summaryrefslogtreecommitdiff
path: root/fr/using-d-i/modules
diff options
context:
space:
mode:
Diffstat (limited to 'fr/using-d-i/modules')
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/anna.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/apt-setup.xml212
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/base-installer.xml43
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml24
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/clock-setup-finish.xml28
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/clock-setup.xml20
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/ddetect.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/finish-install.xml17
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml20
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml120
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml46
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml24
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/localechooser.xml102
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/lowmem.xml56
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml283
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml59
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/netcfg.xml85
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/network-console.xml127
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml25
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/os-prober.xml26
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/partconf.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/partitioner.xml2
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/partman-crypto.xml334
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/partman-lvm.xml96
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/partman.xml431
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/pkgsel.xml144
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml14
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml17
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml1
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml18
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/save-logs.xml24
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/shell.xml62
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml26
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/tzsetup.xml55
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/user-setup.xml75
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/x86/grub-installer.xml21
-rw-r--r--fr/using-d-i/modules/x86/lilo-installer.xml60
42 files changed, 0 insertions, 2705 deletions
diff --git a/fr/using-d-i/modules/anna.xml b/fr/using-d-i/modules/anna.xml
deleted file mode 100644
index 8b267a096..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/anna.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 11648 -->
diff --git a/fr/using-d-i/modules/apt-setup.xml b/fr/using-d-i/modules/apt-setup.xml
deleted file mode 100644
index 258e85bf6..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/apt-setup.xml
+++ /dev/null
@@ -1,212 +0,0 @@
-<!-- original version: 68538 -->
-
- <sect3 id="apt-setup">
- <title>La configuration d'apt</title>
-
-<para>
-
-Le principal outil utilisé pour installer des paquets sur les systèmes &debian-gnu;
-est un programme appelé <command>apt-get</command> qui se trouve dans le
-paquet <classname>apt</classname> <footnote>
-<para>
-Notez que le programme effectivement utilisé pour installer des paquets est
-<command>dpkg</command>. Toutefois, ce paquet est un outil de bas niveau
-qu'<command>apt-get</command> appelle lorsqu'il en a besoin.
-Ce dernier est un outil de plus haut niveau car il sait aussi bien installer
-les paquets nécessaires à l'installation du paquet que vous essayez
-d'installer, que récupérer le paquet à partir d'un cédérom, du réseau, etc.
-Il sait aussi installer automatiquement les paquets nécessaires au bon fonctionnement
-des paquets qu'il installe.</para></footnote>.
-
-Il existe aussi d'autres paquets, comme <command>aptitude</command> et
-<command>synaptic</command>. Ces programmes, avec de belles interfaces, sont recommandés
-pour les débutants car ils offrent des fonctions
-supplémentaires comme la recherche de paquets ou la vérification des statuts.
-Le programme <command>aptitude</command> est maintenant conseillé pour la gestion des
-paquets.
-</para><para>
-
-<command>Apt</command> doit être configuré pour qu'il sache où récupérer les paquets.
-Les résultats de cette configuration sont transcrits dans
-le fichier <filename>/etc/apt/sources.list</filename>. Vous pouvez le consulter et le modifier
-à votre guise quand l'installation est terminée.
-
-</para>
-
-<para>
-Quand la priorité de l'installation est la priorité par défaut, l'installateur prend
-automatiquement en charge cette configuration, en fonction de la méthode d'installation
-et des choix précédemment faits. Dans la plupart des cas, il installe automatiquement un miroir
-pour les mises à jour de sécurité et, si vous installez la distribution stable, un miroir pour le service de
-mise à jour <quote>volatile</quote>.
-</para>
-<para>
-Quand la priorité de l'installation est une priorité plus basse (en mode expert par exemple),
-vous pourrez prendre davantage de décisions. Vous pouvez choisir d'utiliser ou non les services
-de mise à jour (<quote>security</quote> ou <quote>volatile</quote>), vous pouvez choisir d'ajouter
-des paquets appartenant aux sections <quote>contrib</quote> ou <quote>non-free</quote> de la distribution.
-</para>
-
- <sect4 id="apt-setup-cdset">
- <title>Installation avec plusieurs CD/DVD</title>
-
-<para>
-
-Si l'installation se fait à partir d'un CD/DVD, l'installateur demandera si
-vous voulez faire analyser d'autres CD/DVD. Si vous possédez plusieurs CD/DVD, c'est une bonne idée.
-L'installateur pourra installer les paquets ainsi mis à disposition.
-
-</para><para>
-
-Il n'est pas nécessaire de posséder d'autres CD/DVD. Cependant, si vous n'utilisez pas non plus
-de miroir réseau (cf. la section suivante), il se peut que certains paquets appartenant aux tâches
-que vous sélectionnerez dans la prochaine étape de l'installation ne puissent pas être installés.
-
-</para>
-<note><para>
-
-Les paquets sont classés sur les CD/DVD par ordre de popularité. Ainsi,
-pour la plupart des utilisations, seuls les premiers CD/DVD sont nécessaires.
-Très peu de personnes utilisent les derniers CD/DVD d'un ensemble.
-</para>
-<para>
-C'est pourquoi acheter ou graver un ensemble complet de CD/DVD n'est qu'une perte d'argent car
-vous n'utiliserez jamais tous les CD/DVD de cet ensemble. Il vaut mieux ne prendre que les
-trois premiers CD (ou les huit premiers) et installer les autres paquets souhaités à partir
-d'un miroir réseau. De même, pour les ensembles de DVD, le premier (ou les deux premiers)
-satisfera tous les besoins usuels.
-</para>
-<para>
-Si vous voulez par exemple installer un environnement graphique de bureau comme GNOME,
-seuls les trois premiers CD sont nécessaires. Pour les environnements KDE ou Xfce, d'autres
-CD sont nécessaires. Le premier DVD couvre facilement les trois environnements.
-</para></note>
-
-<para>
-Si vous faites analyser plusieurs CD/DVD, l'installateur vous demandera de changer
-le disque quand il aura besoin d'installer un paquet se trouvant sur un autre disque.
-Il est recommandé de ne faire analyser que les disques d'un même ensemble. L'ordre dans
-lequel ils sont analysés n'a pas d'importance. Cependant une analyse faite selon l'ordre ascendant réduit
-les risques d'erreur.
-</para>
-</sect4>
-
- <sect4 id="apt-setup-mirror">
- <title>Utiliser un miroir réseau</title>
-
-<para>
-
-Dans la plupart des installations, la question concernant l'utilisation ou non d'un
-miroir réseau est posée et, dans la plupart des cas, la réponse par défaut
-est correcte. Cependant il existe des exceptions.
-
-</para>
-<para>
-
-Si l'installation n'est pas faite à partir d'un disque complet ou d'une image de disque complet, l'utilisation
-d'un miroir réseau est conseillée. En effet, sans miroir réseau, vous n'installerez qu'un système
-réduit au minimum. Cependant, si vous ne possédez pas une bonne connexion internet, il vaut
-mieux ne pas choisir la tâche <literal>desktop</literal>.
-</para>
-
-<para>
-
-Si vous faites une installation à partir d'un disque complet ou d'une image de disque complet,
-le miroir réseau n'est pas nécessaire&nbsp;; cependant il est recommandé car un CD ne contient
-que peu de paquets.
-Si vous ne possédez pas une bonne connexion internet, il reste préférable
-de ne pas choisir un miroir réseau et de terminer l'installation avec ce qui
-se trouve sur le CD. Après l'installation, c'est-à-dire après le lancement
-du nouveau système, vous pourrez ajouter d'autres paquets.
-
-</para>
-<para>
-
-Si vous faites une installation à partir d'un DVD ou d'une image DVD,
-tous les paquets nécessaires à l'installation doivent être présents sur le premier disque.
-L'utilisation d'un miroir réseau est facultative.
-
-</para>
-<para>
-L'un des avantages du miroir réseau est qu'il rend disponibles les mises à jour
-apparues depuis la création des CD/DVD et intégrées dans une version intermédiaire de la distribution.
-La durée de vie des CD/DVD est ainsi allongée sans compromettre la sécurité et la stabilité
-du système installé.
-
-</para>
-<para>
-
-En résumé, choisir un miroir réseau est une bonne idée, sauf si votre
-connexion internet n'est pas de bonne qualité. Si la version courante d'un paquet
-est présente sur le CD/DVD, l'installateur l'utilisera.
-La quantité de données téléchargées à partir d'un miroir dépend
-
-<orderedlist>
-<listitem><para>
-des tâches choisies lors de la prochaine étape de l'installation,
-</para></listitem>
-<listitem><para>
-des paquets nécessaires à ces tâches,
-</para></listitem>
-
-<listitem><para>
-
-de la présence de ces paquets sur les CD/DVD analysés et
-</para></listitem>
-
-<listitem><para>
-
-de l'existence de nouvelles versions de ces paquets sur un miroir réseau, que ce miroir offre
-la distribution standard ou les services de mises à jour <quote>security</quote> et <quote>volatile</quote>.
-
-</para></listitem>
-</orderedlist>
-</para>
-<para>
-Il faut noter que même si vous avez choisi de ne pas utiliser de miroir,
-certains paquets peuvent être téléchargés sur internet, par exemple, s'il existe de nouvelles
-versions des paquets et que les services de mises à jour <quote>security</quote> ou <quote>volatile</quote>
-ont été installés.
-</para>
-</sect4>
-
-<sect4 id="apt-setup-mirror-selection">
-<title>Choisir un miroir réseau</title>
-<para>
-
-Quand vous avez choisi d'utiliser un miroir réseau pendant l'installation -
-facultatif pour une installation par CD/DVD, nécessaire avec une image <emphasis>netboot</emphasis> -,
-une liste vous est présentée contenant les miroirs géographiquement proches
-(et donc rapides), choisis par rapport au pays que vous avez précédemment indiqué.
-Le miroir proposé par défaut peut être sélectionné sans problème.
-
-</para><para>
-
-Vous pouvez aussi indiquer un miroir en choisissant <quote>Entrez l'information vous-même</quote>
-et en saisissant le nom du miroir et un numéro de port (facultatif).
-À partir de Wheezy, ce nom doit être une URL, c'est-à-dire, si vous spécifiez une adresse IPv6,
-vous devez ajouter les crochets, <quote>[2001:db8::1]</quote>.
-
-</para><para>
-
-Si votre ordinateur est sur un réseau uniquement IPv6 (ce qui n'est sans doute pas le cas
-de la grande majorité des utilisateurs), le miroir par défaut peut ne pas fonctionner.
-Tous les miroirs de la liste sont atteignables en IPv4, mais seuls quelques uns utilisent
-IPv6. Comme la connectivité de chaque miroir se modifie au cours du temps, cette information
-n'est pas connue par l'installateur. Si le miroir par défaut de votre pays n'utilise pas IPv6,
-vous pouvez essayer les autres miroirs de la liste ; vous pouvez aussi choisir
-l'option <quote>Entrer l'information vous-même</quote> et indiquer le miroir
-<quote>ftp.ipv6.debian.org</quote>, qui est l'alias d'un miroir atteignable en IPv6.
-Il ne sera sans doute pas le plus rapide.
-
-</para><para>
-
-Vous pouvez choisir aussi d'indiquer le miroir <quote>http.debian.net</quote>.
-Ce n'est pas un miroir réel mais une redirection qui connecte votre système à
-miroir proche de vous en termes de topologie des réseaux. Il tient compte
-du protocole que vous utilisez pour vous connecter, et si vous utilisez IPv6,
-il vous redirigera vers un miroir IPv6 proche de vous.
-
-</para>
-</sect4>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml b/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml
deleted file mode 100644
index 8b267a096..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 11648 -->
diff --git a/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml
deleted file mode 100644
index be75dabde..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,43 +0,0 @@
-<!-- original version: 64743 -->
-
-<para>
-
-Pendant l'installation du système de base, les messages concernant la
-décompression et la configuration des paquets sont redirigés sur
-<userinput>tty4</userinput>. On peut accéder à ce terminal en faisant
-<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F4</keycap></keycombo>&nbsp;;
-et l'on revient au processus principal avec
-<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F1</keycap></keycombo>.
-
-
-</para><para>
-
-Les messages concernant la décompression et la configuration des paquets
-produits par le processus d'installation sont enregistrés dans le fichier
-<filename>/var/log/syslog</filename>. Vous pouvez les lire dans ce fichier
-quand l'installation se fait avec une console série.
-
-</para>
-<para>
-Le noyau &arch-kernel; fait partie de l'installation. Avec la priorité par défaut,
-l'installateur choisira le noyau qui correspond le mieux à votre matériel.
-Avec les priorités les plus basses, vous pourrez en choisir un dans une liste.
-</para>
-
-<para>
-Quand le système de gestion des paquets installe des paquets, il
-installe par défaut les paquets qui sont <quote>recommandés</quote> par
-ces paquets. Les paquets <quote>recommandés</quote> ne sont pas
-absolument nécessaires aux fonctions de base des logiciels mais ils les
-améliorent. Dans l'esprit des responsables de paquets, ils doivent être
-installés.
-</para>
-
-<note><para>
-
-Pour des raisons techniques, Les paquets <quote>recommandés</quote> par
-les paquets installés pendant le processus d'installation du système de
-base ne sont pas installés. La règle décrite précédemment n'est
-appliquée qu'après l'installation du système de base.
-
-</para></note>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml b/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml
deleted file mode 100644
index 936f71f4d..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 14337 --> \ No newline at end of file
diff --git a/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml b/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml
deleted file mode 100644
index 8b267a096..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 11648 -->
diff --git a/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml b/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml
deleted file mode 100644
index 8e03e4f6e..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml
+++ /dev/null
@@ -1,24 +0,0 @@
-<!-- original version: 66398 -->
-
-<!--
-Hmm. This really does need documenting :-/
-
-- Component is only selected and executed if the installer needs to load
- installer components or the base system from the network
- (either local or the internet).
-- This means you first have to configure a network interface.
-- Mirror selection is delayed until apt-setup for CD-based installs (except
- businesscard)
-- A list of countries is displayed with the default based on the country you
- selected earlier.
-- Selection of a local mirror (at top of the list: manual selection).
-- After selecting a country, a list of mirrors in the country will be shown.
- (not for ftp)
-- Forcing to ftp can be done using "protocol=ftp"
-- Note that not all mirrors are equal (see http://www.nl.debian.org/mirror/list)
-- cdn.debian.net can be a useful catch-all.
-
-- The selected mirror will be tested.
-- How to handle problems with mirrors.
--->
-
diff --git a/fr/using-d-i/modules/clock-setup-finish.xml b/fr/using-d-i/modules/clock-setup-finish.xml
deleted file mode 100644
index 9251dacf4..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/clock-setup-finish.xml
+++ /dev/null
@@ -1,28 +0,0 @@
-<!-- original version: 64742 -->
-
- <sect3 arch="not-s390" id="system-clock">
- <title>Configuration de l'horloge du système</title>
-
-<para>
-L'installateur peut demander si l'horloge de votre système est réglée sur UTC.
-Normalement cette question n'est pas posée et l'installateur essaie de déterminer
-si l'horloge est réglée sur UTC en analysant les autres systèmes installés.
