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author | Baptiste Jammet <baptiste@mailoo.org> | 2014-09-04 19:34:43 +0000 |
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committer | Baptiste Jammet <baptiste@mailoo.org> | 2014-09-04 19:34:43 +0000 |
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diff --git a/fr/administrivia/administrivia.xml b/fr/administrivia/administrivia.xml deleted file mode 100644 index ce0dda97c..000000000 --- a/fr/administrivia/administrivia.xml +++ /dev/null @@ -1,147 +0,0 @@ -<!-- original version: 64955 --> - -<appendix id="administrivia"> - <title>Administrivia</title> - - - <sect1 id="about"> - <title>À propos de ce document</title> - -<para> - -Ce manuel a été créé pour l'installateur de la distribution Sarge. Il est -basé sur le manuel de l'installateur de la distribution Woody, qui lui-même -était basé sur d'anciens manuels d'installation de Debian. Il est aussi basé -sur le manuel de la distribution Progeny, distribué sous GPL en 2003. - -</para><para> - -Ce document est écrit au format DocBook XML. Les textes produits sont créés -par différents programmes à partir des paquets -<classname>docbook-xml</classname> et <classname>docbook-xsl</classname>. - -</para><para> - -Pour faciliter la maintenance de ce document, nous utilisons certaines -fonctionnalités XML, telles qu'entités et attributs de particularisation. -Ils jouent le même rôle que les variables et les conditions dans les langages -de programmation. La source XML de ce document contient des informations pour -chaque architecture — les attributs de particularisation sont -utilisés afin d'isoler certaines parties du texte spécifiques à une -architecture donnée. - -</para><para condition="about-langteam"> - -Le centre névralgique de la traduction française de ce document, coordonnée par Philippe Batailler, -se trouve sur la liste <email>debian-l10n-french@lists.debian.org</email>. - -</para> - </sect1> - - <sect1 id="contributing"> - <title>Pour contribuer à ce document</title> - -<para> - -Si vous avez des questions ou des suggestions à propos de ce document, -vous pouvez envoyer un rapport de bogue concernant le paquet -<classname>installation-guide</classname>. Voyez le paquet -<classname>reportbug</classname> ou lisez la documentation en ligne -disponible dans le <ulink url="&url-bts;">système de suivi des -bogues</ulink>. Ce serait bien si vous pouviez vérifier dans les -<ulink url="&url-bts;installation-guide">bogues ouverts à propos -du manuel de l'installateur</ulink> que votre problème n'a pas déjà été -signalé. Si c'est le cas, vous pouvez confirmer le bogue ou donner des -informations complémentaires à l'adresse -<email><replaceable>XXXX</replaceable>@bugs.debian.org</email>, où -<replaceable>XXXX</replaceable> est le numéro du bogue en question. - -</para><para> - -Encore mieux, procurez-vous une copie des sources docbook de ce document et -proposez des correctifs. Les sources docbook sont disponibles dans le -<ulink url="&url-d-i-websvn;">WebSVN de l'installateur</ulink>. Ne vous -inquiétez pas si vous ne connaissez pas bien docBook : une note rapide -dans le répertoire du manuel vous mettra sur la voie. DocBook est comme -html, mais on s'intéresse au sens du texte plutôt qu'à sa présentation. -On peut envoyer des correctifs à la liste de discussion debian-boot, voyez -plus bas. Pour accéder aux sources par CVS, consultez le fichier -<ulink url="&url-d-i-readme;">README</ulink> dans le répertoire racine des -sources. - -</para><para> - -Veuillez <emphasis>ne pas</emphasis> contacter les auteurs de ce document -directement. Il existe une liste de diffusion pour l'installateur Debian qui -discute de ce document. L'adresse de la liste de diffusion est -<email>debian-boot@lists.debian.org</email>. Les instructions pour s'abonner -sont disponibles à la page -<ulink url="&url-debian-lists-subscribe;">d'abonnement aux listes de -diffusion Debian</ulink> ; une copie de cette liste peut être consultée -en ligne dans les -<ulink url="&url-debian-list-archives;">archives des listes de diffusion -Debian</ulink>. - -</para> - - </sect1> - - <sect1 id="contributors"> - <title>Principales contributions</title> - -<para> -Bruce Perens, Sven Rudolph, Igor Grobman, James Treacy, et Adam Di Carlo -sont les premiers auteurs de ce texte. Sebastian Ley a écrit le Guide -d'installation. -</para> -<para> -Miroslav Kuře a documenté beaucoup des nouvelles fonctionnalités de -l'installateur de Sarge. Frans Pop fut le principal responsable du texte -lors des parutions des distributions Etch, Lenny et Squeeze. -</para> -<para> - -Beaucoup, beaucoup d'utilisateurs et de développeurs Debian ont participé à -ce document. On doit mentionner particulièrement Michael Schmitz (pour m68k), -Frank Neumann (à l'origine du -<ulink url="&url-m68k-old-amiga-install;"> -guide d'installation de Debian sur Amiga</ulink>), Arto Astala, Eric Delaunay -et Ben Collins (SPARC information), Tapio Lehtonen et Stéphane Bortzmeyer -pour de nombreux textes. Nous remercions aussi Pascal Le Bail pour ses -informations sur la manière d'amorcer à partir des clés USB. - -</para><para> - -Des informations extrêmement utiles ont été piochées dans le HOWTO sur le démarrage réseau -de Jim Mintha (pas d'URL disponible), la -<ulink url="&url-debian-faq;">FAQ Debian</ulink>, la -<ulink url="&url-m68k-faq;">FAQ Linux/m68k</ulink>, la -<ulink url="&url-sparc-linux-faq;">FAQ Linux pour processeurs SPARC</ulink>, -la <ulink url="&url-alpha-faq;">FAQ Linux/Alpha</ulink>, et d'autres encore. -Que les auteurs de ces sources d'informations riches et librement accessibles -soient remerciés. -</para> -<para> -La section de ce manuel <quote>Installer Debian à partir d'un système Unix/Linux</quote> -(<xref linkend="linux-upgrade"/>) est partiellement reprise d'un document -avec copyright Karsten M. Self. -</para> - -<para arch="x86"> - -La section sur l'installation avec plip (<xref linkend="plip"/>) est basée sur le -<ulink url="&url-plip-install-howto;">PLIP-Install-HOWTO</ulink> de Gilles Lamiral. -</para> - - </sect1> - - <sect1 id="trademarks"> - <title>Marques déposées</title> -<para> - -Les marques déposées citées dans ce document appartiennent à leurs propriétaires. - -</para> - </sect1> -</appendix> - diff --git a/fr/appendix/chroot-install.xml b/fr/appendix/chroot-install.xml deleted file mode 100644 index 22eb6794e..000000000 --- a/fr/appendix/chroot-install.xml +++ /dev/null @@ -1,657 +0,0 @@ -<!-- original version: 68562 --> - - <sect1 id="linux-upgrade"> - <title>Installer &debian-gnu; à partir d'un système Unix/Linux</title> - -<para> - -Cette partie explique comment installer &debian-gnu; à partir d'un système -Unix ou Linux existant, sans utiliser le système d'installation avec menus -qui est exposé dans la suite de ce manuel. Les utilisateurs -qui changeaient leur distribution Red Hat, Mandriva ou Suse pour &debian-gnu; -réclamaient ce guide d'installation. Dans cette -partie, on suppose que le lecteur a acquis une certaine familiarité avec -les commandes *nix et qu'il sait parcourir un système de fichiers. -<prompt>$</prompt> symbolisera une commande qui doit être saisie dans -le système actuel, alors que <prompt>#</prompt> fera référence à une commande -qui doit être saisie dans le <emphasis>chroot</emphasis> &debian;. - -</para><para> - -Une fois que vous aurez configuré le nouveau système &debian;, -vous pourrez y installer les données des utilisateurs (s'il y en a), -et continuer à travailler. &debian-gnu; s'installe sans aucune interruption de -service. C'est également une façon intelligente de résoudre les problèmes -d'équipement qui, d'ordinaire, donnent du fil à retordre aux systèmes -d'installation ou aux systèmes d'amorçage. - -</para> - -<note><para> - -Cette procédure étant essentiellement <quote>manuelle</quote>, sachez que -la configuration du système vous demandera beaucoup de temps. Elle vous demandera aussi -plus de connaissances de &debian; et de &arch-kernel; en général qu'une installation standard. -Cette procédure ne peut résulter en un système identique à un système installé normalement. -Elle ne donne que les premières étapes de la configuration d'un système. D'autres étapes -seront sans doute nécessaires. -</para></note> - - <sect2> - <title>Pour commencer</title> -<para> - -Avec votre outil habituel de partitionnement *nix, partitionnez le disque -dur et créez au moins un système de fichiers ainsi qu'une zone d'échange -(swap). Vous devez disposer d'au moins &base-system-size; Mo pour -l'installation d'un système en mode console et d'au moins &task-desktop-lxde-inst; Mo si vous -avez l'intention d'installer X (et plus si vous voulez installer un environnement -de bureau comme GNOME ou KDE). - -</para><para> - -Pour créer un système de fichiers sur les partitions, par exemple, pour créer -un système de fichiers ext3 sur la partition <filename>/dev/hda6</filename> -(ce sera la partition racine dans notre exemple), il suffit de faire : - -<informalexample><screen> -# mke2fs -j /dev/<replaceable>hda6</replaceable> -</screen></informalexample> - -Pour créer un système de fichier ext2, il suffit d'enlever le -<userinput>-j</userinput>. - -</para><para> - -Initialisez et activez la zone d'échange (swap) (modifiez le numéro de la -partition en fonction de celui que vous souhaitez utiliser avec &debian;) : - -<informalexample><screen> -# mkswap /dev/<replaceable>hda5</replaceable> -# sync -# swapon /dev/<replaceable>hda5</replaceable> -</screen></informalexample> - -Montez une partition sur <filename>/mnt/debinst</filename> (le point -d'installation, qui deviendra le système de fichier racine -(<filename>/</filename>) sur votre nouveau système). Le point de montage est -totalement arbitraire, c'est de cette façon qu'on y fera référence par la -suite. - -<informalexample><screen> -# mkdir /mnt/debinst -# mount /dev/<replaceable>hda6</replaceable> /mnt/debinst -</screen></informalexample> - -</para> -<note><para> - -Si vous voulez que certaines parties du système de fichiers (p. ex. /usr) soient -montées sur des partitions distinctes, vous devez créer et monter ces répertoires -vous-même avant de commencer l'étape suivante. - -</para></note> - </sect2> - - <sect2> - <title>Installer <command>debootstrap</command></title> -<para> - -L'outil utilisé par l'installateur &debian; et reconnu comme outil officiel -pour installer un système &debian; de base s'appelle -<command>debootstrap</command>. Il utilise <command>wget</command> et -<command>ar</command>, mais ne -dépend que de <classname>/bin/sh</classname> et des outils Unix/Linux élémentaires -<footnote> -<para> -Ces programmes sont les utilitaires GNU (coreutils) et des commandes comme -<command>sed</command>, <command>grep</command>, <command>tar</command> -et <command>gzip</command>. -</para></footnote>. -Installez <command>wget</command> et <command>ar</command> s'ils ne sont pas déjà -installés sur votre système, puis téléchargez et installez <command>debootstrap</command>. - -</para> -<!-- The files linked to here are from 2004 and thus currently not usable -<para> -Si vous possédez un système basé sur rpm, vous pouvez utiliser alien -pour convertir le .deb en .rpm, ou télécharger une « version -rpm-isée » depuis -<ulink url="http://people.debian.org/~blade/install/debootstrap"></ulink> - -</para> ---> -<para> -Ou, vous pouvez utiliser la procédure qui suit pour l'installer vous-même. -Créez un répertoire pour y décompresser le .deb : - -<informalexample><screen> -# mkdir work -# cd work -</screen></informalexample> - -Le programme <command>debootstrap</command> se trouve dans l'archive &debian; -(assurez-vous d'avoir sélectionné le fichier correspondant à votre -architecture). Téléchargez le <command>debootstrap</command> .deb à partir de -<ulink url="http://ftp.debian.org/debian/pool/main/d/debootstrap/">pool</ulink>, -copiez le paquet dans le répertoire de travail, et décompressez les fichiers. -Vous aurez besoin d'avoir les droits du superutilisateur pour -installer le binaire. - -<informalexample><screen> -# ar -x debootstrap_0.X.X_all.deb -# cd / -# zcat /full-path-to-work/work/data.tar.gz | tar xv -</screen></informalexample> - -</para> - </sect2> - - <sect2> - <title>Lancer <command>debootstrap</command></title> -<para> - -<command>Debootstrap</command> peut télécharger les fichiers nécessaires -directement depuis l'archive debian. Vous pouvez remplacer toutes les -références à <userinput>&archive-mirror;/debian</userinput> dans les -commandes ci-dessous, par un miroir de l'archive &debian; qui se trouve à -proximité de chez vous, relativement au réseau. Les miroirs sont listés sur -<ulink url="http://www.debian.org/mirror/list"></ulink>. - -</para><para> - -Si vous possédez une version cédérom de &debian-gnu; &releasename;, montée sur -/cdrom, -vous pouvez remplacer l'URL http par l'URL d'un fichier : -<userinput>file:/cdrom/debian/</userinput> - -</para><para> - -Dans la commande <command>debootstrap</command> remplacez -<replaceable>ARCH</replaceable> par l'une des expressions suivantes : - -<userinput>amd64</userinput>, -<userinput>armel</userinput>, -<userinput>armhf</userinput>, -<userinput>i386</userinput>, -<userinput>ia64</userinput>, -<userinput>mips</userinput>, -<userinput>mipsel</userinput>, -<userinput>powerpc</userinput>, -<userinput>s390</userinput>, -<userinput>s390x</userinput>, ou -<userinput>sparc</userinput>. - -<informalexample><screen> -# /usr/sbin/debootstrap --arch ARCH &releasename; \ - /mnt/debinst http://ftp.us.debian.org/debian -</screen></informalexample> - -</para> - </sect2> - - <sect2> - <title>Configurer le système de base</title> - -<para> - -Maintenant vous disposez d'un vrai système &debian;, certes un peu élémentaire. -Lancez le programme <command>chroot</command> : - -<informalexample><screen> -# LANG=C.UTF-8 chroot /mnt/debinst /bin/bash -</screen></informalexample> - -Il est maintenant possible d'avoir à indiquer la définition du terminal -pour être compatible avec le système de base de &debian;. Par exemple : - -<informalexample><screen> -# export TERM=<replaceable>xterm-color</replaceable> -</screen></informalexample> - -</para> -<sect3> - - <title>Créer les fichiers de périphériques</title> -<para> - -Pour l'instant, <filename>/dev/</filename> contient seulement des fichiers élémentaires. -D'autres fichiers seront nécessaires pour les prochaines étapes de l'installation. -La manière de les créer dépend du système sur lequel l'installation se fait ; elle -dépend aussi du noyau que vous utiliserez (modulaire ou pas) et du choix entre fichiers -dynamiques (en utilisant <classname>udev</classname>) ou fichiers statiques pour le nouveau -système. - -</para><para> - -Voici quelques options disponibles : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -installer le paquet makedev et créer un ensemble standard de fichiers de périphériques statiques avec -<informalexample><screen> -# apt-get install makedev -# mount none /proc -t proc -# cd /dev -# MAKEDEV generic -</screen></informalexample> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -créer seulement quelques fichiers choisis avec la commande <command>MAKEDEV</command> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -monter (option bind) le répertoire /dev du système hôte sur le répertoire /dev du système cible. -Il faut remarquer que les scripts postinst de certains paquets peuvent essayer -de créer des fichiers de périphériques ; cette option doit être employée avec précaution. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> -</sect3> - - <sect3> - <title>Monter les partitions</title> -<para> - -Vous devez créer <filename>/etc/fstab</filename>. - -<informalexample><screen> -# editor /etc/fstab -</screen></informalexample> - -Voici un exemple que vous pouvez modifier à votre convenance : - -<informalexample><screen> -# /etc/fstab: static file system information. -# -# file system mount point type options dump pass -/dev/XXX / ext3 defaults 0 1 -/dev/XXX /boot ext3 ro,nosuid,nodev 0 2 - -/dev/XXX none swap sw 0 0 -proc /proc proc defaults 0 0 - -/dev/fd0 /media/floppy auto noauto,rw,sync,user,exec 0 0 -/dev/cdrom /media/cdrom iso9660 noauto,ro,user,exec 0 0 - -/dev/XXX /tmp ext3 rw,nosuid,nodev 0 2 -/dev/XXX /var ext3 rw,nosuid,nodev 0 2 -/dev/XXX /usr ext3 rw,nodev 0 2 -/dev/XXX /home ext3 rw,nosuid,nodev 0 2 -</screen></informalexample> - -Utilisez <userinput>mount -a</userinput> pour monter l'ensemble des systèmes -de fichiers que vous avez indiqué dans votre fichier -<filename>/etc/fstab</filename>, ou, -pour monter un à un chaque système de fichiers, utilisez : - -<informalexample><screen> -# mount /path # par exemple : mount /usr -</screen></informalexample> - -Les systèmes &debian; actuels montent les médias extractibles sous le répertoire -<filename>/media</filename>, mais conservent des liens symboliques de compatibilité -sous la racine <filename>/</filename>. Pour les créer : - -<informalexample><screen> -# cd /media -# mkdir cdrom0 -# ln -s cdrom0 cdrom -# cd / -# ln -s media/cdrom -</screen></informalexample> - -Vous pouvez monter le système de fichiers proc plusieurs fois et à divers -endroits, cependant on choisit d'habitude <filename>/proc</filename>. -Si vous n'utilisez pas <userinput>mount -a</userinput>, assurez-vous d'avoir monté proc -avant d'aller plus loin : - -<informalexample><screen> -# mount -t proc proc /proc -</screen></informalexample> - -</para> -<para> - -La commande <userinput>ls /proc</userinput> affiche maintenant un répertoire -non vide. Si cela échoue, vous pouvez monter proc hors du chroot de cette manière : - -<informalexample><screen> -# mount -t proc proc /mnt/debinst/proc -</screen></informalexample> - -</para> - </sect3> - - <sect3> - <title>Configurer le fuseau horaire</title> - -<para> -La troisième ligne du fichier <filename>/etc/adjtime</filename> peut contenir -<quote>UTC</quote> ou <quote>LOCAL</quote>. Ce paramètre détermine si -le système considère que l'horloge système est réglée sur le temps UTC ou non. -La commande suivante permet d'effectuer cette opération. - -<informalexample><screen> -# editor /etc/adjtime -</screen></informalexample> - -Voici un exemple : -<informalexample><screen> -0.0 0 0.0 -0 -UTC -</screen></informalexample> - -La commande suivante permet de modifier le fuseau horaire : - -<informalexample><screen> -# dpkg-reconfigure tzdata -</screen></informalexample> - -</para> - </sect3> - - <sect3> - <title>Configurer le réseau</title> -<para> - -Pour configurer le réseau, éditez les fichiers -<filename>/etc/network/interfaces</filename>, -<filename>/etc/resolv.conf</filename>, -<filename>etc/hostname</filename> et -<filename>/etc/hosts</filename>. - -<informalexample><screen> -# editor /etc/network/interfaces -</screen></informalexample> - -Voici quelques exemples simples qui proviennent de -<filename>/usr/share/doc/ifupdown/examples</filename> : - -<informalexample><screen> -###################################################################### -# /etc/network/interfaces -- configuration file for ifup(8), ifdown(8) -# See the interfaces(5) manpage for information on what options are -# available. -###################################################################### - -# We always want the loopback interface. -# -auto lo -iface lo inet loopback - -# To use dhcp: -# -# auto eth0 -# iface eth0 inet dhcp - -# An example static IP setup: (broadcast and gateway are optional) -# -# auto eth0 -# iface eth0 inet static -# address 192.168.0.42 -# network 192.168.0.0 -# netmask 255.255.255.0 -# broadcast 192.168.0.255 -# gateway 192.168.0.1 -</screen></informalexample> - -Indiquez vos serveurs de noms et les directives search dans le fichier -<filename>/etc/resolv.conf</filename> : - -<informalexample><screen> -# editor /etc/resolv.conf -</screen></informalexample> - -Un fichier <filename>/etc/resolv.conf</filename> simple : - -<informalexample><screen> -# search hqdom.local -# nameserver 10.1.1.36 -# nameserver 192.168.9.100 -</screen></informalexample> - -Indiquez le nom de votre système (de 2 à 63 caractères) : - -<informalexample><screen> -# echo DebianHostName > /etc/hostname -</screen></informalexample> - -Et un fichier <filename>/etc/hosts</filename> élémentaire, avec gestion de IPv6 : - -<informalexample><screen> -127.0.0.1 localhost -127.0.1.1 DebianHostName - -# The following lines are desirable for IPv6 capable hosts -::1 ip6-localhost ip6-loopback -fe00::0 ip6-localnet -ff00::0 ip6-mcastprefix -ff02::1 ip6-allnodes -ff02::2 ip6-allrouters -ff02::3 ip6-allhosts -</screen></informalexample> - -Si vous possédez plusieurs cartes réseau, faites en sorte d'indiquer -par ordre les modules que vous voulez charger dans le fichier -<filename>/etc/modules</filename>. De cette façon, lors du démarrage, chaque -carte sera associée avec le nom d'interface (eth0, eth1, etc.) que vous -souhaitiez. - -</para> - </sect3> - - <sect3> - <title>Configurer Apt</title> -<para> - -Debootstrap aura créé un fichier <filename>/etc/apt/sources.list</filename> -élémentaire qui permettra d'installer d'autres paquets. -Cependant, vous pouvez ajouter d'autres sources, par exemple les sources -concernant les mises à jour de sécurité ou celles des paquets source : - -<informalexample><screen> -deb-src http://ftp.us.debian.org/debian &releasename; main - -deb http://security.debian.org/ &releasename;/updates main -deb-src http://security.debian.org/ &releasename;/updates main -</screen></informalexample> - -N'oubliez pas de lancer <userinput>aptitude update</userinput> après avoir modifié -le fichier <filename>/etc/apt/sources.list</filename>. - -</para> - </sect3> -<sect3> - <title>Configurer les locales et le clavier</title> -<para> - -Pour configurer les paramètres locaux, pour l'utilisation d'une autre langue -que l'anglais, installez le paquet <classname>locales</classname> puis configurez-le : -Il est conseillé d'utiliser les locales UTF-8. - -<informalexample><screen> -# aptitude install locales -# dpkg-reconfigure locales -</screen></informalexample> - -Pour configurer le clavier (si besoin est) : - -<informalexample><screen> -# aptitude install console-setup -# dpkg-reconfigure keyboard-configuration -</screen></informalexample> - -</para><para> -Il faut noter que le clavier ne peut pas être configuré à l'intérieur du chroot. -Il sera configuré au prochain démarrage de la machine. -</para> -</sect3> - - </sect2> - - <sect2> - <title>Installer un noyau</title> - -<para> - -Si vous avez l'intention de démarrer ce système, vous aurez vraisemblablement -besoin d'un noyau &arch-kernel; ainsi que d'un programme d'amorçage. Identifiez -les paquets contenant des noyaux avec : - -<informalexample><screen> -# apt-cache search &kernelpackage; -</screen></informalexample> - -</para> -<para> - -Installez alors le noyau de votre choix en utilisant son nom : - -<informalexample><screen> -# aptitude install &kernelpackage;-<replaceable>arch-etc</replaceable> -</screen></informalexample> - -</para> - </sect2> - - <sect2> -<title>Configurer le programme d'amorçage</title> -<para> - -Pour que votre système &debian-gnu; puisse démarrer, configurez le programme -d'amorçage pour qu'il charge le noyau installé avec votre nouvelle partition -racine. <command>Debootstrap</command> n'installe pas de programme d'amorçage mais vous pouvez -utiliser <command>aptitude</command> pour en installer un. - -</para><para arch="any-x86"> - -Faites <userinput>info grub</userinput><phrase arch="x86"> ou -<userinput>man lilo.conf</userinput></phrase> pour connaître les instructions de -configuration du programme d'amorçage. Si vous souhaitez conserver le -système dont vous vous êtes servi pour installer &debian;, ajoutez simplement -une entrée pour l'installation de &debian; dans votre -<filename>grub.cfg</filename><phrase arch="x86"> ou dans votre <filename>lilo.conf</filename>. -Pour <filename>lilo.conf</filename>, vous pouvez également le copier sur le -nouveau système et l'éditer. Une fois que -vous l'aurez modifié, lancez <command>lilo</command> (souvenez-vous que lilo utilise le fichier -<filename>lilo.conf</filename> qui se trouve dans le même système que lui)</phrase>. - -</para><para arch="any-x86"> - -L'installation et la configuration de <classname>grub2</classname> est aussi simple que -ça : - -<informalexample><screen> -# aptitude install grub-pc -# grub-install /dev/<replaceable>hda</replaceable> -# update-grub -</screen></informalexample> - -La deuxième commande installe <command>grub-pc</command> -(ici, sur le MBR de <literal>hda</literal>). La dernière commande crée -un fichier <filename>/boot/grub/grub.cfg</filename> fonctionnel. -</para> -<para> - -On suppose ici qu'un fichier <filename>/dev/hda</filename> a été créé. -Il y a d'autres méthodes pour installer <command>grub-pc</command>, -mais elles sortent du cadre de cette annexe. - -</para> - -<para arch="x86"> - -Voici un exemple simple de fichier <filename>/etc/lilo.conf</filename> : - -<informalexample><screen> -boot=/dev/<replaceable>hda6</replaceable> -root=/dev/<replaceable>hda6</replaceable> -install=menu -delay=20 -lba32 -image=/vmlinuz -initrd=/initrd.img -label=Debian -</screen></informalexample> - -</para> -<para arch="powerpc"> - -Consultez le <userinput>man yaboot.conf</userinput> pour les instructions de -configuration du programme d'amorçage. Si vous souhaitez conserver le système -dont vous vous êtes servi pour installer &debian;, ajoutez simplement une -entrée pour l'installation de &debian; dans votre yaboot.conf actuel. Vous -pouvez également le copier sur le nouveau système et l'éditer. Une fois que -vous l'aurez modifié, lancez ybin (souvenez-vous que ybin utilise le yaboot.conf qui se -trouve dans le même système que lui). -</para> -<para arch="powerpc"> - -Voici un exemple simple de fichier <filename>/etc/yaboot.conf</filename> : - -<informalexample><screen> -boot=/dev/hda2 -device=hd: -partition=6 -root=/dev/hda6 -magicboot=/usr/lib/yaboot/ofboot -timeout=50 -image=/vmlinux -label=Debian -</screen></informalexample> - -Sur certaines machines, vous devrez utiliser <userinput>ide0:</userinput> -au lieu de <userinput>hd:</userinput>. - -</para> - </sect2> - - <sect2> -<title>Accès distant : installer SSH et créer un mot de passe</title> -<para> - -Si vous pouvez vous connecter au système par la console, vous pouvez sauter -cette section. Si par la suite le système doit être accessible par le réseau, -vous devez installer ssh et créer un mot de passe pour le superutilisateur. - -<informalexample><screen> -# aptitude install ssh -# passwd -</screen></informalexample> -</para> - </sect2> - - <sect2> -<title>Touches finales</title> -<para> - -Comme signalé auparavant, le système sera très basique. Pour l'améliorer -sensiblement, il existe une méthode très simple pour installer les paquets -dont la priorité est <quote>standard</quote> : - -<informalexample><screen> -# tasksel install standard -</screen></informalexample> - -Bien sûr, vous pouvez toujours utiliser <command>aptitude</command> pour installer -des paquets un à un. -</para> -<para> -Après l'installation il y aura beaucoup de paquets dans -<filename>/var/cache/apt/archives/</filename>. Vous pouvez libérer un peu d'espace avec : - -<informalexample><screen> -# aptitude clean -</screen></informalexample> - -</para> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/appendix/files.xml b/fr/appendix/files.xml deleted file mode 100644 index 19e959b2d..000000000 --- a/fr/appendix/files.xml +++ /dev/null @@ -1,348 +0,0 @@ -<!-- original version: 65939 --> - - <sect1 arch="linux-any" id="linuxdevices"><title>Périphériques Linux</title> -<para> - -Sous Linux, vous disposez de fichiers spéciaux dans le répertoire -<filename>/dev</filename>. Ces fichiers sont appelés fichiers de -périphérique et ils se comportent différemment des fichiers ordinaires. -Les types les plus courants de ces fichiers concernent les périphériques -de type bloc et les périphériques de type caractère. Ces fichiers sont des interfaces -au pilote réel qui fait partie du noyau et qui accède au périphérique. -Un autre type, moins courant, de fichier de périphérique est <firstterm>pipe</firstterm>. -Ci-dessous sont repris les fichiers de périphérique les plus importants. - -</para><para> - -<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> -<row> - <entry><filename>fd0</filename></entry> - <entry>1er lecteur de disquette</entry> -</row><row> - <entry><filename>fd1</filename></entry> - <entry>2e lecteur de disquette</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> -<row> - <entry><filename>hda</filename></entry> - <entry>Disque dur IDE ou cédérom sur le premier port IDE (maître)</entry> -</row><row> - <entry><filename>hdb</filename></entry> - <entry>Disque dur IDE ou cédérom sur le premier port IDE (esclave)</entry> -</row><row> - <entry><filename>hdc</filename></entry> - <entry>Disque dur IDE ou cédérom sur le second port IDE (maître)</entry> -</row><row> - <entry><filename>hdd</filename></entry> - <entry>Disque dur IDE ou cédérom sur le second port IDE (esclave)</entry> -</row><row> - <entry><filename>hda1</filename></entry> - <entry>1re partition sur le premier disque dur IDE</entry> -</row><row> - <entry><filename>hdd15</filename></entry> - <entry>15e partition sur le quatrième disque dur IDE</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> -<row> - <entry><filename>sda</filename></entry> - <entry>Disque SCSI avec l'identificateur SCSI le plus bas (p. ex. 0)</entry> -</row><row> - <entry><filename>sdb</filename></entry> - <entry>Disque SCSI avec l'identificateur suivant (p. ex. 1)</entry> -</row><row> - <entry><filename>sdc</filename></entry> - <entry>Disque SCSI avec l'identificateur suivant (p. ex. 2)</entry> -</row><row> - <entry><filename>sda1</filename></entry> - <entry>1re partition du premier disque SCSI</entry> -</row><row> - <entry><filename>sdd10</filename></entry> - <entry>10e partition du quatrième disque SCSI</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> -<row> - <entry><filename>sr0</filename></entry> - <entry>cédérom SCSI avec l'identificateur SCSI le plus bas</entry> -</row><row> - <entry><filename>sr1</filename></entry> - <entry>cédérom SCSI avec l'identificateur SCSI suivant</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> -<row> - <entry><filename>ttyS0</filename></entry> - <entry>Port série 0 (COM1: sous DOS)</entry> -</row><row> - <entry><filename>ttyS1</filename></entry> - <entry>Port série 1 (COM2: sous DOS)</entry> -</row><row> - <entry><filename>psaux</filename></entry> - <entry>port souris PS/2</entry> -</row><row> - <entry><filename>gpmdata</filename></entry> - <entry>pseudo périphérique, répétiteur du démon GPM de souris</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> -<row> - <entry><filename>cdrom</filename></entry> - <entry>Lien symbolique vers le lecteur de cédérom</entry> -</row><row> - <entry><filename>mouse</filename></entry> - <entry>Lien symbolique vers le fichier de périphérique de la souris</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -<informaltable><tgroup cols="2"><tbody> -<row> - <entry><filename>null</filename></entry> - <entry>tout ce qui est écrit vers ce fichier disparaît</entry> -</row><row> - <entry><filename>zero</filename></entry> - <entry>fichier qui fabrique continuellement des zéros</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -</para> - - <sect2 arch="not-s390" id="device-mouse"> -<title>Régler la souris</title> - -<para> - -La souris peut être utilisée aussi bien dans une console Linux (avec gpm) -qu'en environnement X window. Il suffit normalement d'installer le fichier -<filename>gpm</filename> et le serveur X. Les deux doivent utiliser -<filename>/dev/input/mice</filename> comme périphérique. -Le protocole correct pour la souris est <userinput>exps2</userinput> pour gpm et -<userinput>ExplorerPS/2</userinput> pour le serveur X. Les fichiers de configuration sont -respectivement <filename>/etc/gpm.conf</filename> et <filename>/etc/X11/xorg.conf</filename>. - -</para> - -<para> -Pour faire fonctionner la souris, il faut charger certains modules du noyau. -Dans la plupart des cas, les modules corrects sont détectés mais certaines -souris anciennes <footnote> -<para> -Les souris de type série ont un connecteur à 9 trous en forme de D ; les souris -bus ont un connecteur rond à 8 tiges, qu'il ne faut pas confondre avec le -connecteur à 6 tiges d'une souris PS/2 ou avec le connecteur à 4 tiges d'une souris ADB. -</para> -</footnote> sur de vieux ordinateurs posent des problèmes. Voici les modules du noyau -nécessaires aux différents types de souris : - -<informaltable><tgroup cols="2"><thead> -<row> - <entry>Module</entry> - <entry>Description</entry> -</row> -</thead><tbody> -<row> - <entry>psmouse</entry> - <entry>Souris PS/2 (devrait être détectée)</entry> -</row> -<row> - <entry>usbhid</entry> - <entry>Souris USB (devrait être détectée)</entry> -</row> -<row> - <entry>sermouse</entry> - <entry>Souris de type série</entry> -</row> -<row> - <entry>logibm</entry> - <entry>Souris Bus connectée à l'adaptateur Logitech</entry> -</row> -<row> - <entry>inport</entry> - <entry>Souris Bus connectée à des cartes ATI ou Microsoft</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -Pour charger le module d'un pilote souris, vous pouvez utiliser la -commande <command>modconf</command> (paquet du même nom) et chercher dans la -catégorie <userinput>kernel/drivers/input/mouse</userinput>. - -</para><para arch="powerpc"> -<!-- FJP 20070122: Unsure if this is still valid --> - -Les noyaux modernes offrent la possibilité d'émuler une souris 3 boutons -quand votre souris n'en a qu'un. Ajoutez simplement les lignes suivantes au -fichier <filename>/etc/sysctl.conf</filename> : - -<informalexample><screen> -# émulation d'une souris à 3 boutons -# mettre en œuvre l'émulation -/dev/mac_hid/mouse_button_emulation = 1 -# Envoyer le signal du bouton du milieu avec la touche F11 -/dev/mac_hid/mouse_button2_keycode = 87 -# Envoyer le signal du bouton de droite avec la touche F12 -/dev/mac_hid/mouse_button3_keycode = 88 -# Pour d'autres touches, utilisez showkey pour connaître les codes -</screen></informalexample> -</para> - </sect2> - </sect1> - - <sect1 id="tasksel-size-list"> - <title>Espace disque nécessaire pour les tâches</title> - -<para> -Une installation standard pour l'architecture amd64, avec le noyau 2.6 par défaut -et tous les paquets standard, demande &std-system-size; Mo. Une installation minimale, -sans la tâche <emphasis>Standard system</emphasis>, demande &base-system-size; Mo. -</para> -<important><para> -Dans ces deux cas, l'espace disque réellement utilisé est calculé <emphasis>après</emphasis> -la fin de l'installation et tous les fichiers temporaires éliminés. Il ne prend pas -en compte l'espace utilisé par le système de fichiers, par exemple par les -journaux. Il est donc clair qu'il faut plus d'espace disque à la fois -<emphasis>pendant</emphasis> l'installation et en utilisation réelle du -système. -</para></important> -<para> -Le tableau suivant montre les tailles rapportées par aptitude pour les tâches -affichées dans tasksel. Certaines tâches ont des éléments -communs, et donc la taille totale pour ces deux tâches peut être moindre que -la somme des deux tailles. -</para> -<para> - -L'installateur installe par défaut l'environnement de bureau GNOME, mais d'autres -environnements sont possibles. Ils peuvent être sélectionnés soit en utilisant une image spécifique de CD, -soit en indiquant l'environnement voulu au moment de l'amorçage de l'installateur. -Veuillez consulter <xref linkend="pkgsel"/>. - -</para><para> -Pour déterminer la dimension d'une partition, vous devez ajouter les tailles -dans le tableau et la taille de l'installation de base. Ce que représente -<quote>Taille installée</quote> va dans <filename>/usr</filename> et dans -<filename>/lib</filename> ; et ce que représente <quote>Taille à charger</quote> -va (provisoirement) dans <filename>/var</filename>. -</para> -<para> - -<informaltable><tgroup cols="4"> -<thead> -<row> - <entry>Tâches</entry> - <entry>Taille Installée (Mo)</entry> - <entry>Taille à charger (Mo)</entry> - <entry>Espace à prendre (Mo)</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>Desktop</entry> - <entry> </entry> - <entry> </entry> - <entry> </entry> -</row> -<row> - <entry> • GNOME (défault)</entry> - <entry>&task-desktop-gnome-inst;</entry> - <entry>&task-desktop-gnome-dl;</entry> - <entry>&task-desktop-gnome-tot;</entry> -</row> -<row> - <entry> • KDE</entry> - <entry>&task-desktop-kde-inst;</entry> - <entry>&task-desktop-kde-dl;</entry> - <entry>&task-desktop-kde-tot;</entry> -</row> -<row> - <entry> • Xfce</entry> - <entry>&task-desktop-xfce-inst;</entry> - <entry>&task-desktop-xfce-dl;</entry> - <entry>&task-desktop-xfce-tot;</entry> -</row> -<row> - <entry> • LXDE</entry> - <entry>&task-desktop-lxde-inst;</entry> - <entry>&task-desktop-lxde-dl;</entry> - <entry>&task-desktop-lxde-tot;</entry> -</row> - -<row> - <entry>Laptop <footnote> - -<para> Les tâches <emphasis>Laptop</emphasis> et <emphasis>Desktop environment</emphasis> -se recoupent en partie. Si vous installez les deux, la tâche Laptop demandera -seulement quelques Mo supplémentaires d'espace disque. -</para> -</footnote></entry> - <entry>&task-laptop-inst;</entry> - <entry>&task-laptop-dl;</entry> - <entry>&task-laptop-tot;</entry> -</row> - -<row> - <entry>Serveur web</entry> - <entry>&task-web-inst;</entry> - <entry>&task-web-dl;</entry> - <entry>&task-web-tot;</entry> -</row> - -<row> - <entry>Serveur d'impression</entry> - <entry>&task-print-inst;</entry> - <entry>&task-print-dl;</entry> - <entry>&task-print-tot;</entry> -</row> - -<row> - <entry>Serveur DNS</entry> - <entry>&task-dns-inst;</entry> - <entry>&task-dns-dl;</entry> - <entry>&task-dns-tot;</entry> -</row> - -<row> - <entry>Serveur de fichiers</entry> - <entry>&task-file-inst;</entry> - <entry>&task-file-dl;</entry> - <entry>&task-file-tot;</entry> -</row> - -<row> - <entry>Serveur de courrier</entry> - <entry>&task-mail-inst;</entry> - <entry>&task-mail-dl;</entry> - <entry>&task-mail-tot;</entry> -</row> - -<row> - <entry>Base de données SQL</entry> - <entry>&task-sql-inst;</entry> - <entry>&task-sql-dl;</entry> - <entry>&task-sql-tot;</entry> -</row> -<row> - <entry>Serveur SSH</entry> - <entry>&task-ssh-inst;</entry> - <entry>&task-ssh-dl;</entry> - <entry>&task-ssh-tot;</entry> -</row> - -</tbody> -</tgroup></informaltable> - -</para> -<para> -Si vous faites une installation dans une langue autre que l'anglais, -<command>tasksel</command> installera d'abord une <firstterm>locale</firstterm> -s'il en existe une pour votre langue. Chaque langue demande un espace disque. -Vous devriez accorder 350 Mo pour l'installation et le téléchargement. -</para> - </sect1> - diff --git a/fr/appendix/gpl.xml b/fr/appendix/gpl.xml deleted file mode 100644 index 0e3d68064..000000000 --- a/fr/appendix/gpl.xml +++ /dev/null @@ -1,503 +0,0 @@ -<!-- original version: 38979 --> - -<appendix id="appendix-gpl"><title>GNU General Public License</title> - -<note condition="gpl-unofficial"><para> - -This is an unofficial translation of the GNU General Public License into -french. It was not published by the Free Software Foundation, and does -not legally state the distribution terms for software that uses the GNU -GPL — only the original <ulink url="&url-gnu-copyleft;">English -text</ulink> of the GNU GPL does that. However, we hope that this translation -will help french speakers understand the GNU GPL better. - -</para><para> - -Cette traduction est une traduction non officielle de la GNU General Public License en français. -Elle n'a pas été publiée par la Free Software Foundation, et ne détermine pas les termes -de distribution pour les logiciels qui utilisent la GNU GPL, -seul le <ulink url="&url-gnu-copyleft;">texte anglais original </ulink> de la GNU GPL -détermine ces termes. -Cependant, nous espérons que cette traduction aidera les francophones à mieux comprendre -la GNU GPL. - -</para></note> -<para> - -Version 2, June 1991 - -<informalexample><screen> -Copyright (C) 1989, 1991 Free Software Foundation, Inc. -51 Franklin St, Fifth Floor, Boston, MA 02110-1301, USA. - -Tout le monde peut copier et distribuer des copies verbatim de ce document -mais il est interdit de le modifier. -</screen></informalexample> - -</para> - - <simplesect><title>Preamble</title> -<para> - -Les licences de la plupart des logiciels sont conçues pour vous enlever toute liberté -de les partager et de les modifier. - -A contrario, la Licence Publique Générale est destinée à garantir votre liberté -de partager et de modifier les logiciels libres, et à assurer que ces logiciels soient -libres pour tous leurs utilisateurs. - -La présente Licence Publique Générale s'applique à la plupart des logiciels de la -Free Software Foundation, ainsi qu'à tout autre programme pour lequel ses auteurs -s'engagent à l'utiliser. - -(Certains autres logiciels de la Free Software Foundation sont couverts par la -GNU Lesser General Public License à la place.) - -Vous pouvez aussi l'appliquer aux programmes qui sont les vôtres. - -</para><para> - -Quand nous parlons de logiciels libres, nous parlons de liberté, non de prix. -Nos licences publiques générales sont conçues pour vous donner l'assurance d'être libres -de distribuer des copies des logiciels libres (et de facturer ce service, si vous le souhaitez), -de recevoir le code source ou de pouvoir l'obtenir si vous le souhaitez, -de pouvoir modifier les logiciels ou en utiliser des éléments dans de nouveaux programmes libres -et de savoir que vous pouvez le faire. - -</para><para> - -Pour protéger vos droits, il nous est nécessaire d'imposer des limitations qui interdisent -à quiconque de vous refuser ces droits ou de vous demander d'y renoncer. Certaines -responsabilités vous incombent en raison de ces limitations si vous distribuez des copies -de ces logiciels, ou si vous les modifiez. - -</para><para> - -Par exemple, si vous distribuez des copies d'un tel programme, à titre gratuit ou contre une -rémunération, vous devez accorder aux destinataires tous les droits dont vous disposez. - -Vous devez vous assurer qu'eux aussi reçoivent ou puissent disposer du code source. -Et vous devez leur montrer les présentes conditions afin qu'ils aient connaissance -de leurs droits. - -</para><para> - -Nous protégeons vos droits en deux étapes : (1) nous sommes titulaires des droits d'auteur -du logiciel, et (2) nous vous délivrons cette licence, qui vous donne l'autorisation légale -de copier, distribuer et/ou modifier le logiciel. - -</para><para> - -En outre, pour la protection de chaque auteur ainsi que la nôtre, nous voulons nous assurer -que chacun comprenne que ce logiciel libre ne fait l'objet d'aucune garantie. - -Si le logiciel est modifié par quelqu'un d'autre puis transmis à des tiers, nous voulons -que les destinataires soient mis au courant que ce qu'ils ont reçu n'est pas le logiciel -d'origine, de sorte que tout problème introduit par d'autres ne puisse entacher -la réputation de l'auteur originel. - -</para><para> - -En définitive, un programme libre restera à la merci des brevets de logiciels. - -Nous souhaitons éviter le risque que les redistributeurs d'un programme libre fassent des -demandes individuelles de licence de brevet, ceci ayant pour effet de rendre le programme -propriétaire. - -Pour éviter cela, nous établissons clairement que toute licence de brevet doit être concédée -de façon à ce que l'usage en soit libre pour tous ou bien qu'aucune licence ne soit concédée. - -</para><para> - -Les termes exacts et les conditions de copie, distribution et modification sont les suivants : - -</para> - </simplesect> - - <simplesect><title>GNU GENERAL PUBLIC LICENSE</title> -<para> - -<emphasis role="bold">Conditions de copie, distribution et modification de la Licence Publique Générale GNU.</emphasis> - -</para><para> - -<emphasis role="bold">0.</emphasis> -La présente Licence s'applique à tout programme ou tout autre ouvrage contenant un avis, -apposé par le titulaire des droits d'auteur, stipulant qu'il peut être distribué au titre -des conditions de la présente Licence Publique Générale. - -Ci-après, le "Programme" désigne l'un quelconque de ces programmes ou ouvrages, -et un "ouvrage fondé sur le Programme" désigne soit le Programme, soit un ouvrage qui en dérive -au titre des lois sur le droit d'auteur : en d'autres termes, un ouvrage contenant le Programme -ou une partie de ce dernier, soit à l'identique, soit avec des modifications et/ou traduit -dans un autre langage. - -(Ci-après, le terme "modification" implique, sans s'y réduire, le terme traduction) - -Chaque concessionaire sera désigné par "vous". - -</para><para> - -Les activités autres que la copie, la distribution et la modification ne sont pas couvertes -par la présente Licence ; elles sont hors de son champ d'application. - -L'opération consistant à exécuter le Programme n'est soumise à aucune limitation et les sorties -du programme ne sont couvertes que si leur contenu constitue un ouvrage fondé sur le Programme -(indépendamment du fait qu'il ait été réalisé par l'exécution du Programme). - -La validité de ce qui précède dépend de ce que fait le Programme. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">1.</emphasis> -Vous pouvez copier et distribuer des copies à l'identique du code source du Programme tel -que vous l'avez reçu, sur n'importe quel support, du moment que vous apposiez sur chaque copie, -de manière ad hoc et parfaitement visible, l'avis de droit d'auteur adéquat et une exonération -de garantie ; que vous gardiez intacts tous les avis faisant référence à la présente Licence et -à l'absence de toute garantie ; et que vous fournissiez à tout destinataire du Programme -autre que vous-même un exemplaire de la présente Licence en même temps que le Programme. - -</para><para> - -Vous pouvez faire payer l'acte physique de transmission d'une copie, et vous pouvez, -à votre discrétion, proposer une garantie contre rémunération. - - -</para><para> - -<emphasis role="bold">2.</emphasis> -ous pouvez modifier votre copie ou des copies du Programme ou n'importe quelle partie de -celui-ci, créant ainsi un ouvrage fondé sur le Programme, et copier et distribuer de telles -modifications ou ouvrage selon les termes de l'Article 1 ci-dessus, -à condition de vous conformer également à chacune des obligations suivantes : - -</para> -<orderedlist numeration='loweralpha'><listitem><para> - -Vous devez munir les fichiers modifiés d'avis bien visibles stipulants que vous avez modifié -ces fichiers, ainsi que la date de chaque modification ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Vous devez prendre les dispositions nécessaires pour que tout ouvrage que vous distribuez -ou publiez, et qui, en totalité ou en partie, contient ou est fondé sur le Programme -- ou une partie quelconque de ce dernier - soit concédé comme un tout, à titre gratuit, -à n'importe quel tiers, au titre des conditions de la présente Licence. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Si le programme modifié lit habituellement des instructions de façon interactive -lorsqu'on l'exécute, vous devez, quand il commence son exécution pour ladite utilisation -interactive de la manière la plus usuelle, faire en sorte qu'il imprime ou affiche une annonce -comprenant un avis de droit d'auteur ad hoc, et un avis stipulant qu'il n'y a pas de garantie -(ou bien indiquant que c'est vous qui fournissez la garantie), et que les utilisateurs peuvent -redistribuer le programme en respectant les présentes obligations, et expliquant à l'utilisateur -comment voir une copie de la présente Licence. - -(Exception : si le Programme est lui-même interactif mais n'imprime pas habituellement une telle -annonce, votre ouvrage fondé sur le Programme n'est pas obligé d'imprimer une annonce). - -</para></listitem></orderedlist> -<para> - -Ces obligations s'appliquent à l'ouvrage modifié pris comme un tout. - -Si des éléments identifiables de cet ouvrage ne sont pas fondés sur le Programme et peuvent -raisonnablement être considérés comme des ouvrages indépendants distincts en eux-mêmes, alors -la présente Licence et ses conditions ne s'appliquent pas à ces éléments lorsque vous les -distribuez en tant qu'ouvrages distincts. - -Mais lorsque vous distribuez ces mêmes éléments comme partie d'un tout, lequel constitue un -ouvrage fondé sur le Programme, la distribution de ce tout doit être soumise aux conditions -de la présente Licence, et les autorisations qu'elle octroie aux autres concessionaires -s'étendent à l'ensemble de l'ouvrage et par conséquent à chaque et toute partie indifférement -de qui l'a écrite. - -</para><para> - -Par conséquent, l'objet du présent article n'est pas de revendiquer des droits ou de contester -vos droits sur un ouvrage entièrement écrit par vous ; son objet est plutôt d'exercer le droit -de contrôler la distribution d'ouvrages dérivés ou d'ouvrages collectifs fondés sur le Programme. - -</para><para> - -De plus, la simple proximité du Programme avec un autre ouvrage qui n'est pas fondé sur le -Programme (ou un ouvrage fondé sur le Programme) sur une partition d'un espace de stockage -ou un support de distribution ne place pas cet autre ouvrage dans le champ d'application - de la présente Licence. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">3.</emphasis> -Vous pouvez copier et distribuer le Programme (ou un ouvrage fondé sur lui, selon l'Article 2) -sous forme de code objet ou d'exécutable, selon les termes des Articles 1 et 2 ci-dessus, -à condition que vous accomplissiez l'un des points suivants : - -</para> -<orderedlist numeration='loweralpha'><listitem><para> - -L'accompagner de l'intégralité du code source correspondant, sous une forme lisible -par un ordinateur, lequel doit être distribué au titre des termes des Articles 1 et 2 ci-dessus, -sur un support habituellement utilisé pour l'échange de logiciels ; ou, - -</para></listitem> -<listitem><para> - -L'accompagner d'une proposition écrite, valable pendant au moins trois ans, de fournir -à tout tiers, à un tarif qui ne soit pas supérieur à ce que vous coûte l'acte physique -de réaliser une distribution source, une copie intégrale du code source correspondant -sous une forme lisible par un ordinateur, qui sera distribuée au titre des termes des -Articles 1 et 2 ci-dessus, sur un support habituellement utilisé pour l'échange -de logiciels ; ou, - -</para></listitem> -<listitem><para> - -L'accompagner des informations reçues par vous concernant la proposition de distribution du -code source correspondant. (Cette solution n'est autorisée que dans le cas d'une -distribution non commerciale et seulement si vous avez reçu le programme sous forme -de code objet ou d'éxécutable accompagné d'une telle proposition - en conformité avec -le sous-Article b ci-dessus.) - -</para></listitem></orderedlist> -<para> - -Le code source d'un ouvrage désigne la forme favorite pour travailler à des modifications -de cet ouvrage. Pour un ouvrage exécutable, le code source intégral désigne la totalité -du code source de la totalité des modules qu'il contient, ainsi que les éventuels -fichiers de définition des interfaces qui y sont associés, ainsi que les scripts -utilisés pour contrôler la compilation et l'installation de l'exécutable. -Cependant, par exception spéciale, le code source distribué n'est pas censé inclure -quoi que ce soit de normalement distribué (que ce soit sous forme source ou binaire) -avec les composants principaux (compilateur, noyau, et autre) du système d'exploitation -sur lequel l'exécutable tourne, à moins que ce composant lui-même n'accompagne l'exécutable. - -</para><para> - -Si distribuer un exécutable ou un code objet consiste à offrir un accès permettant leur copie -depuis un endroit particulier, alors l'offre d'un accès équivalent pour copier -le code source depuis le même endroit compte comme une distribution du code source -- même si les tiers ne sont pas contraints de copier le source en même temps que le code objet. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">4.</emphasis> -Vous ne pouvez copier, modifier, concéder en sous-licence, ou distribuer le Programme, -sauf tel qu'expressément prévu par la présente Licence. Toute tentative de copier, modifier, -concéder en sous-licence, ou distribuer le Programme d'une autre manière est réputée -non valable, et met immédiatement fin à vos droits au titre de la présente Licence. -Toutefois, les tiers ayant reçu de vous des copies, ou des droits, -au titre de la présente Licence ne verront pas leurs autorisations résiliées aussi longtemps -que ledits tiers se conforment pleinement à elle. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">5.</emphasis> -Vous n'êtes pas obligé d'accepter la présente Licence étant donné que vous ne l'avez pas signée. -Cependant, rien d'autre ne vous accorde l'autorisation de modifier ou distribuer le Programme -ou les ouvrages fondés sur lui. Ces actions sont interdites par la loi si vous n'acceptez -pas la présente Licence. En conséquence, en modifiant ou distribuant le Programme -(ou un ouvrage quelconque fondé sur le Programme), vous signifiez votre acceptation -de la présente Licence en le faisant, et de toutes ses conditions concernant la copie, -la distribution ou la modification du Programme ou d'ouvrages fondés sur lui. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">6.</emphasis> -Chaque fois que vous redistribuez le Programme (ou n'importe quel ouvrage fondé sur le -Programme), une licence est automatiquement concédée au destinataire par le concédant -originel de la licence, l'autorisant à copier, distribuer ou modifier le Programme, -sous réserve des présentes conditions. Vous ne pouvez imposer une quelconque limitation -supplémentaire à l'exercice des droits octroyés au titre des présentes par le destinataire. -Vous n'avez pas la responsabilité d'imposer le respect de la présente Licence à des tiers. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">7.</emphasis> -Si, conséquement à une décision de justice ou l'allégation d'une transgression de brevet -ou pour toute autre raison (non limitée à un problème de brevet), des obligations vous sont -imposées (que ce soit par jugement, conciliation ou autre) qui contredisent les conditions -de la présente Licence, elles ne vous excusent pas des conditions de la présente Licence. -Si vous ne pouvez distribuer de manière à satisfaire simultanément vos obligations au titre -de la présente Licence et toute autre obligation pertinente, alors il en découle que vous -ne pouvez pas du tout distribuer le Programme. Par exemple, si une licence de brevet -ne permettait pas une redistribution sans redevance du Programme par tous ceux qui reçoivent -une copie directement ou indirectement par votre intermédiaire, alors la seule façon -pour vous de satisfaire à la fois à la licence du brevet et à la présente Licence serait -de vous abstenir totalement de toute distribution du Programme. - -</para><para> - -Si une partie quelconque de cet article est tenue pour nulle ou inopposable dans une -circonstance particulière quelconque, l'intention est que le reste de l'article s'applique. -La totalité de la section s'appliquera dans toutes les autres circonstances. - -</para><para> - -Cet article n'a pas pour but de vous induire à transgresser un quelconque brevet ou -d'autres revendications à un droit de propriété ou à contester la validité de la moindre -de ces revendications ; cet article a pour seul objectif de protéger l'intégrité du système -de distribution du logiciel libre, qui est mis en oeuvre par la pratique des licenses publiques. -De nombreuses personnes ont fait de généreuses contributions au large spectre -de logiciels distribués par ce système en se fiant à l'application cohérente de ce système ; -il appartient à chaque auteur/donateur de décider si il ou elle veut distribuer du logiciel -par l'intermédiaire d'un quelconque autre système et un concessionaire ne peut imposer ce choix. - -</para><para> - -Cet article a pour but de rendre totalement limpide ce que l'on pense être une conséquence -du reste de la présente Licence. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">8.</emphasis> -Si la distribution et/ou l'utilisation du Programme est limitée dans certains pays que ce soit -par des brevets ou par des interfaces soumises au droit d'auteur, le titulaire originel des -droits d'auteur qui décide de couvrir le Programme par la présente Licence peut ajouter -une limitation géographique de distribution explicite qui exclue ces pays afin -que la distribution soit permise seulement dans ou entre les pays qui ne sont pas ainsi exclus. -Dans ce cas, la présente Licence incorpore la limitation comme si elle était écrite dans -le corps de la présente Licence. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">9.</emphasis> -La Free Software Foundation peut, de temps à autre, publier des versions révisées et/ou -nouvelles de la Licence Publique Générale. De telles nouvelles versions seront similaires -à la présente version dans l'esprit mais pourront différer dans le détail pour prendre -en compte de nouvelles problématiques ou inquiétudes. - -Chaque version possède un numéro de version la distinguant. Si le Programme précise le numéro -de version de la présente Licence qui s'y applique et "une version ultérieure quelconque", vous -avez le choix de suivre les conditions de la présente version ou de toute autre version -ultérieure publiée par la Free Software Foundation. - Si le Programme ne spécifie aucun numéro de version de la présente Licence, vous pouvez -choisir une version quelconque publiée par la Free Software Foundation à quelque moment - que ce soit. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">10.</emphasis> -Si vous souhaitez incorporer des parties du Programme dans d'autres programmes libres -dont les conditions de distribution sont différentes, écrivez à l'auteur pour lui en -demander l'autorisation. Pour les logiciels dont la Free Software Foundation est titulaire -des droits d'auteur, écrivez à la Free Software Foundation ; nous faisons parfois -des exceptions dans ce sens. Notre décision sera guidée par le double objectif de préserver -le statut libre de tous les dérivés de nos logiciels libres et de promouvoir le partage -et la réutilisation des logiciels en général. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">ABSENCE DE GARANTIE</emphasis> - -</para><para> - -<emphasis role="bold">11.</emphasis> -COMME LA LICENCE DU PROGRAMME EST CONCEDEE A TITRE GRATUIT, AUCUNE GARANTIE NE S'APPLIQUE AU -PROGRAMME, DANS LES LIMITES AUTORISEES PAR LA LOI APPLICABLE. SAUF MENTION CONTRAIRE ECRITE, -LES TITULAIRES DU DROIT D'AUTEUR ET/OU LES AUTRES PARTIES FOURNISSENT LE PROGRAMME "EN L'ETAT", -SANS AUCUNE GARANTIE DE QUELQUE NATURE QUE CE SOIT, EXPRESSE OU IMPLICITE, Y COMPRIS, -MAIS SANS Y ETRE LIMITE, LES GARANTIES IMPLICITES DE COMMERCIABILITE ET DE LA CONFORMITE -A UNE UTILISATION PARTICULIERE. VOUS ASSUMEZ LA TOTALITE DES RISQUES LIES A LA QUALITE -ET AUX PERFORMANCES DU PROGRAMME. SI LE PROGRAMME SE REVELAIT DEFECTUEUX, LE COUT DE L'ENTRETIEN, -DES REPARATIONS OU DES CORRECTIONS NECESSAIRES VOUS INCOMBENT INTEGRALEMENT. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">12.</emphasis> -EN AUCUN CAS, SAUF LORSQUE LA LOI APPLICABLE OU UNE CONVENTION ECRITE L'EXIGE, UN TITULAIRE -DE DROIT D'AUTEUR QUEL QU'IL SOIT, OU TOUTE PARTIE QUI POURRAIT MODIFIER ET/OU REDISTRIBUER -LE PROGRAMME COMME PERMIS CI-DESSUS, NE POURRAIT ETRE TENU POUR RESPONSABLE A VOTRE EGARD DES -DOMMAGES, INCLUANT LES DOMMAGES GENERIQUES, SPECIFIQUES, SECONDAIRES OU CONSECUTIFS, RESULTANT -DE L'UTILISATION OU DE L'INCAPACITE D'UTILISER LE PROGRAMME (Y COMPRIS, MAIS SANS Y ETRE LIMITE, -LA PERTE DE DONNEES, OU LE FAIT QUE DES DONNEES SOIENT RENDUES IMPRECISES, OU LES PERTES -EPROUVEES PAR VOUS OU PAR DES TIERS, OU LE FAIT QUE LE PROGRAMME ECHOUE A INTEROPERER AVEC UN -AUTRE PROGRAMME QUEL QU'IL SOIT) MEME SI LE DIT TITULAIRE DU DROIT D'AUTEUR OU LE PARTIE -CONCERNEE A ETE AVERTI DE L'EVENTUALITE DE TELS DOMMAGES. - -</para><para> - -<emphasis role="bold">FIN DES CONDITIONS</emphasis> - -</para> - </simplesect> - - <simplesect><title>Comment appliquer ces conditions à vos nouveaux programmes</title> -<para> - -Si vous développez un nouveau programme, et si vous voulez qu'il soit de la plus grande utilité -possible pour le public, le meilleur moyen d'y parvenir est d'en faire un logiciel libre -que chacun peut redistribuer et modifier au titre des présentes conditions. - -</para><para> - -Pour ce faire, munissez le programme des avis qui suivent. Le plus sûr est de les ajouter au -début de chaque fichier source pour véhiculer le plus efficacement possible l'absence de toute -garantie ; chaque fichier devrait aussi contenir au moins la ligne "copyright" et une indication -de l'endroit où se trouve l'avis complet. - -<informalexample><screen> -<replaceable>une ligne donnant le nom du programme et une courte idée de ce qu'il fait.</replaceable>Copyright (C) <replaceable>[année] [nom de l'auteur.]</replaceable> - -Ce programme est un logiciel libre ; vous pouvez le redistribuer et/ou le modifier au titre -des clauses de la Licence Publique Générale GNU, telle que publiée par la Free Software -Foundation ; soit la version 2 de la Licence, ou (à votre discrétion) une version ultérieure -quelconque. Ce programme est distribué dans l'espoir qu'il sera utile, -mais SANS AUCUNE GARANTIE ; sans même une garantie implicite de COMMERCIABILITE ou -DE CONFORMITE A UNE UTILISATION PARTICULIERE. Voir la Licence Publique Générale GNU pour plus -de détails. Vous devriez avoir reçu un exemplaire de la Licence Publique Générale GNU -avec ce programme ; si ce n'est pas le cas, écrivez à -la Free Software Foundation Inc., 51 Franklin Street, Fifth Floor, Boston, MA 02110-1301, USA. - -</screen></informalexample> - -</para><para> - -Ajoutez aussi des informations sur la manière de vous contacter par courrier électronique -et courrier postal. - -</para><para> - -Si le programme est interactif, faites en sorte qu'il affiche un court avis tel que -celui-ci lorsqu'il démarre en mode interactif : - -<informalexample><screen> -Gnomovision version 69, Copyright (C) <replaceable>année nom de l'auteur</replaceable> -Gnomovision n'est accompagné d'ABSOLUMENT AUCUNE GARANTIE ; pour plus de détails tapez -"show w". Ceci est un logiciel libre et vous êtes invité à le redistribuer en respectant -certaines obligations ; pour plus de détails tapez "show c". -</screen></informalexample> - -</para><para> - -Les instructions hypothétiques "show w" et "show c" sont supposées montrer les parties ad hoc -de la Licence Publique Générale. Bien entendu, les instructions que vous utilisez peuvent -porter d'autres noms que "show w" et "show c" ; elles peuvent même être des clics -de souris ou des éléments d'un menu ou tout ce qui convient à votre programme. - -</para><para> - -Vous devriez aussi obtenir de votre employeur (si vous travaillez en tant que développeur) -ou de votre école, si c'est le cas, qu'il (ou elle) signe une "renonciation aux droits d'auteur" -concernant le programme, si nécessaire. Voici un exemple (changez les noms) : - - -<informalexample><screen> -oyodyne, Inc., déclare par la présente renoncer à toute prétention sur les droits d'auteur -du programme "Gnomovision" (qui fait des avances aux compilateurs) écrit par James Hacker. -<replaceable>signature de Ty Coon</replaceable>, 1er avril 1989 Ty Coon, President du Vice -</screen></informalexample> - -</para><para> - -La présente Licence Publique Générale n'autorise pas l'incorporation de votre programme dans -des programmes propriétaires. Si votre programme est une bibliothèque de sous-programmes, -vous pouvez considérer plus utile d'autoriser l'édition de liens d'applications propriétaires -avec la bibliothèque. Si c'est ce que vous voulez faire, utilisez la - GNU Lesser General Public License au lieu de la présente Licence. - -</para> - </simplesect> -</appendix> diff --git a/fr/appendix/plip.xml b/fr/appendix/plip.xml deleted file mode 100644 index 95027d621..000000000 --- a/fr/appendix/plip.xml +++ /dev/null @@ -1,180 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="plip" arch="x86"> - <title>Installer &debian-gnu; grâce au protocole PLIP (IP sur port parallèle)</title> - -<para> - -Cette section explique comment installer &debian-gnu; sur un ordinateur sans carte -Ethernet mais qui est relié à une passerelle distante par un câble appelé Null-Modem -ou Null-Printer. La passerelle doit être connectée à un réseau qui possède un -miroir &debian; (p. ex. internet). - -</para><para> - -Dans cet exemple, nous allons configurer une connexion PLIP à une passerelle -qui est connectée à internet avec une connexion par téléphone (ppp0). -Nous utiliserons les adresses 192.168.0.1 et 192.168.0.2 pour les interfaces PLIP -du système cible et du système source. Ces adresses ne doivent pas être utilisées par -ailleurs. - -</para><para> - -La connexion PLIP configurée pendant l'installation sera disponible après le -réamorçage du système installé, voyez <xref linkend="boot-new"/>. - -</para><para> - -Avant de commencer, vous devez vérifier la configuration du BIOS pour les ports parallèle -(adresses IO et IRQ) des deux systèmes (cible et source). Les valeurs habituelles sont -<literal>io=0x378</literal>, <literal>irq=7</literal>. - -</para> - - <sect2> - <title>Pré-requis</title> - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -Une machine cible, appelée <emphasis>target</emphasis>, où &debian; sera installé ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -un support d'installation, voyez <xref linkend="installation-media"/> ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -une autre machine connectée à internet, appelée <emphasis>source</emphasis>, -qui fonctionnera comme passerelle ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -un câble Null-Modem DB-25, voyez le -<ulink url="&url-plip-install-howto;">PLIP-Install-HOWTO</ulink> pour des -informations sur ce câble et sur la manière d'en fabriquer un. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - - </sect2> - - <sect2> - <title>Configuration du système source</title> -<para> - -Le script suivant montre comment configurer simplement la machine source en tant que -passerelle vers internet avec ppp0. - -<informalexample><screen> -#!/bin/sh - -# Suppression des modules du noyau pour éviter des conflits -# et reconfiguration. -modprobe -r lp parport_pc -modprobe parport_pc io=<replaceable>0x378</replaceable> irq=<replaceable>7</replaceable> -modprobe plip - -# Configuration de l'interface plip (plip0 ici, voyez dmesg | grep plip) -ifconfig <replaceable>plip0 192.168.0.2</replaceable> pointopoint <replaceable>192.168.0.1</replaceable> netmask 255.255.255.255 up - -# Configuration de la passerelle -modprobe iptable_nat -iptables -t nat -A POSTROUTING -o <replaceable>ppp0</replaceable> -j MASQUERADE -echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_forward -</screen></informalexample> - -</para> - </sect2> - - <sect2> - <title>Installation du système cible</title> -<para> - -Amorcez le support d'installation. L'installation doit se faire en mode expert. Pour cela, -saisissez <userinput>expert</userinput> à l'invite d'amorçage. -Si vous avez besoin de donner des paramètres pour le noyau, vous devez le faire aussi -à ce moment. Par exemple, si vous voulez démarrer l'installateur avec des valeurs -pour les options <quote>io</quote> et <quote>irq</quote> du module parport_pc, -saisissez : - -<informalexample><screen> -expert parport_pc.io=<replaceable>0x378</replaceable> parport_pc.irq=<replaceable>7</replaceable> -</screen></informalexample> - -Voici maintenant les réponses que vous devrez donner à différents moments de l'installation. - -</para> - -<orderedlist> -<listitem><para> - -<guimenuitem>Chargement des composants de l'installateur à partir d'un cédérom</guimenuitem> - -</para><para> - -Sélectionnez l'option <userinput>plip-modules</userinput> dans la liste. Le pilote PLIP sera -ainsi disponible pour le système d'installation. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<guimenuitem>Détection du matériel réseau</guimenuitem> - -</para> - - <itemizedlist> - <listitem><para> - -Si la machine cible possède une carte réseau, une liste des modules pour la carte détectée sera -affichée. Si vous voulez que l'installateur utilise plip, vous devez désélectionner tous les -modules affichés. Il est évident que si la machine ne possède pas de carte réseau, cette liste -ne sera pas affichée. - - </para></listitem> - <listitem><para> - -Puisqu'aucune carte réseau n'a été détectée ou sélectionnée, l'installateur vous demande de -choisir un pilote réseau dans une liste. Choisissez le module <userinput>plip</userinput>. - - </para></listitem> - </itemizedlist> - -</listitem> -<listitem><para> - -<guimenuitem>Configuration du réseau</guimenuitem> - - <itemizedlist> - <listitem><para> - -Configuration automatique du réseau avec DHCP : No - - </para></listitem> - <listitem><para> - -Adresse IP : <userinput><replaceable>192.168.0.1</replaceable></userinput> - - </para></listitem> - <listitem><para> - -Adresse Point-to-Point : -<userinput><replaceable>192.168.0.2</replaceable></userinput> - - </para></listitem> - <listitem><para> - -Adresses des serveurs de noms : vous pouvez mettre les adresses utilisées par le système -source, voyez <filename>/etc/resolv.conf</filename>. - - </para></listitem> - </itemizedlist> - -</para></listitem> -</orderedlist> - - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/appendix/pppoe.xml b/fr/appendix/pppoe.xml deleted file mode 100644 index 41804c13c..000000000 --- a/fr/appendix/pppoe.xml +++ /dev/null @@ -1,102 +0,0 @@ -<!-- original version: 64829 --> - - <sect1 id="pppoe" arch="not-s390"> - <title>Installer &debian-gnu; avec PPP sur Ethernet (PPPoE)</title> - -<para> - -PPP sur Ethernet (PPPoE) est un protocole très utilisé dans certains pays pour -établir des connexions de type ADSL ou câble à un fournisseur d'accès à internet. -L'installateur ne permet pas une mise en place automatique de ce type de connexion mais -il est très facile de le faire soi-même. - -</para><para> - -Une connexion PPPoE établie pendant l'installation sera aussi disponible -pour le système installé après le réarmorçage. Consultez <xref linkend="boot-new"/>. - -</para><para> - -Pour pouvoir utiliser une connexion PPPoE pendant l'installation, -vous devez faire une installation avec l'une des images CD-ROM/DVD disponibles. -Il n'est pas possible d'utiliser une autre méthode d'installation, par exemple -netboot<phrase condition="supports-floppy-boot"> ou floppy</phrase>. - -</para><para> - -Une installation avec PPPoE ressemble beaucoup à un autre type d'installation. -La suite du texte explique certaines différences. - -</para> - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -Il faut amorcer l'installateur avec le paramètre -<userinput>modules=ppp-udeb</userinput><footnote arch="x86"> -<para> -Consultez <xref linkend="boot-screen"/> pour savoir comment passer -un paramètre d'amorçage. -</para> - -</footnote>. - -Ainsi le composant chargé de la mise en œuvre du protocole PPPoE -(<classname>ppp-udeb</classname>) sera exécuté automatiquement. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Ensuite suivez les étapes habituelles de l'installateur (sélection de la langue, du pays -et du clavier ; chargement de composants supplémentaires<footnote> - -<para> - -Le composant <classname>ppp-udeb</classname> est chargé à ce moment-là. -Si vous faites une installation en mode <quote>expert</quote>, priorité <quote>medium</quote> -ou <quote>low</quote>, vous pouvez choisir vous-même le composant -au lieu de saisir un paramètre <quote>modules</quote> à l'amorçage. - -</para> - -</footnote>). - -</para></listitem> -<listitem><para> - -L'étape suivante est la détection du matériel réseau et des cartes Ethernet présentes. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Puis commence la mise en œuvre du protocole PPPoE. L'installateur examine -toutes les interfaces Ethernet détectées pour trouver un concentrateur PPPoE -(type de serveur qui gère les connexions PPPoE). - -</para><para> - -Il est possible que le concentrateur ne soit pas trouvé du premier coup. -Cela arrive parfois avec des réseaux lents ou surchargés ou avec des serveurs défectueux. -La plupart du temps, le deuxième essai réussira. Pour réessayer, -sélectionnez <guimenuitem>Configurer et lancer une connexion PPPoE</guimenuitem> dans -le menu principal de l'installateur. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Une fois le concentrateur trouvé, l'utilisateur doit indiquer son identifiant et son mot de -passe PPPoE. