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Diffstat (limited to 'fr/install-methods/tftp')
-rw-r--r-- | fr/install-methods/tftp/bootp.xml | 35 | ||||
-rw-r--r-- | fr/install-methods/tftp/dhcp.xml | 29 | ||||
-rw-r--r-- | fr/install-methods/tftp/rarp.xml | 23 |
3 files changed, 42 insertions, 45 deletions
diff --git a/fr/install-methods/tftp/bootp.xml b/fr/install-methods/tftp/bootp.xml index 28faf03d6..0406893ff 100644 --- a/fr/install-methods/tftp/bootp.xml +++ b/fr/install-methods/tftp/bootp.xml @@ -1,4 +1,3 @@ -<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> <!-- original version: 43558 --> @@ -14,23 +13,23 @@ On peut trouver ces serveurs dans les paquets <classname>bootp</classname> et </para><para> Pour utiliser <command>bootpd</command> CMU, vous devez commencer par -décommenter (ou ajouter) la ligne adéquate dans +décommenter (ou ajouter) la ligne adéquate dans <filename>/etc/inetd.conf</filename>. Dans &debian;, vous pouvez tout simplement lancer <userinput>update-inetd --enable bootps</userinput> suivi -de <userinput>/etc/init.d/inetd reload</userinput> pour le faire. Au cas où le serveur -BOOTP ne fonctionnerait pas sous Debian, la ligne en question devrait ressembler à : +de <userinput>/etc/init.d/inetd reload</userinput> pour le faire. Au cas où le serveur +BOOTP ne fonctionnerait pas sous Debian, la ligne en question devrait ressembler à : <informalexample><screen> bootps dgram udp wait root /usr/sbin/bootpd bootpd -i -t 120 </screen></informalexample> -Maintenant, vous devez créer le fichier <filename>/etc/bootptab</filename> qui -utilise le même genre de format familier et cryptique que les bons vieux +Maintenant, vous devez créer le fichier <filename>/etc/bootptab</filename> qui +utilise le même genre de format familier et cryptique que les bons vieux fichiers BSD <filename>printcap</filename>, <filename>termcap</filename> et <filename>disktab</filename>. Voyez la page de manuel de <filename>bootptab</filename> pour d'autres informations. -Pour <command>bootpd</command> CMU, il sera nécessaire d'obtenir l'adresse -matérielle (MAC) du client. Voici un exemple du fichier +Pour <command>bootpd</command> CMU, il sera nécessaire d'obtenir l'adresse +matérielle (MAC) du client. Voici un exemple du fichier <filename>/etc/bootptab</filename> : <informalexample><screen> @@ -43,26 +42,26 @@ client:\ ha=0123456789AB: </screen></informalexample> -Vous devrez changer au moins l'option <quote>ha</quote> qui spécifie l'adresse -matérielle du client. L'option <quote>bf</quote> spécifie le fichier que le -client devra récupérer par TFTP ; cf. <xref linkend="tftp-images"/> pour -plus de précisions. +Vous devrez changer au moins l'option <quote>ha</quote> qui spécifie l'adresse +matérielle du client. L'option <quote>bf</quote> spécifie le fichier que le +client devra récupérer par TFTP ; cf. <xref linkend="tftp-images"/> pour +plus de précisions. <phrase arch="mips"> -Pour les machines SGI, il suffit d'entrer la commande de contrôle +Pour les machines SGI, il suffit d'entrer la commande de contrôle <userinput>printenv</userinput>. La valeur de la variable <userinput>eaddr</userinput> est celle de l'adresse MAC de la machine. </phrase> </para><para> -En comparaison, configurer BOOTP avec <command>dhcpd</command> ISC est très -facile parce qu'il traite les clients BOOTP comme des clients DHCP légèrement -spéciaux. Certaines architectures requièrent une configuration complexe pour -amorcer les clients par BOOTP. Si la vôtre en fait partie, lisez la +En comparaison, configurer BOOTP avec <command>dhcpd</command> ISC est très +facile parce qu'il traite les clients BOOTP comme des clients DHCP légèrement +spéciaux. Certaines architectures requièrent une configuration complexe pour +amorcer les clients par BOOTP. Si la vôtre en fait partie, lisez la <xref linkend="dhcpd"/>. Dans ce cas vous pouvez simplement ajouter la directive <userinput>allow bootp</userinput> au bloc de configuration pour le -sous-réseau contenant le client, puis redémarrer <command>dhcpd</command> +sous-réseau contenant le client, puis redémarrer <command>dhcpd</command> avec <userinput>/etc/init.d/dhcpd3-server restart</userinput>. </para> diff --git a/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml b/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml index 2d605ca4d..41f908e68 100644 --- a/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml +++ b/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml @@ -1,4 +1,3 @@ -<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> <!