-</para>
-<para>
-En mode expert il est toujours possible de régler l'horloge sur UTC.
-<phrase arch="powerpc">Les horloges des machines Macintosh utilisent normalement
-une heure locale. Si vous désirez amorcer plusieurs systèmes, sélectionnez heure locale
-plutôt que GMT.</phrase>
-<phrase arch="any-x86">Les machines qui tournent (aussi) sous Dos ou Windows sont
-normalement réglées sur l'heure locale. Si vous désirez utiliser
-plusieurs systèmes, sélectionnez heure locale plutôt que GMT.</phrase>
-</para>
-
-<para>
-
-À ce point, l'installateur modifie l'horloge de la machine avec l'heure courante, UTC ou temps local selon
-le choix qui a été fait précédemment.
-
-</para>
-
-</sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/clock-setup.xml b/fr/using-d-i/modules/clock-setup.xml
deleted file mode 100644
index b0eac8d71..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/clock-setup.xml
+++ /dev/null
@@ -1,20 +0,0 @@
-<!-- original version: 61405 -->
-
- <sect3 id="clock-setup">
- <title>Configuration de l'horloge et du fuseau horaire</title>
-
-<para>
-L'installateur essaiera d'abord de se connecter à un serveur de temps sur internet,
-en utilisant le protocole <firstterm>NTP</firstterm>. S'il ne réussit pas à configurer
-correctement le temps du système, il supposera que l'heure et la date données par l'horloge
-de la machine au moment de l'amorçage sont justes. Il n'existe pas d'autres manières de configurer
-le temps système pendant le processus d'installation.
-</para>
-
-<para arch="s390">
-
-L'installateur ne modifie pas l'horloge système sur les plateformes s390.
-
-</para>
-&module-tzsetup.xml;
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml b/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml
deleted file mode 100644
index d0d068f3d..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 11648 -->
diff --git a/fr/using-d-i/modules/finish-install.xml b/fr/using-d-i/modules/finish-install.xml
deleted file mode 100644
index 8ff89c8c8..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/finish-install.xml
+++ /dev/null
@@ -1,17 +0,0 @@
-<!-- original version: 64916 -->
-
- <sect3 id="finish-install">
- <title>Réamorcer le système</title>
-
-<para arch="not-s390">
-
-On vous demandera de retirer le support d'installation (cédérom, disquette, etc.)
-utilisé pour démarrer l'installateur. Puis l'installateur amorce le nouveau système &debian;.
-</para>
-<para arch="s390">
-Après une dernière invite, le système s'arrête car &arch-title; ne peut pas être
-réamorcé dans ce cas. Vous devez alors amorcer debian avec IPL depuis le
-DASD que vous avez sélectionné comme système de fichiers racine pendant les
-premières étapes de l'installation.
-</para>
-</sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml
deleted file mode 100644
index 9dd1445e8..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,20 +0,0 @@
-<!-- original version: 14602 -->
-
- <sect3 arch="hppa">
- <title>Installer <command>palo</command></title>
-<para>
-
-Le programme d'amorçage sur PA-RISC est <quote>palo</quote>.
-<command>PALO</command> est dans sa configuration
-et son utilisation similaire à <command>LILO</command> à quelques
-différences près. <command>PALO</command> vous permet
-de démarrer n'importe quel noyau présent sur votre partition de
-démarrage. Car <command>PALO</command> est capable de lire les
-partitions Linux.
-
-</para><para condition="FIXME">
-
-hppa FIXME ( need more info )
-
-</para>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml
deleted file mode 100644
index 229a3c2eb..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,120 +0,0 @@
-<!-- original version: 65000 -->
-
-<sect3 arch="ia64">
-<title>Installation du programme d'amorçage <command>ELILO</command> sur un disque dur</title>
-<para>
-Le programme d'amorçage pour &architecture; est appelé <quote>elilo</quote>.
-Il est conçu sur le modèle du programme d'amorçage <quote>lilo</quote> pour
-l'architecture x86 et il utilise un fichier de configuration semblable.
-Cependant, il n'écrit pas sur le secteur principal d'amorçage d'un disque ou
-d'une partition&nbsp;; il copie les fichiers nécessaires sur une partition
-FAT distincte et modifie le menu du
-<guimenuitem>gestionnaire d'amorçage EFI</guimenuitem> dans le microprogramme pour
-qu'il pointe vers les fichiers de la partition EFI. Le programme
-<command>elilo</command> a réellement deux parties. La commande
-<filename>/usr/sbin/elilo</filename> gère la partition et copie les fichiers.
-Le programme <filename>elilo.efi</filename> est copié dans la partition EFI et
-il est exécuté par le <quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> dans le but
-de charger et lancer le noyau Linux.
-</para>
-<para>
-La configuration et l'installation du programme <quote>elilo</quote> sont
-faites dans la dernière étape de l'installation des paquets de base.
-L'installateur affichera une liste de partitions EFI possibles. Choisissez la
-partition que vous avez définie plus tôt dans le processus d'installation, par
-exemple une partition sur le disque qui contient le système de fichiers racine.
-</para>
-
-<warning><title>Choisissez la bonne partition&nbsp;!</title>
-<para>
-Cette partition doit posséder un système de fichiers FAT et le drapeau
-<emphasis>boot</emphasis> doit être mis. L'installateur peut afficher plusieurs
-partitions selon ce qu'il a trouvé sur tous les disques du système, comme des
-partitions EFI d'autres systèmes ou des partitions de diagnostic EFI.
-N'oubliez pas que le programme <command>elilo</command> peut formater la
-partition pendant l'installation et effacer toutes les données&nbsp;!
-</para></warning>
-</sect3>
-
- <sect3 arch="ia64">
- <title>Le contenu de la partition EFI</title>
-
-<para>
-
-La partition EFI est une partition avec un système de fichiers de type FAT
-sur l'un des disques du système&nbsp;; habituellement c'est le disque qui
-contient le système de fichiers racine. Elle n'est pas montée sur un système
-en fonctionnement car seul le <quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> en
-a besoin pour charger le système. Et la partie installation du programme
-<command>elilo</command> écrit directement sur le système de fichiers.
-Pendant l'installation, le programme <command>/usr/sbin/elilo</command> écrit
-les fichiers suivants dans le répertoire <filename>efi/debian</filename> qui
-se trouve sur la partition EFI. Il faut remarquer que le
-<quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> cherchera ces fichiers en utilisant
-le chemin <filename>fs<replaceable>n</replaceable>:\efi\debian</filename>.
-Il peut exister d'autres fichiers dans ce système car avec le temps
-le système est mis à jour ou reconfiguré.
-
-</para>
-
-<variablelist>
-
-<varlistentry>
-<term><filename>elilo.conf</filename></term>
-<listitem><para>
-
-Le programme d'amorçage lit ce fichier quand il démarre.
-C'est une copie de <filename>/etc/elilo.conf</filename> où les noms ont été
-changés pour désigner les fichiers dans la partition EFI.
-
-</para></listitem></varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term><filename>elilo.efi</filename></term>
-<listitem><para>
-
-C'est le programme d'amorçage que lance le <quote>gestionnaire EFI</quote>
-pour amorcer le système. L'élément <guimenuitem>&debian; GNU/Linux</guimenuitem>
-du menu <quote>gestionnaire EFI</quote> y fait appel.
-
-</para></listitem></varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term><filename>initrd.img</filename></term>
-<listitem><para>
-
-C'est le système de fichiers racine initial qui sert à amorcer le noyau.
-C'est aussi une copie du fichier référencé dans
-<filename>/etc/elilo.conf</filename>.
-Dans une installation standard &debian;, ce serait le fichier dans le répertoire
-<filename>/boot</filename>, pointé par le lien symbolique
-<filename>/initrd.img</filename>.
-
-</para></listitem></varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term><filename>readme.txt</filename></term>
-<listitem><para>
-
-C'est un petit fichier texte qui vous avertit que le contenu du répertoire
-est géré par <command>elilo</command> et que tous les modifications locales
-seront perdues la prochaine fois que <filename>/usr/sbin/elilo</filename>
-sera relancé.
-
-</para></listitem></varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term><filename>vmlinuz</filename></term>
-<listitem><para>
-
-C'est le noyau compressé. C'est aussi la copie du fichier référencé dans
-<filename>/etc/elilo.conf</filename>.
-Dans une installation standard &debian;, ce serait le fichier dans le répertoire
-<filename>/boot</filename>, pointé par le lien symbolique
-<filename>/vmlinuz</filename>.
-
-</para></listitem></varlistentry>
-
-</variablelist>
-
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml b/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml
deleted file mode 100644
index 23cee282b..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml
+++ /dev/null
@@ -1,46 +0,0 @@
-<!-- original version: 64916 -->
-
-<sect3 id="iso-scan">
- <title>Rechercher l'image ISO de l'installateur &debian; </title>
-<para>
-
-Quand vous faites une installation selon la méthode
-<emphasis>hd-media</emphasis>, il arrive un moment où vous devez monter
-l'image ISO de l'installateur &debian; pour obtenir les autres fichiers
-d'installation. C'est le programme <command>iso-scan</command> qui exécute
-cette tâche.
-
-</para><para>
-
-Dans un premier temps, <command>iso-scan</command> monte automatiquement
-tous les périphériques bloc (p.&nbsp;ex. les partitions) qui possèdent un
-système de fichiers connu et recherche les noms de fichiers qui se terminent par
-<filename>.iso</filename> (ou <filename>.ISO</filename> pour notre exemple).
-Il faut remarquer que la première recherche se fait dans le répertoire racine
-et au premier niveau des sous-répertoires (c'est-à-dire que les fichiers
-<filename>/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename> ou
-<filename>/data/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename> seront
-trouvés mais pas le fichier
-<filename>/data/tmp/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename>).
-Quand une image a été trouvée, <command>iso-scan</command> vérifie que c'est
-bien une image ISO de &debian;. Si ce n'est pas le cas,
-<command>iso-scan</command> cherche une autre image.
-
-</para><para>
-
-Quand <command>iso-scan</command> ne trouve pas d'image, le programme vous
-demande si vous voulez faire une recherche plus approfondie. Cette fois-ci,
-la recherche ne se contentera pas des répertoires de premier niveau, mais
-elle sera étendue à tout le système de fichiers.
-
-</para><para>
-
-Quand <command>iso-scan</command> n'a pas découvert l'image ISO de
-l'installateur, relancez le premier système d'exploitation et vérifiez que
-le nom de l'image se termine bien par <filename>.iso</filename>, qu'elle se
-trouve sur un système de fichier reconnu par l'installateur &debian; et qu'elle
-n'est pas défectueuse (vérifiez la somme de contrôle). Les utilisateurs expérimentés
-d'Unix peuvent effectuer ces opérations sans redémarrer, dans la deuxième console.
-
-</para>
-</sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml b/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml
deleted file mode 100644
index 981c39bbc..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml
+++ /dev/null
@@ -1,24 +0,0 @@
-<!-- original version: 68143 -->
-
- <sect3 id="kbd-chooser"><title>Choix du clavier</title>
-<para>
-
-Les claviers sont construits selon les caractères utilisés dans
-une langue.
-Choisissez un clavier dont la carte répond à la langue de votre pays, ou
-bien, si aucune carte clavier ne correspond à ce que vous voulez, choisissez
-un clavier approchant. Quand l'installation sera terminée,
-vous pourrez en choisir un avec la commande <command>dpkg-reconfigure keyboard-configuration</command>,
-lancée en tant que superutilisateur, qui vous présentera un plus grand choix
-de cartes clavier.
-
-</para><para>
-
-Mettez en sur-brillance l'élément clavier que vous voulez et appuyez sur la touche
-&enterkey;.
-Servez-vous pour cela des flèches de direction &mdash; elles se trouvent
-au même endroit dans toutes les cartes clavier, et elles sont indépendantes de
-la configuration du clavier.
-</para>
-
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml b/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml
deleted file mode 100644
index 4fc7748f8..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml
+++ /dev/null
@@ -1,102 +0,0 @@
-<!-- original version: 64916 -->
-
- <sect3 id="localechooser">
- <title>Choix des paramètres régionaux</title>
-
-<para>
-
-Les premières questions posées concernent le choix des paramètres régionaux qui
-seront utilisés à la fois pour l'installation et dans le système à installer.
-Ces paramètres sont la langue, le pays (territoire ou région) et les
-<emphasis>locales</emphasis>.
-
-
-</para><para>
-
-L'installation se fera dans la langue choisie, à condition que la traduction
-des dialogues existe. Quand il n'existe pas de traduction pour la langue
-choisie, l'installateur utilise l'anglais.
-
-</para><para>
-
-Le pays choisi sera utilisé pendant l'installation pour configurer
-votre fuseau horaire et le miroir &debian; correspondant à votre zone
-géographique. Les choix du pays et de la langue déterminent la locale
-par défaut de votre système ainsi que le choix de la carte clavier.
-
-</para><para>
-
-On vous demandera d'abord de choisir une langue.
-Les noms des langues sont affichés en anglais (côté gauche) et dans la langue
-elle-même (côté droit). Les noms sur la droite sont aussi affichés avec leur
-propre script. La liste est triée selon les noms anglais.
-Une option supplémentaire, au sommet de la liste, permet de choisir la locale
-<quote>C</quote> au lieu d'une langue. L'installation se fera alors en anglais.
-Le système qui sera installé ne sera pas localisé, puisque le paquet
-<classname>locales</classname> n'aura pas été installé.
-
-</para><para>
-
-Ensuite vous devrez choisir une zone géographique.
-Si vous avez choisi une langue qui est reconnue comme la langue
-officielle dans au moins deux pays <footnote>
-
-<para>
-
-Techniquement parlant : plusieurs locales existent pour cette langue avec des codes de pays
-différents.
-
-</para>
-
-</footnote>, on vous présentera une liste constituée par ces pays.
-Pour choisir un pays qui ne se trouve pas dans cette liste, sélectionnez la dernière option,
-<guimenuitem>autre</guimenuitem>. Une liste des continents sera affichée. En choisissant un
-continent, vous obtiendrez une liste des pays de ce continent.
-
-</para><para>
-
-Si vous avez choisi une langue qui n'est associée qu'à un seul pays,
-ce pays sera automatiquement sélectionné dans une liste où apparaissent
-tous les autres pays appartenant au continent ou à la région du
-pays sélectionné. Pour choisir un pays dans un autre continent, il faut
-utiliser le bouton <guibutton>Retour</guibutton>.
-
-</para><note><para>
-
-Il est important de choisir le pays dans lequel on vit car le pays
-détermine le fuseau horaire du système installé.
-
-</para></note>
-
-<para>
-S'il n'existe aucune locale pour la combinaison de langue et de pays
-choisis et si, pour cette langue, il existe plusieurs locales,
-l'installateur offre la possiblité de choisir la locale par défaut pour
-le système à installer <footnote>
-<para>
-Avec une priorité <quote>medium</quote> ou <quote>low</quote>, vous
-pouvez toujours choisir la locale que vous préférez parmi celles
-disponibles pour votre langue.
-</para>
-</footnote>. Dans tous les autres cas, la locale par défaut
-sera définie en fonction du pays et de la langue choisis.