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -L'installateur tente maintenant d'établir la connexion PPPoE. -Si tout est correct, la connexion est établie et l'installateur peut récupérer -des paquets sur internet. Si l'information donnée n'est pas correcte, l'installateur -s'arrête. On peut retenter la configuration en sélectionnant -l'entrée de menu <guimenuitem>Configurer et lancer une connexion PPPoE</guimenuitem>. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - - </sect1> diff --git a/fr/appendix/preseed.xml b/fr/appendix/preseed.xml deleted file mode 100644 index 92aa549e0..000000000 --- a/fr/appendix/preseed.xml +++ /dev/null @@ -1,1661 +0,0 @@ -<!-- original version: 68620 --> - -<!-- -Be carefull with the format of this file as it is parsed to generate -the example preseed file. -In that file all text between <informalexample> tags that have the -attribute 'role="example"' set is included, except if a 'condition' -attribute is in force that does not match the specified release or if an -'arch' attribute is in force that does not match the specified architecture. - -Currently only a single variant of the example file is generated (for i386). ---> - -<appendix id="appendix-preseed"> -<title>Automatisation de l'installation et préconfiguration</title> - -<para> - -Dans cette annexe du manuel, nous abordons les problèmes que pose la préconfiguration -des réponses aux questions de l'installateur en vue d'automatiser l'installation. - -</para><para> - -Les éléments de configuration utilisés dans cette annexe sont aussi disponibles en tant que -fichier dans &urlset-example-preseed;. - -</para> - - <sect1 id="preseed-intro"> - <title>Introduction</title> -<para> - -La préconfiguration est une façon de donner des réponses aux questions posées par le -processus d'installation sans avoir à les saisir pendant le processus lui-même. Cela rend -possible une automatisation complète de ce processus et cela offre même des fonctionnalités qui -ne sont pas disponibles autrement. - -</para> -<para> - -La préconfiguration n'est pas obligatoire. Avec un fichier de préconfiguration vide, -l'installateur se comporte comme lors d'une installation normale. -Chaque question correctement préconfigurée modifie l'installation. -</para> - - <sect2 id="preseed-methods"> - <title>Les méthodes</title> -<para> - -La préconfiguration peut être faite de trois manières différentes : -<firstterm>initrd</firstterm>, <firstterm>file</firstterm> et -<firstterm>network</firstterm>. La méthode <emphasis>initrd</emphasis> est compatible -avec tous les types d'installation et offre toutes les possibilités mais elle -demande une préparation soignée. Les méthodes <emphasis>file</emphasis> et -<emphasis>network</emphasis> sont compatibles avec plusieurs types d'installation. - -</para><para> - -Le tableau suivant montre les relations entre les méthodes d'installation et les -méthodes de préconfiguration. - -<informaltable> -<tgroup cols="4"> -<thead> -<row> - <entry>Méthode d'installation</entry><entry>initrd</entry> - <entry>file</entry><entry>network</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>CD/DVD</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>oui <footnote id="apx-ps-net"> -<para> -Seulement si vous avez accès au réseau et si vous définissez <literal>preseed/url</literal>. -</para></footnote></entry> - -</row><row> - <entry>netboot</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>non</entry> - <entry>oui</entry> -</row><row> - <entry>hd-media <phrase condition="bootable-usb">(clé usb)</phrase></entry> - <entry>oui</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>oui <footnoteref linkend="apx-ps-net"></footnoteref></entry> -</row><row condition="supports-floppy-boot"> - <entry>disquettes (pilotes cd)</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>oui <footnoteref linkend="apx-ps-net"></footnoteref></entry> -</row><row condition="supports-floppy-boot"> - <entry>disquettes (pilotes réseau)</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>non</entry> - <entry>oui</entry> -</row><row arch="s390"> - <entry>bandes</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>non</entry> - <entry>oui</entry> -</row> -</tbody> - -</tgroup></informaltable> - -</para><para> - -La différence fondamentale entre les diverses méthodes de préconfiguration -est le moment où le fichier de préconfiguration est chargé et exécuté. -Avec la méthode <emphasis>initrd</emphasis>, ce fichier est chargé au tout début -de l'installation, avant même qu'une seule question soit posée. Avec la méthode -<emphasis>file</emphasis>, il faut que le cédérom (ou une image) ait été chargé. -Avec la méthode <emphasis>network</emphasis>, -le réseau doit avoir été préalablement configuré. - -</para><para> - -Il est donc clair que toutes les questions posées avant que le fichier de -préconfiguration n'ait été chargé, ainsi que les questions avec une priorité de type medium -ou basse, ne peuvent pas être préconfigurées. -La section <xref linkend="preseed-bootparms"></xref> montre comment éviter que ces -questions soient posées. - -</para> -<para> -Pour éviter que des questions ne soient posées avant la mise en oeuvre de -la préconfiguration, vous pouvez lancer l'installateur en mode <quote>auto</quote>. -Ce mode retarde certaines questions, comme les questions sur la langue, le pays et le clavier, -pour ne les poser qu'après l'installation du réseau : elles peuvent donc être -préconfigurées. Ce mode définit la priorité à <emphasis>critical</emphasis>, ce qui -écarte les questions sans importance. Voyez <xref linkend="preseed-auto"/> pour des -précisions. -</para> - </sect2> - - <sect2 id="preseed-limitations"> - <title>Limitations</title> -<para> - -La plupart des dialogues de l'installateur &debian; peuvent être -préconfigurés de cette manière. Il y a cependant des exceptions -notables. On doit partitionner tout un disque ou partitionner -une partie de l'espace disponible ; on ne peut pas utiliser des -partitions existantes. - -</para> - </sect2> - -<!-- Joeyh feels this is too technical, so leave it out for now - - <sect2 id="preseed-debconf"> - <title>Debconf</title> -<para> - -La préconfiguration utilise les possibilités offertes -dans le cadre de <classname>debconf</classname>. Ce programme est le programme -choisi par &debian; pour gérer les interactions avec l'utilisateur pendant -la configuration des paquets. C'est aussi le coeur de l'installateur. -Les dialogues reposent sur des <quote>questions</quote>. Ces questions -peuvent être de différents types. Les questions rééllement posées sont -<quote>générées</quote> au moment de l'exécution à partir de leur type. -Plusieurs questions peuvent partager le même type. - -</para><para> - -Les types suivants sont utilisés pour la préconfiguration : - -</para> - -<itemizedlist spacing="compact"> -<listitem><para> - string: l'utilisateur saisit une valeur -</para></listitem> -<listitem><para> - password: semblable à string mais la valeur saisie n'est pas affichée -</para></listitem> -<listitem><para> - boolean: pour des questions de type oui/non ou vrai/faux -</para></listitem> -<listitem><para> - select: l'utilisateur choisit une option dans une liste -</para></listitem> -<listitem><para> - multiselect: l'utilisateur choisit une option ou aucune ou plusieurs, dans une liste -</para></listitem> -<listitem><para> - note: affiche un message -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<para> - -Pour l'installateur, les questions sont placées dans un fichier lisible, -<filename>/var/cache/debconf/templates.dat</filename, qui contient tous les textes et leurs -traductions. Il peut aussir contenir des valeurs par défaut pour les -questions. Le texte peut contenir des variables qui seront remplacées au moment de -l'exécution. - -</para><para> - -Les valeurs des variables et les réponses aux questions sont dans un autre -fichier lisible, <filename>/var/cache/debconf/questions.dat</filename>. Une question -renvoie toujours au type utilisé pour la poser. Pour d'évidentes raisons de -sécurité, les réponses aux questions de type <quote>password</quote> sont -placées dans un fichier distinct non lisible du même répertoire. - -</para> - </sect2> ---> - </sect1> - - <sect1 id="preseed-using"> - <title>Utiliser la préconfiguration</title> -<para> - -Vous devez d'abord créer le fichier de préconfiguration et le placer là où vous -le voulez. Cette création est abordée plus loin dans l'annexe. Mettre ce fichier au bon endroit -est simple si vous voulez le lire sur le réseau, sur une disquette ou sur une clé usb. -Si vous voulez inclure ce fichier sur un cédérom vous devrez recréer l'image iso. -Cette annexe n'expliquera pas comment le mettre dans l'initrd. Veuillez -consulter la documentation des développeurs de l'installateur. - -</para> -<para> -Un exemple de fichier de préconfiguration basé sur les éléments de cette annexe -est disponible, &urlset-example-preseed;. -Vous pouvez vous servir de ce fichier pour créer le vôtre. -</para> - - <sect2 id="preseed-loading"> - <title>Charger le fichier de préconfiguration</title> -<para> - -Quand on utilise la méthode <emphasis>initrd</emphasis>, il faut être sûr qu'un fichier appelé -<filename>preseed.cfg</filename> se trouve dans le répertoire racine -de l'initrd. L'installateur recherche ce fichier et le charge s'il est présent. - -</para><para> - -Avec les autres méthodes de préconfiguration, vous devez dire à l'installateur -quel fichier charger au moment de l'amorçage de l'installateur. -On peut passer un paramètre au noyau soit au moment de l'amorçage soit en modifiant -le fichier de configuration du programme d'amorçage <phrase arch="linux-any">(par exemple -<filename>syslinux.cfg</filename>) et en ajoutant le paramètre à la fin des lignes -<quote>append</quote>.</phrase><phrase arch="kfreebsd-any"> (par exemple -<filename>grub.cfg</filename>) et en ajoutant le paramètre sur une nouvelle ligne -<literal>set</literal> pour le noyau.</phrase><phrase arch="hurd-any">(par exemple -<filename>grub.cfg</filename>) et en ajoutant le paramètre à la fin de la ligne -<filename>gnumach.gz</filename>.</phrase> -</para><para> - -Si vous avez indiqué le fichier de préconfiguration dans le fichier de configuration -du programme d'amorçage, il est possible de modifier la configuration pour ne pas avoir à -appuyer sur la touche <quote>Entrée</quote> pour lancer l'installateur. -<phrase arch="linux-any">Avec syslinux, il suffit de mettre le délai d'attente à 1 dans le fichier -<filename>syslinux.cfg</filename>.</phrase><phrase arch="kfrebsd-any;hurd-any"> -Pour grub, il suffit de mettre le délai d'attente à 0 -dans le fichier <filename>grub.cfg</filename>.</phrase> - -</para><para> - -Pour être sûr que l'installateur charge le bon fichier de préconfiguration -vous pouvez indiquer une somme de contrôle pour ce fichier. Cette somme doit -être pour l'instant de type md5sum. Quand elle est spécifiée, elle doit correspondre -au fichier sinon l'installateur refusera de charger le fichier. - -</para> - -<informalexample><screen> -Paramètres à indiquer : -- quand l'amorçage se fait sur le réseau : - preseed/url=http://host/path/to/preseed.cfg - preseed/url/checksum=5da499872becccfeda2c4872f9171c3d - -- quand l'amorçage se fait sur un cédérom modifié : - preseed/file=/cdrom/preseed.cfg - preseed/file/checksum=5da499872becccfeda2c4872f9171c3d - -- quand l'amorçage se fait sur une clé USB (le fichier - est dans le répertoire racine de la clé) : - preseed/file=/hd-media/preseed.cfg - preseed/file/checksum=5da499872becccfeda2c4872f9171c3d -</screen></informalexample> - -<para> - -Il est possible de raccourcir <filename>preseed/url</filename> en <filename>url</filename>, -<filename>preseed/file</filename> en <filename>file</filename> et -<filename>preseed/file/checksum</filename> en <filename>preseed-md5</filename> si vous les -passez en paramètres d'amorçage. - -</para> - -</sect2> - - <sect2 id="preseed-bootparms"> - <title>Utiliser les paramètres d'amorçage pour préconfigurer des questions</title> -<para> - -Quand on ne peut pas utiliser un fichier de préconfiguration pour préconfigurer -certaines étapes, on peut quand même automatiser l'installation car il est possible -de passer des paramètres au noyau sur la ligne de commande. -</para> -<para> -Même si l'on ne veut pas se servir de la préconfiguration, on peut utiliser -les paramètres d'amorçage pour fournir une réponse à une question particulière. -Des exemples sont donnés ailleurs dans ce manuel. -</para> -<para> -Pour toutes les variables listées dans les exemples, -il suffit d'indiquer une paire de type -<userinput><replaceable>chemin/vers/variable</replaceable>=<replaceable>valeur</replaceable></userinput>. -Quand une valeur est destinée à la configuration de paquets du système cible, il est nécessaire -d'ajouter le <firstterm>propriétaire</firstterm> <footnote> -<para> -Le propriétaire d'une variable debconf (ou d'une question) est le paquet qui contient -la question correspondante. Les variables utilisées par l'installateur sont la -propriété de <quote>d-i</quote>. Variables et questions peuvent avoir plusieurs -propriétaires, ce qui aide à déterminer si elles peuvent être supprimées de la -base de données lorsqu'un paquet est <emphasis>purgé</emphasis>. -</para></footnote> -de la variable : -<userinput><replaceable>propriétaire</replaceable>:<replaceable>chemin/vers/variable</replaceable>=<replaceable>valeur</replaceable></userinput>. -Si vous n'indiquez pas de propriétaire, la valeur de la variable ne sera pas copiée -dans la base de données debconf du système cible et ne sera pas utilisée pendant la -configuration des paquets. -</para> -<para> -Préconfigurer une question de cette manière signifie que la question ne -sera pas posée. Si l'on veut à la fois donner une valeur par défaut et poser la -question, il faut utiliser l'opérateur <quote>?=</quote> au lieu de <quote>=</quote>. -Voyez <xref linkend="preseed-seenflag"/>. -</para> -<para> -Certaines des variables qui sont fréquemment définies à l'invite du démarrage -possèdent des alias plus courts. Quand un alias est disponible, les exemples de -cette annexe l'utilise au lieu de la variable complète. Ainsi la variable -<literal>preseed/url</literal> possède l'alias <literal>url</literal> et elle permet -de raccourcir les URL à utiliser. Un autre exemple est l'alias <literal>tasks</literal>, -qui représente <literal>tasksel:tasksel/first</literal>. -</para> -<para> -Dans les paramètres d'amorçage, <quote>--</quote> possède une signification -spéciale. Tous les paramètres du noyau placés après le dernier ensemble de deux tirets -seront copiés dans la configuration du programme d'amorçage (si l'installateur le permet). -Il se peut que ces deux tirets, <quote>--</quote>, soient déjà présents -dans les paramètres d'amorçage par défaut. -L'installateur filtrera automatiquement les options qu'il reconnaît, comme par exemple -les options de préconfiguration. - -</para> -<note arch="linux-any"><para> - -Il faut savoir que le noyau Linux (version 2.6.9 et au delà) accepte un maximum de 32 options -ligne de commandes et 32 variables d'environnement. Les options ajoutées -par l'installateur sont comprises dans ces chiffres. S'il y a dépassement, -le noyau <emphasis>panique</emphasis>. Les précédents noyaux acceptaient moins d'options. - -</para></note> -<para> - -On peut sans risque supprimer certaines options par défaut, comme -<literal>vga=normal</literal>. Cela permet de rajouter autant d'options -pour la préconfiguration. - -</para> -<note><para> - -Il n'est pas toujours possible d'indiquer des valeurs contenant des espaces -dans les paramètres d'amorçage, même encadrés par des guillemets. - -</para></note> - </sect2> - - <sect2 id="preseed-auto"> - <title>Le mode auto</title> - -<para> - -En combinant certaines fonctionnalités de l'installateur &debian;, il est -possible d'écrire des lignes de commandes très simples qui automatiseront -toutes vos installations, aussi complexes soient-elles. - -</para> - -<para> - -Il faut pour cela utiliser le choix d'amorçage <literal>Automated install</literal>, -ou <literal>auto</literal> dans certaines architectures et méthodes d'amorçage. -Dans cette section, <literal>auto</literal> n'est donc pas un paramètre, mais un type d'amorçage -qui ajoute des paramètres à l'invite d'amorçage. <phrase arch="x86">Consultez <xref linkend="boot-screen"/> -pour des informations sur la manière d'ajouter des paramètres d'amorçage.</phrase> - -</para> - -<para> -Voici quelques exemples -à utiliser à l'invite d'amorçage : -</para> - -<informalexample><screen> -auto url=autoserver -</screen></informalexample> - -<para> -On suppose qu'un serveur DHCP permettra que <literal>autoserver</literal> puisse -être résolu par un serveur DNS, en ajoutant peut-être un domaine local s'il est donné par le -serveur DHCP. -Si le site, dont le domaine est <literal>example.com</literal>, possède un serveur -DHCP correctement configuré, alors le fichier de préconfiguration recherché sera -trouvé à l'URL <literal>http://autoserver.example.com/d-i/&releasename;/./preseed.cfg</literal>. -</para> -<para> -La partie adresse (<literal>d-i/&releasename;/./preseed.cfg</literal>) provient de -<literal>auto-install/defaultroot</literal> qui contient -le répertoire <literal>&releasename;</literal> par défaut. Il sera ainsi possible -dans de prochaines versions d'indiquer un nom de code particulier, ce qui permettra des -migrations contrôlées. L'élément <literal>/./</literal> indique une racine relative -à laquelle rattacher les chemins (à utiliser avec preseed/include et preseed/run). -On peut ainsi indiquer des fichiers soit avec une URL complète, chemin commençant par -/, soit avec un chemin relatif à l'endroit où a été trouvé le dernier fichier de -préconfiguration. Cela permettra d'écrire des scripts portables où une -hiérarchie complète de scripts pourra être déplacée à un nouvel endroit sans être -détruite. Par exemple, on pourra déplacer des fichiers d'un serveur web sur une clé USB. -Si le fichier de préconfiguration définit <literal>preseed/run</literal> comme -<literal>/scripts/late_command.sh</literal>, le fichier sera cherché à -<literal>http://autoserver.example.com/d-i/&releasename;/./scripts/late_command.sh</literal>. -</para> -<para> -S'il n'existe pas de serveur DHCP ou DNS, ou si vous ne voulez pas utiliser -le chemin par défaut du fichier <filename>preseed.cfg</filename>, -vous pouvez toujours utiliser une url explicite. Et si vous n'utilisez pas l'élément -<literal>/./</literal>, le fichier sera rattaché au troisième <literal>/</literal> de l'URL. -Voici un exemple qui demande une gestion minimale du réseau : - -<informalexample><screen> -auto url=<replaceable>http://192.168.1.2/path/to/mypreseed.file</replaceable> -</screen></informalexample> - -Cela fonctionne ainsi : - -<itemizedlist spacing="compact"> -<listitem><para> -Si l'URL n'a pas de protocole, HTTP est supposé, -</para></listitem> -<listitem><para> -si le domaine n'a pas de point, le domaine donné par DHCP lui sera ajouté -et -</para></listitem> -<listitem><para> -s'il n'y a pas de <literal>/</literal> après le domaine, le chemin par défaut -est ajouté. -</para></listitem> -</itemizedlist> -</para> - -<para> -En outre, vous pouvez indiquer des paramètres qui n'affectent pas directement -l'installateur &debian; mais qui peuvent être passés à des scripts spécifiés dans -les éléments <literal>preseed/run</literal> du fichier de préconfiguration -chargé. Pour l'instant, le seul exemple est <literal>auto-install/classes</literal>, -avec l'alias <literal>classes</literal>. Exemple : - -<informalexample><screen> -auto url=<replaceable>example.com</replaceable> classes=<replaceable>class_A;class_B</replaceable> -</screen></informalexample> - -Une classe peut par exemple dénoter le type de système à installer ou -la <emphasis>locale</emphasis> à utiliser. -</para> - -<para> -Il est bien sûr possible d'étendre ce concept. Dans ce cas, il est raisonnable -d'utiliser l'espace de nom de auto-install. On peut avoir par exemple -un <literal>auto-install/style</literal> qui sera utilisé dans les scripts. -Si vous en éprouvez le besoin, veuillez envoyer un courriel à la liste -<email>debian-boot@lists.debian.org</email> pour que nous puissions éviter des conflits -d'espace de noms et, qui sait ? que nous ajoutions un alias pour vos paramètres. -</para> - -<para> - -Le type d'amorçage <literal>auto</literal> n'est pas encore défini pour toutes les architectures. -Mais il suffit d'ajouter les deux paramètres -<literal>auto=true priority=critical</literal> sur la ligne de commande du -noyau. Le paramètre du noyau <literal>auto</literal> est un alias pour -<literal>auto-install/enable</literal>. Quand il vaut <literal>true</literal>, son effet est de retarder -les questions sur la locale et le clavier pour qu'elles puissent être préconfigurées. -Le paramètre <literal>priority</literal> est un alias pour <literal>debconf/priority</literal>. -Quand sa valeur est <literal>critical</literal>, les questions avec une priorité plus basse -sont évitées. -</para> - -<para> -Voici d'autres options intéressantes pour automatiser une installation avec DHCP : -<literal>interface=auto netcfg/dhcp_timeout=60</literal>. Elles permettent de -choisir la carte réseau et de patienter pour l'obtention d'une réponse du serveur DHCP. -</para> - -<tip><para> -Il existe un exemple d'utilisation très poussée de la préconfiguration, avec des -scripts et des classes, sur le <ulink url="http://hands.com/d-i/">site web de son -développeur</ulink>. Des exemples sont donnés d'effets très intéressants obtenus par -un usage créatif de la préconfiguration. -</para></tip> - -</sect2> - - - <sect2 id="preseed-aliases"> - <title>Alias utiles avec la préconfiguration</title> -<para> - -Voici des alias utiles avec la préconfiguration (mode auto). -Il faut remarquer que ce sont simplement des alias pour les noms des questions. -Vous devez toujours leur donner des valeurs, comme par exemple, -<literal>auto=true</literal> ou <literal>interface=eth0</literal>. - -</para> - -<!-- Setting column width does not seem to work; use non-breaking spaces - to separate columns a bit --> - -<informaltable frame="none"> -<tgroup cols="2"><tbody> -<row><entry>priority</entry><entry>debconf/priority</entry></row> -<row><entry>fb</entry><entry>debian-installer/framebuffer</entry></row> -<row><entry>language</entry><entry>debian-installer/language</entry></row> -<row><entry>country</entry><entry>debian-installer/country</entry></row> -<row><entry>locale</entry><entry>debian-installer/locale</entry></row> -<row><entry>theme</entry><entry>debian-installer/theme</entry></row> -<row><entry>auto</entry><entry>auto-install/enable</entry></row> -<row><entry>classes</entry><entry>auto-install/classes</entry></row> -<row><entry>file</entry><entry>preseed/file</entry></row> -<row><entry>url</entry><entry>preseed/url</entry></row> -<row><entry>domain</entry><entry>netcfg/get_domain</entry></row> -<row><entry>hostname </entry><entry>netcfg/get_hostname</entry></row> -<row><entry>interface</entry><entry>netcfg/choose_interface</entry></row> -<row><entry>protocol</entry><entry>mirror/protocol</entry></row> -<row><entry>suite</entry><entry>mirror/suite</entry></row> -<row><entry>modules</entry><entry>anna/choose_modules</entry></row> -<row><entry>recommends</entry><entry>base-installer/install-recommends</entry></row> -<row><entry>tasks</entry><entry>tasksel:tasksel/first</entry></row> -<row><entry>desktop</entry><entry>tasksel:tasksel/desktop</entry></row> -<row><entry>dmraid</entry><entry>disk-detect/dmraid/enable</entry></row> -<row><entry>keymap</entry><entry>keyboard-configuration/xkb-keymap</entry></row> -<row><entry>preseed-md5</entry><entry>preseed/file/checksum</entry></row> -</tbody></tgroup> -</informaltable> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-dhcp"> - <title>Utiliser un serveur DHCP pour indiquer les fichiers de préconfiguration</title> -<para> - -Il est aussi possible d'utiliser DHCP pour spécifier un fichier à télécharger sur le réseau. -DHCP permet d'indiquer un nom de fichier. Normalement ce fichier sert à un amorçage sur -le réseau. S'il s'agit d'une URL, le système d'installation qui permet -une préconfiguration de type network téléchargera le fichier et l'utilisera comme -fichier de préconfiguration. Voici un exemple montrant comment configurer le -fichier dhcpd.conf appartenant à la version 3 du serveur ISC DHCP -(paquet debian isc-dhcp-server). -</para> - -<informalexample><screen> -if substring (option vendor-class-identifier, 0, 3) = "d-i" { - filename "http://host/preseed.cfg"; -} -</screen></informalexample> - -<para> -Remarquez que l'exemple précédent n'autorise le fichier qu'aux clients DHCP -qui s'identifient comme « d-i ». Les autres clients DHCP ne sont pas affectés. -Vous pouvez aussi mettre le texte dans un paragraphe à destination d'un seul hôte -pour ne pas préconfigurer toutes les installations faites dans votre réseau. -</para> -<para> -Une bonne façon d'utiliser cette technique est de ne préconfigurer que les valeurs -liées à votre réseau, par exemple le nom de votre miroir &debian;. De cette manière -les installations utilisent automatiquement le bon miroir et la suite de l'installation -peut se faire interactivement. Il faut être très prudent si l'on veut automatiser -toute l'installation avec une préconfiguration de type DHCP. -</para> -</sect2> - </sect1> - - <sect1 id="preseed-creating"> - <title>Créer un fichier de préconfiguration</title> -<para> - -Le format de ce fichier est celui de la commande -<command>debconf-set-selections</command>. Chaque ligne est de cette forme : - -<informalexample><screen> -<propriétaire> <nom de la question> <type de la question> <valeur> -</screen></informalexample> - -</para><para> - -Voici quelques règles pour écrire un fichier de préconfiguration. - -</para> - -<itemizedlist> -<listitem><para> - Un seul espace (ou tabulation) autorisé entre le type et la valeur. - Tout autre espace sera considéré comme appartenant à la valeur. -</para></listitem> -<listitem><para> - Une ligne peut être divisée en ajoutant une barre oblique inverse - (<quote><literal>\</literal></quote>) pour signifier la continuation de la ligne. - Il vaut mieux couper la ligne après le nom de la question. - Ce n'est pas très heureux de la couper entre le type et la valeur. Les lignes coupées - seront réunies en une seule ligne et tous les espaces superflus condensés en un seul. -</para></listitem> -<listitem><para> - Le propriétaire des variables debconf utilisées seulement dans l'installateur - doit être <quote>d-i</quote>. Pour les variables utilisées dans le système installé, - le propriétaire doit correspondre au nom du paquet qui contient ces variables. - Seules les variables dont le propriétaire n'est pas <quote>d-i</quote> sont - conservées dans la base de données debconf du système installé. -</para></listitem> -<listitem><para> - La plupart des valeurs doivent être en anglais et non pas en français. Mais il existe - des valeurs, dans <classname>partman</classname> par exemple, qui doivent être données - en français. -</para></listitem> -<listitem><para> - Certaines valeurs reçoivent du code comme valeur au lieu du texte anglais qui - est affiché pendant l'installation. -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<para> - -Pour créer le fichier de préconfiguration, la méthode la plus facile est -de travailler à partir du fichier d'exemple dans <xref linkend="preseed-contents"/>. -</para> -<para> - -Une autre méthode est de faire une installation puis, après le redémarrage, -d'utiliser la commande <command>debconf-get-selections</command> du paquet -<classname>debconf-utils</classname> pour copier la base de données debconf et -la base de données cdebconf de l'installateur dans un fichier : - -<informalexample><screen> -$ debconf-get-selections --installer > <replaceable>fichier</replaceable> -$ debconf-get-selections >> <replaceable>fichier</replaceable> -</screen></informalexample> - -</para> -<para> - -Cependant ce fichier contiendra des éléments qui ne peuvent pas être -préconfigurés et il vaut mieux utiliser le fichier d'exemple. -</para> - -<note><para> - -Cette méthode est fondée sur le fait qu'à la fin de l'installation la base -de données cdebconf de l'installateur est sauvegardée dans le fichier -<filename>/var/log/installer/cdebconf</filename>. Mais cette base peut contenir des -données sensibles et par défaut elle n'est lisible que par le superutilisateur. -</para> -<para> -Le répertoire <filename>/var/log/installer</filename> et tous ses fichiers sera détruit -si vous <quote>purgez</quote> le paquet <classname>installation-report</classname>. -</para> -</note> -<para> - -Pour examiner les valeurs données aux variables, on peut utiliser <command>nano</command> -et consulter les fichiers dans <filename>/var/lib/cdebconf</filename> pendant l'installation. -Regardez <filename>templates.dat</filename> pour les variables et -<filename>questions.dat</filename> pour les valeurs actuelles et les valeurs affectées -aux variables. -</para> - -<para> -Pour vérifier que votre fichier de préconfiguration est correct avant de faire une -installation, vous pouvez utiliser la commande -<command>debconf-set-selections -c <replaceable>preseed.cfg</replaceable></command>. -</para> - - </sect1> - - <sect1 id="preseed-contents"> - <title>Contenu du fichier de préconfiguration (pour &releasename;)</title> -<para> - -Les éléments de configuration utilisés dans cette annexe sont aussi disponibles en tant que -fichier dans &urlset-example-preseed;. - -</para><para> - -Les exemples donnés ici sont valables pour l'architecture Intel x86. -Si vous utilisez une autre architecture, certains exemples, comme la préconfiguration -du clavier ou du programme d'amorçage, ne seront pas corrects et vous devrez les -modifier avec les valeurs adéquates. - -</para> -<para> - -Les différents composants de l'installateur Debian sont décrits -dans <xref linkend="module-details"/>. -</para> - - <sect2 id="preseed-l10n"> - <title>Localisation</title> -<para> - -Choisir la langue et le pays ne fonctionne qu'avec une préconfiguration de type initrd. -Pour les autres formes de préconfiguration, le fichier de préconfiguration n'est chargé -qu'après que les questions ont été posées. - -</para><para> - -Une locale peut être choisie pour indiquer à la fois la langue et le pays. -Toute combinaison d'une langue reconnue par l'installateur et d'un pays valable -est acceptée. Si la combinaison ne forme pas une locale valable, l'installateur -choisira automatiquement une locale correspondant à la langue sélectionnée. -Pour indiquer une locale sous forme de paramètre d'amorçage, écrivez : -<userinput>locale=<replaceable>fr_FR</replaceable></userinput>. -</para> -<para> -Cette méthode, très simple à utiliser, ne permet pas de préconfigurer -toutes les combinaisons possibles de pays de langue et de locale -<footnote> -<para> -Si la valeur de <literal>locale</literal> est préconfigurée avec -<userinput>en_NL</userinput>, la locale du système installé sera -par défaut <literal>en_US.UTF-8</literal>. Si la locale voulue est -<literal>en_GB.UTF-8</literal>, il faudra préconfigurer les valeurs -individuellement. -</para> -</footnote>. -Ces valeurs peuvent être préconfigurées individuellement. La langue et -le pays peuvent être spécifiés en tant que paramètres d'amorçage. - -<informalexample role="example"><screen> -# Préconfigurer la locale seule définit la langue, le pays et la locale. -d-i debian-installer/locale string en_US - -# Les valeurs peuvent être préconfigurées individuellement. -#d-i debian-installer/language string en -#d-i debian-installer/country string NL -#d-i debian-installer/locale string en_GB.UTF-8 -# On peut aussi demander la création d'autres locales. -#d-i localechooser/supported-locales multiselect en_US.UTF-8, fr_FR.UTF-8 -</screen></informalexample> - -</para><para> - -La configuration du clavier consiste à sélectionner une carte clavier -et à choisir, pour les claviers non latins, une touche qui permet de -basculer d'une carte non latine à une carte US. -Seules quelques cartes de base sont disponibles pendant l'installation. -Une fois le système installé, vous pourrez choisir des cartes plus évoluées avec la commande -<command>dpkg-reconfigure keyboard-configuration</command>. - -<informalexample role="example"><screen> -# Choix du clavier : -d-i keyboard-configuration/xkb-keymap select fr(latin9) -# d-i keyboard-configuration/toggle select No toggling -</screen></informalexample> - -</para><para> - -Pour éviter la configuration du clavier, préconfigurez -<classname>keymap</classname> avec -<userinput>skip-config</userinput>. -La carte clavier du noyau restera active. - -</para> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-network"> - <title>Configuration du réseau</title> -<para> - -Bien sûr, si vous récupérez le fichier de préconfiguration sur le réseau, -cela ne marchera pas ! Mais c'est parfait si vous amorcez à partir d'un -cédérom ou d'une clé USB. Vous pouvez aussi ajouter des paramètres réseau -aux paramètres du noyau si vous récupérez le fichier de préconfiguration -sur le réseau. - -</para> -<para> - -Si, quand vous amorcez par le réseau, vous avez besoin d'une interface particulière -avant de charger le fichier de préconfiguration, utilisez un paramètre comme celui-ci : -<userinput>interface=<replaceable>eth1</replaceable></userinput>. - - </para> - -<para> - -Quand vous utilisez la préconfiguration de type <quote>network</quote> -(avec <quote>preseed/url</quote>), il n'est pas possible normalement de préconfigurer le réseau. -Cependant on peut utiliser l'astuce suivante. -Pour définir par exemple l'adresse de l'interface réseau, il suffit de -forcer la configuration du réseau à s'exécuter une nouvelle fois après que le -fichier de préconfiguration a été chargé. Le script <quote>preseed/run</quote> suivant -fera l'affaire : - -<informalexample><screen> -kill-all-dhcp; netcfg -</screen></informalexample> - -</para> -<para> - -Les variables debconf suivantes traitent de la configuration du réseau. - -</para> - -<informalexample role="example"><screen> -# Interdire toute configuration réseau. C'est utile pour des installations -# à partir de cédérom sur des machines sans réseau. Les questions et les avertissements -# à propos du réseau ainsi que les temps d'attente sont fastidieux. -#d-i netcfg/enable boolean false - -# Netcfg choisira une interface connectée si possible. Cela empêchera d'afficher -# une liste s'il y a plusieurs interfaces. -d-i netcfg/choose_interface select auto - -# Pour utiliser une interface particulière : -#d-i netcfg/choose_interface select eth1 - -# Pour augmenter le délai de détection de lien (par défaut, 3 secondes). -# Valeur en seconde : -#d-i netcfg/link_detection_timeout string 10 - -# Quand le serveur dhcp est lent et que l'installateur s'arrête pour l'attendre, -# ceci peut être utile : -#d-i netcfg/dhcp_timeout string 60 -#d-i netcfg/dhcpv6_timeout string 60 - -# Si vous préférez configurer vous-même le réseau, décommentez cette ligne et -# les lignes suivantes sur la configuration du réseau. -#d-i netcfg/disable_autoconfig boolean true - -# Si vous voulez que le fichier de préconfiguration fonctionne aussi bien -# avec que sans serveur dhcp, décommentez ces lignes et les lignes sur la -# configuration du réseau. -#d-i netcfg/dhcp_failed note -#d-i netcfg/dhcp_options select Configure network manually - -# Configuration du réseau. -# -# exemple pour IPv4 -#d-i netcfg/get_ipaddress string 192.168.1.42 -#d-i netcfg/get_netmask string 255.255.255.0 -#d-i netcfg/get_gateway string 192.168.1.1 -#d-i netcfg/get_nameservers string 192.168.1.1 -#d-i netcfg/confirm_static boolean true -# -# exemple pour IPv6 -#d-i netcfg/get_ipaddress string fc00::2 -#d-i netcfg/get_netmask string ffff:ffff:ffff:ffff:: -#d-i netcfg/get_gateway string fc00::1 -#d-i netcfg/get_nameservers string fc00::1 -#d-i netcfg/confirm_static boolean true - - -# Remarquez que les valeurs données par DHCP, nom de domaine ou nom de -# machine, prennent le pas sur les valeurs déclarées ici. Cependant, -# cette déclaration empêche que les questions ne soient posées, même si les -# valeurs viennent de dhcp. -d-i netcfg/get_hostname string unassigned-hostname -d-i netcfg/get_domain string unassigned-domain - -# Si vous voulez imposer un nom d'hôte, quelque soit le nom retourné par le serveur DHCP -# ou l'entrée DNS inversé donnée pour l'adresse IP, vous pouvez décommenter et modifier -# la ligne qui suit.. -#d-i netcfg/hostname string somehost - - -# Supprimer le dialogue irritant sur la clé WEP. -d-i netcfg/wireless_wep string -# Et l'étonnant nom de machine DHCP que certains FAI utilisent comme mot de -# passe. -#d-i netcfg/dhcp_hostname string radish - -# Si pour le réseau ou pour un autre matériel vous avez besoin d'un microprogramme -# (<quote>firmware</quote>) non libre, vous pouvez forcer l'installateur à le télécharger, -# en évitant la demande de confirmation. -# Vous pouvez aussi désactiver la question en mettant ce paramètre à <quote>false</quote>. -#d-i hw-detect/load_firmware boolean true -</screen></informalexample> - -<para> - -La commande <command>netcfg</command> détermine automatiquement le masque réseau quand -la variable <classname>netcfg/get_netmask</classname> n'est pas préconfigurée. Quand c'est le cas, -cette variable doit être positionnée à <literal>seen</literal> pour les installations automatiques. -De même, la commande <command>netcfg</command> choisit une adresse convenable si la -variable <classname>netcfg/get_gateway</classname> n'est pas définie. Ainsi, pour ne pas utiliser -de passerelle, vous pouvez positionner cette variable à <quote>none</quote>. -</para> - </sect2> - - <sect2 id="preseed-network-console"> - <title>Console réseau</title> - -<informalexample role="example"><screen> -# Pour utiliser le composant <quote>network-console</quote> et faire une installation -# par SSH, vous pouvez vous servir des commandes suivantes. Elles n'ont de sens que si -# vous avez l'intention de poursuivre l'installation <quote>manuellement</quote>. -#d-i anna/choose_modules string network-console -#d-i network-console/authorized_keys_url string http://10.0.0.1/openssh-key -#d-i network-console/password password r00tme -#d-i network-console/password-again password r00tme -</screen></informalexample> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-mirror"> - <title>Valeurs pour les miroirs</title> -<para> - -Selon la méthode d'installation choisie, vous pouvez utiliser un miroir -pour installer le système de base, pour télécharger des composants supplémentaires -de l'installateur et pour configurer le fichier <filename>/etc/apt/sources.list</filename>. - -</para><para> - -Le paramètre <classname>mirror/suite</classname> détermine la distribution du -système à installer. - -</para><para> - -Le paramètre <classname>mirror/udeb/suite</classname> détermine la distribution -des composants supplémentaires de l'installateur. On s'en sert uniquement -quand ces composants sont récupérés sur le réseau et qu'ils doivent correspondre -à la distribution utilisée pour construire l'<emphasis>initrd</emphasis> nécessaire à la méthode -d'installation. En général, il n'est pas nécessaire de donner une valeur -à ce paramètre car l'installateur la détermine automatiquement. - -</para> - -<informalexample role="example"><screen> -# Si vous utilisez ftp, il n'est pas nécessaire d'indiquer la chaîne mirror/country. -#d-i mirror/protocol string ftp -d-i mirror/country string manual -d-i mirror/http/hostname string &archive-mirror; -d-i mirror/http/directory string /debian -d-i mirror/http/proxy string - -# Distribution à installer. -#d-i mirror/suite string testing -# Distribution à utiliser pour charger les composants de l'installateur (facultatif). -#d-i mirror/udeb/suite string testing -</screen></informalexample> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-account"> - <title>Configuration des comptes</title> -<para> - -Le mot de passe de <quote>root</quote> et le nom et le mot de passe d'un premier utilisateur -peuvent être préconfigurés. Pour les mots de passe, vous pouvez utiliser -simplement du texte ou bien utiliser le <emphasis>hachage</emphasis> MD5. - -</para> -<warning><para> - -Il faut être conscient que la préconfiguration des mots de passe n'est pas -entièrement sécurisée. On peut en effet lire le fichier de préconfiguration -quand on y a accès et donc connaître les mots de passe. Le hachage MD5 semble -meilleur en termes de sécurité. Cependant il peut donner un faux sentiment de sécurité -car un accès au hachage MD5 permet les attaques en force. - -</para></warning> - -<informalexample role="example"><screen> -# Ne pas créer de compte root (l'utilisateur ordinaire utilisera sudo). -#d-i passwd/root-login boolean false -# On peut aussi ne pas créer de compte d'utilisateur. -#d-i passwd/make-user boolean false - -#Le mot de passe de root en clair... -#d-i passwd/root-password password r00tme -#d-i passwd/root-password-again password r00tme -# ... ou chiffré avec un hachage MD5 -#d-i passwd/root-password-crypted password [MD5 hash] - - -# Vous pouvez aussi présélectionner le nom de l'utilisateur et son identifiant -# de connexion -#d-i passwd/user-fullname string Utilisateur Debian -#d-i passwd/username string debian -# Mot de passe de l'utilisateur en clair... -#d-i passwd/user-password password insecure -#d-i passwd/user-password-again password insecure -# ... ou chiffré avec un hachage MD5 -#d-i passwd/user-password-crypted password [MD5 hash] -# Préciser l'UID du premier utilisateur. -#d-i passwd/user-uid string 1010 - -# Le compte sera ajouté à certains groupes. Pour contrôler ces groupes, -# utilisez cette ligne par exemple : -#d-i passwd/user-default-groups string audio cdrom video -</screen></informalexample> - -<para> - -Les variables <classname>passwd/root-password-crypted</classname> et -<classname>passwd/user-password-crypted</classname> peuvent être aussi -préconfigurées avec la valeur <quote>!</quote>. Dans ce cas, l'identifiant -correspondant est désactivé. Cette méthode convient pour le compte root. Mais -il faut pouvoir autoriser la gestion administrative ou la connexion de root d'une -autre manière, par exemple authentification avec clé SSH, ou <command>sudo</command>. - -</para> -<para> -Un hachage MD5 pour le mot de passe peut être obtenu de la manière suivante : - -<informalexample><screen> -$ printf "r00tme" | mkpasswd -s -m md5 -</screen></informalexample> - -</para> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-time"> - <title>Configuration du fuseau horaire</title> - -<informalexample role="example"><screen> -# Cette commande permet de régler l'horloge matérielle sur UTC : -d-i clock-setup/utc boolean true - -# Vous pouvez mettre toute valeur acceptée pour $TZ. -# Voyez ce que contient /usr/share/zoneinfo/ pour les valeurs possibles. -d-i time/zone string Europe/Paris - -# La ligne suivante autorise l'utilisation de NTP pour régler l'horloge pendant l'installation : -d-i clock-setup/ntp boolean true -# Le serveur NTP à utiliser. Le serveur par défaut est presque toujours correct. -#d-i clock-setup/ntp-server string ntp.example.com -</screen></informalexample> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-partman"> - <title>Partitionnement</title> -<para> - -Préconfigurer le partitionnement du disque dur est limité aux possibilités offertes -par <classname>partman-auto</classname>. Vous pouvez partitionner un disque entier -ou seulement un espace libre sur ce disque. La disposition du disque peut être -indiquée par un schéma prédéfini, un schéma inclus dans un fichier de schémas ou un -schéma mis dans le fichier de préconfiguration. -</para> - -<para> -La préconfiguration de schémas complexes de partitionnement, utilisant -RAID, LVM ou le chiffrage, est possible mais sans la flexibilité -offerte lors d'une installation standard. -</para> - -<para> - -Les exemples donnés par la suite n'offrent qu'une information -élémentaire sur l'utilisation des schémas. Pour des précisions, -consultez les fichiers -<filename>partman-auto-recipe.txt</filename> et -<filename>partman-auto-raid-recipe.txt</filename> qui font partie du -paquet <classname>debian-installer</classname>. -Ces deux fichiers sont aussi disponibles dans le répertoire source -<ulink url="&url-d-i-gitweb-doc-devel;">de &d-i;</ulink>. -Il faut noter que les fonctionnalités disponibles peuvent changer d'une -version à l'autre de l'installateur. - -</para> - -<warning><para> - -L'identification des disques dépend de l'ordre de chargement des pilotes des -disques. Si le système possède plusieurs disques, assurez-vous que le bon -sera choisi avant de préconfigurer son partitionnement. - -</para></warning> - - <sect3 id="preseed-partman-example"> - <title>Exemples de partionnement</title> - -<informalexample role="example"><screen> -# Si le système possède un espace libre, vous pouvez ne partitionner que cet -# espace. -# Mais il faut que partman-auto/method (ci-dessous) ne soit pas définie. -#d-i partman-auto/init_automatically_partition select biggest_free - -# Vous pouvez aussi choisir un disque entier. Si le système ne possède -# qu'un seul disque, l'installateur le choisira automatiquement. Si le -# système possède plusieurs disques, le nom du disque doit être -# donné selon le format traditionnel (par exemple, /dev/hda ou -# /dev/sda, mais pas /dev/discs/disc0/disc). -# Par exemple, pour utiliser le premier disque SCSI/SATA : -#d-i partman-auto/disk string /dev/sda -# Il faudra aussi indiquer la méthode à utiliser. -# Actuellement les méthodes disponibles sont : -# - regular : utilisation des types de partition habituels. -# - lvm : utilisation de LVM pour le partitionnement du disque. -# - crypto : utilisation de LVM à l'intérieur d'une partition chiffrée. -d-i partman-auto/method string lvm - -# Si l'un des disques à partitionner automatiquement contient une ancienne -# configuration LVM, l'utilisateur recevra normalement un avertissement. -# Cet avertissement peut être évité : -d-i partman-lvm/device_remove_lvm boolean true -# De même pour un Raid logiciel existant déjà : -d-i partman-md/device_remove_md boolean true -# Et aussi pour la confirmation concernant la création de partitions lvm : -d-i partman-lvm/confirm boolean true -d-i partman-lvm/confirm_nooverwrite boolean true - -# Vous pouvez choisir l'un des trois schémas prédéfinis... -# - atomic: tous les fichiers dans une seule partition -# - home: partition /home distincte -# - multi: partitions /home, /usr, /var, et /tmp séparées -d-i partman-auto/choose_recipe select atomic - -# ...ou donner vous-même votre schéma. -# Si vous avez la possibilité d'obtenir un schéma dans l'environnement de -# l'installateur, vous pouvez simplement pointer sur lui. -#d-i partman-auto/expert_recipe_file string /hd-media/recipe - -# Sinon, vous pouvez mettre un schéma dans le fichier de préconfiguration -# (une seule ligne logique). L'exemple suivant crée une petite partition -# /boot, une partition swap convenable, et utilise le reste de l'espace libre -# pour la partition racine : -#d-i partman-auto/expert_recipe string \ -# boot-root :: \ -# 40 50 100 ext3 \ -# $primary{ } $bootable{ } \ -# method{ format } format{ } \ -# use_filesystem{ } filesystem{ ext3 } \ -# mountpoint{ /boot } \ -# . \ -# 500 10000 1000000000 ext3 \ -# method{ format } format{ } \ -# use_filesystem{ } filesystem{ ext3 } \ -# mountpoint{ / } \ -# . \ -# 64 512 300% linux-swap \ -# method{ swap } format{ } \ -# . - -# Une documentation complète sur le format des schémas se trouve dans le -# fichier <filename>partman-auto-recipe.txt</filename>, disponible dans le -# paquet « debian-installer » ou dans les sources de l'installateur. -# On trouve aussi dans ce document la manière d'indiquer les étiquettes -# de systèmes de fichiers, les noms de groupes de volumes ainsi que les -# noms de périphériques physiques à inclure dans les groupes de volumes. - -# Si vous avez indiqué la méthode à utiliser, partman créera automatiquement -# les partitions sans demander de confirmation. -d-i partman-partitioning/confirm_write_new_label boolean true -d-i partman/choose_partition select finish -d-i partman/confirm boolean true -d-i partman/confirm_nooverwrite boolean true -</screen></informalexample> - - </sect3> - -<sect3 id="preseed-partman-raid"> - <title>Partitionnement et RAID logiciel</title> -<para> - -Il est aussi possible de préconfigurer le partitionnement d'un RAID logiciel. -Les niveaux 0, 1, 5, 6 et 10 sont acceptés, de même que la création d'ensemble dégradé et -de périphériques de rechange. - -</para><para arch="any-x86"> - -Si vous utilisez RAID 1, vous pouvez préconfigurer grub pour qu'il s'installe sur tous -les périphériques de l'ensemble, voyez <xref linkend="preseed-bootloader"/>. -</para> - -<warning><para> - -Il est facile de se tromper avec ce type de partitionnement automatique. -C'est aussi une nouvelle fonctionnalité qui a été relativement peu testée par les développeurs -de l'installateur. Il revient à chacun de trouver les bonnes formules. -Consultez le fichier <filename>/var/log/syslog</filename> -si vous rencontrez des problèmes. -</para> -</warning> - -<informalexample role="example"><screen> -# La méthode à indiquer est "raid". -#d-i partman-auto/method string raid -# Indiquez les disques à partitionner. Ils auront tous les mêmes caractéristiques, -# et donc cela ne fonctionnera que s'ils ont tous la même taille. -#d-i partman-auto/disk string /dev/sda /dev/sdb - -# Ensuite, indiquez les partitions physiques à utiliser. -#d-i partman-auto/expert_recipe string \ -# multiraid :: \ -# 1000 5000 4000 raid \ -# $primary{ } method{ raid } \ -# . \ -# 64 512 300% raid \ -# method{ raid } \ -# . \ -# 500 10000 1000000000 raid \ -# method{ raid } \ -# . - -# Enfin vous devez indiquer comment seront utilisées les partitions que -# vous venez de définir. N'oubliez pas de donner les bons numéros pour -# les partitions logiques. Les niveaux RAID 0, 1, 5, 6 et 10 sont acceptés. -# Les noms des périphériques sont séparés par un caractère « # ». -# Paramètres : -# <raidtype> <devcount> <sparecount> <fstype> <mountpoint> \ -# <devices> <sparedevices> - -#d-i partman-auto-raid/recipe string \ -# 1 2 0 ext3 / \ -# /dev/sda1#/dev/sdb1 \ -# . \ -# 1 2 0 swap - \ -# /dev/sda5#/dev/sdb5 \ -# . \ -# 0 2 0 ext3 /home \ -# /dev/sda6#/dev/sdb6 \ -# . - -# Une documentation complète se trouve dans le -# fichier <filename>partman-auto-raid-recipe.txt</filename>, disponible dans le -# paquet « debian-installer » ou dans les sources de l'installateur. - -# Pour que partman partitionne automatiquement sans demander de confirmation : -d-i partman-md/confirm boolean true -d-i partman-partitioning/confirm_write_new_label boolean true -d-i partman/choose_partition select finish -d-i partman/confirm boolean true -d-i partman/confirm_nooverwrite boolean true -</screen></informalexample> - - </sect3> - - <sect3 id="preseed-partman-mount-styles"> - <title>Contrôler le montage des partitions</title> -<para> - -Les systèmes de fichiers sont normalement montés en utilisant une clé appelée -identifiant unique universel, UUID. Même si le nom du périphérique change, cet identifiant -permet de monter le système de fichiers sur le bon périphérique. La lecture de ces identifiants est difficile. -Aussi l'installateur peut monter des systèmes de fichiers en utilisant les noms traditionnels -des périphériques ou les étiquettes que vous leur avez attribuées. -Quand vous demandez un montage par étiquette, tout système de fichiers sans étiquette -sera monté en utilisant un UUID. - -</para><para> - -Pour les périphériques dont les noms sont stables, comme les volumes logiques LVM, -les noms traditionnels seront toujours utilisés à la place des UUID. - -</para> -<warning><para> - -Les noms traditionnels des périphériques peuvent changer en fonction de l'ordre dans lequel -ils sont découverts par le noyau au moment du démarrage. Un système de fichiers -peut être ainsi monté sur le mauvais périphérique. -De même les étiquettes peuvent créer des conflits si vous branchez un nouveau disque ou -un périphérique USB. Si cela arrive, le comportement du système devient aléatoire. - -</para></warning> - -<informalexample role="example"><screen> -# Par défaut, les UUID sont utilisés, mais vous pouvez choisir <emphasis>traditional</emphasis> pour -# utiliser les noms traditionnels des périphériques, ou <emphasis>label</emphasis> pour utiliser des étiquettes. -# En l'absence d'étiquette, l'UUID est utilisé. -#d-i partman/mount_style select uuid -</screen></informalexample> - - </sect3> -</sect2> - - <sect2 id="preseed-base-installer"> - <title>Installation du système de base</title> -<para> - -Peu d'éléments peuvent être préconfigurés à cette étape de l'installation. -Les seules questions posées concernent l'installation du noyau. - -</para> - -<informalexample role="example"><screen> -# Configurer APT pour empêcher l'installation des paquets recommandés. -# Cette option qui peut conduire à un système incomplet est réservée à des -# utilisateurs expérimentés. -#d-i base-installer/install-recommends boolean false - -# Version du noyau à installer (nom du paquet). Utilisez <emphasis>none</emphasis> si vous ne voulez pas -# installer de noyau. -#d-i base-installer/kernel/image string &kernelpackage;-486 -</screen></informalexample> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-apt"> - <title>Configuration d'Apt</title> -<para> - -La création du fichier <filename>/etc/apt/sources.list</filename> -et les principales options de configuration se font automatiquement à partir -de la méthode d'installation choisie et des réponses aux précédentes questions. -Vous pouvez aussi ajouter d'autres sources (locales par exemple). -</para> - -<informalexample role="example"><screen> -# Vous pouvez installer des logiciels des distributions non-free et contrib. -#d-i apt-setup/non-free boolean true -#d-i apt-setup/contrib boolean true -# Décommentez cette ligne si vous n'utilisez pas de miroir sur le réseau. -#d-i apt-setup/use_mirror boolean false -# Choisissez les services de mise à jour et les miroirs à utiliser. -# Les valeurs ci-après sont les valeurs par défaut : -#d-i apt-setup/services-select multiselect security, volatile -#d-i apt-setup/security_host string security.debian.org -#d-i apt-setup/volatile_host string volatile.debian.org - -# Autres sources disponibles, local[0-9] -#d-i apt-setup/local0/repository string \ -# http://local.server/debian stable main -#d-i apt-setup/local0/comment string local server -# Activer des lignes deb-src -#d-i apt-setup/local0/source boolean true -# URL de la clé publique de la source locale. Vous devez indiquer une clé ; sinon -# apt se plaindra que la source n'est pas authentifiée et laissera la ligne du -# fichier sources.list en commentaire. -#d-i apt-setup/local0/key string http://local.server/key - -# Par défaut, l'installateur demande que les dépôts soient authentifiés par -# une clé gpg connue. On peut se servir de cette commande pour désactiver -# cette authentification. Attention : cette commande n'est pas sécurisée ni recommandée. -#d-i debian-installer/allow_unauthenticated boolean true - -</screen></informalexample> - -</sect2> - - <sect2 id="preseed-pkgsel"> - <title>Choix des paquets</title> -<para> - -Vous pouvez installer toute combinaison de tâches parmi celles disponibles. -Pour l'heure, les tâches disponibles sont les suivantes : -</para> - -<itemizedlist> -<listitem><para> - <userinput>standard</userinput> -</para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>desktop</userinput> -</para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>gnome-desktop</userinput> - </para></listitem> - <listitem><para> - <userinput>kde-desktop</userinput> - </para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>web-server</userinput> -</para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>print-server</userinput> -</para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>dns-server</userinput> -</para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>file-server</userinput> -</para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>mail-server</userinput> -</para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>sql-database</userinput> -</para></listitem> -<listitem><para> - <userinput>laptop</userinput> -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<para> -Vous pouvez aussi choisir de n'installer aucune tâche et forcer l'installation de paquets -par un autre moyen. -Il est recommandé de toujours inclure la tâche <emphasis>standard</emphasis>. -</para> -<para> - -Si vous voulez installer des paquets particuliers en plus des paquets installés par -les tâches, vous pouvez utiliser le paramètre <classname>pkgsel/include</classname>. -Séparez les valeurs par des virgules ou des espaces. Vous pouvez ainsi l'utiliser -facilement sur la ligne de commande du noyau. -</para> - -<informalexample role="example"><screen> -#tasksel tasksel/first multiselect standard, web-server -# Si vous sélectionnez la tâche desktop, vous pouvez installer les environnements kde ou xfce -# au lieu de l'environnement gnome. -#tasksel tasksel/desktop multiselect kde, xfce - -# Paquets supplémentaires -#d-i pkgsel/include string openssh-server build-essential -# Mise à jour des paquets après debootstrap. -# Valeurs autorisées : none, safe-upgrade, full-upgrade -#d-i pkgsel/upgrade select none - -# Certaines versions de l'installateur peuvent signaler les logiciels que vous avez installés -# et ceux que vous utilisez. Par défaut, rien n'est signalé. Mais l'envoi de rapport -# d'installation aide le projet à connaître les logiciels populaires. -#popularity-contest popularity-contest/participate boolean false -</screen></informalexample> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-bootloader" arch="any-x86"> - <title>Installation du programme d'amorçage</title> - -<informalexample role="example"><screen> -<phrase arch="linux-any"># Grub est le programme d'amorçage par défaut (pour x86). Si vous préférez -# LILO, décommentez la ligne suivante : -#d-i grub-installer/skip boolean true -# Pour ne pas installer lilo, ni aucun autre programme d'amorçage, décommentez -# la ligne suivante : -#d-i lilo-installer/skip boolean true</phrase> -<phrase arch="kfreebsd-any;hurd-any"># Pour ne pas installer de programme d'amorçage, décommentez la ligne suivante. -#d-i grub-installer/skip boolean true</phrase> - -# Le paramètre suivant est sans danger : il installe grub sur le -# secteur d'amorçage principal s'il n'existe aucun autre système d'exploitation -# sur la machine. -d-i grub-installer/only_debian boolean true - -# Ce paramètre installe grub sur le secteur d'amorçage principal (<emphasis>MBR</emphasis>) même s'il -# existe un autre système d'exploitation, ce qui est moins sûr car il pourrait -# ne pas savoir amorcer cet autre système. -d-i grub-installer/with_other_os boolean true - -# Vous pouvez aussi l'installer ailleurs que dans le secteur d'amorçage -# principal. Décommentez et modifiez les lignes suivantes : -#d-i grub-installer/only_debian boolean false -#d-i grub-installer/with_other_os boolean false -#d-i grub-installer/bootdev string (hd0,0) -# Pour installer grub sur plusieurs disques : -#d-i grub-installer/bootdev string (hd0,0) (hd1,0) (hd2,0) -# Pour installer grub sur un périphérique particulier : -#d-i grub-installer/bootdev string /dev/sda - -# Mot de passe facultatif pour grub, soit en clair (simple texte) : -#d-i grub-installer/password password r00tme -#d-i grub-installer/password-again password r00tme -# soit chiffré avec un hachage MD5, voyez grub-md5-crypt(8) : -#d-i grub-installer/password-crypted password [MD5 hash] - -# Si le programme d'amorçage permet d'ajouter des paramètres d'amorçage au système installé, -# vous pouvez utiliser l'option suivante. -# Note : les options passées à l'installateur sont ajoutées automatiquement. -#d-i debian-installer/add-kernel-opts string nousb - -</screen></informalexample> - -<para> - -Un mot de passe chiffré avec un hachage MD5 pour <classname>grub</classname> -peut être créé avec la commande <command>grub-md5-crypt</command> ou avec la commande -donnée dans l'exemple de <xref linkend="preseed-account"/>. - -</para> - </sect2> - - <sect2 id="preseed-finish"> - <title>Pour terminer l'installation</title> - -<informalexample role="example"><screen> -# Lors d'une installation à partir d'une console série, les consoles virtuelles (VT1-VT6) -# sont désactivées dans /etc/inittab. Décommentez la ligne suivante -# pour empêcher la désactivation. -#d-i finish-install/keep-consoles boolean true - -# Pour éviter le dernier message disant que l'installation est terminée : -d-i finish-install/reboot_in_progress note - -# Pour empêcher l'éjection du cédérom au moment du redémarrage, -# c'est utile parfois : -#d-i cdrom-detect/eject boolean false - -# Pour arrêter l'installateur quand il a terminé, mais sans redémarrer -# le système installé : -#d-i debian-installer/exit/halt boolean true -# Pour éteindre la machine au lieu de simplement l'arrêter : -#d-i debian-installer/exit/poweroff boolean true -</screen></informalexample> - -</sect2> - - <sect2 id="preseed-other"> - <title>Les autres questions</title> - -<informalexample role="example"><screen> -# Selon les logiciels que vous avez installés et s'il y a eu des problèmes -# pendant le processus d'installation, d'autres questions peuvent être posées. -# Vous pouvez bien sûr les préconfigurer ! Pour obtenir la liste de toutes -# les questions possibles, faites une installation, et exécutez ces -# commandes : -# debconf-get-selections --installer > fichier -# debconf-get-selections >> fichier -</screen></informalexample> -</sect2> -</sect1> - - <sect1 id="preseed-advanced"> - <title>Options complexes</title> - - <sect2 id="preseed-hooks"> - <title>Exécuter des commandes pendant l'installation</title> - -<para> -Une option très puissante offerte par les outils de préconfiguration est -la possibilité de lancer des commandes ou des scripts à certains moments -de l'installation. -</para> - -<informalexample role="example"><screen> -# La préconfiguration de l'installation n'est pas sécurisée. Rien dans -# l'installateur ne vérifie que des dépassements de tampons ou des -# exploitations quelconques des valeurs données dans ce fichier n'ont pas lieu. -# N'utilisez que les fichiers dont vous connaissez la provenance ! -# Pour tout dire, et parce que c'est en général utile, voici un -# moyen d'exécuter automatiquement une commande dans l'installateur. - -# La première commande est exécutée aussi tôt que possible, juste après -# la lecture du fichier. -#d-i preseed/early_command string anna-install some-udeb -# Cette commande est exécutée juste avant que le partitionneur ne commence. Il peut être -# utile de préconfigurer le partitionneur en fonction de l'état des disques -# (qui ne sont peut-être pas visibles quand preseed/early_command est exécutée). -#d-i partman/early_command \ -# string debconf-set partman-auto/disk "$(list-devices disk | head -n1)" -# Cette commande est exécutée juste avant que l'installation ne se termine, -# mais quand le répertoire /target est encore utilisable. Vous pouvez exécuter -# chroot /target et utiliser cet environnement directement ; ou bien vous -# pouvez utiliser les commandes apt-install et in-target pour installer des -# paquets et lancer des commandes dans le répertoire target. -#d-i preseed/late_command string apt-install zsh; in-target chsh -s /bin/zsh -</screen></informalexample> - -</sect2> - -<sect2 id="preseed-seenflag"> - <title>Changer les valeurs par défaut avec la préconfiguration</title> -<para> - -Il est possible de changer la réponse par défaut à une question tout en -maintenant l'interrogation. Pour cela, le drapeau <firstterm>seen</firstterm> doit être -remis à <quote>false</quote> après avoir modifié la valeur de la réponse. - -<informalexample><screen> -d-i foo/bar string value -d-i foo/bar seen false -</screen></informalexample> - -Il suffit de déclarer le paramètre <classname>preseed/interactive=true</classname> -au moment de l'amorçage pour obtenir le même effet pour -<emphasis>toutes</emphasis> les questions. Cela peut servir à tester le fichier de -préconfiguration. -</para> - -<para> -Le propriétaire <quote>d-i</quote> est utilisé uniquement pour les variables dont se sert -l'installateur. Pour des variables appartenant à des paquets installés sur le système cible, -il faut utiliser le nom du paquet. Consultez la note <xref linkend="preseed-bootparms"/>. -</para> - -<para> -Si vous utilisez les paramètres d'amorçage pour la préconfiguration, -l'opérateur <quote>?=</quote> demande à l'installateur de poser la question -correspondante, c'est-à-dire, -<userinput><replaceable>foo</replaceable>/<replaceable>bar</replaceable>?=<replaceable>valeur</replaceable></userinput> -(ou <userinput><replaceable>propriétaire</replaceable>:<replaceable>foo/bar</replaceable>?=<replaceable>valeur</replaceable></userinput>). -Cela n'aura un effet que sur les paramètres qui correspondent à des questions qui -sont réellement affichées pendant l'installation et non pas sur les -paramètres <quote>internes</quote>. -</para> - -<para> -Il est possible d'obtenir davantage d'informations de débogage en -utilisant le paramètre <classname>DEBCONF_DEBUG=5</classname>. -Ainsi, <classname>debconf</classname> affichera beaucoup plus de détails -sur la configuration actuelle de chaque variable et sur sa progression lors de l'exécution -des scripts d'installation de chaque paquet. - - </para> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-chainload"> - <title>Chaîner les fichiers de préconfiguration</title> -<para> -Vous pouvez inclure dans ce fichier d'autres fichiers de -préconfiguration. Toutes les valeurs de ces fichiers annuleront les -valeurs préexistantes. Vous pouvez par exemple mettre la configuration du -réseau dans un fichier et certaines configurations plus spécifiques dans -un autre fichier. -</para> - -<informalexample><screen> -#Vous pouvez indiquer plus d'un fichier, en les séparant par des espaces ; -#tous seront chargés. Ces fichiers peuvent à leur tour contenir d'autres -#directives de préconfiguration ou d'inclusion. Notez que si les fichiers sont relatifs, -#ils seront pris dans le répertoire où se trouve le fichier qui les inclut. -#d-i preseed/include string x.cfg - -# L'installateur peut vérifier la somme de contrôle des fichiers de -# préconfiguration avant de les utiliser. Pour le moment, cette somme doit être -# de type md5sum. Il faut lister les sommes de contrôle dans le même ordre -# que les fichiers à inclure. -#d-i preseed/include/checksum string 5da499872becccfeda2c4872f9171c3d - -# D'une manière plus souple, cela exécute des commandes du shell et si le -# résultat donne les noms de ces fichiers, ils sont inclus. -#d-i preseed/include_command \ -# string if [ "`hostname`" = bob ]; then echo bob.cfg; fi - -# Plus encore, cela télécharge un programme et l'exécute. Le programme peut -# utiliser des commandes comme debconf-set pour manipuler la base de données de debconf. -# Il est possible de lister plusieurs scripts, séparés par des espaces. -# Il faut remarquer que si les fichiers sont indiqués de façon relative, ils -# seront cherchés dans le répertoire qui contient le fichier de préconfiguration qui les -# a lancés. -#d-i preseed/run string foo.sh - -</screen></informalexample> - -<para> -Il est aussi possible de chaîner une préconfiguration de type <emphasis>initrd</emphasis> -ou <emphasis>file</emphasis> avec une préconfiguration de type <emphasis>network</emphasis>. -Pour cela il faut déclarer preseed/url dans les fichiers précédents. -La préconfiguration <emphasis>network</emphasis> sera exécutée quand le réseau -fonctionnera. Soyez prudent car il y aura deux exécutions distinctes de la préconfiguration. -Cela signifie que vous pouvez exécuter à nouveau la commande preseed/early, la seconde fois -après la mise en œuvre du réseau. - </para> -</sect2> -</sect1> -</appendix> diff --git a/fr/appendix/random-bits.xml b/fr/appendix/random-bits.xml deleted file mode 100644 index 2e337e83e..000000000 --- a/fr/appendix/random-bits.xml +++ /dev/null @@ -1,10 +0,0 @@ -<!-- original version: 69241 --> - -<appendix id="random-bits"><title>Informations diverses</title> - -&files.xml; -&chroot-install.xml; -&plip.xml; -&pppoe.xml; - -</appendix> diff --git a/fr/bookinfo.xml b/fr/bookinfo.xml deleted file mode 100644 index 2cd959646..000000000 --- a/fr/bookinfo.xml +++ /dev/null @@ -1,56 +0,0 @@ -<!-- original version: 68467 --> - -<bookinfo id="debian_installation_guide"> -<title>Manuel d'installation pour la distribution &debian-gnu; </title> - -<abstract> -<para> -Ce document contient les instructions d'installation du système &debian-gnu; -(nommé <quote>&releasename;</quote>), -sur l'architecture &arch-title; (<quote>&architecture;</quote>). -Des pointeurs vers d'autres sources d'informations vous permettront de tirer -le meilleur parti de votre nouveau système &debian;. -</para> - -<para> -<warning condition="not-checked"><para> -Ce manuel d'installation est basé sur un ancien manuel, le -<quote>boot-floppies</quote>, qui a été mis à jour pour servir de guide au -nouvel installateur Debian. Cependant, pour &architecture;, le manuel n'a -pas été complètement mis à jour ni vérifié. Certaines parties du manuel -peuvent être incomplètes ou dépassées, ou bien elles documentent encore -l'ancien installateur. Une nouvelle version de ce manuel, avec de meilleures -informations sur cette architecture, se trouve sur la <ulink url="&url-d-i;"> -page de l'installateur Debian</ulink>. De nouvelles traductions y sont -disponibles. -</para></warning> -<note condition="checked"><para> -Ce guide d'installation pour &architecture; est, pour l'essentiel, à jour. -Nous avons néanmoins l'intention d'en réorganiser certaines parties après -la publication de la version officielle, &releasename;. Une nouvelle version -de ce manuel se trouvera sur la <ulink url="&url-d-i;">page de l'installateur</ulink>. -Vous y trouverez aussi de nouvelles traductions. -</para></note> -</para> -<para condition="translation-status"> -Toutes les remarques sur cette traduction sont à envoyer à l'adresse -<email>debian-l10n-french@lists.debian.org</email>. -La traduction de la <quote>GNU GPL</quote> est celle qu'on trouve sur le site de la -<ulink url="http://fsffrance.org/gpl/gpl-fr.fr.html">FSF France</ulink>. -</para> -</abstract> - -<copyright> - <year>2004 – 2013</year> -<holder>L'équipe de l'installateur Debian</holder> -</copyright> - -<legalnotice> -<para> -Ce manuel est un logiciel libre ; vous pouvez le distribuer ou le -modifier selon les termes de la Licence publique générale GNU. Veuillez -consulter la licence à l'<xref linkend="appendix-gpl"/>. -</para> - -</legalnotice> -</bookinfo> diff --git a/fr/boot-installer/accessibility.xml b/fr/boot-installer/accessibility.xml deleted file mode 100644 index f5e9d11a5..000000000 --- a/fr/boot-installer/accessibility.xml +++ /dev/null @@ -1,172 +0,0 @@ -<!-- original version: 68622 --> - - <sect1 id="boot-installer-accessibility" arch="not-s390"> - <title>Accessibilité</title> -<para> - -Certaines personnes ont besoin d'une aide spéciale, -par exemple à cause d'une déficience visuelle. - -<phrase arch="ia64;powerpc;x86">Les plages Braille USB -sont détectées automatiquement (sauf les plages série connectées -grâce à un convertisseur série vers USB), mais la plupart des autres</phrase> -<phrase arch="arm;hppa;mips;mipsel;sparc">La plupart des</phrase> -fonctionnalités doivent être activées explicitement. -<phrase arch="x86">Sur certaines machines, le menu d'amorçage émet un bip quand -la frappe des touches est possible.