que le BIOS habituel
qu'on trouve sur les PC x86.
-Quelques fournisseurs de système tirent profit des capacités du microprogramme
-EFI à accéder aux fichiers et à exécuter des programmes depuis un système de
+Quelques fournisseurs de système tirent profit des capacités du microprogramme
+EFI à accéder aux fichiers et à exécuter des programmes depuis un système de
fichiers pour stocker sur le disque des utilitaires de diagnostics et d'administration
-système basés sur EFI. Ils sont sur une partition séparée de type FAT sur le
-disque système.
-Reportez-vous à la documentation et aux accessoires fournis avec votre système
-pour plus de détails.
-Le moment le plus approprié pour installer une partition de diagnostic est au
-moment de l'installation de la partition de démarrage EFI.
+système basés sur EFI. Ils sont sur une partition séparée de type FAT sur le
+disque système.
+Reportez-vous à la documentation et aux accessoires fournis avec votre système
+pour plus de détails.
+Le moment le plus approprié pour installer une partition de diagnostic est au
+moment de l'installation de la partition de démarrage EFI.
</para>
diff --git a/fr/partitioning/partition/mips.xml b/fr/partitioning/partition/mips.xml
index 8ab15dae3..f1d3dd749 100644
--- a/fr/partitioning/partition/mips.xml
+++ b/fr/partitioning/partition/mips.xml
@@ -1,17 +1,16 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 35613 -->
<sect2 arch="mips"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title>
<para>
-Les machines SGI nécessitent une étiquette de disque (<emphasis>disklabel</emphasis>)
-SGI afin de pouvoir démarrer le système depuis le disque dur. Elle peut
-être créée à partir du menu expert de <command>fdisk</command>.
-L'en-tête du volume ainsi créé (numéro de partition 9) devrait faire au moins
+Les machines SGI nécessitent une étiquette de disque (<emphasis>disklabel</emphasis>)
+SGI afin de pouvoir démarrer le système depuis le disque dur. Elle peut
+être créée à partir du menu expert de <command>fdisk</command>.
+L'en-tête du volume ainsi créé (numéro de partition 9) devrait faire au moins
3&nbsp;Mo. Afin de pouvoir y stocker plusieurs noyaux, une taille de
-10&nbsp;Mo est recommandée. Si l'en-tête de volume est trop petit, vous
-pouvez tout simplement effacer la partition numéro 9 et le recréer
-avec une taille différente. Notez que l'en-tête de volume doit démarrer
+10&nbsp;Mo est recommandée. Si l'en-tête de volume est trop petit, vous
+pouvez tout simplement effacer la partition numéro 9 et le recréer
+avec une taille différente. Notez que l'en-tête de volume doit démarrer
au secteur 0.
</para>
diff --git a/fr/partitioning/partition/powerpc.xml b/fr/partitioning/partition/powerpc.xml
index f557ee8ff..e578e3ed7 100644
--- a/fr/partitioning/partition/powerpc.xml
+++ b/fr/partitioning/partition/powerpc.xml
@@ -1,48 +1,47 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 48741 -->
<sect2 arch="powerpc"><title>Partitionnement pour les PowerMacs</title>
<para>
Si vous faites l'installation sur un PowerMac NewWorld,
-vous devez créer une partition de démarrage spéciale pour contenir le
-programme d'amorçage. Sa taille doit être au moins égale à 819200&nbsp;octets et son type,
+vous devez créer une partition de démarrage spéciale pour contenir le
+programme d'amorçage. Sa taille doit être au moins égale à 819200&nbsp;octets et son type,
<emphasis>Apple_Bootstrap</emphasis>. Si la partition n'est pas
-créée avec ce type précis, votre machine ne pourra pas démarrer à
-partir du disque dur. Vous pouvez utiliser <command>partman</command> et créer
-une partition de démarrage <quote>NewWorld</quote>&nbsp;; vous pouvez aussi
+créée avec ce type précis, votre machine ne pourra pas démarrer à
+partir du disque dur. Vous pouvez utiliser <command>partman</command> et créer
+une partition de démarrage <quote>NewWorld</quote>&nbsp;; vous pouvez aussi
utiliser <command>mac-fdisk</command> avec la commande
<userinput>b</userinput>.
</para><para>
-Le type spécial de partition Apple_Bootstrap est nécessaire pour
-empêcher MacOS de monter et d'endommager la partition de démarrage, car
-elle contient des modifications spécialement faites pour permettre à
-Open Firmware de la démarrer automatiquement.
+Le type spécial de partition Apple_Bootstrap est nécessaire pour
+empêcher MacOS de monter et d'endommager la partition de démarrage, car
+elle contient des modifications spécialement faites pour permettre à
+Open Firmware de la démarrer automatiquement.
</para><para>
-Notez que cette partition n'est supposée contenir que 3
+Notez que cette partition n'est supposée contenir que 3
petits fichiers&nbsp;: le binaire <command>yaboot</command>, son fichier de
configuration <filename>yaboot.conf</filename>, et un premier niveau du
chargeur OpenFirmware, <command>ofboot.b</command>.
-Il est inutile de la monter dans votre système de fichiers (et elle ne doit
-pas l'être), ni d'y copier un noyau ou quoi que ce soit d'autre.
+Il est inutile de la monter dans votre système de fichiers (et elle ne doit
+pas l'être), ni d'y copier un noyau ou quoi que ce soit d'autre.