-</para>
-<para>
-Toutes les locales par défaut choisies de la manière décrite dans le
-paragraphe précédent possèdent le codage <firstterm>UTF-8</firstterm>.
-</para>
-
-<para>
-Si vous faites une installation avec une priorité
-<emphasis>low</emphasis>, vous pourrez choisir d'ajouter d'autres
-locales, comme par exemple d'anciennes locales (<emphasis>Legacy
-locales</emphasis>) <footnote>
-<para>
-Les <emphasis>Legacy locales</emphasis> sont des locales qui n'utilisent
-pas le codage UTF-8, mais d'anciennes normes de codage comme
-ISO&nbsp;8859-1 pour les Européens ou EUC-JP pour les Japonais.
-</para>
-</footnote>, qui seront installées sur le nouveau système. Dans ce cas,
-il vous sera demandé de choisir quelle sera la locale par défaut.
-</para>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml b/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml
deleted file mode 100644
index 8505ae71c..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml
+++ /dev/null
@@ -1,56 +0,0 @@
-<!-- original version: 64829 -->
-
-<sect3 id="lowmem">
-<title>Vérification de la mémoire disponible / le mode <emphasis>peu de mémoire</emphasis></title>
-
-<para>
-
-L'une des premières tâches effectuées par l'installateur est la vérification
-de la mémoire disponible. Si la mémoire disponible est insuffisante,
-le processus d'installation sera modifié pour permettre l'installation de &debian-gnu;
-sur votre machine.
-
-</para><para>
-La première mesure prise pour réduire la consommation de mémoire est de supprimer
-les traductions. Cela signifie que l'installation ne peut se faire qu'en anglais.
-Bien sûr, une fois l'installation terminée, vous pourrez <emphasis>localiser</emphasis>
-le système.
-</para>
-<para>
-Si cela ne suffit pas, l'installateur ne chargera que les composants nécessaires
-pour terminer une installation élémentaire. Cela réduit les fonctionnalités du
-système installé. Vous avez toujours la possibilité de charger des composants supplémentaires,
-mais vous devez savoir que chaque composant choisi utilisera de la mémoire, ce qui
-peut provoquer l'échec de l'installation.
-</para>
-<para>
-Quand l'installateur est en mode <emphasis>peu de mémoire</emphasis>, il est recommandé
-de créer une partition d'échange assez grande (64&ndash;128&nbsp;Mo). Elle sera utilisée comme
-mémoire virtuelle, ce qui augmentera la quantité de mémoire disponible.
-L'installateur activera cette partition aussi tôt que possible pendant le processus
-d'installation. Il faut noter que cette utilisation de la partition d'échange
-réduit les performances du système et provoque une grande activité du disque.
-</para>
-<para>
-Malgré tout, il se peut encore que le système <emphasis>gèle</emphasis>, que des erreurs se produisent
-ou que des processus soient supprimés par le noyau à cause du manque de mémoire (cela
-sera signalé par des messages <quote>Out of memory</quote> sur la console VT4
-et dans le syslog).
-</para>
-<para>
-Il a été rapporté par exemple que la création d'un gros système de fichiers ext3
-n'est pas possible dans ce mode quand la partition d'échange n'est
-pas assez grande. Si l'augmentation de la taille de la partition d'échange ne
-change rien, essayez de créer un système ext2 (qui est un composant essentiel
-de l'installateur). Après l'installation, il sera possible de changer le
-système ext2 en ext3.
-
-</para>
-<para>
-
-Il est possible d'indiquer un niveau de mémoire à utiliser plus élevé que celui basé
-sur la mémoire disponible. Il suffit de donner une valeur au paramètre d'amorçage
-<quote>lowmem</quote>. Voyez <xref linkend="installer-args"/>.
-
- </para>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml
deleted file mode 100644
index 695aa9f0c..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml
+++ /dev/null
@@ -1,283 +0,0 @@
-<!-- original version: 56427 -->
-
-<sect3 id="mdcfg">
- <title>Configuration d'un périphérique multidisque (RAID logiciel)</title>
-<para>
-Si vous avez plusieurs disques durs <footnote><para>
-
-Pour tout dire, on peut construire un périphérique multidisque
-avec les partitions d'un seul disque, mais ça n'apporte pas grand chose.
-</para></footnote>
-
-sur votre machine, vous pouvez utiliser <command>mdcfg</command> pour
-obtenir de vos disques de meilleures performances et une meilleure fiabilité de
-vos données. Le résultat est un périphérique multidisque,
-<firstterm>Multidisk Device</firstterm>, ou <firstterm>RAID logiciel</firstterm>.
-</para>
-<para>
-Un périphérique multidisque n'est qu'un ensemble de partitions
-situées sur différents disques mais réunies pour former un périphérique
-<emphasis>logique</emphasis>. Ce périphérique peut alors être utilisé comme
-une simple partition, c'est-à-dire une partition qu'on peut monter et
-formater avec <command>partman</command>.
-</para>
-<para>
-Ce que vous gagnez dépend du type de périphérique créé. Voici ceux qui
-sont reconnus&nbsp;:
-<variablelist>
-<varlistentry>
-
-<term>RAID0</term><listitem><para>
-Ce type vise principalement la performance. RAID0 divise toutes les données
-entrantes en <firstterm>bandes</firstterm> et les distribue également sur
-tous les disques. Cela peut augmenter la vitesse des opérations d'écriture et
-de lecture, mais si l'un des disques a un problème, vous perdez
-<emphasis>tout</emphasis>&nbsp;: une partie des informations est encore sur
-les disques sains, mais l'autre <emphasis>était</emphasis> sur le disque
-défectueux.
-</para>
-<para>
-L'utilisation standard de RAID0 est une partition pour du travail vidéo.
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>RAID1</term><listitem><para>
-Ce type est adapté là où la fiabilité est le premier souci. Il consiste en
-plusieurs partitions de même taille (deux, habituellement) qui contiennent
-exactement les mêmes données. Cela signifie essentiellement trois choses.
-Premièrement, si l'un des disques a un problème, les données sont encore sur
-les autres disques. Deuxièmement, vous pouvez utiliser une partie seulement
-de la capacité disponible, précisément, la taille de la partition la plus
-petite du RAID. Troisièmement, la charge de lecture des fichiers est
-répartie entre tous les disques, ce qui peut améliorer les performances d'un
-serveur, notamment les serveurs de fichiers où les lectures sont
-plus nombreuses que les écritures de fichiers.
-</para>
-<para>
-Vous pouvez aussi inclure dans un tel ensemble un disque de rechange qui prendra
-la place du disque défectueux en cas de problème.
- </para></listitem>
-</varlistentry>
-<varlistentry>
-
-<term>RAID5</term><listitem><para>
-Ce type est un bon compromis entre vitesse, fiabilité et redondance des
-données. RAID5, comme RAID0, divise toutes les données entrantes en bandes et
-les distribue également sur tous les disques. Mais contrairement à RAID0, RAID5
-calcule aussi l'information de <firstterm>parité</firstterm>, qui est écrite
-sur le disque restant. Le disque de parité n'est pas fixe (ce serait RAID4), il
-change périodiquement et ainsi l'information de parité est distribuée également
-sur tous les disques. Quand l'un des disques s'arrête, la partie manquante des
-données peut être calculée avec les données restantes et la parité. RAID5 doit
-comporter au moins trois partitions actives. Vous pouvez aussi inclure un disque
-de rechange qui prendra la place du disque défectueux en cas de problème.
-</para>
-<para>
-Comme on le voit, RAID5 est aussi fiable que RAID1 tout en évitant de la
-redondance. D'un autre côté, il sera un tout petit peu moins rapide dans les
-opérations d'écriture que RAID0, à cause du calcul de l'information de
-parité.
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-<varlistentry>
-
-<term>RAID6</term><listitem><para>
-
-RAID6 est semblable à RAID5 mais il y a deux disques de parité au lieu d'un seul.
-
-</para><para>
-
-Un système RAID6 peut supporter jusqu'à deux défaillances de disque.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-<varlistentry>
-
-<term>RAID10</term><listitem><para>
-
-Le niveau RAID10 combine la répartition en bandes comme dans le RAID0 et la duplication des données
-comme dans le RAID1.
-Il crée <replaceable>n</replaceable> copies des données et les distribue dans les partitions
-de manière que les copies des mêmes données ne soient pas sur le même disque.
-La valeur par défaut de <replaceable>n</replaceable> est 2, mais elle peut être modifiée
-en mode expert. Le nombre de partitions utilisées doit être au moins égal à <replaceable>n</replaceable>.
-Plusieurs schémas existent pour la répartition des copies. Par défaut, le mode <emphasis>near</emphasis>
-est utilisé. Dans ce mode les copies ont la même position sur tous les disques.
-Dans le mode <emphasis>far</emphasis> les copies ont des positions différentes sur les disques. Dans le mode
-<emphasis>offset</emphasis>, c'est la bande qui est copiée, non le bloc de données.
-
-</para><para>
-
-Le niveau RAID10 propose fiabilité et redondance sans avoir à calculer des informations de parité.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-</variablelist>
-
-Pour résumer&nbsp;:
-
-<informaltable>
-<tgroup cols="5">
-<thead>
-<row>
- <entry>Type</entry>
- <entry>Nombre minimum de disques</entry>
- <entry>Disque de rechange</entry>
- <entry>Supporte l'échec d'un disque ?</entry>
- <entry>Espace disponible</entry>
-</row>
-</thead>
-
-<tbody>
-<row>
- <entry>RAID0</entry>
- <entry> 2</entry>
- <entry>non</entry>
- <entry>non</entry>
- <entry>Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des périphériques dans l'ensemble</entry>
-</row>
-
-<row>
- <entry>RAID1</entry>
- <entry> 2</entry>
- <entry>facultatif</entry>
- <entry>oui</entry>
- <entry>Taille de la plus petite partition dans l'ensemble</entry>
-</row>
-
-<row>
- <entry>RAID5</entry>
- <entry> 3</entry>
- <entry>facultatif</entry>
- <entry>oui</entry>
- <entry>
- Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des
-périphériques dans l'ensemble moins un.
- </entry>
-</row>
-
-<row>
- <entry>RAID6</entry>
- <entry>4</entry>
- <entry>facultatif</entry>
- <entry>oui</entry>
- <entry>
- Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des
-périphériques dans l'ensemble moins deux.
- </entry>
-</row>
-
-<row>
- <entry>RAID10</entry>
- <entry>2</entry>
- <entry>facultatif</entry>
- <entry>oui</entry>
- <entry>
- Total des partitions divisé par le nombre de copies (deux, par défaut)
- </entry>
-</row>
-</tbody></tgroup></informaltable>
-</para>
-
-<para>
-Si vous voulez tout savoir sur le RAID logiciel, lisez le
-<ulink url="&url-software-raid-howto;">HOWTO sur le RAID logiciel</ulink>.
-
-</para>
-
-<para>
-Pour créer un périphérique multidisque, vous devez préparer les
-partitions nécessaires. Vous pouvez le faire avec <command>partman</command>,
-dans le menu <guimenu>Caractéristiques de la partition</guimenu> où vous
-choisirez <menuchoice><guimenu>Utiliser comme :</guimenu>
-<guimenuitem>volume physique pour RAID</guimenuitem>
-</menuchoice>
-</para>
-
-<note><para>
-
-Assurez-vous que le système peut être amorcé avec le schéma de partitionnement prévu.
-Quand on utilise RAID pour le système de fichiers racine (<filename>/</filename>), il est
-nécessaire de créer un système de fichiers distinct pour <filename>/boot</filename>.
-La plupart des programmes d'amorçage <phrase arch="x86">(lilo et grub par exemple)</phrase>
-ne peuvent fonctionner qu'avec le type RAID1 (RAID en mode miroir, sans bande). Ainsi, il est possible d'utiliser
-RAID5 pour <filename>/</filename> et RAID1 pour <filename>/boot</filename>.
-
-</para></note>
-
-<warning><para>
-L'installateur gère le RAID logiciel depuis peu. Vous pourrez rencontrer
-des problèmes, pour certains niveaux RAID et en combinaison avec les
-programmes d'amorçage, par exemple si vous essayez d'utiliser un périphérique de ce type
-pour la partition racine, <filename>/</filename>. Les experts pourront
-sans doute contourner ces problèmes en exécutant certaines étapes de
-configuration ou d'installation dans un <quote>shell</quote>.
-</para></warning>
-<para>
-Ensuite, vous choisissez <guimenuitem>Configurer le RAID logiciel</guimenuitem>
-dans le menu principal de <command>partman</command>.
-Le menu n'apparaît que si vous avez sélectionné au moins une partition à
-utiliser comme <guimenuitem>volume physique pour RAID</guimenuitem>.
-Dans le premier écran de <command>mdcfg</command>, sélectionnez
-<guimenuitem>Créer un périphérique multidisque</guimenuitem>. Une liste
-des types acceptés pour ces périphériques est affichée et vous pouvez en
-choisir un, par exemple RAID1. La suite dépend du type que vous avez choisi.
-</para>
-
-<itemizedlist>
-<listitem><para>
-Le type RAID0 est simple. Une liste des partitions RAID disponibles est
-présentée et tout ce que vous avez à faire est de choisir les partitions qui
-composeront le périphérique.
-</para></listitem>
-<listitem><para>
-Le type RAID1 est un peu plus compliqué. On vous demandera d'abord le nombre
-de périphériques actifs et le nombre de périphériques de rechange qui
-composeront le périphérique. Ensuite vous devrez choisir dans la liste des
-partitions RAID celles qui seront actives et celles qui resteront en réserve.
-Le nombre de ces partitions devra être égal à celui donné l'instant d'avant.
-Si vous n'indiquez pas la même valeur, l'installateur ne vous laissera
-pas continuer et vous demandera de rectifier.
-</para></listitem>
-<listitem><para>
-RAID5 se configure comme RAID1, mais vous devez utiliser au moins trois
-partitions actives.
-</para></listitem>
-<listitem><para>
-
-RAID6 se configure comme RAID1, mais vous devez utiliser au moins quatre
-partitions actives.
-
-</para></listitem>
-<listitem><para>
-
-RAID10 se configure comme RAID1, excepté en mode expert. Dans ce mode,
-l'installateur demande le schéma de répartition des données. Ce schéma est en deux parties.
-La première est le type du schéma, soit <literal>n</literal> (pour copie <emphasis>near</emphasis>),
-soit <literal>f</literal> (pour copie <emphasis>far</emphasis>), soit
-<literal>o</literal> (pour copie <emphasis>offset</emphasis>). La seconde partie
-est le nombre de copie à faire. Il doit y avoir autant de disques actifs pour que les copies
-puissent être réparties sur ces disques.
-
-</para></listitem>
-</itemizedlist>
-
-<para>
-Il est parfaitement possible d'avoir plusieurs types de périphériques en même
-temps. Par exemple, avec trois disques durs de 200&nbsp;Go, chacun contenant
-deux partitions de 100&nbsp;Go, vous pouvez créer un périphérique de type
-RAID0 avec les premières partitions des trois disques, soit une partition
-rapide de 300&nbsp;Go pour le travail vidéo&nbsp;; et vous pouvez combiner
-les trois partitions restantes (deux actives, une de rechange) dans un
-périphérique RAID1, soit une partition très fiable de 100&nbsp;Go pour
-<filename>/home</filename>.