</phrase> -Des paramètres d'amorçage peuvent <phrase arch="x86">alors</phrase> être ajoutés -pour activer les fonctions d'accessibilité<phrase arch="x86"> (voir aussi -<xref linkend="boot-screen"/>)</phrase>. Remarquez que, sur la plupart des -architectures, le programme d'amorçage considère le clavier comme un clavier QWERTY. - -</para> - - <sect2 arch="ia64;powerpc;x86"> - <title>Les plages Braille USB</title> -<para> - -Les plages Braille USB sont détectées automatiquement. Une version en mode texte -de l'installateur est automatiquement sélectionnée et la table Braille sera automatiquement -installée sur le système cible. -Il suffit de presser la touche &enterkey; au menu d'amorçage. -Une fois <classname>brltty</classname> lancé, vous pouvez choisir une table Braille -en entrant dans le menu des préférences. Sur le site web de -<ulink url="&url-brltty-driver-help;"><classname>brltty</classname></ulink>, -on peut trouver une documentation sur l'affectation des touches. - - - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="ia64;powerpc;x86"> - <title>Les plages Braille série</title> -<para> - -Les plages Braille série ne peuvent pas être détectées automatiquement et -de manière sûre car la détection peut les endommager. Vous devez donc ajouter le -paramètre d'amorçage -<userinput>brltty=<replaceable>driver</replaceable>,<replaceable>port</replaceable>,<replaceable>table</replaceable></userinput> -pour indiquer à <classname>brltty</classname> le pilote à utiliser. -<replaceable>driver</replaceable> doit être remplacé par le code à deux lettres de votre terminal. -Consultez <ulink url="&url-brltty-manual;">le manuel de BRLTTY</ulink>. -<replaceable>port</replaceable> doit être remplacé par le nom du port série -auquel est connecté le périphérique. <userinput>ttyS0</userinput> est le port par défaut -et <userinput>ttyUSB0</userinput> peut être utilisé pour un convertisseur série vers USB. -<replaceable>table</replaceable> est le nom de la table Braille à utiliser. -Consultez le <ulink url="&url-brltty-manual;">manuel de BRLTTY</ulink>. -La table anglaise est choisie par défaut. Mais vous pouvez la changer en entrant dans le menu des préférences. -Sur le site web de <ulink url="&url-brltty-driver-help;"><classname>brltty</classname></ulink> -on peut trouver une documentation sur l'affectation des touches. -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="x86"> - <title>Synthèse vocale logicielle</title> -<para> - -La synthèse vocale logicielle est disponible sur toutes les images d'installation -qui contiennent l'installateur graphique, à savoir, les images CD, DVD, netinst et la variante -netbook gtk. -Il est possible de l'activer en la sélectionnant -dans le menu d'amorçage par <userinput>s</userinput>, puis touche &enterkey;. -La version texte de l'installateur sera automatiquement choisie et la synthèse vocale logicielle -installée sur le système cible. -</para> -<para> -La première question (sur la langue) est dite en anglais. La suite de l'installation -se passe dans la langue choisie, si elle est disponible dans <classname>espeak</classname>. - -</para> -<para> - -Par défaut, la vitesse de la voix est très faible. Pour l'accélérer, -appuyez sur les touches -<keycombo><keycap>CapsLock</keycap><keycap>6</keycap></keycombo>. -Pour la ralentir, -<keycombo><keycap>CapsLock</keycap><keycap>5</keycap></keycombo>. - -Le volume est moyen. Pour l'augmenter, appuyez sur les touches -<keycombo><keycap>CapsLock</keycap><keycap>2</keycap></keycombo>. -Pour le baisser, -<keycombo><keycap>CapsLock</keycap><keycap>1</keycap></keycombo>. - -Consultez le <ulink url="&url-speakup-guide;">Speakup guide</ulink> -pour des précisions sur les raccourcis disponibles. - -</para> - - </sect2> - - - <sect2 arch="x86"> - <title>Synthèse vocale matérielle</title> -<para> - -La synthèse vocale matérielle est disponible sur toutes les images d'installation -qui contiennent l'installateur graphique, à savoir, les images CD, DVD, netinst et la variante -netbook gtk. Vous devez donc choisir une entrée <quote>Graphical install</quote> -dans le menu d'amorçage. - -</para> -<para> - -Les périphériques de synthèse vocale ne sont pas automatiquement détectés. Vous devez donc -ajouter le paramètre d'amorçage -<userinput>speakup.synth=<replaceable>driver</replaceable></userinput> -pour indiquer à <classname>speakup</classname> le pilote à utiliser. -<replaceable>driver</replaceable> doit être remplacé par le code du pilote de votre -périphérique. Consultez la <ulink url="&url-speakup-guide;">liste des codes de pilotes</ulink>. -La version en mode texte de l'installateur est automatiquement sélectionnée et la gestion du périphérique -de synthèse vocale sera automatiquement activée sur le système cible. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="linux-any"><title>Cartes fille</title> -<para> - -Certains périphériques sont en fait des cartes fille qui sont enfichées dans la machine -et qui lisent le texte directement dans la mémoire vidéo. Pour les faire fonctionner, -la gestion du tampon vidéo doit être désactivée avec le paramètre -<userinput arch="x86">vga=normal</userinput> <userinput>fb=false</userinput>. -Mais cela réduit le nombre des langues disponibles. - -</para> -<para arch="x86"> - -Il est possible d'activer une version texte du programme d'amorçage -avant d'ajouter le paramètre d'amorçage en saisissant <userinput>h</userinput> puis touche &enterkey;. - - </para> - - </sect2> - - <sect2><title>Thème à fort contraste</title> -<para> - -Pour les déficients visuels, l'installateur propose un thème avec des couleurs très contrastées qui le rend -plus lisible. Pour l'activer, ajoutez le paramètre <userinput>theme=dark</userinput>. - -</para> - </sect2> - -<sect2><title>Préconfiguration</title> -<para> - -&debian; peut être aussi installée de façon automatique en utilisant la préconfiguration. -Une documentation est disponible dans <xref linkend="appendix-preseed"/>. - -</para> - </sect2> - - <sect2><title>Accessibilité du système installé</title> -<para> - -Une documentation sur l'accessibilité est disponible sur la page du wiki Debian -<ulink url="&url-debian-wiki-accessibility;">Accessibility</ulink>. - -</para> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/boot-installer/arm.xml b/fr/boot-installer/arm.xml deleted file mode 100644 index e5ea31efc..000000000 --- a/fr/boot-installer/arm.xml +++ /dev/null @@ -1,149 +0,0 @@ -<!-- original version: 67373 --> - - <sect2 arch="arm" id="boot-tftp"><title>Amorcer à partir de TFTP</title> -&boot-installer-intro-net.xml; - - </sect2> - - <sect2 arch="arm"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> - -&boot-installer-intro-cd.xml; - - </sect2> - - <sect2 arch="arm" id="boot-firmware"><title>Amorcer depuis un microprogramme</title> - -&boot-installer-intro-firmware.xml; - - <sect3 arch="arm" id="boot-firmware-ss4000e"> - <title>Amorcer une machine SS4000-E</title> -<para> - -Pour l'instant, à cause de limitations du microprogramme, il n'est pas possible -d'amorcer l'installateur sans un port série. Vous avez besoin d'un câble série -nullmodem, d'un ordinateur avec un port série <footnote id="arm-s4ke-port"> - -<para> -Un convertisseur USB série fera aussi l'affaire. -</para> - -</footnote>, d'un câble en nappe avec un connecteur DB9 mâle à un bout et d'un -adaptateur IDC 10 broches à l'autre <footnote id="arm-s4k-rib"> - -<para> -On trouve souvent ce câble sur les vieilles machines de bureau -avec des ports série intégrés de 9 broches. -</para> - -</footnote>. -</para> - -<para> - -Pour amorcer le SS4000-E, utilisez votre câble nullmodem et votre câble -en nappe pour la connexion au port série du SS4000-E et réamorcez la machine. -Vous avez besoin d'une application terminal série pour communiquer avec la -machine. Sur un système &debian; GNU/Linux, vous pouvez utiliser le programme -<command>cu</command> (paquet du même nom). En supposant que le port série -de votre ordinateur se trouve sur <filename>/dev/ttyS0</filename>, utilisez la -commande suivante : -</para> - -<informalexample><screen> -cu -lttyS0 -s115200 -</screen></informalexample> - -<para> - -Sur un système Windows, vous pouvez utiliser le programme <classname>hyperterminal</classname>. -Utilisez un taux baud de 115200, une longueur de mot de 8 bits, aucun bit d'arrêt -et un bit de parité. -</para> - -<para> -Quand la machine s'amorce, la ligne suivante apparaît : -</para> - -<informalexample><screen> -No network interfaces found - -EM-7210 ver.T04 2005-12-12 (For ver.AA) -== Executing boot script in 1.000 seconds - enter ^C to abort -</screen></informalexample> - -<para> - -Maintenant il faut saisir Control-C pour arrêter -le programme d'amorçage <footnote id="arm-s4ke-sec"> - -<para> -Vous n'avez qu'une seule seconde. Si vous ratez cette fenêtre -éteignez la machine et recommencez. -</para> - -</footnote>. L'invite RedBoot apparaît. Saisissez les commandes suivantes : - -<informalexample><screen> -load -v -r -b 0x01800000 -m ymodem ramdisk.gz -load -v -r -b 0x01008000 -m ymodem zImage -exec -c "console=ttyS0,115200 rw root=/dev/ram mem=256M@0xa0000000" -r 0x01800000 -</screen></informalexample> - -</para> -<para> - -Après chaque commande <command>load</command>, le système attend -qu'un fichier soit transmis grâce au protocole YMODEM. Si vous utilisez -cu, assurez vous que le paquet <classname>lrzsz</classname> est -installé, appuyez sur la touche Entrée, suivi par la séquence -d'échappement <quote>~<</quote> pour lancer un programme externe, -puis lancez <command>sb initrd.gz</command> ou <command>sb vmlinuz</command>. - -</para> -<para> - -Il est aussi possible de charger un noyau et un disque mémoire -(<emphasis>ramdisk</emphasis> par HTTP plutôt que YMODEM. C'est plus -rapide mais cela demande une serveur HTTP sur le réseau. Pour cela, -mettez le programme d'amorçage en mode RAM : - -<informalexample><screen> -fis load rammode -g -</screen></informalexample> - -</para> -<para> - -Cela semble relancer la machine mais en réalité redboot est mis en -mémoire et c'est à partir de là que la machine est relancée. Si vous ne -passez pas par cette étape, le système se bloquera à la prochaine étape, -ip_address. - -</para> -<para> - -Vous devez encore exécuter un Ctrl-C pour interrompre l'amorçage, -puis : - -<informalexample><screen> -ip_address -l <replaceable>192.168.2.249</replaceable> -h <replaceable>192.168.2.4</replaceable> -load -v -r -b 0x01800000 -m http /initrd.gz -load -v -r -b 0x01008000 -m http /zImage -exec -c "console=ttyS0,115200 rw root=/dev/ram mem=256M@0xa0000000" -r 0x01800000 -</screen></informalexample> - -où <replaceable>192.168.2.249</replaceable> est l'adresse IP du -système installé et <replaceable>192.168.2.4</replaceable> l'adresse IP -du serveur HTTP qui possède le noyau et les fichiers pour le disque mémoire. - -</para> -<para> - -L'installateur devrait maintenant se présenter normalement. - -</para> - - -</sect3> - </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/boot-installer.xml b/fr/boot-installer/boot-installer.xml deleted file mode 100644 index f9f2b6988..000000000 --- a/fr/boot-installer/boot-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,47 +0,0 @@ -<!-- original version: 64740 --> - -<chapter id="boot-installer"><title>Démarrer le système d'installation</title> - -<!-- Include only archs that are documented to avoid build-errors --> -<!-- The arch="..." condition can be deleted when al archs are present --> - <sect1 arch="arm;any-x86;ia64;mips;mipsel;s390;powerpc;sparc"> - -<title>Démarrer l'installateur sur &arch-title;</title> - -<!-- This info is so architecture dependent, that I have turned the --> -<!-- structure inside out for this chapter. Each arch has a document. --> -<!-- Note: arch hppa is currently missing --> - -<warning arch="any-x86;powerpc"><para> -Si vous voulez conserver les autres systèmes d'exploitation existants sur votre -machine, vous devez les éteindre <emphasis>avant</emphasis> de lancer l'installateur. -L'installation d'un système alors qu'un autre système a été mise en veille peut -endommager ou détruire l'état du système mis en veille. -</para></warning> - -<note condition="gtk"><para> - -Voyez <xref linkend="graphical"/> pour savoir comment amorcer -l'installateur graphique. - -</para></note> - -&boot-installer-arm.xml; -<!-- &boot-installer-hppa.xml; --> -&boot-installer-x86.xml; -&boot-installer-ia64.xml; -&boot-installer-mips.xml; -&boot-installer-mipsel.xml; -&boot-installer-s390.xml; -&boot-installer-powerpc.xml; -&boot-installer-sparc.xml; - - </sect1> - -&boot-installer-accessibility.xml; -&boot-installer-parameters.xml; -&boot-installer-trouble.xml; - -</chapter> - - diff --git a/fr/boot-installer/hppa.xml b/fr/boot-installer/hppa.xml deleted file mode 100644 index 4c19d1152..000000000 --- a/fr/boot-installer/hppa.xml +++ /dev/null @@ -1,7 +0,0 @@ -<!-- original version: 24701 --> - <sect2 arch="hppa"> - <title></title> -<para> - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/ia64.xml b/fr/boot-installer/ia64.xml deleted file mode 100644 index 399e2f7ac..000000000 --- a/fr/boot-installer/ia64.xml +++ /dev/null @@ -1,487 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect2 arch="ia64"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> - -&boot-installer-intro-cd.xml; - -<note> -<title>Contenus du cédérom</title> - -<para> -Trois variantes des cédéroms d'installation &debian; existent. -Le cédérom <emphasis>Business Card</emphasis> offre une installation -minimale qui tient sur ce support de petite taille. Il exige une connexion -au réseau pour installer le reste du système de base et rendre le système -utilisable. Le cédérom <emphasis>Network Install</emphasis> possède tous les -paquets du système de base, mais il exige une connexion au réseau pour -installer les paquets supplémentaires nécessaires à un système complet. -L'ensemble des cédéroms &debian; peut installer un système complet sans avoir -besoin du réseau. -</para> -</note> - -<para> - -L'architecture IA-64 utilise la nouvelle interface -<quote>Extensible Firmware Interface</quote> (EFI) d'Intel. Contrairement au -traditionnel BIOS x86 qui ne connaît rien du périphérique de démarrage -sinon la table des partitions et le secteur principal d'amorçage (MBR), le -programme EFI peut lire et écrire des fichiers provenant d'une partition FAT16 -ou FAT32. Cela simplifie le processus souvent mystérieux de l'amorçage du -système. Le programme d'amorçage du système et le microprogramme EFI possèdent un -système de fichiers complet pour stocker les fichiers nécessaires au démarrage -du système. Cela signifie que le disque système sur un système IA-64 possède -une partition additionnelle dédiée à EFI à la place du simple MBR ou du bloc -de démarrage sur les systèmes plus conventionnels. - -</para> -<para> - -Le cédérom &debian; contient une petite partition EFI sur laquelle résident le -programme d'amorçage <command>ELILO</command>, son fichier de configuration, -le noyau de l'installateur ainsi qu'un système de fichiers initial (initrd). -Le système en marche contient aussi une partition EFI sur laquelle résident -les fichiers nécessaires au démarrage du système. Ces fichiers sont lisibles -depuis le shell EFI comme décrit plus bas. - -</para> -<para> - -La plupart des détails sur la manière dont <command>ELILO</command> se charge -et démarre le système sont transparents pour l'installateur du système. -Toutefois, celui-ci doit d'abord mettre en place une partition EFI avant -d'installer le système de base. Autrement, l'installation de -<command>ELILO</command> échouera rendant le système non amorçable. La -partition EFI est allouée et formatée lors de l'étape partitionnement de -l'installation, avant le chargement des paquets sur le disque système. La -tâche de partitionnement vérifie aussi qu'une partition EFI convenable est -présente avant de permettre l'installation. - -</para><para> - -Le gestionnaire de démarrage EFI est la dernière étape de l'initialisation du -microprogramme. Il montre un menu où l'utilisateur peut choisir une option. -Dépendant du modèle du système ainsi que des autres programmes chargés, ce -menu peut être différent d'un système à l'autre. Il devrait y avoir au moins -deux menus affichés, <command>Boot Option Maintenance Menu</command> et -<command>EFI Shell (Built-in)</command>. L'utilisation de la première option -est conseillée ; néanmoins si cette option n'est pas disponible, ou si -le cédérom ne peut pas s'amorcer, utilisez la seconde option. - -</para> - - <warning> - <title>IMPORTANT</title> -<para> - -Le gestionnaire de démarrage EFI choisira une action de démarrage par défaut, -typiquement le premier choix du menu, après un nombre prédéfini de secondes. -C'est indiqué par un compte à rebours situé au bas de l'écran. Une fois ce -temps expiré et l'action par défaut lancée, vous aurez peut-être besoin de -redémarrer la machine afin de continuer l'installation. Si l'action par -défaut est le shell EFI, vous pouvez retourner au gestionnaire d'amorçage en -tapant <command>exit</command> à l'invite du shell. - -</para> - </warning> - - <sect3 arch="ia64" id="bootable-cd"> - <title>Option 1 : Amorcer à partir du menu <quote>Boot Option Maintenance</quote></title> -<para> - -</para> - -<itemizedlist> - -<listitem><para> - -Insérez le cédérom dans le lecteur DVD/CD et réamorcez la machine. Le -microprogramme affichera la page du gestionnaire d'amorçage EFI ainsi que le menu -après avoir terminé l'initialisation du système. - -</para></listitem> - -<listitem><para> - -Sélectionnez <command>Boot Maintenance Menu</command> du menu avec les -touches flèches et appuyez sur <command>ENTER</command>. Un nouveau menu -s'affichera. - -</para></listitem> - -<listitem><para> - -Sélectionnez <command>Amorcer depuis un fichier</command> depuis le menu avec -les touches flèches et appuyez sur <command>ENTER</command>. Une liste des -périphériques testés par le microprogramme s'affichera. Vous devriez voir deux -lignes de menu contenant soit l'étiquette -<command>Debian Inst [Acpi ...</command> soit -<command>Removable Media Boot</command>. Si vous examinez le reste de la -ligne de menu, vous noterez que les informations sur le périphérique et sur -le contrôleur sont les mêmes. - -</para></listitem> - -<listitem><para> - -Vous pouvez choisir n'importe quelle entrée qui se réfère au lecteur DVD/CD. -Faites votre choix à l'aide des touches flèches et appuyez sur -<command>ENTER</command>. Si vous choisissez -<command>Removable Media Boot</command>, la machine débutera immédiatement la -séquence de démarrage. Si vous choisissez plutôt -<command>Debian Inst [Acpi ...</command>, il affichera le contenu de la -partie amorçable du cédérom, vous demandant de passer à la prochaine étape. - -</para></listitem> - -<listitem><para> - -Vous n'aurez besoin de cette étape que si vous choisissez -<command>Debian Inst [Acpi ...</command>. L'affichage du contenu du -répertoire montrera également -<command>[Treat like Removable Media Boot]</command> sur l'avant dernière -ligne. Sélectionnez cette ligne avec les touches flèches et appuyez sur -<command>ENTER</command>. Cela lancera la séquence d'amorçage. - -</para></listitem> - -</itemizedlist> -<para> - -Ces étapes lancent le programme d'amorçage de &debian; qui affichera une page -de menu vous permettant de sélectionner un noyau et des options. Poursuivez -en choisissant le noyau et les options. - -</para> -</sect3> - - - <sect3 arch="ia64" id="boot-with-efi"> - <title>Option 2 : Amorcer depuis le Shell EFI</title> -<para> - -Si pour une raison ou pour une autre, l'option 1 n'est pas couronnée de -succès, relancez la machine et lorsque l'écran du gestionnaire d'amorçage EFI -apparaît, il devrait y avoir une option appelée -<command>EFI Shell [Built-in]</command>. Amorcez le cédérom d'installation de -&debian; en suivant ces étapes : - -</para> - -<itemizedlist> - -<listitem><para> - -Insérez le cédérom dans le lecteur DVD/CD et réamorcez la machine. Le -microprogramme affichera la page et le menu du gestionnaire d'amorçage EFI après -avoir terminé l'initialisation du système. - -</para></listitem> - -<listitem><para> - -Sélectionnez <command>EFI Shell</command> depuis le menu avec les touches -flèches et appuyez sur <command>ENTER</command>. Le shell EFI va examiner -tous les périphériques amorçables et les affichera sur le terminal avant -d'afficher son invite. Les partitions amorçables reconnues sur les -périphériques auront un nom comme : -<filename>fs<replaceable>n</replaceable>:</filename>. Toutes les autres -partitions seront nommées comme : -<filename>blk<replaceable>n</replaceable>:</filename>. -Si vous avez inséré le cédérom juste avant d'entrer dans le Shell, cet examen -pourrait prendre quelques secondes de plus car il initialise le lecteur CD. - -</para> -</listitem> - -<listitem><para> - -Examinez la sortie du shell en cherchant le lecteur de cédérom. C'est très -probablement le périphérique <filename>fs0:</filename> bien que que d'autres -périphériques ayant une partition amorçable seront affichées comme -<filename>fs<replaceable>n</replaceable></filename>. - -</para></listitem> - -<listitem><para> - -Entrez <command>fs<replaceable>n</replaceable>:</command> et appuyez sur -<command>ENTER</command> afin de sélectionner le périphérique ayant -<replaceable>n</replaceable> comme numéro de partition pour le cédérom. -Le shell affichera maintenant le numéro de partition dans son invite. - -</para></listitem> - -<listitem><para> - -Entrez <command>elilo</command> et appuyez sur <command>ENTER</command>. -Cela lancera la séquence d'amorçage. - -</para></listitem> - -</itemizedlist> - -<para> - -Comme avec l'option 1, ces étapes démarrent le programme d'amorçage &debian; -qui affichera une page de menu vous permettant de sélectionner un noyau et -des options. Vous pouvez également entrer la commande plus courte -<command>fs<replaceable>n</replaceable>:elilo</command> à l'invite du shell. -Poursuivez en choisissant le noyau et les options. - -</para> -</sect3> - - <sect3 arch="ia64" id="serial-console"> - <title>Installer avec une console série</title> - -<para> - -Pour faire l'installation, vous pouvez choisir d'utiliser un écran et un -clavier ou d'utiliser une connexion série. Pour choisir une installation -écran/clavier, sélectionnez une option contenant la chaîne de caractère -[VGA console]. Pour installer via une connexion série, choisissez une option -contenant la chaîne de caractère [<replaceable>BAUD</replaceable> baud serial -console], où <replaceable>BAUD</replaceable> est la vitesse de votre terminal -série. Les articles du menu pour les réglages les plus typiques des taux sur -le périphérique ttyS0 sont préconfigurés. -</para> - -<para> -Dans la plupart des cas, vous voudrez que l'installateur utilise le même taux -que celui de votre connexion au terminal EFI. Si vous n'êtes pas sûr de ce -réglage, vous pouvez l'obtenir grâce à la commande <command>baud</command> -entrée dans le shell EFI. -</para> - -<para> -Si aucune des options disponibles n'est appropriée à votre périphérique série -ou à votre taux baud, vous pouvez passer outre les réglages de la console -pour une des options existantes du menu. Par exemple, pour utiliser une -console avec un taux de 57600 bauds sur le périphérique ttyS1, entrez -<command>console=ttyS1,57600n8</command> dans la fenêtre -<classname>Boot:</classname>. -</para> - -<note><para> - -La plupart des machines IA-64 sont livrées avec une console réglée sur -9600 bauds. Ce réglage est plutôt lent, et le processus normal d'installation -prendra un temps relativement long pour afficher chaque écran. Vous devriez -augmenter le taux baud utilisé pour l'installation, ou alors utiliser une -installation en mode texte. Voyez le menu d'aide -<classname>Params</classname> pour des instructions sur la manière de lancer -l'installateur en mode texte. -</para></note> - -<warning><para> -Si vous choisissez le mauvais type de console, vous aurez la possibilité de -choisir le noyau et d'entrer les paramètres, mais tant le terminal que vos -choix seront perdus dès que le noyau se chargera, vous obligeant à réamorcer -la machine avant de pouvoir débuter l'installation. -</para></warning> -</sect3> - -<sect3 arch="ia64" id="kernel-option-menu"> - <title>Sélection du noyau et des options</title> - -<para> - -Le programme d'amorçage affichera un formulaire avec une liste et une -fenêtre de texte avec une invite<classname>Boot:</classname>. Les touches -flèches sélectionnent un article du menu et tout texte entré au clavier -apparaîtra dans la fenêtre de texte. Il y a aussi des écrans d'aide qui -peuvent être affichés en appuyant sur la touche de fonction appropriée. -L'écran d'aide <classname>General</classname> explique les choix du menu et -l'écran <classname>Params</classname> expliquent les options communes de -la ligne de commande. - -</para> - -<para> - -Consultez l'écran d'aide <classname>General</classname> pour la description -des noyaux et des modes d'installation les plus appropriés pour votre -installation. Vous devriez aussi consulter <xref linkend="boot-parms"/> -plus bas pour tous les paramètres additionnels que vous voudriez régler dans -la fenêtre de texte <classname>Boot:</classname>. La version du noyau que vous -choisissez sélectionne la version du noyau qui sera utilisée tant pour le -processus d'installation que pour le système installé. Les deux prochaines -étapes sélectionneront et lanceront l'installation : - -</para> - -<itemizedlist> - -<listitem><para> -Sélectionnez avec les touches flèches la version du noyau et le mode -d'installation le plus approprié à vos besoins. -</para></listitem> - -<listitem><para> -Entrez les paramètres de démarrage au clavier. Le texte sera affiché -directement dans la fenêtre de texte. C'est là que les paramètres du noyau -sont spécifiés (tels que les réglages de la console série). -</para></listitem> - -<listitem><para> -Appuyez sur <command>ENTER</command>. Le noyau sera chargé. Il affichera les -messages d'initialisation usuels suivis par le premier écran de -l'installateur &debian;. -</para></listitem> - -</itemizedlist> - -<para> - -Passez au prochain chapitre pour continuer l'installation. Là vous pourrez -régler la localisation, le réseau et les partitions des disques. - -</para> -</sect3> - </sect2> - -<sect2 arch="ia64" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> - -<para> - -Amorcer un système IA-64 depuis le réseau est similaire à amorcer depuis un -cédérom. La seule différence est la manière dont le noyau est chargé. Le -gestionnaire d'amorçage EFI peut charger et lancer des programmes depuis un -serveur sur le réseau. Une fois que le noyau d'installation est chargé et -démarré, l'installation du système suivra les mêmes étapes que l'installation -depuis un cédérom avec pour seule exception que les paquets seront chargés -depuis le réseau plutôt que depuis le cédérom. - -</para> - -&boot-installer-intro-net.xml; - -<para> - -Amorcer un système IA-64 depuis le réseau demande deux actions spécifiques à -l'architecture. Sur le serveur d'amorçage, DHCP et TFTP doivent être -configurés afin de distribuer <command>elilo</command>. Sur le client, une -nouvelle option d'amorçage doit être définie dans le gestionnaire d'amorçage -EFI afin de permettre le chargement via le réseau. - -</para> - - <sect3 arch="ia64" id="boot-tftp-server"> - <title>Configuration du serveur</title> - -<para> - -Une entrée TFTP convenable pour l'amorçage via le réseau ressemble à -ceci : - -<informalexample><screen> -host mcmuffin { - hardware ethernet 00:30:6e:1e:0e:83; - fixed-address 10.0.0.21; - filename "debian-installer/ia64/elilo.efi"; -} -</screen></informalexample> - -Notez que le but est d'obtenir que <command>elilo.efi</command> soit lancé -sur le client. - -</para><para> - -Extrayez le fichier <filename>netboot.tar.gz</filename> dans le répertoire -racine de votre serveur tftp. Typiquement, les répertoires racine du serveur -tftp incluent <filename>/var/lib/tftp</filename> et -<filename>/tftpboot</filename>. Cela créera un répertoire -<filename>debian-installer</filename> contenant les fichiers de démarrage -pour un système IA-64. - -</para><para> - - -<informalexample><screen> -# cd /var/lib/tftp -# tar xvfz /home/user/netboot.tar.gz -./ -./debian-installer/ -./debian-installer/ia64/ -[...] -</screen></informalexample> - -Le fichier <filename>netboot.tar.gz</filename> contient un fichier -<filename>elilo.conf</filename> qui devrait fonctionner avec la plupart des -configurations. Toutefois, si vous êtes amené à modifier ce fichier, vous -pouvez le trouver dans le répertoire -<filename>debian-installer/ia64/</filename>. - -Il est possible d'avoir des fichiers de configurations différents pour -différents clients en les nommant selon l'adresse IP du client en hexadécimal, -avec un suffixe <filename>.conf</filename>, à la place du fichier -<filename>elilo.conf</filename>. Pour plus de détails, voyez la documentation -fournie dans le paquet <classname>elilo</classname>. - -</para> - </sect3> - -<sect3 arch="ia64" id="boot-tftp-client"> - <title>Configuration du client</title> - -<para> - -Pour configurer le client et permettre le démarrage par TFTP, commencez par -amorcer EFI et entrez dans le menu <guimenu>Boot Option Maintenance</guimenu>. - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -Ajoutez une option de démarrage. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Vous devriez voir une ou plusieurs lignes contenant le texte -<guimenuitem>Load File [Acpi()/.../Mac()]</guimenuitem>. Si plus d'une de ces - entrées existent, choisissez celle contenant l'adresse MAC de l'interface -depuis laquelle vous allez amorcer. Utilisez les touches flèches pour mettre en -évidence votre choix, et ensuite appuyez sur entrée. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Nommez l'entrée <userinput>Netboot</userinput> ou quelque chose de semblable, -sauvegardez, et retournez au menu des options de démarrage. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - - -Vous devriez voir la nouvelle option de démarrage que vous venez de créer, et -en la sélectionnant, cela devrait amorcer une requête DHCP, menant au -chargement depuis le serveur via TFTP du fichier -<filename>elilo.efi</filename>. - -</para><para> - -Le programme d'amorçage affichera son invite dès qu'il aura téléchargé et -traité son fichier de configuration. À ce stade, l'installation commence avec -les mêmes étapes qu'une installation via cédérom. Sélectionnez une option de -démarrage comme ci-dessus et lorsque le noyau aura terminé de s'installer -depuis le réseau, il lancera l'installateur &debian;. - -</para><para> - -Passez au prochain chapitre pour continuer l'installation. Là vous pourrez -régler la localisation, le réseau et les partitions des disques. - -</para> - </sect3> - </sect2> - - - - - - - - - - diff --git a/fr/boot-installer/intro-cd.xml b/fr/boot-installer/intro-cd.xml deleted file mode 100644 index 5c98f577a..000000000 --- a/fr/boot-installer/intro-cd.xml +++ /dev/null @@ -1,35 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<para> - -La manière la plus simple est d'utiliser -les cédéroms &debian;. Si vous avez un jeu de cédéroms et si votre machine peut -s'amorcer depuis un cédérom, c'est parfait ! Il suffit -<phrase arch="x86"> de configurer votre système pour amorcer depuis -le cédérom (voyez la <xref linkend="boot-dev-select"/>), -</phrase> -de placer votre cédérom et de réamorcer. Vous pouvez continuer avec le -chapitre suivant. - -</para><para> - -Notez que certains lecteurs de cédéroms peuvent demander des pilotes -particuliers et sont donc inaccessibles au tout début de l'installation. Si -cette façon d'installer échoue, veuillez lire dans ce chapitre les paragraphes -sur les autres noyaux et sur les autres méthodes d'installation possibles. - -</para><para> - -Même si vous ne pouvez amorcer depuis un cédérom, vous pourrez probablement -installer les composants du système ou les paquets que vous voulez à partir du cédérom. -Amorcez simplement à partir d'un autre support, des disquettes par exemple. -Lorsqu'arrivera le moment d'installer le système d'exploitation, le système -de base et les paquets, faites pointer le système d'installation sur le -lecteur de cédérom. - -</para><para> - -Si vous avez des problèmes lors de l'amorçage, voyez la -<xref linkend="boot-troubleshooting"/>. - -</para> diff --git a/fr/boot-installer/intro-firmware.xml b/fr/boot-installer/intro-firmware.xml deleted file mode 100644 index 7dbe31eec..000000000 --- a/fr/boot-installer/intro-firmware.xml +++ /dev/null @@ -1,16 +0,0 @@ -<!-- original version: 35309 --> - -<para> - -Il existe un nombre croissant de machines qui s'amorcent directement d'une mémoire flash -sur la machine. L'installateur peut être écrit en mémoire flash. Ainsi il s'amorce -automatiquement quand la machine redémarre. - -</para><note><para> - -Dans beaucoup de cas, changer le microprogramme embarqué dans la machine supprime la -garantie. Parfois vous ne pouvez pas remettre en état la machine si la mise en mémoire -flash s'est mal passée. Soyez donc prudent et suivez les étapes précisément. - -</para></note> - diff --git a/fr/boot-installer/intro-hd.xml b/fr/boot-installer/intro-hd.xml deleted file mode 100644 index 900d46a18..000000000 --- a/fr/boot-installer/intro-hd.xml +++ /dev/null @@ -1,15 +0,0 @@ -<!-- original version: 61184 --> - -<para> - -Dans certains cas, vous pourriez avoir envie de démarrer le -système à partir d'un autre système d'exploitation existant. -Sur certains systèmes, c'est même la seule méthode d'installation. - -</para><para> - -Pour amorcer l'installateur depuis un disque dur, vous -devez avoir déjà téléchargé et placé les fichiers nécessaires. -Consultez <xref linkend="boot-drive-files"/>. - -</para> diff --git a/fr/boot-installer/intro-net.xml b/fr/boot-installer/intro-net.xml deleted file mode 100644 index acd392665..000000000 --- a/fr/boot-installer/intro-net.xml +++ /dev/null @@ -1,18 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> - -<para> - -Pour amorcer depuis le réseau, il vous faut une connexion au réseau et -un serveur TFTP (DHCP, RARP, ou BOOTP). - -</para><para arch="hppa"> - -Les vieux systèmes comme le 715 peuvent demander l'utilisation d'un serveur -RBOOT à la place d'un serveur BOOTP. - -</para><para> - -La méthode d'installation avec amorçage depuis TFTP est décrite dans : -<xref linkend="install-tftp"/>. - -</para> diff --git a/fr/boot-installer/mips.xml b/fr/boot-installer/mips.xml deleted file mode 100644 index ef8f44833..000000000 --- a/fr/boot-installer/mips.xml +++ /dev/null @@ -1,54 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect2 arch="mips" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> - -<sect3><title>Amorcer avec TFTP les SGI</title> -<para> -Une fois entré dans le moniteur de commandes, utilisez - -<informalexample><screen> -bootp(): -</screen></informalexample> - -sur les machines SGI pour amorcer Linux et commencer l'installation de -&debian;. Pour ce faire, il sera peut-être nécessaire de déconfigurer la -variable d'environnement <envar>netaddr</envar>. Tapez : - -<informalexample><screen> -unsetenv netaddr -</screen></informalexample> -dans le moniteur de commandes. - -</para> -</sect3> - -</sect2> - - <sect2 arch="mips"><title>Paramètres d'amorçage</title> - -<sect3> -<title>Amorcer avec TFTP les SGI</title> -<para> -Sur les SGI, vous pouvez ajouter des paramètres d'amorçage après la -commande <command>bootp():</command> dans le moniteur de commandes. - -</para><para> - -Après la commande <command>bootp():</command>, vous pouvez ajouter le chemin -et le nom du fichier à amorcer si vous ne donnez pas un nom explicite via -votre serveur BOOTP/DHCP. Par exemple : - -<informalexample><screen> -bootp():/boot/tftpboot.img -</screen></informalexample> - -Vous pouvez passer d'autres paramètres au noyau avec la commande -<command>append</command> : - -<informalexample><screen> -bootp(): append="root=/dev/sda1" -</screen></informalexample> -</para> - </sect3> - -</sect2> diff --git a/fr/boot-installer/mipsel.xml b/fr/boot-installer/mipsel.xml deleted file mode 100644 index 0b324fbfc..000000000 --- a/fr/boot-installer/mipsel.xml +++ /dev/null @@ -1,49 +0,0 @@ -<!-- original version: 59840 --> - - <sect2 arch="mipsel" id="boot-tftp"> - <title>Amorcer avec TFTP</title> - <sect3> - <title>Amorcer une machine Cobalt avec TFTP</title> -<para> -Cobalt n'utilise pas TFP mais NFS pour s'amorcer. Vous devez installer un serveur NFS -et mettre les fichiers de l'installateur dans <filename>/nfsroot</filename>. -Quand vous amorcez la machine Cobalt, vous devez appuyer en même temps -sur les boutons gauche et droit du curseur, ce qui provoquera l'amorçage depuis NFS. -Plusieurs options sont affichées à l'écran. Il existe deux méthodes d'installation : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -Avec SSH (méthode par défaut) : l'installateur configure le réseau avec DHCP et -lance un serveur SSH. Un mot de passe est affiché à l'écran ainsi que d'autres informations de -connexion (une adresse IP, par exemple). Quand vous vous connectez à la machine avec un -client SSH, vous pouvez lancer l'installation. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Avec une console série : avec un cable null modem, vous pouvez vous connecter -au port série de la machine Cobalt (à 115200 bps) et lancer l'installation. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - - </para> - </sect3> - - </sect2> - - <sect2 arch="mipsel"><title>Paramètres d'amorçage</title> - - <sect3> - <title>Amorcer une machine Cobalt avec TFTP</title> -<para> - -Vous ne pouvez pas passer des paramètres d'amorçage directement. Vous devez -modifier le fichier <filename>/nfsroot/default.colo</filename> sur le serveur NFS -et y ajouter vos paramètres avec la variable <replaceable>args</replaceable>. - -</para> - </sect3> - - </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/parameters.xml b/fr/boot-installer/parameters.xml deleted file mode 100644 index 59dea7b0f..000000000 --- a/fr/boot-installer/parameters.xml +++ /dev/null @@ -1,631 +0,0 @@ -<!-- original version: 68591 --> - - <sect1 id="boot-parms"><title>Paramètres d'amorçage</title> -<para arch="linux-any"> - -Les paramètres d'amorçage sont des paramètres passés au noyau Linux pour -s'assurer que les périphériques seront correctement pris en compte. Dans la -plupart des cas le noyau détecte les périphériques, mais parfois vous devez -l'aider un peu. - -</para><para> - -Si c'est la première fois que vous démarrez le système, essayez les paramètres -par défaut ; autrement dit, ne donnez pas de paramètre et vérifiez que -cela fonctionne correctement. Ce devrait être le cas. Sinon, vous pouvez -redémarrer et donner les paramètres nécessaires à votre matériel. - -</para><para arch="linux-any"> - -Toutes les informations nécessaires sur les paramètres -d'amorçage sont disponibles dans le -<ulink url="http://www.tldp.org/HOWTO/BootPrompt-HOWTO.html">HOWTO Linux BootPrompt</ulink> ; -la présente section contient seulement un résumé des paramètres les -plus utilisés. Certains <emphasis>trucs</emphasis> sont donnés dans la -<xref linkend="boot-troubleshooting"/>. - -</para> - -<sect2 id="boot-console" arch="linux-any" condition="supports-serial-console"> - <title>Console d'amorçage</title> - -<para> - -Si vous démarrez avec la console série, le noyau la détecte automatiquement. -Si une carte vidéo (« framebuffer ») et un clavier sont également -connectés à l'ordinateur que vous voulez démarrer à l'aide de la console -série, vous devrez peut-être passer l'option -<userinput>console=<replaceable>device</replaceable></userinput> au noyau, où -<replaceable>device</replaceable> est votre interface série, c'est-à-dire -quelque chose comme <filename>ttyS0</filename>. - -</para> -<para> - -Vous pouvez avoir besoin de spécifier certains paramètres du port série, par exemple -la vitesse ou la parité, <userinput>console=ttyS0,9600n8</userinput> ; la valeur pour la vitesse -peut être aussi 57600 ou 115200. - -</para> -<para> - -Il est possible d'ajouter le paramètre <userinput>TERM=<replaceable>type</replaceable></userinput> -pour s'assurer que le type de terminal utilisé par l'installateur corresponde -à votre terminal. L'installateur reconnaît les types de terminal suivants : -<literal>linux</literal>, <literal>bterm</literal>, <literal>ansi</literal>, -<literal>vt102</literal> et <literal>dumb</literal>. Pour la console série, le type utilisé est -<userinput>vt102</userinput>. -Si vous utilisez un outil de virtualisation qui ne propose pas de conversion -pour ces types de terminal (comme QEMU/KVM), vous pouvez le lancer -dans une session <command>screen</command>. Cela effectuera une conversion vers le type de terminal -<literal>screen</literal>, qui est très proche du type <literal>vt102</literal>. - -</para> - - -<para arch="sparc"> - -Pour &arch-title;, les interfaces série sont <filename>ttya</filename> ou -<filename>ttyb</filename>. Alternativement, mettez les -variables OpenPROM <envar>input-device</envar> et -<envar>output-device</envar> à <filename>ttya</filename>. - -</para> - -</sect2> - - <sect2 id="installer-args"><title>Paramètres pour l'installateur &debian;</title> -<para> - -Le système d'installation accepte des paramètres d'amorçage<footnote> - -<para> -À partir des noyaux de la série 2.6.9, on peut utiliser -32 options sur la ligne de commande et 32 options d'environnement. -En cas de dépassement, le noyau <emphasis>panique</emphasis>. -</para></footnote>.</para> - -<para> - -Certains paramètres possèdent une <quote>forme courte</quote> qui permet -d'éviter les limitations concernant les options du noyau données sur la -ligne de commande. La saisie en est aussi facilitée. Quand il existe une forme courte, -elle sera donnée entre parenthèses, après la forme longue. Les exemples de ce -manuel utilisent la forme courte des paramètres. -</para> - - -<variablelist> -<varlistentry> -<term>debconf/priority (priority)</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre sert à déclarer le niveau de la priorité à partir de laquelle -les messages sont affichés. - -</para><para> - -Dans l'installation par défaut, ce paramètre est égal à -<userinput>priority=high</userinput>. Cela signifie que les messages -avec des priorités <quote>high</quote> et <quote>critical</quote> seront -affichés, mais non les messages avec des priorités <quote>medium</quote> et -<quote>low</quote>. Si des problèmes apparaissent, l'installateur fixe la -priorité comme il est nécessaire. - -</para><para> - -Si vous ajoutez le paramètre <userinput>priority=medium</userinput> -au démarrage, vous obtiendrez le menu d'installation et un contrôle plus fin -du processus d'installation. Si vous ajoutez -<userinput>priority=low</userinput>, tous les messages seront affichés ; -c'est l'équivalent de la méthode de démarrage <emphasis>expert</emphasis>. -Si vous utilisez <userinput>priority=critical</userinput>, seuls les -messages critiques seront affichés et l'installateur fera ce qu'il faut pour -tout faire correctement. - -</para></listitem> -</varlistentry> - - -<varlistentry> -<term>DEBIAN_FRONTEND</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre contrôle le type d'interface qu'utilisera l'installateur. -Voici les valeurs possibles actuellement : - -<itemizedlist> -<listitem> -<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=noninteractive</userinput></para> -</listitem><listitem> -<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=text</userinput></para> -</listitem><listitem> -<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=newt</userinput></para> -</listitem><listitem> -<para><userinput>DEBIAN_FRONTEND=gtk</userinput></para> -</listitem> -</itemizedlist> - -L'interface par défaut est <userinput>DEBIAN_FRONTEND=newt</userinput>. -<userinput>DEBIAN_FRONTEND=text</userinput> est préférable pour les -installations avec une console série. Certains supports d'installation spécialisés -n'offrent pas toutes les interfaces possibles mais les interfaces <userinput>newt</userinput> -<userinput>text</userinput> sont disponibles sur la plupart des supports d'installation. -Sur certaines architectures, l'installateur graphique utilise l'interface <userinput>gtk</userinput>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>BOOT_DEBUG</term> -<listitem><para> - -Si l'on donne la valeur 2 à ce paramètre, le processus d'amorçage de l'installateur sera -enregistré avec beaucoup de détails dans les journaux du démarrage. Si l'on donne la valeur 3, -des interpréteurs seront disponibles à des endroits stratégiques du processus d'amorçage. -Il faut quitter (exit) les interpréteurs pour revenir au processus d'amorçage. - -<variablelist> -<varlistentry> -<term><userinput>BOOT_DEBUG=0</userinput></term> -<listitem><para>valeur par défaut.</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term><userinput>BOOT_DEBUG=1</userinput></term> -<listitem><para>Un peu plus bavard qu'habituellement.</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term><userinput>BOOT_DEBUG=2</userinput></term> -<listitem><para>Beaucoup d'informations.</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term><userinput>BOOT_DEBUG=3</userinput></term> -<listitem><para> - -À certains moments du processus de démarrage, un shell est exécuté pour -permettre un débogage approfondi. Quittez le shell pour revenir au processus -de démarrage. - -</para></listitem> -</varlistentry> -</variablelist> - -</para></listitem> -</varlistentry> - - -<varlistentry> -<term>INSTALL_MEDIA_DEV</term> -<listitem><para> - -La valeur de ce paramètre donne l'adresse du périphérique sur lequel se -trouve l'installateur &debian;. -Par exemple, -<userinput>INSTALL_MEDIA_DEV=/dev/floppy/0</userinput> - -</para><para> - - -La disquette de démarrage recherche la disquette racine sur toutes les -disquettes. Grâce à ce paramètre, on peut limiter -cette recherche à un seul périphérique. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>log_host</term> -<term>log_port</term> -<listitem><para> - -Avec ces paramètres, l'installateur peut envoyer des messages à un syslog distant, -sur un hôte et un port spécifiés, aussi bien que dans un fichier local. Si le port -n'est pas indiqué, l'installateur utilise le port standard de syslog, 514. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>lowmem</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre permet de forcer un niveau de mémoire à utiliser autre que celui -basé sur la mémoire disponible. Les valeurs possibles sont 1 ou 2. Voyez -<xref linkend="lowmem"/>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>noshell</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre interdit l'utilisation de shell interactif sur les consoles tty2 et tty3. -C'est utile pour des installations automatisées où la sécurité est limitée. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>debian-installer/framebuffer (fb)</term> -<listitem><para> - -Certaines architectures utilisent le tampon vidéo du noyau <emphasis>framebuffer</emphasis> -afin d'offrir l'installation en plusieurs langues. Si le tampon vidéo pose des -problèmes sur votre système, vous pouvez utiliser le paramètre -<userinput arch="x86">vga=normal</userinput> <userinput>fb=false</userinput>, pour le désactiver. -Les symptômes de ce problème sont des messages d'erreur au sujet de bterm ou -bogl, un écran noir, ou un blocage quelques minutes après le début de -l'installation. - -</para><para arch="hppa"> - -Des problèmes semblables ont été rencontrés sur les hppa. - -</para><note arch="sparc"><para> - -La gestion du tampon vidéo est <emphasis>désactivé par défaut</emphasis> -sur &arch-title; à cause de problèmes d'affichage sur certains systèmes. -Cela provoque un affichage très laid sur des systèmes qui gèrent correctement -le tampon vidéo, comme les systèmes avec des cartes graphiques ATI. -Si vous rencontrez des problèmes d'affichage avec l'installateur, vous -pouvez amorcer avec le paramètre -<userinput>debian-installer/framebuffer=true</userinput>, ou <userinput>fb=true</userinput>. - -</para></note></listitem> - -</varlistentry> - - - <varlistentry arch="not-s390"> -<term>debian-installer/theme (theme)</term> -<listitem><para> - -L'apparence (couleurs, icônes, etc.) de l'interface de l'installateur est -déterminée par un thème. Les thèmes diffèrent selon les interfaces. Pour l'instant, -il n'existe qu'un seul thème, <quote>dark</quote>, à destination des déficients visuels. -Proposé par les interfaces newt et gtk, il peut être activé avec le paramètre -<userinput>theme=<replaceable>dark</replaceable></userinput>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>netcfg/disable_autoconfig</term> -<listitem><para> - -L'installateur &debian; recherche automatiquement la configuration du réseau -par autoconfiguration IPv6 et DHCP. Si la recherche réussit, vous n'aurez plus la possibilité de vérifier -et de modifier les valeurs obtenues. Vous ne pouvez configurer vous-même -le réseau que si la recherche automatique a échoué. - -</para> -<para> - -S'il existe un routeur IPv6 ou un serveur DHCP sur votre réseau local et si vous voulez les ignorer -parce qu'ils donnent, par exemple, des valeurs fausses, vous pouvez utiliser le -paramètre <userinput>netcfg/disable_autoconfig=true</userinput> pour empêcher toute configuration -automatique (ni v4 ni v6) et indiquer vous-même les paramètres du réseau. - </para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>hw-detect/start_pcmcia</term> -<listitem><para> - -Fixez ce paramètre à <userinput>false</userinput> pour empêcher le démarrage -des services PCMCIA. Certains ordinateurs portables connaissent des problèmes avec les -PCMCIA. - </para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>disk-detect/dmraid/enable (dmraid)</term> -<listitem><para> - -Fixez ce paramètre à <userinput>true</userinput> pour permettre la reconnaissance des disques -Serial ATA RAID (ATA RAID, BIOS RAID ou fake RAID). Notez que la gestion de ces disques n'est qu'en -phase d'expérimentation. On peut trouver d'autres informations sur le -<ulink url="&url-d-i-wiki;">wiki de l'installateur Debian</ulink>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>preseed/url (url)</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre indique l'URL d'un fichier de préconfiguration à télécharger pour -automatiser l'installation. Voyez la <xref linkend="automatic-install"/>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>preseed/file (file)</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre indique le chemin d'un fichier de préconfiguration à utiliser pour -automatiser l'installation. Voyez la <xref linkend="automatic-install"/>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - - -<varlistentry> -<term>preseed/interactive</term> -<listitem><para> - -Avec la valeur <userinput>true</userinput>, les questions seront affichées même -si elles ont été préconfigurées. Cela peut être utile pour tester le -fichier de préconfiguration. Il faut noter que cela n'aura aucun effet sur les -paramètres passés comme paramètres d'amorçage. Pour ces paramètres, on peut -utiliser une syntaxe spéciale. Consultez <xref linkend="preseed-seenflag"/> pour -des précisions. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>auto-install/enable (auto)</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre retarde certaines questions normalement posées avant l'installation du réseau. -Ainsi la préconfiguration devient possible. -Voyez <xref linkend="preseed-auto"/> pour des précisions. -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>finish-install/keep-consoles</term> -<listitem><para> - -Lors d'une installation à partir d'une console série, les consoles virtuelles (VT1-VT6) -sont désactivées dans <filename>/etc/inittab</filename>. -Pour empêcher cette désactivation, mettez ce paramètre à <userinput>true</userinput>. -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>cdrom-detect/eject</term> -<listitem><para> - -Avant de réamorcer, l'installateur éjecte automatiquement le support optique -utilisé pendant l'installation. Cela peut être inutile si le système ne s'amorce -pas automatiquement à partir du cédérom. Parfois ce n'est pas souhaitable si, -par exemple, le lecteur optique ne peut pas réinsérer le support lui-même et si -l'utilisateur n'est pas là pour le faire. Certains types de lecteurs ne peuvent pas -recharger automatiquement le support. -<!-- Many slot loading, slim-line, and caddy style drives -cannot reload media automatically. c'est la phrase à traduire...:-) --> - -</para><para> - -Il suffit de mettre ce paramètre à <userinput>false</userinput> pour -désactiver l'éjection automatique. Mais il faut vous assurer que -le système ne s'amorcera pas à partir du lecteur après l'installation. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>base-installer/install-recommends (recommends)</term> -<listitem><para> - -En mettant cette option à <userinput>false</userinput>, le système de -gestion des paquets n'installera pas automatiquement les paquets -<quote>Recommends</quote>, ni pendant l'installation ni ensuite dans le -système installé. Consultez <xref linkend="di-install-base"/>. - -</para> -<para> - -Cette option permet d'obtenir un système plus petit. Elle peut conduire -aussi à l'absence de fonctionnalités qu'on peut normalement s'attendre à -trouver. Il vous faudra installer vous-mêmes les paquets recommandés -pour retrouver ces fonctionnalités. Seuls des utilisateurs très -expérimentés devraient se servir de cette option. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>debian-installer/allow_unauthenticated</term> -<listitem><para> - -Par défaut, l'installateur demande que les dépôts soient authentifiés par -une clé gpg connue. On peut mettre ce paramètre à <userinput>true</userinput> -pour désactiver cette authentification. -<emphasis role="bold">Attention : commande non sécurisée et non recommandée.</emphasis> - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry arch="mips;mipsel"> -<term>ramdisk_size</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre devrait déjà posséder une valeur correcte là où il est -nécessaire. Changez-la quand vous voyez des messages d'erreur au moment -de l'amorçage qui indiquent que le disque virtuel ne peut être -chargé complètement. La valeur est en Ko. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>rescue/enable</term> -<listitem><para> - -Mettez ce paramètre à <userinput>true</userinput> pour entrer dans le mode de secours -au lieu de faire une installation normale. Voyez <xref linkend="rescue"/>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -</variablelist> - - </sect2> - - <sect2 id="preseed-args"> - <title>Répondre à des questions avec les paramètres d'amorçage</title> -<para> - -À quelques exceptions près, toute question posée pendant l'installation peut recevoir -une réponse définie au moment de l'invite d'amorçage. Ce n'est vraiment utile que -pour certains cas particuliers. Une présentation générale se trouve dans -<xref linkend="preseed-bootparms"/>. Voici quelques exemples. -</para> - -<variablelist> - -<varlistentry> -<term>debian-installer/language (language)</term> -<term>debian-installer/country (country)</term> -<term>debian-installer/locale (locale)</term> -<listitem><para> - -La langue, le pays et la locale, utilisés pour l'installation et dans le -système installé, peuvent être indiqués de deux manières. - -</para> - -<para> -La méthode la plus facile est de passer simplement le paramètre -<literal>locale</literal>. La langue et le pays seront déduits de cette -valeur. Par exemple, <userinput>locale=de_CH</userinput> sélectionne -l'allemand comme langue et la Suisse comme pays. La locale -<literal>de_CH.UTF-8</literal> sera la locale par défaut sur le système -installé. Le défaut de cette methode est qu'elle ne permet pas de -choisir toutes les combinaisons possibles de langue, pays et locale. -</para> -<para> -La deuxième méthode, plus souple, permet d'indiquer séparément -<literal>language</literal> et <literal>country</literal>. Dans ce cas, -il est aussi possible d'indiquer une locale particulière pour le système -installé. Par exemple : -<userinput>language=en country=DE locale=en_GB.UTF-8</userinput>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>anna/choose_modules (modules)</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre permet de charger automatiquement des composants de l'installateur -qui ne sont pas chargés par défaut. -Voici des exemples de composants qui peuvent être utiles : -<classname>openssh-client-udeb</classname> (pour pouvoir utiliser -<command>scp</command> pendant l'installation)<phrase arch="not-s390">et -<classname>ppp-udeb</classname> (consultez <xref linkend="pppoe"/>)</phrase>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>netcfg/disable_autoconfig</term> -<listitem><para> - -Ce paramètre peut être mis à <userinput>true</userinput> pour désactiver -la configuration automatique IPv6 et DHCP et forcer une configuration manuelle du réseau. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>mirror/protocol (protocol)</term> -<listitem><para> - -L'installateur utilise normalement le protocole HTTP pour télécharger les fichiers -sur les miroirs &debian;. Il n'est pas possible de passer à FTP pendant les -installations faites avec la priorité <emphasis>normale</emphasis>. En mettant -ce paramètre à <userinput>ftp</userinput>, vous pouvez forcer l'installateur -à utiliser ce protocole. Notez que vous ne pouvez sélectionner un miroir FTP dans une -liste, vous devrez saisir son nom. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>tasksel:tasksel/first (tasks)</term> -<listitem><para> -Ce paramètre permet la sélection de tâches qui ne sont pas disponibles -dans la liste interactive, comme par exemple la tâche <literal>kde-desktop</literal>. -Voyez <xref linkend="pkgsel"/> pour des précisions. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -</variablelist> - - </sect2> - - <sect2 id="module-parms"> - <title>Passer des paramètres aux modules du noyau</title> -<para> - -Selon la documentation du noyau Linux, il est possible de passer des paramètres -aux pilotes de périphériques compilés dans le noyau. Cependant, il existe une différence -entre la façon de charger un module pendant l'installation et la façon de le charger sur -un système installé. Aussi, quand les pilotes sont compilés en modules, il n'est pas possible -de leur passer des paramètres de la manière habituelle. Une syntaxe spéciale est nécessaire. -L'installateur fera en sorte que les paramètres soient dans les bons fichiers de -configuration quand les modules seront réellement chargés. Les paramètres seront aussi -propagés automatiquement dans la configuration du système installé. -</para> -<para> -Il est aujourd'hui très rare d'avoir à passer des paramètres aux modules. -Dans la plupart des cas, le noyau sait tester le matériel présent sur une machine et -donne de bons paramètres par défaut. Parfois cependant il sera nécessaire de passer -soi-même des paramètres. -</para> -<para> -Voici la syntaxe à utiliser : - -<informalexample><screen> -<replaceable>module</replaceable>.<replaceable>paramètre</replaceable>=<replaceable>valeur</replaceable> -</screen></informalexample> - -Si vous devez passer plusieurs paramètres, pour un module ou pour plusieurs modules, -il suffit de répéter la formule. Ainsi, pour faire qu'une vieille carte 3com utilise le -connecteur BNC (connexion par câble coaxial) et l'IRQ 10 : - -<informalexample><screen> -3c509.xcvr=3 3c509.irq=10 -</screen></informalexample> - -</para> - </sect2> - - <sect2 id="module-blacklist"> - <title>Interdire des modules du noyau</title> -<para> - -Il est parfois nécessaire de mettre un module dans une liste noire pour -empêcher son chargement automatique par le noyau et udev. Il se peut par exemple que -tel module pose des problèmes à tel matériel. Le noyau peut aussi lister deux -pilotes différents pour le même périphérique. Si les pilotes s'excluent ou si le -mauvais pilote est chargé en premier, le périphérique ne fonctionnera pas -correctement. -</para> -<para> - -Voici comment créer cette liste noire : -<userinput><replaceable>module_name</replaceable>.blacklist=yes</userinput>. -Le module sera listé dans le fichier <filename>/etc/modprobe.d/blacklist.local</filename> -et sera interdit à la fois pendant l'installation et pour le système installé. -</para> -<para> - -Il faut noter que le système d'installation peut toujours charger -le module. Vous pouvez l'empêcher en faisant une installation en mode -<emphasis>expert</emphasis> et en désélectionnant le module dans la liste des -modules qui est affiché pendant la phase de détection du matériel. -</para> - - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/boot-installer/powerpc.xml b/fr/boot-installer/powerpc.xml deleted file mode 100644 index 65ac6e554..000000000 --- a/fr/boot-installer/powerpc.xml +++ /dev/null @@ -1,279 +0,0 @@ -<!-- original version: 68634 --> - - - <sect2 arch="powerpc" id="boot-cd"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> - -&boot-installer-intro-cd.xml; - -<para> - -Aujourd'hui, les seules sous-architectures &arch-title; qui peuvent -s'amorcer depuis un CD sont les PReP/CHRP (mais pas tous les systèmes) -et les PowerMac NewWorld. Sur les PowerMac, appuyez sur la touche -<keycap>c</keycap>, ou bien la combinaison des touches -<keycap>Command</keycap>, <keycap>Option</keycap>, -<keycap>Shift</keycap>, and <keycap>Delete</keycap> -lors du démarrage pour amorcer sur le lecteur de CD aux réglages d'origine. - -</para><para> - -Pour amorcer un PowerMac depuis un lecteur de CD/DVD Firewire, il faut, à l'invite -Open Firmware (voyez <xref linkend="invoking-openfirmware"/>), saisir la -commande suivante : -<informalexample><screen> -0 > boot fw/node/sbp-2/disk:,\install\yaboot -</screen></informalexample>. - -Pour amorcer depuis le lecteur interne de CD/DVD, -saisissez : - -<informalexample><screen> -0 > boot cd:,\install\yaboot -</screen></informalexample> - -</para><para> - -Les OldWorld Powermac ne s'amorceront pas depuis un cédérom &debian;, car les -ordinateurs OldWorld ont besoin d'un pilote de cédérom Mac OS ROM sur le -cédérom, et une version libre de ce pilote n'est pas disponible. Tous les -systèmes OldWorld possèdent un lecteur de disquettes, vous devrez par -conséquent l'utiliser pour lancer le programme d'installation, et ensuite -indiquer à ce programme d'utiliser le cédérom. - -</para><para> - -Pour amorcer une machine Pegasos II sur un CD/DVD &debian;, il faut garder -la touche <keycap>Esc</keycap> enfoncée immédiatement après avoir appuyé -sur le bouton de contact. Quand l'invite SmartFirmware apparaît, saisissez : - -<informalexample><screen> -boot cd install/pegasos -</screen></informalexample> - -</para> -<para> - -Sur une machine YDL Powerstation, appuyez la touche <keycap>s</keycap> immédiatement après -le message <quote> Press 's' to enter Open Firmware </quote>. Quand l'invite SLOF apparaît, saisissez : - -<informalexample><screen> -0 > boot cdrom -</screen></informalexample> - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="powerpc" id="install-drive"> - <title>Amorcer à partir d'un disque dur</title> - -&boot-installer-intro-hd.xml; -<!-- - <sect3><title>Amorcer CHRP à partir d'OpenFirmware</title> - -<para> - - <emphasis>Pas encore écrit</emphasis> - -</para> - </sect3> ---> - <sect3><title>Amorcer les PowerMAC OldWorld à partir de MacOS</title> -<para> - -Si vous configurez BootX dans <xref linkend="files-oldworld"/>, vous pouvez -l'utiliser pour amorcer le système d'installation. Cliquez deux fois sur -l'icône de l'application <guiicon>BootX</guiicon>. Cliquez sur le bouton de -l'option <guibutton>Options</guibutton> et sélectionnez -<guilabel>Utiliser le disque virtuel spécifié</guilabel>. Cela vous laissera -la possibilité de sélectionner le fichier -<filename>ramdisk.image.gz</filename>. -Il se peut que, suivant votre matériel, vous ayez à sélectionner -l'option <guilabel>No Video Driver</guilabel>. Ensuite, cliquez sur le bouton -<guibutton>Linux</guibutton> pour éteindre MacOS et lancer l'installateur. - -</para> - </sect3> - - - <sect3 id="boot-newworld"> - <title>Amorcer les Mac NewWorld depuis l'OpenFirmware</title> -<para> - -Vous devez déjà avoir placé les fichiers <filename>vmlinux</filename>, -<filename>initrd.gz</filename>, <filename>yaboot</filename> et -<filename>yaboot.conf</filename> à la racine de votre partition HFS dans -<xref linkend="files-newworld"/>. -Il vous faut maintenant amorcer l'OpenFirmware (voyez <xref linkend="invoking-openfirmware"/>). -À l'invite, saisissez - -<informalexample><screen> -0 > boot hd:<replaceable>x</replaceable>,yaboot -</screen></informalexample> - -en remplaçant <replaceable>x</replaceable> par la numéro de la partition HFS -où se trouvent le noyau et les fichiers de yaboot, le tout suivi -par &enterkey;. Sur certaines machines, vous devrez utiliser -<userinput>ide0:</userinput> à la place de <userinput>hd:</userinput>. Après -quelques secondes, vous devriez voir apparaître l'invite de yaboot. - -<informalexample><screen> - -boot: - -</screen></informalexample> - -À l'invite <prompt>boot:</prompt>, saisissez soit -<userinput>install</userinput> soit <userinput>install video=ofonly</userinput> -suivi de &enterkey;.. Le paramètre <userinput>video=ofonly</userinput> offre -une compatibilité maximale ; vous pouvez l'essayer si l'argument -<userinput>install</userinput> échoue. L'installateur &debian; devrait démarrer. - -</para> - </sect3> - </sect2> - -<sect2 arch="powerpc" condition="bootable-usb" id="usb-boot"> -<title>Amorcer sur une clé USB</title> -<para> - -Les systèmes NewWorld PowerMac peuvent s'amorcer sur un périphérique USB. -</para> -<para> -Préparez tout suivant <xref linkend="boot-usb-files"/>. Pour amorcer un -système Macintosh sur une clé USB, vous devez utiliser l'invite -du microprogramme Open Firmware car celui-ci ne recherche pas automatiquement -les périphériques USB. -<!-- TODO: although it could be made to; watch this space --> -Voyez <xref linkend="invoking-openfirmware"/>. -</para> - -<para> -Vous devez chercher où se trouve le périphérique USB dans l'arborescence car -pour l'instant <command>ofpath</command> ne peut pas le trouver -automatiquement. Saisissez, à l'invite du microprogramme, -<userinput>dev / ls</userinput> et <userinput>devalias</userinput> pour obtenir -une liste des périphériques connus et de leurs alias. Sur le système de -l'auteur, de telles adresses existent, <filename>usb0/disk</filename>, -<filename>usb0/hub/disk</filename>, -<filename>/pci@f2000000/usb@1b,1/disk@1</filename>, et -<filename>/pci@f2000000/usb@1b,1/hub@1/disk@1</filename>. -</para> -<para> - -Quand vous connaissez l'adresse du périphérique, amorcez l'installateur -comme suit : - -<informalexample><screen> -boot <replaceable>usb0/disk</replaceable>:<replaceable>2</replaceable>,\\:tbxi -</screen></informalexample> - -Le <replaceable>2</replaceable> signifie la partition Apple_HFS ou -Apple_Bootstrap sur laquelle vous avez copié l'image d'amorçage, et -le <userinput>,\\:tbxi</userinput> demande au microprogramme d'amorcer sur -un fichier HFS de type "tbxi" (<command>yaboot</command>) qui se trouve dans -le répertoire préalablement préparé avec <command>hattrib -b</command>. -</para> -<para> -Le système devrait s'amorcer et vous devriez voir une invite -<prompt>boot:</prompt>. Vous pouvez saisir des paramètres d'amorçage, ou -appuyer simplement sur &enterkey;. -</para> -<warning><para> -Cette méthode est nouvelle. Il se peut qu'elle soit difficile à mettre en -œuvre sur des systèmes NewWorld. Si vous rencontrez des problèmes, -envoyez un rapport de bogue. Voyez <xref linkend="submit-bug"/>. -</para></warning> -</sect2> - -<sect2 arch="powerpc" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> - -&boot-installer-intro-net.xml; - -<para> - -Aujourd'hui, les systèmes PReP et PowerMac NewWorld peuvent s'amorcer depuis -le réseau. - -</para><para> - -Sur les machines avec Open Firmware, comme les Macs NewWorld Power, entrez -simplement dans le moniteur d'amorçage (voir -<xref linkend="invoking-openfirmware"/>) et utilisez la commande - -<informalexample><screen> -0 > boot enet:0 -</screen></informalexample> - -Si cela ne fonctionne pas, il faudra peut-être ajouter le nom du fichier : - -<informalexample><screen> -0 > boot enet:0,yaboot -</screen></informalexample> - -Les machines PReP et CHRP peuvent se connecter au réseau d'une -façon différente. -Sur une machine PReP, vous pouvez essayer - -<informalexample><screen> -boot net:<replaceable>server_ipaddr</replaceable>,<replaceable>file</replaceable>,<replaceable>client_ipaddr</replaceable> -</screen></informalexample> - -Sur certains systèmes PReP (les machines Motorola PowerStack par exemple), la commande -<userinput>help boot</userinput> donne une description de la syntaxe et des options -disponibles. - - -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="powerpc" condition="supports-floppy-boot"> - <title>Amorcer depuis des disquettes</title> -<para> - -&arch-title; peut s'amorcer depuis des disquettes, bien que cela soit -généralement réservé aux systèmes OldWorld. Les systèmes NewWorld n'ont pas de -de lecteurs de disquettes et ils ne peuvent pas s'amorcer depuis des lecteurs -de disquettes USB. - -</para><para> - -Vous devez avoir déjà téléchargé les images de disquettes nécessaires à -partir des images présentes dans <xref linkend="create-floppy"/>. - -</para><para> - -Pour amorcer à partir de la disquette <filename>boot-floppy-hfs.img</filename>, - placez-la dans le lecteur de disquettes après avoir arrêté le - système et avant d'avoir pressé le bouton de mise en route. - -</para><note><para> -Pour les personnes qui ne seraient pas habituées à manipuler des - disquettes Macintosh : une disquette présente dans la machine - avant le démarrage sera considérée comme prioritaire lors du lancement - du système. Une disquette sans système de démarrage valide sera éjectée, - et la machine recherchera alors les partitions amorçables du disque dur. - -</para></note><para> - -Après l'amorçage, la disquette <filename>root.bin</filename> est requise. - Insérez la disquette root et pressez &enterkey;. Le programme - d'installation est automatiquement lancé à la suite du chargement en -mémoire du système root. - -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="powerpc"><title>Paramètres d'amorçage PowerPC</title> -<para> - -De nombreux moniteurs Apple utilisent un mode 640x480 67Hz. Si - l'affichage est oblique sur un vieux moniteur Apple, essayez -d'utiliser le paramètre d'amorçage <userinput>video=atyfb:vmode:6</userinput>, - qui choisira ce mode pour la plus part des cartes vidéo Mach64 - et Rage. Pour les cartes à base de Rage 128, il s'agit de -<userinput>video=aty128fb:vmode:6</userinput>. - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/s390.xml b/fr/boot-installer/s390.xml deleted file mode 100644 index 25adf2ec0..000000000 --- a/fr/boot-installer/s390.xml +++ /dev/null @@ -1,64 +0,0 @@ -<!-- original version: 68399 --> - - <sect2 arch="s390"><title>Limitations des s390</title> -<para> - -Pour pouvoir lancer le système d'installation sur les S/390, vous avez besoin -d'un réseau en état de marche ainsi qu'une session ssh. - -</para><para> - -Le processus de démarrage commence avec la configuration du réseau, -où l'on vous demande d'indiquer les paramètres de votre réseau. Si -la configuration s'achève convenablement, vous vous connecterez sur le système -en lançant une session ssh, ce qui lancera le système d'installation standard. - -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="s390"><title>Paramètres d'amorçage pour s390</title> -<para> - -Sur les S/390, vous pouvez passer les paramètres d'amorçage dans -le fichier « parm ». Ce fichier peut être soit en ASCII soit au format EBCDIC. -Un fichier <filename>parmfile.debian</filename> d'exemple est fourni -avec les images d'installation. -Quand un paramètre dépasse 80 caractères, on peut continuer sa saisie sur la première -colonne de la ligne suivante. Toutes les lignes sont concaténées sans espace quand elles sont -passées au noyau. - -<!-- Link is bad; commented out for now -Veuillez lire -<ulink url="&url-s390-devices;">Pilotes de périphériques et commandes -d'installation</ulink> pour avoir plus d'informations au sujet des -paramètres d'amorçage spécifiques à S/390. ---> -</para> -<para> - -Si vous amorcez l'installateur dans une partition logique (LPAR) ou sur une -machine virtuelle (VM) où beaucoup de périphériques sont visibles, vous -pouvez restreindre le nombre de périphériques pris en charge par le noyau. -Cette restriction est conseillée pour le processus d'amorçage de -l'installateur. L'option « cio_ignore » accepte une <emphasis>blacklist</emphasis> -(supprimer des périphériques) et une <emphasis>whitelist</emphasis> (autoriser certains -périphériques) : - -<informalexample role="example"><screen> - # blacklist: ignorer les périphériques 300 et 301 - cio_ignore=0.0.0300-0.0.0301 - # whitelist: ignorer tout sauf 1150, FD00, FD01 et FD02 - cio_ignore=all,!0.0.1150,!0.0.fd00-0.0.fd02 -</screen></informalexample> - -Notez que tous les chiffres hexadécimaux des numéros de périphériques -doivent être saisis en minuscule. -Quand cette option est utilisée, vous devez lister tous les périphériques, -les disques, les périphériques réseau, la console. -Pour être prise en charge par le processus d'amorçage de l'installateur, -cette option doit être ajoutée dans le fichier <filename>parmfile.debian</filename>. - -</para> - </sect2> - diff --git a/fr/boot-installer/sparc.xml b/fr/boot-installer/sparc.xml deleted file mode 100644 index 475982334..000000000 --- a/fr/boot-installer/sparc.xml +++ /dev/null @@ -1,47 +0,0 @@ -<!