Les utilitaires <command>ybin</command> et <command>mkofboot</command>
-servent à manipuler cette partition.
+servent à manipuler cette partition.
</para><para>
-Afin qu'Open Firmware démarre automatiquement &debian;, la partition
-de démarrage doit apparaître sur le disque avant toute autre partition,
-et surtout, avant les partitions de démarrage de MacOS.
-Vous devriez créer en premier la partition de démarrage.
-Cependant, si vous ajoutez une partition de démarrage, vous
+Afin qu'Open Firmware démarre automatiquement &debian;, la partition
+de démarrage doit apparaître sur le disque avant toute autre partition,
+et surtout, avant les partitions de démarrage de MacOS.
+Vous devriez créer en premier la partition de démarrage.
+Cependant, si vous ajoutez une partition de démarrage, vous
pouvez utilisez la commande <userinput>r</userinput> de
<command>mac-fdisk</command> pour
-réordonner les partitions, de sorte que celle de démarrage suive
-immédiatement la table (c'est toujours la première partition).
+réordonner les partitions, de sorte que celle de démarrage suive
+immédiatement la table (c'est toujours la première partition).
C'est l'ordre logique de la table qui compte, pas l'ordre des adresses
physiques sur le disque.
@@ -51,7 +50,7 @@ physiques sur le disque.
Les disques Apple ont habituellement plusieurs petites partitions pour
les pilotes. Si vous envisagez de pouvoir amorcer aussi MacOSX, vous devez
garder ces partitions et une petite partition HFS (800&nbsp;Ko au minimum).
-En effet, à chaque démarrage, MacOSX propose d'initialiser chaque disque qui
+En effet, à chaque démarrage, MacOSX propose d'initialiser chaque disque qui
n'a pas de partition MacOS active ou pas de partition pour les pilotes.
</para>
diff --git a/fr/partitioning/partition/sparc.xml b/fr/partitioning/partition/sparc.xml
index a1576303f..b89e62866 100644
--- a/fr/partitioning/partition/sparc.xml
+++ b/fr/partitioning/partition/sparc.xml
@@ -1,37 +1,36 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 11648 -->
<sect2 arch="sparc"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title>
<para>
-Assurez-vous de créer un <quote>Sun disk label</quote> sur votre disque de
-démarrage.
-C'est le seul type de schéma de partition que comprend l'OpenBoot en PROM,
-et donc le seul schéma de partition à partir duquel vous pouvez démarrer.
+Assurez-vous de créer un <quote>Sun disk label</quote> sur votre disque de
+démarrage.
+C'est le seul type de schéma de partition que comprend l'OpenBoot en PROM,
+et donc le seul schéma de partition à partir duquel vous pouvez démarrer.
Dans <command>fdisk</command>, c'est la touche <keycap>s</keycap> qui est
-utilisée pour créer les <quote>Sun disk labels</quote>.
+utilisée pour créer les <quote>Sun disk labels</quote>.
</para><para>
-De plus, avec les disques &arch-title;, assurez-vous que la première
-partition de votre disque de démarrage commence au cylindre 0. C'est
-obligatoire et cela signifie également que la première partition
-contient la table de partitions et le bloc de démarrage (<emphasis>boot
-block</emphasis>), qui représentent les 2 premiers secteurs du disque.
-Vous <emphasis>ne devez pas</emphasis> placer la partition d'échange
-sur la première partition du disque de démarrage, vu que les
-partitions d'échange ne respectent pas les premiers secteurs
-de la partition. Vous pouvez placer une partition ext2 ou UFS à cet
+De plus, avec les disques &arch-title;, assurez-vous que la première
+partition de votre disque de démarrage commence au cylindre 0. C'est
+obligatoire et cela signifie également que la première partition
+contient la table de partitions et le bloc de démarrage (<emphasis>boot
+block</emphasis>), qui représentent les 2 premiers secteurs du disque.
+Vous <emphasis>ne devez pas</emphasis> placer la partition d'échange
+sur la première partition du disque de démarrage, vu que les
+partitions d'échange ne respectent pas les premiers secteurs
+de la partition. Vous pouvez placer une partition ext2 ou UFS à cet
endroit&nbsp;; cela laissera la table de partitions et le bloc de
-démarrage tranquilles.
+démarrage tranquilles.
</para><para>
-Il est aussi conseillé que la 3e partition soit de type
-«&nbsp;Whole disk&nbsp;» (type 5),
+Il est aussi conseillé que la 3e partition soit de type
+«&nbsp;Whole disk&nbsp;» (type 5),
et contienne le disque entier (du premier au dernier cylindre).
-C'est une convention des étiquettes des disques Sun et cela aide le
-chargeur de démarrage <command>SILO</command> à ne pas perdre la tête.
+C'est une convention des étiquettes des disques Sun et cela aide le
+chargeur de démarrage <command>SILO</command> à ne pas perdre la tête.
</para>
</sect2> \ No newline at end of file
diff --git a/fr/partitioning/partition/x86.xml b/fr/partitioning/partition/x86.xml
index d3d51cb8d..2658f2dee 100644
--- a/fr/partitioning/partition/x86.xml
+++ b/fr/partitioning/partition/x86.xml
@@ -1,102 +1,101 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 42250 -->
<sect2 arch="x86"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title>
<para>
-Si vous voulez préserver un système d'exploitation existant comme
+Si vous voulez préserver un système d'exploitation existant comme
DOS ou Windows, il vous faudra redimensionner sa partition pour faire de la
-place pour installer Debian. L'installateur sait redimensionner les systèmes
-de fichiers FAT et NTFS&nbsp;; quand vous arrivez à l'étape
+place pour installer Debian. L'installateur sait redimensionner les systèmes
+de fichiers FAT et NTFS&nbsp;; quand vous arrivez à l'étape
<quote>Partitionnement</quote> de l'installateur, choisissez
<guimenuitem>Manuel</guimenuitem> et indiquez simplement la nouvelle taille de la partition.