-- original version 43558 --> @@ -7,7 +6,7 @@ <para> Il existe un serveur DHCP libre, <command>dhcpd</command> ISC. Pour -&debian;, le paquet <classname>dhcp3-server</classname> est recommandé. +&debian;, le paquet <classname>dhcp3-server</classname> est recommandé. Voici un exemple de fichier de configuration (habituellement <filename>/etc/dhcp3/dhcpd.conf</filename>) : @@ -36,26 +35,26 @@ host clientname { </para><para> Dans cet exemple, le serveur <replaceable>servername</replaceable> -joue le rôle de serveur DHCP, serveur TFTP et passerelle réseau. Vous +joue le rôle de serveur DHCP, serveur TFTP et passerelle réseau. Vous devrez certainement changer les options concernant le nom de domaine -ainsi que le nom du serveur et l'adresse matérielle du client. L'option -<replaceable>filename</replaceable> devrait être le nom du fichier extrait +ainsi que le nom du serveur et l'adresse matérielle du client. L'option +<replaceable>filename</replaceable> devrait être le nom du fichier extrait par TFTP. </para><para> -Après avoir modifié le fichier de configuration de <command>dhcpd</command>, +Après avoir modifié le fichier de configuration de <command>dhcpd</command>, relancez <command>dhcpd</command> par <userinput>/etc/init.d/dhcpd3-server restart</userinput>. </para> <sect3 arch="x86"> - <title>Amorçage PXE et configuration de DHCP</title> + <title>Amorçage PXE et configuration de DHCP</title> <para> Voici un autre exemple de fichier <filename>dhcp.conf</filename> utilisant -la méthode de chargement du système d'exploitation par le réseau gérée par le -matériel (« Pre-boot Execution Environment » ou PXE) de TFTP. +la méthode de chargement du système d'exploitation par le réseau gérée par le +matériel (« Pre-boot Execution Environment » ou PXE) de TFTP. <informalexample><screen> option domain-name "example.com"; @@ -66,12 +65,12 @@ max-lease-time 7200; allow booting; allow bootp; -# Le paragraphe suivant doit être modifié pour correspondre à votre système +# Le paragraphe suivant doit être modifié pour correspondre à votre système subnet 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 { range 192.168.1.200 192.168.1.253; option broadcast-address 192.168.1.255; -# L'adresse de la passerelle peut être différente -# (accès à internet par exemple) +# L'adresse de la passerelle peut être différente +# (accès à internet par exemple) option routers 192.168.1.1; # Indiquez le DNS que vous voulez utiliser option domain-name-servers 192.168.1.3; @@ -80,15 +79,15 @@ subnet 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 { group { next-server 192.168.1.3; host tftpclient { -# Adresse matérielle du client TFTP +# Adresse matérielle du client TFTP hardware ethernet 00:10:DC:27:6C:15; filename "pxelinux.0"; } } </screen></informalexample> -Pour un démarrage PXE, le fichier du client -<filename>pxelinux.0</filename> est un programme d'amorçage et non une image +Pour un démarrage PXE, le fichier du client +<filename>pxelinux.0</filename> est un programme d'amorçage et non une image du noyau (voir <xref linkend="tftp-images"/> ci-dessous). </para> diff --git a/fr/install-methods/tftp/rarp.xml b/fr/install-methods/tftp/rarp.xml index d8b56eb87..47d7031ed 100644 --- a/fr/install-methods/tftp/rarp.xml +++ b/fr/install-methods/tftp/rarp.xml @@ -1,4 +1,3 @@ -<?xml version="1.0" encoding="ISO-8859-1"?> <!-- original version: 39897 --> @@ -6,30 +5,30 @@ <title>Configurer un serveur RARP</title> <para> -Pour configurer RARP, il vous faudra connaître l'adresse Ethernet du client -(c'est-à-dire, l'<quote>adresse MAC</quote>). -Si vous n'avez pas cette donnée, vous pouvez +Pour configurer RARP, il vous faudra connaître l'adresse Ethernet du client +(c'est-à -dire, l'<quote>adresse MAC</quote>). +Si vous n'avez pas cette donnée, vous pouvez -<phrase arch="sparc">l'extraire des messages d'amorçage initiaux de l'OpenPROM, +<phrase arch="sparc">l'extraire des messages d'amorçage initiaux de l'OpenPROM, utiliser la commande OpenBoot <userinput>.enet-addr</userinput> ou </phrase> -amorcer en mode <quote>secours</quote> (p. ex. à partir de la disquette +amorcer en mode <quote>secours</quote> (p. ex. à partir de la disquette de secours) et utiliser la commande <userinput>/sbin/ifconfig eth0</userinput>. </para> <para> -Pour les systèmes avec un noyau Linux 2.4 ou 2.6, ou les systèmes Solaris/SunOS, +Pour les systèmes avec un noyau Linux 2.4 ou 2.6, ou les systèmes Solaris/SunOS, il faut utiliser le programme <command>rarpd</command>. -Vous devez vous assurer que les adresses matérielles Ethernet pour les clients -sont listées dans la base de données <quote>ether</quote> (soit dans le fichier +Vous devez vous assurer que les adresses matérielles Ethernet pour les clients +sont listées dans la base de données <quote>ether</quote> (soit dans le fichier <filename>/etc/ethers</filename> soit via NIS/NIS+) et dans la base de -données <quote>hosts</quote>. Ensuite, vous devez lancer le démon RARP. -Pour la plupart des systèmes Linux et SunOS 5 (Solaris 2), essayez la commande +données <quote>hosts</quote>. Ensuite, vous devez lancer le démon RARP. +Pour la plupart des systèmes Linux et SunOS 5 (Solaris 2), essayez la commande (en tant que superutilisateur) : <userinput>/usr/sbin/rarpd -a</userinput>. -Pour d'autres systèmes Linux, essayez <userinput>/usr/sbin/in.rarpd -a</userinput>. +Pour d'autres systèmes Linux, essayez <userinput>/usr/sbin/in.rarpd -a</userinput>. Pour SunOS 4 (Solaris 1), essayez <userinput>/usr/etc/rarpd -a</userinput>. </para> </sect2> |