-</para>
-<para>
-Quand vous avez défini vos périphériques, vous pouvez choisir
-<guimenuitem>Terminer</guimenuitem> <command>mdcfg</command> pour retourner
-au menu de <command>partman</command> et créer les systèmes de fichiers et les
-options habituelles comme les points de montage pour ces nouveaux
-périphériques.
-</para>
-</sect3> \ No newline at end of file
diff --git a/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml
deleted file mode 100644
index aa863402b..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,59 +0,0 @@
-<!-- original version: 35613 -->
-
-<sect3 arch="mips">
- <title>Le programme <command>arcboot</command></title>
-<para>
-Le programme d'amorçage sur les machines SGI est <command>arcboot</command>. Il doit
-être installé sur le disque où se trouve le noyau (c'est fait automatiquement
-par l'installateur). Arcboot accepte différentes configurations, définies
-dans <filename>/etc/arcboot.conf</filename>. Chaque configuration a son nom.
-Celle créée par défaut s'appelle <quote>linux</quote>. Après l'installation
-d'arcboot le système peut être amorcé depuis un disque dur en déclarant des
-variables d'environnement pour le microprogramme&nbsp;:
-<informalexample><screen>
-<userinput> setenv SystemPartition scsi(<replaceable>scsi</replaceable>)disk(<replaceable>disk</replaceable>)rdisk(0)partition(0)</userinput>
-<userinput> setenv OSLoadPartition scsi(<replaceable>scsi</replaceable>)disk(<replaceable>disk</replaceable>)rdisk(0)partition(<replaceable>partnr</replaceable>)</userinput>
-<userinput> setenv OSLoader arcboot</userinput>
-<userinput> setenv OSLoadFilename <replaceable>config</replaceable></userinput>
-<userinput> setenv AutoLoad yes</userinput>
-</screen></informalexample>
-
-à l'invite du microprogramme, puis en lançant <command>boot</command>.
-</para>
-
-<variablelist>
-<varlistentry>
-<term> <replaceable>scsi</replaceable> </term>
-<listitem><para>
-est le périphérique SCSI où amorcer, c'est <userinput>0</userinput> sur
-les contrôleurs intégrés&nbsp;;
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-<varlistentry>
-<term> <replaceable>disk</replaceable> </term>
-<listitem><para>
-
-est l'ID du disque dur où se trouve <command>arcboot</command>&nbsp;;
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-<varlistentry>
-<term> <replaceable>partnr</replaceable> </term>
-<listitem><para>
-
-est le numéro de la partition où se trouve
-<filename>/etc/arcboot.conf</filename> ;
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-<varlistentry>
-<term> <replaceable>config</replaceable> </term>
-<listitem><para>
-
-est le nom de la configuration dans <filename>/etc/arcboot.conf</filename>,
-qui est par défaut <quote>linux</quote>.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-</variablelist>
-
-</sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml
deleted file mode 100644
index f5a31f414..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 14337 -->
diff --git a/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml
deleted file mode 100644
index 2e259fe82..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml
+++ /dev/null
@@ -1,85 +0,0 @@
-<!-- original version: 68097 -->
-
-<sect3 id="netcfg">
- <title>Configuration du réseau</title>
-
-<para>
-Pour cette étape, si l'installateur détecte plusieurs interfaces réseau, vous
-devrez indiquer quelle est la principale, c'est-à-dire celle que vous voulez
-utiliser pour l'installation. Les autres interfaces ne seront pas configurées.
-Vous pourrez les configurer une fois l'installation terminée.
-Consultez la page du manuel <citerefentry><refentrytitle>interfaces</refentrytitle> <manvolnum>5</manvolnum></citerefentry>.
-</para>
-
-<sect4 id="netcfg-automatic">
-<title>Configuration automatique du réseau</title>
-
-<para>
-
-L'installateur essaie d'abord de configurer automatiquement le réseau.
-Plusieurs raisons peuvent expliquer un échec, un câble mal branché, un serveur absent.
-Lisez les messages d'erreur sur la quatrième console pour des explications.
-Dans tous les cas, on vous demandera si vous voulez réessayer ou si vous voulez configurer vous-même le
-réseau. Les serveurs sont parfois très lents et si vous êtes sûr que tout
-est en place, réessayez. En cas d'échec répété, vous pouvez choisir de configurer
-vous-même le réseau.
-
-</para>
-</sect4>
-
-<sect4 id="netcfg-manual">
-<title>Configuration manuelle du réseau</title>
-
-<para>
-
-Si vous configurez vous-même le réseau, on vous demandera
-l'<computeroutput>adresse IP</computeroutput> de votre machine, le
-<computeroutput>masque réseau</computeroutput>, l'adresse de la
-<computeroutput>passerelle</computeroutput>, les
-<computeroutput>adresses des serveurs de noms</computeroutput> et le
-<computeroutput>nom de la machine</computeroutput>.
-De plus, si vous utilisez une interface pour réseau sans fil, on vous
-demandera le nom <computeroutput>ESSID</computeroutput> du réseau et la
-<computeroutput>clé WEP</computeroutput>
-ou <computeroutput>la phrase secrète WPA/WPA2</computeroutput>.
-Pour ces réponses, voyez
-<xref linkend="needed-info"/>.
-
-</para>
-
-<note><para>
-
-Voici quelques précisions techniques que vous trouverez, ou non, utiles&nbsp;:
-le programme suppose que l'adresse IP du réseau est le résultat d'un
-<quote>ET logique</quote> entre l'adresse de la machine et l'adresse du
-masque réseau. L'adresse de diffusion <emphasis>broadcast</emphasis> sera le résultat d'un
-<quote>OU logique</quote> entre l'adresse de la machine et la négation
-logique du masque réseau. Si vous ne connaissez aucune de ces valeurs,
-utilisez les valeurs proposées par l'installateur. Vous pourrez les
-changer quand le système aura été installé, en modifiant le fichier
-<filename>/etc/network/interfaces</filename>.
-
-</para></note>
-
-</sect4>
-
-<sect4 id="netcfg-ipv4-ipv6">
-<title>IPv4 et IPv6</title>
-
-<para>
-
-Depuis &debian-gnu; 7.0 (<quote>Wheezy</quote>), l'&d-i; sait gérer IPv6
-aussi bien que le <quote>classique</quote> IPv4. Toutes les combinaisons possibles
-d'IPv4 et IPv6 sont acceptées.
-
-</para><para>
-
-La configuration automatique pour IPv4 est faite par DHCP (<emphasis>Dynamic Host Configuration
-Protocol</emphasis>). Celle pour IPv6 utilise NDP (<emphasis>Neighbor Discovery Protocol</emphasis>)
-avec RDNSS (<emphasis>recursive DNS server</emphasis>)
-ou DHCPv6, ou encore un mixte des deux (configuration de l'adresse par NDP, paramètres additionnels par DHCPv6).
-
-</para>
-</sect4>
-
-</sect3> \ No newline at end of file
diff --git a/fr/using-d-i/modules/network-console.xml b/fr/using-d-i/modules/network-console.xml
deleted file mode 100644
index a7c0d56df..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/network-console.xml
+++ /dev/null
@@ -1,127 +0,0 @@
-<!-- original version: 65801 -->
-
- <sect2 id="network-console">
- <title>Installation par le réseau</title>
-
-<para arch="not-s390">
-
-L'un des composants les plus intéressants est
-<firstterm>network-console</firstterm>. Il permet de faire une installation
-grâce au réseau avec SSH. L'utilisation du réseau implique d'effectuer
-les premières étapes de l'installation à partir de la console, jusqu'à la configuration
-du réseau. Mais vous pouvez automatiser le processus, voyez
-<xref linkend="automatic-install"/>.
-
-</para><para arch="not-s390">
-
-Ce composant n'est pas chargé automatiquement et il vous faut le demander explicitement.
-
-Si vous faites une installation à partir d'un cédérom, vous devez amorcer avec la priorité
-<emphasis>medium</emphasis> ou appeler le menu principal de l'installateur et choisir
-<guimenuitem>Chargement des composants de l'installateur à partir d'un CD</guimenuitem>&nbsp;
-puis, choisir sur la
-liste des composants supplémentaires <guimenuitem>network-console : Continuer
-l'installation depuis une machine distante avec SSH</guimenuitem>. Si le chargement a réussi,
-une nouvelle entrée appelée <guimenuitem>Continuer l'installation depuis une machine distante
-avec SSH</guimenuitem> apparaît.
-
-</para><para arch="s390">
-
-Les installations sur &arch-title; se font selon cette méthode après la configuration du
-réseau.
-
-</para><para>
-
-<phrase arch="not-s390">Quand vous avez sélectionné cette nouvelle entrée, on</phrase>
-<phrase arch="s390">On</phrase> vous demande le mot de passe qui servira à se connecter
-au système d'installation, ainsi que sa confirmation. Et c'est tout.
-Vous devez voir maintenant un écran qui indique comment accéder à la machine distante
-en tant qu'utilisateur <emphasis>installer</emphasis> avec le mot de passe que vous venez
-de donner. Un point important à noter dans cet écran est l'empreinte du système.
-Vous devez transférer de façon sécurisée cette empreinte à la personne qui continuera
-l'installation à distance.
-
-</para><para>
-
-Si vous décidiez de continuer l'installation localement, vous pourrez toujours appuyer sur
-la touche &enterkey;, qui vous ramènera au menu principal où vous pourrez choisir
-un autre composant.
-
-</para><para>
-
-Passons maintenant à l'autre bout du câble. Vous devez tout d'abord configurer
-votre terminal avec le codage UTF-8 car c'est le codage utilisé par le système
-d'installation. Si vous n'utilisez pas ce codage, l'installation à distance sera
-possible mais vous risquez de rencontrer d'étranges artefacts comme des bordures de dialogues
-effacées ou des caractères illisibles. L'établissement de la connexion avec le
-système d'installation est très simple&nbsp;:
-
-<informalexample><screen>
-<prompt>$</prompt> <userinput>ssh -l installer <replaceable>install_host</replaceable></userinput>
-</screen></informalexample>
-
-Où <replaceable>install_host</replaceable> est soit le nom soit l'adresse IP de la machine
-où sera installé le système. Avant de vous connecter réellement, l'empreinte du système distant
-sera affichée et vous devrez confirmer qu'elle est correcte.
-
-</para><note><para>
-
-Le serveur <command>ssh</command> de l'installateur n'est pas configuré pour envoyer
-des paquets destinés à maintenir la connexion (<quote>keep-alive packets</quote>).
-En principe, la connexion à la machine distante doit rester ouverte indéfiniment.
-Cependant dans certains cas, liés à la configuration
-du réseau local, la connexion peut être fermée après une période d'inactivité.
-C'est le cas par exemple s'il existe un système de traduction d'adresses réseau
-(<quote>Network Address Translation, NAT</quote>) entre le client et la machine distante.
-Selon le moment de l'installation où la connexion a été perdue, il est ou non possible
-de reprendre l'installation après la reconnexion.
-</para>
-<para>
-Pour éviter une déconnexion, on peut lancer la connexion <command>ssh</command> avec
-l'option <userinput>-o&nbsp;ServerAliveInterval=<replaceable>valeur</replaceable></userinput>.
-On peut aussi ajouter cette option au fichier de configuration du serveur <command>ssh</command>.
-Cependant cette option peut <emphasis>provoquer</emphasis> une déconnexion, par exemple quand
-des paquets destinés à maintenir la connexion <quote>keep-alive</quote> sont envoyés pendant
-une courte interruption du réseau.
-Sans cette option, <command>ssh</command> aurait maintenu la connexion. N'utilisez cette option
-qu'en cas de nécessité.
-</para></note>
-
-<note><para>
-
-Si vous installez le système sur plusieurs machines, l'une à la suite de l'autre,
-et qu'elles possèdent le même nom ou la même adresse IP, <command>ssh</command>
-refusera toute connexion.
-En effet, il aura enregistré des empreintes différentes, ce qui est signe d'une attaque
-par mystification (<quote>spoofing attack</quote>). Si vous êtes certain que ce n'est pas
-le cas, vous devez supprimer la ligne adéquate dans le fichier
-<filename>~/.ssh/known_hosts</filename><footnote>
-<para>
-La commande suivante supprime une entrée existante :
-<command>ssh-keygen -R &lt;<replaceable>hostname</replaceable>|<replaceable>IP&nbsp;address</replaceable>&gt;</command>.
-</para>
-
-</footnote> et recommencer.
-
-</para></note><para>
-
-Après la connexion, un premier écran apparaît qui offre deux
-possibilités appelées <guimenuitem>Lancer le menu</guimenuitem> et
-<guimenuitem>Lancer un shell</guimenuitem>. La première vous place dans le menu
-principal de l'installateur, où vous pouvez poursuivre l'installation comme
-habituellement. La seconde lance un interpréteur de commandes et vous pouvez
-examiner ou corriger si nécessaire le système distant. Vous ne pouvez lancer qu'une
-seule session ssh pour le menu d'installation, mais vous pouvez lancer plusieurs
-interpréteurs.
-
-</para><warning><para>
-
-Une fois l'installation à distance commencée, vous ne devez pas revenir
-à la session d'installation en cours sur la console locale. Si vous le faites,
-vous risquez de corrompre la base de données où est enregistrée la configuration
-du nouveau système. Il en résulterait l'échec de l'installation ou des problèmes
-dans le système installé.
-
-</para></warning>
-
- </sect2>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml b/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml
deleted file mode 100644
index 7eed2e961..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml
+++ /dev/null
@@ -1,25 +0,0 @@
-<!-- original version: 61133 -->
-
- <sect3 id="nobootloader">
- <title>Continuer sans programme d'amorçage</title>
-<para>
-
-Cette option peut être employée pour terminer l'installation même
-lorsqu'aucun programme d'amorçage n'est installé soit parce qu'il n'en existe
-aucun pour cette architecture soit parce qu'on veut utiliser un autre
-programme.
-</para>
-<para>
-
-Si vous voulez configurer vous-même un programme d'amorçage, vous devez
-chercher le nom du noyau installé dans <filename>/target/boot</filename>.
-Vous devez aussi vérifier la présence dans ce répertoire d'un
-<firstterm>initrd</firstterm>. Si ce fichier existe, vous devrez indiquer au
-programme d'amorçage de l'utiliser. Vous devrez connaître aussi le disque et
-la partition sur laquelle est monté le système de fichiers racine
-<filename>/</filename>&nbsp;; si vous avez mis <filename>/boot</filename>
-sur une partition distincte, vous devez connaître son système de fichiers.
-
- </para>
- </sect3>
-
diff --git a/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml b/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml
deleted file mode 100644
index c944631b3..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml
+++ /dev/null
@@ -1,26 +0,0 @@
-<!-- original version: 64916 -->
-
-<sect3 id="os-prober">
- <title>Détecter les autres systèmes d'exploitation</title>
-
-<para>
-
-Avant l'installation du programme d'amorçage, l'installateur recherche
-les systèmes d'exploitation installés sur la machine. S'il reconnaît
-un système d'exploitation, vous en serez informé et l'installateur
-configurera le programme d'amorçage pour pouvoir démarrer aussi bien ce système
-que &debian;.