</para>
<para>
-Les BIOS des PC ont généralement leurs propres contraintes pour le
+Les BIOS des PC ont généralement leurs propres contraintes pour le
partitionnement des disques. Il y a une limite sur le nombre de
-partitions «&nbsp;primaires&nbsp;» et «&nbsp;logiques&nbsp;» qu'un disque
+partitions «&nbsp;primaires&nbsp;» et «&nbsp;logiques&nbsp;» qu'un disque
peut contenir.
-De plus, avec les BIOS antérieurs à 1994&ndash;98 (selon les constructeurs),
-il y a des limites sur l'emplacement des partitions à
-partir desquelles on peut démarrer le système. Vous trouverez plus
+De plus, avec les BIOS antérieurs à 1994&ndash;98 (selon les constructeurs),
+il y a des limites sur l'emplacement des partitions à
+partir desquelles on peut démarrer le système. Vous trouverez plus
d'information dans le
<ulink url="&url-partition-howto;">HOWTO Linux Partition</ulink> et la
<ulink url="&url-phoenix-bios-faq-large-disk;">FAQ Phoenix BIOS</ulink>, mais
-cette section contient un bref survol pour vous aider à aplanir les difficultés
+cette section contient un bref survol pour vous aider à aplanir les difficultés
les plus courantes.
</para><para>
-À l'origine, le système de partitionnement des disques de PC est basé
-sur les partitions «&nbsp;primaires&nbsp;», mais il ne peut y en avoir que
+À l'origine, le système de partitionnement des disques de PC est basé
+sur les partitions «&nbsp;primaires&nbsp;», mais il ne peut y en avoir que
quatre.
-Pour passer outre cette limitation, les partitions «&nbsp;étendues&nbsp;»
-et «&nbsp;logiques&nbsp;» ont été inventées. En configurant une partition
+Pour passer outre cette limitation, les partitions «&nbsp;étendues&nbsp;»
+et «&nbsp;logiques&nbsp;» ont été inventées. En configurant une partition
primaire
-en partition étendue, vous pouvez subdiviser l'espace attribué à cette
-partition en partitions «&nbsp;logiques&nbsp;». La partition étendue peut
-contenir jusqu'à 60 partitions logiques&nbsp;; en revanche,
-il ne peut y avoir qu'une seule partition étendue par disque.
+en partition étendue, vous pouvez subdiviser l'espace attribué à cette
+partition en partitions «&nbsp;logiques&nbsp;». La partition étendue peut
+contenir jusqu'à 60 partitions logiques&nbsp;; en revanche,
+il ne peut y avoir qu'une seule partition étendue par disque.
</para><para>
-Linux limite le nombre de partitions à 15 par disque SCSI (3
+Linux limite le nombre de partitions à 15 par disque SCSI (3
partitions primaires utilisables et 12 partitions logiques dans la
-partition étendue) et à 63
+partition étendue) et à 63
par disque IDE (3 partitions primaires et 60 partitions logiques).
-Cependant, le système &debian; classique fournit seulement 20 périphériques
-pour les partitions, c'est pourquoi vous ne pourrez pas procéder à
-l'installation sur des partitions supérieures à 20, à moins d'avoir
-créé manuellement des périphériques pour ces partitions.
+Cependant, le système &debian; classique fournit seulement 20 périphériques
+pour les partitions, c'est pourquoi vous ne pourrez pas procéder à
+l'installation sur des partitions supérieures à 20, à moins d'avoir
+créé manuellement des périphériques pour ces partitions.
</para><para>
Si vous avez un gros disque IDE, et que vous n'utilisez ni l'adressage
LBA ni les pilotes en couche (quelquefois fournis par les
-constructeurs de disques), la partition de démarrage (celle qui
-contient l'image noyau) doit être placée dans les 1024 premiers
+constructeurs de disques), la partition de démarrage (celle qui
+contient l'image noyau) doit être placée dans les 1024 premiers
cylindres de votre disque dur (habituellement, autour de 524&nbsp;Mo, sans
la translation du BIOS).
</para><para>
-Cette restriction ne s'applique pas si vous avez un BIOS postérieur à
+Cette restriction ne s'applique pas si vous avez un BIOS postérieur à
1995&ndash;98 (selon les constructeurs) qui prend en charge la norme
<quote>Enhanced Disk Drive Support Specification</quote>.
Lilo, le chargeur Linux et la commande Debian <command>mbr</command> ont
besoin du BIOS pour charger en RAM le noyau lu sur le disque.
-Si les extensions du BIOS int 0x13 pour l'accès aux gros disques sont
-présentes, elles seront utilisées. Sinon, l'interface standard d'accès
-au disque sera utilisée par défaut, et elle ne permettra pas de
-démarrer sur des emplacements situés après le 1023e cylindre du
-disque. Une fois que Linux est démarré, peu importe le BIOS de votre
+Si les extensions du BIOS int 0x13 pour l'accès aux gros disques sont
+présentes, elles seront utilisées. Sinon, l'interface standard d'accès
+au disque sera utilisée par défaut, et elle ne permettra pas de
+démarrer sur des emplacements situés après le 1023e cylindre du
+disque. Une fois que Linux est démarré, peu importe le BIOS de votre
ordinateur, ces restrictions ne s'appliquent plus, puisque Linux
-n'utilise pas le BIOS pour les accès disque.