-- original version: 58021 --> - - <sect2 arch="sparc" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> - -&boot-installer-intro-net.xml; - -<para> - -Sur les machines avec OpenBoot, entrez simplement dans le moniteur d'amorçage -de la machine que vous êtes en train d'installer -(voir <xref linkend="invoking-openboot"/>). Utilisez la commande -<userinput>boot net</userinput> pour amorcer depuis un serveur TFTP et -RARP ; vous pouvez aussi utiliser les commandes -<userinput>boot net:bootp</userinput> ou <userinput>boot net:dhcp</userinput> -pour amorcer avec un serveur TFTP et BOOTP ou avec un serveur DHCP. -À la fin de la commande <userinput>boot</userinput>, vous pouvez passer d'autres paramètres d'amorçage -à l'installateur. - -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="sparc"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> - -&boot-installer-intro-cd.xml; - -<para> - -La plupart des versions d'OpenBoot acceptent la commande -<userinput>boot cdrom</userinput> qui est un simple alias pour amorcer sur le -périphérique SCSI n°6 (ou le second maître pour les systèmes à base d'IDE). - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="sparc"><title>Messages IDPROM</title> -<para> - -Si vous ne pouvez pas amorcer parce que vous avez des messages au sujet d'un -problème avec l'<quote>IDPROM</quote>, alors il est possible que la batterie -de la NVRAM, qui permet de garder en mémoire les informations -de votre microprogramme, soit épuisée. Voir la -<ulink url="&url-sun-nvram-faq;">FAQ Sun NVRAM</ulink> pour plus - d'informations. - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/boot-installer/trouble.xml b/fr/boot-installer/trouble.xml deleted file mode 100644 index 6f52d78e2..000000000 --- a/fr/boot-installer/trouble.xml +++ /dev/null @@ -1,565 +0,0 @@ -<!-- original version: 68014 --> - - <sect1 id="boot-troubleshooting"> - <title>Dysfonctionnements pendant la procédure d'installation</title> -<para> -</para> - - <sect2 arch="not-s390" id="unreliable-cd"> - <title>Fiabilité des lecteurs de CD</title> -<para> - -Parfois, particulièrement avec d'anciens lecteurs, l'installateur ne -peut s'amorcer à partir d'un CD. Il arrive aussi, même après un amorçage -réussi, que l'installateur ne reconnaisse pas le lecteur ou bien signale des erreurs -de lecture pendant l'installation. -</para> -<para> -Plusieurs causes sont possibles. Voici une liste de problèmes connus, accompagnés -de suggestions sur la manière de les traiter. -</para> -<para> -On peut tout d'abord essayer deux choses très simples : - -<itemizedlist> -<listitem><para> -Si le CD ne s'amorce pas, il faut vérifier qu'il est correctement inséré et -qu'il n'est pas sale. -</para></listitem> -<listitem><para> -Si l'installateur ne reconnaît pas le CD, on peut lancer une deuxième fois -l'option <menuchoice> <guimenuitem>Détecter et monter un CD-ROM</guimenuitem></menuchoice>. -Certains problèmes de DMA avec les très anciens lecteurs sont résolus de cette façon. -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> -<para> -Si rien ne fonctionne, essayez les suggestions qui suivent. La plupart, mais pas toutes, -concernent aussi bien les CD-ROM que les DVD, mais nous utilisons le terme CD pour -simplifier. -</para> - -<para> -Si vous ne pouvez faire l'installation à partir d'un CD, vous pouvez essayer l'une -des autres méthodes disponibles. -</para> - - <sect3> - <title>Problèmes communs</title> - -<itemizedlist> - - <listitem><para> -Certains lecteurs anciens ne peuvent lire des disques gravés à grande vitesse sur -les lecteurs modernes. -</para></listitem> - -<!-- -<listitem><para> -Quand le système s'amorce correctement à partir d'un CD, cela ne veut pas -nécessairement dire que &arch-kernel; reconnaisse le contrôleur auquel est connecté -le lecteur de CD. -</para></listitem> - ---> -<listitem><para> -Certains lecteurs très anciens ne fonctionnent pas correctement si le DMA (<emphasis>direct memory -access</emphasis>) est activé. -</para></listitem> -</itemizedlist> -</sect3> - -<sect3> - <title>Comment résoudre ces problèmes ?</title> -<para> -Si le CD ne peut amorcer l'installateur, voici une liste de suggestions : - -<itemizedlist> - <listitem><para> - -Vérifiez que le BIOS est réellement capable de gérer l'amorçage à partir d'un CD, -certains très anciens systèmes ne le permettent pas et que le lecteur -est bien le périphérique d'amorçage -. -</para></listitem> -<listitem><para> - -Si vous avez téléchargé une image ISO, vérifiez que la somme MD5 de cette image -correspond à celle associée dans le fichier <filename>MD5SUMS</filename>. Ce fichier se trouve -normalement là où vous avez téléchargé l'image. - -<informalexample><screen> -$ md5sum <replaceable>debian-testing-i386-netinst.iso</replaceable> -a20391b12f7ff22ef705cee4059c6b92 <replaceable>debian-testing-i386-netinst.iso</replaceable> -</screen></informalexample> - -Vérifiez ensuite que la somme MD5 du CD gravé correspond aussi. La commande -suivante devrait fonctionner. Elle utilise la taille de l'image pour lire le nombre d'octets -sur le CD. - -<informalexample><screen> -$ dd if=/dev/cdrom | \ -> head -c `stat --format=%s <replaceable>debian-testing-i386-netinst.iso</replaceable>` | \ -> md5sum -a20391b12f7ff22ef705cee4059c6b92 - -262668+0 records in -262668+0 records out -134486016 bytes (134 MB) copied, 97.474 seconds, 1.4 MB/s -</screen></informalexample> - -</para></listitem> -</itemizedlist> -</para> - -<para> -Quand le lecteur de CD n'est pas reconnu même après un amorçage réussi, il suffit souvent -de recommencer pour résoudre le problème. Si vous possédez plusieurs lecteurs, -mettez le CD dans l'autre lecteur. Si rien ne fonctionne ou si des erreurs de lecture -sont signalées, essayez les suggestions listées ci-dessous. Une connaissance élémentaire -de &arch-kernel; est nécessaire. Pour exécuter ces commandes, il faut passer sur la deuxième -console virtuelle (VT2) et lancer un interpréteur de commandes. - -<itemizedlist> - <listitem><para> - -Passez sur VT4 et consultez le fichier <filename>/var/log/syslog</filename> (avec l'éditeur -<command>nano</command>) en recherchant des messages d'erreur spécifiques. Vérifiez -ensuite la sortie de <command>dmesg</command>. -</para></listitem> -<listitem><para> -Si votre lecteur a été reconnu, vérifiez la sortie de <command>dmesg</command>. -Vous devriez voir des lignes de ce type (elles ne se suivent pas nécessairement) : - -<informalexample><screen> -Probing IDE interface ide1... -hdc: TOSHIBA DVD-ROM SD-R6112, ATAPI CD/DVD-ROM drive -ide1 at 0x170-0x177,0x376 on irq 15 -hdc: ATAPI 24X DVD-ROM DVD-R CD-R/RW drive, 2048kB Cache, UDMA(33) -Uniform CD-ROM driver Revision: 3.20 -</screen></informalexample> - -Si vous ne voyez rien de tel, il est probable que le contrôleur du lecteur -n'a pas été reconnu ou qu'il n'est pas du tout géré. Si vous connaissez le pilote nécessaire -à ce contrôleur, vous pouvez le charger vous-même avec <command>modprobe</command>. -</para></listitem> -<listitem><para> -Vérifiez que le lecteur de CD est bien listé dans le répertoire <filename>/dev/</filename>. -Pour l'exemple ci-dessus, ce serait <filename>/dev/hdc</filename>. -Il doit exister aussi un fichier <filename>/dev/cdrom</filename>. -</para></listitem> -<listitem><para> -Vérifiez avec la commande <command>mount</command> que le CD est déjà monté. -Si non, montez-le vous-même : - -<informalexample><screen> -$ mount /dev/<replaceable>hdc</replaceable> /cdrom -</screen></informalexample> - -Vérifiez si cette commande a provoqué des messages d'erreur. - -</para></listitem> -<listitem><para> -Vérifiez si le DMA est activé : - -<informalexample><screen> -$ cd /proc/<replaceable>ide</replaceable>/<replaceable>hdc</replaceable> -$ grep using_dma settings -using_dma 1 0 1 rw -</screen></informalexample> - -Un <quote>1</quote> dans la première colonne après <literal>using_dma</literal> -signifie qu'il est activé. Dans ce cas, désactivez-le : - -<informalexample><screen> -$ echo -n "using_dma:0" >settings -</screen></informalexample> - -Assurez-vous que vous êtes bien dans le répertoire du périphérique qui -correspond au lecteur de CD. -</para></listitem> -<listitem><para> -Si vous rencontrez des problèmes pendant l'installation, vérifiez l'intégrité du CD -avec l'option qui se trouve en fin du menu principal de l'installateur. -Cette option peut aussi servir de test quand le CD est lu correctement. -</para></listitem> -</itemizedlist> -</para> -</sect3> -</sect2> - - - <sect2 condition="supports-floppy-boot" id="unreliable-floppies"> - <title>Fiabilité des disquettes</title> - -<para> - -Le plus gros problème pour les gens qui utilisent des disquettes pour installer &debian; -est celui de leur fiabilité. - -</para><para> - -La disquette d'amorçage est celle qui pose les problèmes les plus délicats -car elle est lue directement par le matériel, avant que Linux ne se charge. -Souvent, le matériel ne lit pas aussi sûrement qu'un pilote Linux de lecteur de -disquettes et peut s'arrêter sans message d'erreur quand il lit -des données incorrectes. Il peut aussi y avoir des erreurs avec les -disquettes de pilotes et la plupart d'entre elles se signalent par des -messages sur des erreurs d'entrée/sortie (<emphasis>I/O error</emphasis>). - -</para><para> - -Si vous êtes bloqué pendant l'installation avec une disquette, la première -chose à faire est de réécrire l'image sur une <emphasis>nouvelle</emphasis> disquette. -Reformater -simplement l'ancienne disquette peut être insuffisant, même si la disquette est -reformatée et écrite sans erreur. Il est parfois utile d'écrire les disquettes -sur un autre système. - -</para><para> - -Un utilisateur a signalé qu'il avait dû réécrire les -images sur la disquette <emphasis>trois</emphasis> fois avant qu'elle -fonctionne ; ensuite, tout s'est bien déroulé avec cette -troisième disquette. - -</para> -<para> -Normalement, il n'est pas nécessaire de télécharger à nouveau l'image ; -mais, en cas de problèmes, il est toujours utile de vérifier que les images ont été -correctement téléchargées en vérifiant les sommes MD5. - -</para><para> - -D'autres utilisateurs ont signalé qu'en redémarrant plusieurs fois avec la -même disquette, on arrive parfois à faire amorcer le système. Tout cela est -dû à des défaillances matérielles ou à des défaillances du microprogramme -de contrôle des lecteurs de disquettes. - -</para> - </sect2> - - <sect2><title>Configuration d'amorçage</title> - -<para> - -Si le noyau se bloque pendant la phase d'amorçage, s'il ne reconnaît pas vos périphériques -ou bien si les disques ne sont pas identifiés correctement, la première chose à faire -est de vérifier les paramètres d'amorçage, ainsi qu'il a été discuté -dans la <xref linkend="boot-parms"/>. - -</para> - -<para arch="not-s390"> - -Parfois, les dysfonctionnements proviennent de microprogrammes manquants, voyez -see <xref linkend="hardware-firmware"/> and <xref linkend="loading-firmware"/>. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="x86"> - <title>Synthèse vocale logicielle</title> - -<para> - -Quand la synthèse vocale logicielle ne fonctionne pas, le problème vient souvent -de la carte son. Soit le pilote de cette carte n'est pas connu de l'installateur, -soit il utilise des canaux de mixage inhabituels qui sont muets (<emphasis>muted</emphasis>) par défaut. -Vous pouvez envoyer un rapport de bogue qui comprenne la sortie des commandes suivantes, -exécutées sur la même machine, à partir d'un système Linux sur lequel le son fonctionne -correctement, par exemple un CD live. - -<itemizedlist> -<listitem> -<para><userinput>dmesg</userinput></para> -</listitem><listitem> -<para><userinput>lspci</userinput></para> -</listitem><listitem> -<para><userinput>lsmod</userinput></para> -</listitem><listitem> -<para><userinput>amixer</userinput></para> -</listitem> -</itemizedlist> - -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="x86" id="i386-boot-problems"> - <title>Problèmes communs sur &arch-title;</title> - -<para> -Certains problèmes d'installation peuvent être résolus ou évités en -passant des paramètres d'amorçage à l'installateur. -</para> - -<!-- outdated -<para> -Certains systèmes ont un lecteur de disquettes avec -« DCL inversés ». Si vous obtenez des erreurs lors de la -lecture de disquettes et si vous savez que les disquettes sont -correctes, essayez le paramètre <userinput>floppy=thinkpad</userinput>. -</para> -<para> -Sur certains systèmes, tels que les IBM PS/1 ou ValuePoint (qui ont des -pilotes de disques ST-506), le disque IDE peut ne pas être reconnu. Encore -une fois, essayez d'abord sans paramètre supplémentaire pour voir si -votre disque IDE est reconnu correctement. Si ce n'est pas le cas, déterminez -la géométrie du disque (cylindres, têtes et secteurs) et utilisez le -paramètre -<userinput>hd=<replaceable>cylindres</replaceable>,<replaceable>têtes</replaceable>,<replaceable>secteurs</replaceable></userinput>. -</para> -<para> -Si vous avez une très vieille machine et si le noyau gèle après avoir -affiché <computeroutput>Checking 'hlt' instruction...</computeroutput>, -vous devez passer le paramètre d'amorçage <userinput>no-hlt</userinput> -qui désactive ce test. -</para> -<para> -Certains systèmes, particulièrement les portables, dont la résolution par défaut -n'est pas 4:3 (différente de 800x600 ou 1024x768 par exemple) peuvent présenter -un écran blanc quand l'installateur a été amorcé. Dans ce cas, on peut ajouter le paramètre -d'amorçage <userinput>vga=788</userinput> <footnote> -<para> -Le paramètre <userinput>vga=788</userinput> active le tampon vidéo VESA -avec une résolution de 800x600. Cela fonctionnera probablement mais ce n'est -sans doute pas la meilleure résolution pour votre système. Le paramètre -<userinput>vga=ask</userinput> donne une liste des résolutions disponibles -mais elle n'est pas complète.</para></footnote>. -Si cela ne fonctionne pas, on peut essayer le paramètre <userinput>fb=false</userinput>. -</para> ---> - -<para> -Si votre écran commence à afficher une image bizarre lors des démarrages -du noyau, par exemple, un écran entièrement blanc, noir ou un écran -contenant un mélange de couleurs, alors très certainement la carte -video du système ne parvient pas à passer en mode -<emphasis>framebuffer</emphasis> correctement. Dans ce cas, essayez de -passer le paramètre d'amorçage <userinput>fb=false</userinput> -pour désactiver la console <emphasis>framebuffer</emphasis>. Seules quelques -langues seront utilisables pour l'installation, à cause des caractéristiques -limitées de la console. Référez-vous à la <xref linkend="boot-parms"/> pour plus -de précisions. -</para> - -<sect3> -<title>Le système bloque lors de la configuration des services PCMCIA</title> -<para> -Quelques très anciens ordinateurs portables fabriqués par Dell s'arrêtent fréquemment de -fonctionner lorsque la détection des périphériques essaie d'accéder à certaines -adresses matérielles. D'autres portables connaissent aussi des problèmes -semblables. Si vous rencontrez un tel problème et si vous n'avez pas besoin de -services PCMCIA pendant l'installation, vous pouvez désactiver cette option avec le -paramètre <userinput>hw-detect/start_pcmcia=false</userinput>. Vous pourrez -configurer les services PCMCIA après l'installation et éviter le problème des adresses des -ressources. - </para> -<para> -Vous pouvez aussi démarrer l'installateur en mode expert. -Vous pourrez ainsi indiquer les options pour les adresses des -ressources de votre matériel. Par exemple, si votre ordinateur est un des portables -Dell mentionnés plus haut, vous pouvez indiquer -<userinput>exclude port 0x800-0x8ff</userinput>. Il existe une liste de -ces options communes dans la section sur les ressources système du -<ulink -url="http://pcmcia-cs.sourceforge.net/ftp/doc/PCMCIA-HOWTO-1.html#ss1.12">HOWTO -PCMCIA</ulink>. Notez qu'il faut supprimer les virgules quand vous -passez ces valeurs à l'installateur. -</para> -</sect3> - -<!-- -<sect3> -<title>Le système se bloque lors du chargement des modules USB</title> -<para> -Le noyau essaye normalement d'installer les modules USB et les pilotes -de claviers USB afin de permettre l'installation de quelques claviers USB -non standard. Cependant, sur certains systèmes USB, le pilote provoque un -blocage lors du démarrage. -Il est possible d'éviter ces problèmes en désactivant le contrôleur USB -dans la configuration BIOS de votre carte mère. Il est également possible -d'utiliser le paramètre <userinput>debian-installer/probe/usb=false</userinput> à l'invite de -démarrage. -</para> -</sect3> ---> - -</sect2> - - <sect2 arch="sparc" id="sparc-boot-problems"> - <title>Problèmes communs sur &arch-title;</title> -<para> - -Certains problèmes communs lors de l'installation méritent une mention. -</para> - <sect3> - <title>Sortie video mal dirigée</title> -<para> - -Il est très courant qu'une machine possède deux cartes vidéo, par exemple une carte -ATI et une carte Sun Creator 3D. Dès lors, après le démarrage du système, il se peut -que la sortie vidéo soit mal dirigée. Si c'est le cas, l'affichage est : - -<informalexample><screen> -Remapping the kernel... done -Booting Linux... -</screen></informalexample> - -Pour contourner ce problème, vous pouvez soit retirer l'une des cartes soit -désactiver celle qui n'est pas utilisée pendant la phase d'amorçage de l'OpenProm -avec un paramètre du noyau. Par exemple, pour désactiver une carte ATI, amorcez -l'installateur avec le paramètre <userinput>video=atyfb:off</userinput>. -</para><para> - -Notez que vous aurez à ajouter ce paramètre au fichier de configuration de silo -(modifiez <filename>/target/etc/silo.conf</filename> avant le redémarrage). -Si vous installez X11, vous devez modifier aussi le pilote vidéo dans -<filename>/etc/X11/xorg.conf</filename>. -</para> -</sect3> - - <sect3> - <title>Amorçage ou installation impossibles à partir d'un CD</title> -<para> - -Il est connu que certains systèmes Sparc s'amorcent difficilement par -CD et, même si l'amorçage réussit, l'installation échoue parfois inexplicablement. -La plupart des problèmes ont été signalés sur des systèmes SunBlade. -</para> -<para> -Pour de tels systèmes, nous recommandons d'amorcer l'installateur par le réseau. -</para> -</sect3> -</sect2> - - - <sect2 id="kernel-msgs"> - <title>Comprendre les messages du noyau au démarrage</title> - -<para> - -Durant la séquence de démarrage, vous pouvez voir beaucoup de messages du -genre -<computeroutput>can't find <replaceable>something</replaceable></computeroutput>, -ou <computeroutput><replaceable>something</replaceable> not present</computeroutput>, -<computeroutput>can't initialize <replaceable>something</replaceable></computeroutput> ou même -<computeroutput>this driver release depends on <replaceable>something</replaceable> </computeroutput>. La plupart de ces messages sont sans conséquence. -Vous les voyez parce que le noyau du système d'installation est conçu pour -tourner sur des ordinateurs avec des périphériques très différents. Évidemment, -aucun ordinateur ne possède tous les périphériques possibles, -et le système d'exploitation recherche un périphérique que vous ne possédez pas. Vous pourriez -également voir le système s'arrêter pendant un moment. Cela arrive quand il -attend la réponse d'un périphérique qui n'est pas présent sur votre système. -Si vous trouvez le temps de démarrage du système exagérément long, vous -pouvez créer un noyau personnalisé <phrase arch="linux-any">(voyez : <xref linkend="kernel-baking"/>)</phrase>. - -</para> - </sect2> - - - <sect2 id="problem-report"> - <title>Signaler les problèmes</title> -<para> - -Si vous parvenez à la fin de la phase d'amorçage mais que vous ne parveniez -pas à terminer l'installation, le choix <guimenuitem>Sauvegarder les journaux de débogage</guimenuitem> -du menu peut vous aider. -Vous pouvez copier sur une disquette les journaux contenant les erreurs système -et des informations sur la configuration ou vous pouvez les consulter avec un navigateur web. -Toutes ces informations peuvent donner des indications sur ce qui s'est mal passé et -sur la manière de le corriger. Si vous envoyez un rapport de bogue, vous -pouvez attacher cette information au rapport. - -</para><para> - -Pendant l'installation, d'autres messages intéressants se trouvent dans le -fichier <filename>/target/var/log/debian-installer/</filename>, et, quand -l'ordinateur a démarré le nouveau système installé, ces messages se trouvent -dans le fichier <filename>/var/log/installer/</filename>. - -</para> - </sect2> - - <sect2 id="submit-bug"> - <title>Faire un rapport de bogue</title> -<para> - -Si vous avez toujours des ennuis, faites un rapport de bogue. -Nous vous demandons aussi d'envoyer des rapports sur les installations -réussies, car nous cherchons des informations sur toutes les configurations -matérielles possibles. - -</para> - -<para> - -Notez que votre rapport d'installation sera publié dans le -système de suivi des bogues, <emphasis>Bug Tracking System (BTS)</emphasis>, -de Debian et envoyé sur une liste de diffusion publique. -Votre adresse de courrier sera aussi rendue publique. - -</para> - -<para> - -Si vous utilisez déjà un système &debian;, vous pouvez installer les paquets -<classname>installation-report</classname> et <classname>reportbug</classname> -(<command>aptitude install installation-report reportbug</command>). -Configurez <classname>reportbug</classname> en suivant les explications -données dans <xref linkend="mail-outgoing"/>, puis exécutez la commande -<command>reportbug installation-reports</command>. - -</para> - -<para> - -Vous pouvez aussi utiliser le modèle suivant. Envoyez-le comme un -rapport de bogue pour le paquet <classname>installation-reports</classname>, -à l'adresse <email>submit@bugs.debian.org</email>. - -<informalexample><screen> -Package: installation-reports - -Boot method: <Comment avez-vous amorcé l'installateur ? CD, disquette ? réseau ?> -Image version: <URL complète de l'image téléchargée> -Date: <Date et heure de l'installation> - -Machine: <Description de la machine (p. ex. IBM Thinkpad R32)> -Processor: -Memory: -Partitions: <df -Tl ; mais nous préférons la table des partitions> - -Résultat de lspci -knn (ou lspci -nn) : - -Installation du système de base : -[O] = OK, [E] = Error (please elaborate below), [ ] = didn't try it - -Initial boot: [ ] -Detect network card: [ ] -Configure network: [ ] -Detect CD: [ ] -Load installer modules: [ ] -Detect hard drives: [ ] -Partition hard drives: [ ] -Install base system: [ ] -Clock/timezone setup: [ ] -User/password setup: [ ] -Install tasks: [ ] -Install boot loader: [ ] -Overall install: [ ] - -Comments/Problems: - -<Décrivez l'installation, les pensées, commentaires ou idées de propositions -que vous avez eus pendant cette installation.> -</screen></informalexample> - -Dans le rapport de bogue, décrivez le problème en incluant les derniers -messages visibles du noyau dans le cas d'un plantage du noyau. Décrivez les -étapes que vous avez effectuées pour arriver là. - -</para> -</sect2> -</sect1> diff --git a/fr/boot-installer/x86.xml b/fr/boot-installer/x86.xml deleted file mode 100644 index b67cdcddb..000000000 --- a/fr/boot-installer/x86.xml +++ /dev/null @@ -1,541 +0,0 @@ -<!-- original version: 69241 --> - - <sect2 arch="any-x86"><title>Amorcer depuis un cédérom</title> - -&boot-installer-intro-cd.xml; - -<!-- We'll comment the following section until we know exact layout --> -<!-- -Le cédérom n° 1 des cédéroms officiels de &debian; pour - &arch-title; vous présentera une invite <prompt>boot:</prompt> sur la - plupart des matériels. Appuyez sur <keycap>F4</keycap> pour afficher la - liste des options du noyau disponibles à partir desquelles - amorcer. Tapez simplement le nom de la saveur (idepci, vanilla, - compact, bf24) après l'invite de <prompt>boot:</prompt> et validez par - &enterkey;. - -</para><para> - -Si votre matériel ne supporte pas l'amorçage d'images multiples, - insérez un des autres cédéroms dans le lecteur. Il semble que la - plupart des lecteurs de cédéroms SCSI soient incapables de gérer -l'amorçage d'images multiples de <command>isolinux</command>, les - possesseurs de tels lecteurs de cédéroms devraient essayer le - cédérom 2 (vanilla), 3 (compact) ou 5 (bf2.4). - -</para><para> - -Les cédéroms numéro 2 à 5 amorceront chacun sur une saveur différente -dépendant du cédérom inséré. cf.<xref linkend="kernel-choice"/> -pour une discussion sur les différentes -variantes. Voici comment sont disposées les variantes sur les - différents cédéroms : - -<variablelist> -<varlistentry> -<term>CD 1</term><listitem><para> - - Sur les nouveaux matériels, il permet une sélection - d'images de noyau à amorcer. Sur les vieux matériels, il - amorcera le noyau en saveur « idepci » ; - -</para></listitem></varlistentry> -<varlistentry> -<term>CD 2</term><listitem><para> - -Amorce la saveur « vanilla » ; - -</para></listitem></varlistentry> -<varlistentry> -<term>CD 3</term><listitem><para> - -Amorce la saveur « compact » ; - -</para></listitem></varlistentry> -<varlistentry> -<term>CD 4</term><listitem><para> - -Amorce la saveur « idepci » ; - -</para></listitem></varlistentry> -<varlistentry> -<term>CD 5</term><listitem><para> - -Amorce la saveur « bf2.4 ». - -</para></listitem></varlistentry> - - </variablelist> - -</para><para> - ---> - -</sect2> - - <sect2 arch="any-x86" id="boot-win32"> - <title>Amorcer depuis Windows</title> - -<para> -Pour lancer l'installateur à partir de Windows, vous devez - -<itemizedlist> -<listitem><para> -disposer d'un CD-ROM/DVD-ROM<phrase condition="bootable-usb"> ou d'une clé USB d'installation</phrase>. -Consultez la section <xref linkend="official-cdrom"/><phrase condition="bootable-usb">et la section <xref linkend="boot-usb-files"/></phrase>. -</para></listitem> -<listitem><para> - -ou télécharger un exécutable Windows autonome, disponible dans le fichier -tools/win32-loader/stable/win32-loader.exe sur les miroirs &debian;. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> -<para> -Quand vous insérez le CD-ROM/DVD-ROM, un programme de pré-installation doit normalement -être lancé. Si Windows ne l'exécute pas ou si vous utilisez une clé USB, vous pouvez le lancer -vous-même en exécutant la commande <command>setup.exe</command> sur le périphérique. -</para> -<para> -Ce programme pose quelques questions préliminaires et prépare le système pour le lancement -de l'installateur &debian-gnu;. -</para> - - </sect2> - - - <sect2 arch="x86" id="install-from-dos"> - <title>Amorcer depuis DOS avec loadlin</title> - -<para> - -Démarrez sur MS-DOS (pas sur Windows). Vous pouvez par exemple -démarrer sur un disque de dépannage ou de diagnostic. -</para> -<para> -Si vous pouvez accéder au disque d'installation, modifiez le disque courant -pour le lecteur de cédérom, par exemple : - -<informalexample><screen> -d: -</screen></informalexample>. - -Sinon, modifiez le disque courant pour le disque dur que vous avez -préalablement préparé selon la méthode expliquée dans <xref linkend="files-loadlin"/>. -</para> -<para> -Allez dans le répertoire de la variante choisie, par exemple : - -<informalexample><screen> -cd \&x86-install-dir; -</screen></informalexample> - -Si vous préférez le mode graphique de l'installateur, allez dans -le sous-répertoire <filename>gtk</filename> : - -<informalexample><screen> -cd gtk -</screen></informalexample> - -Puis lancez la commande <command>install.bat</command>. Le noyau sera chargé -et l'installateur lancé. - -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="x86" id="boot-initrd"> - <title>Amorcer à partir de Linux avec <command>LILO</command> - ou <command>GRUB</command></title> - -<para> -Pour amorcer l'installateur sur un disque dur, vous devez d'abord télécharger -les fichiers et les installer comme l'explique la section -<xref linkend="boot-drive-files"/>. -</para> - -<para> -Si vous voulez utiliser le disque seulement pour l'amorçage et ensuite -utiliser le réseau pour télécharger tous les paquets, vous devez récupérer -le fichier <filename>netboot/debian-installer/&architecture;/initrd.gz</filename> et le -noyau qui lui correspond, <filename>netboot/debian-installer/&architecture;/linux</filename>. -Vous pourrez ainsi repartitionner le disque sur lequel se trouve l'installateur. -Toutefois cette opération demande un grand soin. -</para> - -<para> -Si vous voulez préserver une partition de ce disque, vous pouvez -télécharger le fichier <filename>hd-media/initrd.gz</filename> et le noyau -correspondant ; copiez aussi une image CD ou DVD sur le disque (assurez-vous -que le nom de cette image finit en <literal>.iso</literal>). L'installateur -peut alors se lancer à partir du disque dur et s'installer à partir de cette -image, sans avoir besoin du réseau. -</para> - -<para> - -Pour <command>LILO</command>, vous devez configurer deux choses essentielles -dans <filename>/etc/lilo.conf</filename> : -<itemizedlist> -<listitem><para> - -le chargement de <filename>initrd.gz</filename> au moment de l'amorçage ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -l'utilisation par le noyau <filename>vmlinuz</filename> d'un disque virtuel -en mémoire comme sa partition racine. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -Voici un exemple de fichier <filename>/etc/lilo.conf</filename> : - -</para><para> - -<informalexample><screen> -image=/boot/newinstall/vmlinuz - label=newinstall - initrd=/boot/newinstall/initrd.gz -</screen></informalexample> - -Pour plus de précisions, référez-vous aux pages de manuel de -<citerefentry><refentrytitle>initrd</refentrytitle> -<manvolnum>4</manvolnum></citerefentry> et de -<citerefentry><refentrytitle>lilo.conf</refentrytitle> -<manvolnum>5</manvolnum></citerefentry>. Exécutez maintenant -<userinput>lilo</userinput> et relancez la machine. -</para> - -<para> -La procédure pour <command>GRUB1</command> est relativement similaire. -Cherchez le fichier <filename>menu.lst</filename> dans le répertoire -<filename>/boot/grub/</filename> (parfois <filename>/boot/boot/grub/</filename>), -et ajoutez une entrée pour l'installateur, par exemple en supposant que -<filename>/boot</filename> soit sur la premiere partition du premier disque du système : - -<informalexample><screen> -title New Install -root (hd0,0) -kernel /boot/newinstall/vmlinuz -initrd /boot/newinstall/initrd.gz -</screen></informalexample> - -</para> - -<para> - -La procédure pour <command>GRUB2</command> est semblable. Le fichier s'appelle -<filename>grub.cfg</filename> au lieu de <filename>menu.lst</filename>. Une entrée -pour l'installateur pourrait être celle-ci : - -<informalexample><screen> -menuentry 'New Install' { -insmod part_msdos -insmod ext2 -set root='(hd0,msdos1)' -linux /boot/newinstall/vmlinuz -initrd /boot/newinstall/initrd.gz -} -</screen></informalexample> - -</para> - -<para> -À partir de maintenant, il ne devrait plus y avoir de différences -entre <command>GRUB</command> et <command>LILO</command>. -</para> -</sect2> - -<sect2 arch="any-x86" condition="bootable-usb" id="usb-boot"> -<title>Amorcer sur une clé USB</title> - -<para> -Supposons que tout a été préparé comme l'expliquent les sections -<xref linkend="boot-dev-select"/> et <xref linkend="boot-usb-files"/>. -Branchez maintenant votre clé USB dans un port libre et relancez la machine. -Le système devrait se lancer et, sauf si vous avez -utilisé la méthode flexible pour créer la clé et que vous ne l'avez pas activée, -une invite <prompt>boot:</prompt> devrait apparaître. -Maintenant, vous pouvez saisir des paramètres optionnels ou simplement -appuyer sur la touche &enterkey;. -</para> - -</sect2> - - <sect2 arch="x86" condition="supports-floppy-boot" id="floppy-boot"> - <title>Amorcer depuis des disquettes</title> -<para> - -Vous devez avoir déjà téléchargé les images de disquettes nécessaires -à partir des images présentes dans <xref linkend="create-floppy"/>. -<!-- missing-doc FIXME If you need to, you can also modify the boot floppy; see\ -<xref linkend="rescue-replace-kernel"/>. --> -</para> -<para> - -Pour amorcer depuis la disquette d'amorçage, placez-la dans le premier -lecteur de disquette, éteignez la machine comme -vous le faites habituellement puis rallumez-la. - -</para><para> - -Pour réaliser l'installation à partir d'un lecteur LS-120 (version ATAPI) -avec un jeu de disquettes, vous devrez préciser l'emplacement virtuel du -lecteur de disquette. On utilise le paramètre d'amorçage -<emphasis>root=</emphasis>, en indiquant le périphérique que le -pilote ide-floppy aura simulé. Par exemple si votre lecteur est connecté sur -la première interface IDE en seconde position sur le câble, entrez -<userinput>install root=/dev/hdc</userinput> à l'invite de démarrage. - -</para><para> - -Remarquez bien que sur certaines machines <keycombo><keycap>Control</keycap> -<keycap>Alt</keycap> <keycap>Delete</keycap></keycombo> ne remet pas -correctement la machine à zéro. Éteindre la machine est alors recommandé. Si -vous installez depuis un système d'exploitation existant, (p. ex. à partir -d'une machine MS-DOS), vous n'aurez pas le choix. Sinon, éteignez la -machine et rallumez-la. - -</para><para> - -La disquette sera lue et vous devriez apercevoir un écran -présentant la disquette d'amorçage et l'invite <prompt>boot:</prompt> au bas de -l'écran. -</para> - -<para> - -Une fois que vous avez appuyé sur la touche &enterkey;, vous devez voir le -message -<computeroutput>Loading...</computeroutput> suivi par -<computeroutput>Uncompressing Linux...</computeroutput> et ensuite un écran -rempli d'informations sur les éléments matériels de votre machine. Vous -pouvez trouver un complément d'information sur cette phase dans la -<xref linkend="kernel-msgs"/>. -</para> - -<para> -Après avoir démarré depuis la disquette d'amorçage, la disquette root est -demandée. Insérez-la puis pressez la touche &enterkey; et le contenu est -chargé en mémoire. L'<command>installateur Debian</command> est -automatiquement lancé. -</para> -</sect2> - - <sect2 arch="x86" id="boot-tftp"><title>Amorcer avec TFTP</title> - -&boot-installer-intro-net.xml; - -<para> - -Il y a plusieurs façons d'amorcer avec TFTP sur une machine i386. - -</para> - - <sect3><title>Carte réseau ou carte mère avec PXE</title> -<para> - -Il est possible que votre interface réseau ou votre carte mère permette -l'amorçage PXE. C'est une réimplémentation de l'amorçage TFTP par -<trademark class="trade">Intel</trademark>. Dans ce cas, vous pourrez -configurer votre bios pour qu'il s'amorce sur le réseau. - -</para> - </sect3> - - <sect3><title>Carte réseau avec ROM de démarrage réseau</title> -<para> - -Une carte d'interface réseau peut offrir la possibilité de démarrer par TFTP. - -</para><para condition="FIXME"> - -Dites-nous (<email>&email-debian-boot-list;</email>) comment vous -avez fait. Veuillez vous référer à ce document. - -</para> - </sect3> - - <sect3><title>Etherboot</title> -<para> -Le <ulink url="http://www.etherboot.org">projet etherboot</ulink> offre des -disquettes d'amorçage et même des ROM qui permettent l'amorçage par TFTP. -</para> -</sect3> -</sect2> - - <sect2 arch="x86" id="boot-screen"> -<title>L'écran d'amorçage</title> -<para> -Quand l'installateur démarre, apparaît un écran montrant le logo &debian; -et un menu : - -<informalexample><screen> -Installer boot menu - -Install -Graphical install -Advanced options > -Help -Install with speech synthesis - -Press ENTER to boot or TAB to edit a menu entry -</screen></informalexample> - -Selon la méthode d'installation utilisée, l'option <quote>Graphical install</quote> -est, ou non, disponible. Les images pouvant s'installer sur deux architectures ont -une variante 64 bits pour chaque option, ce qui double presque le nombre d'options. - -</para> -<para> -Pour une installation normale, sélectionnez l'entrée <quote>Install</quote> -ou l'entrée <quote>Graphical install</quote> en utilisant les touches avec -flèche du clavier ou en tapant la première lettre en surbrillance. -L'entrée <quote>Install</quote> est pré-sélectionnée. -Vous pouvez maintenant appuyer sur la touche &enterkey; pour -lancer l'installateur. -</para> -<para> -L'entrée <quote>Advanced options</quote> donne accès à un second menu -qui permet d'amorcer l'installateur en mode <quote>expert</quote> ou mode <quote>rescue</quote>. -Il est aussi utilisé pour les installations automatisées. -</para> -<para> -Si vous voulez ajouter des paramètres d'amorçage pour l'installateur ou pour le noyau, -appuyez sur la touche &tabkey;. La commande d'amorçage pour l'entrée du menu choisie est affichée -et l'on peut ajouter des options. Les écrans d'aide listent les principales options possibles. -Appuyez sur la touche &enterkey; pour lancer l'installateur avec vos options. Pour revenir au menu et -annuler toutes vos saisies, appuyez sur la touche &escapekey;. -</para> -<para> -Quand vous sélectionnez l'entrée <quote>Help</quote>, un premier écran -présente tous les écrans d'aide disponibles. Une fois dans l'aide, pour revenir -au menu d'amorçage, saisissez « menu » à l'invite d'amorçage et validez avec la touche -&enterkey;. -Tous les écrans d'aide ont une invite permettant de saisir une commande : - -<informalexample><screen> -Press F1 for the help index, or ENTER to boot: -</screen></informalexample> - -Vous pouvez alors appuyer sur la touche &enterkey; pour amorcer l'installateur -avec les options par défaut ou bien saisir une commande particulière avec les -paramètres d'amorçage nécessaires. -Les écrans d'aide listent certains paramètres utiles. -Si vous ajoutez des paramètres à la ligne de commande, n'oubliez pas -d'indiquer la méthode d'amorçage (la valeur par défaut est -<userinput>install</userinput>) et un espace avant le premier paramètre -(par exemple, <userinput>install fb=false</userinput>). - -<note><para> - -Le clavier à cet instant est supposé être un clavier de type <quote>American English</quote>. -Si votre carte clavier est agencée autrement, les caractères affichés sur l'écran -seront parfois différents de ceux que vous saisissez. Il existe sur Wikipedia un -<ulink url="&url-us-keymap;">schéma de la carte clavier US</ulink> qui peut vous aider à saisir les -bons caractères. - -</para></note> -<note><para> -Si le BIOS du système est configuré pour utiliser une console série, il se peut -que l'écran graphique initial ne s'affiche pas au moment de l'amorçage de l'installateur, -ni le menu d'amorçage. -Cela peut aussi arriver si vous installez le système depuis une machine distante qui offre une -interface texte à la console VGA, par exemple la console texte -<quote>integrated Lights Out</quote> (iLO) de Compaq ou la -<quote>Integrated Remote Assistant</quote> (IRA) de HP. -</para> -<para> - -Pour sauter l'écran d'amorçage graphique, vous pouvez appuyer sur la touche &escapekey; -pour obtenir l'invite d'amorçage en mode texte, ou appuyer sur la touche <quote>H</quote> puis -sur la touche &enterkey; pour sélectionner l'option <quote>Help</quote> décrite plus haut. -Toute saisie sera alors affichée sur la ligne d'invite. Pour empêcher l'installateur -d'utiliser le tampon vidéo dans la suite de l'installation, vous pouvez -ajouter le paramètre <userinput>vga=normal fb=false</userinput> à l'invite d'amorçage. - -</para></note> - -</para> - </sect2> - - <sect2 condition="gtk" id="graphical"> - <title>L'installateur graphique</title> -<para> - -La version graphique de l'installateur n'est disponible que sur -certaines architectures, dont &arch-title;. Les fonctionnalités -de l'installateur graphique sont essentiellement les mêmes que celles de -l'installateur en mode texte. Ils utilisent les mêmes programmes mais -l'interface est différente. - -</para><para> - -Malgré cette similitude, l'installateur graphique possède quelques avantages. -Le principal est qu'il reconnaît plus de langues, notamment celles qui utilisent -des jeux de caractères impossibles à afficher avec l'interface <quote>newt</quote>. -Un autre avantage est la possibilité d'utiliser une souris. De même, plusieurs -questions peuvent être réunies dans un seul écran. - -</para><para arch="any-x86"> - -L'installateur graphique est disponible avec toutes les images CD et avec la -méthode d'installation <quote>hd-media</quote>. Il peut être amorcé avec -l'option existante dans le menu d'amorçage. -Dans le menu <quote>Advanced options</quote>, on peut choisir les modes -<emphasis>expert</emphasis> et <emphasis>rescue</emphasis>. Les méthodes précédentes, -<userinput>installgui</userinput>, <userinput>expertgui</userinput> et <userinput>rescuegui</userinput> -sont toujours disponibles au moment de l'amorçage si l'on sélectionne -l'option <quote>Help</quote>. - -</para><para arch="any-x86"> - -Il est aussi possible d'amorcer sur le réseau une image de l'installateur graphique. -Et il existe une image ISO spéciale <footnote id="gtk-miniiso"> - -<para> -L'image ISO <emphasis>mini</emphasis> peut être téléchargée sur un miroir -&debian;, voyez <xref linkend="downloading-files"/>. Cherchez -<filename>netboot/gtk/mini.iso</filename>. -</para> - -</footnote>, qui est utile surtout pour les tests. - -</para><para arch="powerpc"> - -Pour &arch-title;, seule une image ISO <quote>mini</quote> est disponible <footnote id="gtk-miniiso"> - -<para> -L'image ISO <emphasis>mini</emphasis> peut être téléchargée sur un miroir -&debian;, voyez <xref linkend="downloading-files"/>. Cherchez -<filename>netboot/gtk/mini.iso</filename>. -</para> - -</footnote>. Elle devrait fonctionner sur presque tous les systèmes PowerPC -qui possèdent une carte ATI, mais pas sur d'autres systèmes. - -</para><para> - -Comme pour l'installateur texte, il est possible d'ajouter des -paramètres d'amorçage au lancement de l'installateur graphique. - -</para> -<note><para> - -L'installateur graphique exige beaucoup plus de mémoire que l'installateur -texte : &minimum-memory-gtk;. S'il n'y a pas assez de mémoire, -l'installateur reviendra à l'interface <quote>newt</quote>. - -</para><para> - -Si la quantité de mémoire du système est inférieure à &minimum-memory;, -il se peut que l'installateur graphique ne fonctionne plus mais que -l'installateur texte fonctionne encore. Pour des systèmes avec peu de -mémoire, il est recommandé d'utiliser l'installateur texte. - -</para></note> - </sect2> diff --git a/fr/boot-new/boot-new.xml b/fr/boot-new/boot-new.xml deleted file mode 100644 index 5dd840ff0..000000000 --- a/fr/boot-new/boot-new.xml +++ /dev/null @@ -1,204 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<chapter id="boot-new"> - <title>Démarrer votre nouveau système &debian;</title> - - <sect1 id="base-boot"><title>Le moment de vérité</title> -<para> - -Voici ce que les ingénieurs en électronique appellent le -<emphasis>test de la fumée</emphasis> : démarrer un système pour la -première fois. -</para> -<para arch="any-x86"> -Après une installation standard, le premier écran que vous verrez au démarrage -du système est le menu du programme d'amorçage <classname>grub</classname> -<phrase arch="x86">ou celui de <classname>lilo</classname></phrase>. Le premier choix est votre nouveau -système &debian;. Si d'autres systèmes (comme Windows) ont été détectés, ils seront affichés -au dessous. -</para> -<para> -Si le système ne démarre pas correctement, ne paniquez pas. Si l'installation s'est déroulée -normalement, il est très probable que seul un problème mineur empêche le système d'amorcer -&debian;. Dans la plupart des cas, il ne sera pas nécessaire de refaire une installation pour -corriger de tels problèmes. On peut commencer par utiliser le mode de secours -intégré à l'installateur (voyez <xref linkend="rescue"/>). -</para> - -<para> -Si vous découvrez &debian; et &arch-kernel;, vous aurez besoin de l'aide d'utilisateurs -expérimentés. -<phrase arch="x86">Les canaux IRC #debian ou #debian-boot sur le réseau OFTC apportent -une aide directe. Vous pouvez aussi contacter la -<ulink url="&url-list-subscribe;">liste de diffusion debian-user</ulink>.</phrase> -<phrase arch="not-x86">Pour des architectures comme &arch-title;, la meilleure idée -est de s'adresser à la <ulink url="&url-list-subscribe;">liste debian-&arch-listname;</ulink>. -</phrase> -Vous pouvez aussi envoyer un rapport d'installation, voyez <xref linkend="submit-bug"/>. -Assurez-vous de bien décrire votre problème et d'inclure tous les messages qui -sont affichés. Cela peut aider à diagnostiquer le problème. -</para> -<para arch="any-x86"> -Veuillez envoyer un rapport d'installation si des systèmes d'exploitation installés sur -la machine n'ont pas été détectés ou ont été mal détectés. -</para> - - -<sect2 arch="powerpc"><title>OldWorld PowerMacs</title> -<para> - -Si la machine ne démarre pas quand l'installation est terminée, et s'arrête -avec l'invite <prompt>boot:</prompt>, saisissez -<userinput>Linux</userinput> suivi de &enterkey;. La configuration par défaut -dans le fichier <filename>quik.conf</filename> est nommée Linux. Les noms -définis dans ce fichier seront affichés si vous pressez la touche -<keycap>Tab</keycap> à l'invite <prompt>boot:</prompt>. Vous pouvez essayer -de réamorcer l'installateur et de modifier le fichier -<filename>/target/etc/quik.conf</filename> qui a été créé à l'étape -<guimenuitem>Installer Quik sur un disque dur</guimenuitem>. -Des renseignements sur <command>quik</command> sont disponibles dans -<ulink url="&url-powerpc-quik-faq;"></ulink>. -</para> -<para> -Pour démarrer de nouveau sous MacOS sans réinitialiser la <quote>nvram</quote>, -saisissez <userinput>bye</userinput> à l'invite de l'Open Firmware (en -supposant que MacOS n'a pas été enlevé de la machine). Pour obtenir une invite -Open Firmware, appuyez simultanément sur les touches -<keycombo><keycap>command</keycap> <keycap>option</keycap> <keycap>o</keycap> -<keycap>f</keycap> </keycombo> pendant le démarrage à froid de la machine. -Si vous devez réinitialiser les changements de l'Open Firmware en nvram, -appuyez simultanément sur les touches -<keycombo><keycap>command</keycap> <keycap>option</keycap> <keycap>p</keycap><keycap>r</keycap> </keycombo> -lors d'un démarrage à froid de la machine. -</para> -<para> -Si vous amorcez le système installé avec <command>BootX</command>, choisissez -simplement le noyau dans le dossier <filename>Linux Kernels</filename>, -ne choisissez pas l'option ramdisk et ajoutez un périphérique racine pour -votre installation, par exemple <userinput>/dev/hda8</userinput>. -</para> - -</sect2> - - <sect2 arch="powerpc"><title>NewWorld PowerMacs</title> - -<para> -Sur les machines de type G4 et iBook, vous pouvez maintenir la touche -<keycap>option</keycap> enfoncée pour obtenir un écran graphique, avec un -bouton pour chaque système d'exploitation démarrable ; pour &debian-gnu; -il s'agit d'un bouton avec une icône de petit pingouin. -</para> -<para> -Si vous avez conservé MacOS et qu'à un moment ou à un autre la variable -<envar>boot-device</envar> de l'Open Firmware a été modifiée, vous devrez -restaurer sa configuration. Pour cela, maintenez enfoncées les touches -<keycombo><keycap>command</keycap> <keycap>option</keycap> <keycap>p</keycap><keycap>r</keycap> </keycombo> -lors du démarrage à froid de la machine. -</para> -<para> -Les noms définis dans <filename>yaboot.conf</filename> seront -affichés si vous appuyez sur la touche <keycap>Tab</keycap> à l'invite -<prompt>boot:</prompt>. -</para> -<para> -La réinitialisation de l'Open Firmware sur les matériels G3 et G4 les fera -démarrer par défaut sur &debian-gnu; (à condition d'avoir effectué un -partitionnement correct et d'avoir placé la partition Apple_Bootstrap en -premier). Si &debian-gnu; se trouve sur un disque SCSI et que MacOS se trouve sur -un disque IDE, il se pourrait que cela ne fonctionne pas et que vous deviez -lancer l'OpenFirmware et déclarer la variable <envar>boot-device</envar> -manuellement ; en principe, <command>ybin</command> le fait -automatiquement. -</para> -<para> -Après avoir lancé &debian-gnu; pour la première fois, vous pourrez ajouter autant -d'options que vous le souhaitez (par exemple, les options pour amorcer -d'autres systèmes) -dans le fichier <filename>/etc/yaboot.conf</filename> et démarrer -<command>ybin</command> pour mettre à jour votre partition de démarrage avec -la nouvelle configuration. Lisez le -<ulink url="&url-powerpc-yaboot-faq;">HOWTO sur yaboot</ulink>. -</para> -</sect2> - - </sect1> - -&mount-encrypted.xml; - - <sect1 id="login"> - <title>Se connecter</title> - -<para> - -Quand le système a été amorcé, vous vous retrouvez face à l'invite de -connexion (login). Connectez-vous en utilisant le nom d'utilisateur et le mot -de passe que vous avez choisis pendant le processus d'installation. -Vous pouvez maintenant utiliser votre système. - -</para><para> - -Si vous êtes un nouvel utilisateur, vous voudrez peut-être parcourir la -documentation qui est déjà installée sur votre système. Il existe plusieurs -systèmes de documentation ; un travail est en cours afin de les intégrer -dans un tout cohérent. Vous trouverez ci-dessous quelques points de départ. - -</para><para> - -La documentation qui accompagne les programmes que vous avez installés -se trouve dans le répertoire <filename>/usr/share/doc/</filename>, dans un -sous-répertoire qui porte le nom du programme, et plus précisément le nom du -paquet qui contient le programme. -Il arrive qu'une documentation soit mise dans un paquet séparé qui n'est pas installé -par défaut. Par exemple, de la documentation concernant le gestionnaire de paquets -<command>apt</command> se trouve dans les paquets <classname>apt-doc</classname> et -<classname>apt-howto</classname>. - -</para><para> - -De plus, il y a quelques répertoires spéciaux dans le répertoire -<filename>/usr/share/doc/</filename>. Les HOWTO Linux sont installés au -format <emphasis>.gz</emphasis> (compressé) dans le répertoire - <filename>/usr/share/doc/HOWTO/en-txt/</filename>. -Une fois <classname>dhelp</classname> installé, vous pouvez consulter avec votre -navigateur le fichier -<filename>/usr/share/doc/HTML/index.html</filename> -qui contient un index sur la documentation installée. - -</para><para> - -Pour consulter facilement ces documents, on peut utiliser un navigateur -en mode texte : - - -<informalexample><screen> -$ cd /usr/share/doc/ -$ w3m . -</screen></informalexample> - -Le point après la commande <command>w3m</command> demande d'afficher le contenu -du répertoire courant. - -</para><para> - -Avec un environnement graphique, vous pouvez lancer son navigateur depuis le menu -application et mettre <userinput>/usr/share/doc/</userinput> comme adresse. -</para> - -<para> -Vous pouvez aussi saisir <userinput>info -<replaceable>command</replaceable></userinput> ou <userinput>man -<replaceable>command</replaceable></userinput> pour obtenir des informations -sur la plupart des commandes disponibles depuis l'interpréteur de commandes. -En exécutant <userinput>help</userinput>, vous afficherez l'aide sur les -commandes de l'interpréteur de commandes. Et si vous tapez une commande -suivie par <userinput>--help</userinput>, un court résumé sur l'usage de -cette commande sera affiché. Si le résultat d'une commande défile au-delà du -haut de l'écran, tapez <userinput>| more</userinput> après la commande de -façon à provoquer une pause entre chaque écran. Pour voir une liste de toutes -les commandes disponibles qui commencent par une lettre donnée, tapez cette -lettre, suivie de deux fois la touche de tabulation. - -</para> - - </sect1> -</chapter> diff --git a/fr/boot-new/mount-encrypted.xml b/fr/boot-new/mount-encrypted.xml deleted file mode 100644 index b451c197c..000000000 --- a/fr/boot-new/mount-encrypted.xml +++ /dev/null @@ -1,166 +0,0 @@ -<!-- original version: 68621 --> - -<sect1 id="mount-encrypted-volumes"> - <title>Le montage des volumes chiffrés</title> - -<para> - -Si vous avez créé des volumes chiffrés et leurs points de montage pendant l'installation, -vous devrez fournir pendant le démarrage la phrase secrète pour chaque volume. -La procédure diffère légèrement pour les méthodes dm-crypt et loop-AES. - -</para> - - <sect2 id="mount-dm-crypt"> - <title>dm-crypt</title> - -<para> -Pour les partitions chiffrées avec dm-crypt, l'invite pendant l'amorçage -sera : - -<informalexample><screen> -Starting early crypto disks... <replaceable>part</replaceable>_crypt(starting) -Enter LUKS passphrase: -</screen></informalexample> - -Le mot <replaceable>part</replaceable> sur la première ligne de l'invite -est le nom de la partition, par exemple, sda2 ou md0. Vous vous demandez probablement -<emphasis>pour quel volume</emphasis> vous saisissez la phrase secrète. -Est-ce pour <filename>/home</filename>, pour <filename>/var</filename> ? -Bien sûr, si vous n'avez chiffré qu'un seul volume, c'est facile et vous n'avez -qu'à saisir la phrase utilisée. Si vous avez chiffré plusieurs volumes, les notes -que vous avez prises pendant l'installation (étape <xref linkend="partman-crypto"/>) -vous seront utiles. Si vous n'avez pas noté la correspondance entre -<filename><replaceable>part</replaceable>_crypt</filename> et les points de montage, -vous pouvez les trouver dans les fichiers <filename>/etc/crypttab</filename> et -<filename>/etc/fstab</filename> de votre nouveau système. -</para> - -<para> - -L'invite peut être légèrement différente quand un système de fichiers racine chiffré -est monté. Cela dépend du type d'<quote>initramfs</quote> qui a servi à créer -l'<quote>initrd</quote> utilisé pour amorcer le système. Voici par exemple l'invite -pour un initrd créé avec <classname>initramfs-tools</classname> : - -<informalexample><screen> -Begin: Mounting <emphasis>root file system</emphasis>... ... -Begin: Running /scripts/local-top ... -Enter LUKS passphrase: -</screen></informalexample> - -</para> -<para> - -Quand vous saisissez la phrase, aucun caractère (même pas l'astérisque) n'est montré. -Si vous faites une erreur, vous aurez deux possibilités de correction. -Après la troisième tentative, le processus de démarrage -sautera ce volume et continuera avec les autres volumes. Veuillez consulter -<xref linkend="crypto-troubleshooting"/> pour d'autres informations. - -</para> - -<para> -Une fois toutes les phrases saisies, le processus de démarrage se poursuit -normalement. -</para> -</sect2> - - <sect2 id="mount-loop-aes"> - <title>loop-AES</title> - -<para> - -Pour les partitions chiffrées avec loop-AES, l'invite pendant l'amorçage -sera : - -<informalexample><screen> -Checking loop-encrypted file systems. -Setting up /dev/loop<replaceable>X</replaceable> (/<replaceable>mountpoint</replaceable>) -Password: -</screen></informalexample> - -</para><para> - -Quand vous saisissez la phrase, aucun caractère (même pas l'astérisque) n'est montré. -Si vous faites une erreur, vous aurez deux possibilités de correction. -Après la troisième tentative, le processus de démarrage -sautera ce volume et continuera avec les autres volumes. Veuillez consulter -<xref linkend="crypto-troubleshooting"/> pour d'autres informations. - - -</para> - -<para> -Une fois toutes les phrases saisies, le processus de démarrage se poursuit -normalement. -</para> -</sect2> - - <sect2 id="crypto-troubleshooting"> - <title>En cas de problèmes</title> - - -<para> - -Quand vous n'avez pas pu monter certains volumes à cause d'une mauvaise -phrase secrète, vous devez les monter après le démarrage. Il y a plusieurs cas. - -</para> - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -Le premier cas concerne la partition racine. Si elle n'est pas montée -correctement, le processus de démarrage s'arrête et vous devez réamorcer la machine. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Le cas le plus simple concerne les volumes contenant des données comme -<filename>/home</filename> ou <filename>/srv</filename>. Vous pouvez -les monter après le démarrage. Avec loop-AES, une seule opération est nécessaire : - -<informalexample><screen> -<prompt>#</prompt> <userinput>mount <replaceable>/mount_point</replaceable></userinput> -<prompt>Password:</prompt> -</screen></informalexample> - -où <replaceable>/mount_point</replaceable> doit être remplacé par un répertoire -(par exemple, <filename>/home</filename>). La différence avec le montage d'une partition -ordinaire est qu'on vous demandera de saisir la phrase secrète. - -</para><para> - -Avec dm-crypt, c'est un peu plus compliqué. Vous devez d'abord enregistrer -les volumes avec l'application <application>device mapper</application> de cette façon : - -<informalexample><screen> -<prompt>#</prompt> <userinput>/etc/init.d/cryptdisks start</userinput> -</screen></informalexample> - -Tous les volumes listés dans <filename>/etc/crypttab</filename> seront examinés -et les périphériques seront créés dans le répertoire <filename>/dev</filename> -après avoir saisi les bonnes phrases de passe. Les volumes déjà enregistrés sont -ignorés et vous pouvez répéter cette commande sans souci. Quand l'enregistrement -des volumes sera terminé, vous pouvez simplement les monter de la façon habituelle : - -<informalexample><screen> -<prompt>#</prompt> <userinput>mount <replaceable>/mount_point</replaceable></userinput> -</screen></informalexample> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Quand des volumes contenant des systèmes de fichiers non critiques -(<filename>/usr</filename> ou <filename>/var</filename>) n'ont pas été montés, le -système doit s'amorcer malgré tout et vous pouvez monter ces volumes -comme dans le cas précédent. Mais vous aurez besoin de (re)lancer les -services qui fonctionnent habituellement car il est probable qu'ils n'auront pas été -lancés. Le plus simple est de réamorcer l'ordinateur. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/hardware/accessibility.xml b/fr/hardware/accessibility.xml deleted file mode 100644 index 93dd224b0..000000000 --- a/fr/hardware/accessibility.xml +++ /dev/null @@ -1,29 +0,0 @@ -<!-- original version: 67297 --> - - <sect2 id="braille-displays" arch="ia64;powerpc;x86"> - <title>Les plages Braille</title> -<para> - -La gestion des plages Braille dépend de <classname>brltty</classname>. -La plupart des plages fonctionnent avec <classname>brltty</classname>, -connecté par un port série, un port USB ou un port bluetooth. -Des précisions sur les plages fonctionnelles se trouvent sur le -<ulink url="&url-brltty;">site de <classname>brltty</classname></ulink>. -&debian-gnu; &release; propose la version &brlttyver; de <classname>brltty</classname>. - -</para> - </sect2> - - <sect2 id="hardware-speech-synthesis" arch="x86"> - <title>Synthèse vocale matérielle</title> -<para> - -La synthèse vocale matérielle est prise en charge par <classname>speakup</classname>. -<classname>speakup</classname> n'accepte que les cartes intégrées et les -périphériques externes connectés par un port série, (pas d'adaptateurs USB, serial-to-USB ou PCI). -On peut trouver des précisions sur la synthèse vocale matérielle sur le -<ulink url="&url-speakup;">site de <classname>speakup</classname></ulink>. -&debian-gnu; &release; propose la version &speakupver; de <classname>speakup</classname>. - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/hardware/buying-hardware.xml b/fr/hardware/buying-hardware.xml deleted file mode 100644 index 029f84506..000000000 --- a/fr/hardware/buying-hardware.xml +++ /dev/null @@ -1,85 +0,0 @@ -<!-- original version: 68011 --> - - <sect1 arch="not-s390"> -<title>Acheter du matériel spécialement pour GNU/&arch-kernel;</title> - -<para arch="linux-any"> -Il existe des vendeurs qui livrent des systèmes en -<ulink url="&url-pre-installed;">pré-installant</ulink> &debian; ou d'autres -distributions de GNU/Linux. Vous paierez -peut-être plus cher pour avoir ce privilège, mais vous achetez ainsi un peu -de tranquillité d'esprit, puisque vous serez certain que le matériel est bien -reconnu par GNU/Linux. -</para> - -<para arch="any-x86"> -Si vous devez acheter un ordinateur fourni avec Windows, lisez attentivement -la licence logicielle accompagnant Windows ; vous pourrez peut-être -rejeter la licence et obtenir un rabais de votre vendeur. Une recherche sur internet -avec la chaîne <quote>remboursement Windows</quote> peut vous donner des pistes. -</para> - -<para> -Que vous achetiez ou non un système livré avec &arch-kernel;, ou même un système -d'occasion, il est important de vérifier que votre matériel est reconnu par -le noyau &arch-kernel;. Vérifiez si votre matériel est listé dans les références -ci-dessus. Indiquez à votre revendeur que vous recherchez un -système &arch-kernel;. Soutenez les revendeurs de matériel amis de &arch-kernel;. -</para> - - <sect2> -<title>Éviter le matériel propriétaire ou fermé</title> - -<para> - -Certains constructeurs refusent simplement de fournir les informations qui -permettraient d'écrire des pilotes pour leur matériel. D'autres -n'autorisent pas l'accès à la documentation sans accord de confidentialité, -ce qui nous empêche de distribuer le code source qui est l'élément essentiel -du logiciel libre. Sans accès à une documentation utilisable, ces pilotes ne peuvent -pas fonctionner sous &arch-kernel;. - - </para> -<para> - -Le plus souvent il existe des normes (au moins, <emphasis>de facto</emphasis>) -qui décrivent comment communique un système d'exploitation et ses pilotes de périphériques -avec les différentes classes de périphériques. Tous les périphériques qui satisfont -cette norme <emphasis>de facto</emphasis> peuvent fonctionner avec un pilote générique. -Certains périphériques USB, clavier, souris, disque flash, lecteur de carte mémoire, fonctionnent -ainsi très bien et pratiquement tous les modèles sur le marché se conforment à la norme. - -</para> -<para> - -Mais dans certains domaines, par exemple celui des imprimantes, ce n'est pas le cas. -Beaucoup d'imprimantes peuvent certes être contrôlées par des langages standardisés et -peuvent donc fonctionner sans problème sur tout système d'exploitation. -Cependant, quelques imprimantes ne comprennent que des commandes spéciales pour lesquelles -aucune documentation n'est disponible. Elles ne peuvent donc pas fonctionner sur un -système d'exploitation libre sans un pilote propriétaire fourni par le constructeur. - -</para> -<para> - -Même s'il existe un tel pilote propriétaire, sa disponibilité limite la durée de vie du périphérique. -De nos jours,les cycles de vie des produits se raccourcissent et il n'est pas inhabituel -de constater l'absence de mise à jour du pilote quand la production du périphérique -a cessé. Si l'ancien pilote ne fonctionne plus après une mise à jour du système, -un périphérique en parfait état devient inutilisable. On ne peut rien faire ! -Vous devriez donc éviter d'acheter du matériel propriétaire, quelque soit le système -d'exploitation que vous utilisez. - -</para> -<para> - -Vous pouvez changer cette situation en encourageant les constructeurs de -matériel propriétaire à publier les documentations et tout autre moyen nécessaire à -la programmation de pilotes libres pour leur matériel. - -</para> - - </sect2> - - - </sect1> diff --git a/fr/hardware/hardware-supported.xml b/fr/hardware/hardware-supported.xml deleted file mode 100644 index ee808d841..000000000 --- a/fr/hardware/hardware-supported.xml +++ /dev/null @@ -1,462 +0,0 @@ -<!-- original version: 68322 --> - - <sect1 id="hardware-supported"> -<title>Matériel reconnu</title> - -<para> -En ce qui concerne le matériel, &debian; n'a pas plus d'exigences que le noyau -Linux et les outils GNU. Par conséquent, toute architecture ou plateforme sur -laquelle le noyau Linux, la libc, le compilateur gcc, etc. ont été -portés, et pour laquelle un portage de &debian; existe, peut faire fonctionner -&debian;. Reportez-vous aux pages sur les portages -<ulink url="&url-ports;"></ulink> pour plus de précisions concernant les -systèmes d'architecture &arch-title; qui ont été testés avec &debian-gnu;. -</para> - -<para> -Plutôt que d'essayer de décrire les différentes configurations -matérielles acceptées par &arch-title;, cette -section contient des informations générales et des liens -vers des informations complémentaires. -</para> - - <sect2><title>Architectures reconnues</title> - -<para> -&debian; GNU/Linux &release; fonctionne sur onze architectures -principales et sur de nombreuses variantes de celles-ci, -appelées <quote>saveurs</quote>. -</para> - -<para> -<informaltable> -<tgroup cols="4"> -<thead> -<row> - <entry>Architecture</entry><entry>Étiquette &debian;</entry> - <entry>Sous-Architecture</entry><entry>Saveur</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>Intel x86-based</entry> - <entry>i386</entry> - <entry></entry> - <entry></entry> -</row> - -<row> - <entry>AMD64 & Intel 64</entry> - <entry>amd64</entry> - <entry></entry> - <entry></entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="4">ARM</entry> - <entry morerows="4">armel</entry> - <entry>Intel IOP32x</entry> - <entry>iop32x</entry> -</row><row> - <entry>Intel IXP4xx</entry> - <entry>ixp4xx</entry> -</row><row> - <entry>Marvell Kirkwood</entry> - <entry>kirkwood</entry> -</row><row> - <entry>Marvell Orion</entry> - <entry>orion5x</entry> -</row><row> - <entry>Versatile</entry> - <entry>versatile</entry> -</row> - -<row> - <entry>ARM avec matériel FPU</entry> - <entry>armhf</entry> - <entry>Freescale</entry> - <entry>mx5</entry> -</row> - -<row> - <entry>Intel IA-64</entry> - <entry>ia64</entry> - <entry></entry> - <entry></entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="3">MIPS (grand boutien)</entry> - <entry morerows="3">mips</entry> - <entry>SGI IP22 (Indy/Indigo 2)</entry> - <entry>r4k-ip22</entry> -</row><row> - <entry>SGI IP32 (O2)</entry> - <entry>r5k-ip32</entry> -</row><row> - <entry>MIPS Malta (32 bits)</entry> - <entry>4kc-malta</entry> -</row><row> - <entry>MIPS Malta (64 bits)</entry> - <entry>5kc-malta</entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="2">MIPS (petit boutien)</entry> - <entry morerows="2">mipsel</entry> - <entry>Cobalt</entry> - <entry>cobalt</entry> -</row><row> - <entry>MIPS Malta (32 bits)</entry> - <entry>4kc-malta</entry> -</row><row> - <entry>MIPS Malta (64 bits)</entry> - <entry>5kc-malta</entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="1">IBM/Motorola PowerPC</entry> - <entry morerows="1">powerpc</entry> - <entry>PowerMac</entry> - <entry>pmac</entry> -</row><row> - <entry>PReP</entry> - <entry>prep</entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="1">Sun SPARC</entry> - <entry morerows="1">sparc</entry> - <entry>sun4u</entry> - <entry morerows="1">sparc64</entry> -</row><row> - <entry>sun4v</entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="1">IBM S/390</entry> - <entry morerows="1">s390</entry> - <entry>IPL avec VM-reader et DASD</entry> - <entry>generic</entry> -</row><row> - <entry>IPL avec bande</entry> - <entry>bande</entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="1">IBM S/390 64 bits</entry> - <entry morerows="1">s390</entry> - <entry>IPL avec VM-reader et DASD</entry> - <entry>generic</entry> -</row><row> - <entry>IPL avec bande</entry> - <entry>bande</entry> -</row> - -</tbody></tgroup></informaltable> - -</para> - -<para> - -&debian; GNU/kFreeBSD &release; fonctionne sur deux architectures. - -</para> - -<para> -<informaltable> -<tgroup cols="2"> -<thead> -<row> - <entry>Architecture</entry><entry>Étiquette &debian;</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>Intel x86-based</entry> - <entry>kfreebsd-i386</entry> -</row> - -<row> - <entry>AMD64 & Intel 64</entry> - <entry>kfreebsd-amd64</entry> -</row> - -</tbody></tgroup></informaltable> - </para> - -<para> -Ce document décrit l'installation pour l'architecture <emphasis>&arch-title;</emphasis> -avec le noyau <emphasis>&arch-kernel;</emphasis>. -Des versions pour les autres architectures disponibles existent sur les pages -<ulink url="http://www.debian.org/ports/">Debian-Ports</ulink>. -</para> - -<caution arch="ia64"><para> - -L'architecture &arch-title; fonctionne seulement sur les processeurs Itanium d'Intel. -Elle ne fonctionne pas sur les processeurs 64 bits plus communs appartenant à la famille Intel 64, -comme le Pentium D ou le Core2 Duo. Ces -systèmes fonctionnent avec l'architecture <emphasis>amd64</emphasis> ou -si vous préférez le mode 32 bits, avec l'architecture <emphasis>i386</emphasis>. - -</para></caution> - -<para condition="new-arch"> -Voici la première version officielle de &debian-gnu; pour l'architecture -&arch-title;. Nous pensons que le portage a fait ses preuves et qu'il peut -être rendu public. Cependant, comme il n'a pas encore été soumis à la -<quote>vraie vie</quote> (ni testé par d'autres utilisateurs) comme l'ont été -d'autres architectures, vous pourriez rencontrer quelques bogues. Utilisez -notre <ulink url="&url-bts;">système de suivi des bogues</ulink> pour -signaler les problèmes ; n'oubliez pas de mentionner que le bogue s'est -produit sur une plateforme &arch-title;. Et prévenez aussi la -<ulink url="&url-list-subscribe;">liste de diffusion debian-&arch-listname;</ulink>. -</para> - - </sect2> - -<!-- supported cpu docs --> -&supported-amd64.xml; -&supported-arm.xml; -&supported-hppa.xml; -&supported-i386.xml; -<!-- &supported-ia64.xml; FIXME: currently missing --> -&supported-mips.xml; -&supported-mipsel.xml; -&supported-powerpc.xml; -&supported-s390.xml; -&supported-sparc.xml; - - <sect2 arch="x86" id="laptops"><title>Portables</title> - -<para> -D'un point de vue technique, les ordinateurs portables fonctionnent comme les autres PC et -les informations concernant les PC s'appliquent aussi aux portables. L'installation de &debian; sur un portable -se passe très bien. Des fonctionnalités comme la suspension automatique du système à la fermeture -du couvercle ou la reconnaissance de boutons spécifiques aux portables comme celui -pour désactiver l'interface wifi (mode « airplane ») sont correctement installées. -Cependant quelques constructeurs utilisent du matériel propriétaire pour certaines fonctions, -matériel qui n'est pas toujours reconnu. -Pour vérifier que votre portable fonctionne bien avec GNU/Linux, consultez les -<ulink url="&url-x86-laptop;">pages sur les portables sous Linux</ulink>. -</para> - </sect2> - - <sect2 condition="defaults-smp"> -<title>Processeurs multiples</title> - -<para> -Cette architecture accepte les systèmes à plusieurs processeurs (<quote>symmetric multiprocessing</quote> ou SMP). -À l'origine, sur certains serveurs haut de gamme, un système à multiples processeurs pouvait provoquer -des problèmes. Aujourd'hui un simple ordinateur de bureau ou un portable -possède plusieurs processeurs sous la forme d'un processeur multicœur, une puce contenant -deux processeurs ou plus, appelés cœur. - -</para> -<para> - -L'image standard du noyau &debian; &release; a été compilée avec SMP -mais elle est parfaitement utilisable sur les systèmes non-SMP. - -</para> - -</sect2> - -<sect2 condition="smp-alternatives"> -<title>Processeurs multiples</title> -<para> - -Cette architecture accepte les systèmes à plusieurs processeurs -(<quote>symmetric multiprocessing</quote> ou SMP). L'image -standard du noyau &debian; &release; a été compilée avec l'option -<firstterm>SMP-alternatives</firstterm>. Le noyau détectera si votre système possède plusieurs -processeurs et désactivera automatiquement la gestion SMP sur les systèmes avec un seul -processeur. - -</para> -<para> - -À l'origine, sur certains serveurs haut de gamme, un système à multiples processeurs pouvait provoquer -des problèmes. Aujourd'hui un simple ordinateur de bureau ou un portable -possède plusieurs processeurs sous la forme d'un processeur multicœur, une puce contenant -deux processeurs ou plus, appelés cœur. - -</para> - -<para arch="i386"> - -Pour l'architecture &arch-title;, la variante 486 de l'image &debian; du noyau -n'est pas compilée avec l'option SMP. - -</para> -</sect2> - -<sect2 condition="supports-smp"> - <title>Processeurs multiples</title> - -<para> - -Cette architecture accepte les systèmes à plusieurs processeurs -(<quote>symmetric multiprocessing</quote> ou SMP). -Cependant, l'image standard du noyau &debian; &release; ne reconnaît pas -le SMP. Cela ne devrait pas empêcher l'installation, puisque le noyau non-SMP -devrait démarrer sur les systèmes SMP, le noyau utilisera simplement le -premier CPU. - - </para> -<para> - -Afin de tirer profit de plusieurs processeurs, vous devrez remplacer le -noyau standard &debian;. <phrase arch="linux-any">Vous trouverez une -discussion sur la façon de faire dans la <xref linkend="kernel-baking"/>. -Aujourd'hui (version &kernelversion; du noyau) la façon d'activer SMP est de -choisir <quote>&smp-config-option;</quote> dans la section -<quote>&smp-config-section;</quote> quand on configure le noyau.