-
-</para><para>
-
-Notez que la possibilité d'amorcer différents systèmes sur une même machine
-relève encore de la magie. Le support de détection et de configuration
-automatique des programmes d'amorçage est différent pour chaque architecture
-et même pour chaque sous-architecture. Si l'automatisation ne fonctionne pas
-correctement, reportez-vous à la documentation propre à votre programme
-d'amorçage pour plus d'information.
-
-<!-- TODO: Maybe include some arch-dependent tables with supported OS'es here -->
-</para>
-
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/partconf.xml b/fr/using-d-i/modules/partconf.xml
deleted file mode 100644
index d0d068f3d..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/partconf.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 11648 -->
diff --git a/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml b/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml
deleted file mode 100644
index 7af410022..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml
+++ /dev/null
@@ -1,2 +0,0 @@
-<!-- original version: 11648 -->
-
diff --git a/fr/using-d-i/modules/partman-crypto.xml b/fr/using-d-i/modules/partman-crypto.xml
deleted file mode 100644
index d33486361..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/partman-crypto.xml
+++ /dev/null
@@ -1,334 +0,0 @@
-<!-- original version: 56427 -->
-
- <sect3 id="partman-crypto">
- <title>Configuration des volumes chiffrés</title>
-<para>
-
-L'installateur &debian; permet le chiffrement des partitions. Tout fichier
-destiné à une partition chiffrée est sauvegardé sur le périphérique sous
-une forme chiffrée. L'accès aux données chiffrées n'est autorisé qu'après
-avoir fourni la <firstterm>phrase secrète</firstterm> qui avait été donnée
-lors de la création de la partition chiffrée. Ce mécanisme est utile pour
-protéger des données sensibles en cas de vol du portable ou du disque
-dur. Le voleur a bien un accès physique au disque dur mais, sans la phrase
-secrète, les données ne sont qu'une suite inintelligible de caractères.
-
-</para><para>
-
-Le chiffrement est particulièrement important pour deux partitions, la
-partition /home avec les données privées et la partition d'échange où
-peuvent se trouver stockées temporairement des données sensibles. Bien sûr,
-vous pouvez chiffrer n'importe quelle partition, par exemple <filename>/var</filename>
-où se trouvent les données des serveurs de bases de données, des serveurs de
-courrier ou d'impression, <filename>/tmp</filename> avec ses fichiers temporaires, etc. Vous
-pouvez même chiffrer le système complet. La seule exception est qu'on ne
-peut pas chiffrer la partition <filename>/boot</filename> car il n'existe actuellement aucun
-moyen de charger le noyau à partir d'une partition chiffrée.
-
-</para><note><para>
-
-Il faut noter que la performance d'une machine avec partitions chiffrées
-sera inférieure à celle d'un machine sans. En effet les données doivent être
-chiffrées ou déchiffrées à chaque lecture ou écriture. L'impact sur la
-performance dépend de la vitesse du processeur, de l'algorithme choisi et de
-la longueur de la clé.
-
-</para></note><para>
-
-Pour chiffrer une partition, vous devez d'abord la créer, dans le menu de
-partitionnement. Une autre possibilité est d'utiliser une partition
-existante, par exemple, une partition ordinaire, un volume logique (LVM) ou
-un volume RAID. Dans le menu <guimenu>Caractéristiques de la partition</guimenu>,
-vous devez modifier la première option pour qu'elle
-affiche <menuchoice> <guimenu>Utiliser comme :</guimenu> <guimenuitem>volume
-physique à chiffrer</guimenuitem></menuchoice>. Le menu affichera alors
-différentes options de chiffrement pour la partition.
-
-</para><para>
-
-L'installateur &debian; propose plusieurs méthodes de chiffrement. Par défaut,
-la méthode est <firstterm>dm-crypt</firstterm>, qui est gérée par les noyaux
-Linux récents, et qui peut gérer les volumes logiques (LVM). Un autre méthode est
-<firstterm>loop-AES</firstterm>, plus ancienne et maintenue en marge du
-noyau Linux. Il est recommandé d'utiliser la méthode par défaut.
-
-<!-- TODO: link to the "Debian block device encryption guide"
- once Max writes it :-) -->
-
-</para><para>
-
-Voyons tout d'abord les options disponibles quand on a sélectionné la
-méthode de chiffrement <userinput>Device-mapper (dm-crypt)</userinput>. N'oubliez pas
-qu'en cas de doute il faut utiliser les options par défaut car elles
-ont été choisies en visant la sécurité d'utilisation.
-
-<variablelist>
-
-<varlistentry>
-<term>Chiffrement&nbsp;: <userinput>aes</userinput></term>
-
-<listitem><para>
-
-Cette option permet de choisir l'algorithme de chiffrement
-(<firstterm>cipher</firstterm>) qui servira à chiffrer les données de la
-partition. Actuellement l'installateur &debian; accepte les algorithmes de type
-bloc suivants&nbsp;: <firstterm>aes</firstterm>, <firstterm>blowfish</firstterm>,
-<firstterm>serpent</firstterm> et <firstterm>twofish</firstterm>. Nous ne
-discuterons pas ici de la qualité de ces différents algorithmes. Cependant,
-il peut être utile de savoir que l'algorithme <emphasis>AES</emphasis> a été
-choisi en 2000 par l'<emphasis>American National Institute of Standards
-and Technology</emphasis> pour la protection des données sensibles au 21e siècle.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>Taille de clé&nbsp;: <userinput>256</userinput></term>
-
-<listitem><para>
-
-Vous pouvez choisir ici la taille de la clé de chiffrement. Plus la taille
-de la clé est grande, plus la force du chiffrement est augmentée. Cependant
-la taille de la clé a un impact négatif sur la performance. Les différentes
-tailles de clé dépendent de l'algorithme de chiffrement.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>Algorithme IV&nbsp;: <userinput>cbc-essiv:sha256</userinput></term>
-
-<listitem><para>
-
-L'algorithme de type <firstterm>Initialization Vector</firstterm> ou
-<firstterm>IV</firstterm> assure que si l'on applique l'algorithme sur le
-même <firstterm>texte en clair</firstterm> avec la même clé, on obtiendra
-toujours un <firstterm>texte chiffré</firstterm> différent. L'idée est d'empêcher
-la déduction d'information à partir de motifs répétés dans les données
-chiffrées.
-
-</para><para>
-
-De toutes ces possibilités, l'option par défaut
-<userinput>cbc-essiv:sha256</userinput> est actuellement la moins vulnérable
-aux attaques connues. Ne choisissez les autres options que pour assurer la
-compatibilité avec des systèmes déjà installées qui ne reconnaissent pas les
-nouveaux algorithmes.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>Clé de chiffrement&nbsp;: <userinput>phrase secrète</userinput></term>
-
-<listitem><para>
-
-Vous pouvez choisir ici le type de la clé de chiffrement pour cette partition.
-
- <variablelist>
- <varlistentry>
- <term>phrase secrète</term>
- <listitem><para>
-
-La clé de chiffrement sera calculée <footnote>
-<para>
-
-L'utilisation d'une phrase comme clé signifie que la partition sera créée
-avec <ulink url="&url-luks;">LUKS</ulink>.
-
-</para></footnote> à partir d'une phrase que vous pourrez saisir plus tard dans le
-processus.
-
- </para></listitem>
- </varlistentry>
-
- <varlistentry>
- <term>Clé aléatoire</term>
- <listitem><para>
-
-Une nouvelle clé est calculée avec des données aléatoires chaque fois que la
-partition chiffrée est montée. En d'autres termes, à chaque arrêt de la
-machine le contenu de la partition est perdu car la clé est supprimée de la
-mémoire. On pourrait essayer de deviner la clé au moyen d'une attaque de
-type force brute, mais, à moins d'une faiblesse non connue de l'algorithme,
-une vie entière n'y suffirait pas.
-
- </para><para>
-
-Les clés aléatoires sont adaptées aux partitions d'échange car vous n'avez
-pas besoin de mémoriser une phrase secrète ou d'effacer des
-données sensibles de la partition d'échange avant d'éteindre la
-machine. Cependant cela signifie que vous ne pourrez pas utiliser la
-fonctionnalité <quote>suspend-to-disk</quote> qu'offrent les noyaux Linux
-récents. Il est en effet impossible (pendant le redémarrage) de récupérer
-les données écrites sur la partition d'échange.
-
- </para></listitem>
- </varlistentry>
- </variablelist>
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>Effacer les données&nbsp;: <userinput>oui</userinput></term>
-
-<listitem><para>
-
-Cette option détermine si la partition doit être remplie de
-données aléatoires avant le début du chiffrement. Cette opération est
-recommandée car un attaquant pourrait sinon discerner quelles parties de la
-partition sont actives et lesquelles ne le sont pas. De plus cela rendra plus
-difficile de récupérer des données laissées par des installations
-précédentes <footnote><para>
-
-Il est cependant probable que certains organismes gouvernementaux
-ont les moyens de récupérer des données même après plusieurs écritures d'un
-support magnéto-optique.
-
-</para></footnote>.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-</variablelist>
-
-</para><para>
-
-Si vous choisissez <menuchoice> <guimenu>Méthode de chiffrement :</guimenu>
-<guimenuitem>Loopback (loop-AES)</guimenuitem> </menuchoice>, le menu offre
-alors les options suivantes&nbsp;:
-
-
-<variablelist>
-<varlistentry>
-<term>Chiffrement : <userinput>AES256</userinput></term>
-
-<listitem><para>
-
-Pour loop-AES, contrairement à dm-crypt, les options algorithme et clé sont
-combinées et vous pouvez les choisir en même temps. Veuillez consulter les
-sections suivantes sur les algorithmes et les clés pour d'autres
-informations.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>Clé de chiffrement : <userinput>Keyfile (GnuPG)</userinput></term>
-
-<listitem><para>
-
-Vous pouvez choisir ici le type de la clé pour cette partition.
-
- <variablelist>
- <varlistentry>
- <term>Keyfile (GnuPG)</term>
- <listitem><para>
-
-La clé de chiffrement sera créée avec des données aléatoires pendant
-l'installation. Cette clé sera chiffrée avec
-<application>GnuPG</application>, et pour l'utiliser, vous devrez saisir
-votre phrase secrète (elle vous sera demandée plus tard dans le processus).
-
- </para></listitem>
- </varlistentry>
-
- <varlistentry>
- <term>Clé aléatoire</term>
- <listitem><para>
-
-Veuillez consulter la section sur les clés aléatoires ci-dessus.
-
- </para></listitem>
- </varlistentry>
- </variablelist>
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>Effacer les données&nbsp;: <userinput>oui</userinput></term>
-
-<listitem><para>
-
-Veuillez consulter la section sur la suppression des données ci-dessous.
-
-</para></listitem>
-</varlistentry>
-
-</variablelist>
-
-</para>
-
-<para>
-
-Après avoir choisi les paramètres des partitions chiffrées, vous pouvez
-revenir dans le menu de partitionnement. Une entrée <guimenu>Configuration
-des volumes chiffrés</guimenu> devrait être présente. Quand vous la
-sélectionnez, on vous demande de confirmer la suppression des données sur
-les partitions à supprimer ainsi que d'autres actions comme l'écriture d'une
-nouvelle table des partitions. Pour les grandes partitions, cela peut
-prendre du temps.
-
-</para><para>
-
-On vous demandera ensuite de saisir une phrase pour les partitions qui en
-utilisent. Une bonne phrase doit contenir plus de huit caractères, mélanger
-les lettres, les chiffres et les autres caractères, ne pas comporter des mots
-du dictionnaire ou des informations personnelles comme dates de naissance,
-loisirs, petits noms, noms des membres de la famille ou des amis, etc.
-
-</para><warning><para>
-
-Avant de saisir une phrase, vous devez être sûr que le clavier est
-correctement configuré et affiche bien les caractères attendus. Si ce n'est
-pas le cas, vous pouvez passer sur la deuxième console et saisir quelques
-caractères. Cela vous évitera de saisir une phrase avec un clavier configuré
-en <quote>qwerty</quote> alors qu'à l'installation vous l'aviez configuré en
-<quote>azerty</quote>. Cette situation peut avoir plusieurs causes. Vous
-avez changé de carte clavier pendant l'installation ou bien la carte clavier
-n'est pas encore configurée au moment où vous saisissez la phrase secrète
-pour le système de fichiers racine.
-
-</para></warning><para>
-
-Si vous avez choisi une méthode sans phrase secrète pour créer une clé de
-chiffrement, la clé sera créée maintenant. Comme le noyau, à ce stade de
-l'installation, peut manquer d'entropie, cela peut prendre du temps. Vous
-pouvez accélérer le processus en pressant des touches au hasard ou en
-passant sur la deuxième console et en créant du trafic réseau ou disque
-(télécharger des fichiers, envoyer des fichiers sur /dev/null, etc.).
-L'opération est répétée pour chaque partition à chiffrer.
-
-</para><para>
-
-De retour dans le menu principal de partitionnement, vous pourrez voir tous
-les volumes chiffrés listés comme partitions supplémentaires que vous pouvez
-configurer de la même façon que des partitions ordinaires. L'exemple suivant
-montre deux volumes différents, l'un chiffré avec dm-crypt, l'autre avec loop-AES.
-<informalexample><screen>
-Volume chiffré (<replaceable>sda2_crypt</replaceable>) - 115.1 Go Linux device-mapper
- #1 115.1 Go F ext3
-
-Loopback (<replaceable>loop0</replaceable>) - 515.2 Mo AES256 keyfile
- #1 515.2 Mo F ext3
-</screen></informalexample> C'est le moment d'affecter des points de montages aux
-volumes et de modifier le type des systèmes de fichiers si le type par
-défaut ne vous convient pas.
-
-</para><para>
-
-Notez bien les identifiants entre parenthèses
-(<replaceable>sda2_crypt</replaceable> et <replaceable>loop0</replaceable> dans
-ce cas) et le point de montage affecté à chaque volume chiffré. Vous aurez
-besoin de ces informations quand vous amorcerez le nouveau système. Les
-différences entre un processus de démarrage ordinaire et un processus impliquant
-des questions de chiffrement seront abordées dans <xref linkend="mount-encrypted-volumes"/>.
-
-</para><para>
-
-Une fois le schéma de partitionnement terminé, vous pouvez poursuivre l'installation.
-
-</para>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/partman-lvm.xml b/fr/using-d-i/modules/partman-lvm.xml
deleted file mode 100644
index 8a6684ee0..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/partman-lvm.xml
+++ /dev/null
@@ -1,96 +0,0 @@
-<!-- original version: 56326 -->
-
-<sect3 id="partman-lvm">
- <title>Configuration du <quote>Logical Volume Manager</quote> (LVM)</title>
-<para>
-
-Si vous travaillez sur les ordinateurs comme administrateur système ou
-si vous êtes un utilisateur <quote>avancé</quote>, vous avez sûrement
-rencontré le cas suivant&nbsp;: une partition qui manque d'espace libre
-(c'est habituellement la plus importante du système) et une partition
-grossièrement sous-utilisée, la gestion de cette situation ayant consisté
-en déplacement de fichiers, création de liens symboliques, etc.