+n'utilise pas le BIOS pour les accès disque.
</para><para>
-Si vous avez un gros disque, vous devrez peut-être utiliser des
+Si vous avez un gros disque, vous devrez peut-être utiliser des
techniques de translation de cylindres que vous pouvez configurer
dans le BIOS, comme le mode d'adressage LBA (Linear Block Addressing),
ou le mode de translation CHS.
Vous trouverez plus d'informations sur la gestion des gros disques dans le
<ulink url="&url-large-disk-howto;">HOWTO Large Disk</ulink>.
-Si vous utilisez une méthode de translation de cylindres, et que le
-BIOS n'accepte pas les extensions pour l'accès aux gros disques, votre
-partition de démarrage devra être contenue dans la partie correspondant
-aux 1024 premiers cylindres <emphasis>translatés</emphasis>.
+Si vous utilisez une méthode de translation de cylindres, et que le
+BIOS n'accepte pas les extensions pour l'accès aux gros disques, votre
+partition de démarrage devra être contenue dans la partie correspondant
+aux 1024 premiers cylindres <emphasis>translatés</emphasis>.
</para><para>
-La meilleure façon de régler ce problème est de créer une petite
-partition (25 à 50&nbsp;Mo doivent suffire) en début de disque, qui sera la
-partition de démarrage, puis de créer toutes les autres partitions que
-vous voulez dans l'espace restant. Cette partition de démarrage
-<emphasis>devra</emphasis> être montée sur <filename>/boot</filename>,
-le répertoire où seront stockés les noyaux Linux. Cette configuration marchera sur tous
-les systèmes, quel que soit votre mode d'adressage (LBA) ou de
+La meilleure façon de régler ce problème est de créer une petite
+partition (25 à 50&nbsp;Mo doivent suffire) en début de disque, qui sera la
+partition de démarrage, puis de créer toutes les autres partitions que
+vous voulez dans l'espace restant. Cette partition de démarrage
+<emphasis>devra</emphasis> être montée sur <filename>/boot</filename>,
+le répertoire où seront stockés les noyaux Linux. Cette configuration marchera sur tous
+les systèmes, quel que soit votre mode d'adressage (LBA) ou de
translation (CHS), et quel que soit votre BIOS, avec ou sans extensions.
</para>
diff --git a/fr/partitioning/partitioning.xml b/fr/partitioning/partitioning.xml
index 131e62ee0..04437ca74 100644
--- a/fr/partitioning/partitioning.xml
+++ b/fr/partitioning/partitioning.xml
@@ -1,4 +1,3 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 11648 -->
<appendix id="partitioning">
diff --git a/fr/partitioning/schemes.xml b/fr/partitioning/schemes.xml
index e8d4ff5e9..fa350a56c 100644
--- a/fr/partitioning/schemes.xml
+++ b/fr/partitioning/schemes.xml
@@ -1,23 +1,22 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 39465 -->
<sect1>
- <title>Schéma de partitionnement recommandé</title>
+ <title>Schéma de partitionnement recommandé</title>
<para>
Pour les nouveaux utilisateurs, les machines Debian personnelles ou
-familiales, et autres systèmes mono-utilisateur, une simple partition
-<filename>/</filename> (plus celle d'échange) est sans doute la solution la
-plus simple. Cependant, si votre partition a une taille supérieure à
-6&nbsp;Go, choisissez le type ext3 pour votre système de fichier. Les
-partitions de type ext2 ont besoin d'une vérification périodique de
-l'intégrité du système de fichier, et cela peut prendre au démarrage un temps
-non négligeable lorsque la taille de la partition est importante.
+familiales, et autres systèmes mono-utilisateur, une simple partition
+<filename>/</filename> (plus celle d'échange) est sans doute la solution la
+plus simple. Cependant, si votre partition a une taille supérieure à
+6&nbsp;Go, choisissez le type ext3 pour votre système de fichier. Les
+partitions de type ext2 ont besoin d'une vérification périodique de
+l'intégrité du système de fichier, et cela peut prendre au démarrage un temps
+non négligeable lorsque la taille de la partition est importante.
</para><para>
-Pour les systèmes avec plusieurs utilisateurs, ou les systèmes avec beaucoup d'espace
-disque, il vaut mieux placer les répertoires <filename>/usr</filename>,
+Pour les systèmes avec plusieurs utilisateurs, ou les systèmes avec beaucoup d'espace
+disque, il vaut mieux placer les répertoires <filename>/usr</filename>,
<filename>/var</filename>, <filename>/tmp</filename>, et
<filename>/home</filename> chacun sur une
partition distincte de la partition <filename>/</filename>.
@@ -25,65 +24,65 @@ partition distincte de la partition <filename>/</filename>.
</para><para>
Dans certains cas, vous pourriez avoir besoin d'une partition
-<filename>/usr/local</filename> distincte si vous prévoyez d'installer
+<filename>/usr/local</filename> distincte si vous prévoyez d'installer
beaucoup de programmes qui ne font pas partie de la distribution Debian.