</phrase> - -</para> - </sect2> - -<sect2 condition="supports-smp-sometimes"> - <title>Processeurs multiples</title> - -<para> - -Cette architecture accepte les systèmes à plusieurs processeurs -(<quote>symmetric multiprocessing</quote> ou SMP). -Une image standard du noyau &debian; &release; a été compilée avec SMP. -Selon votre support d'installation, ce noyau peut ou non être installé par -défaut. Cela ne devrait pas empêcher l'installation, puisque le noyau non-SMP -devrait démarrer -sur les systèmes SMP ; le noyau utilisera simplement le premier -processeur. - -</para><para> - -Afin de tirer profit de plusieurs processeurs, vous devrez vérifier que le -noyau installé accepte le SMP ou bien vous en installerez un. - -</para><para> - -Vous pouvez aussi compiler vous-même un noyau avec SMP. <phrase arch="linux-any">Vous trouverez une -discussion sur la façon de faire dans la <xref linkend="kernel-baking"/>. -Aujourd'hui (version &kernelversion; du noyau) la façon d'activer SMP est de -choisir <quote>&smp-config-option;</quote> dans la section -<quote>&smp-config-section;</quote> quand on configure le noyau.</phrase> - -</para> -</sect2> - - <sect2 id="gfx" arch="not-s390"> -<title>Gestion des cartes graphiques</title> - -<para> - -&debian; reconnaît les interfaces graphiques dans la mesure où elles sont -reconnues par le système X11 de X.Org. Sur les ordinateurs modernes, tout environnement -graphique fonctionne sans problème. Certaines fonctionnalités avancées des cartes graphiques -comme l'accélération 3D ou l'accélération matérielle (<emphasis>hardware-accelerated video</emphasis>) -dépendent parfois de la carte graphique installée et demandent l'installation de microprogrammes -supplémentaires, voyez <xref linkend="hardware-firmware"/>. -Dans de très rares cas, il a été noté que certains matériels demandaient l'installation -de microprogrammes même pour les fonctionnalités de base de la carte graphique. - -</para> -<para> - -Des précisions sur les cartes graphiques acceptées et les dispositifs de pointage sont disponibles sur -<ulink url="&url-xorg;"></ulink>. &debian; &release; propose la version &x11ver; de X.Org. - -</para> - -<para arch="mips"> -<!-- FIXME: mention explicit graphics chips and not system names --> -Le système X window de X.Org n'est disponible pour le moment que sur SGI Indy et O2. - -</para> - -<para arch="sparc"> - -La plupart des options graphiques communes des machines basées sur Sparc sont -gérées. Les pilotes de X.org sont disponibles pour sunbw2, suncg14, suncg3, suncg6, -sunleo et suntcx framebuffers, les cartes Creator3D et Elite3D (pilote sunffb), -les cartes ATI PGX24/PGX64 (pilote ati), et les cartes PermediaII (pilote glint). -Pour utiliser une carte Elite3D avec X.org vous devez aussi installer le paquet -<classname>afbinit</classname> et lire la documentation pour savoir comment activer -la carte. -</para> -<para arch="sparc"> - -Il n'est pas exceptionnel qu'une machine Sparc possède deux cartes graphiques -en configuration normale. Il se peut alors que le noyau Linux ne dirige pas la sortie -vidéo vers la carte utilisée par le microprogramme. L'absence de sortie vidéo sur la -console graphique peut être confondue avec un arrêt (habituellement le dernier message -vu sur la console est <quote>Booting Linux...</quote>). Une solution possible est -d'enlever l'une des cartes vidéo. Une autre solution est de désactiver l'une des -cartes avec un paramètre passé au noyau. Quand la sortie vidéo n'est pas -nécessaire ou souhaitée, on peut utiliser une console série. Sur certains systèmes, on peut -activer automatiquement la console série en déconnectant le clavier -avant d'amorcer le système. -</para> - </sect2> - -&network-cards.xml; -&accessibility-hardware.xml; -&supported-peripherals.xml; - - </sect1> - - <sect1 arch="not-s390" id="hardware-firmware"> - <title>Périphériques demandant des microprogrammes (<emphasis>firmware</emphasis>)</title> -<para> - -Outre la disponibilité d'un pilote, certains périphériques exigent le chargement d'un -<firstterm>microprogramme</firstterm> pour fonctionner. C'est le cas pour les cartes réseau -(particulièrement les cartes réseau sans fil), mais certains périphériques USB ou certains -contrôleurs de disque dur demandent des microprogrammes. -Pour les cartes graphiques, les fonctionnalités de base ne demandent pas de -microprogramme supplémentaire, contrairement aux fonctionnalités avancées -qui demandent l'installation sur le système d'un microprogramme spécifique. - -</para> -<para> - -Pour beaucoup de périphériques anciens, le microprogramme était placé par le fabricant -sur le périphérique lui-même, sur une puce EEPROM/Flash. Aujourd'hui, les périphériques -n'embarquent plus de microprogramme de cette façon. Le microprogramme doit être -chargé sur le périphérique par le système d'exploitation à chaque démarrage. - -</para> -<para> - -Dans la plupart des cas le microprogramme n'est pas libre selon les critères du projet -&debian; et ne peut donc être inclus dans la section <emphasis>main</emphasis> de l'archive ou -dans le système d'installation. Si le pilote lui-même est inclus dans la distribution et -si le projet &debian; peut distribuer légalement le microprogramme, il sera disponible sous forme de -paquet dans la section <emphasis>non-free</emphasis> de l'archive. - -</para> -<para> - -Cependant cela ne signifie pas que ce type de matériel ne puisse pas être utilisé -pendant l'installation. À partir de &debian-gnu; 5.0, l'installateur sait charger des -microprogrammes sous forme de simple fichier ou sous forme de paquet sur des supports -amovibles comme une clé USB. -Consultez <xref linkend="loading-firmware"/> pour des précisions sur la manière de télécharger -des microprogrammes pendant l'installation. - -</para> -<para> - -Si l'&d-i; demande un microprogramme qui n'est pas disponible ou que vous ne voulez pas -installer un microprogramme non libre, vous pouvez continuer l'installation -sans télécharger le microprogramme. -Certains pilotes demandent des microprogrammes supplémentaires parce qu'ils sont nécessaires -dans certaines circonstances, mais le périphérique fonctionnera sans sur la plupart des systèmes. -Ainsi, cela arrive avec des cartes réseau utilisant le pilote tg3. - -</para> - -</sect1> diff --git a/fr/hardware/hardware.xml b/fr/hardware/hardware.xml deleted file mode 100644 index 4879797fb..000000000 --- a/fr/hardware/hardware.xml +++ /dev/null @@ -1,18 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<chapter id="hardware-req"> -<title>Configuration nécessaire</title> - -<para> -Cette section contient des informations sur le matériel dont -vous avez besoin pour commencer avec &debian;. Vous trouverez -aussi des liens vers des informations supplémentaires -concernant le matériel reconnu par GNU et &arch-kernel;. -</para> - -&hardware-supported.xml; -&buying-hardware.xml; -&installation-media.xml; -&memory-disk-requirements.xml; - -</chapter> diff --git a/fr/hardware/installation-media.xml b/fr/hardware/installation-media.xml deleted file mode 100644 index df31dd542..000000000 --- a/fr/hardware/installation-media.xml +++ /dev/null @@ -1,225 +0,0 @@ -<!-- original version: 67991 --> - - <sect1 id="installation-media"> -<title>Les supports d'installation</title> - -<para> -Cette section précise les différents supports utilisables pour installer -&debian;. Un chapitre entier est consacré aux supports, le -<xref linkend="install-methods"/> ; il indique les avantages et les -désavantages de chaque support. Quand vous aurez atteint ce chapitre, -vous pourrez vous reporter à cette page. -</para> - -<sect2 condition="supports-floppy-boot"> -<title>Les disquettes</title> - -<para> -Dans certains cas, vous devrez effectuer votre premier amorçage depuis un -lecteur de disquettes. En général vous -avez besoin d'une disquette haute densité (1440 kilo-octets) de 3,5 pouces. -</para> - -<para arch="powerpc"> -Pour CHRP, l'utilisation de disquette est actuellement impossible. -</para> -</sect2> - -<sect2 arch="not-s390"><title>CD-ROM/DVD-ROM</title> - -<note><para> - -Chaque fois que vous lirez <quote>CD</quote> dans ce manuel, cela -voudra dire aussi bien CD-ROM que DVD-ROM, car, du point de vue du système -d'exploitation, les deux techniques sont les mêmes. - -</para></note> - -<para> - -L'installation à partir d'un CD est aussi possible avec la plupart des -architectures. - -</para> - -<para arch="x86"> - -Les CD de type SCSI, SATA et IDE/ATAPI sont reconnus. - -</para> - -<para arch="x86"> - -Les lecteurs USB sont reconnus, comme le sont les périphériques FireWire -reconnus par les pilotes ohci1394 et sbp2. - -</para> -<para arch="arm"> - -Les CD IDE/ATAPI sont reconnus par toutes les architectures ARM. - -</para> - -<para arch="mips"> - -Sur les machines SGI, amorcer depuis un CD demande un lecteur SCSI qui -puisse fonctionner avec un bloc logique de 512 bytes. La plupart des lecteurs -SCSI vendus sur le marché ne le peuvent pas. Si votre lecteur possède un -cavalier <quote>Unix/PC ou 512/2048</quote>, mettez-le en position <quote>Unix</quote> ou -<quote>512</quote>. -Pour commencer l'installation, choisissez l'entrée -<quote>System installation</quote> dans le microprogramme. - -</para> - -</sect2> - -<sect2 condition="bootable-usb"><title>Les clés USB</title> - -<para> - -Les disques flash USB, (clés USB), sont des périphériques de stockage -bon marché et très utilisés. La plupart des systèmes modernes permettent -d'amorcer l'&d-i; à partir d'une clé USB. Ainsi pour ceux qui ne possèdent pas de -lecteur de CD, comme les netbooks ou les ultraportables, -l'installation d'un nouveau système peut se faire par une clé USB. - -</para> -</sect2> - -<sect2><title>Le réseau</title> - -<para> -Pendant l'installation, le téléchargement des fichiers nécessaires peut se faire -par le réseau. Selon le type d'installation que vous avez choisi et les réponses -que vous donnez à certaines questions, le réseau est utilisé ou non. -Le système d'installation accepte la plupart des modes de connexion (PPPoE, par -exemple, mais pas ISDN ou PPP), par HTTP ou FTP. Une fois l'installation terminée, -vous pouvez configurer les modes ISDN ou PPP. -</para> - -<para condition="supports-tftp"> - -Vous pouvez aussi <emphasis>amorcer</emphasis> le système d'installation sur le réseau, -sans CD ni clé USB. Si vous avez l'infrastructure nécessaire - votre réseau -fait fonctionner des services DHCP et TFTP -, il est très facile et rapide de -déployer un grand nombre de machines. Mettre en œuvre une telle infrastructure -exige cependant une certaine expérience technique qui n'est pas à la portée des débutants. - -<phrase arch="mips;mipsel">C'est la méthode d'installation préférée pour &arch-title;.</phrase> - -</para> - -<para condition="supports-nfsroot"> -L'installation sans disque, en utilisant le démarrage par réseau et le -montage par NFS de tous les systèmes de fichiers locaux, est une autre possibilité. -</para> - -</sect2> - - -<sect2><title>Les disques durs</title> -<para> - -L'installation à partir d'un disque local est aussi possible sur beaucoup -d'architectures. Cela demande qu'un autre système d'exploitation charge -l'installateur sur le disque dur. Cette méthode n'est recommandée que pour -des cas spéciaux, quand aucune autre méthode n'est disponible. - -</para> - -<para arch="sparc"> - -Bien que &arch-title; ne permette pas de -démarrer à partir de SunOS (Solaris), l'installation à -partir d'une partition SunOS (tranches UFS) est tout à fait possible. - -</para> - </sect2> - - -<sect2><title>Un*x ou système GNU</title> -<para> -Si vous utilisez un système de type Unix, vous pouvez installer &debian-gnu; sans -utiliser l'installateur qui est décrit dans la suite de ce manuel. Cette manière de -faire peut servir à des utilisateurs qui possèdent un matériel non reconnu -ou qui sont sur des machines qui ne peuvent se permettre un temps d'arrêt. -Si cette technique vous intéresse, reportez-vous à la <xref linkend="linux-upgrade"/>. -Cette méthode n'est recommandée que pour les experts, quand aucune autre méthode n'est disponible. - - </para> - </sect2> - -<sect2><title>Systèmes de stockage reconnus</title> -<para> - -L'installateur &debian; contient un noyau construit pour permettre de faire tourner un maximum de -systèmes. - -</para> - -<para arch="x86"> - -Le système d'installation &debian; reconnaît les disques IDE (PATA), -les contrôleurs et disques SATA et SCSI, les périphériques USB et FireWire. Les -systèmes de fichiers reconnus comprennent FAT, les extensions FAT Win-32 (VFAT) et NTFS. - -</para> - -<!-- -<para arch="x86"> -Les interfaces disque qui émulent l'interface du disque -dur « AT », qu'on appelle souvent MFM, RLL, IDE -ou PATA, sont reconnues. -Les contrôleurs de disques SATA et SCSI provenant de différents constructeurs sont -reconnus. Voyez le -<ulink url="&url-hardware-howto;">HOWTO sur la compatibilité des matériels avec Linux</ulink> -pour plus de précisions. -</para> - ---> - -<para arch="sparc"> -Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est aussi -reconnu par le système de démarrage. Les pilotes SCSI -suivants sont reconnus dans le noyau par défaut : -<itemizedlist> -<listitem><para>Sparc ESP</para></listitem> -<listitem><para>PTI Qlogic,ISP</para></listitem> -<listitem><para>Adaptec AIC7xxx</para></listitem> -<listitem><para>NCR and Symbios 53C8XX</para></listitem> -</itemizedlist> - -Les systèmes IDE (tels que UltraSPARC 5) sont aussi -reconnus. Voyez la <ulink url="&url-sparc-linux-faq;">FAQ Linux pour les processeurs SPARC</ulink> pour plus d'informations -sur le matériel SPARC reconnu par le noyau Linux. -</para> - -<para arch="powerpc"> -Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est -aussi reconnu par le système de démarrage. Il faut -remarquer que le noyau Linux actuel n'accepte pas du -tout les disquettes sur les systèmes CHRP. -</para> - -<para arch="hppa"> -Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est -aussi reconnu par le système de démarrage. Il faut -remarquer que le noyau Linux actuel n'accepte pas les -disquettes. -</para> - -<para arch="mips"> -Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est -aussi reconnu par le système de démarrage. -</para> - -<para arch="s390"> -Tout système de stockage reconnu par le noyau Linux est -aussi supporté par le système de démarrage. Cela signifie -que les DASD FBA et ECKD sont reconnus pour les vieux -formats de disque Linux (ldl) et le nouveau format de -disque S/390 plus courant (cdl). -</para> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/hardware/memory-disk-requirements.xml b/fr/hardware/memory-disk-requirements.xml deleted file mode 100644 index 7dcea5264..000000000 --- a/fr/hardware/memory-disk-requirements.xml +++ /dev/null @@ -1,26 +0,0 @@ -<!-- original version: 61133 --> - - <sect1 id="memory-disk-requirements"> -<title>Mémoire et espace disque nécessaires</title> - -<para> -Vous devez posséder au moins &minimum-memory; de mémoire vive -et &minimum-fs-size; d'espace disque. -Ce sont vraiment des valeurs minimales. Pour une estimation plus réaliste, -voyez <xref linkend="minimum-hardware-reqts"/>. - -</para> -<para> - -L'installation sur des systèmes avec moins de mémoire <footnote condition="gtk"> - -<para> -L'installateur graphique demande plus de mémoire que l'installateur texte. Il ne doit pas -être utilisé avec des systèmes avec une quantité de mémoire inférieure à &minimum-memory;. -Si un choix est proposé, il vaut mieux sélectionner l'installateur texte. -</para> -</footnote> -ou avec moins d'espace disque disponible est encore possible mais cela demande des -utilisateurs expérimentés. -</para> - </sect1> diff --git a/fr/hardware/network-cards.xml b/fr/hardware/network-cards.xml deleted file mode 100644 index ae3c9c615..000000000 --- a/fr/hardware/network-cards.xml +++ /dev/null @@ -1,174 +0,0 @@ -<!-- original version: 68014 --> - - <sect2 id="network-cards"> -<title>Matériel de connexion réseau</title> -<para> - -Toute carte réseau (<emphasis>NIC, network interface card</emphasis>) -reconnue par le noyau &arch-kernel; devrait aussi être reconnue par l'installateur. -Les pilotes devraient être chargés de manière automatique. - -<phrase arch="x86">La plupart des cartes PCI/PCI-Express sont reconnues ainsi que -les cartes PCMCIA/Express pour les portables.</phrase> -<phrase arch="i386">Beaucoup d'anciennes cartes ISA le sont aussi.</phrase> - -</para> - -<para arch="sparc"> -Beaucoup de cartes PCI génériques sont reconnues, ainsi que les cartes SUN suivantes : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -Sun LANCE - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Sun Happy Meal - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Sun BigMAC - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Sun QuadEthernet - -</para></listitem> -<listitem><para> - -MyriCOM Gigabit Ethernet - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> - -<para arch="s390"> -La liste des cartes réseau reconnues est : - -<itemizedlist> - <listitem><para> - -Channel to Channel (CTC) et ESCON connection (réelle ou émulée). - -</para></listitem> - <listitem><para> - -OSA-2 Token Ring/Ethernet et OSA-Express Fast Ethernet (non-QDIO) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -OSA-Express in QDIO mode, HiperSockets et Guest-LANs - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> - -<para arch="arm"> - -Sur &arch-title;, la plupart des périphériques Ethernet intégrés sont reconnus -et des modules pour les périphériques USB et PCI sont fournis. - -</para> - -<para arch="x86"> - -Le RNIS ne peut pas être utilisé pour l'installation. -</para> - - -<sect3 condition="supports-wireless" id="nics-wireless"> - <title>Cartes réseau sans fil</title> - -<para> - -Les cartes réseau sans fil sont en général reconnues et le noyau &arch-kernel; officiel reconnaît -un nombre croissant d'adaptateurs. Cependant beaucoup d'entre eux demandent -le chargement d'un microprogramme. - -</para> - -<para arch="not-s390"> -Quand un microprogramme est nécessaire, l'installateur vous demandera de le télécharger. Consultez -<xref linkend="loading-firmware"/> pour des informations détaillées sur -la manière de télécharger un microprogramme pendant l'installation. -</para> - -<para> -On peut faire fonctionner des cartes non reconnues par le noyau &arch-kernel; officiel avec -&debian-gnu;, mais elles ne sont pas gérées pendant l'installation. -</para> - -<para> -Si vous ne pouvez pas utiliser d'autre carte pour l'installation, vous pouvez -toujours installer &debian-gnu; avec un CD ou un DVD. -Choisissez l'option de ne pas configurer le réseau et utilisez seulement les paquets qui -se trouvent sur le cédérom. Une fois l'installation terminée (après le réamorçage), -vous pourrez charger le pilote et le microprogramme dont vous avez besoin et configurer -le réseau. -</para> - -<para> -Parfois, le pilote nécessaire n'est pas disponible sous forme de paquet &debian;. -Il faudra chercher le code source sur internet et le compiler vous-même. -Comment procéder dépasse le cadre de ce manuel. -<phrase arch="x86">S'il n'existe pas de pilote pour Linux, vous pouvez -toujours utiliser le paquet <classname>ndiswrapper</classname> qui permet -d'installer un pilote Windows.</phrase> - -</para> - </sect3> - - <sect3 arch="sparc" id="nics-sparc-trouble"> - <title>Problèmes connus sur &arch-title;</title> -<para> - -Quelques cartes réseau spéciales posent des problèmes qui méritent d'être -mentionnés. - -</para> - - <sect4><title>Conflits entre les pilotes tulip et dfme</title> -<!-- BTS: #334104; may also affect other arches, but most common on sparc --> -<para> - -<!-- BTS: #334104; may also affect other arches, but most common on sparc --> - -Certaines cartes PCI ont la même identité mais sont gérées par des pilotes -différents. Certaines sont gérées par le pilote <literal>tulip</literal> et d'autres -par le pilote <literal>dfme</literal>. Comme elles ont la même identité, le noyau -ne les distingue pas et peut charger le mauvais pilote. -</para> -<para> - -C'est un problème connu sur les systèmes Netra avec une carte Davicom (DEC-Tulip). -Dans ce cas le pilote <literal>tulip</literal> est correct. -Pour éviter ce problème, il faut mettre le module défectueux sur liste noire. -Voyez <xref linkend="module-blacklist"/>. -</para> -<para> -Pendant l'installation, la solution est de passer sur un shell et de supprimer -le mauvais pilote (ou les deux, si les deux sont chargés) avec -<userinput>modprobe -r <replaceable>module</replaceable></userinput>. -Ensuite il suffit de charger le bon pilote avec -<userinput>modprobe <replaceable>module</replaceable></userinput>. -Il se peut malgré tout que le mauvais module soit chargé quand le système -est redemarré. -</para> -</sect4> - <sect4><title>Sun B100 blade</title> -<!-- BTS: #384549; should be checked for kernels >2.6.18 --> -<para> -Le pilote réseau <literal>cassini</literal> ne fonctionne pas avec les -systèmes Sun B100 blade. -</para> -</sect4> -</sect3> - - </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported-peripherals.xml b/fr/hardware/supported-peripherals.xml deleted file mode 100644 index fcda12c9f..000000000 --- a/fr/hardware/supported-peripherals.xml +++ /dev/null @@ -1,40 +0,0 @@ -<!-- original version: 67991 --> - - <sect2 id="supported-peripherals"> -<title>Périphériques et matériels</title> - -<para arch="not-s390"> - -&arch-kernel; reconnaît une large gamme de périphériques comme les souris, les -imprimantes, les scanners, les modems, les cartes réseau, les périphériques -PCMCIA et USB, etc. Cependant aucun de ces périphériques n'est requis lors de -l'installation du système. - -</para> - -<para arch="x86"> - -Le matériel USB fonctionne correctement. Pour quelques très anciens PC, -les claviers USB peuvent nécessiter une configuration supplémentaire -(voyez la <xref linkend="hardware-issues"/>). -Sur les ordinateurs modernes, claviers et souris USB ne demandent aucune -configuration particulière. - -</para> - -<para arch="s390"> - -Les installations de paquets à partir de XPRAM ou d'une bande ne sont pas -reconnues par le système. Tous les paquets que vous désirez installer doivent -être disponibles sur un DASD ou bien sur le réseau via NFS, HTTP ou FTP. - -</para> - -<para arch="mipsel"> - -Le Cobalt RaQ ne permet pas l'ajout de périphérique -mais le Qube a un emplacement PCI libre. - -</para> - - </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/amd64.xml b/fr/hardware/supported/amd64.xml deleted file mode 100644 index 19b351e0b..000000000 --- a/fr/hardware/supported/amd64.xml +++ /dev/null @@ -1,24 +0,0 @@ -<!-- original version: 68331 --> - - - <sect2 arch="amd64"><title>Microprocesseurs</title> -<para> - -Les processeurs AMD64 et Intel 64 sont reconnus. - -</para> - - -<!-- Not sure if this is relevant for AMD64; AFAIK only PCI supported - <sect3 id="bus"><title>I/O Bus</title> -<para> - -The system bus is the part of the motherboard which allows the CPU to -communicate with peripherals such as storage devices. Your computer -must use the PCI bus. - -</para> - </sect3> ---> - </sect2> - diff --git a/fr/hardware/supported/arm.xml b/fr/hardware/supported/arm.xml deleted file mode 100644 index e219e3afc..000000000 --- a/fr/hardware/supported/arm.xml +++ /dev/null @@ -1,84 +0,0 @@ -<!-- original version: 67982 --> - - <sect2 arch="arm"> -<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> - -<para> -Chaque architecture ARM différente exige son propre noyau. C'est pour cela -que la distribution &debian; standard ne propose d'installation que sur les -principaux systèmes. Mais <emphasis>tout</emphasis> CPU ARM peut -utiliser le <quote>&debian; userland</quote>. -</para> -<para> -La plupart des CPU ARM peuvent fonctionner en mode petit-boutien ou -en mode grand-boutien. Cependant les systèmes les plus courants utilisent -le mode petit-boutien. -&debian; fonctionne uniquement sur les processeurs ARM petit-boutiens. -</para> - -<para> -Les machines reconnues sont les suivantes : - -<variablelist> - -<varlistentry> -<term>IOP32x</term> -<listitem><para> - -On trouve la ligne d'Intel I/O Processor (IOP) sur nombre de produits relatifs -au stockage de données. &debian; gère actuellement la plateforme IOP32x, qui comporte -les puces IOP 80219 et 32x qui se trouvent sur les périphériques NAS -(<emphasis>Network Attached Storage</emphasis>). &debian; gère explicitement les -périphériques <ulink url="&url-arm-cyrius-glantank;">GLAN Tank</ulink> de IO-Data et -<ulink url="&url-arm-cyrius-n2100;">Thecus N2100</ulink>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Kirkwood</term> -<listitem><para> - -Kirkwood est un système sur une puce (SoC) de Marvell qui comporte un processeur ARM, -Ethernet, SATA, USB, et d'autres fonctionnalités sur une seule puce. -Pour l'instant sont reconnus les systèmes suivants : -OpenRD (OpenRD-Base, OpenRD-Client et OpenRD-Ultimate), <ulink -url="&url-arm-cyrius-sheevaplug;">plug computers (SheevaPlug, GuruPlug and -DreamPlug)</ulink>, <ulink url="&url-arm-cyrius-qnap-kirkwood;">QNAP -Turbo Station</ulink> (tous les modèles TS-11x, TS-21x et TS-41x), et LaCie -NASes (Network Space v2, Network Space Max v2, Internet Space v2, d2 -Network v2, 2Big Network v2 et 5Big Network v2). - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Orion5x</term> -<listitem><para> - -Orion est un système sur une puce (SoC) de Marvell qui comporte un processeur ARM, -Ethernet, SATA, USB, et d'autres fonctionnalités sur une seule puce. Il existe sur le marché -beaucoup de périphériques NAS (<quote>Network Attached Storage</quote>) basés sur la puce Orion. -Pour l'instant sont reconnus les systèmes suivants : <ulink -url="&url-arm-cyrius-kuroboxpro;">Buffalo Kurobox</ulink>, <ulink -url="&url-arm-cyrius-dns323;">D-Link DNS-323</ulink> et <ulink -url="&url-arm-cyrius-mv2120;">HP mv2120</ulink>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Versatile</term> -<listitem><para> - -La plateforme <quote>Versatile</quote> est simulée par QEMU. C'est un bon moyen de tester &debian; sur ARM -quand on ne possède pas le matériel. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -</variablelist> - -</para> - </sect2> - diff --git a/fr/hardware/supported/hppa.xml b/fr/hardware/supported/hppa.xml deleted file mode 100644 index 7d7d8f9d9..000000000 --- a/fr/hardware/supported/hppa.xml +++ /dev/null @@ -1,14 +0,0 @@ -<!-- original version: 41452 --> - - <sect2 arch="hppa"> -<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> - -<para> -Il y a 2 versions principales de <emphasis>&architecture;</emphasis> : -PA-RISC 1.1 et PA-RISC 2.0. L'architecture PA-RISC 1.1 -s'adresse aux processeurs 32 bits tandis que la 2.0 s'adresse aux processeurs -64 bits. Certains systèmes permettent d'exécuter l'un ou l'autre noyau. -Dans les deux cas, l'espace utilisateur (<quote>userland</quote>) est en -32 bits. Il y a aura peut-être un espace utilisateur en 64 bits. -</para> - </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/i386.xml b/fr/hardware/supported/i386.xml deleted file mode 100644 index f00ec4c39..000000000 --- a/fr/hardware/supported/i386.xml +++ /dev/null @@ -1,69 +0,0 @@ -<!-- original version: 68322 --> - - <sect2 arch="i386"> -<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> - -<para> -Vous pouvez trouver une information complète concernant les périphériques -reconnus dans le <ulink url="&url-hardware-howto;">HOWTO sur la compatibilité -des matériels avec Linux</ulink>. -Cette section présente seulement les éléments de base. -</para> - - <sect3> -<title>Microprocesseurs</title> - -<para> -Quasiment tous les processeurs de la famille x86 (IA-32), toute la série Pentium -d'Intel encore en usage sur les PC sont reconnus ; cela -veut dire également les processeurs 32 bits AMD et VIA (anciennement Cyrix) et les -processeurs tels que Athlon XP et Intel P4 Xeon. -</para> - -<para> -Cependant, &debian; GNU/Linux &releasename; <emphasis>ne fonctionnera pas</emphasis> sur les -processeurs 386 ou antérieurs. Malgré le nom de l'architecture, <quote>i386</quote>, -la gestion des processeurs 80386 (et de leurs clones) a été abandonnée depuis la version -r3.1 de Sarge -<footnote> -<para> -Nous avons longtemps essayé d'éviter cet abandon mais il est devenu nécessaire -à cause de problèmes malheureux avec le compilateur et le noyau, en commençant par -un bug dans l'ABI C++ fournie par GCC. Il est toujours possible d'installer -&debian; GNU/Linux sur des processeurs 80386 mais il faut compiler le noyau et -tous les paquets à partir des sources. -</para> -</footnote>. - -(Aucune version de Linux n'a jamais fonctionné avec les processeurs 286 ou -antérieurs.) Tous les processeurs 486 sont gérés <footnote> -<para> -Beaucoup de paquets &debian; fonctionneront légèrement plus vite sur -des ordinateurs modernes, c'est un effet positif de l'abandon de la gestion -des anciens processeurs. Le processeur i486, lancé en 1989, possède trois -<quote>opcodes</quote>, bswap, cmpxchg et xadd que ne possède pas l'i386, lancé en -1986. Les paquets &debian; ne pouvaient pas les utiliser facilement. -</para> -</footnote>. - -</para> -<note><para> -Si votre système possède un processeur 64 bits des familles AMD64 ou Intel 64, -vous devriez utiliser l'installateur pour l'architecture amd64 -au lieu de l'installateur pour l'architecture i386 (32 bits). -</para></note> - </sect3> - - <sect3 id="bus"> -<title>Bus d'entrée sortie</title> - -<para> -Le bus système est la partie de la carte mère permettant au processeur de -communiquer avec les périphériques tels que les périphériques de stockage. -Votre ordinateur doit utiliser l'un des bus ISA, EISA, PCI, PCIe, PCI-X ou VESA Local Bus -(VLB, parfois appelé bus VL). Tous les PC vendus ces dernières années utilisent -l'un d'entre eux. -</para> - - </sect3> - </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/ia64.xml b/fr/hardware/supported/ia64.xml deleted file mode 100644 index d0d068f3d..000000000 --- a/fr/hardware/supported/ia64.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/hardware/supported/mips.xml b/fr/hardware/supported/mips.xml deleted file mode 100644 index 1bff155aa..000000000 --- a/fr/hardware/supported/mips.xml +++ /dev/null @@ -1,58 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect2 arch="mips"> -<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> - -<para> - -&debian; sur &arch-title; gère les plateformes suivantes : - -<itemizedlist> -<listitem><para> -SGI IP22 : Cette plateforme englobe les machines SGI Indy, Indigo 2 et -Challenge S. Puisque ces machines sont très semblables, chaque fois que ce -document se rapporte aux machines SGI Indy, cela concerne aussi les machines -Indigo 2 et Challenge S. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -SGI IP32 : cette plateforme est connue comme SGI O2. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -MIPS Malta : cette plateforme est simulée par QEMU. C'est un bon moyen de tester &debian; sur ARM -quand on ne possède pas le matériel. - -</para></listitem> - -</itemizedlist> - -Une information complète à propos des machines mips/mipsel se trouve dans la -<ulink url="&url-linux-mips;">page Linux-MIPS</ulink>. Dans la suite, seuls les -systèmes gérés par l'installateur &debian; seront traités. Si vous recherchez de -l'aide pour d'autres sous-architectures, vous pouvez contacter la -<ulink url="&url-list-subscribe;">liste de diffusion debian-&arch-listname;</ulink>. - -</para> - - <sect3> -<title>Microprocesseurs</title> - -<para> - -Sur SGI IP22, les plateformes SGI Indy, Indigo 2 et Challenge S utilisant -les processeurs R4000, R4400, R4600 et R5000 sont reconnues par le système -d'installation de &debian; pour MIPS grand-boutien. Sur SGI IP32, seuls les systèmes -basés sur le R5000 sont reconnus. - -</para><para> - -Certaines machines MIPS peuvent fonctionner dans les modes grand-boutien -ou petit-boutien. Pour les MIPS petit-boutien, veuillez-vous reporter à -la documentation sur l'architecture « mipsel ». - -</para> - </sect3> - </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/mipsel.xml b/fr/hardware/supported/mipsel.xml deleted file mode 100644 index e6246c55f..000000000 --- a/fr/hardware/supported/mipsel.xml +++ /dev/null @@ -1,56 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect2 arch="mipsel"> -<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> - -<para> - -&debian; sur &arch-title; gère les plateformes suivantes : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -Cobalt Microserver : seules les machines Cobalt basées sur -MIPS seront traitées ici, à savoir les plateformes Cobalt RaQ, Qube2 et RaQ2, -et la passerelle Microserver. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -MIPS Malta : cette plateforme est simulée par QEMU. C'est un bon moyen de tester &debian; sur ARM -quand on ne possède pas le matériel. - -</para></listitem> - -</itemizedlist> - -Une information complète sur les machines mips/mipsel se trouve dans la -<ulink url="&url-linux-mips;">page Linux-MIPS</ulink>. Dans la suite, seuls les -systèmes gérés par l'installateur &debian; seront traités. Si vous recherchez de -l'aide pour d'autres sous-architectures, vous pouvez contacter la -<ulink url="&url-list-subscribe;">liste de diffusion debian-&arch-listname;</ulink>. - -</para> - - <sect3><title>Microprocesseur/types de machine</title> - -<para> - -Toutes les machines Cobalt basées sur MIPS sont reconnues, à l'exception de la machine -Qube 2700 (Qube 1). - -</para> - </sect3> - - <sect3> -<title>Options pour consoles</title> - -<para> - -Les plateformes Cobalt utilisent une vitesse de -transmission de 115200 bps. - -</para> - - </sect3> - </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/powerpc.xml b/fr/hardware/supported/powerpc.xml deleted file mode 100644 index 4845fd72e..000000000 --- a/fr/hardware/supported/powerpc.xml +++ /dev/null @@ -1,432 +0,0 @@ -<!-- original version: 68624 --> - - <sect2 arch="powerpc"> -<title>Microprocesseurs, cartes mère et cartes vidéo</title> - -<para> - -Avec &debian-gnu; &release; seules les sous-architectures PMac (Power-Macintosh ou PowerMac) et PreP -sont reconnues. -<!-- -Il y a quatre variantes principales de <emphasis>&architecture;</emphasis> -reconnues : PMac (Power-Macintosh ou PowerMac ), PReP, APUS (Amiga Power-UP System) et -CHRP. Chacune de ces sous-architectures possède sa méthode d'amorçage. Les -différents processeurs sont associés à quatre noyaux différents. - -</para> -<para> -Des portages d'autres architectures <emphasis>&architecture;</emphasis>, -telles que Be-Box et MBX sont en cours, mais pas encore faits. Nous aurons -peut-être aussi un portage 64 bits. ---> -</para> - - -<sect3><title>Les différents noyaux</title> - -<para> -Il existe deux variantes du noyau powerpc, basées sur le type de -processeur : - -<variablelist> -<varlistentry> -<term>powerpc</term> -<listitem><para> - -Cette variante reconnaît les processeurs PowerPC 601, 603, 604, 740, 750 et 7400. -Toutes les machines Apple PowerMac jusqu'à G4 utilisent l'un de ces processeurs. -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>powerpc-smp</term> -<listitem><para> - -Toutes les machines Apple PowerMac G4 SMP. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>power64</term> -<listitem><para> - -La variante power64 acceptent les processeurs suivants : - -</para><para> - -Le processeur POWER3 est utilisé par les anciens systèmes IBM 64 bits. -On trouve les machines IntelliStation POWER Model 265, les pSeries 610 et 640 -et les RS/6000 7044-170, 7043-260, 7044-270. - -</para><para> - -Le processeur POWER4 est utilisé par les nouveaux systèmes IBM 64 bits. On -trouve les machines pSeries 615, 630, 650, 655, 670 et 690. -</para> -<para> - -Les systèmes qui utilisent le processeur PPC970 -(Apple G5, YDL PowerStation, IBM Intellistation POWER 185) sont aussi basés -sur l'architecture POWER4 et utilise cette variante du noyau. - -</para><para> - -Les nouveaux systèmes IBM qui utilisent les processeurs POWER5, POWER6 et POWER7. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<!-- -<varlistentry> -<term>prep</term> -<listitem><para> - -Cette variante du noyau est destiné à la sous-architecture PReP. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>apus</term> -<listitem><para> - -Cette variante est destinée au système Amiga Power-UP. Elle est actuellement -désactivée. - -</para></listitem> - -</varlistentry> ---> -</variablelist> - -</para> -</sect3> - -<sect3><title>La sous-architecture Power Macintosh (pmac)</title> - -<para> -Apple (et quelques autres constructeurs, Power Computing, par -exemple), a produit une série d'ordinateurs Macintosh basés sur le processeur -PowerPC. On distingue trois catégories : Nubus (non gérée par &debian;), OldWorld -et NewWorld. -</para> - -<para> -Les systèmes OldWorld représentent la plupart des PowerMacintosh -qui possèdent un lecteur de disquettes et un bus PCI. La plupart des Power Macintosh -603,603e,604 et 604e sont des machines OldWorld. Les numéros de modèles PowerPC pré-iMac -de chez Apple ont quatre chiffres, sauf les systèmes G3 de couleur beige qui sont aussi -des OldWorld. - -</para> -<para> -Les machines appelées PowerMacs NewWorld sont les PowerMacs -avec un boîtier en plastique de couleur translucide : -tous les iMacs, iBooks, G4, G3 de couleur bleue et -la plupart des PowerBooks fabriqués à partir de 1999. Les -PowerMacs NewWorld sont aussi connus pour utiliser le -système <quote>Rom en Ram</quote> de MacOS et ont commencé -à être fabriqués à partir de 1998. - -</para> -<para> -Les spécifications pour le matériel Apple sont disponibles sur -<ulink url="http://www.info.apple.com/support/applespec.html">AppleSpec</ulink>, -et pour le matériel plus ancien, -<ulink url="http://www.info.apple.com/support/applespec.legacy/index.html">AppleSpec Legacy</ulink>. -</para> - -<para> - -<informaltable> -<tgroup cols="3"> -<colspec colname="c1"/> -<colspec colname="c2"/> -<colspec colname="c3"/> -<thead> -<row> - <entry namest="c1" nameend="c2">Modèle Nom/Numéro</entry> - <entry>Génération</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry morerows="27">Apple</entry> - <entry>iMac Bondi Blue, 5 Flavors, Slot Loading</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>iMac Summer 2000, Early 2001</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>iMac G5</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>iBook, iBook SE, iBook Dual USB</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>iBook2</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>iBook G4</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh Blue and White (B&W) G3</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh G4 PCI, AGP, Cube</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh G4 Gigabit Ethernet</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh G4 Digital Audio, Quicksilver</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh G5</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>PowerBook G3 FireWire Pismo (2000)</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>PowerBook G3 Lombard (1999)</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>PowerBook G4 Titanium</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>PowerBook G4 Aluminum</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>Xserve G5</entry> - <entry>NewWorld</entry> -</row><row> - <entry>Performa 4400, 54xx, 5500</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Performa 6360, 6400, 6500</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh 4400, 5400</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh 7200, 7300, 7500, 7600</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh 8200, 8500, 8600</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh 9500, 9600</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh (Beige) G3 Minitower</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Power Macintosh (Beige) Desktop, All-in-One</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>PowerBook 2400, 3400, 3500</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>PowerBook G3 Wallstreet (1998)</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Twentieth Anniversary Macintosh</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>Workgroup Server 7250, 7350, 8550, 9650, G3</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="1">Power Computing</entry> - <entry>PowerBase, PowerTower / Pro, PowerWave</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row><row> - <entry>PowerCenter / Pro, PowerCurve</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row> - -<row> - <entry>UMAX</entry> - <entry>C500, C600, J700, S900</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row> - -<row> - <entry>APS</entry> - <entry>APS Tech M*Power 604e/2000</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row> - -<row> - <entry>Motorola</entry> - <entry>Starmax 3000, 4000, 5000, 5500</entry> - <entry>OldWorld</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -</para> - -</sect3> - -<sect3><title>La sous-architecture PReP</title> - -<para> - -<informaltable> -<tgroup cols="2"> -<colspec colname="c1"/> -<colspec colname="c2"/> -<thead> -<row> - <entry namest="c1" nameend="c2">Modèle Nom/Numéro</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry morerows="4">Motorola</entry> - <entry>Firepower, PowerStack Series E, PowerStack II</entry> -</row><row> - <entry>MPC 7xx, 8xx</entry> -</row><row> - <entry>MTX, MTX+</entry> -</row><row> - <entry>MVME2300(SC)/24xx/26xx/27xx/36xx/46xx</entry> -</row><row> - <entry>MCP(N)750</entry> -</row> - -<row> - <entry morerows="3">IBM RS/6000</entry> - <entry>40P, 43P</entry> -</row><row> - <entry>Power 830/850/860 (6070, 6050)</entry> -</row><row> - <entry>6030, 7025, 7043</entry> -</row><row> - <entry>p640</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -</para> -</sect3> - -<sect3><title>La sous-architecture CHRP</title> -<para> - -<informaltable> -<tgroup cols="2"> -<colspec colname="c1"/> -<colspec colname="c2"/> -<thead> -<row> - <entry namest="c1" nameend="c2">Modèle Nom/Numéro</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>IBM RS/6000</entry> - <entry>B50, 43P-150, 44P</entry> -</row> -<row> - <entry>Genesi</entry> - <entry>Pegasos I, Pegasos II</entry> -</row> -<row> - <entry>Fixstars</entry> - <entry>YDL PowerStation</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> -</para> -</sect3> - - <sect3><title>La sous-architecture APUS (non gérée)</title> -<para> -<informaltable> -<tgroup cols="2"> -<colspec colname="c1"/> -<colspec colname="c2"/> -<thead> -<row> - <entry namest="c1" nameend="c2">Modèle Nom/Numéro</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>Amiga Power-UP Systems (APUS)</entry> - <entry>A1200, A3000, A4000</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> - -</para> - -</sect3> - -<sect3><title>Sous-architecture Nubus PowerMac (non gérée)</title> - -<para> -Les systèmes Nubus ne sont pas reconnus par &debian;/powerpc -pour le moment. L'architecture monolithique du noyau -Linux/PPC n'accepte pas ces machines ; à la place, il faut -utiliser le micronoyau MkLinux Mach, que &debian; ne gère pas encore. -Cela inclut les modèles suivants : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -Power Macintosh 6100, 7100, 8100 - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Performa 5200, 6200, 6300 - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Powerbook 1400, 2300, et 5300 - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Workgroup Server 6150, 8150, 9150 - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -Il existe un noyau Linux pour ces machines et on trouve un support limité sur -<ulink url="http://nubus-pmac.sourceforge.net/"></ulink>. - -</para> -</sect3> - -<sect3><title>Mac non PowerPC</title> - -<para> - -Les ordinateurs Macintosh utilisant la série des microprocesseurs 680x0 ne -font pas partie de la famille des PowerPC mais de celle des machines m68k. -Ces modèles commencent avec les <quote>Mac II</quote>, continuent avec les -<quote>LC</quote>, puis les <quote>Centris</quote> et les <quote>Quadras</quote> -et <quote>Performas</quote>.Ces modèles ont un numéro à trois chiffres comme -Mac IIcx, LCIII ou Quadra 950. -</para> -<para> -Ces modèles commencent avec les Mac II (Mac II, IIx, IIcx, IIci, -IIsi, IIvi, IIvx, IIfx), then the LC (LC, LCII, III, III+, 475, 520, -550, 575, 580, 630), puis les Mac TV, puis les Centris (610, 650, -660AV), les Quadra (605, 610, 630, 650, 660AV, 700, 800, 840AV, 900, -950), et en fin Performa 200-640CD. -</para> -<para> -Pour les portables, ces modèles commencent avec le Mac Portable, puis -les PowerBook 100-190cs et les PowerBook Duo 210-550c (en excluant le -PowerBook 500, qui est de type Nubus, voyez la section ci-dessus. -</para> -</sect3> - </sect2> diff --git a/fr/hardware/supported/s390.xml b/fr/hardware/supported/s390.xml deleted file mode 100644 index 9f16fcc27..000000000 --- a/fr/hardware/supported/s390.xml +++ /dev/null @@ -1,30 +0,0 @@ -<!-- original version: 67087 --> - - <sect2 arch="s390"> -<title>Types de machine zSeries et System z</title> - -<para> -Depuis la version Squeeze, la gestion du démarrage en mode ESA/390 a été abandonnée. -Votre machine doit reconnaître au moins l'architecture z et le mode 64 bits est obligatoire. -Toutes les applications du portage s390 sont encore compilées pour ESA/390. Toutes les machines zSeries -et System z sont pleinement reconnues. - -Les logiciels pour &arch-title; sont inclus à partir de la version de développement -du noyau 3.1. - -L'information la plus à jour sur la prise en charge de linux par IBM se trouve sur la -<ulink url="http://www.ibm.com/developerworks/linux/linux390/development_technical.html"> -page Linux sur <trademark class="registered">System z</trademark> sur developerWorks</ulink>. -</para> - - </sect2> - - <sect2 arch="s390"><title>PAV et HyperPAV</title> -<para> -PAV et HyperPAV sont immédiatement reconnus ; le <quote>multipathing</quote> n'est pas -nécessaire pour bénéficier des fonctionnalités de ces systèmes de stockage. Faites attention à -configurer les périphériques lors de la sélection du DASD. Les périphériques <quote>alias</quote> -ne sont pas proposés pour le formatage, le partitionnement ou une utilisation immédiate. - -</para> - </sect2>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/hardware/supported/sparc.xml b/fr/hardware/supported/sparc.xml deleted file mode 100644 index a43b3c4b4..000000000 --- a/fr/hardware/supported/sparc.xml +++ /dev/null @@ -1,68 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect2 arch="sparc" id="sparc-cpus"> -<title>Microprocesseurs et cartes mère</title> - -<para> - -Le matériel Sparc comprend nombre de sous-architectures différentes, identifiées -comme suit : sun4, sun4c, sun4d, sun4m, sun4u ou sun4v. La liste suivante -indique les machines qui correspondent à ces architectures et dans quelle mesure -elles sont gérées par &debian;. -</para> - -<variablelist> -<varlistentry> -<term>sun4, sun4c, sun4d, sun4m</term> - -<listitem><para> - -Aucune de ces sous-architectures 32 bits (sparc32)n'est gérée. -La <ulink url="http://en.wikipedia.org/wiki/SPARCstation">page SPARCstation de Wikipedia</ulink> -donne la liste de toutes les machines concernées. - -</para><para> - -<emphasis>Etch</emphasis> est la dernière version de &debian; qui gère sparc32, et seulement les -systèmes sun4m. Les autres sous-architectures 32 bits avaient été abandonnées -lors de précédentes versions. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>sun4u</term> - -<listitem><para> - -Cette architecture comprend toutes les machines 64 bits (sparc64) basées -sur le processeur UltraSparc et ses clones. La plupart de ces machines sont -bien gérées même si vous pouvez rencontrer des problèmes lors de l'amorçage -à partir d'un cédérom à cause de bogues dans le firmware ou dans le programme -d'amorçage (on peut contourner ce problème en amorçant sur le réseau). -Utilisez les noyaux sparc64 ou sparc64-smp selon que la machine possède -un ou plusieurs processeurs. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>sun4v</term> - -<listitem><para> - -C'est la plus récente architecture de la famille Sparc. Elle comprend des -machines basées sur les processeurs Niagara à plusieurs coeurs. Pour l'instant -ces processeurs ne sont disponibles que sur les serveurs T1000 et T2000 de Sun. -Ils sont correctement gérés. Utilisez le noyau sparc64-smp - -</para></listitem> -</varlistentry> -</variablelist> - -<para> - -Notez que les processeurs SPARC64 de Fujitsu utilisés dans la famille de serveurs -PRIMEPOWER ne sont pas reconnus car ils ne sont pas gérés par le noyau Linux. -</para> -</sect2> diff --git a/fr/howto/installation-howto.xml b/fr/howto/installation-howto.xml deleted file mode 100644 index a11ea4923..000000000 --- a/fr/howto/installation-howto.xml +++ /dev/null @@ -1,389 +0,0 @@ -<!-- original version: 68416 --> - -<appendix id="installation-howto"> -<title>Guide de l'installation</title> -<para> - -Ce document décrit l'installation de &debian-gnu; &releasename; pour -&arch-title; (<quote>&architecture;</quote>) avec le nouvel installateur -&debian;. -Il reproduit le processus d'installation et donne des informations valables -pour la plupart des installations. Quand des informations supplémentaires sont -nécessaires, nous renvoyons aux explications plus détaillées qui se trouvent -dans d'autres parties de ce document. - -</para> -<sect1 id="howto-preliminaries"> -<title>Préliminaires</title> -<para> - -<phrase condition="unofficial-build"> -L'installateur &debian; est encore en phase bêta. -</phrase> -Si vous rencontrez des erreurs lors de l'installation, veuillez vous -référer à <xref linkend="submit-bug" /> pour savoir comment les signaler. -Si ce document ne répond pas à vos questions, posez-les sur la liste de -diffusion debian-boot (&email-debian-boot-list;) ou demandez sur -IRC (#debian-boot, réseau OFTC). - -</para> - </sect1> - - <sect1 id="howto-getting-images"> -<title>Démarrer l'installateur</title> -<para> - -<phrase condition="unofficial-build"> -Des informations sur les images sur cédérom se trouvent sur la <ulink url="&url-d-i;"> -page de l'installateur Debian</ulink>. -</phrase> -L'équipe debian-cd fournit des images sur cédérom contenant l'installateur sur la -<ulink url="&url-debian-cd;">page Debian CD</ulink>. -Pour savoir où trouver des cédéroms, lisez <xref linkend="official-cdrom" />. - -</para><para> - -Certaines méthodes d'installation demandent des images différentes des -images sur cédérom. -<phrase condition="unofficial-build"> -La <ulink url="&url-d-i;">page de l'installateur</ulink> offre des liens vers -ces images. -</phrase> -La <xref linkend="where-files" /> explique comment trouver des images sur les -miroirs &debian;. - -</para> -<para> - -Les sections suivantes donnent des précisions sur les images nécessaires -pour chaque type d'installation. - -</para> - <sect2 id="howto-getting-images-cdrom"> -<title>Cédérom</title> -<para> - -Pour installer &releasename; avec l'installateur, vous pouvez utiliser -l'image appelée <quote>netinst</quote>. Cette image s'amorce à partir d'un cédérom -et installe les paquets en les récupérant sur le réseau, d'où le nom, -<quote>netinst</quote>. L'image contient les logiciels nécessaires à l'exécution -de l'installateur et les paquets pour installer un système &releasename; minimal. -Si vous préférez, vous pouvez obtenir une image complète qui n'a pas besoin du réseau pour -l'installation. Seul le premier cédérom de cet ensemble est nécessaire. - -</para><para> - -Téléchargez l'image que vous préférez et gravez-la sur un cédérom. -<phrase arch="any-x86">Pour amorcer à partir du cédérom, vous devrez sans doute -changer la configuration du BIOS ; c'est expliqué dans la -<xref linkend="bios-setup" />.</phrase> -<phrase arch="powerpc"> -Pour amorcer un PowerMac à partir du cédérom, appuyez sur la touche -<keycap>c</keycap> lors du démarrage. Voyez la -<xref linkend="boot-cd" /> pour d'autres façons de faire. -</phrase> - -</para> - </sect2> - - <sect2 condition="supports-floppy-boot" id="howto-getting-images-floppy"> -<title>Disquettes</title> -<para> - -Si vous ne pouvez pas amorcer le système à partir d'un cédérom, vous pouvez -télécharger des images sur disquette. Vous avez besoin de -<filename>floppy/boot.img</filename>, <filename>floppy/root.img</filename> et -peut-être d'une ou de plusieurs disquettes de pilotes. - -</para><para> - -La disquette d'amorçage est celle qui contient <filename>boot.img</filename>. -Lors de l'amorçage, cette disquette demandera l'insertion de la seconde -disquette, celle qui contient <filename>root.img</filename>. - -</para><para> - -Si vous prévoyez d'utiliser le réseau pour faire l'installation, vous aurez -besoin d'une disquette qui contient <filename>floppy/net-drivers-1.img</filename>. -Pour des cartes réseau moins communes, la gestion des cartes PCMCIA ou la gestion du réseau -par USB, vous aurez besoin d'une deuxième disquette, -<filename>floppy/net-drivers-2.img</filename>. - -</para><para> - -Si vous possédez un cédérom que vous ne pouvez utiliser pour l'amorçage, -amorcez à partir des disquettes et prenez -<filename>floppy/cd-drivers.img</filename> sur une disquette de pilotes pour -terminer l'installation avec votre cédérom. - -</para><para> - -Les disquettes font partie des supports les moins fiables. Attendez-vous à -trouver beaucoup de disquettes défectueuses -(lisez la <xref linkend="unreliable-floppies" />). Chaque fichier -<filename>.img</filename> téléchargé doit être placé sur une seule disquette. -Vous pouvez utiliser la commande dd pour écrire sur /dev/fd0, ou tout -autre moyen, voyez la <xref linkend="create-floppy" />. -Puisque vous avez plusieurs disquettes, c'est une bonne idée de les -étiqueter. - -</para> - </sect2> - - <sect2 condition="bootable-usb" id="howto-getting-images-usb"> -<title>Clés USB</title> -<para> - -On peut aussi amorcer à partir d'un support USB amovible. Par exemple, une clé -USB, facilement transportable, peut servir à installer &debian;. - -</para> - -<para condition="isohybrid-supported"> - -Pour préparer la clé USB, la méthode la plus simple est de télécharger -une image de Debian sur CD ou DVD et de la transférer sur la clé. -Bien sûr, toutes les données de la clé seront détruites. Cette méthode fonctionne -car les images de Debian sont des images <quote>isohybrid</quote> qui peuvent -s'amorcer aussi bien depuis un CD qu'un périphérique USB. - -</para> -<para condition="isohybrid-unsupported"> - -Pour préparer la clé USB, la méthode la plus simple est de télécharger le fichier -<filename>hd-media/boot.img.gz</filename>, et d'extraire avec gunzip l'image -de 1 Go. Transférez ensuite cette image sur la clé, dont la taille doit -évidemment être au moins égale à 1 Go. Bien sûr, cela détruira toutes les -données présentes sur la clé. Puis montez la clé, avec un système de fichiers -FAT. Téléchargez maintenant une image de type <quote>netinst</quote> et copiez ce fichier, -dont le nom doit se terminer par <literal>.iso</literal>, sur la clé. - -</para><para> - -Il y a des moyens plus souples de mettre en oeuvre une clé USB et -l'installateur &debian; peut fonctionner avec des clés qui possèdent moins de -mémoire. Pour des précisions, voyez la <xref linkend="boot-usb-files" />. - -</para><para arch="any-x86"> - -Certains BIOS peuvent lancer directement des périphériques USB, d'autres -non. Il vous faudra configurer le BIOS et permettre l'amorçage d'un -<quote>disque amovible</quote> ou d'un <quote>USB-ZIP</quote>. Pour des précisions, -voyez la <xref linkend="usb-boot" />. - -</para><para arch="powerpc"> - -Pour amorcer les systèmes Macintosh sur des périphériques USB, il faut -manipuler le microprogramme Open Firmware. Pour des indications, voyez -<xref linkend="usb-boot" />. - -</para> - </sect2> - - <sect2 id="howto-getting-images-netboot"> -<title>Amorcer sur le réseau</title> -<para> - -Il est aussi possible de lancer l'installateur &debian; à partir du réseau. -Les différentes méthodes pour cet amorçage réseau dépendent de l'architecture -et de la configuration. Les fichiers dans <filename>netboot/</filename> servent -à l'amorçage de l'installateur. - -</para><para arch="x86"> - -La méthode la plus facile est l'amorçage de type PXE. Extrayez les fichiers -de <filename>netboot/pxeboot.tar.gz</filename> dans le répertoire -<filename>/srv/tftp</filename> ou dans le répertoire que demande -le serveur tftp. Et configurez le serveur DHCP pour qu'il passe le -nom <filename>pxelinux.0</filename> aux clients. Avec un peu de chance, -tout marchera bien. -Pour des instructions précises, voyez la <xref linkend="install-tftp" />. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="linux-any" id="howto-getting-images-hard-disk"> -<title>Amorcer depuis un disque dur</title> -<para> - - -Il est possible de faire une installation sans utiliser de support -amovible, par exemple avec un disque dur possédant déjà un autre système -d'exploitation. Téléchargez <filename>hd-media/initrd.gz</filename>, -<filename>hd-media/vmlinuz</filename> et une image CD dans le répertoire -racine du disque. Assurez-vous que le nom de l'image CD se termine par -<literal>.iso</literal>. Maintenant, il suffit d'amorcer Linux avec initrd. -<phrase arch="x86"> -La <xref linkend="boot-initrd" /> explique comment faire. -</phrase> - -</para> - </sect2> -</sect1> - -<sect1 id="howto-installation"> -<title>Installation</title> -<para> - -Après le démarrage de l'installateur, l'écran initial est affiché. -Appuyez sur la touche &enterkey; pour amorcer, ou bien lisez les instructions -sur les autres méthodes d'amorçage et sur les paramètres (voyez la -<xref linkend="boot-parms" />). - -</para> -<para> - -On vous demandera ensuite de choisir une langue. Déplacez-vous avec les flèches -et appuyez sur la touche &enterkey; quand vous avez choisi. On vous demandera -un pays, à choisir parmi les pays où cette langue est parlée. Si votre pays -n'est pas dans la première liste, une liste contenant tous les pays est -disponible. - -</para> -<para> - -On vous demandera de confirmer la carte clavier. Choisissez la carte par -défaut, sauf si vous en connaissez une meilleure. - -</para> -<para> - -Patientez maintenant, tandis que l'installateur détecte le matériel et -charge ses composants. -</para> -<para> - -Ensuite l'installateur recherche le matériel réseau et configure le réseau -avec DHCP. Si vous n'êtes pas sur un réseau ou si vous n'utilisez pas DHCP, -vous aurez la possibilité de configurer vous-même le réseau. - -</para> - -<para> -Ensuite l'horloge et le fuseau horaire sont définis. L'installateur essaiera -de contacter un serveur de temps sur internet pour configurer l'horloge. -Le fuseau horaire dépend du pays choisi. L'installateur ne demandera d'en choisir -un que s'il existe plusieurs fuseaux pour ce pays. -</para> - -<para> -Puis les comptes des utilisateurs sont créés. Par défaut vous devez fournir -un mot de passe pour le compte du superutilisateur (<quote>root</quote>) et vous -devez créer un compte d'utilisateur ordinaire. Si vous ne donnez pas de mot de passe pour -le superutilisateur, ce compte sera désactivé. Cependant, pour que les tâches administratives -soient possibles sur le nouveau système, le paquet <command>sudo</command> sera installé. -</para> - -<para> -Il est temps maintenant de partitionner les disques. Vous aurez d'abord la -possibilité de partitionner automatiquement soit un disque entier soit l'espace -libre d'un disque, consultez <xref linkend="partman-auto" />. C'est la méthode recommandé pour les débutants -ou pour les gens pressés. Si vous ne voulez pas du partitionnement automatique, choisissez -<guimenuitem>Manuel</guimenuitem> dans le menu. -</para> - -<para arch="any-x86"> - -Si vous voulez préserver une partition DOS ou Windows, faites attention en -utilisant le partitionnement automatique. Si vous utilisez le partitionnement -automatique, vous pouvez redimensionner une -partition FAT ou NTFS avec l'installateur pour faire de la place à -&debian; : choisissez simplement la partition et indiquez la taille -voulue. -</para> - -<para> - -L'écran suivant montre la table des partitions, avec les systèmes de fichiers -et les points de montage. Choisissez une partition que vous voulez modifier -ou supprimer. Si vous aviez choisi le partitionnement automatique, il vous -suffira de sélectionner -<guimenuitem>Terminer le partitionnement et appliquer les changements</guimenuitem> dans le -menu pour accepter ce qui a été fait. N'oubliez pas qu'il vous faut au moins -une partition d'échange et une partition racine montée sur -<filename>/</filename>. Pour des informations détaillées sur l'utilisation du partitionneur, -consultez <xref linkend="di-partition" />. Des informations plus générales sur le partitionnement se -trouvent dans l'<xref linkend="partitioning"/>. - -</para> -<para> - -L'installateur formate les partitions et installe le système de base, -ce qui peut prendre du temps. Puis le noyau est installé. - -</para> - -<para> - -Le système de base installé est un système fonctionnel mais limité. Pour le rendre -plus efficace, vous pouvez maintenant installer d'autres paquets en choisissant -des tâches. Il faut aussi configurer <classname>apt</classname> et indiquer d'où les -paquets seront téléchargés. -La tâche <quote>Standard system</quote> est sélectionnée par défaut et doit être -installée. Si vous voulez un environnement de bureau graphique, sélectionnez -la tâche <quote>Desktop environment</quote>. Consultez <xref linkend="pkgsel"/> -pour des informations supplémentaires sur cette étape. - -</para> - -<para> - -La dernière étape est l'installation d'un programme d'amorçage. Si -l'installateur a détecté d'autres systèmes d'exploitation sur la machine, -il les ajoutera au menu du programme d'amorçage. -<phrase arch="any-x86">GRUB est par défaut installé sur le secteur principal -d'amorçage du premier disque dur, ce qui est une bonne idée. Mais vous avez la -possibilité de refuser ce choix et de l'installer ailleurs. -</phrase> - -</para> -<para> - -L'installateur annonce maintenant que l'installation est terminée. Retirez le -cédérom ou le support que vous avez utilisé et appuyez sur la touche &enterkey; pour -réamorcer la machine. -Vous devriez pouvoir maintenant vous connecter au nouveau système. Cette étape est -expliquée dans le <xref linkend="boot-new" />. - -</para> -<para> - -Si vous avez besoin d'autres informations sur ce processus d'installation, -voyez le <xref linkend="d-i-intro" />. - -</para> - </sect1> - -<sect1 id="howto-installation-report"> -<title>Envoyez-nous un rapport d'installation</title> -<para> - -Si l'installateur &debian; a installé correctement le système, veuillez prendre -le temps de nous envoyer un rapport. -Vous pouvez simplement installer le paquet reportbug -(<command>aptitude install reportbug</command>), le configurer comme -nous l'avons expliqué dans <xref linkend="mail-outgoing"/>, et exécuter la commande -<command>reportbug installation-reports</command>. - -</para><para> - -Si vous n'avez pas pu terminer l'installation, vous avez sans doute trouvé un bogue -dans l'installateur. -Il est nécessaire que nous le connaissions pour améliorer l'installateur. -Veuillez prendre le temps de nous le signaler. Vous pouvez utiliser le modèle -précédent. Si l'installateur a complètement échoué, voyez la -<xref linkend="problem-report" />. - -</para> - </sect1> - - <sect1 id="howto-installation-finally"> -<title>Et ils eurent…</title> -<para> - -Nous espérons que votre système &debian; vous plaira et qu'il sera utile. -Vous pouvez maintenant lire le <xref linkend="post-install" />. - -</para> - </sect1> -</appendix> diff --git a/fr/install-methods/automatic-install.xml b/fr/install-methods/automatic-install.xml deleted file mode 100644 index 753ba7036..000000000 --- a/fr/install-methods/automatic-install.xml +++ /dev/null @@ -1,34 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="automatic-install"> - <title>Installation automatisée</title> -<para> - -Pour installer &debian; sur de nombreux ordinateurs, il est possible -d'automatiser complètement l'installation en utilisant les -paquets &debian; suivants : -<classname>fai-quickstart</classname> (qui utilise un serveur d'installation), -et l'installateur &debian; lui-même. Consultez la -<ulink url="http://fai-project.org">page de FAI</ulink> -pour d'autres informations. - -</para> - -<sect2 id="preseed"> -<title>Installation automatisée avec l'installateur &debian;</title> - -<para> -L'installateur &debian; peut automatiser des installations grâce à des fichiers -de préconfiguration. Un fichier de préconfiguration peut se trouver sur le -réseau ou sur un support amovible. Il sert à répondre aux questions qui seront -posées pendant l'installation. -</para> -<para> - -Une bonne documentation, avec un fichier d'exemple que l'on peut modifier, -se trouve dans l'<xref linkend="appendix-preseed"/>. - -</para> -</sect2> -</sect1> - diff --git a/fr/install-methods/boot-drive-files.xml b/fr/install-methods/boot-drive-files.xml deleted file mode 100644 index cb56d585a..000000000 --- a/fr/install-methods/boot-drive-files.xml +++ /dev/null @@ -1,201 +0,0 @@ -<!-- original version: 68418 --> - - <sect1 condition="bootable-disk" id="boot-drive-files"> - <title>Préparer les fichiers pour amorcer depuis un disque dur</title> -<para> - -L'installateur peut être amorcé avec les fichiers d'amorçage placés sur une -partition existante du disque dur ; il peut être aussi lancé depuis un autre -système d'exploitation ou en invoquant un programme d'amorçage depuis le -BIOS. - -</para><para> - -Cette technique permet une installation complète via le réseau. Cela évite toutes -les manipulations pénibles des supports amovibles, comme de -trouver puis de graver des images de cédérom ou de manipuler un nombre élevé -de disquettes peu fiables. - -</para><para arch="powerpc"> - -L'installateur ne peut être amorcé avec des fichiers placés dans un système de -fichiers HFS+. Ce système de fichiers peut être utilisé par le système -MacOS 8.1 et suivants ; les PowerMac NewWorld utilisent tous HFS+. Pour -savoir quel type de système de fichiers est présent sur votre système, -sélectionnez <userinput>Get Info</userinput> sur le volume en question. Les -systèmes de fichiers HFS apparaissent alors comme -<userinput>Mac OS Standard</userinput> tandis que ceux en HFS+ -renvoient <userinput>Mac OS Extended</userinput>. Vous devez avoir une -partition HFS pour échanger des fichiers entre MacOS et Linux, en particulier -les fichiers d'installation que vous avez téléchargés. - -</para><para arch="powerpc"> - -On utilise différents programmes pour l'installation sur disque dur suivant -que le système est un modèle <quote>NewWorld</quote> ou un modèle -<quote>OldWorld</quote>. - -</para> - - <sect2 arch="x86" id="files-lilo"> -<title>Démarrage du programme d'installation depuis Linux avec <command>LILO</command> ou <command>GRUB</command></title> -<para> - -Cette section explique comment ajouter ou remplacer une partition Linux -existante en utilisant <command>LILO</command> ou <command>GRUB</command>. - -</para><para> - -Lors du démarrage, les programmes d'amorçage permettent de charger en mémoire -non seulement le noyau, mais également une image de disque. Cette image en -mémoire peut être utilisée en tant que système de fichier racine par le noyau. - -</para><para> - -Copiez les fichiers suivants de l'archive &debian; sur votre disque dur, -par exemple dans <filename>/boot/newinstall/</filename>. -Notez que LILO ne peut pas lire des fichiers placés sur un système de -fichiers NTFS. - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<filename>vmlinuz</filename> (noyau binaire) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>initrd.gz</filename> (disque virtuel initial) - -</para></listitem> -</itemizedlist> -</para><para> - -Et pour configurer le programme d'amorçage, -continuez avec la <xref linkend="boot-initrd"/>. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="x86" id="files-loadlin"> - <title>Démarrage du programme d'installation depuis DOS avec <command>loadlin</command></title> -<para> - -Voici comment préparer le disque dur pour démarrer l'installateur -à partir de DOS avec <command>loadlin</command>. - -</para><para> - -Copiez les fichiers suivants d'une image CD de &debian; dans <filename>c:\</filename>. - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<filename>/&x86-install-dir;</filename> (noyau et disque mémoire) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/tools</filename> (loadlin) - -</para></listitem> - -</itemizedlist> - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="powerpc" id="files-oldworld"> - <title>Amorçage de l'installateur sur disque dur pour les Mac OldWorld</title> -<para> - -La disquette <filename>boot-floppy-hfs</filename> utilise le programme -<application>miBoot</application> pour lancer l'installation de Linux -mais on ne peut pas l'utiliser facilement pour amorcer -depuis le disque dur. Le programme <application>BootX</application> -lancé depuis MacOS accepte l'amorçage depuis des fichiers situés sur un -disque dur. On peut aussi utiliser <application>BootX</application> pour -charger au choix MacOS et Linux après que votre installation de &debian; -a été terminée. Pour le Performa 6360, il semble que <command>quik</command> -ne parvienne pas à rendre le disque dur amorçable. Vous devrez donc utiliser -<application>BootX</application> pour ce modèle. - -</para><para> - -Téléchargez et décompactez la distribution <application>BootX</application> que -vous pouvez obtenir à partir de <ulink url="&url-powerpc-bootx;"></ulink>, -ou bien dans le répertoire -<filename>dists/woody/main/disks-powerpc/current/powermac</filename> -sur un des miroirs http/ftp ou sur les cédéroms officiels de &debian;. Utilisez -<application>Stuffit Expander</application> pour l'extraire de son archive. -À l'intérieur de ce paquet, vous trouverez -un dossier vide appelé <filename>Linux Kernels</filename>. Téléchargez -<filename>linux.bin</filename> et <filename>ramdisk.image.gz</filename> -depuis le dossier <filename>disks-powerpc/current/powermac</filename> et -placez-les dans le dossier <filename>Linux Kernels</filename>. Placez -ensuite le dossier <filename>Linux Kernels</filename> dans le dossier -système actif. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="powerpc" id="files-newworld"> - <title>Amorçage de l'installateur sur disque dur pour les Mac NewWorld.</title> -<para> - -Les PowerMac NewWorld acceptent l'amorçage depuis le réseau ou bien depuis un -cédérom ISO9660 aussi bien que depuis le chargement de binaires au format ELF -depuis le disque dur. Ces machines amorceront Linux directement depuis -<command>yaboot</command> qui accepte le chargement du noyau et du ramdisk -directement depuis une partition ext2 aussi bien qu'un amorçage multiple avec -MacOS. La possibilité de démarrer l'installateur depuis un disque dur est -particulièrement appropriée aux nouvelles machines dépourvues de lecteur -de disquettes. <command>BootX</command> n'est pas reconnu et ne doit pas être -utilisé avec les PowerMac NewWorld. - -</para><para> - -<emphasis>Copiez</emphasis> (et non pas déplacez) les quatre fichiers -que vous avez téléchargés depuis les archives &debian; à la racine de votre -disque dur (vous pouvez faire glisser chaque fichier sur l'icône du disque -dur) : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<filename>vmlinux</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>initrd.gz</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>yaboot</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>yaboot.conf</filename> - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para><para> - -Notez quelque part le numéro de la partition MacOS sur laquelle vous avez -placé ces fichiers. Si vous possédez le programme MacOS -<command>pdisk</command>, vous pouvez utiliser la commande <command>L</command> -pour vérifier le numéro de partition. Vous aurez besoin de ce numéro pour l'invite de -Open Firmware lorsque vous amorcerez l'installateur. - -</para><para> - -Pour amorcer l'installateur, continuez avec -<xref linkend="boot-newworld"/>. - -</para> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/install-methods/boot-usb-files.xml b/fr/install-methods/boot-usb-files.xml deleted file mode 100644 index 51728c25b..000000000 --- a/fr/install-methods/boot-usb-files.xml +++ /dev/null @@ -1,169 +0,0 @@ -<!