-</para>
-<para>
-Pour éviter cette situation, on peut utiliser un gestionnaire de volumes
-logiques, <quote>Logical Volume Manager</quote> (LVM). Dit simplement,
-avec LVM vous pouvez combiner vos partitions
-(<firstterm>volumes physiques</firstterm> dans le lexique LVM) pour former
-un disque virtuel (<firstterm>groupe de volumes</firstterm>) qui peut être
-divisé en partitions virtuelles (<firstterm>volumes logiques</firstterm>).
-L'idée est que les volumes logiques s'étendent sur plusieurs disques physiques.
-</para>
-<para>
-Dès lors, quand vous constatez que votre vieille partition
-<filename>/home</filename> de 160&nbsp;Go a besoin d'espace, vous pouvez
-simplement ajouter un disque de 300&nbsp;Go à votre machine, l'intégrer au
-groupe de volumes existant et redimensionner le volume logique qui comprend
-la partition <filename>/home</filename> et vos utilisateurs ont
-de nouveau de la place sur la partition de 460&nbsp;Go&nbsp;!
-Cet exemple est bien sûr un peu simplifié. Si vous ne l'avez pas encore lu,
-vous devriez consulter le <ulink url="&url-lvm-howto;">HOWTO LVM</ulink>.
-
-</para>
-<para>
-
-La configuration de LVM dans l'installateur &debian; est très simple. D'abord,
-vous devez marquer les partitions à utiliser comme volumes physiques par
-LVM. Cela se fait avec <command>partman</command> dans le menu
-<guimenu>Configuration des partitions</guimenu>, où vous choisissez
-<menuchoice><guimenu>Utiliser comme :</guimenu>
-<guimenuitem>volume physique pour LVM</guimenuitem></menuchoice>.
-
-</para>
-<para>
-
-Quand vous revenez à l'écran principal de <command>partman</command>, vous voyez
-une nouvelle option
-<guimenuitem>Configurer LVM, le gestionnaire des volumes logiques</guimenuitem>.
-Quand vous la sélectionnez, on vous demande d'abord de confirmer les modifications en
-attente pour la table des partitions (s'il y en a) et le menu de configuration de LVM sera
-affiché. Le menu n'affiche que les actions valables selon le contexte.
-Les actions possibles sont&nbsp;:
-
-<itemizedlist>
- <listitem><para>
- <guimenuitem>Afficher les détails de la configuration</guimenuitem> :
- montre la structure des volumes LVM, le nom et la taille des volumes, etc.
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <guimenuitem>Créer un groupe de volumes</guimenuitem>
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <guimenuitem>Créer un volume logique</guimenuitem>
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <guimenuitem>Supprimer un groupe de volumes</guimenuitem>
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <guimenuitem>Supprimer un volume logique</guimenuitem>
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <guimenuitem>Etendre un volume logique</guimenuitem>
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <guimenuitem>Réduire un volume logique</guimenuitem>
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <guimenuitem>Terminer</guimenuitem>:
- retourne à l'écran principal de <command>partman</command>.
- </para></listitem>
-</itemizedlist>
-
-</para>
-<para>
-Utilisez les options de ce menu pour créer d'abord un groupe de volumes et pour
-créer ensuite les volumes logiques.
-</para>
-
-<para>
-Quand vous revenez à l'écran principal de <command>partman</command>,
-tous les volumes logiques créés sont affichés comme si c'étaient
-de simples partitions, et vous devez les traiter ainsi.
-</para>
-</sect3>
-
-
diff --git a/fr/using-d-i/modules/partman.xml b/fr/using-d-i/modules/partman.xml
deleted file mode 100644
index 2c9969f29..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/partman.xml
+++ /dev/null
@@ -1,431 +0,0 @@
-<!-- original version: 68597 -->
-
-<para>
-
-Si le partitionnement vous inquiète ou si vous voulez des précisions supplémentaires,
-voyez l'<xref linkend="partitioning"/>.
-
-</para>
-
-<warning arch="sparc"><para>
-<!-- BTS: #384653 -->
-
-Quand un disque a déjà été utilisé sous Solaris, le programme de
-partitionnement peut ne pas détecter correctement la taille du disque.
-Le problème n'est pas réglé par la création d'une nouvelle table des partitions.
-Il faut modifier les premiers secteurs du disque de cette façon&nbsp;:
-
-<informalexample><screen>
-# dd if=/dev/zero of=/dev/hd<replaceable>X</replaceable> bs=512 count=2; sync
-</screen></informalexample>
-
-Notez que cela rendra inaccessibles les données de ce disque.
-</para></warning>
-
-
-<para>
-
-Dans un premier temps, vous aurez la possibilité de partitionner un disque
-entier ou une partie de disque, de façon automatique.
-C'est le partitionnement <quote>assisté</quote>. Si vous n'aimez pas
-ce côté automatique, choisissez l'option
-<guimenuitem>Manuel</guimenuitem> dans le menu.
-</para>
-
- <sect3 id="partman-fs">
- <title>Options de partitionnement</title>
-<para>
-Le partitionneur de l'installateur &debian; est polyvalent. Il autorise la
-création de plusieurs schémas de partitionnement et permet l'utilisation de
-diverses tables de partitions, systèmes de fichiers et périphériques
-bloc complexes.
-
-</para>
-<para>
-
-Les options disponibles dépendent principalement de l'architecture mais
-aussi de différents facteurs. Ainsi sur des systèmes avec peu de
-mémoire, certaines options peuvent manquer. Les valeurs par défaut
-peuvent aussi changer. Le type des tables de partitions peut être différent
-sur les disques durs à grande capacité et sur les disques durs de
-moindre capacité. Certaines options ne sont modifiables que si la
-priorité debconf est <quote>medium</quote> ou <quote>low</quote>. Pour
-les autres priorités, des valeurs par défaut pertinentes sont utilisées.
-
-</para>
-<para arch="linux-any">
-L'installateur accepte plusieurs formes de partitionnement ainsi que
-plusieurs types de périphériques de stockage, lesquels peuvent être
-combinés.
-
-<itemizedlist>
- <listitem><para>
- <emphasis>Gestion des volumes logiques (LVM)</emphasis>
- </para></listitem>
- <listitem arch="not-s390"><para>
- <emphasis>RAID logiciel</emphasis>
- </para><para>
- Niveaux RAID reconnus : 0, 1, 4, 5, 6, 10.
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <emphasis>Chiffrement</emphasis>
- </para></listitem>
- <listitem arch="x86"><para>
- <emphasis>RAID Serial ATA</emphasis> (avec <classname>dmraid</classname>)
- </para><para>
- Appelé <quote>fake RAID</quote> ou <quote>BIOS RAID</quote>.
- Le RAID Serial ATA n'est disponible que s'il a été activé au moment
- de l'amorçage de l'installateur. Des informations plus détaillées sont
- disponibles sur <ulink url="&url-d-i-sataraid;">notre Wiki</ulink>.
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <emphasis>Multipath</emphasis> (expérimental)
- </para><para>
- Consultez <ulink url="&url-d-i-multipath;">notre Wiki</ulink> pour des informations.
- Le <quote>multipath</quote> n'est disponible que s'il a été activé au moment
- de l'amorçage de l'installateur.
- </para></listitem>
-</itemizedlist>
-
-</para>
-<para>
-
-Les systèmes de fichiers suivants sont reconnus :
-
-<itemizedlist>
- <listitem><para>
- <phrase arch="arm;mipsel"><emphasis>ext2r0</emphasis></phrase>
- <emphasis>ext2</emphasis>
- <phrase arch="linux-any"><emphasis>ext3</emphasis>,</phrase>
- <phrase arch="linux-any"><emphasis>ext4</emphasis></phrase>
- </para><para arch="linux-any">
- Le système de fichier choisi par défaut est ext4 ; pour la partition
- <filename>/boot</filename> ext2 est choisi par défaut si le
- partitionnement assisté est utilisé.
- </para></listitem>
- <listitem arch="linux-any"><para>
- <emphasis>jfs</emphasis> (pas disponible sur toutes les architectures)
- </para></listitem>
- <listitem arch="kfreebsd-any"><para>
- <emphasis>ufs</emphasis>
- </para><para>
- Le système de fichiers par défaut est UFS.
- </para></listitem>
- <listitem arch="linux-any"><para>
- <emphasis>xfs</emphasis> (pas disponible sur toutes les architectures)
- </para></listitem>
- <listitem arch="kfreebsd-any"><para>
- <emphasis>zfs</emphasis>
- </para><para>
-La gestion du système ZFS est encore en phase de développement dans l'installateur.
-Une partie seulement des fonctionnalités est implémentée. Certaines peuvent être activées après l'installation
-initiale mais quelques points délicats sont à noter :
- <itemizedlist>
- <listitem><para>
- Chaque pool ZFS ne contient qu'un seul système de fichiers. Après l'installation,
- d'autres systèmes de fichiers peuvent être créés pour ce pool avec la commande
- <quote>zfs create</quote>.
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- Chaque pool ZFS est composé d'une seule partition. Après l'installation,
- ce pool peut être converti en un pool contenant plusieurs périphériques avec la commande
- <quote>zpool add</quote>. Il peut aussi devenir un pool en miroir avec la commande
- <quote>zpool attach</quote>. Cependant, il vaut mieux ne pas transformer le pool qui contient
- le système de fichiers racine car cela empêche GRUB d'amorcer le système.
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- La compression n'est pas encore possible. Après l'installation,
- on peut activer la compression en définissant la propriété <quote>compression</quote>
- par la commande <quote>zfs set</quote>. Mais si vous utilisez un algorithme de compression
- différent de l'algorithme par défaut (lzjb) sur le pool qui contient
- le système de fichiers racine, il se peut que cela empêche GRUB d'amorcer le système.
- </para></listitem>
- </itemizedlist>
- </para></listitem>
- <listitem><para arch="linux-any">
- <emphasis>reiserfs</emphasis> (optionnel ; pas disponible sur toutes les architectures)
- </para><para>
- Le système Reiser n'est plus disponible automatiquement.
- Quand l'installateur s'exécute avec une priorité debconf
- <quote>medium</quote> ou <quote>low</quote>, il peut être activé en
- choisissant le composant
- <classname>partman-reiserfs</classname>. Seule la version 3 est
- disponible.
- </para></listitem>
- <listitem arch="arm"><para>
- <emphasis>jffs2</emphasis>
- </para><para>
- Utilisé sur certains systèmes pour lire la mémoire flash. Il n'est
- pas possible de créer de nouvelles partitions jffs2.
- </para></listitem>
- <listitem arch="x86"><para>
- <emphasis>qnx4</emphasis>
- </para><para>
- Les partitions existantes sont reconnues et il est possible de leur
- attribuer des points de montages. Il n'est pas possible de créer de
- nouvelles partitions qnx4.
- </para></listitem>
- <listitem><para>
- <emphasis>FAT16</emphasis>, <emphasis>FAT32</emphasis>
- </para></listitem>
- <listitem arch="x86;ia64"><para>
- <emphasis>NTFS</emphasis> (read-only)
- </para><para>
- Les partitions existantes peuvent êtres redimensionnées et il est
- possible de leur attribuer des points de montages. Il n'est pas
- possible de créer de nouvelles partitions NTFS.
- </para></listitem>
-</itemizedlist>
-
-</para>
- </sect3>
-
-
- <sect3 id="partman-auto">
- <title>Le partitionnement assisté</title>
-
-<para arch="linux-any">
-
-Si vous choisissez le partitionnement assisté, vous aurez le choix entre trois solutions&nbsp;:
-créer directement les partitions sur le disque (méthode classique), utiliser
-le gestionnaire de volumes logiques (LVM, <quote>Logical Volume management</quote>)
-ou utiliser LVM avec chiffrement <footnote>
-
-<para>
-L'installateur chiffrera le groupe de volumes avec une clé AES 256 bits et utilisera
-la fonction <quote>dm-crypt</quote> du noyau.</para></footnote>.
-</para>
-
-<note arch="linux-any"><para>
-Il se peut toutefois que cette dernière option ne soit pas disponible
-sur toutes les architectures.
-</para></note>
-
-<para arch="linux-any">
-
-Si vous utilisez LVM ou LVM avec chiffrement, l'installateur créera
-les partitions dans une seule grande partition. L'avantage de cette méthode est la possibilité
-de redimensionner facilement ces partitions. Si elle est chiffrée, la grande partition
-ne sera pas accessible sans une phrase spéciale qui sécurisera vos données.
-
-</para>
-<para arch="linux-any">
-
-Avec LVM avec chiffrement, l'installateur effacera automatiquement le disque en y
-écrivant des données aléatoires. Cela améliore la sécurité car cela rend impossible
-de dire quelles parties du disque sont utilisées et cela efface toutes les traces d'une
-installation précédente. Cependant cela prend du temps.
-</para>
-
-<note arch="linux-any"><para>
-
-Si vous avez choisi le partitionnement assisté avec LVM ou LVM avec chiffrement,
-la table des partitions du disque choisi doit être modifiée. Ces modifications
-détruisent réellement les données présentes sur le disque. Il ne sera pas possible
-ensuite d'annuler ces modifications. Cependant l'installateur vous demandera de
-confirmer ces modifications avant qu'elles ne soient écrites sur le disque.
-
-</para></note>
-
-<para>
-
-Après avoir choisi le partitionnement assisté<phrase arch="linux-any"> (soit la méthode classique,
-soit les méthodes LVM)</phrase>, vous devrez choisir le disque à partitionner.
-Vérifiez que tous les disques sont listés et choisissez le bon si vous avez plusieurs
-disques. L'ordre de la liste peut différer de celui qui vous est habituel. La taille
-des disques peut vous aider à les identifier.
-</para>
-<para>
-
-Les données présentes sur le disque choisi seront finalement détruites. Mais il vous
-est toujours demandé de confirmer les modifications qui doivent être apportées.
-<phrase arch="linux-any">Si vous avez choisi la méthode classique, vous pourrez annuler tout changement
-jusqu'à la fin du processus. Avec les méthodes LVM, cela n'est pas possible.
-</phrase>
-</para>
-
-<para>
-Vous pourrez ensuite choisir un schéma parmi les modèles décrits dans le tableau ci-dessous.
-Tous ces schémas ont leurs avantages et leurs inconvénients, certains sont discutés dans
-l'<xref linkend="partitioning"/>. Choisissez le premier si vous
-n'avez pas d'avis tranché. N'oubliez pas que le partitionnement assisté
-a besoin de suffisamment d'espace libre pour pouvoir fonctionner. Si vous ne lui donnez
-pas au moins 1&nbsp;GO, il échouera.