-Si votre machine est destinée à être un serveur de courrier, vous
+Si votre machine est destinée à être un serveur de courrier, vous
pourriez avoir besoin de mettre aussi <filename>/var/mail</filename>
-sur une partition distincte. Parfois, mettre le répertoire
-<filename>/tmp</filename> sur sa propre partition, par exemple 20 à
-50&nbsp;Mo peut être une bonne idée. Si vous mettez sur pied un serveur
-avec beaucoup d'utilisateurs, il est généralement intéressant
+sur une partition distincte. Parfois, mettre le répertoire
+<filename>/tmp</filename> sur sa propre partition, par exemple 20 à
+50&nbsp;Mo peut être une bonne idée. Si vous mettez sur pied un serveur
+avec beaucoup d'utilisateurs, il est généralement intéressant
d'avoir une grande partition distincte pour <filename>/home</filename>.
-La méthode de partitionnement varie d'un ordinateur à l'autre,
+La méthode de partitionnement varie d'un ordinateur à l'autre,
en fonction de son usage.
</para><para>
-Pour des systèmes très complexes, consultez le
+Pour des systèmes très complexes, consultez le
<ulink url="&url-multidisk-howto;">HOWTO Multi Disk</ulink>. Il contient des
-informations très précises qui intéresseront les fournisseurs d'accès à
+informations très précises qui intéresseront les fournisseurs d'accès à
internet et les personnes installant des serveurs.
</para><para>
-En ce qui concerne la taille de la partition d'échange (swap),
-les avis sont partagés. Une règle traditionnelle, qui fonctionne bien,
-est d'utiliser autant d'espace d'échange que de RAM. Dans la plupart
-des cas, cette taille ne devrait pas être inférieure à 16&nbsp;Mo.
-Bien sûr, il y a des exceptions à cette règle. Si vous essayez de résoudre
-simultanément 10&nbsp;000 équations sur une machine avec 256&nbsp;Mo de RAM,
-vous pourriez avoir besoin d'un gigaoctet (ou plus) d'échange.
+En ce qui concerne la taille de la partition d'échange (swap),
+les avis sont partagés. Une règle traditionnelle, qui fonctionne bien,
+est d'utiliser autant d'espace d'échange que de RAM. Dans la plupart
+des cas, cette taille ne devrait pas être inférieure à 16&nbsp;Mo.
+Bien sûr, il y a des exceptions à cette règle. Si vous essayez de résoudre
+simultanément 10&nbsp;000 équations sur une machine avec 256&nbsp;Mo de RAM,
+vous pourriez avoir besoin d'un gigaoctet (ou plus) d'échange.
</para><para arch="m68k">
-D'un autre côté, les performances des Atari Falcons et des Macs semblent
-chuter quand ils doivent utiliser la swap. En conséquence, au lieu d'augmenter
-la partition d'échange, il vaut mieux ajouter autant de RAM que possible.
+D'un autre côté, les performances des Atari Falcons et des Macs semblent
+chuter quand ils doivent utiliser la swap. En conséquence, au lieu d'augmenter
+la partition d'échange, il vaut mieux ajouter autant de RAM que possible.
</para><para>
Sur les architectures 32 bits (i386, m68k, SPARC 32 bits et PowerPC),
-la taille maximale d'une partition d'échange est de 2&nbsp;Go. Cela
-devrait suffire pour presque tous les systèmes. De toute façon, si vos
-besoins en espace d'échange sont aussi importants, vous devriez probablement
-essayer de disperser les partitions d'échange sur des disques différents
-(appelés aussi «&nbsp;spindles&nbsp;») et, si possible, sur des canaux IDE
-ou SCSI différents. Le noyau équilibrera l'utilisation de l'espace d'échange
-entre les différentes partitions, afin d'obtenir de meilleures performances.
+la taille maximale d'une partition d'échange est de 2&nbsp;Go. Cela
+devrait suffire pour presque tous les systèmes. De toute façon, si vos
+besoins en espace d'échange sont aussi importants, vous devriez probablement
+essayer de disperser les partitions d'échange sur des disques différents
+(appelés aussi «&nbsp;spindles&nbsp;») et, si possible, sur des canaux IDE
+ou SCSI différents. Le noyau équilibrera l'utilisation de l'espace d'échange
+entre les différentes partitions, afin d'obtenir de meilleures performances.
</para><para>
-Avec une machine possédant 32&nbsp;Mo de RAM et un disque IDE
-de 1.7&nbsp;Go sur <filename>/dev/hda</filename>, on pourrait créer une
-partition de 500&nbsp;Mo pour un système sur <filename>/dev/hda1</filename>,
-une partition d'échange de 32&nbsp;Mo sur <filename>/dev/hda3</filename> et
+Avec une machine possédant 32&nbsp;Mo de RAM et un disque IDE
+de 1.7&nbsp;Go sur <filename>/dev/hda</filename>, on pourrait créer une
+partition de 500&nbsp;Mo pour un système sur <filename>/dev/hda1</filename>,
+une partition d'échange de 32&nbsp;Mo sur <filename>/dev/hda3</filename> et
une partition Linux d'environ 1,2&nbsp;Go sur <filename>/dev/hda2</filename>.
</para><para>
-Pour avoir une idée de la place nécessaire pour les tâches que vous voudriez
-rajouter à la fin de l'installation, consultez&nbsp;:
+Pour avoir une idée de la place nécessaire pour les tâches que vous voudriez
+rajouter à la fin de l'installation, consultez&nbsp;:
<xref linkend="tasksel-size-list"/>.