-- original version: 68456 --> - - <sect1 condition="bootable-usb" id="boot-usb-files"> - <title>Préparation des fichiers pour un amorçage avec une clé USB</title> - -<para> -Pour préparer une clé USB, vous avez besoin d'un système GNU/Linux fonctionnel -qui gère les périphériques USB. Sur les systèmes récents, la clé devrait être -automatiquement reconnue. Si ce n'est pas le cas, vérifiez que le module du noyau -usb-storage est chargé. Une fois insérée, la clé sera associée à un périphérique appelé -<filename>/dev/sdX</filename>, où le <quote>X</quote> est une lettre minuscule (a-z). -Avec la commande <command>dmesg</command>, il est possible de savoir à quel périphérique -la clé a été associée. Pour pouvoir écrire sur la clé, il vous faudra -enlever la protection contre l'écriture. -</para> - -<warning><para> -Les procédures décrites dans cette section détruisent ce qui se trouve sur le périphérique. -Faites très attention à utiliser le nom correct pour la clé USB. Si vous vous trompez et -utilisez un autre périphérique, un disque dur par exemple, toutes les données du disque -seront perdues. -</para></warning> - - <sect2 id="usb-copy-isohybrid" condition="isohybrid-supported"> - <title>Préparation d'une clé USB utilisant une image hybride (CD ou DVD)</title> -<para> - -Les images de Debian sur CD ou DVD peuvent être transférées directement sur une clé USB. -C'est une méthode très simple pour rendre la clé amorçable. -Il suffit de choisir une image qui tienne sur la clé. -Consultez <xref linkend="official-cdrom"/> pour obtenir cette image. - -</para> -<para> - -Pour les clés de très petite taille (quelques mégaoctets), -vous pouvez télécharger l'image <filename>mini.iso</filename> -qui se trouve dans le répertoire <filename>netboot</filename> (son adresse précise -est mentionnée dans <xref linkend="where-files"/>) -</para> -<para> - -L'image CD ou DVD que vous avez choisie peut être transférée directement sur la clé. -Toutes les données existantes sont détruites. -Par exemple, avec un système GNU/Linux, après avoir vérifié que la clé n'est pas montée, -vous pouvez copier l'image de cette manière : - -<informalexample><screen> -<prompt>#</prompt> <userinput>cp <replaceable>debian.iso</replaceable> /dev/<replaceable>sdX</replaceable></userinput> -<prompt>#</prompt> <userinput>sync</userinput> -</screen></informalexample> - -</para><important><para> - -Cette façon de faire devrait convenir à la plupart des utilisateurs. -Les méthodes qui suivent sont plus complexes et sont destinées à des utilisateurs -aux besoins spécifiques. - -</para></important> - -<para> - -L'image hybride n'occupe pas toute la place sur la clé. Si vous n'avez qu'une seule -clé ou si vous souhaitez mettre tout ce qui vous est nécessaire sur un seul périphérique, -il peut être intéressant d'utiliser l'espace libre pour stocker d'autres fichiers, -microprogrammes, paquets, etc. -</para> - -<para> - -Pour cela, vous devez créer une deuxième partition FAT, monter la partition et y copier -et décompacter le microprogramme. Par exemple : - -<informalexample><screen> -# mount /dev/<replaceable>sdX2</replaceable> /mnt -# cd /mnt -# tar zxvf <replaceable>/path/to/</replaceable>firmware.tar.gz -# cd / -# umount /mnt -</screen></informalexample> - -</para> - -<para arch="not-s390"> -Si vous avez copié le fichier <filename>mini.iso</filename> sur la clé, -il n'est pas nécessaire de créer la deuxième partition car elle est déjà présente. -Débrancher et rebrancher la clé rend les deux partitions visibles. -</para> - - - </sect2> - - <sect2 id="usb-copy-easy"> - <title>Copie des fichiers — méthode simple</title> - -<para> -Vous pouvez aussi préparer votre clé vous-même en copiant les fichiers -de l'installateur et une image CD. -Notez que la capacité de la clé doit être au moins égale à 1 Go. Pour des -capacités inférieures, voyez <xref linkend="usb-copy-flexible"/>. - -</para> - -<para> - -Le fichier <filename>hd-media/boot.img.gz</filename> contient tous les -fichiers de l'installateur, le noyau et le programme -<phrase arch="x86"><command>SYSLINUX</command> avec son fichier de configuration.</phrase> -<phrase arch="powerpc"><classname>yaboot</classname> avec son fichier de configuration.</phrase> - -</para> - -<para> -Bien que pratique, cette méthode possède un inconvénient majeur : la taille logique -du périphérique est limitée à 1 Go, même si la capacité de la clé est supérieure. -Pour retrouver la taille réelle, il vous faudra repartitionner la clé et créer un nouveau -système de fichiers. -</para> -<para> -Il vous suffit d'extraire cette image sur votre clé USB : - -<informalexample><screen> -# zcat boot.img.gz > /dev/<replaceable>sdX</replaceable> -</screen></informalexample> - -</para> -<para arch="powerpc"> - -Créez une partition <quote>Apple_Bootstrap</quote> sur la clé avec la commande -<userinput>C</userinput> de <command>mac-fdisk</command> et placez l'image -avec : - -<informalexample><screen> -# zcat boot.img.gz > /dev/<replaceable>sdX2</replaceable> -</screen></informalexample> -</para> - -<para> - -Montez ensuite la clé -<phrase arch="x86">(<userinput>mount -/dev/<replaceable>sdX</replaceable> /mnt</userinput>),</phrase> -<phrase arch="powerpc">(<userinput>mount -/dev/<replaceable>sdX2</replaceable> /mnt</userinput>),</phrase> -qui aura maintenant un système de fichiers -<phrase arch="x86">FAT</phrase> -<phrase arch="powerpc">HFS</phrase>, et copiez une image &debian; de type -<quote>netinst</quote> ou l'image d'un disque entier. -Démontez la clé (<userinput>umount /mnt</userinput>) -et voilà, c'est fait ! -</para> -</sect2> - - <sect2 id="usb-copy-flexible"> - <title>Copie des fichiers — méthode détaillée</title> -<para> - -Si vous aimez la souplesse d'utilisation ou si vous voulez simplement savoir ce qui se -passe, vous pouvez utiliser la méthode suivante pour placer les fichiers -sur la clé. L'un des avantages de cette méthode est que, si la capacité de la clé est -suffisante, vous pouvez copier l'image d'un disque entier. -</para> - -&usb-setup-x86.xml; -&usb-setup-powerpc.xml; - -</sect2> - - </sect1> diff --git a/fr/install-methods/create-floppy.xml b/fr/install-methods/create-floppy.xml deleted file mode 100644 index 3d6a1b068..000000000 --- a/fr/install-methods/create-floppy.xml +++ /dev/null @@ -1,108 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 condition="supports-floppy-boot" id="create-floppy"> - <title>Comment créer des disquettes depuis des images disque ?</title> -<para> - -Les disquettes d'amorçage sont la plupart du temps utilisées en dernier -recours pour lancer l'installateur sur des machines qui ne peuvent être -amorcées à partir d'un cédérom ou d'un autre moyen. - -</para><para arch="powerpc"> - -L'amorçage de l'installateur par disquette ne fonctionne pas avec -les lecteurs de disquettes USB. - - -</para><para> - -Les images disque sont des fichiers contenant l'ensemble du -contenu d'une disquette en mode <emphasis>raw</emphasis> (copie brute des -secteurs physiques). Les images disque, -comme <filename>rescue.bin</filename>, ne peuvent pas être simplement copiées -sur une disquette. Un programme spécial est utilisé pour copier les fichiers -d'images sur des disquettes en mode brut <emphasis>raw</emphasis>. -C'est obligatoire car ces images sont une représentation brute du -disque ; il faut donc recopier les données par -<emphasis>copie des secteurs</emphasis> du fichier vers la disquette. - -</para><para> - -Il existe différentes méthodes pour créer des disquettes à partir -d'images disque. Cette partie décrit comment le faire sur les différentes plateformes. - - -</para> -<para> - -Avant de créer les disquettes, vous devez d'abord télécharger les images -sur l'un des miroirs &debian;, comme expliqué dans <xref linkend="downloading-files"/>. -<phrase arch="i386"> Si vous possédez un CD ou un DVD d'installation, les images sont -incluses sur le CD/DVD./</phrase> -</para> -<para> - -Quelle que soit la manière dont vous les obtiendrez, n'oubliez pas de -verrouiller les disquettes créées de façon à vous assurer qu'elles ne seront -pas endommagées par mégarde. - -</para> - - <sect2><title>Écrire des images disque depuis Linux ou un système Unix</title> -<para> - -Pour écrire une image disque vers une disquette, vous aurez certainement -besoin d'un accès avec les droits du superutilisateur. Placez une disquette -vierge non défectueuse dans le lecteur. Ensuite, exécutez la commande -suivante : - -<informalexample><screen> -$ dd if=<replaceable>fichier</replaceable> of=/dev/fd0 bs=1024 conv=sync ; sync -</screen></informalexample> - -où <replaceable>fichier</replaceable> est un des fichiers image disque -(voyez la <xref linkend="downloading-files"/> pour savoir quel fichier). -<filename>/dev/fd0</filename> est généralement le nom utilisé pour le lecteur -de disquette. Cela peut être différent sur une station de travail<phrase arch="sparc"> -(sur Solaris, c'est <filename>/dev/fd/0</filename>)</phrase>. Il se peut que vous -récupériez la main avant que votre système Unix n'ait fini d'écrire la -disquette ; aussi, assurez-vous que le signal lumineux, activé lors du -fonctionnement du lecteur, soit bien éteint, et que la disquette ne tourne -plus avant de la sortir. Sur certains systèmes, vous devez utiliser une -commande pour éjecter la disquette du lecteur<phrase arch="sparc">Sur -Solaris, utilisez <command>eject</command> et lisez la page de manuel -associée.</phrase>. - -</para><para> - -Certains systèmes tentent de monter automatiquement la disquette lorsque vous -la placez dans le lecteur. Vous devrez désactiver cette option sinon la -station de travail ne vous permettra pas d'écrire des données -<emphasis>brutes</emphasis> (« raw mode ») sur la disquette. -Malheureusement, la façon de le faire varie considérablement suivant le système -d'exploitation. <phrase arch="sparc">Sur Solaris, vous pouvez configurer le -gestionnaire de volumes pour autoriser les accès directs sur les disquettes -(utilisez <command>volcheck</command> ou une commande équivalente dans le -gestionnaire de fichiers). Ensuite, utilisez la commande <command>dd</command> -avec la forme donnée au-dessus en remplaçant simplement -<filename>/dev/fd0</filename> par <filename>/vol/rdsk/<replaceable>floppy_name</replaceable></filename>, où -<replaceable>floppy_name</replaceable> est le nom donné au lecteur de -disquettes lors de sa création (les lecteurs non nommés ont un nom générique -<filename>unnamed_floppy</filename>). Sur les autres systèmes, il faut demander -à l'administrateur. -</phrase> - -</para><para arch="powerpc"> - -Si vous écrivez une disquette pour un PowerPC, vous -devrez pouvoir l'éjecter. Le programme <command>eject</command> s'en chargera -très bien ; vous devrez l'installer. - -</para> - - </sect2> - -&floppy-i386.xml; <!-- can be used for other arches --> -&floppy-powerpc.xml; - - </sect1> diff --git a/fr/install-methods/download/arm.xml b/fr/install-methods/download/arm.xml deleted file mode 100644 index 2f6f9162e..000000000 --- a/fr/install-methods/download/arm.xml +++ /dev/null @@ -1,79 +0,0 @@ -<!-- original version: 67982 --> - - - <sect3 arch="arm" id="n2100-install-files"> - <title>Fichiers d'installation pour Thecus N2100</title> -<para> - -Une image du microprogramme est fournie pour la machine Thecus N2100 qui lance automatiquement -l'installateur &debian;. Cette image peut être installée avec le processus Thecus de mise à jour du microprogramme. -Ces images sont disponibles dans &n2100-firmware-img;. - -</para> -</sect3> - - <sect3 arch="arm" id="glantank-install-files"> - <title>Fichiers d'installation pour GLAN Tank</title> -<para> - -La machine GLAN Tank demande un noyau et un disque mémoire sur une partition ext2 du disque -sur lequel vous voulez installer &debian;. Ces images sont disponibles dans &glantank-firmware-img;. - -</para> - </sect3> - - <sect3 arch="arm" id="kuroboxpro-install-files"> - <title>Fichiers d'installation pour Kurobox Pro</title> -<para> - -La machine Kurobox Pro demande un noyau et un disque mémoire sur une partition ext2 du disque -sur lequel vous voulez installer &debian;. Ces images sont disponibles dans &kuroboxpro-firmware-img;. - -</para> - </sect3> - - <sect3 arch="arm" id="mv2120-install-files"> - <title>Fichiers d'installation pour HP mv2120</title> -<para> - -Une image du microprogramme est fournie pour la machine HP mv2120 qui lance automatiquement -l'installateur &debian;. Cette image peut être installée avec uphpmvault sur Linux et avec -l'utilitaire de restauration du microprogramme de l'HP Media Vault sur Windows. -Cette image est disponible dans &mv2120-firmware-img;. - -</para> - </sect3> - - <sect3 arch="arm" id="qnap-install-files"> - <title>Fichiers d'installation pour la QNAP Turbo Station</title> -<para> - -La machine QNAP Turbo Station demande un noyau, un disque mémoire ainsi -qu'un script pour écrire ces images en flash. Ces fichiers -d'installation pour QNAP TS-11x, TS-21x et TS-41x sont disponibles -sur &qnap-kirkwood-firmware-img;. -</para> -</sect3> - - <sect3 arch="arm" id="marvell-install-files"> - <title>Fichiers d'installation pour machines Plug et périphériques OpenRD</title> -<para> - -Les fichiers d'installation pour les machines Plug (SheevaPlug, GuruPlug, DreamPlug, etc.) et -les périphériques OpenRD comprennent un noyau et un initrd pour U-Boot. Ils sont -disponibles sur &kirkwood-marvell-firmware-img;. - -</para> - </sect3> - - <sect3 arch="arm" id="lacie-install-files"> - <title>Fichiers d'installation pour NAS LaCie</title> -<para> - -Les fichiers d'installation pour les NAS LaCie (Network Space v2, Network Space Max v2, -Internet Space v2, d2 Network v2, 2Big Network v2 et 5Big Network v2) -comprennent un noyau et un initrd pour U-Boot. Ils sont -disponibles sur &lacie-kirkwood-firmware-img;. - -</para> - </sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/install-methods/download/powerpc.xml b/fr/install-methods/download/powerpc.xml deleted file mode 100644 index a4f79651c..000000000 --- a/fr/install-methods/download/powerpc.xml +++ /dev/null @@ -1,28 +0,0 @@ -<!-- original version: 28672 --> - -<!-- commented out as it seems out of date and the links are broken - <sect3 arch="powerpc" id="newworld-install-files"> - <title>Fichiers d'installation pour MacOS NewWorld</title> -<para> - -Pour l'installation sans disquette sur les Mac NewWorld, il est - peut-être plus simple d'obtenir tous les fichiers nécessaires, - empaquetés dans une archive Stuffit, à partir de -<ulink url="&url-powerpc-of;"></ulink> (des instructions distinctes sont -jointes - dans l'archive). Sinon, récupérez les fichiers normaux - d'installation présentés précédemment. Déposez-les sur une - partition HFS (et pas HFS+) de votre système. Vous aurez aussi - besoin de <filename>yaboot</filename> et du fichier -<filename>yaboot.conf</filename> placés dans le dossier archive -<ulink url="&downloadable-file;new-powermac/">new-powermac</ulink> ou -<ulink url="&downloadable-file;powermac/">powermac</ulink>. - Cependant, les PowerMacs G4 les plus récents, et ceux qui - fonctionnent sans MacOS 9 nécessitent la toute dernière version de -<command>yaboot</command> ; celle disponible dans l'archive ne suffit pas. - Vous pouvez obtenir une version plus récente depuis -<ulink url="http://penguinppc.org/projects/yaboot/"></ulink>. - -</para> - </sect3> ---> diff --git a/fr/install-methods/downloading-files.xml b/fr/install-methods/downloading-files.xml deleted file mode 100644 index 3c0a57913..000000000 --- a/fr/install-methods/downloading-files.xml +++ /dev/null @@ -1,34 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="downloading-files"> - <title>Télécharger les fichiers depuis les miroirs &debian;</title> - -<para> - -Pour trouver le miroir le plus proche (et sans doute le plus rapide), voyez -la <ulink url="&url-debian-mirrors;">liste des miroirs Debian</ulink>. - -</para> - -<para> - -Lorsque vous téléchargez les fichiers avec FTP depuis un miroir &debian;, assurez-vous -de bien être en mode <emphasis>binaire</emphasis> et non en mode texte ou en -mode automatique. -</para> - - <sect2 id="where-files"> - <title>Où trouver les fichiers d'installation ?</title> - -<para> -Sur tous les miroirs &debian;, les images pour l'installation sont situées dans -le répertoire <ulink url="&url-debian-installer;images">debian/dists/&releasename;/main/installer-&architecture;/current/images/</ulink> -— le fichier <ulink url="&url-debian-installer;images/MANIFEST">MANIFEST</ulink> liste toutes les images. -</para> - -&download-arm.xml; -&download-powerpc.xml; - - </sect2> - - </sect1> diff --git a/fr/install-methods/floppy/i386.xml b/fr/install-methods/floppy/i386.xml deleted file mode 100644 index 06ec4a132..000000000 --- a/fr/install-methods/floppy/i386.xml +++ /dev/null @@ -1,33 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - -<!-- This is not set off for i386 only, because many people will have --> -<!-- access to a PC in order to make a floppy for other arches. --> - - <sect2><title>Écrire des images disque depuis DOS, Windows ou OS/2</title> - -<para> - -Si vous avez accès à une machine i386 ou une machine amd64, vous pouvez utiliser l'un des -programmes suivants pour copier les images sur les disquettes. - -</para><para> - -Sous MS-DOS, on peut utiliser les programmes <command>rawrite1</command> et -<command>rawrite2</command>. -Assurez-vous d'abord d'amorcer votre système sous DOS. Tenter d'utiliser ces -programmes dans une fenêtre DOS sous Windows, ou cliquer deux fois sur eux -depuis l'explorateur de Windows ne fonctionnera pas. -</para> -<para> -Le programme <command>rwwrtwin</command> fonctionne sur Windows 95, NT, 98, -2000, ME, XP et probablement sur les prochaines versions. Il faut -dépaqueter diskio.dll dans le même répertoire pour pouvoir l'utiliser. -</para> - -<para> -Ces programmes sont sur les cédéroms officiels &debian; -dans le répertoire <filename>/tools</filename>. -</para> - - </sect2> diff --git a/fr/install-methods/floppy/powerpc.xml b/fr/install-methods/floppy/powerpc.xml deleted file mode 100644 index 20c213d20..000000000 --- a/fr/install-methods/floppy/powerpc.xml +++ /dev/null @@ -1,126 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - - <sect2 arch="powerpc"><title>Écrire des images disque depuis MacOS</title> -<para> - -Un script Apple (<quote>AppleScript</quote>), -<application>Make Debian Floppy</application>, est disponible pour écrire -les disquettes à partir des fichiers images disque disponibles. Vous pouvez -le télécharger à partir de -<ulink url="ftp://ftp2.sourceforge.net/pub/sourceforge/d/de/debian-imac/MakeDebianFLoppy.sit"></ulink>. -Pour l'utiliser, décompressez-le sur votre bureau et glissez une image -dessus. AppleScript doit être installé et configuré dans votre gestionnaire -d'extensions. <quote>Disk Copy</quote> vous demandera une confirmation -pour écraser le contenu de la disquette et écrire le fichier image dessus. -</para><para> - -Vous pouvez aussi utiliser l'utilitaire MacOS <command>Disk Copy</command> -directement ou bien le graticiel <command>suntar</command>. -Le fichier <filename>root.bin</filename> est un exemple d'image de disquette. -Utilisez l'une des méthodes suivantes pour créer une disquette à partir des images de -disquettes avec l'un de ces utilitaires. - -</para> - - <sect3> - <title>Écrire des images disque avec <command>Disk Copy</command></title> -<para> - -Si vous créez l'image de la disquette à partir des fichiers placés sur le -cédérom officiel de &debian-gnu; alors le <quote>Type</quote> et le -<quote>Creator</quote> sont déjà corrects. Ces étapes <command>Creator-Changer</command> -ne sont nécessaires que si vous téléchargez les images depuis un miroir &debian;. - -</para> -<orderedlist> -<listitem><para> - -Téléchargez -<ulink url="&url-powerpc-creator-changer;">Creator-Changer</ulink> -et utilisez-le pour ouvrir le fichier <filename>root.bin</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Changez le <quote>Creator</quote> en <userinput>ddsk</userinput> - (Disk copy) et le <quote>Type</quote> en -<userinput>DDim</userinput> (image de disquette binaire). Pour ces champs, -la casse des lettres importe. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<emphasis>Important :</emphasis> dans le Finder, utilisez -<userinput>Get Info</userinput> pour afficher les informations du Finder au sujet -des images de disquettes et cochez la boîte de dialogue <userinput>File Locked</userinput> -pour que MacOS ne puisse pas retirer les secteurs d'amorçage si l'image est montée par accident. - -</para></listitem> - <listitem><para> - -Téléchargez <command>Disk Copy</command> ; si vous - avez un système MacOS ou un cédérom, il devrait - déjà être présent, sinon essayez -<ulink url="&url-powerpc-diskcopy;"></ulink>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Lancez <command>Disk Copy</command> puis sélectionnez -<menuchoice> <guimenu>Utilitaires</guimenu> <guimenuitem>Fabriquer une disquette</guimenuitem> -</menuchoice> dans le menu. Sélectionnez ensuite le fichier image <emphasis>locked</emphasis> -à partir de la fenêtre résultante. Il vous sera demandé ensuite d'insérer -une disquette puis si vous voulez l'effacer. Lorsque l'opération est terminée, -la disquette sera éjectée. - -</para></listitem> -</orderedlist> - - </sect3> - - <sect3> - <title>Écrire des images disque avec <command>suntar</command></title> -<para> - -<orderedlist> -<listitem><para> - -Téléchargez <command>suntar</command> à partir de -<ulink url="&url-powerpc-suntar;"></ulink>. Lancez ensuite le -programme <command>suntar</command> et sélectionnez -<quote>Réécrire sur les secteurs...</quote> à partir du -menu <userinput>Special</userinput>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Insérez ensuite la disquette comme demandé puis tapez - sur la touche &enterkey; (cela commence au secteur 0). - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Sélectionnez le fichier <filename>root.bin</filename> dans la -boîte de dialogue de sélection des fichiers. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Après que les disquettes ont été créées correctement, -cliquez sur <menuchoice> <guimenu>Fichier</guimenu> <guimenuitem>Éjecter</guimenuitem> </menuchoice> -dans le menu. S'il y a des erreurs lors de la copie de la disquette, -jetez-la et essayez avec une autre. - -</para></listitem> -</orderedlist> - -Avant d'utiliser la disquette que vous venez de créer, - assurez-vous de <emphasis>bien la protéger contre - l'écriture</emphasis> ! Sinon, si vous la montez - accidentellement sous MacOS, ce dernier l'abîmera - irrémédiablement. - -</para> - </sect3> - </sect2> diff --git a/fr/install-methods/install-methods.xml b/fr/install-methods/install-methods.xml deleted file mode 100644 index 34cf007ee..000000000 --- a/fr/install-methods/install-methods.xml +++ /dev/null @@ -1,15 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> - -<chapter id="install-methods"> - <title>Comment obtenir les supports du système d'installation ?</title> - -&official-cdrom.xml; -&downloading-files.xml; -&ipl-tape.xml; -&create-floppy.xml; -&boot-usb-files.xml; -&boot-drive-files.xml; -&install-tftp.xml; -&automatic-install.xml; - -</chapter> diff --git a/fr/install-methods/install-tftp.xml b/fr/install-methods/install-tftp.xml deleted file mode 100644 index 9d3327a04..000000000 --- a/fr/install-methods/install-tftp.xml +++ /dev/null @@ -1,361 +0,0 @@ -<!-- original version: 65994 --> - - <sect1 condition="supports-tftp" id="install-tftp"> - <title>Préparer les fichiers pour amorcer depuis le réseau avec TFTP</title> -<para> - -Si votre machine est connectée à un réseau local, vous pouvez l'amorcer -directement à partir d'une autre machine de ce réseau en utilisant -TFTP. Pour cela, les fichiers d'amorçage doivent être -placés à un endroit spécifique de cette machine et celle-ci doit savoir -amorcer votre machine. - -</para><para> - -Vous devez configurer un serveur TFTP et, pour beaucoup de machines, -un serveur DHCP<phrase condition="supports-rarp">, un serveur RARP</phrase> -<phrase condition="supports-bootp">ou un serveur BOOTP</phrase>. - -</para><para> - -<phrase condition="supports-rarp">Le protocole de recherche des adresses -inverses (<emphasis>Reverse address Resolution Protocol</emphasis> ou RARP) -indique à votre client l'adresse IP qu'il doit utiliser pour lui-même. -Une autre solution est d'utiliser le protocole BOOTP. -</phrase> - -<phrase condition="supports-bootp">BOOTP est un protocole IP qui indique à un -ordinateur quelle est son adresse IP et lui dit où obtenir sur le réseau une -image d'amorçage.</phrase> - -Le protocole DHCP -(« Dynamic Host Configuration Protocole », Protocole de -configuration dynamique des hôtes) est une extension bien plus flexible -de BOOTP (et respectant la compatibilité ascendante). Certains systèmes ne -peuvent être configurés que par DHCP. - -</para><para arch="powerpc"> - -Pour les PowerPC, si vous avez une machine Power Macintosh NewWorld, il vaut -mieux utiliser DHCP plutôt que BOOTP. Certaines machines récentes ne peuvent pas -s'amorcer avec BOOTP. - -</para><para arch="hppa"> - -Quelques vieilles machines HPPA (p. ex. 715/75) utilisent RBOOTD plutôt que -BOOTP. Un paquet <classname>rbootd</classname> est disponible dans l'archive &debian;. - -</para><para> - -Le protocole trivial de transfert de fichiers (<emphasis>Trivial File Transfert -Protocol, TFTP</emphasis>) est utilisé pour transférer l'image d'amorçage -au client. Théoriquement, tout serveur sur les plateformes qui -implémentent ces protocoles peut être utilisé. Dans les exemples qui vont -suivre, on donnera les commandes pour SunOS 4.x, SunOS 5.x (mieux connu sous -le nom de Solaris) et GNU/Linux. - -<note arch="x86"><para> - -Pour un serveur &debian; nous recommandons <classname>tftpd-hpa</classname>. -C'est un logiciel écrit par l'auteur du programme -<classname>syslinux</classname>, ce qui est un gage de qualité. Une -autre possibilité est le programme <classname>atftpd</classname>. - -</para></note> - -</para> - -&tftp-rarp.xml; -&tftp-dhcp.xml; -&tftp-bootp.xml; - - - <sect2 id="tftpd"> - <title>Activer le serveur TFTP</title> -<para> - -Pour faire fonctionner le serveur TFTP, vous devez vous assurer au préalable -que <command>tftpd</command> est activé. - -</para> -<para> - -Pour <classname>tftpd-hpa</classname>, il y a deux façons de lancer le -service. Il peut être activé à la demande par le démon -<classname>inetd</classname> du système ou bien il peut être exécuté en -tant que démon indépendant. Le choix de la méthode se fait à -l'installation du paquet et peut être modifié en le reconfigurant. - -</para> -<note><para> - -Les serveurs TFTP utilisaient habituellement le répertoire <filename>/tftpboot</filename> pour -stocker les images. Cependant les paquets &debian-gnu; se servent d'autres répertoires -pour obéir au <ulink url="&url-fhs-home;">standard sur l'organisation des fichiers</ulink>. -Par exemple, <classname>tftpd-hpa</classname> utilise par défaut -<filename>/srv/tftp</filename>. Vous aurez à modifier les exemples de cette section. - -</para></note> -<para> - -Toutes les alternatives à <command>in.tftpd</command> disponibles dans &debian; -doivent enregistrer les requêtes TFTP dans le journal du système. Quelques unes -acceptent une option <userinput>-v</userinput> qui augmente la quantité d'informations -enregistrées. En cas d'erreur d'amorçage, il est recommandé de consulter ces enregistrements -pour rechercher les causes des erreurs. - - -</para> -<para arch="mips"> - -Si vous voulez installer &debian; sur une machine SGI et si votre serveur TFTP -est une machine GNU/Linux avec Linux 2.4.X, il vous faudra effectuer la -manœuvre suivante sur votre serveur : - -<informalexample><screen> -# echo 1 > /proc/sys/net/ipv4/ip_no_pmtu_disc -</screen></informalexample> - -de façon à empêcher la détection du MTU, sinon la PROM de la machine SGI ne pourra -pas télécharger le nouveau noyau. En outre, assurez-vous que les paquets TFTP -transitent par un port source inférieur à 32767 ou bien le téléchargement -s'arrêtera après le premier paquet. Vous pouvez toujours contourner ce -bogue de la PROM grâce au noyau 2.4.X en ajustant - -<informalexample><screen> -# echo "2048 32767" > /proc/sys/net/ipv4/ip_local_port_range -</screen></informalexample> - -pour fixer l'intervalle des ports source que le serveur TFTP peut utiliser. - -</para> - </sect2> - - <sect2 id="tftp-images"> - <title>Mettre les images TFTP en place</title> -<para> - -Ensuite, placez les images TFTP dont vous avez besoin (décrites dans la -<xref linkend="where-files"/>) dans le répertoire des images d'amorçage -de <command>tftpd</command>. Généralement, ce répertoire s'appelle -<filename>/tftpboot</filename>. Vous aurez à faire un lien depuis ce fichier -vers le fichier que <command>tftpd</command> utilisera pour amorcer le client. -Malheureusement, le nom du fichier est déterminé par le client -TFTP et il n'y a pas vraiment de standard. - -</para> -<para arch="powerpc"> - -Sur les machines Power Macintosh NewWorld, vous devrez configurer le programme -d'amorçage <command>yaboot</command> comme une image d'amorçage TFTP. -<command>Yaboot</command> chargera les images du noyau et du disque virtuel à -travers TFTP. Vous devrez télécharger les fichiers suivants du répertoire <filename>netboot/</filename> : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<filename>vmlinux</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>initrd.gz</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>yaboot</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>yaboot.conf</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>boot.msg</filename> - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> -<para arch="x86"> - -Pour le démarrage PXE, tout ce dont vous avez besoin est dans l'archive -<filename>netboot/netboot.tar.gz</filename>. Extrayez les fichiers dans le -répertoire de l'image <command>tftpd</command>. Assurez-vous que le serveur -DHCP donnera bien le fichier <filename>pxelinux.0</filename> comme fichier -d'amorçage à <command>tftpd</command>. -</para> -<para arch="ia64"> -Pour le démarrage PXE, tout ce dont vous avez besoin est dans l'archive -<filename>netboot/netboot.tar.gz</filename>. Extrayez les fichiers dans le -répertoire de l'image <command>tftpd</command>. Assurez-vous que le serveur -DHCP donnera bien le fichier -<filename>/debian-installer/ia64/elilo.efi</filename> comme fichier -d'amorçage à <command>tftpd</command>. -</para> - - <sect3 arch="sparc"> - <title>Amorçage TFTP pour SPARC</title> -<para> - -Certaines architectures SPARC ajoutent au nom de fichier la sous-architecture, comme -<quote>SUN4M</quote> ou <quote>SUN4C</quote>. Ainsi, si votre sous-architecture système -est SUN4C et que son adresseIP est 192.168.1.3, le nom de fichier sera -<filename>C0A80103.SUN4C</filename>. Cependant, pour certaines architectures, le fichier -recherché est simplement <filename>client-ip-en-hex</filename>. -Pour déterminer facilement ce nom et en supposant que l'adresse IP est -10.0.0.4, lancez un interpréteur de commandes et faites : - -<informalexample><screen> -$ printf '%.2x%.2x%.2x%.2x\n' 10 0 0 4 -</screen></informalexample> - -Il suffira de mettre les lettres en majuscule et d'ajouter le nom de la sous-architecture -pour obtenir le nom du fichier. - -</para> - -<para> - -Si tout a été fait correctement, la commande <userinput>boot net</userinput> -depuis l'OpenPROM devrait charger l'image. Si l'image n'est pas trouvée, -vérifiez dans les journaux du serveur tftp sous quel nom elle a été demandée. -</para> -<para> - -Vous pouvez aussi forcer certains systèmes SPARC à rechercher un nom de -fichier spécifique en l'ajoutant à la fin de la commande d'amorçage de -OpenPROM, p. ex. <userinput>boot net my-sparc.image</userinput>. -Ce fichier doit bien sûr être présent dans un répertoire connu du serveur TFTP. - -</para> - </sect3> - - <sect3 arch="mips"> - <title>Amorçage TFTP pour SGI</title> -<para> - -Sur les machines SGI, vous pouvez compter sur <command>bootpd</command> pour -obtenir le nom du fichier TFTP. Il est donné soit par -<userinput>bf=</userinput> dans <filename>/etc/bootptab</filename> ou -bien par l'option <userinput>filename=</userinput> dans -<filename>/etc/dhcpd.conf</filename>. - -</para> - </sect3> - - </sect2> -<!-- FIXME: commented out since it seems too old to be usable and a current - way is not known - - - <sect2 id="tftp-low-memory"> - <title>Installation de TFTP sur système avec peu de mémoire</title> -<para> - -Sur certains systèmes, le disque virtuel d'installation - standard, combiné avec les exigences en mémoire de l'image - d'amorçage TFTP, ne peuvent tenir en mémoire. Dans ce cas, - vous pouvez quand même utiliser TFTP mais vous aurez à - passer par une étape supplémentaire pour monter votre - répertoire racine à travers le réseau. Ce type de - configuration est aussi approprié pour les clients sans - disque et les clients sans données. - -</para><para> - -Commencez par suivre toutes les étapes ci-dessus dans -<xref linkend="install-tftp"/>. - -<orderedlist> -<listitem><para> - -Copiez l'image du noyau Linux sur votre serveur TFTP en -utilisant l'image <userinput>a.out</userinput> de l'architecture sur - laquelle vous êtes en train d'amorcer. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -« Détarez » l'archive de root sur votre serveur - NFS (qui peut être le même que votre serveur TFTP) : - -<informalexample><screen> -# cd /tftpboot -# tar xvzf root.tar.gz -</screen></informalexample> - -Assurez-vous d'utiliser le <command>tar</command> de GNU (les - autres programmes, comme celui de SunOS, manipulent - incorrectement certains périphériques comme les fichiers - ordinaires). - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Exportez votre répertoire -<filename>/tftpboot/debian-sparc-root</filename> avec les accès - root pour votre client. Vous devez ajouter la ligne - suivante à <filename>/etc/exports</filename> (syntaxe GNU/Linux, - cela devrait être similaire pour SunOS jusqu'à la version - 4.1.x) : - -<informalexample><screen> - -/tftpboot/debian-sparc-root client(rw,no_root_squash) - -</screen></informalexample> - -Note : <replaceable>client</replaceable> est le nom d'hôte ou bien - l'adresse IP reconnue par le serveur pour le système que - vous allez amorcer. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Créez un lien symbolique depuis votre adresse IP cliente - sous forme de nombres séparés par des points dans le fichier -<filename>debian-sparc-root</filename> du répertoire - <filename>/tftpboot</filename>. Par exemple, si l'adresse IP client - est 192.168.1.3, faites : - -<informalexample><screen> -# ln -s debian-sparc-root 192.168.1.3 -</screen></informalexample> - -</para></listitem> -</orderedlist> - -</para> - - </sect2> - - <sect2> - <title>Installation avec une racine TFTP et NFS</title> -<para> - -C'est très proche de l'installation pour système avec peu de -mémoire <xref linkend="tftp-low-memory"/> parce que vous ne voulez pas -charger le disque virtuel mais amorcer depuis le système de fichier nfs-root - créé il y a peu. Vous n'avez qu'à remplacer le lien vers - l'image tftpboot par un lien vers l'image du noyau -(p. ex. <filename>linux-a.out</filename>). - -</para><para> - -RARP/TFTP requires all daemons to be running on the same server (the -workstation is sending a TFTP request back to the server that replied -to its previous RARP request). - -</para><para> - -Pour amorcer la machine cliente, allez à <xref linkend="boot-tftp"/>. - -</para> - - </sect2> -END FIXME --> - </sect1> diff --git a/fr/install-methods/ipl-tape.xml b/fr/install-methods/ipl-tape.xml deleted file mode 100644 index 78eaf3cbc..000000000 --- a/fr/install-methods/ipl-tape.xml +++ /dev/null @@ -1,20 +0,0 @@ -<!-- original version: 36841 --> - - <sect1 arch="s390" id="ipl-tape"> - <title>Création d'une bande IPL</title> - -<para> - -Quand on ne peut pas amorcer (IPL) depuis un cédérom et qu'on n'utilise pas -VM, on doit d'abord créer une bande IPL. La section 3.4.3 du livre rouge -d'IBM -<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf">Linux pour IBM eServer zSeries et distributions S/390</ulink> -décrit le processus. Les fichiers qu'il faut mettre sur cette bande -sont (dans cet ordre) : <filename>kernel.debian</filename>, -<filename>parmfile.debian</filename> et <filename>initrd.debian</filename>. -Les trois fichiers peuvent être récupérés dans le sous-répertoire -<filename>tape</filename>, voyez <xref linkend="where-files"/>. - -</para> -</sect1> - diff --git a/fr/install-methods/official-cdrom.xml b/fr/install-methods/official-cdrom.xml deleted file mode 100644 index d3f1a7fb2..000000000 --- a/fr/install-methods/official-cdrom.xml +++ /dev/null @@ -1,77 +0,0 @@ -<!-- original version: 68366 --> - <sect1 id="official-cdrom"> - <title>CD &debian-gnu; officiels</title> -<para> - -La méthode la plus facile pour installer &debian-gnu; est sûrement -celle utilisant les CD/DVD officiels. Consultez la -<ulink url="&url-debian-cd-vendors;">page des vendeurs de CD</ulink> pour les acheter. -Vous pouvez aussi télécharger les images ISO à partir -d'un miroir &debian; et fabriquer vos propres CD/DVD, si vous avez une -connexion rapide et un graveur (cf. la <ulink url="&url-debian-cd;">page des CD Debian</ulink> -et la <ulink url="&url-debian-cd-faq;">FAQ Debian CD</ulink> -pour des instructions détaillées). Si vous possédez un jeu de CD/DVD et -si votre machine peut s'amorcer à partir d'un CD/DVD<phrase arch="x86">, ce qui est le cas -sur les PC modernes</phrase>, vous pouvez aller -directement au <xref linkend="boot-installer"/> ; un effort particulier a -été fait pour s'assurer que les fichiers les plus communément demandés soient -présents sur les premiers CD/DVD et qu'une installation élémentaire d'un bureau -graphique soit possible avec le premier DVD, ou même avec le premier CD. - -</para><para> - -Les CD ayant une capacité de stockage limitée, tous les environnements graphiques -de bureau ne sont pas disponibles sur le premier CD. -Certains environnements demandent soit une connexion à internet pendant -l'installation, soit des CD supplémentaires. - -</para> -<para> - -Si vous disposez de CD alors que votre machine ne sait pas amorcer à partir -d'un CD<phrase arch="x86"> (certains PC très anciens)</phrase>, -vous pouvez utiliser une autre stratégie, p. ex. - -<phrase condition="supports-floppy-boot">une disquette,</phrase> - -<phrase arch="s390">une bande, une bande simulée,</phrase> - -<phrase condition="bootable-disk">un disque dur,</phrase> - -<phrase condition="bootable-usb">une clé usb,</phrase> - -<phrase condition="supports-tftp">le démarrage sur le réseau,</phrase> - -ou bien encore, le chargement du noyau à partir du CD pour lancer -l'installateur. Les fichiers requis pour ces différents amorçages sont -aussi sur le CD ; l'archive réseau de &debian; et l'organisation des -répertoires du CD sont identiques. Ainsi, lorsqu'un chemin d'archive est -demandé pour un fichier particulier requis pour amorcer, cherchez ce fichier -dans le même répertoire ou sous-répertoire de votre CD. - -</para><para> - -Une fois l'installateur amorcé, il est capable d'obtenir tous les autres -fichiers nécessaires à partir du CD. - -</para><para> - -Si vous n'avez pas de CD, il sera nécessaire de télécharger -les fichiers du système d'installation et de les placer sur - -<phrase arch="s390">une bande d'installation,</phrase> - -<phrase condition="supports-floppy-boot">une disquette,</phrase> - -<phrase condition="bootable-disk">un disque dur,</phrase> - -<phrase condition="bootable-usb">une clé usb ou</phrase> - -<phrase condition="supports-tftp">un ordinateur connecté</phrase> - -que vous pourrez utiliser pour amorcer l'installateur. - - -</para> - - </sect1> diff --git a/fr/install-methods/tftp/bootp.xml b/fr/install-methods/tftp/bootp.xml deleted file mode 100644 index dcb3471f6..000000000 --- a/fr/install-methods/tftp/bootp.xml +++ /dev/null @@ -1,69 +0,0 @@ -<!-- original version: 68620 --> - - - <sect2 condition="supports-bootp" id="tftp-bootp"> - <title>Configurer un serveur BOOTP</title> -<para> - -Il existe deux serveurs BOOTP pour GNU/Linux, <command>bootpd</command> CMU -et <command>dhcpd</command> ISC ; le second est en fait un serveur DHCP. -On peut trouver ces serveurs dans les paquets <classname>bootp</classname> et -<classname>isc-dhcp-server</classname> de &debian-gnu;. - -</para><para> - -Pour utiliser <command>bootpd</command> CMU, vous devez commencer par -décommenter (ou ajouter) la ligne adéquate dans -<filename>/etc/inetd.conf</filename>. Dans &debian-gnu;, vous pouvez tout -simplement lancer <userinput>update-inetd --enable bootps</userinput> suivi -de <userinput>/etc/init.d/inetd reload</userinput> pour le faire. Au cas où le serveur -BOOTP ne fonctionnerait pas sous &debian;, la ligne en question devrait ressembler à : - -<informalexample><screen> -bootps dgram udp wait root /usr/sbin/bootpd bootpd -i -t 120 -</screen></informalexample> - -Maintenant, vous devez créer le fichier <filename>/etc/bootptab</filename> qui -utilise le même genre de format familier et cryptique que les bons vieux -fichiers BSD <filename>printcap</filename>, <filename>termcap</filename> et -<filename>disktab</filename>. Voyez la page de manuel de -<filename>bootptab</filename> pour d'autres informations. -Pour <command>bootpd</command> CMU, il sera nécessaire d'obtenir l'adresse -matérielle (MAC) du client. Voici un exemple du fichier -<filename>/etc/bootptab</filename> : - -<informalexample><screen> -client:\ - hd=/tftpboot:\ - bf=tftpboot.img:\ - ip=192.168.1.90:\ - sm=255.255.255.0:\ - sa=192.168.1.1:\ - ha=0123456789AB: -</screen></informalexample> - -Vous devrez changer au moins l'option <quote>ha</quote> qui spécifie l'adresse -matérielle du client. L'option <quote>bf</quote> spécifie le fichier que le -client devra récupérer par TFTP ; cf. <xref linkend="tftp-images"/> pour -plus de précisions. - -<phrase arch="mips"> -Pour les machines SGI, il suffit d'entrer la commande de contrôle -<userinput>printenv</userinput>. La valeur de la variable -<userinput>eaddr</userinput> est celle de l'adresse MAC de la machine. -</phrase> - -</para><para> - -En comparaison, configurer BOOTP avec <command>dhcpd</command> ISC est très -facile parce qu'il traite les clients BOOTP comme des clients DHCP légèrement -spéciaux. Certaines architectures requièrent une configuration complexe pour -amorcer les clients par BOOTP. Si la vôtre en fait partie, lisez la -<xref linkend="dhcpd"/>. Sinon, il suffit simplement de modifier le fichier -<filename>/etc/dhcp/dhcpd.conf</filename> et d'ajouter la directive -<userinput>allow bootp</userinput> au bloc de configuration pour le -sous-réseau contenant le client, puis de redémarrer <command>dhcpd</command> -avec <userinput>/etc/init.d/isc-dhcp-server restart</userinput>. - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml b/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml deleted file mode 100644 index cf3cc3962..000000000 --- a/fr/install-methods/tftp/dhcp.xml +++ /dev/null @@ -1,95 +0,0 @@ -<!-- original version 68620 --> - - - <sect2 id="dhcpd"> - <title>Configurer un serveur DHCP</title> -<para> - -Il existe un serveur DHCP libre, <command>dhcpd</command> ISC. Pour -&debian-gnu;, le paquet <classname>isc-dhcp-server</classname> est recommandé. -Voici un exemple de fichier de configuration (habituellement -<filename>/etc/dhcp/dhcpd.conf</filename>) : - -<informalexample><screen> -option domain-name "example.com"; -option domain-name-servers ns1.example.com; -option subnet-mask 255.255.255.0; -default-lease-time 600; -max-lease-time 7200; -server-name "servername"; - -subnet 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 { - range 192.168.1.200 192.168.1.253; - option routers 192.168.1.1; -} - -host clientname { - filename "/tftpboot.img"; - server-name "servername"; - next-server servername; - hardware ethernet 01:23:45:67:89:AB; - fixed-address 192.168.1.90; -} -</screen></informalexample> - -</para><para> - -Dans cet exemple, le serveur <replaceable>servername</replaceable> -joue le rôle de serveur DHCP, serveur TFTP et passerelle réseau. Vous -devrez certainement changer les options concernant le nom de domaine -ainsi que le nom du serveur et l'adresse matérielle du client. L'option -<replaceable>filename</replaceable> devrait être le nom du fichier extrait -par TFTP. - -</para><para> - -Après avoir modifié le fichier de configuration de <command>dhcpd</command>, -relancez <command>dhcpd</command> par -<userinput>/etc/init.d/isc-dhcp-server restart</userinput>. - -</para> - - <sect3 arch="x86"> - <title>Amorçage PXE et configuration de DHCP</title> -<para> -Voici un autre exemple de fichier <filename>dhcp.conf</filename> utilisant -la méthode de chargement du système d'exploitation par le réseau gérée par le -matériel (« Pre-boot Execution Environment » ou PXE) de TFTP. - -<informalexample><screen> -option domain-name "example.com"; - -default-lease-time 600; -max-lease-time 7200; - -allow booting; -allow bootp; - -# Le paragraphe suivant doit être modifié pour correspondre à votre système -subnet 192.168.1.0 netmask 255.255.255.0 { - range 192.168.1.200 192.168.1.253; - option broadcast-address 192.168.1.255; -# L'adresse de la passerelle peut être différente -# (accès à internet par exemple) - option routers 192.168.1.1; -# Indiquez le DNS que vous voulez utiliser - option domain-name-servers 192.168.1.3; -} - -group { - next-server 192.168.1.3; - host tftpclient { -# Adresse matérielle du client TFTP - hardware ethernet 00:10:DC:27:6C:15; - filename "pxelinux.0"; - } -} -</screen></informalexample> - -Pour un démarrage PXE, le fichier du client -<filename>pxelinux.0</filename> est un programme d'amorçage et non une image -du noyau (voir <xref linkend="tftp-images"/> ci-dessous). - -</para> - </sect3> - </sect2> diff --git a/fr/install-methods/tftp/rarp.xml b/fr/install-methods/tftp/rarp.xml deleted file mode 100644 index 1cde52c29..000000000 --- a/fr/install-methods/tftp/rarp.xml +++ /dev/null @@ -1,34 +0,0 @@ -<!-- original version: 62401 --> - - - <sect2 condition="supports-rarp" id="tftp-rarp"> - <title>Configurer un serveur RARP</title> -<para> - -Pour configurer RARP, il vous faudra connaître l'adresse Ethernet du client -(c'est-à-dire, l'<quote>adresse MAC</quote>). -Si vous n'avez pas cette donnée, vous pouvez - -<phrase arch="sparc">l'extraire des messages d'amorçage initiaux de l'OpenPROM, - utiliser la commande OpenBoot <userinput>.enet-addr</userinput> ou -</phrase> - -amorcer en mode <quote>secours</quote> (p. ex. à partir de la disquette -de secours) et utiliser la commande -<userinput>ip addr show dev eth0</userinput>. - -</para> -<para> - -Pour les systèmes avec un noyau Linux 2.4 ou 2.6, ou les systèmes Solaris/SunOS, -il faut utiliser le programme <command>rarpd</command>. -Vous devez vous assurer que les adresses matérielles Ethernet pour les clients -sont listées dans la base de données <quote>ether</quote> (soit dans le fichier -<filename>/etc/ethers</filename> soit via NIS/NIS+) et dans la base de -données <quote>hosts</quote>. Ensuite, vous devez lancer le démon RARP. -Pour la plupart des systèmes Linux et SunOS 5 (Solaris 2), essayez la commande -(en tant que superutilisateur) : <userinput>/usr/sbin/rarpd -a</userinput>. -Pour d'autres systèmes Linux, essayez <userinput>/usr/sbin/in.rarpd -a</userinput>. -Pour SunOS 4 (Solaris 1), essayez <userinput>/usr/etc/rarpd -a</userinput>. -</para> - </sect2> diff --git a/fr/install-methods/usb-setup/powerpc.xml b/fr/install-methods/usb-setup/powerpc.xml deleted file mode 100644 index 81e4ed617..000000000 --- a/fr/install-methods/usb-setup/powerpc.xml +++ /dev/null @@ -1,125 +0,0 @@ -<!-- original version: 68208 --> - - <sect3 arch="powerpc"> - <title>Partitionner un périphérique USB</title> -<para> - -La plupart des périphériques USB ne sont pas prêts à être amorcés par le -microprogramme Open Firmware, et vous devez les repartitionner. -Sur les systèmes Mac, faites <userinput>mac-fdisk /dev/<replaceable>sdX</replaceable></userinput>, -initialisez une nouvelle table des partitions avec la commande -<userinput>i</userinput> et créez une nouvelle partition Apple_Bootstrap -avec la commande <userinput>C</userinput>. -Remarquez que la première partition sera toujours la table des partitions -elle-même. Saisissez : - -<informalexample><screen> -$ hformat /dev/<replaceable>sdX2</replaceable> -</screen></informalexample> - -Faites attention à utiliser le périphérique correct pour la clé. Le programme -<command>hformat</command> se trouve dans le paquet &debian; <classname>hfsutils</classname>. - -</para><para> - -Pour pouvoir lancer le noyau après l'amorçage sur la clé, nous y mettons -un programme d'amorçage. Le programme <command>yaboot</command> peut être -installé sur un système de fichiers HFS et configuré en modifiant un -simple fichier texte. On peut modifier la configuration du -programme d'amorçage avec tous les systèmes d'exploitation qui acceptent -le système de fichiers HFS. - -</para><para> - -L'utilitaire <command>ybin</command> de <command>yaboot</command> ne -comprend pas pour l'instant les périphériques USB, et vous devrez -installer <command>yaboot</command> manuellement avec les outils -<classname>hfsutils</classname>. Saisissez : - -<informalexample><screen> -$ hmount /dev/<replaceable>sdX2</replaceable> -$ hcopy -r /usr/lib/yaboot/yaboot : -$ hattrib -c UNIX -t tbxi :yaboot -$ hattrib -b : -$ humount -</screen></informalexample> - -Encore une fois, faites bien attention à utiliser le nom correct pour la clé. -La partition ne doit pas être montée pendant la procédure. Cette procédure -met le programme d'amorçage sur la partition et utilise les outils HFS pour -préparer ce programme à être lancé par le microprogramme Open Firmware. -Ensuite, la clé USB peut être préparée avec les outils standard d'Unix. - -</para> -</sect3> - - <sect3 arch="powerpc"> - <title>Ajouter l'image d'installation</title> - -<para> -Montez la partition (<userinput>mount /dev/<replaceable>sdX2</replaceable> /mnt</userinput>) et -copiez les fichiers suivants sur la clé : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<filename>vmlinux</filename> (noyau binaire) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>initrd.gz</filename> (image du disque virtuel initial) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>yaboot.conf</filename> (fichier de configuration de yaboot) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>boot.msg</filename> (message optionnel) - -</para></listitem> - -</itemizedlist> - -</para><para> - -Le fichier de configuration <filename>yaboot.conf</filename> doit contenir -les lignes suivantes : - -<informalexample><screen> -default=install -root=/dev/ram - -message=/boot.msg - -image=/vmlinux - label=install - initrd=/initrd.gz - initrd-size=10000 - read-only -</screen></informalexample> - -Remarquez que la valeur du paramètre <userinput>initrd-size</userinput> -doit être augmentée avec la taille de l'image qui est amorcée. - -</para> -<para> -Si vous utilisez une image <filename>hd-media</filename>, vous devez copier -maintenant le fichier ISO d'une image ISO de &debian; <footnote> - -<para> -Vous pouvez aussi utiliser l'image <quote>netinst</quote> -ou l'image d'un disque complet sur la clé. -Consultez <xref linkend="official-cdrom"/>. Sélectionnez celle qui va -bien. L'image <quote>netboot <filename>mini.iso</filename></quote> n'est -pas utilisable dans ce cas. -</para> -</footnote> sur la clé. -Une fois l'image copiée, démontez la clé -(<userinput>umount /mnt</userinput>). - -</para> - </sect3> diff --git a/fr/install-methods/usb-setup/x86.xml b/fr/install-methods/usb-setup/x86.xml deleted file mode 100644 index cee9004a7..000000000 --- a/fr/install-methods/usb-setup/x86.xml +++ /dev/null @@ -1,137 +0,0 @@ -<!-- original version: 68208 --> - - <sect3 arch="x86"> - <title>Partitionner un périphérique USB</title> -<para> - -Nous montrerons comment utiliser seulement la première partition, -au lieu de tout le périphérique. - -</para><note><para> - -La plupart des clés USB sont préconfigurées avec une seule partition FAT16. -Vous n'aurez sans doute pas à partitionner ou à formater la clé. Si vous -devez le faire, utilisez le programme <command>cfdisk</command> ou un autre -programme de partitionnement pour créer cette partition <footnote> - -<para> -N'oubliez pas de positionner le drapeau <quote>bootable</quote>. -</para> - -</footnote>, puis installez un MBR avec : - -<informalexample><screen> -# install-mbr /dev/<replaceable>sdX</replaceable> -</screen></informalexample> - -La commande <command>install-mbr</command> se trouve dans le paquet &debian; -<classname>mbr</classname>. Créez maintenant le système de fichier -avec : - -<informalexample><screen> -# mkdosfs /dev/<replaceable>sdX1</replaceable> -</screen></informalexample> - -Faites attention à utiliser le périphérique correct pour la clé. Le programme -<command>mkdosfs</command> se trouve dans le paquet &debian; <classname>dosfstools</classname>. - -</para></note><para> - -Pour pouvoir lancer le noyau après l'amorçage sur la clé, nous y installons -un programme d'amorçage. Tous les programmes d'amorçage fonctionnent -(p. ex. <command>LILO</command>), mais <command>SYSLINUX</command> est -préférable car il utilise une partition FAT16 et peut être reconfiguré en -modifiant un simple fichier texte. On peut modifier la configuration du -programme d'amorçage avec tous les systèmes d'exploitation qui acceptent -le système de fichiers FAT. - -</para><para> - -Pour mettre <command>SYSLINUX</command> sur la partition FAT16 de la clé, -installez les paquets <classname>syslinux</classname> et -<classname>mtools</classname> sur votre système et saisissez la commande : - -<informalexample><screen> -# syslinux /dev/<replaceable>sdX1</replaceable> -</screen></informalexample> - -Encore une fois, faites bien attention à utiliser le nom correct pour la clé. -La partition ne doit pas être montée au lancement de -<command>SYSLINUX</command>. Cette procédure écrit un secteur d'amorçage sur -la partition et crée le fichier <filename>ldlinux.sys</filename> qui contient -le code du programme d'amorçage. - -</para> -</sect3> - -<sect3 arch="x86"> - <title>Ajouter l'image d'installation</title> -<para> - -Montez la partition (<userinput>mount /dev/sdX1 /mnt</userinput>) et -copiez les fichiers suivants sur la clé : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<filename>vmlinuz</filename> ou <filename>linux</filename> (noyau binaire) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>initrd.gz</filename> (image du disque virtuel initial) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>syslinux.cfg</filename> (fichier de configuration de SYSLINUX) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Modules optionnels du noyau - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -Si vous voulez modifier le nom des fichiers, remarquez que -<command>SYSLINUX</command> ne peut traiter que des noms de type DOS (8.3). - -</para><para> - -Le fichier de configuration <filename>syslinux.cfg</filename> doit contenir -les deux lignes suivantes (il faut modifier le nom du noyau, -<quote><filename>linux</filename></quote>, si vous utilisez une image -<filename>netboot</filename>) : - -<informalexample><screen> -default vmlinuz -append initrd=initrd.gz -</screen></informalexample> - -Pour l'installateur graphique, vous devez ajouter à la deuxième ligne -le paramètre <userinput>vga=788</userinput>. -D'autres paramètres peuvent être ajoutés. -</para> -<para> -Pour que l'invite d'amorçage permette l'ajout de paramètres, créez -une ligne <userinput>prompt 1</userinput>. -</para> - -<para> -Si vous utilisez une image <filename>hd-media</filename>, vous devez copier -maintenant le fichier ISO d'une image ISO de &debian; <footnote> - -<para> -Vous pouvez aussi utiliser l'image <quote>netinst</quote> -ou l'image d'un disque complet sur la clé. -Consultez <xref linkend="official-cdrom"/>. Sélectionnez celle qui va -bien. L'image <quote>netboot <filename>mini.iso</filename></quote> n'est -pas utilisable dans ce cas. -</para> -</footnote> sur la clé. -Une fois l'image copiée, démontez la clé -(<userinput>umount /mnt</userinput>). - -</para> - </sect3> diff --git a/fr/partitioning/device-names.xml b/fr/partitioning/device-names.xml deleted file mode 100644 index 509e3b0a6..000000000 --- a/fr/partitioning/device-names.xml +++ /dev/null @@ -1,131 +0,0 @@ -<!-- original version: 64772 --> - - - <sect1 arch="linux-any" id="device-names"> - <title>Noms des périphériques sous Linux</title> -<para> - -Le nom des disques et des partitions sous Linux peut être différent des autres -systèmes d'exploitation. Vous devez connaître les noms utilisés lors -de la création et du montage de partitions. Voici les principales -conventions de nommage : - -</para> -<itemizedlist arch="not-s390"> -<listitem><para> - -Le premier lecteur de disquette est nommé <filename>/dev/fd0</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Le second lecteur de disquette est nommé <filename>/dev/fd1</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Le premier disque SCSI (selon l'ID SCSI) est nommé -<filename>/dev/sda</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Le deuxième disque SCSI (selon l'ID) est nommé -<filename>/dev/sdb</filename>, etc. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Le premier cédérom SCSI est nommé <filename>/dev/scd0</filename>, -ou encore <filename>/dev/sr0</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Le disque maître sur le contrôleur IDE primaire est nommé -<filename>/dev/hda</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Le disque esclave sur le contrôleur IDE primaire est nommé -<filename>/dev/hdb</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -Les disques maître et esclave sur le deuxième contrôleur sont nommés -respectivement <filename>/dev/hdc</filename> et -<filename>/dev/hdd</filename>. Les nouveaux contrôleurs -IDE peuvent avoir deux canaux fonctionnant comme deux contrôleurs -distincts ; - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<itemizedlist arch="s390"> -<listitem><para> - -Le premier périphérique DASD est appelé -<filename>/dev/dasda</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> -Le second périphérique DASD est appelé -<filename>/dev/dasdb</filename>, etc. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<para arch="not-s390"> - -Les partitions sur chaque disque sont représentées en ajoutant un -numéro au nom du disque : <filename>sda1</filename> et -<filename>sda2</filename> représentent la première et la seconde partition du -premier disque SCSI du système. - -</para><para arch="not-s390"> - -Voici un exemple concret. Supposons que vous ayez deux disques SCSI, -l'un à l'adresse SCSI 2 et l'autre à l'adresse SCSI 4. Le premier disque (à -l'adresse 2) est nommé <filename>sda</filename>, et le second -<filename>sdb</filename>. Si le disque <filename>sda</filename> a -trois partitions, elles s'appelleront <filename>sda1</filename>, -<filename>sda2</filename> et <filename>sda3</filename>. La même convention -s'applique au disque <filename>sdb</filename> et à ses partitions. - -</para><para arch="not-s390"> - -Notez que si vous avez deux adaptateurs SCSI (c.-à-d. des contrôleurs SCSI), -l'ordre de nommage des disques peut-être embrouillé. La meilleure -solution est de regarder les messages au démarrage, en supposant que -vous connaissiez les modèles ou les tailles des disques. - -</para><para arch="x86"> - -Linux représente les partitions primaires par le nom du disque, suivi -des nombres 1 à 4. Par exemple la première partition sur le premier -disque IDE est <filename>/dev/hda1</filename>. Les partitions logiques sont -numérotées à partir de 5. Donc, la première partition logique sur ce -même disque est <filename>/dev/hda5</filename>. Rappelez-vous que la partition -étendue, c'est-à-dire la partition primaire contenant les partitions -logiques, n'est pas utilisable en elle-même. -Cela s'applique aussi bien aux disques IDE qu'aux disques SCSI. - -</para><para arch="sparc"> - -Les partitions des disques Sun autorisent 8 partitions différentes (ou -tranches, <emphasis>slices</emphasis>). La troisième partition est -habituellement (et de préférence) la partition « Disque Entier ». -Cette partition référence tous les secteurs du disque, et est utilisée -par le programme d'amorçage (soit SILO, soit celui de Sun). - -</para><para arch="s390"> - -Les partitions sur chaque disque sont représentées en ajoutant un -numéro au nom du disque : <filename>dasda1</filename> et -<filename>dasda2</filename> représentent la première et la seconde partition du -premier périphérique DASD du système. - -</para> - </sect1> diff --git a/fr/partitioning/partition-programs.xml b/fr/partitioning/partition-programs.xml deleted file mode 100644 index 4067fcbe5..000000000 --- a/fr/partitioning/partition-programs.xml +++ /dev/null @@ -1,140 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="partition-programs"> - <title>Programmes de partitionnement</title> -<para> - -De nombreux utilitaires de partitionnement ont été adaptés par -les développeurs &debian; pour fonctionner sur différents types de disques -et d'architectures matérielles. -Voici les programmes qui sont disponibles sur votre architecture : - -</para> - -<variablelist> - -<varlistentry> -<term><command>partman</command></term> -<listitem><para> - -C'est le partitionneur que recommande &debian;. Ce <quote>couteau suisse</quote> -sait aussi redimensionner des partitions et monter des systèmes de fichiers -<phrase arch="any-x86"> (<quote>formater</quote> en langage Windows)</phrase> -sur des points de montage. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry condition="fdisk.txt"> -<term><command>fdisk</command></term> -<listitem><para> - -C'est le premier partitionneur de disque pour Linux... bon pour les gourous. - -</para><para> - -Faites attention si vous avez des partitions FreeBSD sur votre machine. Les -noyaux d'installation reconnaissent ces partitions, mais la façon -dont <command>fdisk</command> les représente (ou pas) peut faire varier les -noms des périphériques. Lisez attentivement le -<ulink url="&url-linux-freebsd;">Linux+FreeBSD HOWTO</ulink>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry condition="cfdisk.txt"> -<term><command>cfdisk</command></term> -<listitem><para> - -C'est un partitionneur simple à utiliser, fonctionnant en mode plein écran... -pour nous autres. - -</para><para> - -Remarquez que <command>cfdisk</command> ne reconnaît pas du tout -les partitions FreeBSD et que les noms des périphériques peuvent -être différents. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry condition="atari-fdisk.txt"> -<term><command>atari-fdisk</command></term> -<listitem><para> - -Version de <command>fdisk</command> pour les machines Atari. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry condition="amiga-fdisk.txt"> -<term><command>amiga-fdisk</command></term> -<listitem><para> - -Version de <command>fdisk</command> pour les machines Amiga. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry condition="mac-fdisk.txt"> -<term><command>mac-fdisk</command></term> -<listitem><para> - -Version de <command>fdisk</command> pour Mac. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry condition="pmac-fdisk.txt"> -<term><command>pmac-fdisk</command></term> -<listitem><para> - -Version de <command>fdisk</command> pour les PowerMac, et les systèmes BVM et -Motorola VMEbus. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry condition="fdasd.txt"> -<term><command>fdasd</command></term> -<listitem><para> - -Version de <command>fdisk</command> pour les &arch-title;. -Lisez la page de manuel de fdasd ou le chapitre 13 de -<ulink url="http://oss.software.ibm.com/developerworks/opensource/linux390/docu\/l390dd08.pdf">Pilotes de périphériques et commandes d'installation</ulink>. - -</para></listitem> -</varlistentry> -</variablelist> - -<para> - -L'un de ces programmes sera lancé par défaut quand vous sélectionnerez : -<guimenuitem>Partitionner un disque dur</guimenuitem>. Il est possible d'utiliser -un autre partitionneur sur la console VT2 mais cela n'est pas recommandé. - -</para> -<para arch="x86"> -N'oubliez pas de rendre amorçable votre partition racine. -</para> - -<para condition="mac-fdisk.txt"> - -Un point important est que la partition d'échange (<emphasis>swap</emphasis>) -est identifiée par son nom sur les disques de type Mac : ce doit être <quote>swap</quote>. -Toutes les partitions Mac linux sont identifiées sous le même type de partition, -Apple_UNIX_SRV2. Veuillez lire le manuel approprié. -Nous vous suggérons aussi de lire le <ulink url="&url-mac-fdisk-tutorial;"> -guide d'initiation à mac-fdisk"></ulink>, qui décrit les étapes que vous devez -suivre si vous voulez partager votre disque avec MacOS. - -</para> - -&partition-hppa.xml; -&partition-x86.xml; -&partition-ia64.xml; -&partition-mips.xml; -&partition-powerpc.xml; -&partition-sparc.xml; - - </sect1> diff --git a/fr/partitioning/partition/hppa.xml b/fr/partitioning/partition/hppa.xml deleted file mode 100644 index eda84717e..000000000 --- a/fr/partitioning/partition/hppa.xml +++ /dev/null @@ -1,20 +0,0 @@ -<!-- original version: 35595 --> - - <sect2 arch="hppa"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> -<para> - -PALO, le programme d'amorçage pour HPPA, nécessite une partition de type -<quote>F0</quote> quelque part dans les deux premiers Go. C'est la partition où seront -stockés le programme d'amorçage, le noyau et un disque virtuel optionnel, -aussi faites-la assez grande, au moins 4 Mo -(je préfère 8 à 16 Mo). Le microprogramme (<emphasis>firmware</emphasis>) -exige de plus que le noyau Linux réside dans les deux premiers Go. -On règle souvent cette question en mettant la totalité de la partition racine -ext2 dans les deux premiers Go du disque. Sinon, vous pouvez créer -une petite partition ext2 au début du disque et la monter sur -<filename>/boot</filename>, le répertoire où les noyaux Linux seront stockés. -<filename>/boot</filename> doit être assez gros pour contenir tous les noyaux (et sauvegardes) -que vous voulez charger ; 25 à 50 Mo sont généralement suffisants. - -</para> - </sect2>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/partitioning/partition/ia64.xml b/fr/partitioning/partition/ia64.xml deleted file mode 100644 index 8299b4d10..000000000 --- a/fr/partitioning/partition/ia64.xml +++ /dev/null @@ -1,122 +0,0 @@ -<!-- original version: 43254 --> - - <sect2 arch="ia64"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> -<para> -<command>Partman</command> est l'outil de partitionnement par défaut de -l'installateur. Il permet de créer les partitions et de positionner les -points de montage pour s'assurer que les disques et les systèmes de fichiers -seront correctement configurés lors de l'installation. Il utilise le programme -<command>parted</command> pour créer les partitions du disque. - -</para> - - <note> - <title>Formats reconnu par EFI</title> -<para> -Le microprogramme (<emphasis>firmware</emphasis>) EFI pour IA-64 accepte deux -formats de table de partitions (ou d'étiquette disque), GPT et MS-DOS. -MS-DOS est le format classique des PC i386, et n'est pas recommandé -pour les systèmes IA-64. Bien que l'installateur fournisse aussi l'utilitaire -<command>cfdisk</command>, vous devez utiliser uniquement -<ulink url="parted.txt"><command>parted</command></ulink>, parce qu'il est le -seul capable de gérer correctement à la fois les tables GPT et MS-DOS. - -</para></note> - -<para> - -Les règles de partitionnement automatique de <command>partman</command> -attribuent la première partition du disque à EFI. -Vous pouvez également installer la partition depuis le menu principal -sous <guimenuitem>Partitionnement assisté</guimenuitem> de la même manière -que vous avez installé la partition d'échange (<emphasis>swap</emphasis>). - -</para><para> - -<command>Partman</command> est capable de gérer la plupart des disques. -Pour les rares cas où il est nécessaire d'installer manuellement un disque, -vous pouvez exécuter l'utilitaire <command>parted</command> directement en -utilisant son interface en ligne de commande. En supposant que vous désiriez -effacer tout votre disque, et créer une table GPT et des partitions, -les commandes suivantes peuvent être utilisées : - -<informalexample><screen> - mklabel gpt - mkpartfs primary fat 0 50 - mkpartfs primary linux-swap 51 1000 - mkpartfs primary ext2 1001 3000 - set 1 boot on - print - quit -</screen></informalexample> - -Ces commandes créent une nouvelle table de partitions, et trois partitions, -utilisées en tant que partition d'amorçage EFI, partition d'échange, et -système de fichiers racine. Enfin, on positionne le drapeau de boot -sur la partition EFI. -Les partitions sont spécifiées en Mo, avec les décalages de début et -de fin à partir du début du disque. Ainsi, par exemple, nous avons -créé ci-dessus un système de fichier ext2 de 1999 Mo, démarrant à -1001 Mo du début du disque. -Notez que le formatage de l'espace d'échange avec <command>parted</command> -peut prendre plusieurs minutes, car il cherche à détecter les blocs défectueux -de la partition. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="ia64"><title>Partition nécessaire pour le programme d'amorçage</title> - -<para> - -ELILO, le programme d'amorçage pour IA-64, nécessite une partition -contenant un système FAT avec le drapeau <userinput>boot</userinput> -positionné. La partition doit être assez grande pour contenir le programme -d'amorçage et tous les noyaux et les images des disques virtuels que vous -voudrez utiliser pour démarrer. Une taille minimale serait de 20 Mo, -mais si vous souhaitez avoir différents noyaux, 128 Mo est sûrement -plus adapté. - -</para><para> - -le programme d'amorçage EFI et le shell EFI gèrent tous deux les tables -GPT, donc la partition de démarrage ne doit pas nécessairement être la -première partition ni même être sur le même disque. -C'est pratique si vous avez oublié d'allouer une partition et -que vous vous en aperceviez seulement après avoir formaté les autres -partitions de vos disques. L'utilitaire <command>partman</command> vérifie -la partition EFI en même temps qu'il vérifie que l'installation de la partition -racine (<emphasis>root</emphasis>) s'est correctement passée. -Cela vous donne une occasion de corriger la disposition du disque avant que -l'installation des paquets commence. -La manière la plus facile de corriger cette omission est de rétrécir la -dernière partition du disque afin d'obtenir suffisamment d'espace libre et de -pouvoir rajouter une partition EFI. - -</para><para> - -Il est fortement recommandé que votre partition d'amorçage EFI soit sur le -même disque que la racine de votre sytème de fichiers. -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="ia64"><title>Partitions de diagnostic EFI</title> - -<para> - -Le microprogramme EFI est sensiblement plus sophistiqué que le BIOS habituel -qu'on trouve sur les PC x86. -Quelques fournisseurs de système tirent profit des capacités du microprogramme -EFI à accéder aux fichiers et à exécuter des programmes depuis un système de -fichiers pour stocker sur le disque des utilitaires de diagnostics et d'administration -système basés sur EFI. Ils sont sur une partition séparée de type FAT sur le -disque système. -Reportez-vous à la documentation et aux accessoires fournis avec votre système -pour plus de détails. -Le moment le plus approprié pour installer une partition de diagnostic est au -moment de l'installation de la partition de démarrage EFI. - -</para> - - </sect2> diff --git a/fr/partitioning/partition/mips.xml b/fr/partitioning/partition/mips.xml deleted file mode 100644 index f1d3dd749..000000000 --- a/fr/partitioning/partition/mips.xml +++ /dev/null @@ -1,17 +0,0 @@ -<!-- original version: 35613 --> - - <sect2 arch="mips"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> -<para> - -Les machines SGI nécessitent une étiquette de disque (<emphasis>disklabel</emphasis>) -SGI afin de pouvoir démarrer le système depuis le disque dur. Elle peut -être créée à partir du menu expert de <command>fdisk</command>. -L'en-tête du volume ainsi créé (numéro de partition 9) devrait faire au moins -3 Mo. Afin de pouvoir y stocker plusieurs noyaux, une taille de -10 Mo est recommandée. Si l'en-tête de volume est trop petit, vous -pouvez tout simplement effacer la partition numéro 9 et le recréer -avec une taille différente. Notez que l'en-tête de volume doit démarrer -au secteur 0. - -</para> - </sect2>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/partitioning/partition/powerpc.xml b/fr/partitioning/partition/powerpc.xml deleted file mode 100644 index 9d95edbbe..000000000 --- a/fr/partitioning/partition/powerpc.xml +++ /dev/null @@ -1,57 +0,0 @@ -<!