-
-</para>
-
-<informaltable>
-<tgroup cols="3">
-<thead>
-<row>
-<entry>Schéma de partitionnement</entry>
-<entry>Espace minimum</entry>
- <entry>Partitions créées</entry>
-</row>
-</thead>
-
-<tbody>
-<row>
- <entry>Tous les fichiers dans une seule partition</entry>
- <entry>600 Mo</entry>
- <entry><filename>/</filename>, swap</entry>
-</row><row>
- <entry>Partition /home distincte</entry>
- <entry>500 Mo</entry>
- <entry>
- <filename>/</filename>, <filename>/home</filename>, swap
- </entry>
-</row><row>
- <entry>Partitions /home, /usr, /var et /tmp distinctes</entry>
- <entry>1 Go</entry>
- <entry>
- <filename>/</filename>, <filename>/home</filename>,
- <filename>/usr</filename>, <filename>/var</filename>,
- <filename>/tmp</filename>, swap
- </entry>
-</row>
-
-</tbody></tgroup></informaltable>
-
-<para arch="linux-any">
-
-Si vous avez choisi le partitionnement assisté avec LVM, l'installateur
-créera aussi une partition <filename>/boot</filename> distincte.
-Les autres partitions (et aussi la partition d'échange) seront créées dans la partition LVM.
-
-</para>
-
-<para arch="ia64">
-Si vous choisissez le partitionnement assisté avec le système IA-64, une
-partition supplémentaire, avec un système de fichiers FAT16 amorçable,
-sera créée pour le programme d'amorçage EFI. Il y a aussi un élément de menu
-supplémentaire qui permet de formater soi-même une partition comme partition
-EFI amorçable.
-</para>
-<para>
-
-Sur l'écran suivant, vous verrez votre table des partitions, avec le type de
-formatage des partitions et leur point de montage.
-</para>
-<para>
-La liste des partitions pourrait ressembler à ceci&nbsp;:
-
-<informalexample><screen>
- IDE1 master (hda) - 6.4 Go WDC AC36400L
- #1 primary 16.4 Mo B f ext2 /boot
- #2 primary 551.0 Mo swap swap
- #3 primary 5.8 Go ntfs
- pri/log 8.2 Mo FREE SPACE
-
- IDE1 slave (hdb) - 80.0 Go ST380021A
- #1 primary 15.9 Mo ext3
- #2 primary 996.0 Mo fat16
- #3 primary 3.9 Go xfs /home
- #5 logical 6.0 Go f ext3 /
- #6 logical 1.0 Go f ext3 /var
- #7 logical 498.8 Mo ext3
- #8 logical 551.5 Mo swap swap
- #9 logical 65.8 Go ext2
-</screen></informalexample>
-
-Cet exemple affiche les partitions de deux disques durs IDE. Le premier
-possède un espace libre. Chaque ligne donne le numéro de la partition,
-son type, sa taille, des drapeaux facultatifs, le système de fichiers et le
-point de montage s'il existe. Note&nbsp;: cet exemple ne peut pas être créé avec
-le partitionnement assisté, mais il peut l'être avec le partitionnement manuel.
-
-</para>
-<para>
-
-Ainsi se termine le partitionnement assisté. Si vous êtes satisfait de la
-table des partitions créée, vous pouvez sélectionner
-<guimenuitem>Terminer le partitionnement et écrire les modifications sur
-le disque</guimenuitem> dans le menu pour la créer réellement (voyez la fin de
-cette section). Si vous n'êtes pas satisfait, vous pouvez choisir
-<guimenuitem>Ne pas modifier les partitions</guimenuitem>
-pour relancer le partitionnement assisté ou bien pour modifier les changements proposés,
-voyez le partitionnement <quote>manuel</quote> ci-dessous.
-
-</para>
-</sect3>
-
- <sect3 id="partman-manual">
- <title>Le partitionnement <quote>manuel</quote></title>
-
-
-<para>
-
-Un écran similaire au précédent sera affiché si vous avez choisi le
-partitionnement manuel&nbsp;; mais c'est votre table des partitions qui est
-montrée, sans les points de montage. La suite de cette section expliquera
-comment créer une table des partitions et indiquera l'usage de ces partitions.
-</para>
-
-<para>
-Si vous avez sélectionné un disque vierge, sans partition ni espace libre,
-on vous proposera de créer une table des partitions&nbsp;; c'est nécessaire
-pour créer des partitions. Une nouvelle ligne, intitulée
-<quote>ESPACE LIBRE</quote> devrait apparaître sous le disque sélectionné.
-</para>
-<para>
-Si vous avez sélectionné un espace libre, on vous proposera de créer
-de nouvelles partitions. On vous posera des questions sur la taille de la
-partition, son type (primaire ou logique), son début et sa fin dans
-l'espace libre. Puis la nouvelle partition sera présentée en détail.
-L'élément principal est <guimenuitem>Utiliser comme :</guimenuitem> qui indique si
-la partition possède un système de fichiers ou si elle est utilisée comme
-partition d'échange<phrase arch="linux-any">, comme système RAID, LVM, si elle est chiffrée,</phrase>
-ou si elle n'est pas utilisée du tout. Il y a d'autres options
-comme le point de montage, les options de montage, le drapeau d'amorçage, tout dépend de
-la manière dont elle est utilisée.
-Si vous n'aimez pas les valeurs présélectionnées,
-n'hésitez pas à les changer. Par exemple, en choisissant l'option
-<guimenuitem>Utiliser comme :</guimenuitem>, vous pouvez demander un autre système de
-fichiers ou demander d'utiliser cette partition comme partition
-d'échange, <phrase arch="linux-any"> comme partition RAID logiciel ou partition LVM</phrase> et même demander
-de ne pas l'utiliser du tout. Une autre possibilité agréable est de pouvoir
-copier les données d'une partition existante sur cette partition.
-Quand vous êtes satisfait de votre nouvelle partition, choisissez
-<guimenuitem>Terminer le paramétrage de la partition</guimenuitem> et vous serez ramené à
-l'écran principal de <command>partman</command>.
-</para>
-<para>
-Si vous voulez modifier votre partition, sélectionnez-la et vous reviendrez
-au menu de configuration des partitions. C'est le même écran que pour une
-création et vous pourrez aussi changer les mêmes options. Ce n'est pas
-évident au premier regard, mais on peut modifier la taille de la partition en
-sélectionnant l'élément affichant la taille.
-Les systèmes de fichiers fat16, fat32, ext2, ext3 et swap sont réputés bien
-fonctionner. Ce menu permet aussi de supprimer une partition.
-</para>
-
-<para>
-N'oubliez pas de créer au moins deux partitions, une partition d'échange
-<emphasis>swap</emphasis> et une partition pour le système de fichiers de la
-racine (<emphasis>root</emphasis>) qui sera monté en <filename>/</filename>.
-Si vous ne montez pas le système de fichiers de la racine,
-<command>partman</command> ne pourra continuer que si vous corrigez le
-problème.
-</para>
-<para arch="ia64">
-Si vous oubliez de créer une partition amorçable EFI,
-<command>partman</command> le détectera et vous demandera d'en créer une.
-</para>
-<para arch="linux-any">
-
-On peut ajouter des fonctionnalités à <command>partman</command> avec des
-modules de l'installateur. Aussi, quand vous ne trouvez pas les options promises,
-vérifiez que vous avez chargé tous les modules requis, par exemple,
-<filename>partman-ext3</filename>,
-<filename>partman-xfs</filename>, ou
-<filename>partman-lvm</filename>.
-
-</para><para>
-
-Quand les choix de partitionnement vous conviennent, choisissez l'option
-<guimenuitem>Terminer le partitionnement</guimenuitem> du menu. Un résumé des
-modifications apportées aux disques sera affiché et on vous demandera une
-confirmation avant de créer les systèmes de fichiers.
-
-</para>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/pkgsel.xml b/fr/using-d-i/modules/pkgsel.xml
deleted file mode 100644
index e9fec731d..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/pkgsel.xml
+++ /dev/null
@@ -1,144 +0,0 @@
-<!-- original version: 68208 -->
-
- <sect3 id="pkgsel">
- <title>Sélection et installation des paquets</title>
-
-<para>
-
-Pendant l'installation, il vous est proposé de choisir des logiciels à installer.
-Plutôt que de choisir les paquets un par un parmi les &num-of-distrib-pkgs; paquets
-disponibles, vous pourrez, pendant cette phase de l'installation, sélectionner et
-installer un certain nombre de configurations logicielles prédéfinies.
-
-</para><para>
-
-<!-- TODO: Should explain popcon first -->
-
-Autrement dit, vous pouvez choisir des <emphasis>tâches</emphasis>, et ensuite
-ajouter des paquets individuellement. Ces tâches représentent
-grosso modo les différents travaux qu'on peut faire avec son ordinateur,
-par exemple de la <quote>bureautique</quote>, du <quote>service web</quote>
-ou encore du <quote>service d'impression</quote> <footnote>
-
-<para>
-
-Il faut savoir que pour présenter cette liste, l'installateur
-appelle simplement le programme <command>tasksel</command>. Ce programme peut être
-utilisé à tout moment une fois l'installation terminée pour installer ou supprimer
-des paquets. Vous pouvez aussi utiliser un outil plus sophistiqué comme
-<command>aptitude</command>. Une fois que l'installation est terminée,
-si vous voulez un paquet particulier,
-exécutez simplement <userinput>aptitude install <replaceable>paquet</replaceable></userinput>,
-où <replaceable>paquet</replaceable> est le nom du paquet voulu.
-
-</para>
-
-</footnote>. L'espace nécessaire pour chaque tâche est indiqué dans
-<xref linkend="tasksel-size-list"/>.
-
-</para><para>
-
-Certaines tâches peuvent avoir été présélectionnées en fonction
-de la machine sur laquelle vous faites l'installation. Si vous n'êtes pas d'accord
-avec ces sélections, vous pouvez déselectionner ces tâches&nbsp;; vous pouvez même
-n'installer aucune tâche.
-</para>
-<tip><para>
-
-Dans l'interface standard de l'installateur, vous pouvez utiliser la barre
-d'espace pour sélectionner une tâche.
-
-</para></tip>
-<note><para>
-
-À moins d'utiliser des cédéroms conçus avec KDE ou Xfce/LXDE,
-la tâche <quote>Environnement graphique de bureau</quote>
-installe l'environnement Gnome.
-</para>
-
-<para>
-L'installateur n'offre pas d'option pour sélectionner un environnement différent.
-Cependant, en utilisant la préconfiguration (voyez <xref linkend="preseed-pkgsel"/>)
-ou en utilisant un paramètre d'amorçage, <literal>desktop=kde</literal> au moment de l'amorçage
-de l'installateur, il est possible d'installer KDE.
-Il est possible de choisir un environnement plus léger, comme l'environnement Xfce
-ou l'environnement LXDE, en utilisant le paramètre <literal>desktop=xfce</literal> ou
-le paramètre <literal>desktop=lxde</literal>.
-</para>
-
-<para arch="x86">
-
-Certaines images de CD (netinst et DVD) permettent aussi de choisir
-l'environnement voulu à partir du menu de l'installateur graphique. Sélectionnez l'option
-<quote>Options avancées</quote> dans le menu principal et cherchez
-<quote>Autres environnements de bureau</quote>.
-
-</para>
-
-<para>
-Il est aussi nécessaire que les paquets composant les environnements soient
-disponibles. Si vous faites une installation à partir d'une image sur un seul disque, il faudra
-télécharger les paquets d'un miroir car ils ne sont pas sur le premier cédérom.
-Avec une image DVD ou une autre méthode d'installation, les environnements KDE, Xfce ou LXDE
-s'installent parfaitement.
-</para></note>
-
-<para>
-Les différentes tâches <emphasis>serveur</emphasis> installent les logiciels
-suivants&nbsp;:
-
-Serveur DNS : <classname>bind9</classname>;
-Serveur de fichiers : <classname>samba</classname>, <classname>nfs</classname>;
-Serveur de courrier : <classname>exim4</classname>, <classname>spamassassin</classname>,
-<classname>uw-imap</classname>;
-Serveur d'impression : <classname>cups</classname>;
-Bases de données SQL : <classname>postgresql</classname>;
-Serveur web : <classname>apache2</classname>.
-</para>
-
-<para>
-
-La tâche <quote>Standard system</quote> installe tous les paquets dont la priorité
-est <quote>standard</quote>. Beaucoup d'utilitaires habituellement disponibles sur les systèmes
-Linux ou Unix sont dans ce cas. Vous devez laisser cette tâche à moins de ne vouloir
-réellement qu'un système minimal.
-
-</para>
-<para>
-
-Si pendant la phase de choix de la langue, une <quote>locale</quote> autre que <quote>C</quote>
-a été choisie, le programme <command>tasksel</command> recherchera s'il existe une tâche
-de localisation pour cette locale et installera tous les paquets relatifs à cette tâche,
-comme par exemple les paquets contenant des dictionnaires ou des polices spéciales.
-Si un environnement de bureau a été choisi, il installera aussi les paquets
-nécessaires à la localisation du système.
-
-</para>
-<para>
-
-Une fois les tâches sélectionnées, choisissez &BTN-CONT;.
-<command>Aptitude</command> installera les paquets qui font partie des tâches demandées.
-Quand un programme a besoin d'informations, l'utilisateur est interrogé.
-
-</para>
-<para>
-
-Il est important de savoir que la tâche <emphasis>Environnement graphique de bureau</emphasis>
-comprend beaucoup de paquets. En particulier, si vous faites une installation à partir
-d'un cédérom en combinaison avec un miroir pour les paquets qui ne sont pas sur le cédérom,
-l'installateur téléchargera beaucoup de paquets. Si votre connexion à internet
-est relativement lente, cela peut prendre beaucoup de temps. Il n'existe pas
-d'option pour interrompre l'installation des paquets une fois qu'elle a commencé.
-</para>
-<para>
-
-Même quand les paquets sont sur le cédérom, l'installateur peut les télécharger
-sur le miroir si la version sur le miroir est plus récente que celle sur le
-cédérom. Si vous installez la distribution <emphasis>stable</emphasis>, cela peut
-arriver après une mise à jour de cette distribution (<emphasis>point release</emphasis>).
-Si vous installez la distribution <emphasis>testing</emphasis>, cela peut arriver
-si vous utilisez une image plus ancienne.
-</para>
-
-</sect3>
-
diff --git a/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml
deleted file mode 100644
index 6ae6c4965..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,14 +0,0 @@
-<!-- original version: 14975 -->
-
- <sect3 arch="powerpc">
- <title>Installer <command>Quik</command> sur un disque dur</title>
-<para>
-
-Le programme d'amorçage pour les machines Power Macintosh OldWorld est
-<command>quik</command>. Vous pouvez aussi utiliser CHRP. L'installateur
-&debian; essayera d'installer automatiquement <command>quik</command>.
-L'installation peut fonctionner avec les Powermacs 7200, 7300, 7600 et
-avec certains clones.
-
-</para>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml
deleted file mode 100644
index b8cd2fb70..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,17 +0,0 @@
-<!-- original version: 64829 -->
-
- <sect3 arch="powerpc">
- <title>Installer <command>Yaboot</command> sur un disque dur</title>
-<para>
-
-Les nouveaux PowerMacs (depuis la mi-1998) utilisent comme programme
-d'amorçage <command>yaboot</command>. L'installateur peut configurer
-<command>yaboot</command> automatiquement, vous avez besoin pour cela
-d'une petite partition de 820&nbsp;Ko nommée <quote>bootstrap</quote>
-de type <emphasis>Apple_Bootstrap</emphasis> créée avec le partitionneur.
-Si cette étape a été accomplie avec succès alors votre
-disque est maintenant <emphasis>bootable</emphasis> et OpenFirmware
-pourra démarrer &debian-gnu;.