</para>
diff --git a/fr/partitioning/sizing.xml b/fr/partitioning/sizing.xml
index 6a0580681..41114832a 100644
--- a/fr/partitioning/sizing.xml
+++ b/fr/partitioning/sizing.xml
@@ -1,58 +1,57 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 11648 -->
<sect1 id="partition-sizing">
- <title>Décider des partitions et de leurs tailles</title>
+ <title>Décider des partitions et de leurs tailles</title>
<para>
-Au strict minimum, GNU/Linux a besoin d'une partition pour lui-même.
-Vous pouvez avoir une seule partition contenant le système entier, les
+Au strict minimum, GNU/Linux a besoin d'une partition pour lui-même.
+Vous pouvez avoir une seule partition contenant le système entier, les
applications et vos fichiers personnels. La plupart des gens pensent
-qu'une partition d'échange (swap) est nécessaire, bien que ce ne soit
-pas tout à fait vrai.
-Le «&nbsp;Swap&nbsp;» est l'espace de travail du système d'exploitation&nbsp;;
-il lui permet d'utiliser de l'espace disque comme «&nbsp;mémoire
-virtuelle&nbsp;». En le plaçant sur une partition séparée, Linux peut en
-faire un usage bien plus efficace. Il est possible de forcer Linux à
-utiliser un fichier normal comme espace d'échange, mais ce n'est pas
-recommandé.
+qu'une partition d'échange (swap) est nécessaire, bien que ce ne soit
+pas tout à fait vrai.
+Le «&nbsp;Swap&nbsp;» est l'espace de travail du système d'exploitation&nbsp;;
+il lui permet d'utiliser de l'espace disque comme «&nbsp;mémoire
+virtuelle&nbsp;». En le plaçant sur une partition séparée, Linux peut en
+faire un usage bien plus efficace. Il est possible de forcer Linux à
+utiliser un fichier normal comme espace d'échange, mais ce n'est pas
+recommandé.
</para><para>
La plupart des gens choisissent d'utiliser plus de partitions que le
minimum requis pour GNU/Linux.
-Il y a deux raisons pour que vous ayez envie de diviser le système
-de fichiers en de nombreuses petites partitions. La première
-concerne la sécurité. Si le système de fichiers est corrompu,
-en général une seule partition est affectée. Donc, vous n'avez à remplacer
-(à partir des sauvegardes que vous avez soigneusement conservées) qu'une
-partie de votre système. Au minimum, vous devriez envisager la création
-de ce qui est communément appelée la «&nbsp;partition racine&nbsp;».
-Elle contient les composants les plus essentiels du système. Si une autre
-partition est corrompue, vous pourrez toujours amorcer Linux pour réparer le
-système. Cela peut vous épargner le désagrément d'avoir à réinstaller le
-système entier.
+Il y a deux raisons pour que vous ayez envie de diviser le système
+de fichiers en de nombreuses petites partitions. La première
+concerne la sécurité. Si le système de fichiers est corrompu,
+en général une seule partition est affectée. Donc, vous n'avez à remplacer
+(à partir des sauvegardes que vous avez soigneusement conservées) qu'une
+partie de votre système. Au minimum, vous devriez envisager la création
+de ce qui est communément appelée la «&nbsp;partition racine&nbsp;».
+Elle contient les composants les plus essentiels du système. Si une autre
+partition est corrompue, vous pourrez toujours amorcer Linux pour réparer le
+système. Cela peut vous épargner le désagrément d'avoir à réinstaller le
+système entier.
</para><para>
-La seconde raison est généralement plus importante pour une
-entreprise, mais cela dépend vraiment de l'utilisation de votre machine.
-Par exemple, recevoir des envois en nombre de messages électroniques
-peut facilement remplir une partition. Si vous avez placé
+La seconde raison est généralement plus importante pour une
+entreprise, mais cela dépend vraiment de l'utilisation de votre machine.
+Par exemple, recevoir des envois en nombre de messages électroniques
+peut facilement remplir une partition. Si vous avez placé
<filename>/var/mail</filename> sur sa propre
-partition, la majeure partie du système marchera même si vous êtes
-submergé de courrier non sollicité (<emphasis>spam</emphasis>).
+partition, la majeure partie du système marchera même si vous êtes
+submergé de courrier non sollicité (<emphasis>spam</emphasis>).
</para><para>
-Le seul inconvénient qu'il y a à utiliser plusieurs partitions est qu'il
-est souvent difficile de connaître ses besoins à l'avance. Si vous
-faites une partition trop petite, vous aurez soit à réinstaller
-le système soit à déplacer constamment des fichiers pour faire
-de la place sur la partition trop petite. D'un autre côté, si
+Le seul inconvénient qu'il y a à utiliser plusieurs partitions est qu'il
+est souvent difficile de connaître ses besoins à l'avance. Si vous
+faites une partition trop petite, vous aurez soit à réinstaller
+le système soit à déplacer constamment des fichiers pour faire
+de la place sur la partition trop petite. D'un autre côté, si
vous faites une partition trop grande, vous aurez perdu de l'espace
-pouvant être utile ailleurs. L'espace disque est bon marché de nos
-jours, mais pourquoi jeter votre argent par les fenêtres&nbsp;?
+pouvant être utile ailleurs. L'espace disque est bon marché de nos
+jours, mais pourquoi jeter votre argent par les fenêtres&nbsp;?