-- original version: 64829 --> - - <sect2 arch="powerpc"><title>Partitionnement pour les PowerMacs</title> -<para> - -Si vous faites l'installation sur un PowerMac NewWorld, -vous devez créer une partition de démarrage spéciale pour contenir le -programme d'amorçage. Sa taille doit être au moins égale à 819200 octets et son type, -<emphasis>Apple_Bootstrap</emphasis>. Si la partition n'est pas -créée avec ce type précis, votre machine ne pourra pas démarrer à -partir du disque dur. Vous pouvez utiliser <command>partman</command> et créer -une partition de démarrage <quote>NewWorld</quote> ; vous pouvez aussi -utiliser <command>mac-fdisk</command> avec la commande -<userinput>b</userinput>. - -</para><para> - -Le type spécial de partition Apple_Bootstrap est nécessaire pour -empêcher MacOS de monter et d'endommager la partition de démarrage, car -elle contient des modifications spécialement faites pour permettre à -Open Firmware de la démarrer automatiquement. - -</para><para> - -Notez que cette partition n'est supposée contenir que 3 -petits fichiers : le binaire <command>yaboot</command>, son fichier de -configuration <filename>yaboot.conf</filename>, et un premier niveau du -chargeur OpenFirmware, <command>ofboot.b</command>. -Il est inutile de la monter dans votre système de fichiers (et elle ne doit -pas l'être), ni d'y copier un noyau ou quoi que ce soit d'autre. -Les utilitaires <command>ybin</command> et <command>mkofboot</command> -servent à manipuler cette partition. - -</para><para> - -Afin qu'Open Firmware démarre automatiquement &debian-gnu;, la partition -de démarrage doit apparaître sur le disque avant toute autre partition, -et surtout, avant les partitions de démarrage de MacOS. -Vous devriez créer en premier la partition de démarrage. -Cependant, si vous ajoutez une partition de démarrage, vous -pouvez utilisez la commande <userinput>r</userinput> de -<command>mac-fdisk</command> pour -réordonner les partitions, de sorte que celle de démarrage suive -immédiatement la table (c'est toujours la première partition). -C'est l'ordre logique de la table qui compte, pas l'ordre des adresses -physiques sur le disque. - -</para><para> - -Les disques Apple ont habituellement plusieurs petites partitions pour -les pilotes. Si vous envisagez de pouvoir amorcer aussi MacOSX, vous devez -garder ces partitions et une petite partition HFS (800 Ko au minimum). -En effet, à chaque démarrage, MacOSX propose d'initialiser chaque disque qui -n'a pas de partition MacOS active ou pas de partition pour les pilotes. - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/partitioning/partition/sparc.xml b/fr/partitioning/partition/sparc.xml deleted file mode 100644 index b89e62866..000000000 --- a/fr/partitioning/partition/sparc.xml +++ /dev/null @@ -1,36 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> - - <sect2 arch="sparc"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> -<para> - -Assurez-vous de créer un <quote>Sun disk label</quote> sur votre disque de -démarrage. -C'est le seul type de schéma de partition que comprend l'OpenBoot en PROM, -et donc le seul schéma de partition à partir duquel vous pouvez démarrer. -Dans <command>fdisk</command>, c'est la touche <keycap>s</keycap> qui est -utilisée pour créer les <quote>Sun disk labels</quote>. - -</para><para> - -De plus, avec les disques &arch-title;, assurez-vous que la première -partition de votre disque de démarrage commence au cylindre 0. C'est -obligatoire et cela signifie également que la première partition -contient la table de partitions et le bloc de démarrage (<emphasis>boot -block</emphasis>), qui représentent les 2 premiers secteurs du disque. -Vous <emphasis>ne devez pas</emphasis> placer la partition d'échange -sur la première partition du disque de démarrage, vu que les -partitions d'échange ne respectent pas les premiers secteurs -de la partition. Vous pouvez placer une partition ext2 ou UFS à cet -endroit ; cela laissera la table de partitions et le bloc de -démarrage tranquilles. - -</para><para> - -Il est aussi conseillé que la 3e partition soit de type -« Whole disk » (type 5), -et contienne le disque entier (du premier au dernier cylindre). -C'est une convention des étiquettes des disques Sun et cela aide le -chargeur de démarrage <command>SILO</command> à ne pas perdre la tête. - -</para> - </sect2>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/partitioning/partition/x86.xml b/fr/partitioning/partition/x86.xml deleted file mode 100644 index b21878fa9..000000000 --- a/fr/partitioning/partition/x86.xml +++ /dev/null @@ -1,101 +0,0 @@ -<!-- original version: 66973 --> - - <sect2 arch="x86"><title>Partitionnement pour &arch-title;</title> -<para> - -Si vous voulez préserver un système d'exploitation existant comme -DOS ou Windows, il vous faudra redimensionner sa partition pour faire de la -place pour installer &debian;. L'installateur sait redimensionner les systèmes -de fichiers FAT et NTFS ; quand vous arrivez à l'étape -<quote>Partitionnement</quote> de l'installateur, choisissez -<guimenuitem>Manuel</guimenuitem> et indiquez simplement la nouvelle taille de la partition. -</para> - -<para> - -Les BIOS des PC ont généralement leurs propres contraintes pour le -partitionnement des disques. Il y a une limite sur le nombre de -partitions « primaires » et « logiques » qu'un disque -peut contenir. -De plus, avec les BIOS antérieurs à 1994–98 (selon les constructeurs), -il y a des limites sur l'emplacement des partitions à -partir desquelles on peut démarrer le système. Vous trouverez plus -d'information dans le -<ulink url="&url-partition-howto;">HOWTO sur le partitionnement Linux</ulink>, -mais cette section contient quelques éléments pour vous aider à aplanir les difficultés -les plus courantes. - -</para><para> - -À l'origine, le système de partitionnement des disques de PC est basé -sur les partitions « primaires », mais il ne peut y en avoir que -quatre. -Pour passer outre cette limitation, les partitions « étendues » -et « logiques » ont été inventées. En configurant une partition -primaire -en partition étendue, vous pouvez subdiviser l'espace attribué à cette -partition en partitions « logiques ». La partition étendue peut -contenir jusqu'à 60 partitions logiques ; en revanche, -il ne peut y avoir qu'une seule partition étendue par disque. - -</para><para arch="linux-any"> - -Linux limite le nombre de partitions à 255 par disque SCSI (3 -partitions primaires utilisables et 252 partitions logiques dans la -partition étendue) et à 63 -par disque IDE (3 partitions primaires et 60 partitions logiques). -Cependant, le système &debian-gnu; classique fournit seulement 20 périphériques -pour les partitions, c'est pourquoi vous ne pourrez pas procéder à -l'installation sur des partitions supérieures à 20, à moins d'avoir -créé vous-même des périphériques pour ces partitions. - -</para><para> - -Si vous avez un gros disque IDE, et que vous n'utilisez ni l'adressage -LBA ni les pilotes en couche (quelquefois fournis par les -constructeurs de disques), la partition de démarrage (celle qui -contient l'image noyau) doit être placée dans les 1024 premiers -cylindres de votre disque dur (habituellement, autour de 524 Mo, sans -la translation du BIOS). - -</para><para> - -Cette restriction ne s'applique pas si vous avez un BIOS postérieur à -1995–98 (selon les constructeurs) qui prend en charge la norme -<quote>Enhanced Disk Drive Support Specification</quote>. -Lilo, le chargeur Linux et la commande &debian; <command>mbr</command> ont -besoin du BIOS pour charger en RAM le noyau lu sur le disque. -Si les extensions du BIOS int 0x13 pour l'accès aux gros disques sont -présentes, elles seront utilisées. Sinon, l'interface standard d'accès -au disque sera utilisée par défaut, et elle ne permettra pas de -démarrer sur des emplacements situés après le 1023e cylindre du -disque. Une fois que &arch-kernel; est démarré, peu importe le BIOS de votre -ordinateur, ces restrictions ne s'appliquent plus, puisque &arch-kernel; -n'utilise pas le BIOS pour les accès disque. - -</para><para> - -Si vous avez un gros disque, vous devrez peut-être utiliser des -techniques de translation de cylindres que vous pouvez configurer -dans le BIOS, comme le mode d'adressage LBA (Linear Block Addressing), -ou le mode de translation CHS. -Vous trouverez plus d'informations sur la gestion des gros disques dans le -<ulink url="&url-large-disk-howto;">HOWTO Large Disk</ulink>. -Si vous utilisez une méthode de translation de cylindres, et que le -BIOS n'accepte pas les extensions pour l'accès aux gros disques, votre -partition de démarrage devra être contenue dans la partie correspondant -aux 1024 premiers cylindres <emphasis>translatés</emphasis>. - -</para><para> - -La meilleure façon de régler ce problème est de créer une petite -partition (25 à 50 Mo doivent suffire) en début de disque, qui sera la -partition de démarrage, puis de créer toutes les autres partitions que -vous voulez dans l'espace restant. Cette partition de démarrage -<emphasis>devra</emphasis> être montée sur <filename>/boot</filename>, -le répertoire où seront stockés les noyaux &arch-kernel;. Cette configuration marchera sur tous -les systèmes, quel que soit votre mode d'adressage (LBA) ou de -translation (CHS), et quel que soit votre BIOS, avec ou sans extensions. - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/partitioning/partitioning.xml b/fr/partitioning/partitioning.xml deleted file mode 100644 index b16c756c4..000000000 --- a/fr/partitioning/partitioning.xml +++ /dev/null @@ -1,11 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<appendix id="partitioning"> -<title>Partitionnement pour &debian;</title> - -&sizing.xml; -&tree.xml; -&schemes.xml; -&device-names.xml; -&partition-programs.xml; -</appendix> diff --git a/fr/partitioning/schemes.xml b/fr/partitioning/schemes.xml deleted file mode 100644 index 0ee7cd715..000000000 --- a/fr/partitioning/schemes.xml +++ /dev/null @@ -1,84 +0,0 @@ -<!-- original version: 65994 --> - - <sect1> - <title>Schéma de partitionnement recommandé</title> -<para> - -Pour les nouveaux utilisateurs, les machines &debian; personnelles ou -familiales, et autres systèmes mono-utilisateur, une simple partition -<filename>/</filename> (plus celle d'échange) est sans doute la solution la -plus simple. Cependant, si votre partition a une taille supérieure à -6 Go, choisissez le type ext3 pour votre système de fichier. Les -partitions de type ext2 ont besoin d'une vérification périodique de -l'intégrité du système de fichier, et cela peut prendre au démarrage un temps -non négligeable lorsque la taille de la partition est importante. - -</para><para> - -Pour les systèmes avec plusieurs utilisateurs, ou les systèmes avec beaucoup d'espace -disque, il vaut mieux placer les répertoires <filename>/usr</filename>, -<filename>/var</filename>, <filename>/tmp</filename>, et -<filename>/home</filename> chacun sur une -partition distincte de la partition <filename>/</filename>. - -</para><para> - -Dans certains cas, vous pourriez avoir besoin d'une partition -<filename>/usr/local</filename> distincte si vous prévoyez d'installer -beaucoup de programmes qui ne font pas partie de la distribution &debian;. -Si votre machine est destinée à être un serveur de courrier, vous -pourriez avoir besoin de mettre aussi <filename>/var/mail</filename> -sur une partition distincte. Parfois, mettre le répertoire -<filename>/tmp</filename> sur sa propre partition, par exemple 20 à -50 Mo peut être une bonne idée. Si vous mettez sur pied un serveur -avec beaucoup d'utilisateurs, il est généralement intéressant -d'avoir une grande partition distincte pour <filename>/home</filename>. -La méthode de partitionnement varie d'un ordinateur à l'autre, -en fonction de son usage. - -</para><para> - -Pour des systèmes très complexes, consultez le -<ulink url="&url-multidisk-howto;">HOWTO Multi Disk</ulink>. Il contient des -informations très précises qui intéresseront les fournisseurs d'accès à -internet et les personnes installant des serveurs. - -</para><para> - -En ce qui concerne la taille de la partition d'échange (swap), -les avis sont partagés. Une règle traditionnelle, qui fonctionne bien, -est d'utiliser autant d'espace d'échange que de RAM. Dans la plupart -des cas, cette taille ne devrait pas être inférieure à 16 Mo. -Bien sûr, il y a des exceptions à cette règle. Si vous essayez de résoudre -simultanément 10 000 équations sur une machine avec 256 Mo de RAM, -vous pourriez avoir besoin d'un gigaoctet (ou plus) d'échange. - -</para><para> - -Sur certaines architectures 32 bits (m68k et PowerPC), -la taille maximale d'une partition d'échange est de 2 Go. Cela -devrait suffire pour presque tous les systèmes. De toute façon, si vos -besoins en espace d'échange sont aussi importants, vous devriez probablement -essayer de disperser les partitions d'échange sur des disques différents -(appelés aussi « spindles ») et, si possible, sur des canaux IDE -ou SCSI différents. Le noyau équilibrera l'utilisation de l'espace d'échange -entre les différentes partitions, afin d'obtenir de meilleures performances. - -</para><para> - -Avec une machine possédant 32 Mo de RAM et un disque IDE -de 1.7 Go sur <filename>/dev/hda</filename>, on pourrait créer une -partition de 500 Mo pour un système sur <filename>/dev/hda1</filename>, -une partition d'échange de 32 Mo sur <filename>/dev/hda3</filename> et -une partition Linux d'environ 1,2 Go sur <filename>/dev/hda2</filename>. - -</para><para> - - -Pour avoir une idée de la place nécessaire pour les tâches que vous voudriez -rajouter à la fin de l'installation, consultez : -<xref linkend="tasksel-size-list"/>. - -</para> - - </sect1> diff --git a/fr/partitioning/sizing.xml b/fr/partitioning/sizing.xml deleted file mode 100644 index 1efaf57e1..000000000 --- a/fr/partitioning/sizing.xml +++ /dev/null @@ -1,57 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="partition-sizing"> - <title>Décider des partitions et de leurs tailles</title> -<para> - -Au strict minimum, GNU/&arch-kernel; a besoin d'une partition pour lui-même. -Vous pouvez avoir une seule partition contenant le système entier, les -applications et vos fichiers personnels. La plupart des gens pensent -qu'une partition d'échange (swap) est nécessaire, bien que ce ne soit -pas tout à fait vrai. -Le « Swap » est l'espace de travail du système d'exploitation ; -il lui permet d'utiliser de l'espace disque comme « mémoire -virtuelle ». En le plaçant sur une partition séparée, &arch-kernel; peut en -faire un usage bien plus efficace. Il est possible de forcer &arch-kernel; à -utiliser un fichier normal comme espace d'échange, mais ce n'est pas -recommandé. - -</para><para> - -La plupart des gens choisissent d'utiliser plus de partitions que le -minimum requis pour GNU/&arch-kernel;. -Il y a deux raisons pour que vous ayez envie de diviser le système -de fichiers en de nombreuses petites partitions. La première -concerne la sécurité. Si le système de fichiers est corrompu, -en général une seule partition est affectée. Donc, vous n'avez à remplacer -(à partir des sauvegardes que vous avez soigneusement conservées) qu'une -partie de votre système. Au minimum, vous devriez envisager la création -de ce qui est communément appelée la « partition racine ». -Elle contient les composants les plus essentiels du système. Si une autre -partition est corrompue, vous pourrez toujours amorcer &arch-kernel; pour réparer le -système. Cela peut vous épargner le désagrément d'avoir à réinstaller le -système entier. - -</para><para> - -La seconde raison est généralement plus importante pour une -entreprise, mais cela dépend vraiment de l'utilisation de votre machine. -Par exemple, recevoir des envois en nombre de messages électroniques -peut facilement remplir une partition. Si vous avez placé -<filename>/var/mail</filename> sur sa propre -partition, la majeure partie du système marchera même si vous êtes -submergé de courrier non sollicité (<emphasis>spam</emphasis>). - -</para><para> - -Le seul inconvénient qu'il y a à utiliser plusieurs partitions est qu'il -est souvent difficile de connaître ses besoins à l'avance. Si vous -faites une partition trop petite, vous aurez soit à réinstaller -le système soit à déplacer constamment des fichiers pour faire -de la place sur la partition trop petite. D'un autre côté, si -vous faites une partition trop grande, vous aurez perdu de l'espace. -L'espace disque est bon marché de nos -jours, mais pourquoi jeter votre argent par les fenêtres ? - -</para> - </sect1> diff --git a/fr/partitioning/tree.xml b/fr/partitioning/tree.xml deleted file mode 100644 index 581baa822..000000000 --- a/fr/partitioning/tree.xml +++ /dev/null @@ -1,155 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="directory-tree"> - <title>L'arborescence des fichiers</title> -<para> - -&debian-gnu; adhère à la -<ulink url="&url-fhs-home;">norme sur l'organisation des systèmes de fichiers</ulink> -pour le nommage des fichiers et des répertoires. Cette norme permet aux utilisateurs et -aux auteurs de logiciel de prévoir l'emplacement des fichiers et des répertoires. Le répertoire -racine est simplement représenté par la barre oblique <filename>/</filename>. -Au niveau de la racine, tous les systèmes &debian; incluent ces répertoires : - -<informaltable> -<tgroup cols="2"> -<thead> -<row> - <entry>Répertoire</entry><entry>Contenu</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry><filename>bin</filename></entry> - <entry>Binaires (exécutables) des commandes essentielles</entry> -</row><row> - <entry><filename>boot</filename></entry> - <entry>Fichiers statiques pour le programme d'amorçage</entry> -</row><row> - <entry><filename>dev</filename></entry> - <entry>Fichiers des pilotes de périphériques</entry> -</row><row> - <entry><filename>etc</filename></entry> - <entry>Configuration système propre à la machine</entry> -</row><row> - <entry><filename>home</filename></entry> - <entry>Répertoires personnels des utilisateurs</entry> -</row><row> - <entry><filename>lib</filename></entry> - <entry>Bibliothèques partagées et modules noyaux essentiels</entry> -</row><row> - <entry><filename>media</filename></entry> - <entry>Points de montage pour les supports amovibles</entry> -</row><row> - <entry><filename>mnt</filename></entry> - <entry>Point de montage pour les montages temporaires</entry> -</row><row> - <entry><filename>proc</filename></entry> - <entry>Répertoire virtuel pour les informations système (noyaux 2.4 et 2.6)</entry> -</row><row> - <entry><filename>root</filename></entry> - <entry>Répertoire personnel de l'utilisateur root</entry> -</row><row> - <entry><filename>sbin</filename></entry> - <entry>Exécutables système essentiels</entry> -</row><row> - <entry><filename>sys</filename></entry> - <entry>Répertoire virtuel pour les informations système (noyaux 2.6)</entry> -</row><row> - <entry><filename>tmp</filename></entry> - <entry>Fichiers temporaires</entry> -</row><row> - <entry><filename>usr</filename></entry> - <entry>Hiérarchie secondaire</entry> -</row><row> - <entry><filename>var</filename></entry> - <entry>Données variables</entry> -</row><row> - <entry><filename>srv</filename></entry> - <entry>Données pour les services fournis par le système</entry> -</row><row> - <entry><filename>opt</filename></entry> - <entry>Répertoire pour d'autres logiciels</entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> -</para> - -<para> - -La liste suivante décrit quelques caractéristiques importantes -des répertoires et des partitions. L'utilisation de l'espace disque -varie grandement avec la configuration du système et les modes -d'utilisation. Les principes généraux énoncés ici constituent une -introduction au partitionnement des disques. - -</para> -<itemizedlist> -<listitem><para> - -La partition racine <filename>/</filename> doit toujours contenir les -répertoires : -<filename>/etc</filename>, <filename>/bin</filename>, -<filename>/sbin</filename>, <filename>/lib</filename> et -<filename>/dev</filename>, sinon votre système ne pourra pas démarrer. -En général, 150 à 250 Mo sont nécessaires ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/usr</filename> : tous les programmes des utilisateurs -(<filename>/usr/bin</filename>), les bibliothèques -(<filename>/usr/lib</filename>), -la documentation (<filename>/usr/share/doc</filename>), etc. sont dans ce -répertoire. -Cette partie du système de fichiers a besoin du plus d'espace possible. -Vous devriez disposer d'au moins 500 Mo d'espace disque. -Si vous voulez installer plus de paquets, vous devriez augmenter -l'espace disque attribué à ce répertoire. Pour installer un poste de travail -ou un serveur <quote>généreux</quote>, 4 à 6 Go sont nécessaires ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/var</filename> : toutes les données variables comme les -articles des forums usenet, les messages électroniques, les sites web, -le cache du système des paquets, etc. seront placées dans ce répertoire. La place -nécessaire dépend énormément de l'usage que vous faites de votre -ordinateur, mais pour la plupart des administrateurs, elle sera dictée -par la charge due aux outils de gestion des paquets. -Si vous envisagez de faire une installation complète de tout ce que -&debian; peut vous offrir en une seule fois, réserver 2 à 3 Go d'espace -pour <filename>/var</filename> devrait suffire. Si vous préférez installer -le tout en plusieurs étapes (p. ex. d'abord les services et -utilitaires, puis les outils texte, puis X11...), vous pouvez vous -contenter de 300 à 500 Mo. -Si l'espace disque est une contrainte majeure et que vous ne voulez -pas faire de mises à jour majeures, vous -pouvez vous en tirer avec 30 à 40 Mo ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/tmp</filename> : si un programme crée des données temporaires, -elles seront probablement placées dans <filename>/tmp</filename>. -40 à 100 Mo devraient suffire. Certaines applications, gestionnaires -d'archives, outils pour créer des CD/DVD, logiciels multimedia, peuvent se -servir de <filename>/tmp</filename> pour stocker provisoirement des -images. Si vous comptez utiliser ces programmes, vous devrez recalculer -l'espace nécessaire dans <filename>/tmp</filename>. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/home</filename> : chaque utilisateur mettra ses données dans -un sous-répertoire de ce répertoire. La place nécessaire dépend du -nombre d'utilisateurs sur le système, et du genre de fichiers qu'ils -devront stocker. Selon l'utilisation du système, vous devriez réserver -environ 100 Mo par utilisateur. Réservez -beaucoup plus d'espace si des fichiers multimedia (images, MP3, films) seront -conservés dans le répertoire. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - - </sect1> diff --git a/fr/post-install/further-reading.xml b/fr/post-install/further-reading.xml deleted file mode 100644 index bf21ec49e..000000000 --- a/fr/post-install/further-reading.xml +++ /dev/null @@ -1,47 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="further-reading"><title>Pour aller plus loin</title> -<para> - -Si vous avez besoin d'informations à propos d'un programme particulier, -vous devriez d'abord essayer -<userinput>man <replaceable>programme</replaceable></userinput>, ou -<userinput>info <replaceable>programme</replaceable></userinput>. - -</para><para> - -Vous pourrez également trouver beaucoup de documents utiles dans -<filename>/usr/share/doc</filename>. En particulier, -<filename>/usr/share/doc/HOWTO</filename> -et <filename>/usr/share/doc/FAQ</filename> contiennent beaucoup d'informations -intéressantes. Pour signaler des bogues, regardez les fichiers -<filename>/usr/share/doc/debian/bug*</filename>. Pour connaître des -informations spécifiques à &debian; pour un programme particulier, lisez -<filename>/usr/share/doc/(nom du paquet)/README.Debian</filename>. - -</para><para> - -Le <ulink url="http://www.debian.org/">site web Debian</ulink> -contient beaucoup de documentation sur &debian;. Vous pouvez consulter en -particulier la <ulink url="http://www.debian.org/doc/FAQ/">FAQ Debian</ulink> et la -<ulink url="http://www.debian.org/doc/user-manuals#quick-reference">Référence -Debian</ulink>. -Le <ulink url="http://www.debian.org/doc/ddp">Projet de documentation sur Debian</ulink> -répertorie d'autres documents sur Debian. -Les membres de la communauté &debian; s'entraident ; pour vous abonner à -une ou plusieurs listes de diffusion &debian;, voyez la page d' -<ulink url="http://www.debian.org/MailingLists/subscribe">abonnement aux listes de diffusion</ulink>. -Enfin les <ulink url="http://lists.debian.org/">archives des listes de diffusion</ulink> -sont une mine d'informations sur &debian;. - -</para><para arch="linux-any"> - -Le -<ulink url="http://www.tldp.org/">Projet de documentation sur Linux</ulink> -est une source d'informations générales sur GNU/Linux. -Vous y trouverez des guides et des liens vers d'autres informations sur le -système GNU/Linux. - -</para> - - </sect1> diff --git a/fr/post-install/kernel-baking.xml b/fr/post-install/kernel-baking.xml deleted file mode 100644 index 04f65f40a..000000000 --- a/fr/post-install/kernel-baking.xml +++ /dev/null @@ -1,183 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 arch="linux-any" id="kernel-baking"><title>Compiler un nouveau noyau</title> -<para> - -Pourquoi vouloir compiler un nouveau noyau ? -Ce n'est en général pas nécessaire, car le noyau par défaut de -&debian; reconnaît la plupart des configurations. En outre différents noyaux sont -disponibles. Vous devriez chercher s'il n'existe pas de paquet contenant un noyau -qui corresponde à votre matériel. Cependant, il peut être -utile de compiler un nouveau noyau dans les cas suivants : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -gérer des périphériques spéciaux, ou des conflits de périphériques dans -les noyaux par défaut ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -activer des options qui ne sont pas incluses dans le noyau par défaut, -permettre la gestion de la mémoire haute par exemple ; - -</para></listitem> - -<listitem><para> - -optimiser le noyau en enlevant les pilotes inutiles, ce qui peut -accélérer le démarrage de la machine ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -créer un noyau monolithique à la place d'un noyau modulaire ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -utiliser une version de développement du noyau ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -mieux connaître le noyau Linux. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> - - <sect2><title>Gestion des images du noyau</title> -<para> - -N'ayez pas peur de compiler un nouveau noyau. C'est amusant et très instructif. - -</para><para> - -Pour compiler un noyau <emphasis>façon &debian;</emphasis>, vous avez besoin des -paquets suivants : -<classname>fakeroot</classname>, <classname>kernel-package</classname>, -<classname>linux-source-2.6</classname> -et quelques autres qui sont probablement déjà installés sur votre machine -(pour la liste complète, voyez -<filename>/usr/share/doc/kernel-package/README.gz</filename>). - -</para><para> - -Cette méthode crée un .deb à partir des sources du noyau ; si -vous utilisez des modules non standard, elle incorpore aussi ces dépendances -dans le .deb. C'est une bonne solution pour gérer les images du noyau ; -le répertoire <filename>/boot</filename> contiendra le noyau, le fichier -<filename>System.map</filename> -et une sauvegarde du fichier de configuration utilisé pour ce paquet. - -</para><para> - -Il faut remarquer qu'il n'est pas <emphasis>obligatoire</emphasis> de -compiler votre noyau <emphasis>façon &debian;</emphasis> mais vous vous rendrez compte -qu'utiliser le système de gestion des paquets pour -gérer les noyaux rend leur installation plus simple et plus sûre. -De même, vous pouvez simplement télécharger les sources telles qu'elles sont -proposées par Linus et non pas -<classname>linux-source-2.6</classname>, -tout en utilisant la méthode de compilation <classname>kernel-package</classname>. - -</para><para> - -Notez que vous trouverez une documentation complète sur l'utilisation de -<classname>kernel-package</classname> dans le répertoire -<filename>/usr/share/doc/kernel-package</filename>. Cette section ne -contient qu'un bref didacticiel. - -</para> -<para> - -Dans ce qui suit, nous supposerons que vous pouvez tout faire sur votre -machine et que vous allez extraire les sources du noyau dans votre répertoire -personnel <footnote> -<para> D'autres endroits sont possibles pour extraire les sources et construire -le noyau, mais c'est le plus facile car aucun droit spécial n'est demandé. -</para></footnote>. -Nous supposerons aussi que la version du noyau est &kernelversion;. Allez -dans le répertoire où vous voulez désarchiver -les sources et désarchivez-les avec -<userinput>tar xjf /usr/src/linux-source-&kernelversion;.tar.bz2</userinput>, -et déplacez-vous dans le répertoire -<filename>linux-source-&kernelversion;</filename> qui vient d'être créé. - -</para><para> - -Maintenant, vous pouvez configurer votre noyau. Exécutez -<userinput>make xconfig</userinput> si X11 est installé, configuré et lancé. -Exécutez <userinput>make menuconfig</userinput> dans le cas contraire -(vous aurez alors besoin du paquet <classname>libncurses5-dev</classname>). -Prenez le temps -de lire l'aide en ligne et de choisir judicieusement les options à activer. -En cas de doute, il est souvent préférable d'inclure les pilotes de -périphériques (tels que les contrôleurs SCSI, cartes Ethernet, etc.) que vous -ne connaissez pas bien. -Faites attention : les autres options, non spécifiques au matériel, -doivent être laissées à leur valeur par défaut si vous ne les comprenez pas. -N'oubliez pas de sélectionner « Kernel module loader » dans la -section « Loadable module support » -(elle n'est pas sélectionnée par défaut), sinon votre système &debian; risque -d'avoir des problèmes. - -</para><para> - -Nettoyez l'arborescence des sources et réinitialisez les paramètres -de <classname>kernel-package</classname>. Pour ce faire, tapez -<userinput>make-kpkg clean</userinput>. - -</para><para> - -Maintenant, compilez votre noyau : -<userinput>fakeroot make-kpkg --initrd --revision=custom.1.0 kernel_image</userinput>. -Bien sûr, le numéro de version « 1.0 » peut être changé ; -il s'agit juste d'un moyen de suivre vos différentes -versions du noyau. De la même façon, vous pouvez remplacer le mot -<quote>custom</quote> par ce que vous voulez (par exemple le nom d'une -machine). La compilation d'un noyau peut être plus ou moins longue, selon la puissance -de votre machine. - -</para><para> - -Une fois la compilation terminée, vous pouvez installer votre noyau -personnalisé comme n'importe quel autre paquet. En tant que superutilisateur, -exécutez la commande -<userinput>dpkg -i -../&kernelpackage;-&kernelversion;-<replaceable>sous-architecture</replaceable>_custom.1.0_&architecture;.deb</userinput>. -La partie <replaceable>sous-architecture</replaceable> est une -sous-architecture optionnelle, -<phrase arch="x86"> telle que <quote>686</quote>, </phrase> -suivant les options de compilation que vous avez définies. -<userinput>dpkg -i</userinput> installera votre noyau ainsi -que les autres fichiers qui lui seront nécessaires. -Par exemple, le fichier <filename>System.map</filename> sera installé -correctement (très utile pour le débogage des problèmes de noyau) et un -fichier <filename>/boot/config-&kernelversion;</filename> sera installé, qui -contiendra votre configuration noyau. -Le nouveau paquet est assez évolué pour utiliser automatiquement le programme d'amorçage de -votre plateforme et mettre à jour l'information sur l'image de noyau utilisée. -Si vous avez créé un paquet pour les modules, vous devrez installer ce paquet également. - -</para><para> - -Vous devez maintenant redémarrer votre système : lisez attentivement les -éventuels avertissements produits par les étapes précédentes, puis exécutez -<userinput>shutdown -r now</userinput>. - -</para><para> - -D'autres informations sur la compilation des noyaux &debian; -se trouvent dans le -<ulink url="&url-kernel-handbook;"><quote>Debian Linux Kernel Handbook</quote></ulink>. - -Pour plus d'informations sur <classname>kernel-package</classname>, lisez -la documentation dans <filename>/usr/share/doc/kernel-package</filename>. - -</para> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/post-install/mail-setup.xml b/fr/post-install/mail-setup.xml deleted file mode 100644 index 2869ad0fb..000000000 --- a/fr/post-install/mail-setup.xml +++ /dev/null @@ -1,258 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="mail-setup"> - <title>Configurer le courrier électronique</title> -<para> - -Le courrier électronique tient aujourd'hui une grande place dans la vie des -gens. Comme il est important que le système de courrier, avec ses nombreuses options, -soit bien configuré, nous aborderons dans cette section ses principaux éléments. - -</para><para> - -Un système de courrier est composé de trois éléments. Il y a d'abord -l'<firstterm>agent utilisateur</firstterm>, <emphasis>Mail User Agent, (MUA)</emphasis> -qui est le programme avec lequel l'utilisateur lit et écrit son courrier. -Ensuite il y a l'<firstterm>agent de transport</firstterm>, -<emphasis>Mail Transfer Agent, (MTA)</emphasis>, programme qui transporte les courriers -d'un ordinateur à l'autre. Enfin il y a l'<firstterm>agent de distribution</firstterm>, -<emphasis>Mail Delivery Agent (MDA)</emphasis>, -programme qui distribue le courrier dans les boîtes des utilisateurs. - -</para><para> - -Ces trois fonctions peuvent être effectuées par des programmes distincts, -ou bien seulement par un ou deux programmes. Il est possible aussi que -différents programmes accomplissent ces tâches pour différents types de courrier. - -</para><para> - -Sur Linux et les systèmes Unix, <command>mutt</command> est un lecteur très apprécié. -Comme les programmes traditionnels de Linux, il est en mode texte. Il est souvent -associé à <command>exim</command> ou <command>sendmail</command> comme MTA et à -<command>procmail</command> comme MDA. - -</para><para> - -Avec la popularité croissante des environnements de bureau graphique, -des programmes comme <command>evolution</command> de GNOME, -<command>kmail</command> de KDE ou <command>thunderbird</command> de Mozilla -(disponible dans &debian; sous l'appellation <command>icedove</command><footnote> - -<para> -<command>thunderbird</command> a été modifié en <command>icedove</command> pour -des raisons légales. -</para> - -</footnote>) deviennent aussi populaires. Ils combinent les trois fonctions, -MUA, MTA et MDA, mais ils peuvent — et le sont souvent — être utilisés -avec les programmes traditionnels de &debian-gnu;. - -</para> - - <sect2 id="mail-default"> - <title>Configuration par défaut</title> -<para> - -Même si vous comptez utiliser un programme graphique, il est important d'installer -et de configurer un ensemble traditionnel MTA/MDA. En effet, certains utilitaires du système -<footnote> - -<para> -Par exemple, <command>cron</command>, <command>quota</command>, -<command>logcheck</command>, <command>aide</command>, … -</para> - -</footnote> peuvent envoyer des messages importants sous forme de courriels à -l'administrateur du système. - -</para><para> - -Pour cette raison, les paquets <classname>exim4</classname> et -<classname>mutt</classname> sont installés d'office (à moins que vous -n'ayez désélectionné la tâche <quote>standard</quote> pendant l'installation). -L'agent de transport du courrier <command>exim4</command>, combinant les fonctions MTA MDA, -est un programme relativement petit mais très pratique. Par défaut, il est configuré -pour n'envoyer des courriels que sur le système local. Les courriels adressés à -l'administrateur (le compte root) sont envoyés à l'utilisateur créé pendant -l'installation <footnote> -<para> - -Le renvoi de courriel pour root vers le compte utilisateur est configuré dans -le fichier <filename>/etc/aliases</filename>.. S'il n'existe pas de compte utilisateur, -le courriel sera bien sûr envoyé au compte root. - -</para> - -</footnote>. - -</para><para> - -Quand des courriels système sont envoyés, ils sont ajoutés dans le fichier -<filename>/var/mail/<replaceable>nom_utilisateur</replaceable></filename>. -Les courriels peuvent être lus avec <command>mutt</command>. - -</para> - </sect2> - - <sect2 id="mail-outgoing"> - <title>Envoyer des courriels vers l'extérieur</title> -<para> - -Comme il a été dit précédemment, le système &debian; installé ne gère l'envoi de courriel qu'en -local et ne permet pas d'envoyer des messages vers l'extérieur ni d'en recevoir -de l'extérieur. - -</para><para> - -Si vous désirez que <classname>exim4</classname> gère l'envoi de messages -vers l'extérieur, lisez la section qui suit, elle vous présentera les -options de configuration disponibles. N'oubliez pas de tester si -l'envoi et la réception de courrier sont corrects. - -</para><para> - -Si vous avez l'intention d'utiliser un programme graphique avec le serveur -de courrier de votre fournisseur d'accès à internet ou de votre entreprise, -vous n'avez pas vraiment besoin de configurer <classname>exim4</classname>. -Indiquez juste à votre programme de courrier les bons serveurs à utiliser pour -envoyer et recevoir les messages. - -</para><para> - -Dans ce cas, vous aurez aussi à configurer certains programmes pour envoyer -correctement des courriels. Par exemple, <command>reportbug</command>, un programme -qui permet d'envoyer des rapports de bogues pour les paquets &debian;, -s'attend à trouver <classname>exim4</classname>. - -</para><para> - -Pour indiquer à <command>reportbug</command> d'utiliser un serveur de courrier -externe, lancez la commande <command>reportbug --configure</command> -et répondez <quote>no</quote> à la question de savoir si un MTA est disponible. -On vous demandera le serveur à utiliser pour envoyer les rapports de bogues. - -</para> - </sect2> - - <sect2 id="config-mta"> - <title>Configuration de Exim4</title> -<para> - -Si vous désirez que votre système gère le courrier vers l'extérieur, vous devez -reconfigurer la paquet <classname>exim4</classname> <footnote> - -<para> -Vous pouvez bien sûr supprimer <classname>exim4</classname> et le remplacer par -un autre MTA/MDA. -</para> - -</footnote>: - -<informalexample><screen> -# dpkg-reconfigure exim4-config -</screen></informalexample> - -</para><para> - -Après avoir saisi cette commande (en tant que superutilisateur), -il vous sera demandé si vous voulez diviser la configuration en petits fichiers. -En cas de doute, choisissez l'option par défaut. - -</para><para> - -Plusieurs scénarios communs vous sont proposés. Choisissez celui qui vous paraît -le plus conforme à vos besoins. - -</para> - -<variablelist> -<varlistentry> -<term>site internet</term> -<listitem><para> - -Votre système est connecté à un réseau et le courrier est expédié et reçu -directement avec SMTP. Dans les écrans suivants, on vous posera quelques -questions élémentaires comme le nom de votre machine pour le courrier, les -domaines dont vous acceptez ou relayez les courriels. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>courrier envoyé par une machine relais (<emphasis>smarthost</emphasis>)</term> -<listitem><para> - -Dans ce scénario, le courrier sortant est envoyé à une autre machine, appelé -le <emphasis>smarthost</emphasis> qui expédie le courrier à sa destination. -Cette machine relais garde les -courriels qui vous sont adressés et vous permet de ne pas être constamment -connecté. Vous devez donc récupérer vos courriels sur cette machine avec des -programmes comme fetchmail. - -</para><para> - -Le plus souvent, le « smarthost » est le serveur de votre fournisseur d'accès à -internet. C'est l'option adaptée à un système connecté par -le réseau téléphonique. Le serveur peut être aussi celui d'une entreprise, ou bien -même un autre système sur votre réseau. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>courrier envoyé par une machine relais ; pas de courrier local</term> -<listitem><para> - - -Cette option est presque la même que la précédente -sauf que le système ne gère pas le courrier local. Les messages du système, -par exemple pour l'administrateur, sont toujours gérés. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>distribution locale seulement</term> -<listitem><para> - -C'est l'option par défaut. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>pas de configuration pour le moment</term> -<listitem><para> -Choisissez cette option si vous êtes absolument certain de savoir ce que vous -faites. Le système de courrier ne sera pas configuré. Tant qu'il ne le sera -pas, vous ne pourrez ni envoyer ni recevoir des courriels. Les messages -importants venant des utilitaires du système ne vous parviendront pas. - -</para></listitem> -</varlistentry> -</variablelist> - -<para> - -Si aucun de ces scénarios ne s'accorde à vos besoins, ou si vous voulez un -réglage très fin, vous devrez modifier les fichiers de configuration qui se -trouvent dans le répertoire <filename>/etc/exim4</filename>. D'autres -informations sur le programme <command>exim4</command> se trouvent dans -<filename>/usr/share/doc/exim4</filename>. Le fichier <filename>README.Debian.gz</filename> -contient d'autres informations sur la configuration de <classname>exim4</classname>. Il -signale aussi d'autres sources d'informations. - -</para><para> - -Il faut noter qu'envoyer des messages directement sur internet quand on ne -possède pas de nom de domaine officiel peut provoquer le rejet des messages, -à cause des mesures antispam prises par les serveurs de courriers. -Il est préférable d'utiliser le serveur de son fournisseur d'accès à internet. -Si vous le voulez malgré tout, vous pouvez utiliser une autre adresse que celle -créée par défaut. Avec <classname>exim4</classname>, c'est possible en ajoutant -une entrée dans <filename>/etc/email-addresses</filename>. - -</para> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/post-install/new-to-unix.xml b/fr/post-install/new-to-unix.xml deleted file mode 100644 index c495f103c..000000000 --- a/fr/post-install/new-to-unix.xml +++ /dev/null @@ -1,42 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="unix-intro"> - <title>Si vous débutez sous Unix</title> -<para> - -Si vous ne connaissez pas Unix, vous devrez sans doute acheter et -lire quelques livres sur le sujet. -Vous trouverez de bonnes informations dans la -<ulink url="&url-debian-reference;">Réference Debian</ulink>. -La <ulink url="&url-unix-faq;">liste des FAQ Unix</ulink> référence beaucoup -de documents UseNet à valeur historique. - -La -<ulink url="ftp://rtfm.mit.edu/pub/usenet/news.answers/unix-faq/faq/"> -Foire Aux Questions UNIX</ulink> -contient un certain nombre de références à des livres et à des groupes de -discussion Usenet qui pourront vous aider. Vous pouvez également regarder -la -<ulink url="http://www.camelcity.com/~noel/usenet/cuuf-FAQ.htm"> -User-Friendly Unix FAQ</ulink>. - -</para><para arch="linux-any"> - -Linux est une implémentation d'Unix. Le -<ulink url="&url-ldp;">projet de documentation Linux (LDP)</ulink> -rassemble un certain nombre de <emphasis>HOWTO</emphasis> et de livres en ligne -relatifs à Linux. La plupart de ces documents peuvent être installés sur -votre machine ; il suffit d'installer le paquet -<classname>doc-linux-fr</classname>, -et de consulter les documentations disponibles dans le répertoire -<filename>/usr/share/doc/LANG/fr/HOWTO</filename>. La version originale en -anglais des HOWTO du LDP est également disponible dans les paquets -<classname>doc-linux-html</classname> (documentation au format HTML) et -<classname>doc-linux-text</classname> (documentation au format ASCII), et -s'installe dans <filename>/usr/share/doc/HOWTO</filename>. D'autres versions -traduites des HOWTO du LDP sont également disponibles sous forme de paquets -&debian;. - -</para> - - </sect1> diff --git a/fr/post-install/orientation.xml b/fr/post-install/orientation.xml deleted file mode 100644 index 477316550..000000000 --- a/fr/post-install/orientation.xml +++ /dev/null @@ -1,125 +0,0 @@ -<!-- original version: 67216 --> - - <sect1 id="debian-orientation"><title>S'orienter dans &debian;</title> -<para> - -&debian; est une distribution différente des autres distributions. Même si vous -êtes habitué à travailler avec d'autres distributions Linux, il est nécessaire de -connaître certains détails propres à &debian; pour garder -votre système en bon état. Le contenu de ce chapitre vous aidera à -vous orienter ; ce n'est pas un didacticiel sur l'utilisation de &debian;, -mais un rapide coup d'oeil sur le système, pour les gens pressés. - -</para> - - <sect2><title>Le système des paquets</title> -<para> - -Le concept le plus important à assimiler est le système de gestion des -paquets. La plus grande partie de votre système est sous le contrôle du -système de gestion des paquets. Cela inclut : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<filename>/usr</filename> (en excluant <filename>/usr/local</filename>) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/var</filename> (vous pourriez créer -<filename>/var/local</filename> en toute sécurité) - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/bin</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/sbin</filename> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -<filename>/lib</filename> - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -Par exemple, si vous remplacez <filename>/usr/bin/perl</filename>, cela -fonctionnera, mais lors de la prochaine mise à jour du paquet -<classname>perl</classname>, le fichier -que vous avez modifié sera remplacé. Les experts évitent cela en -marquant le paquet comme <quote>à conserver (hold)</quote> avec -l'application <command>aptitude</command>. - -</para><para> - -L'une des meilleures méthodes d'installation est la méthode apt. Vous pouvez -utiliser la version ligne de commande <command>apt-get</command>, ou bien la -version plein écran <application>aptitude</application>. Notez qu'apt permet -de fusionner plusieurs sources pour les paquets : main, -contrib et non-free ; ainsi vous avez accès aussi bien aux paquets soumis -à des restrictions d'export qu'aux versions standard. - -</para> - </sect2> - - <sect2><title>Autres logicels disponibles</title> -<para> - -Certains dépôts de paquets, officiels ou non officiels, ne sont pas -activés par défaut dans une installation standard de &debian;. Ils contiennent -des paquets que beaucoup considèrent comme des paquets importants et nécessaires à une distribution. -Vous pouvez trouver des informations sur ces dépôts sur la page du wiki &debian; intitulée -<ulink url="&url-debian-wiki-software;">Les logiciels disponibles pour la -distribution stable de &debian;</ulink>. - -</para> - </sect2> - - <sect2><title>Gestion des versions des applications</title> -<para> - -Les différentes versions des applications sont gérées par -update-alternatives. Si vous utilisez plusieurs versions -de vos applications, lisez la page de manuel de update-alternatives. - -</para> - </sect2> - - <sect2><title>Gestion des tâches récurrentes</title> -<para> - -Les actions dont l'administrateur a la -responsabilité devraient se trouver dans le répertoire -<filename>/etc</filename>, car ce sont des fichiers de -configuration. Si un travail doit être répété chaque jour, semaine ou mois, -mettez simplement -un script ou une application exécutant cette action respectivement dans -<filename>/etc/cron.daily</filename>, <filename>/etc/cron.weekly</filename> et -<filename>/etc/cron.monthly</filename>. Ils seront appelés depuis -<filename>/etc/crontab</filename>, et lancés consécutivement par ordre -alphabétique. - -</para><para> - -D'un autre côté, si vous avez une tâche qui doit être lancée par un -utilisateur particulier, ou à une heure ou à une fréquence bien précise, -vous pouvez utiliser <filename>/etc/crontab</filename>, ou, mieux encore, -<filename>/etc/cron.d/votre_choix</filename>. Ces fichiers possèdent aussi un -champ supplémentaire qui permet de spécifier sous quelle identité l'action -sera exécutée. - -</para><para> - -Dans tous les cas, vous n'avez qu'à modifier les fichiers, et cron -le remarquera automatiquement. Vous n'avez pas à lancer de commandes spéciales. -Pour plus d'informations, lisez cron(8), crontab(5) et -<filename>/usr/share/doc/cron/README.Debian</filename>. - -</para> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/post-install/post-install.xml b/fr/post-install/post-install.xml deleted file mode 100644 index 796e69b90..000000000 --- a/fr/post-install/post-install.xml +++ /dev/null @@ -1,14 +0,0 @@ -<!-- original version: 43623 --> - -<chapter id="post-install"> - <title>Les prochaines étapes</title> - -&shutdown.xml; -&new-to-unix.xml; -&orientation.xml; -&further-reading.xml; -&mail-setup.xml; -&kernel-baking.xml; -&rescue.xml; - -</chapter> diff --git a/fr/post-install/rescue.xml b/fr/post-install/rescue.xml deleted file mode 100644 index af37ac363..000000000 --- a/fr/post-install/rescue.xml +++ /dev/null @@ -1,69 +0,0 @@ -<!-- original version: 64745 --> - - <sect1 id="rescue"> - <title>Réparer un système cassé</title> -<para> - -Les choses tournent mal parfois, et le système que vous avez soigneusement -installé ne peut plus être démarré. Vous avez modifié et... cassé la configuration -du programme d'amorçage ; le nouveau noyau que vous avez installé ne peut pas -s'amorcer ou bien des rayons cosmiques ont atteint le disque et déplacé un bit dans -<filename>/sbin/init</filename>. Mais, quelle que soit la raison, vous avez besoin d'un -système pour pouvoir corriger le problème. Le mode de secours peut vous aider. - -</para><para> - -<!-- TODO: describe what to do on arches where this isn't set up in the - bootloader --> - -Pour passer en mode de secours, saisissez <userinput>rescue</userinput> à l'invite -<prompt>boot:</prompt> ou amorcez le système avec le paramètre -<userinput>rescue/enable=true</userinput>. Les premiers écrans de l'installateur -seront affichés, avec une note dans un coin de l'écran qui indique que vous êtes -en mode de secours et non pas dans un processus d'installation. Ne vous inquiétez pas, -votre système ne va pas être réécrit ! Le mode de secours exploite -simplement les possibilités de détection de matériel qui existent dans l'installateur -pour rendre disponibles les disques, les périphériques réseau, etc. pendant que -vous réparez le système. - -</para><para> - -À la place du partitionneur, une liste des partitions présentes sur le système -est affichée et on vous demande d'en choisir une. Normalement, vous devez choisir -la partition contenant le système de fichiers racine à réparer. Vous pouvez choisir -aussi bien des partitions sur des périphériques RAID ou LVM que celles créées -directement sur des disques. - -</para><para> - -S'il le peut, l'installateur affichera l'invite d'un interpréteur de commandes dans -le système de fichiers que vous avez sélectionné ; et vous pourrez l'utiliser pour -effectuer les corrections nécessaires. - -<phrase arch="any-x86"> -Par exemple, pour réinstaller le programme d'amorçage GRUB -sur le secteur principal d'amorçage du premier disque dur, vous pouvez -lancer la commande <userinput>grub-install '(hd0)'</userinput>. -</phrase> - -</para><para> - -Si l'installateur ne peut pas lancer un interpréteur de commandes dans le -système de fichiers que vous avez sélectionné, il vous avertira et proposera -un interpréteur dans l'environnement de l'installateur. Dans cet environnement -vous aurez moins d'outils, mais souvent ils seront -suffisants pour réparer votre système. Le système de fichiers racine que vous -aurez sélectionné sera monté sur le répertoire <filename>/target</filename>. - -</para><para> - -Dans les deux cas, après que vous aurez quitté l'interpréteur, le système sera relancé. - -</para><para> - -Réparer un système cassé peut être difficile et ce manuel -ne cherche pas à recenser tous les problèmes possibles ni à les corriger. -Si vous avez des problèmes, consultez un expert. - -</para> - </sect1> diff --git a/fr/post-install/shutdown.xml b/fr/post-install/shutdown.xml deleted file mode 100644 index 2251f6266..000000000 --- a/fr/post-install/shutdown.xml +++ /dev/null @@ -1,31 +0,0 @@ -<!-- original version: 64829 --> - - - <sect1 id="shutdown"> - <title>Arrêter le système</title> - -<para> - -Pour arrêter un système &debian-gnu;, vous ne devez pas redémarrer en -appuyant sur le bouton-poussoir « reset » sur le devant de -votre ordinateur, ni simplement arrêter l'ordinateur. &debian-gnu; doit être -arrêté de la bonne manière, sinon des fichiers pourraient être perdus et -le disque pourrait être endommagé. -Si vous avez un environnement de bureau, il existe une option -<quote>éteindre l'ordinateur</quote> disponible dans le menu qui permet -d'éteindre ou de redémarrer le système. -</para> -<para> - -Vous pouvez aussi appuyer sur la combinaison de touches -<keycombo><keycap>Ctrl</keycap><keycap>Alt</keycap> <keycap>Del</keycap> </keycombo> -<phrase arch="powerpc"> ou <keycombo> <keycap>Control</keycap> -<keycap>Shift</keycap> <keycap>Power</keycap></keycombo> -sur Macintosh</phrase>. Vous pouvez aussi vous connecter en tant que -superutilisateur et exécuter l'une de ces commandes : -<command>poweroff</command>, <command>halt</command> ou <userinput>shutdown -h now</userinput>, -quand les combinaisons de touches ne fonctionnent pas ou si vous préférez exécuter des commandes. -Pour redémarrer le système, utilisez la commande <command>reboot</command>. - -</para> - </sect1> diff --git a/fr/preface.xml b/fr/preface.xml deleted file mode 100644 index 78f799066..000000000 --- a/fr/preface.xml +++ /dev/null @@ -1,29 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<preface> -<title>Installer &debian-gnu; &release; sur &architecture;</title> - -<para> -Nous sommes enchantés que vous ayez choisi &debian;. Nous sommes sûrs -que vous trouverez cette distribution GNU/&arch-kernel; de &debian; remarquable. -&debian-gnu; rassemble des logiciels libres de qualité, faits par des gens -disséminés aux quatre coins du monde, et les intègre en un tout cohérent. -Nous croyons que vous trouverez cet ensemble réellement supérieur à la simple somme -de ses parties. -</para> -<para> -Nous comprenons bien que beaucoup d'entre vous voudront installer &debian; -sans lire ce manuel ; la conception de l'installateur le permet. Si vous -n'avez pas le temps de le lire en entier, nous vous recommandons de -lire le Guide de l'installation. Ce guide vous présentera les bases du -processus d'installation et renverra au manuel pour les sujets complexes ou -pour des aides en cas de problèmes. Le guide de l'installation se trouve à l' -<xref linkend="installation-howto"/>. -</para> - -<para> -Cela dit, nous espérons que vous aurez le temps de lire la plus grande -partie de ce manuel. Votre installation sera facilitée par la connaissance -acquise. -</para> -</preface> diff --git a/fr/preparing/backup.xml b/fr/preparing/backup.xml deleted file mode 100644 index b905ccabd..000000000 --- a/fr/preparing/backup.xml +++ /dev/null @@ -1,33 +0,0 @@ -<!-- original version: 67991 --> - - <sect1 id="backup"> - <title>Sauvegardez vos données !</title> -<para> - -Avant de commencer, assurez-vous d'avoir effectué une sauvegarde de tous les -fichiers qui se trouvent sur votre système. Si c'est la première -fois que vous installez un autre système d'exploitation sur votre machine, -il est probable que vous devrez repartitionner votre disque dur afin de faire -de la place pour &debian-gnu;. À chaque partitionnement, il y a un risque de -perdre toutes les données du disque, quel que soit le programme utilisé pour -cette opération. Les programmes utilisés à l'installation sont assez fiables -et la plupart ont été utilisés pendant des années, mais ils sont très -puissants et un faux mouvement peut vous coûter cher. Même après la sauvegarde, -soyez attentif et réfléchissez à vos réponses. Deux minutes de -réflexion peuvent vous épargner des heures de travail. -</para> - -<para> - -Si vous voulez pouvoir amorcer plusieurs systèmes, assurez-vous de disposer du -support de distribution des autres systèmes d'exploitation présents. -Dans quelques rares situations, vous pouvez être amené à -réinstaller le programme d'amorçage de votre système d'exploitation, ou même, -à réinstaller complètement le système d'exploitation et restaurer vos données -à partir de la sauvegarde que vous avez effectuée. -</para> - - </sect1> - - - diff --git a/fr/preparing/bios-setup/i386.xml b/fr/preparing/bios-setup/i386.xml deleted file mode 100644 index 673b615bb..000000000 --- a/fr/preparing/bios-setup/i386.xml +++ /dev/null @@ -1,81 +0,0 @@ -<!-- original version: 68479 --> - - - <sect2 arch="any-x86" id="bios-setup"> -<title>Le menu de configuration du BIOS</title> - -<para> - -Le BIOS fournit les fonctions de base nécessaires à l'amorçage de votre -machine pour permettre au système d'exploitation d'accéder au matériel. Le -système fournit un menu destiné à la configuration du BIOS. -Vous pouvez accéder à ce menu en appuyant sur une touche ou sur une combinaison de touches. -Il s'agit souvent de la touche <keycap>Suppr</keycap> ou de la touche <keycap>F2</keycap>. -Certains constructeurs utilisent d'autres touches. -Au démarrage de l'ordinateur, un message indique généralement la touche à utiliser. - -</para> - </sect2> - - - <sect2 arch="any-x86" id="boot-dev-select"> -<title>Sélection du périphérique d'amorçage</title> - -<para> - -A l'intérieur du menu de configuration du BIOS vous pouvez choisir les -périphériques utilisables pour l'amorçage du système et leur ordre. -Peuvent être sélectionnés des disques durs internes, un lecteur de CD/DVD -ou des périphériques de stockage USB comme des clés ou des disques externes. -Sur des systèmes modernes, il existe aussi la possibilité d'amorcer par le réseau (PXE). - -</para> -<para> - -Selon le support d'installation choisi (CD/DVD, clé USB, amorçage par le réseau), -vous devez activer, s'il ne l'est pas déjà, le périphérique d'amorçage approprié. - -</para> -<para> - -La plupart des BIOS permettent d'appeler un menu au démarrage du système -dans lequel vous sélectionnez le périphérique d'amorçage pour la session actuelle. -Si cette option est disponible, le BIOS affiche un court message, -« press <keycap>F12</keycap> for boot menu » par exemple. La touche peut être différente -selon les systèmes, <keycap>F12</keycap>, <keycap>F11</keycap> ou <keycap>F8</keycap>. -Choisir un périphérique dans ce menu ne change pas l'ordre d'amorçage par défaut du BIOS. -Ainsi vous pouvez amorcer à partir d'une clé USB alors que le disque dur interne -reste le périphérique d'amorçage prioritaire. - -</para> -<para> - -Si le BIOS ne vous donne pas cette possibilité, vous devez modifier sa configuration -et indiquez comme prioritaire le périphérique qui contient l'&d-i; - -</para> -<para> -Quelques ordinateurs contiennent malheureusement des versions du BIOS défectueuses. -Il est parfois impossible d'amorcer l'&d-i; à partir d'une clé USB même si -l'option appropriée existe dans le menu de configuration et la clé -est choisie comme périphérique d'amorçage prioritaire. -Sur certains systèmes, on peut forcer l'amorçage en changeant le type de périphérique, -de <quote>USB harddisk</quote> ou <quote>USB stick</quote> à <quote>USB ZIP</quote> -ou <quote>USB CDROM</quote>. - -<phrase condition="isohybrid-supported"> -En particulier, si vous utilisez une image isohybrid de CD/DVD sur une clé USB -(voyez <xref linkend="usb-copy-isohybrid"/>), modifier le type de périphérique en -<quote>USB CDROM</quote> peut servir pour les BIOS qui ne permettent pas l'amorçage -sur une clé en mode <quote>USB harddisk</quote>. -</phrase> - -</para><para> - -Si vous ne pouvez pas régler le BIOS pour permettre l'amorçage à partir d'une clé USB, -vous pouvez toujours copier une image ISO sur la clé. -Amorcez l'&d-i; (consultez <xref linkend="boot-drive-files"/> et, lors de la recherche d'une image -ISO sur les disques, choisissez la clé USB et l'image d'installation. - -</para> -</sect2> diff --git a/fr/preparing/bios-setup/powerpc.xml b/fr/preparing/bios-setup/powerpc.xml deleted file mode 100644 index e0f54902f..000000000 --- a/fr/preparing/bios-setup/powerpc.xml +++ /dev/null @@ -1,54 +0,0 @@ -<!-- original version: 54285 --> - - - <sect2 arch="powerpc" id="invoking-openfirmware"> - <title>Exécuter l'<emphasis>OpenFirmware</emphasis></title> -<para> - -Il n'y a normalement pas besoin de configurer le BIOS (appelé -<emphasis>OpenFirmware</emphasis>) sur les systèmes &arch-title;. PReP et CHRP sont équipés -de l'<emphasis>OpenFirmware</emphasis>, mais, malheureusement, les méthodes utilisées pour -l'invoquer varient d'un constructeur à l'autre. Vous devrez consulter -la documentation du matériel livrée avec votre machine. - -</para><para> - -Pour invoquer l'<emphasis>OpenFirmware</emphasis> sur les Macintosh &arch-title;, appuyez sur -<keycombo><keycap>Command (cloverleaf/Apple)</keycap><keycap>Option</keycap> -<keycap>o</keycap><keycap>f</keycap></keycombo> pendant l'amorçage. -Généralement, cette combinaison de touches est testée après le carillon, mais -le moment exact du test varie selon les modèles. consultez -<ulink url="&url-netbsd-powerpc-faq;"></ulink> -pour obtenir d'autres conseils. - -</para><para> - -L'invite de l'<emphasis>OpenFirmware</emphasis> ressemble à ceci : - -<informalexample><screen> -ok -0 > -</screen></informalexample> - -Notez que sur les anciens modèles de Mac &arch-title;, les -entrées-sorties pour l'interaction avec l'<emphasis>OpenFirmware</emphasis> se font par défaut -à travers un port série (modem). Si vous appelez l'<emphasis>OpenFirmware</emphasis> depuis une -de ces machines, vous n'aurez droit qu'à un écran noir. Dans ce cas, un -programme lancé sur une autre machine et se connectant sur le port modem -est nécessaire pour interagir avec l'<emphasis>OpenFirmware</emphasis>. - -</para><para> - -Sur les machines OldWorld Beige G3, les <emphasis>OpenFirmware</emphasis> versions 2.0f1 et -2.4 sont bogués. Ces machines ne seront certainement pas capables -d'amorcer depuis le disque dur à moins que le microprogramme ne soit -corrigé. Une rustine pour le microprogramme est incluse dans -l'utilitaire <application>System Disk/ 2.3.1</application>, disponible chez -Apple à -<ulink url="ftp://ftp.apple.com/developer/macosxserver/utilities/SystemDisk2.3.\1.smi.bin"></ulink>. -Après avoir désarchivé l'utilitaire sur MacOS, et l'avoir lancé, -choisissez le bouton <guibutton>Save</guibutton> pour installer les routines pour le -microprogramme dans la nvram. - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/preparing/bios-setup/s390.xml b/fr/preparing/bios-setup/s390.xml deleted file mode 100644 index 518673429..000000000 --- a/fr/preparing/bios-setup/s390.xml +++ /dev/null @@ -1,112 +0,0 @@ -<!-- original version: 66909 --> - - - <sect2 arch="s390"><title>Paramètrage du BIOS</title> -<para> - -Afin d'installer &debian-gnu; sur une machine de la gamme &arch-title; ou -zSeries, vous devez d'abord démarrer un noyau sur le système. Le mécanisme -d'amorçage est intrinsèquement différent des autres systèmes, en particulier des -PC : il n'y a pas de lecteur de disquettes. Vous remarquerez une -autre différence lorsque vous travaillez sur cette plateforme ; la -plupart du temps (si ce n'est tout le temps), vous travaillerez à -distance, avec l'aide d'un logiciel approprié comme telnet, ou un -navigateur. C'est dû à l'architecture spéciale du système, où la console -3215/3270 est orientée ligne et non caractère. - -</para><para> - -Linux sur cette plateforme travaille soit nativement sur la machine nue, -dans une LPAR (partition logique), soit dans une machine virtuelle -fournie par le système VM. Vous pouvez utiliser une bande d'installation -sur tous ces systèmes ; vous pouvez aussi utiliser un autre support -d'amorçage, mais il peut ne pas être disponible. Par exemple, vous -pouvez utiliser le lecteur de carte virtuel d'une machine virtuelle, ou -démarrez depuis la HMC (<emphasis>Hardware Management Console</emphasis>, -console d'administration matérielle) d'une LPAR si la HMC et cette option sont -disponibles. - -</para><para> - -Avant de vous lancer dans une installation, vous devez d'abord passer -par des étapes préliminaires. IBM fournit une documentation sur le -processus, par exemple sur la préparation du support d'installation et -sur le démarrage depuis ce support. Recopier cette information ici n'est -ni possible, ni nécessaire. Cependant, nous décrivons les -points spécifiques à &debian; et comment les trouver. Quel que soit le -mode d'installation choisi, vous devez d'abord préparer votre machine et -le support d'installation, puis démarrer depuis celui-ci. Une fois le -message de bienvenue affiché dans votre client de session, revenez lire -ce document pour les étapes de l'installation spécifiques à &debian;. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="s390"> - <title>Installations en mode natif et sur LPAR</title> -<para> - -Veuillez consulter le chapitre 5 du livre rouge -<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg244987.pdf"> -Linux pour S/390"></ulink> et le chapitre 3.2 du livre rouge -<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf"> -Linux pour IBM eServer zSeries et les distributions S/390</ulink> pour -apprendre comment configurer une LPAR pour Linux. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="s390"> - <title>Installation en tant qu'invité VM</title> - -<para> - -Veuillez consulter le chapitre 6 du livre rouge -<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg244987.pdf"> -Linux pour S/390</ulink> et le chapitre 3.1 du livre rouge -<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf"> -Linux pour IBM eServer zSeries et distributions S/390</ulink> pour -apprendre comment configurer un invité VM pour Linux. - -</para><para> - -Vous devez copier tous les fichiers depuis le sous-répertoire -<filename>generic</filename> sur votre disque CMS. Assurez-vous d'avoir -transféré -<filename>kernel.debian</filename> et <filename>initrd.debian</filename> en -mode binaire avec une taille fixe de 80 caractères pour les enregistrements. -Vous devez spécifier les paramètres <userinput>BINARY</userinput> et <userinput>LOCSITE FIX 80</userinput> -à votre client FTP. -Le format du fichier <filename>parmfile.debian</filename> peut être -ASCII ou EBCDIC. - -Un script d'exemple <filename>debian.exec</filename>, qui introduira les fichiers -dans le bon ordre, se trouve avec les images. - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="s390"> - <title>Configurer un serveur d'installation</title> - -<para> - -Si vous n'avez pas de connexion à internet (directement ou à travers un -mandataire web), vous devez créer un serveur d'installation local qui -peut être atteint depuis votre S/390. Ce serveur garde tous les paquets -que vous voulez installer et doit les rendre accessibles via NFS, HTTP -ou FTP. - -</para><para> - -Le serveur d'installation a besoin de copier l'arborescence exacte -depuis n'importe quel miroir &debian-gnu;, mais il n'a besoin de copier que -les fichiers s390 et ceux indépendants de l'architecture. Vous pouvez -aussi utiliser le contenu des cédéroms d'installation. - -</para><para condition="FIXME"> - -<emphasis>FIXME: more information needed — from a Redbook?</emphasis> - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/preparing/bios-setup/sparc.xml b/fr/preparing/bios-setup/sparc.xml deleted file mode 100644 index 2099488ce..000000000 --- a/fr/preparing/bios-setup/sparc.xml +++ /dev/null @@ -1,106 +0,0 @@ -<!-- original version: 43641 --> - - - <sect2 arch="sparc" id="invoking-openboot"><title>Appel d'OpenBoot</title> - -<para> - -OpenBoot fournit les fonctions de base nécessaires à l'amorçage de -l'architecture &arch-title;. Les fonctions sont à peu près similaires à celles -du BIOS de l'architecture x86, mais c'est plus joli. Les PROM d'amorçage Sun -possèdent un interpréteur Forth intégré qui permet de faire pas mal de -choses, comme des tests, des scripts simples, etc. - -</para><para> - -Pour obtenir l'invite d'OpenBoot vous devez maintenir la touche -<keycap>Stop</keycap> (ou la touche <keycap>L1</keycap> sur les vieux -claviers Type 4) et appuyer sur la touche <keycap>A</keycap>. Si vous avez un -adaptateur de clavier PC, maintenez la touche <keycap>Pause</keycap> (ou -<keycap>Break</keycap>) et appuyez sur <keycap>A</keycap>. Cela vous donnera -une invite, soit <userinput>ok</userinput> soit <userinput>></userinput>. -Il est préférable d'avoir l'invite <userinput>ok</userinput>. Si vous obtenez -le vieux modèle d'invite (<userinput>></userinput>), appuyez sur -la touche <keycap>n</keycap> pour obtenir le nouveau modèle d'invite. - -</para> -<para> - -Si vous utilisez une console série, envoyez un <quote>break</quote> à la -machine. Avec Minicom, utilisez <keycap>Ctrl-A F</keycap> ; avec cu, -utilisez <keycap>Enter</keycap>. Puis saisissez -<userinput>%~break</userinput>. Veuillez consulter la documentation de votre -terminal si vous utilisez un programme différent. -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="sparc" id="boot-dev-select-sun"> - <title>Sélection du périphérique d'amorçage</title> - -<para> - -Vous pouvez utiliser OpenBoot pour démarrer à partir de périphériques -spécifiques, et aussi pour modifier le périphérique de démarrage par défaut. -Cependant, vous devez connaître certains détails sur la manière dont OpenBoot -nomme les périphériques ; c'est très différent du nommage des -périphériques sous Linux, décrit dans <xref linkend="device-names"/>. De -plus, la commande varie légèrement, selon la version d'OpenBoot. -Vous trouverez plus d'informations sur OpenBoot dans la -<ulink url="&url-openboot;">référence OpenBoot Sun </ulink>. - -</para><para> - -Dans les versions récentes, vous pouvez utiliser les périphériques -OpenBoot tels que <quote>floppy</quote>, <quote>cdrom</quote>, <quote>net</quote>, -<quote>disk</quote> ou <quote>disk2</quote>. Ceux-ci ont des significations -évidentes (N.D.T : pour les anglophones). Le périphérique -<quote>net</quote> sert à démarrer par le réseau. Le nom du périphérique peut indiquer -une partition de disque comme <quote>disk2:a</quote> pour amorcer le second disque. Le nom des -périphériques OpenBoot est de cette forme : - -<informalexample> -<screen> -<replaceable>nom-pilote</replaceable>@ -<replaceable>adresse-unité</replaceable>: -<replaceable>arguments-périphériques</replaceable> -</screen></informalexample> - -Avec les anciennes versions d'OpenBoot, le nommage des périphériques est -légèrement différent. Le lecteur de disquettes s'appelle <quote>/fd</quote>, et -les noms des disques durs SCSI sont de la forme -<quote>sd(<replaceable>contrôleur</replaceable>, -<replaceable>disk-target-id</replaceable>, -<replaceable>unité-logique-du-disque</replaceable>)</quote>. -La commande <userinput>show-devs</userinput> dans les nouvelles versions -d'OpenBoot est utile pour voir les périphériques actuellement configurés. -Pour des informations complètes quelle que soit votre version d'OpenBoot, -voyez la <ulink url="&url-openboot;">référence OpenBoot Sun</ulink>. - -</para><para> - -Pour démarrer sur un périphérique spécifique, utilisez la commande -<userinput>boot <replaceable>device</replaceable></userinput>. Vous pouvez -positionner ce comportement comme valeur par défaut en utilisant la commande -<userinput>setenv</userinput>. -Cependant, le nom de la variable à positionner a changé entre les versions -d'OpenBoot. Dans OpenBoot 1.x, utilisez la commande -<userinput>setenv boot-from <replaceable>device</replaceable></userinput>. Dans -les versions ultérieures, utilisez la commande -<userinput>setenv boot-device <replaceable>device</replaceable></userinput>. -N.B. On peut faire ce réglage à partir de la commande -<command>eeprom</command> sous Solaris, ou, sous Linux, en modifiant les -fichiers dans <filename>/proc/openprom/options/</filename>. Par exemple sous -Linux : - -<informalexample><screen> -# echo disk1:1 > /proc/openprom/options/boot-device -</screen></informalexample> - -et sous Solaris : - -<informalexample><screen> -# eeprom boot-device=disk1:1 -</screen></informalexample> - -</para> - </sect2> diff --git a/fr/preparing/install-overview.xml b/fr/preparing/install-overview.xml deleted file mode 100644 index 0c617c95f..000000000 --- a/fr/preparing/install-overview.xml +++ /dev/null @@ -1,179 +0,0 @@ -<!