-
-</para>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml
deleted file mode 100644
index d0d068f3d..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 11648 -->
diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml
deleted file mode 100644
index 8b267a096..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml
+++ /dev/null
@@ -1 +0,0 @@
-<!-- original version: 11648 -->
diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml
deleted file mode 100644
index c58a24f8f..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,18 +0,0 @@
-<!-- original version: 14602 -->
-
- <sect3 arch="s390">
- <title>Installer <command>zipl</command></title>
-<para>
-
-Le programme d'amorçage sur &arch-title; est <quote>zipl</quote>.
-<command>ZIPL</command> est dans sa configuration et son utilisation
-similaire à <command>LILO</command> à quelques différences près.
-Pour plus d'information sur <command>ZIPL</command>, reportez-vous au
-document <quote>LINUX for S/390 Device Drivers and Installation Commands</quote>
-sur le site web developerWorks d'IBM.
-
-</para>
- </sect3>
-
-
-
diff --git a/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml b/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml
deleted file mode 100644
index 791e9bb11..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml
+++ /dev/null
@@ -1,24 +0,0 @@
-<!-- original version: 64916 -->
-
- <sect3 id="save-logs">
- <title>Sauvegarde des journaux de l'installation</title>
-
-<para>
-
-Si l'installation a réussi, les journaux créés pendant
-l'installation seront automatiquement sauvegardés dans le
-répertoire <filename>/var/log/installer/</filename> sur
-votre nouveau système &debian;.
-
-</para><para>
-
-Choisissez <guimenuitem>Sauvegarder les journaux de débogage</guimenuitem>
-depuis le menu principal pour sauvegarder les journaux
-sur une disquette, le réseau, un disque dur ou
-un autre support. Cela peut être utile, si vous rencontrez des
-problèmes durant l'installation et que vous souhaitez étudier les
-journaux sur un autre système ou les envoyer dans un rapport
-de bogue sur l'installation.
-
-</para>
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/shell.xml b/fr/using-d-i/modules/shell.xml
deleted file mode 100644
index d3f86a6aa..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/shell.xml
+++ /dev/null
@@ -1,62 +0,0 @@
-<!-- original version: 56326 -->
-
- <sect3 id="shell">
- <title>Utilisation du shell et consultation des journaux</title>
- <!-- TODO: There is nothing about logs in this section! -->
-
-
-<para>
-Il y a plusieurs façons d'obtenir un interpréteur de commandes pendant l'installation.
-Sur la plupart des systèmes (et si vous n'utilisez pas une console série) la méthode
-la plus simple est de passer sur la deuxième <emphasis>console virtuelle</emphasis>
-en appuyant sur les touches
-<keycombo><keycap>Left Alt</keycap> <keycap>F2</keycap></keycombo> <footnote>
-<para>
-C'est-à-dire qu'il faut appuyer simultanément sur la touche
-<keycap>Alt</keycap>, à gauche de la <keycap>barre espace</keycap>, et sur la
-touche de fonction <keycap>F2</keycap>.
-</para></footnote>
-(sur un clavier Mac, <keycombo><keycap>Option</keycap>
-<keycap>F2</keycap></keycombo>).
-Utilisez <keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F1</keycap></keycombo>
-pour revenir à l'installateur.
-
-</para>
-<para condition="gtk">
-
-Pour l'installateur graphique, voyez <xref linkend="gtk-using"/>.
-
-</para><para>
-Si vous ne pouvez passer d'une console à l'autre,
-il y a aussi une entrée dans le menu principal, <guimenuitem>Exécuter un shell</guimenuitem>,
-qui peut lancer un interpréteur de commandes. Dans la plupart de dialogues,
-vous pouvez revenir au menu principal en utilisant le bouton &BTN-GOBACK;, une ou plusieurs fois.
-Pour fermer l'interpréteur et revenir à l'installateur,
-utilisez la commande <userinput>exit</userinput>.
-
-</para><para>
-
-Vous avez maintenant amorcé votre système depuis un disque virtuel en mémoire,
-et vous avez seulement accès à un ensemble limité d'utilitaires Unix. Vous
-pouvez voir les programmes disponibles avec la commande
-<userinput>ls /bin /sbin /usr/bin /usr/sbin</userinput> et en utilisant la
-commande <command>help</command>. L'interpréteur de commandes disponible est
-<command>ash</command>. Il possède quelques fonctionnalités intéressantes
-comme la complétion automatique et le rappel des commandes.
-
-</para><para>
-
-Pour lire ou modifier des fichiers, utilisez l'éditeur <command>nano</command>.
-Les journaux de l'installation se trouvent dans le répertoire <filename>/var/log</filename>.
-</para>
-<note><para>
-Bien qu'il soit possible de faire tout ce que les commandes disponibles permettent, il ne
-faut utiliser l'interpréteur de commandes qu'en cas de problème.
-</para>
-<para>
-Exécuter un programme dans un interpréteur de commandes interfère avec le
-processus d'installation et provoque des erreurs ou une installation incomplète.
-En particulier, la partition d'échange doit toujours être activée par l'installateur.
-</para></note>
-
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml
deleted file mode 100644
index d8ec8d326..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,26 +0,0 @@
-<!-- original version: 24582 -->
-
- <sect3 arch="sparc">
- <title>Installer le programme d'amorçage <command>SILO</command>
- sur un disque dur</title>
-<para>
-
-Le programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>silo</quote>.
-La documentation se trouve dans le répertoire <filename>/usr/share/doc/
-silo/</filename>. <command>SILO</command> est dans sa configuration
-et son utilisation similaire à <command>LILO</command> à quelques
-différences près. Premièrement, <command>SILO</command> vous permet
-de démarrer n'importe quel noyau présent sur votre disque, même s'il
-n'est pas listé dans votre fichier <filename>/etc/silo.conf</filename>.
-En effet <command>SILO</command> est capable de lire les partitions Linux.
-De plus le fichier <filename>/etc/silo.conf</filename> est relu à chaque
-démarrage, il n'est donc pas nécessaire de relancer <command>SILO</command>
-après l'installation d'un nouveau noyau comme vous devez le faire avec
-<command>LILO</command>. <command>SILO</command> peut aussi lire les
-partitions UFS, et peut donc aussi démarrer à partir d'une partition
-SunOS/Solaris. C'est utile si vous souhaitez installer GNU/Linux à
-côté de SunOS/Solaris.
-
-</para>
- </sect3>
-
diff --git a/fr/using-d-i/modules/tzsetup.xml b/fr/using-d-i/modules/tzsetup.xml
deleted file mode 100644
index d6f31478b..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/tzsetup.xml
+++ /dev/null
@@ -1,55 +0,0 @@
-<!-- original version: 61447 -->
-
-<!-- As tzsetup is invoked from inside clock-setup, this is not a
- separate section -->
-
-<para>
-
-Selon le pays que vous avez sélectionné au début du processus d'installation,
-une liste de fuseaux horaires possibles sera affichée.
-Quand vous faites une installation standard, si un seul fuseau horaire
-correspond à votre pays, le système ne demandera rien et choisira ce
-fuseau horaire.
-
-</para>
-
-<para>
-Quand vous faites une installation en mode expert ou avec une priorité
-<emphasis>medium</emphasis>, vous pouvez choisir le fuseau horaire
-<quote>Coordinated Universal Time</quote>, UTC.
-</para>
-<para>
-Si vous désirez installer un fuseau horaire qui ne correspond pas au pays
-choisi, vous avez deux possibilités.
-</para>
-
-<orderedlist>
-<listitem>
-
-<para>
-
-Vous pouvez simplement sélectionner un autre fuseau horaire après l'installation,
-quand le nouveau système a été amorcé. Utilisez la commande :
-
-<informalexample><screen>
-# dpkg-reconfigure tzdata
-</screen></informalexample>
-
-</para>
-
-</listitem><listitem>
-
-<para>
-Vous pouvez aussi définir le fuseau horaire au tout début de l'installation,
-en passant le paramètre <userinput>time/zone=<replaceable>valeur</replaceable></userinput> au
-moment d'amorcer l'installateur.
-Cette valeur doit être connue, par exemple <userinput>Europe/London</userinput> ou
-<userinput>UTC</userinput>.
-</para>
-</listitem>
-</orderedlist>
-
-<para>
-Pour les installations automatisées, le fuseau horaire peut être
-préconfiguré avec la valeur de son choix.
-</para>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/user-setup.xml b/fr/using-d-i/modules/user-setup.xml
deleted file mode 100644
index 4b4235956..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/user-setup.xml
+++ /dev/null
@@ -1,75 +0,0 @@
-<!-- original version: 50618 -->
-
-
- <sect3 id="user-setup-root">
- <title>Mot de passe pour <quote>Root</quote></title>
-
-<!-- TODO: Document sudo setup (no root password); medium/low prio only -->
-
-<para>
-
-Le compte <emphasis>root</emphasis> est aussi appelé le
-<emphasis>superutilisateur</emphasis>; c'est un utilisateur qui
-peut outrepasser toutes les protections de sécurité de votre
-système. Le compte root ne devrait être utilisé que pour administrer le système,
-et le moins longtemps possible.
-
-</para><para>
-
-Tout mot de passe devrait faire au moins 6 caractères, et devrait
-contenir tant des minuscules que des majuscules ainsi que des
-caractères de ponctuation. Soyez particulièrement soigneux lors
-du choix de votre mot de passe root en raison des privilèges qui
-sont associés à ce compte. Évitez les mots du dictionnaire ou toutes
-les informations personnelles qui pourraient être devinées.
-
-</para><para>
-
-Si jamais quelqu'un vous dit qu'il a besoin de votre mot de passe
-root, soyez sur vos gardes. Vous ne devriez normalement
-jamais avoir besoin de le donner, à moins que vous
-n'administriez une machine avec plusieurs administrateurs.
-
-</para>
- </sect3>
-
- <sect3 id="make-normal-user">
- <title>Création d'un utilisateur ordinaire</title>
-
-<para>
-
-Le système vous demande à ce stade si vous désirez créer un
-compte utilisateur ordinaire. Ce compte devrait être votre
-compte personnel principal. Vous ne devriez <emphasis>pas</emphasis>
-utiliser le compte root pour un usage quotidien ou comme votre compte personnel.
-
-<!-- Note: it only _asks_ at medium/low priority -->
-
-</para><para>
-
-Pourquoi&nbsp;? Et bien, une raison d'éviter l'utilisation des
-privilèges du superutilisateur est qu'il est très aisé de faire des dommages
-irréparables en tant que root. Une autre raison est que vous
-pourriez lancer, sans le savoir, un programme de type
-<emphasis>Cheval de Troie</emphasis> &mdash; qui utilise
-avantageusement vos pouvoirs de superutilisateur pour
-compromettre, à votre insu, la sécurité de votre
-système. Tout bon livre sur l'administration d'un système Unix couvre
-ce sujet en détails &mdash; envisagez la lecture d'un tel livre
-si tout cela est nouveau pour vous.
-
-</para><para>
-
-On vous demandera d'abord le nom et le prénom de l'utilisateur. Puis
-vous choisirez un mot pour nommer le compte de l'utilisateur. En général,
-c'est votre prénom ou quelque chose d'approchant. Vous indiquerez enfin le
-mot de passe pour ce compte.
-
-</para><para>
-
-Si vous désirez créer un nouveau compte après l'installation, utilisez
-la commande <command>adduser</command>.
-
-</para>
-
- </sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/x86/grub-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/x86/grub-installer.xml
deleted file mode 100644
index b0a6f66c3..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/x86/grub-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,21 +0,0 @@
-<!-- original version: 64742 -->
-
-<sect3 arch="any-x86">
-<title>Installer le programme d'amorçage <command>Grub</command> sur un disque
-dur</title>
-
-<para>
-Le principal programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>grub</quote>.
-Grub est un programme souple et stable, il constitue un bon choix pour les
-débutants aussi bien que pour les utilisateurs expérimentés.
-</para>
-<para>
-Par défaut, il sera installé sur le secteur principal d'amorçage (MBR) d'où
-il prendra un contrôle total sur le processus d'amorçage. Mais vous pouvez
-l'installer ailleurs. Voyez le manuel pour des informations complètes.
-</para>
-<para>
-Si vous ne voulez pas installer grub, utilisez le bouton &BTN-GOBACK;
-pour aller sur le menu principal et choisissez un autre programme d'amorçage.
-</para>
-</sect3>
diff --git a/fr/using-d-i/modules/x86/lilo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/x86/lilo-installer.xml
deleted file mode 100644
index 4ab26fcdb..000000000
--- a/fr/using-d-i/modules/x86/lilo-installer.xml
+++ /dev/null
@@ -1,60 +0,0 @@
-<!-- original version: 64916 -->
-
- <sect3 arch="x86">
-<title>Installer le programme d'amorçage <command>LILO</command>
-sur un disque dur</title>
-
-<para>
-Le deuxième programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>LILO</quote>.
-C'est un vieux programme complexe qui offre beaucoup de fonctions,
-notamment la gestion de l'amorçage de DOS, Windows et OS/2. Lisez
-attentivement les instructions dans le répertoire
-<filename>/usr/share/doc/lilo/</filename> si vous avez des besoins
-particuliers. Voyez aussi le <ulink url="&url-lilo-howto;">LILO mini-HOWTO</ulink>.
-</para>
-<note><para>
-
-L'installation de LILO crée seulement des entrées pour les systèmes
-d'exploitation qui peuvent être
-<firstterm>«&nbsp;chainloaded&nbsp;»</firstterm>.
-Cela signifie que vous aurez à ajouter vous-même une entrée pour les
-systèmes tels que GNU/Linux et GNU/Hurd après l'installation.
-</para></note>
-
-<para>
-L'installateur propose trois endroits où installer <command>LILO</command>&nbsp;:
-<variablelist>
-<varlistentry>
-<term>Le secteur principal d'amorçage (MBR)</term><listitem><para>
-
-De cette façon, <command>LILO</command> contrôlera totalement le processus
-d'amorçage.
-</para></listitem></varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>une nouvelle partition &debian;</term><listitem><para>
-
-Choisissez cette option si vous voulez utiliser un autre programme d'amorçage.
-<command>LILO</command> s'installera au début de cette nouvelle partition et
-servira de second programme d'amorçage.
-</para></listitem></varlistentry>
-
-<varlistentry>
-<term>Autre choix</term><listitem><para>
-
-Cette option est utile aux experts qui veulent installer
-<command>LILO</command> ailleurs. Dans ce cas, on vous demandera où.
-Vous pouvez utiliser des noms traditionnels
-comme <filename>/dev/hda</filename> ou <filename>/dev/sda</filename>.
-
-</para></listitem></varlistentry>
-</variablelist>
-</para>
-<para>
-Si vous ne pouvez plus amorcer Windows 9x (ou DOS) après cette étape,
-vous devrez utiliser le disque de Windows 9x (MS-DOS) ou utiliser la
-commande <userinput>fdisk /mbr</userinput> pour réinstaller le secteur
-d'amorçage principal MS-DOS. Cependant vous devrez démarrer &debian; par un
-autre moyen&nbsp;!
-</para>
-</sect3>