</para>
</sect1>
diff --git a/fr/partitioning/tree.xml b/fr/partitioning/tree.xml
index fa98d2c91..2779bb056 100644
--- a/fr/partitioning/tree.xml
+++ b/fr/partitioning/tree.xml
@@ -1,44 +1,43 @@
-<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?>
<!-- original version: 39465 -->
<sect1 id="directory-tree">
<title>L'arborescence des fichiers</title>
<para>
-&debian; adhère à la
-<ulink url="&url-fhs-home;">norme sur l'organisation des systèmes de fichiers</ulink>
-pour le nommage des fichiers et des répertoires. Cette norme permet aux utilisateurs et
-aux auteurs de logiciel de prévoir l'emplacement des fichiers et des répertoires. Le répertoire
-racine est simplement représenté par la barre oblique <filename>/</filename>.
-Au niveau de la racine, tous les systèmes Debian incluent ces répertoires&nbsp;:
+&debian; adhère à la
+<ulink url="&url-fhs-home;">norme sur l'organisation des systèmes de fichiers</ulink>
+pour le nommage des fichiers et des répertoires. Cette norme permet aux utilisateurs et
+aux auteurs de logiciel de prévoir l'emplacement des fichiers et des répertoires. Le répertoire
+racine est simplement représenté par la barre oblique <filename>/</filename>.
+Au niveau de la racine, tous les systèmes Debian incluent ces répertoires&nbsp;:
<informaltable>
<tgroup cols="2">
<thead>
<row>
- <entry>Répertoire</entry><entry>Contenu</entry>
+ <entry>Répertoire</entry><entry>Contenu</entry>
</row>
</thead>
<tbody>
<row>
<entry><filename>bin</filename></entry>
- <entry>Binaires (exécutables) des commandes essentielles</entry>
+ <entry>Binaires (exécutables) des commandes essentielles</entry>
</row><row>
<entry><filename>boot</filename></entry>
- <entry>Fichiers statiques pour le programme d'amorçage</entry>
+ <entry>Fichiers statiques pour le programme d'amorçage</entry>
</row><row>
<entry><filename>dev</filename></entry>
- <entry>Fichiers des pilotes de périphériques</entry>
+ <entry>Fichiers des pilotes de périphériques</entry>
</row><row>
<entry><filename>etc</filename></entry>
- <entry>Configuration système propre à la machine</entry>
+ <entry>Configuration système propre à la machine</entry>
</row><row>
<entry><filename>home</filename></entry>
- <entry>Répertoires personnels des utilisateurs</entry>
+ <entry>Répertoires personnels des utilisateurs</entry>
</row><row>
<entry><filename>lib</filename></entry>
- <entry>Bibliothèques partagées et modules noyaux essentiels</entry>
+ <entry>Bibliothèques partagées et modules noyaux essentiels</entry>
</row><row>
<entry><filename>media</filename></entry>
<entry>Points de montage pour les supports amovibles</entry>
@@ -47,41 +46,41 @@ Au niveau de la racine, tous les systèmes Debian incluent ces répertoires&nbsp;:
<entry>Point de montage pour les montages temporaires</entry>
</row><row>
<entry><filename>proc</filename></entry>
- <entry>Répertoire virtuel pour les informations système (noyaux 2.4 et 2.6)</entry>
+ <entry>Répertoire virtuel pour les informations système (noyaux 2.4 et 2.6)</entry>
</row><row>
<entry><filename>root</filename></entry>
- <entry>Répertoire personnel de l'utilisateur root</entry>
+ <entry>Répertoire personnel de l'utilisateur root</entry>
</row><row>
<entry><filename>sbin</filename></entry>
- <entry>Exécutables système essentiels</entry>
+ <entry>Exécutables système essentiels</entry>
</row><row>
<entry><filename>sys</filename></entry>
- <entry>Répertoire virtuel pour les informations système (noyaux 2.6)</entry>
+ <entry>Répertoire virtuel pour les informations système (noyaux 2.6)</entry>
</row><row>
<entry><filename>tmp</filename></entry>
<entry>Fichiers temporaires</entry>
</row><row>
<entry><filename>usr</filename></entry>
- <entry>Hiérarchie secondaire</entry>
+ <entry>Hiérarchie secondaire</entry>
</row><row>
<entry><filename>var</filename></entry>
- <entry>Données variables</entry>
+ <entry>Données variables</entry>
</row><row>
<entry><filename>srv</filename></entry>
- <entry>Données pour les services fournis par le système</entry>
+ <entry>Données pour les services fournis par le système</entry>
</row><row>
<entry><filename>opt</filename></entry>
- <entry>Répertoire pour d'autres logiciels</entry>
+ <entry>Répertoire pour d'autres logiciels</entry>
</row>
</tbody></tgroup></informaltable>
</para>
<para>
-La liste suivante décrit quelques caractéristiques importantes
-des répertoires et des partitions. L'utilisation de l'espace disque
-varie grandement avec la configuration du système et les modes
-d'utilisation. Les principes généraux énoncés ici constituent une
+La liste suivante décrit quelques caractéristiques importantes
+des répertoires et des partitions. L'utilisation de l'espace disque
+varie grandement avec la configuration du système et les modes
+d'utilisation. Les principes généraux énoncés ici constituent une
introduction au partitionnement des disques.
</para>
@@ -89,66 +88,66 @@ introduction au partitionnement des disques.
<listitem><para>
La partition racine <filename>/</filename> doit toujours contenir les
-répertoires&nbsp;:
+répertoires&nbsp;:
<filename>/etc</filename>, <filename>/bin</filename>,
<filename>/sbin</filename>, <filename>/lib</filename> et
-<filename>/dev</filename>, sinon votre système ne pourra pas démarrer.
-En général, 150 à 250&nbsp;Mo sont nécessaires&nbsp;;
+<filename>/dev</filename>, sinon votre système ne pourra pas démarrer.
+En général, 150 à 250&nbsp;Mo sont nécessaires&nbsp;;
</para></listitem>
<listitem><para>
<filename>/usr</filename>&nbsp;: tous les programmes des utilisateurs
-(<filename>/usr/bin</filename>), les bibliothèques
+(<filename>/usr/bin</filename>), les bibliothèques
(<filename>/usr/lib</filename>),
la documentation (<filename>/usr/share/doc</filename>), etc. sont dans ce
-répertoire.
-Cette partie du système de fichiers a besoin du plus d'espace possible.
+répertoire.
+Cette partie du système de fichiers a besoin du plus d'espace possible.
Vous devriez disposer d'au moins 500&nbsp;Mo d'espace disque.
Si vous voulez installer plus de paquets, vous devriez augmenter
-l'espace disque attribué à ce répertoire. Pour installer un poste de travail
-ou un serveur <quote>généreux</quote>, 4 à 6&nbsp;Go sont nécessaires&nbsp;;
+l'espace disque attribué à ce répertoire. Pour installer un poste de travail
+ou un serveur <quote>généreux</quote>, 4 à 6&nbsp;Go sont nécessaires&nbsp;;
</para></listitem>
<listitem><para>
-<filename>/var</filename>&nbsp;: toutes les données variables comme les
-articles des forums usenet, les messages électroniques, les sites web,
-le cache du système des paquets, etc. seront placées dans ce répertoire. La place
-nécessaire dépend énormément de l'usage que vous faites de votre
-ordinateur, mais pour la plupart des administrateurs, elle sera dictée
+<filename>/var</filename>&nbsp;: toutes les données variables comme les
+articles des forums usenet, les messages électroniques, les sites web,
+le cache du système des paquets, etc. seront placées dans ce répertoire. La place
+nécessaire dépend énormément de l'usage que vous faites de votre
+ordinateur, mais pour la plupart des administrateurs, elle sera dictée
par la charge due aux outils de gestion des paquets.
-Si vous envisagez de faire une installation complète de tout ce que
-Debian peut vous offrir en une seule fois, réserver 2 à 3 Go d'espace
-pour <filename>/var</filename> devrait suffire. Si vous préférez installer
-le tout en plusieurs étapes (p. ex. d'abord les services et
+Si vous envisagez de faire une installation complète de tout ce que
+Debian peut vous offrir en une seule fois, réserver 2 à 3 Go d'espace
+pour <filename>/var</filename> devrait suffire. Si vous préférez installer
+le tout en plusieurs étapes (p. ex. d'abord les services et
utilitaires, puis les outils texte, puis X11...), vous pouvez vous
-contenter de 300 à 500&nbsp;Mo.
+contenter de 300 à 500&nbsp;Mo.
Si l'espace disque est une contrainte majeure et que vous ne voulez
-pas faire de mises à jour majeures, vous
-pouvez vous en tirer avec 30 à 40&nbsp;Mo&nbsp;;
+pas faire de mises à jour majeures, vous
+pouvez vous en tirer avec 30 à 40&nbsp;Mo&nbsp;;
</para></listitem>
<listitem><para>
-<filename>/tmp</filename>&nbsp;: si un programme crée des données temporaires,
-elles seront probablement placées dans <filename>/tmp</filename>.
-40 à 100&nbsp;Mo devraient suffire. Certaines applications, gestionnaires
-d'archives, outils pour créer des CD/DVD, logiciels multimedia, peuvent se
+<filename>/tmp</filename>&nbsp;: si un programme crée des données temporaires,
+elles seront probablement placées dans <filename>/tmp</filename>.
+40 à 100&nbsp;Mo devraient suffire. Certaines applications, gestionnaires
+d'archives, outils pour créer des CD/DVD, logiciels multimedia, peuvent se
servir de <filename>/tmp</filename> pour stocker provisoirement des
images. Si vous comptez utiliser ces programmes, vous devrez recalculer
-l'espace nécessaire dans <filename>/tmp</filename>.
+l'espace nécessaire dans <filename>/tmp</filename>.
</para></listitem>
<listitem><para>
-<filename>/home</filename>&nbsp;: chaque utilisateur mettra ses données dans
-un sous-répertoire de ce répertoire. La place nécessaire dépend du
-nombre d'utilisateurs sur le système, et du genre de fichiers qu'ils
-devront stocker. Selon l'utilisation du système, vous devriez réserver
-environ 100&nbsp;Mo par utilisateur. Réservez
+<filename>/home</filename>&nbsp;: chaque utilisateur mettra ses données dans
+un sous-répertoire de ce répertoire. La place nécessaire dépend du
+nombre d'utilisateurs sur le système, et du genre de fichiers qu'ils
+devront stocker. Selon l'utilisation du système, vous devriez réserver
+environ 100&nbsp;Mo par utilisateur. Réservez
beaucoup plus d'espace si des fichiers multimedia (images, MP3, films) seront
-conservés dans le répertoire.
+conservés dans le répertoire.
</para></listitem>
</itemizedlist>