-- original version: 67991 --> - - <sect1 id="install-overview"> - <title>Vue générale du processus d'installation</title> -<para> - -D'abord, une note au sujet des réinstallations. Avec &debian;, il est très -rare d'avoir à réinstaller complètement son système. La cause la plus -commune d'une réinstallation est sans doute une défaillance mécanique du disque dur. - -</para><para> - -Beaucoup de systèmes d'exploitation nécessitent une installation complète -quand des erreurs critiques se produisent ou lors d'une mise à jour du -système. Et même s'il n'est pas nécessaire de refaire entièrement une -installation, les programmes que vous utilisez doivent être réinstallés -pour fonctionner correctement. - -</para><para> - -Avec &debian-gnu;, quand les choses tournent mal, vous devrez sans doute réparer le système, -mais pas le remplacer entièrement. Les mises à jour n'exigent -jamais une installation complète ; vous pouvez toujours les faire à -partir du système existant. Les programmes sont presque toujours compatibles -avec les versions successives du système. Quand la nouvelle version d'un -programme exige d'autres logiciels, le système de gestion des paquets fait en sorte -que tous les logiciels nécessaires soient listés et installés. Beaucoup -d'efforts ont été déployés pour éviter le besoin d'une réinstallation : -c'est la dernière option ! Et l'installateur -<emphasis>n'est pas</emphasis> conçu pour procéder à une installation sur un système existant. - -</para><para> - -Voici les étapes qui composent le processus d'installation : - -</para> - -<orderedlist> -<listitem><para> - -sauvegarder toutes les données du disque dur sur lequel -l'installation sera faite ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -rassembler les informations concernant l'ordinateur, ainsi -que la documentation nécessaire ; - -</para></listitem> -<listitem arch="not-x86"><para> - -préparer de l'espace libre sur le disque dur ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -télécharger l'installateur et tous les pilotes et microprogrammes -nécessaires ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -préparer les périphériques d'amorçage, CD, DVD, clé USB, ou -préparer un système d'amorçage par le réseau pour amorcer l'installateur ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -amorcer l'installateur ; - -</para></listitem> -<listitem arch="not-s390"><para> - -choisir une langue ; - -</para></listitem> - -<listitem arch="not-s390"><para> - -si nécessaire, mettre en place la connexion réseau par ethernet ; - -</para></listitem> - -<listitem arch="s390"><para> - -configurer une interface réseau ; - -</para></listitem> -<listitem arch="s390"><para> - -ouvrir une connexion ssh au nouveau système ; - -</para></listitem> -<listitem arch="s390"><para> - -attacher un ou plusieurs DASD (<emphasis>Direct Access Storage Device)</emphasis> ; - -</para></listitem> - -<listitem arch="x86"><para> -Si nécessaire, redimensionner les partitions du disque dur pour faire de la place -pour l'installation ; -</para></listitem> - -<listitem><para> - -créer et monter les partitions sur lesquelles &debian; sera installé ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -attendre la fin du processus automatique de téléchargement/installation/configuration -du <firstterm>système de base</firstterm> ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -installer un <firstterm>programme d'amorçage</firstterm> qui puisse -démarrer &debian-gnu; ou un autre système ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -charger le nouveau système pour la première fois. -</para></listitem> - </orderedlist> - -<para condition="gtk"> - -Sur &arch-title; il est possible d'utiliser -la version graphique <phrase arch="powerpc">expérimentale</phrase> -du système d'installation. Pour d'autres informations sur cette méthode -d'installation, voyez <xref linkend="graphical"/>. - -</para> -<para> - -Connaître les paquets qui sont impliqués dans chaque étape peut aider à la -résolution des problèmes qui peuvent se produire durant l'installation. Voici -les principaux acteurs de cette pièce : - -</para><para> - -L'<classname>installateur &debian;</classname> est le sujet -principal de ce manuel. Il détecte le matériel et charge les pilotes -nécessaires, il met en place la connexion au réseau avec -<classname>dhcp-client</classname>, il installe les paquets du système de -base avec <classname>debootstrap</classname> et il lance <classname>tasksel</classname> -pour vous permettre d'installer d'autres logiciels. Il y a bien d'autres acteurs -mineurs, mais l'<classname>installateur &debian;</classname> a terminé sa -tâche quand vous démarrez pour la première fois le nouveau système. - -</para><para> - -Pour installer ce dont vous avez besoin, vous disposez du programme -<classname>tasksel</classname> qui peut installer des ensembles thématiques -de paquets, comme par exemple un serveur web ou un environnement de bureau. - -</para><para> - -</para><para> - -Une option importante lors de l'installation est d'installer ou non un -environnement de bureau avec le système X Window. Si vous n'avez pas choisi -la tâche <quote>Desktop environment</quote>, vous aurez un système minimal -avec ligne de commande. L'installation d'un environnement de bureau est facultative -car cela demande beaucoup plus d'espace disque que l'installation en mode texte. -D'autre part, beaucoup de systèmes &debian; -sont des serveurs qui n'ont pas vraiment besoin d'une interface graphique pour être -opérationnels. - -</para><para arch="not-s390"> - -Notez que l'installateur et le système X Window sont distincts. -Les problèmes liés à ce dernier ne sont pas du ressort de ce manuel. - -</para> - </sect1> diff --git a/fr/preparing/minimum-hardware-reqts.xml b/fr/preparing/minimum-hardware-reqts.xml deleted file mode 100644 index 93480326f..000000000 --- a/fr/preparing/minimum-hardware-reqts.xml +++ /dev/null @@ -1,104 +0,0 @@ -<!-- original version: 68697 --> - - <sect1 id="minimum-hardware-reqts"> -<title>Matériel minimum</title> -<para> - -Une fois rassemblées les informations sur votre matériel, vérifiez que -vous pouvez faire le type d'installation souhaité. - -</para><para arch="not-s390"> - -Selon vos besoins, vous pouvez continuer avec du matériel inférieur au -matériel recommandé dans le tableau ci-dessous. Cependant, la plupart des -utilisateurs seront frustrés s'ils ignorent ces suggestions. - -</para><para arch="any-x86"> - -Un Pentium 4, 1 GHz, est la configuration minimale recommandée -pour une machine de bureau. - -</para><para arch="powerpc"> - -Tout PowerPC OldWorld ou NewWorld convient -parfaitement pour une machine de bureau. - -</para> - -<table> -<title>Configuration matérielle minimale recommandée</title> -<tgroup cols="4"> -<thead> -<row> - <entry>Type d'installation</entry> - <entry>RAM (minimum)</entry> - <entry>RAM (recommandée)</entry> - <entry>Disque dur</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>Sans desktop</entry> - <entry>64 megaoctets</entry> - <entry>256 megaoctets</entry> - <entry>1 gigaoctet</entry> -</row><row arch="not-s390"> - <entry>Avec desktop</entry> - <entry>128 megaoctets</entry> - <entry>512 megaoctets</entry> - <entry>5 gigaoctets</entry> -</row> - -</tbody></tgroup></table> - - -<para> - -La quantité de mémoire nécessaire est inférieure à celle donnée dans le tableau. -Selon l'architecture, il est possible d'installer &debian; avec 20 Mo (sur s390) -ou 60 Mo (sur amd64). Il en va de même pour l'espace disque, -surtout si vous choisissez une à une les applications à installer. Voyez -<xref linkend="tasksel-size-list"/> pour vous faire une idée de l'espace disque nécessaire. - -</para> - -<para arch="not-s390"> - -Il est possible de faire fonctionner un environnement de bureau sur de vieilles -machines ou des machines bas de gamme mais il est alors recommandé d'installer -un gestionnaire graphique moins gourmand en ressources que les -environnements de bureau de GNOME et KDE. Par exemple, <classname>xfce4</classname>, -<classname>icewm</classname> et <classname>wmaker</classname>, mais il en -existe d'autres. - -</para> - -<para> - -Il n'est pas possible d'indiquer des valeurs minimum concernant la -mémoire et l'espace disque nécessaires à un serveur. Tout dépend de -l'utilisation qui en sera faite. - -</para> -<para> - -Il faut remarquer que ces mesures ne comptabilisent pas tous les -fichiers, comme les fichiers des utilisateurs, la messagerie et -les données. Il vaut toujours mieux prévoir large quand il s'agit de -ses propres fichiers et données. -</para> - -<para> -L'espace disque nécessaire au bon fonctionnement du système &debian-gnu; est -pris en compte dans ces valeurs recommandées. -En particulier, la partition <filename>/var</filename> dans &debian; contient -beaucoup d'informations sur l'état du système. Les fichiers de <command>dpkg</command> -(contenant des informations sur tous les paquets installés) peuvent facilement -atteindre 40 Mo ; <command>apt-get</command> y met les paquets -téléchargés avant de les installer. Au moins 200 Mo -devraient être attribués à <filename>/var</filename> et beaucoup plus si -vous installez un environnement de bureau. -</para> - - </sect1> diff --git a/fr/preparing/needed-info.xml b/fr/preparing/needed-info.xml deleted file mode 100644 index 4b1eb5068..000000000 --- a/fr/preparing/needed-info.xml +++ /dev/null @@ -1,458 +0,0 @@ -<!-- original version: 68548 --> - - <sect1 id="needed-info"> - <title>Informations utiles</title> - - <sect2> - <title>La documentation</title> - - <sect3> - <title>Le manuel d'installation</title> - -<para condition="for_cd"> -Le document que vous lisez, au format texte, HTML ou PDF. -</para> -<itemizedlist condition="for_cd"> -&list-install-manual-files; -</itemizedlist> - -<para condition="for_wdo"> - -Le document que vous lisez est la version officielle du manuel d'installation -pour la distribution &debian; &releasename; ; -des <ulink url="&url-release-area;/installmanual">traductions</ulink> sont disponibles -dans différents formats. - -</para> - -<para condition="for_alioth"> - -Le document que vous lisez est la version de développement du manuel d'installation -pour la prochaine distribution &debian;. -Des <ulink url="&url-d-i-alioth-manual;">traductions</ulink> sont disponibles -dans différents formats. - -</para> - -</sect3> - - <sect3><title>La documentation du matériel</title> -<para> - -Elle contient souvent des informations utiles pour l'utilisation et la -configuration de votre matériel. -</para> - -<!-- We need the arch dependence for the whole list to ensure proper xml - as long as not architectures have a paragraph --> - <itemizedlist arch="x86;sparc;mips;mipsel"> - -<listitem arch="x86"><para> - -<ulink url="&url-debian-wiki-hardware;">La page « Matériel » sur le wiki Debian"</ulink> - -</para></listitem> - -<listitem arch="sparc"><para> - -<ulink url="&url-sparc-linux-faq;">FAQ pour les processeurs SPARC sous Linux</ulink> - -</para></listitem> - -<listitem arch="mips;mipsel"><para> - -<ulink url="&url-linux-mips;">Site web Linux/Mips</ulink> - -</para></listitem> - -</itemizedlist> - </sect3> - - <sect3 arch="s390"> - <title>Références pour le matériel &arch-title;</title> -<para> -Documentation sur la séquence de démarrage spécifique à &arch-title;, ainsi que -sur les commandes et pilotes de périphériques (par exemple, DASD, XPRAM, Console, -OSA, HiperSockets et interaction z/VM). - -</para> - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<ulink url="http://public.dhe.ibm.com/software/dw/linux390/docu/lk32dd04.pdf"> -Pilotes de périphériques, spécificités et commandes (noyau Linux 3.2)</ulink> - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<para> - -Le livre rouge d'IBM décrit comment combiner Linux avec z/VM -sur matériel zSeries et &arch-title;. -</para> - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg244987.pdf"> -Linux pour &arch-title;</ulink> - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<para> - -Le livre rouge d'IBM indique les distributions Linux disponibles -sur un serveur <emphasis>mainframe</emphasis>. Il n'a pas de chapitre spécifique à &debian;, mais -les concepts de base pour l'installation sont les mêmes pour -toutes les distributions sur &arch-title; ; - -</para> - - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -<ulink url="http://www.redbooks.ibm.com/pubs/pdfs/redbooks/sg246264.pdf"> -Linux pour IBM eServer zSeries et distributions &arch-title;</ulink> - -</para></listitem> -</itemizedlist> - </sect3> - -</sect2> - <sect2 id="fsohi"> - <title>Comment trouver les sources d'informations sur le matériel ?</title> - -<para> -La plupart du temps, l'installateur détectera automatiquement votre matériel. -Mais nous vous conseillons de bien connaître votre matériel avant de -commencer l'installation. -</para> - -<para> -On peut trouver des informations sur plusieurs sources : -</para> - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -les manuels accompagnant chaque élément ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -les écrans de configuration du BIOS de votre ordinateur. -Vous pouvez accéder à ces écrans pendant le démarrage de l'ordinateur -en appuyant sur une combinaison de touches. Consultez votre manuel -pour connaître cette combinaison. Il s'agit souvent de la touche -<keycap>Suppr</keycap> ou de la touche <keycap>F2</keycap>. -Cependant certains fabricants peuvent utiliser d'autres touches. Le plus souvent, -au démarrage de l'ordinateur, un message indique la touche à utiliser ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -les boîtes et cartons de chaque élément ; - -</para></listitem> -<listitem arch="any-x86"><para> - -la fenêtre « Système » dans le panneau de configuration -de Windows ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -les commandes système ou les outils d'un autre système d'exploitation, -incluant les affichages d'un gestionnaire de fichiers. -Cette source est particulièrement utile pour trouver des informations -sur la mémoire vive et les disques durs ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -votre administrateur système ou votre fournisseur d'accès à internet. -Ces sources peuvent vous indiquer les réglages nécessaires à la -configuration du réseau et du courrier électronique. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<para> - -<table> -<title>Informations sur le matériel utiles pour l'installation</title> -<tgroup cols="2"> -<thead> -<row> - <entry>Matériel</entry><entry>Informations dont vous pouvez avoir besoin</entry> -</row> -</thead> -<tbody> -<row arch="not-s390"> - <entry morerows="5">Disques durs</entry> - <entry>Leur nombre</entry> -</row> -<row arch="not-s390"><entry>Leur ordre dans le système</entry></row> -<row arch="not-s390"> - <entry>S'ils sont de type IDE (PATA), SATA ou SCSI</entry> -</row> -<row arch="not-s390"><entry>L'espace disponible</entry></row> -<row arch="not-s390"><entry>Les partitions</entry></row> -<row arch="not-s390"> - <entry>Les partitions contenant d'autres systèmes d'exploitation</entry> -</row> - -<!-- - -<row arch="not-s390"> - <entry morerows="5">Écran</entry> - <entry>Le modèle et la marque</entry> -</row> -<row arch="not-s390"><entry>Les résolutions acceptées</entry></row> -<row arch="not-s390"><entry>Le taux de rafraîchissement horizontal</entry></row> -<row arch="not-s390"><entry>Le taux de rafraîchissement vertical</entry></row> -<row arch="not-s390"> - <entry>Les profondeurs de couleurs (nombre de couleurs) acceptées</entry> -</row> -<row arch="not-s390"><entry>La taille de l'écran</entry></row> - ---> -<!-- -<row arch="not-s390"> - <entry morerows="3">Souris</entry> - <entry>Le type : série, PS/2, ou USB</entry> -</row> -<row arch="not-s390"><entry>Le port</entry></row> -<row arch="not-s390"><entry>La marque</entry></row> -<row arch="not-s390"><entry>Le nombre de boutons</entry></row> ---> - -<row arch="not-s390"> - <entry morerows="0">Interfaces réseau</entry> - <entry>Type/modèle des interfaces réseau disponibles</entry> -</row> - -<row arch="not-s390"> - <entry morerows="0">Imprimante</entry> - <entry>Le modèle et la marque</entry> -</row> - -<row arch="not-s390"> - <entry morerows="0">Carte vidéo</entry> - <entry>Le modèle et la marque</entry> -</row> - -<row arch="s390"> - <entry morerows="1">DASD</entry> - <entry>Numéro du périphérique</entry> -</row> -<row arch="s390"><entry>L'espace disponible</entry></row> - -<row arch="s390"> - <entry morerows="2">réseau</entry> - <entry>Le type d'interface</entry> -</row> -<row arch="s390"><entry>Numéros des périphériques</entry></row> -<row arch="s390"><entry>Numéro de l'adaptateur associé pour les cartes OSA</entry></row> - -</tbody></tgroup></table> - -</para> - </sect2> - - - <sect2> - <title>Compatibilité matérielle</title> - -<para> - -Beaucoup de produits fonctionnent sans problème sous &arch-kernel;. -La gestion des matériels est améliorée chaque jour. Cependant, -&arch-kernel; ne peut pas utiliser autant de matériels que d'autres -systèmes d'exploitation. - -</para><para> - -Les pilotes pour &arch-kernel; ne sont pas écrits pour tel ou tel produit de tel -ou tel constructeur mais pour tel matériel (puce). Beaucoup de produits apparemment différents -sont basés sur le même matériel. Il n'est pas inhabituel que des constructeurs de puces -fournissent de prétendues « conceptions de référence » pour des produits basés sur leurs puces -qui sont ensuite utilisées par plusieurs constructeurs différents et vendues sous différentes -marques. - -</para><para> - -Cette situation comporte des avantages et des inconvénients. Un avantage -est qu'un pilote de puce fonctionne pour différents produits de différents -constructeurs. Le problème est qu'il n'est pas toujours facile de savoir quelle -puce est réellement utilisée par tel produit. Parfois les constructeurs -modifient le matériel d'un produit sans changer ni le nom ni la version de ce produit. -Ainsi, deux exemplaires d'un même produit, achetés à différents moments, peuvent être -basés sur deux puces différentes et donc utiliser deux pilotes différents. -Il se peut alors qu'aucun pilote soit disponible pour l'une des deux puces. - -</para><para> - -Pour les périphériques USB et PCI/PCI-Express/ExpressCard, un bon moyen -de connaître la puce utilisée est de chercher les identifiants du périphérique. -La combinaison de ces identifiants nommés « vendor » et « product » -est habituellement la même pour tout produit basé sur la même puce. - -</para><para> - -Sur un système Linux, ces identifiants peuvent être lus par la commande -<command>lsusb</command> pour les périphériques USB et par la commande -<command>lspci -nn</command> pour les périphériques PCI/PCI-Express/ExpressCard. -Ils sont généralement donnés sous la forme de deux nombres hexadécimaux, séparés par -un deux-points, « 1d6b:0001 » par exemple. - -</para> -<para> - -Résultat de la commande <command>lsusb</command> : "Bus 001 -Device 001: ID 1d6b:0002 Linux Foundation 2.0 root hub", où 1d6b est -l'identifiant « vendor » et 0002 l'identifiant « product ». -</para> - -<para> - -Résultat de la commande <command>lspci -nn</command> pour une carte Ethernet : -"03:00.0 Ethernet controller [0200]: Realtek Semiconductor Co., Ltd. -RTL8111/8168B PCI Express Gigabit Ethernet controller [10ec:8168] (rev 06)". -Les identifiants sont donnés dans les crochets les plus à droite, -10ec le « vendor » et 8168 le « product ». - -</para><para> - -Un exemple pour une carte graphique : -"04:00.0 VGA compatible controller [0300]: Advanced Micro Devices [AMD] nee -ATI RV710 [Radeon HD 4350] [1002:954f]". - -</para> -<para> - -Sur les systèmes Windows, les identifiants d'un périphérique -peuvent être trouvés dans le gestionnaire de périphériques, onglet « details ». -L'identifiant « vendor » est préfixé par VEN_ et « product » par DEV_. - -Sur les systèmes Windows 7, vous devez sélectionner la propriété « Hardware IDs » -dans l'onglet « details » du gestionnaire de périphériques car ils ne sont pas -visibles par défaut. - -</para> -<para> - -Une recherche sur internet avec ces identifiants, &arch-kernel; et « driver » -donne souvent des informations sur le pilote nécessaire à telle puce. -Si ce n'est pas le cas, une recherche peut être effectuée avec les noms des puces, -donnés aussi par les commandes lsusb et lspci, "RTL8111"/"RTL8168B" pour la carte réseau et "RV710" -pour la carte graphique des précédents exemples. - -</para> - - <sect3> - <title>Tester le matériel avec un système autonome</title> - -<para> - -&debian-gnu; est disponible sous forme de système autonome pour quelques -architectures. Un système autonome est un système dans un format compressé, -préconfiguré et utilisable immédiatement, qui peut être amorcé depuis un support en lecture seule -comme un CD ou un DVD. Son utilisation ne modifie pas de façon permanente votre ordinateur. -Vous pouvez modifier des paramètres, installer des programmes etc., tout cela se passe dans la mémoire -vive de l'ordinateur. Si vous éteignez l'ordinateur et relancez le système autonome, -tout est remis en l'état par défaut. -Exécuter un système autonome est le moyen le plus simple de savoir si votre matériel est reconnu par &debian-gnu;. - -</para><para> - -Un système autonome impose quelques limitations. La première est que toutes les modifications -que vous apportez doivent être contenues dans la mémoire vive de l'ordinateur. -Il faut donc assez de mémoire et l'installation de certains logiciels peut échouer à -cause du manque de mémoire. -Une autre limitation est que le système autonome officiel de &debian-gnu; ne contient -que des éléments libres. Des microprogrammes non libres peuvent bien sûr être installés, -mais aucune détection automatique n'est effectuée comme celle effectuée par l'installateur Debian. -Vous devrez donc installer vous-même les composants non libres. - -</para><para> - -Des informations sur les variantes disponibles des images autonomes de &debian; se trouvent sur -le <ulink url="&url-debian-live-cd;">site web Debian Live Images</ulink>. - -</para> - - </sect3> - - </sect2> - - <sect2> - <title>Configuration du réseau</title> - -<para> -Si votre machine est connectée à un réseau — avec une connexion Ethernet ou -équivalente (pas une connexion PPP) —, vous devriez demander -à votre administrateur système les éléments suivants : - -<itemizedlist> -<listitem><para> -le nom de votre machine (à choisir vous-même, si vous en avez le droit) ; -</para></listitem> -<listitem><para> -le nom du domaine ; -</para></listitem> -<listitem><para> -l'adresse IP de votre machine ; -</para></listitem> -<listitem><para> -le masque réseau à utiliser ; -</para></listitem> -<listitem><para> -l'adresse IP de la passerelle qui sert de routeur, <emphasis>si</emphasis> -votre réseau possède une passerelle ; -</para></listitem> -<listitem><para> -la machine de votre réseau qui servira de serveur DNS (Domain Name Service). -</para></listitem> -</itemizedlist> -</para> - -<para> - -Quand un serveur DHCP est disponible sur votre réseau, vous n'avez pas besoin de toutes ces informations. Le serveur -DHCP les fournira directement pendant le processus d'installation. - -</para> - -<para> - -Si votre accès à internet se fait par DSL ou par un modem cable (par un réseau tv cablé), -et si vous avez un routeur, souvent préconfiguré par le fournisseur d'accès, un serveur DHCP est habituellement -disponible. - -</para><para arch="x86"> - -En règle générale : si vous n'avez pas eu à paramétrer le réseau pour un système Windows, -la connexion au réseau pour &debian-gnu; sera aussi automatiquement configurée. - -</para> - -<para> -Pour un réseau WLAN/WiFi, vous aurez besoin des informations suivantes : - -<itemizedlist> -<listitem><para> - -l'ESSID (nom) du réseau sans fil ; -</para></listitem> -<listitem><para> -la clé WEP ou WPA/WPA2 pour accéder au réseau (si nécessaire). -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/preparing/non-debian-partitioning.xml b/fr/preparing/non-debian-partitioning.xml deleted file mode 100644 index f9f60ebb1..000000000 --- a/fr/preparing/non-debian-partitioning.xml +++ /dev/null @@ -1,182 +0,0 @@ -<!-- original version: 68523 --> - - <sect1 id="non-debian-partitioning"> - <title>Partitionnement préalable d'une machine multisystème</title> -<para> - -Partitionner votre disque dur est simplement le fait de le diviser -en plusieurs sections. Chaque section est alors indépendante des -autres. C'est en gros équivalent à ajouter des cloisons dans une -maison : ajouter des meubles dans une pièce n'affecte pas les -autres pièces. - -</para><para arch="s390"> - -Dans cette section, vous devez remplacer les occurrences de -<quote>disque</quote> par mini-disque DASD ou VM du monde &arch-title;. -De même, une machine signifie une LPAR ou VM. - -</para><para> - -Si vous avez déjà un système d'exploitation sur votre machine - -<phrase arch="any-x86"> -(Windows 9x, Windows NT/2000/XP/2003/Vista/7, OS/2, MacOS, Solaris, FreeBSD…) -</phrase> - -<phrase arch="s390"> -(VM, z/OS, OS/390…) -</phrase> - -qui utilise tout le disque sur lequel vous désirez placer &debian;, vous devrez repartitionner -ce disque. Le système &debian; a besoin de partitions spécifiques. Il -ne peut pas être installé sur des partitions Windows ou Mac OS X. Il peut -partager des partitions avec d'autres systèmes Unix, mais ce point n'est -pas abordé ici. Vous devez attribuer au moins une partition à la -racine du système &debian;. - -</para><para> - -Vous pouvez trouver des informations sur le partitionnement actuel -en utilisant un outil approprié pour votre système d'exploitation<phrase arch="any-x86">, -tel que fdisk pour DOS ou le gestionnaire de disque intégré pour Windows</phrase><phrase arch="powerpc">, -tel que Disk Utility, Drive Setup, HD Toolkit ou MacTools</phrase> -<phrase arch="s390">, -tel que le diskmap VM</phrase>. Les outils de partitionnement permettent -toujours de montrer l'état actuel sans rien modifier. - -</para><para> - -Modifier une partition contenant déjà un système de fichiers détruit ces fichiers. -Vous devriez donc toujours faire des sauvegardes avant tout partitionnement. En continuant -l'analogie avec la maison, avant d'abattre une cloison, vous déplaceriez certainement -les meubles afin de ne pas les endommager. - -</para> - -<para> - -Plusieurs systèmes d'exploitation modernes offrent la possibilité de déplacer -et redimensionner des partitions existantes sans perdre leurs données. -De la place est ainsi créée pour ajouter des partitions. -Même si cela fonctionne très bien dans la plupart des cas, modifier les partitions d'un disque est -une opération fondamentalement dangereuse. Avant toute modification, une sauvegarde -des données doit être effectuée. -<phrase arch="any-x86">Pour les partitions de type FAT/FAT32 et NTFS sur les systèmes -DOS et Windows, l'&d-i; et le gestionnaire de disque intégré de Windows 7 permettent -de modifier les partitions.</phrase> -</para> - -<para arch="x86"> -Pour redimensionner une partition FAT ou NTFS avec l'&d-i;, il faut aller -à l'étape du partitionnement, sélectionner l'option du partitionnement manuel, -choisir une partition à redimensionner et simplement indiquer sa nouvelle dimension. -</para> - -<para arch="hppa" condition="FIXME"> - -<emphasis>FIXME: write about HP-UX disks?</emphasis> - -</para> - -<para> - -Créer ou supprimer des partitions peut se faire avec l'&d-i; ou avec le système -d'exploitation existant. En règle générale, il vaut mieux utiliser -le système d'exploitation auquel sont destinées les partitions. -Ainsi, les partitions pour &debian-gnu; seront créées avec l'&d-i; et les -partitions pour un autre système seront créées avec cet autre système. -L'&d-i; peut créer sans problème particulier des partitions pour d'autres systèmes -d'exploitation mais il existe quelques rares cas où cela peut poser des problèmes. -Il est donc plus sûr de créer les partitions d'un système -avec les outils de partitionnement de ce système. -</para> - - -<para> - -Si vous installez plusieurs systèmes d'exploitation sur la même -machine, vous devriez commencer par les autres systèmes avant d'installer -&debian;. Windows ainsi que d'autres installateurs de système d'exploitation -peuvent vous empêcher de démarrer &debian;, ou vous encourager à reformater les -partitions non reconnues. - -</para><para> - -Vous pouvez annuler ces actions ou les éviter, mais installer en premier -le système natif vous épargnera des problèmes. - -</para><para arch="powerpc"> - -Pour qu'OpenFirmware puisse démarrer automatiquement &debian-gnu;, -les partitions &arch-parttype; doivent apparaître avant toute autre partition -sur le disque, en particulier avant les partitions d'amorçage de Mac OS X. -Il faut absolument garder ceci à l'esprit lorsque l'on partitionne le -disque ; vous devez créer une place pour les partitions &arch-parttype; -<emphasis>avant</emphasis> les autres partitions amorçables du disque. Les -petites partitions dédiées aux contrôleurs de disques Apple ne sont pas -amorçables. Vous pourrez supprimer cet espace libre avec les outils de -partitionnement &debian; durant la phase d'installation, et le remplacer par des -partitions &arch-parttype;. - -</para> - -<!-- paragraph scheduled for removal -<para> - -Si vous avez actuellement un seul disque dur avec une seule partition (situation -courante pour les ordinateurs de bureau), et si vous voulez pouvoir -démarrer &debian; ainsi que d'autres systèmes d'exploitation, vous aurez -besoin de : - - <orderedlist> -<listitem><para> - -sauvegarder tout ce qui se trouve sur l'ordinateur ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -démarrer depuis le support d'installation (du système d'exploitation -actuellement installé), par exemple un cédérom ou des bandes ; - -<phrase arch="powerpc">Si vous démarrez depuis un cédérom MacOS, maintenez la -touche <keycap>c</keycap> appuyée pendant le démarrage pour forcer le cédérom -à devenir le système actif pour MacOS) ;</phrase> - -</para></listitem> -<listitem><para> - -utiliser les outils de partitionnement natifs pour créer soit de nouvelles -partitions, soit de l'espace libre pour &debian-gnu; ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -installer le système d'exploitation natif sur sa nouvelle partition ; - -</para></listitem> -<listitem><para> - -démarrer ce système pour vérifier que tout fonctionne, et pour télécharger -les fichiers de démarrage pour l'installateur &debian; ; -</para></listitem> -<listitem><para> - -démarrer l'installateur &debian; pour commencer à installer &debian;. - -</para></listitem> -</orderedlist> -</para> - ---> -<!-- &nondeb-part-x86.xml; currently includes only outdated information; - don't use it for building the manual. - -&nondeb-part-x86.xml; ---> - -&nondeb-part-sparc.xml; -&nondeb-part-powerpc.xml; - - </sect1> diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml b/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml deleted file mode 100644 index f24fc3495..000000000 --- a/fr/preparing/nondeb-part/powerpc.xml +++ /dev/null @@ -1,41 +0,0 @@ -<!-- original version: 68523 --> - - - <sect2 arch="powerpc"><title>Partitionnement sous Mac OS X</title> - -<para> - -L'application <application>Disk Utility</application> se trouve dans le -menu <filename>Utilities</filename> de l'installateur Mac OS X. Il ne permet pas -d'ajuster des partitions existantes ; il se contente -de créer une partition unique occupant tout le disque. - -</para><para> - -N'oubliez pas de créer la place pour les partitions GNU/Linux, de -préférence au début du disque. Le type de cette partition importe peu -la partition sera modifiée plus tard par l'installateur &debian-gnu;. - -</para><para> - -Les outils de l'installateur &debian; pour modifier la table des partitions sont -compatibles avec OS X mais pas avec MacOS 9. Si vous prévoyez d'utiliser -les deux, il vaut mieux installer OS X et &debian; sur un disque et mettre -MacOS 9 sur un autre disque. Des options différentes pour -OS 9 et OS X apparaîtront en appuyant sur la touche -<keycap>option</keycap> pendant le démarrage, et d'autres options peuvent aussi être -installées dans le menu de démarrage <application>yaboot</application>. - -</para><para> - -GNU/Linux ne peut accéder aux informations des partitions UFS mais peut accéder à celles -des partitions HFS+ (MacOS Extended). OS X a -besoin d'un de ces types pour sa partition de démarrage. MacOS 9 -peut être installé soit sur HFS (MacOS standard), soit sur -HFS+. Pour partager des informations entre les systèmes Mac OS X et -GNU/Linux, une partition d'échange est très pratique. Les systèmes de fichiers -HFS, HFS+ et MS-DOS FAT sont reconnus par MacOS 9, Mac OS X et GNU/Linux. - -</para> - </sect2> - diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml b/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml deleted file mode 100644 index 8b6b41763..000000000 --- a/fr/preparing/nondeb-part/sparc.xml +++ /dev/null @@ -1,43 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - - <sect2 arch="sparc"><title>Partitionnement sous SunOS</title> - -<para> - -Il est tout à fait possible de partitionner depuis SunOS ; en fait, -si vous souhaitez avoir SunOS et &debian; sur la même machine, il est -recommandé de partitionner avec SunOS avant d'installer &debian;. -Le noyau Linux comprend les étiquettes des disques Sun, il n'y aura donc -aucun problème. SILO permet d'amorcer Linux et SunOS depuis des -partitions EXT2 (Linux), UFS (SunOS), romfs et iso9660 (cédérom). - -</para> - </sect2> - - <sect2 arch="sparc"><title>Partitionnement sous Linux ou sous un autre OS</title> - -<para> - -Quel que soit le système utilisé pour partitionner, vérifiez que vous -créez une étiquette de disque Sun sur le disque d'amorçage. C'est le -seul schéma de partitionnement que la PROM OpenBoot comprend, et donc -c'est le seul moyen d'amorçage. Dans <command>fdisk</command>, la touche -<keycap>s</keycap> est utilisée pour créer des étiquettes de disque Sun. -Vous n'avez besoin de le faire que sur les disques sans -étiquette de disque Sun. Si vous utilisez un disque qui avait été -formaté sur PC (ou toute autre architecture), vous devez créer une -nouvelle étiquette, ou attendez-vous à avoir des problèmes avec une -mauvaise reconnaissance de la géométrie du disque. - -</para><para> - -Vous allez certainement utiliser <command>SILO</command> comme programme -d'amorçage (le petit programme qui lance le noyau du système -d'exploitation). <command>SILO</command> impose certaines contraintes sur -l'emplacement et la taille des partitions. -Voyez <xref linkend="partitioning"/>. - -</para> - </sect2> - diff --git a/fr/preparing/nondeb-part/x86.xml b/fr/preparing/nondeb-part/x86.xml deleted file mode 100644 index 918d967d9..000000000 --- a/fr/preparing/nondeb-part/x86.xml +++ /dev/null @@ -1,125 +0,0 @@ -<!-- original version: 65195 --> - - - <sect2 arch="any-x86"><title>Partitionnement depuis DOS ou Windows</title> -<para> - -Si vous manipulez des partitions FAT ou NTFS existantes, il est -recommandé de suivre la méthode ci-dessous ou d'utiliser des produits -DOS ou Windows. Il n'est pas utile de partitionner à partir de -DOS ou Windows ; les outils de partitionnement &debian; sont généralement -meilleurs. - -</para><para> - -Si vous avez un grand disque IDE, et si vous n'utilisez ni l'adressage LBA, -ni des pilotes de recouvrement (parfois fournis par les constructeurs de -disques durs), ni un BIOS récent (après 1998) qui accepte les extensions -d'accès pour disques de grande capacité, vous devez faire attention -à la position de la partition de démarrage de &debian; : vous -devez la placer dans les 1024 premiers cylindres de votre disque dur -(habituellement aux alentours de 524 Mo, sans conversion par le -BIOS). Et il faudra peut-être déplacer une partition FAT ou NTFS -existante. - -</para> - - <sect3 id="lossless"> - <title>Repartitionnement sans perte sous DOS, Windows-32 ou OS/2 - </title> - -<para> - -Il est très courant de vouloir installer &debian; sur un système qui contient -déjà DOS (y compris Windows 3.1), Win32 (Windows 95, 98, Me, NT, 2000, -XP, 2003, Vista, 7) ou OS/2, sans détruire l'ancien système. L'installateur &debian; sait -redimensionner les systèmes de fichiers FAT et NTFS utilisés par DOS et Windows. -Lancez simplement l'installateur. Quand vous êtes à l'étape <quote>partitionnement</quote>, -choisissez l'option <menuchoice> <guimenuitem>Manuel</guimenuitem> </menuchoice>, -puis choisissez la partition à redimensionner et indiquez la -taille voulue. Dans la plupart des cas, vous n'aurez pas besoin de la méthode -décrite plus bas. - -</para><para> - -Avant d'aller plus loin, vous devez avoir décidé comment vous allez -diviser le disque. La méthode présentée dans ce chapitre ne vise qu'à -diviser une partition en deux parties. L'une contiendra l'OS original -et l'autre sera utilisée pour &debian;. -Pendant l'installation de &debian;, vous aurez l'occasion de terminer la division -de la partie &debian; du disque comme vous le souhaitez (partition d'échange ou -partition avec système de fichiers). - -</para><para> - -L'idée est de déplacer toutes les données au début de la partition, avant de -changer les caractéristiques de la partition : ainsi rien ne sera perdu. -Il est important de ne rien faire entre le déplacement des données et le repartitionnement, -pour minimiser le risque qu'un fichier soit écrit près de la fin de la partition, -puisque cela diminuerait la quantité d'espace pouvant être pris sur la partition. - -</para><para> - -Il faut tout d'abord une copie de <command>fips</command> -Décompressez l'archive et copiez les fichiers -<filename>RESTORRB.EXE</filename>, -<filename>FIPS.EXE</filename> et <filename>ERRORS.TXT</filename> sur une -disquette amorçable. Une disquette amorçable peut être créée en utilisant la -commande <filename>sys a:</filename> sous DOS. <command>Fips</command> est -fourni avec une très bonne documentation qu'il est conseillé de lire. Vous devrez la -lire si vous utilisez un pilote de compression de disque ou un gestionnaire -de disque. Créez la disquette et lisez la documentation -<emphasis>avant</emphasis> de défragmenter le disque. - -</para><para> - -L'étape suivante consiste à déplacer toutes les données au début de -la partition. L'utilitaire <command>defrag</command>, qui est livré en -standard avec DOS 6.0 et les versions supérieures, est parfaitement approprié à cette -tâche. Consultez la documentation de <command>fips</command> pour une liste des autres -logiciels qui peuvent faire l'affaire. Notez que si vous avez Windows95, vous -devez lancer <command>defrag</command> depuis celui-ci, puisque DOS ne -comprend pas le système de fichiers VFAT qui est utilisé pour gérer -les noms longs depuis Windows 95 et les versions supérieures. - -</para><para> - -Après la défragmentation (ce qui peut prendre du temps), -réamorcez avec la disquette <command>fips</command> que vous avez -créée dans le lecteur de disquette. Saisissez simplement -<filename>a:\fips</filename> et suivez les instructions. - -</para><para> - -Il existe beaucoup d'autres utilitaires de partitionnement -au cas où <command>fips</command> ne conviendrait pas. - -</para> - </sect3> - - <sect3 id="partitioning-for-dos"><title>Partitionnement sous DOS</title> - -<para> - -Si vous partitionnez des disques DOS, ou si vous changez la taille de -partitions DOS, en utilisant des outils &debian;, sachez que beaucoup de -problèmes ont été constatés avec -les partitions FAT obtenues. Par exemple, on a remarqué des problèmes de -performance ou des problèmes de cohérence avec <command>scandisk</command>, et -d'autres erreurs bizarres sous DOS ou Windows. - -</para><para> - -Apparemment, chaque fois que vous créez ou que vous redimensionnez une -partition destinée à être utilisée sous DOS, c'est une bonne idée de -remplir avec des zéros quelques-uns des premiers secteurs. Vous pouvez exécuter -la commande suivante depuis &debian; avant de lancer -la commande DOS <command>format</command> : - -<informalexample><screen> -# dd if=/dev/zero of=/dev/hdXX bs=512 count=4 -</screen></informalexample> - -</para> - </sect3> - </sect2> diff --git a/fr/preparing/pre-install-bios-setup.xml b/fr/preparing/pre-install-bios-setup.xml deleted file mode 100644 index 270742f96..000000000 --- a/fr/preparing/pre-install-bios-setup.xml +++ /dev/null @@ -1,57 +0,0 @@ -<!-- original version: 67993 --> - - - <sect1 id="pre-install-bios-setup"> - <title>Configuration matérielle et système avant l'installation</title> -<para> - -Cette section passe en revue les réglages matériels que vous devrez peut-être -effectuer avant d'installer &debian;. En général, cela implique de vérifier, -et parfois de modifier, les réglages du microprogramme système (BIOS, etc.) sur votre machine. -Le <quote>BIOS</quote> ou <quote>microprogramme système</quote> est le logiciel de base utilisé par le matériel ; -il est plus spécifiquement exécuté pendant le processus d'amorçage (après la mise sous tension). - -</para> - -&bios-setup-i386.xml; -&bios-setup-powerpc.xml; -&bios-setup-sparc.xml; -&bios-setup-s390.xml; - - <sect2 arch="x86;powerpc" id="hardware-issues"> -<title>Problèmes matériels à surveiller</title> - -<formalpara arch="x86"> -<title>BIOS et Claviers USB</title> -<para> - -Si vous n'avez pas de clavier de type PS/2, mais seulement un modèle USB, -vous devrez peut-être activer, sur quelques vieux systèmes, l'émulation clavier -dans la configuration du BIOS pour pouvoir utiliser votre clavier dans le menu du programme d'amorçage. -Sur les systèmes modernes, il n'y a pas de problème. -Si votre clavier ne répond pas dans le menu du programme d'amorçage, -consultez le manuel de votre carte mère et cherchez dans le BIOS -une option « Legacy keyboard emulation » ou « USB keyboard support ». - -</para> -</formalpara> - - <formalpara arch="powerpc"> - <title>Problèmes d'affichage sur OldWorld Powermacs</title> -<para> - -Certaines machines OldWorld Powermacs, particulièrement celles qui ont -un pilote d'affichage <quote>control</quote>, -peuvent ne pas produire un système des couleurs fiable -pour un affichage avec plus de 256 couleurs sous Linux. Si vous rencontrez des -problèmes après le redémarrage (parfois vous voyez quelque chose, parfois rien) -ou bien si l'écran devient noir après le lancement de l'installateur au lieu de -montrer l'interface utilisateur, essayez de régler l'affichage sous MacOS à -256 couleurs au lieu des <quote>centaines</quote> ou <quote>millions</quote> couleurs -disponibles. -</para> -</formalpara> - </sect2> - </sect1> - - diff --git a/fr/preparing/preparing.xml b/fr/preparing/preparing.xml deleted file mode 100644 index 38404e431..000000000 --- a/fr/preparing/preparing.xml +++ /dev/null @@ -1,20 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<chapter id="preparing"> - <title>Avant d'installer &debian-gnu;</title> - -<para> - -Ce chapitre traite de la préparation nécessaire à l'installation d'un système -&debian;, avant même tout amorçage de l'installateur. Cela concerne la sauvegarde -des données, la connaissance de votre matériel et des informations nécessaires. -</para> - -&install-overview.xml; -&backup.xml; -&needed-info.xml; -&minimum-hardware-reqts.xml; -&non-debian-partitioning.xml; -&pre-install-bios-setup.xml; - -</chapter> diff --git a/fr/using-d-i/components.xml b/fr/using-d-i/components.xml deleted file mode 100644 index 1111045d3..000000000 --- a/fr/using-d-i/components.xml +++ /dev/null @@ -1,185 +0,0 @@ -<!-- original version: 65801 --> - - <sect1 id="module-details"> - <title>Utilisation des composants</title> -<para> - -Dans cette section, nous décrirons en détail chaque composant de -l'installateur. Ces composants -sont présentés selon leur ordre d'apparition dans le -processus d'installation. Notez que les modules ne sont pas tous utilisés dans -toutes les installations. Leur utilisation dépend du matériel et du -type d'installation choisi. -</para> - - <sect2 id="di-setup"> - <title>L'installateur &debian; et la configuration du matériel</title> -<para> - -Supposons que l'installateur &debian; a démarré et vous propose son -premier écran. Les fonctionnalités de l'installateur sont à ce moment très -limitées. Il ne connaît pas votre matériel, la langue voulue, ni même ce qu'il -doit faire. Ne vous inquiétez pas ! L'installateur est un programme -intelligent qui peut explorer votre matériel, trouver ses composants et se -transformer en un système d'installation opérationnel. - -Cependant certaines valeurs comme la langue choisie, la carte clavier ou -le miroir sur le réseau ne peuvent être automatiquement déterminées et -doivent lui être données. -</para> - -<para> -Il faut noter que l'installateur procède à plusieurs détections de matériel -pendant cette étape. La première recherche particulièrement le matériel nécessaire à -l'installation des composants de l'installateur (le lecteur de cédérom ou la -carte réseau par exemple). Comme tous les pilotes ne sont pas disponibles -lors de cette première recherche, d'autres détections de matériel sont -nécessaires. -</para> - -<para arch="not-s390"> - -Pendant ces détections, l'installateur vérifie si les pilotes de périphériques exigent des microprogrammes -pour fonctionner. Quand un microprogramme est demandé mais indisponible, un écran est affiché -qui propose de charger ce microprogramme à partir d'un support amovible. -Voyez <xref linkend="loading-firmware"/> pour des informations supplémentaires. - -</para> - -&module-lowmem.xml; -&module-localechooser.xml; -&module-kbd-chooser.xml; -&module-s390-netdevice.xml; -&module-ddetect.xml; -&module-cdrom-detect.xml; -&module-iso-scan.xml; -&module-anna.xml; -&module-netcfg.xml; -&module-choose-mirror.xml; -<!-- tzsetup is included in clock-setup --> -&module-clock-setup.xml; - - </sect2> - - <sect2 id="di-user-setup"> - <title>Création des utilisateurs et des mots de passe</title> -<para> - -Juste avant la configuration de l'horloge, l'installateur permet la création -du compte du superutilisateur (<quote>root</quote>) et du compte du premier utilisateur. -D'autres comptes peuvent être créés une fois l'installation du système terminée. - -</para> - -&module-user-setup.xml; - </sect2> - - <sect2 id="di-partition"> - <title>Partitionnement et points de montage</title> -<para> - -Après la dernière détection de matériel, l'installateur est pleinement -opérationnel et connaît les besoins de l'utilisateur. - -Comme l'indique le titre de cette section, la tâche des composants de cette -étape est de partitionner les disques, créer les systèmes de fichiers et -déclarer les points de montage. Des tâches proches, comme la configuration de -périphériques chiffrés ou de périphériques LVM ou RAID, peuvent aussi être menées à bien. - -</para> - -&module-s390-dasd.xml; -&module-partman.xml; -&module-autopartkit.xml; -&module-partitioner.xml; -&module-partconf.xml; -&module-mdcfg.xml; -&module-partman-lvm.xml; -&module-partman-crypto.xml; - - </sect2> - - <sect2 id="di-install-base"> - <title>L'installation du système de base</title> -<para> - -Quoique cette étape de l'installation soit la moins compliquée, elle -consomme une grande partie du temps de l'installation ; c'est pendant cette étape -que sont téléchargés, vérifiés et installés tous les paquets du système de base. Si -votre ordinateur est lent ou si vous utilisez une connexion réseau, cela peut -prendre du temps. - -</para> - -&module-base-installer.xml; - - </sect2> - - <sect2 id="di-install-software"> - <title>Installation de logiciels supplémentaires</title> -<para> - -Pour l'instant, vous avez un système viable mais limité. -La plupart des utilisateurs voudront installer d'autres logiciels et l'installateur le -permet. Cette étape peut prendre plus de temps que l'installation du système de base -sur des ordinateurs lents. - -</para> -&module-apt-setup.xml; -&module-pkgsel.xml; - </sect2> - - - <sect2 id="di-make-bootable"> - <title>Rendre le système amorçable</title> - - -<para condition="supports-nfsroot"> - -Si vous installez &debian; sur un poste de travail sans disque, amorcer le -disque est une option sans intérêt et cette étape sera évitée. -<phrase arch="sparc">Il est possible de régler l'<quote>OpenBoot</quote> pour -qu'il s'amorce sur le réseau : voyez <xref linkend="boot-dev-select-sun"/>.</phrase> -</para> - -&module-os-prober.xml; -&module-hppa-palo-installer.xml; -&module-x86-grub-installer.xml; -&module-x86-lilo-installer.xml; -&module-ia64-elilo-installer.xml; -&module-mips-arcboot-installer.xml; -&module-mipsel-colo-installer.xml; -&module-powerpc-yaboot-installer.xml; -&module-powerpc-quik-installer.xml; -&module-s390-zipl-installer.xml; -&module-sparc-silo-installer.xml; -&module-nobootloader.xml; - </sect2> - - <sect2 id="di-finish"> - <title>La fin de l'installation</title> -<para> - -Dans cette dernière étape du processus d'installation, les tâches de dernière minute sont -effectuées. Elles consistent essentiellement en un nettoyage après le travail de l'installateur. - -</para> -&module-clock-setup-finish.xml; -&module-finish-install.xml; - </sect2> - - <sect2 id="di-miscellaneous"> - <title>Dépannage</title> -<para> - -Les composants suivants ne participent pas au processus d'installation, ils -attendent en silence que l'utilisateur ait besoin d'aide. - -</para> -&module-save-logs.xml; -&module-cdrom-checker.xml; -&module-shell.xml; - - </sect2> -&module-network-console.xml; - </sect1> diff --git a/fr/using-d-i/loading-firmware.xml b/fr/using-d-i/loading-firmware.xml deleted file mode 100644 index 2fb17ec7b..000000000 --- a/fr/using-d-i/loading-firmware.xml +++ /dev/null @@ -1,141 +0,0 @@ -<!-- original version: 68421 --> - - <sect1 id="loading-firmware" arch="not-s390"> - <title>Télécharger des microprogrammes (<emphasis>firmware</emphasis>) manquants</title> -<para> - -Certains périphériques exigent des microprogrammes pour fonctionner. -Voyez <xref linkend="hardware-firmware"/>. Dans la plupart des cas, le périphérique ne fonctionnera pas -si le microprogramme n'est pas disponible. Parfois les fonctionnalités de base -ne sont pas affectées par l'absence du microprogramme et seules les fonctionnalités -avancées exigent sa présence. - -</para><para> - -Quand un pilote de périphérique demande un microprogramme qui n'est pas disponible, -l'installateur debian affiche un écran qui propose de télécharger le microprogramme. -Si cette option est choisie, les fichiers du microprogramme ou les paquets contenant ce -microprogramme seront cherchés sur les périphériques disponibles. Une fois trouvé, -le microprogramme sera placé au bon endroit, (<filename>/lib/firmware</filename>), et -le module du pilote sera rechargé. - -</para> -<note><para> - -Quels périphériques sont examinés et quels systèmes de fichiers sont reconnus, cela -dépend de l'architecture, de la méthode d'installation et aussi du moment dans le -processus d'installation. Pendant les premières étapes de ce processus, il est probable -que le microprogramme sera correctement chargé depuis une disquette avec un système de fichiers FAT -ou une clé USB. -<phrase arch="x86">Sur les architectures i386 et amd64, les microprogrammes peuvent être chargés sur des cartes -SD ou MMC.</phrase> - -</para></note> -<para> - -Il est possible d'éviter l'étape du chargement d'un microprogramme si l'on sait -que le périphérique fonctionnera sans microprogramme ou que le périphérique n'est pas -nécessaire pendant l'installation. - -</para> - -<para> - -L'&d-i; ne demande que les microprogrammes nécessaires aux modules du noyau -chargés pendant l'installation. L'&d-i; ne contient pas tous les pilotes et en -particulier, il ne contient pas radeon. Ainsi les capacités de certains périphériques -à la fin de l'installation peuvent ne pas différer de ce qu'elles étaient au début de -l'installation. Si vous suspectez que vos périphériques ne sont pas utilisés pleinement, -ou si vous êtes simplement curieux, vous pouvez vérifier sur le nouveau système ce que -donne une recherche de <quote>firmware</quote> sur le résultat -de la commande <command>dmesg</command>. - -</para> - - <sect2><title>Préparer le support</title> -<para> - -Les images sur CD officielles ne comportent pas de microprogrammes non libres. -La méthode la plus commune pour télécharger ces microprogrammes est de les placer -sur un support amovible comme une clé USB. -Cependant on peut trouver des CD non officiels comportant ces microprogrammes -à l'adresse suivante, <ulink url="&url-firmware-cds;"/>. - -Les fichiers du microprogramme ou le paquet les contenant doivent être -dans le répertoire racine ou dans un répertoire nommé <filename>/firmware</filename> -du système de fichiers utilisé (partition de disque dur, disquette, clé USB). -Il est recommandé d'utiliser le système de fichiers FAT car -ce système sera certainement reconnu dans les premières étapes du processus d'installation. - -</para><para> - -Des archives (<emphasis>tarballs</emphasis> ou fichiers zip) contenant les paquets -pour les microprogrammes les plus courants sont disponibles sur - -<itemizedlist> -<listitem><para> -<ulink url="&url-firmware-tarballs;"/> -</para></listitem> -</itemizedlist> - -Il suffit de télécharger la bonne version des fichiers et de les placer sur -le système de fichiers du support. - - -</para><para> - -Si le microprogramme voulu n'est pas inclus dans le fichier tar, vous pouvez aussi -trouver des paquets spécifiques dans la section <emphasis>non-free</emphasis> de l'archive. -La liste suivante indique la plupart des microprogrammes disponibles sous forme de paquets. -Elle n'est certainement pas complète et elle peut contenir des paquets qui ne sont pas des microprogrammes. - -<itemizedlist> -<listitem><para> -<ulink url="&url-firmware-packages;"/> -</para></listitem> -</itemizedlist> - -</para><para> - -Il est aussi possible de copier sur le support des microprogrammes sous forme de simple fichier. -Ces fichiers peuvent être pris par exemple sur un système déjà installé ou donnés par -un vendeur de matériel. - -</para> - </sect2> - - <sect2><title>Microprogrammes et système installé</title> -<para> - -Tout microprogramme chargé pendant l'installation est copié automatiquement -sur le système installé. Dans la plupart des cas, le périphérique qui demandait -le microprogramme fonctionnera correctement une fois la machine relancée sur le nouveau -système installé. Cependant si le système installé utilise une autre version du noyau -que celle utilisée par l'installateur, il existe un risque léger que le microprogramme -ne puisse être chargé, à cause de la différences des versions. - -</para><para> - -Si le microprogramme chargé était sous forme de paquet, l'installateur debian -installera aussi ce paquet dans le nouveau système installé et ajoutera -automatiquement la section <emphasis>non-free</emphasis> de l'archive debian dans -le fichier <filename>sources.list</filename> d'apt. Ainsi le microprogramme sera -automatiquement mis à jour quand une nouvelle version apparaît. - -</para><para> - -Si l'étape de chargement du microprogramme a été évitée pendant l'installation, -le périphérique ne fonctionnera pas correctement sur le système installé. -Il faudra installer le microprogramme <emphasis>manuellement</emphasis>. - -</para> -<note><para> - -Quand le microprogramme provient de simples fichiers, une fois copié sur -le système installé, il <emphasis>ne</emphasis> sera <emphasis>pas</emphasis> automatiquement mis à jour, -sauf s'il existe un paquet correspondant à ce microprogramme et que ce paquet -est installé quand l'installation est terminée. - -</para></note> - </sect2> - </sect1> diff --git a/fr/using-d-i/modules/anna.xml b/fr/using-d-i/modules/anna.xml deleted file mode 100644 index 8b267a096..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/anna.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/apt-setup.xml b/fr/using-d-i/modules/apt-setup.xml deleted file mode 100644 index 258e85bf6..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/apt-setup.xml +++ /dev/null @@ -1,212 +0,0 @@ -<!-- original version: 68538 --> - - <sect3 id="apt-setup"> - <title>La configuration d'apt</title> - -<para> - -Le principal outil utilisé pour installer des paquets sur les systèmes &debian-gnu; -est un programme appelé <command>apt-get</command> qui se trouve dans le -paquet <classname>apt</classname> <footnote> -<para> -Notez que le programme effectivement utilisé pour installer des paquets est -<command>dpkg</command>. Toutefois, ce paquet est un outil de bas niveau -qu'<command>apt-get</command> appelle lorsqu'il en a besoin. -Ce dernier est un outil de plus haut niveau car il sait aussi bien installer -les paquets nécessaires à l'installation du paquet que vous essayez -d'installer, que récupérer le paquet à partir d'un cédérom, du réseau, etc. -Il sait aussi installer automatiquement les paquets nécessaires au bon fonctionnement -des paquets qu'il installe.</para></footnote>. - -Il existe aussi d'autres paquets, comme <command>aptitude</command> et -<command>synaptic</command>. Ces programmes, avec de belles interfaces, sont recommandés -pour les débutants car ils offrent des fonctions -supplémentaires comme la recherche de paquets ou la vérification des statuts. -Le programme <command>aptitude</command> est maintenant conseillé pour la gestion des -paquets. -</para><para> - -<command>Apt</command> doit être configuré pour qu'il sache où récupérer les paquets. -Les résultats de cette configuration sont transcrits dans -le fichier <filename>/etc/apt/sources.list</filename>. Vous pouvez le consulter et le modifier -à votre guise quand l'installation est terminée. - -</para> - -<para> -Quand la priorité de l'installation est la priorité par défaut, l'installateur prend -automatiquement en charge cette configuration, en fonction de la méthode d'installation -et des choix précédemment faits. Dans la plupart des cas, il installe automatiquement un miroir -pour les mises à jour de sécurité et, si vous installez la distribution stable, un miroir pour le service de -mise à jour <quote>volatile</quote>. -</para> -<para> -Quand la priorité de l'installation est une priorité plus basse (en mode expert par exemple), -vous pourrez prendre davantage de décisions. Vous pouvez choisir d'utiliser ou non les services -de mise à jour (<quote>security</quote> ou <quote>volatile</quote>), vous pouvez choisir d'ajouter -des paquets appartenant aux sections <quote>contrib</quote> ou <quote>non-free</quote> de la distribution. -</para> - - <sect4 id="apt-setup-cdset"> - <title>Installation avec plusieurs CD/DVD</title> - -<para> - -Si l'installation se fait à partir d'un CD/DVD, l'installateur demandera si -vous voulez faire analyser d'autres CD/DVD. Si vous possédez plusieurs CD/DVD, c'est une bonne idée. -L'installateur pourra installer les paquets ainsi mis à disposition. - -</para><para> - -Il n'est pas nécessaire de posséder d'autres CD/DVD. Cependant, si vous n'utilisez pas non plus -de miroir réseau (cf. la section suivante), il se peut que certains paquets appartenant aux tâches -que vous sélectionnerez dans la prochaine étape de l'installation ne puissent pas être installés. - -</para> -<note><para> - -Les paquets sont classés sur les CD/DVD par ordre de popularité. Ainsi, -pour la plupart des utilisations, seuls les premiers CD/DVD sont nécessaires. -Très peu de personnes utilisent les derniers CD/DVD d'un ensemble. -</para> -<para> -C'est pourquoi acheter ou graver un ensemble complet de CD/DVD n'est qu'une perte d'argent car -vous n'utiliserez jamais tous les CD/DVD de cet ensemble. Il vaut mieux ne prendre que les -trois premiers CD (ou les huit premiers) et installer les autres paquets souhaités à partir -d'un miroir réseau. De même, pour les ensembles de DVD, le premier (ou les deux premiers) -satisfera tous les besoins usuels. -</para> -<para> -Si vous voulez par exemple installer un environnement graphique de bureau comme GNOME, -seuls les trois premiers CD sont nécessaires. Pour les environnements KDE ou Xfce, d'autres -CD sont nécessaires. Le premier DVD couvre facilement les trois environnements. -</para></note> - -<para> -Si vous faites analyser plusieurs CD/DVD, l'installateur vous demandera de changer -le disque quand il aura besoin d'installer un paquet se trouvant sur un autre disque. -Il est recommandé de ne faire analyser que les disques d'un même ensemble. L'ordre dans -lequel ils sont analysés n'a pas d'importance. Cependant une analyse faite selon l'ordre ascendant réduit -les risques d'erreur. -</para> -</sect4> - - <sect4 id="apt-setup-mirror"> - <title>Utiliser un miroir réseau</title> - -<para> - -Dans la plupart des installations, la question concernant l'utilisation ou non d'un -miroir réseau est posée et, dans la plupart des cas, la réponse par défaut -est correcte. Cependant il existe des exceptions. - -</para> -<para> - -Si l'installation n'est pas faite à partir d'un disque complet ou d'une image de disque complet, l'utilisation -d'un miroir réseau est conseillée. En effet, sans miroir réseau, vous n'installerez qu'un système -réduit au minimum. Cependant, si vous ne possédez pas une bonne connexion internet, il vaut -mieux ne pas choisir la tâche <literal>desktop</literal>. -</para> - -<para> - -Si vous faites une installation à partir d'un disque complet ou d'une image de disque complet, -le miroir réseau n'est pas nécessaire ; cependant il est recommandé car un CD ne contient -que peu de paquets. -Si vous ne possédez pas une bonne connexion internet, il reste préférable -de ne pas choisir un miroir réseau et de terminer l'installation avec ce qui -se trouve sur le CD. Après l'installation, c'est-à-dire après le lancement -du nouveau système, vous pourrez ajouter d'autres paquets. - -</para> -<para> - -Si vous faites une installation à partir d'un DVD ou d'une image DVD, -tous les paquets nécessaires à l'installation doivent être présents sur le premier disque. -L'utilisation d'un miroir réseau est facultative. - -</para> -<para> -L'un des avantages du miroir réseau est qu'il rend disponibles les mises à jour -apparues depuis la création des CD/DVD et intégrées dans une version intermédiaire de la distribution. -La durée de vie des CD/DVD est ainsi allongée sans compromettre la sécurité et la stabilité -du système installé. - -</para> -<para> - -En résumé, choisir un miroir réseau est une bonne idée, sauf si votre -connexion internet n'est pas de bonne qualité. Si la version courante d'un paquet -est présente sur le CD/DVD, l'installateur l'utilisera. -La quantité de données téléchargées à partir d'un miroir dépend - -<orderedlist> -<listitem><para> -des tâches choisies lors de la prochaine étape de l'installation, -</para></listitem> -<listitem><para> -des paquets nécessaires à ces tâches, -</para></listitem> - -<listitem><para> - -de la présence de ces paquets sur les CD/DVD analysés et -</para></listitem> - -<listitem><para> - -de l'existence de nouvelles versions de ces paquets sur un miroir réseau, que ce miroir offre -la distribution standard ou les services de mises à jour <quote>security</quote> et <quote>volatile</quote>. - -</para></listitem> -</orderedlist> -</para> -<para> -Il faut noter que même si vous avez choisi de ne pas utiliser de miroir, -certains paquets peuvent être téléchargés sur internet, par exemple, s'il existe de nouvelles -versions des paquets et que les services de mises à jour <quote>security</quote> ou <quote>volatile</quote> -ont été installés. -</para> -</sect4> - -<sect4 id="apt-setup-mirror-selection"> -<title>Choisir un miroir réseau</title> -<para> - -Quand vous avez choisi d'utiliser un miroir réseau pendant l'installation - -facultatif pour une installation par CD/DVD, nécessaire avec une image <emphasis>netboot</emphasis> -, -une liste vous est présentée contenant les miroirs géographiquement proches -(et donc rapides), choisis par rapport au pays que vous avez précédemment indiqué. -Le miroir proposé par défaut peut être sélectionné sans problème. - -</para><para> - -Vous pouvez aussi indiquer un miroir en choisissant <quote>Entrez l'information vous-même</quote> -et en saisissant le nom du miroir et un numéro de port (facultatif). -À partir de Wheezy, ce nom doit être une URL, c'est-à-dire, si vous spécifiez une adresse IPv6, -vous devez ajouter les crochets, <quote>[2001:db8::1]</quote>. - -</para><para> - -Si votre ordinateur est sur un réseau uniquement IPv6 (ce qui n'est sans doute pas le cas -de la grande majorité des utilisateurs), le miroir par défaut peut ne pas fonctionner. -Tous les miroirs de la liste sont atteignables en IPv4, mais seuls quelques uns utilisent -IPv6. Comme la connectivité de chaque miroir se modifie au cours du temps, cette information -n'est pas connue par l'installateur. Si le miroir par défaut de votre pays n'utilise pas IPv6, -vous pouvez essayer les autres miroirs de la liste ; vous pouvez aussi choisir -l'option <quote>Entrer l'information vous-même</quote> et indiquer le miroir -<quote>ftp.ipv6.debian.org</quote>, qui est l'alias d'un miroir atteignable en IPv6. -Il ne sera sans doute pas le plus rapide. - -</para><para> - -Vous pouvez choisir aussi d'indiquer le miroir <quote>http.debian.net</quote>. -Ce n'est pas un miroir réel mais une redirection qui connecte votre système à -miroir proche de vous en termes de topologie des réseaux. Il tient compte -du protocole que vous utilisez pour vous connecter, et si vous utilisez IPv6, -il vous redirigera vers un miroir IPv6 proche de vous. - -</para> -</sect4> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml b/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml deleted file mode 100644 index 8b267a096..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/autopartkit.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml deleted file mode 100644 index be75dabde..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/base-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,43 +0,0 @@ -<!-- original version: 64743 --> - -<para> - -Pendant l'installation du système de base, les messages concernant la -décompression et la configuration des paquets sont redirigés sur -<userinput>tty4</userinput>. On peut accéder à ce terminal en faisant -<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F4</keycap></keycombo> ; -et l'on revient au processus principal avec -<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F1</keycap></keycombo>. - - -</para><para> - -Les messages concernant la décompression et la configuration des paquets -produits par le processus d'installation sont enregistrés dans le fichier -<filename>/var/log/syslog</filename>. Vous pouvez les lire dans ce fichier -quand l'installation se fait avec une console série. - -</para> -<para> -Le noyau &arch-kernel; fait partie de l'installation. Avec la priorité par défaut, -l'installateur choisira le noyau qui correspond le mieux à votre matériel. -Avec les priorités les plus basses, vous pourrez en choisir un dans une liste. -</para> - -<para> -Quand le système de gestion des paquets installe des paquets, il -installe par défaut les paquets qui sont <quote>recommandés</quote> par -ces paquets. Les paquets <quote>recommandés</quote> ne sont pas -absolument nécessaires aux fonctions de base des logiciels mais ils les -améliorent. Dans l'esprit des responsables de paquets, ils doivent être -installés. -</para> - -<note><para> - -Pour des raisons techniques, Les paquets <quote>recommandés</quote> par -les paquets installés pendant le processus d'installation du système de -base ne sont pas installés. La règle décrite précédemment n'est -appliquée qu'après l'installation du système de base. - -</para></note> diff --git a/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml b/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml deleted file mode 100644 index 936f71f4d..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/cdrom-checker.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 14337 -->
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml b/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml deleted file mode 100644 index 8b267a096..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/cdrom-detect.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml b/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml deleted file mode 100644 index 8e03e4f6e..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/choose-mirror.xml +++ /dev/null @@ -1,24 +0,0 @@ -<!-- original version: 66398 --> - -<!-- -Hmm. This really does need documenting :-/ - -- Component is only selected and executed if the installer needs to load - installer components or the base system from the network - (either local or the internet). -- This means you first have to configure a network interface. -- Mirror selection is delayed until apt-setup for CD-based installs (except - businesscard) -- A list of countries is displayed with the default based on the country you - selected earlier. -- Selection of a local mirror (at top of the list: manual selection). -- After selecting a country, a list of mirrors in the country will be shown. - (not for ftp) -- Forcing to ftp can be done using "protocol=ftp" -- Note that not all mirrors are equal (see http://www.nl.debian.org/mirror/list) -- cdn.debian.net can be a useful catch-all. - -- The selected mirror will be tested. -- How to handle problems with mirrors. ---> - diff --git a/fr/using-d-i/modules/clock-setup-finish.xml b/fr/using-d-i/modules/clock-setup-finish.xml deleted file mode 100644 index 9251dacf4..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/clock-setup-finish.xml +++ /dev/null @@ -1,28 +0,0 @@ -<!-- original version: 64742 --> - - <sect3 arch="not-s390" id="system-clock"> - <title>Configuration de l'horloge du système</title> - -<para> -L'installateur peut demander si l'horloge de votre système est réglée sur UTC. -Normalement cette question n'est pas posée et l'installateur essaie de déterminer -si l'horloge est réglée sur UTC en analysant les autres systèmes installés. -</para> -<para> -En mode expert il est toujours possible de régler l'horloge sur UTC. -<phrase arch="powerpc">Les horloges des machines Macintosh utilisent normalement -une heure locale. Si vous désirez amorcer plusieurs systèmes, sélectionnez heure locale -plutôt que GMT.</phrase> -<phrase arch="any-x86">Les machines qui tournent (aussi) sous Dos ou Windows sont -normalement réglées sur l'heure locale. Si vous désirez utiliser -plusieurs systèmes, sélectionnez heure locale plutôt que GMT.</phrase> -</para> - -<para> - -À ce point, l'installateur modifie l'horloge de la machine avec l'heure courante, UTC ou temps local selon -le choix qui a été fait précédemment. - -</para> - -</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/clock-setup.xml b/fr/using-d-i/modules/clock-setup.xml deleted file mode 100644 index b0eac8d71..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/clock-setup.xml +++ /dev/null @@ -1,20 +0,0 @@ -<!-- original version: 61405 --> - - <sect3 id="clock-setup"> - <title>Configuration de l'horloge et du fuseau horaire</title> - -<para> -L'installateur essaiera d'abord de se connecter à un serveur de temps sur internet, -en utilisant le protocole <firstterm>NTP</firstterm>. S'il ne réussit pas à configurer -correctement le temps du système, il supposera que l'heure et la date données par l'horloge -de la machine au moment de l'amorçage sont justes. Il n'existe pas d'autres manières de configurer -le temps système pendant le processus d'installation. -</para> - -<para arch="s390"> - -L'installateur ne modifie pas l'horloge système sur les plateformes s390. - -</para> -&module-tzsetup.xml; - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml b/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml deleted file mode 100644 index d0d068f3d..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/ddetect.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/finish-install.xml b/fr/using-d-i/modules/finish-install.xml deleted file mode 100644 index 8ff89c8c8..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/finish-install.xml +++ /dev/null @@ -1,17 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect3 id="finish-install"> - <title>Réamorcer le système</title> - -<para arch="not-s390"> - -On vous demandera de retirer le support d'installation (cédérom, disquette, etc.) -utilisé pour démarrer l'installateur. Puis l'installateur amorce le nouveau système &debian;. -</para> -<para arch="s390"> -Après une dernière invite, le système s'arrête car &arch-title; ne peut pas être -réamorcé dans ce cas. Vous devez alors amorcer debian avec IPL depuis le -DASD que vous avez sélectionné comme système de fichiers racine pendant les -premières étapes de l'installation. -</para> -</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml deleted file mode 100644 index 9dd1445e8..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/hppa/palo-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,20 +0,0 @@ -<!-- original version: 14602 --> - - <sect3 arch="hppa"> - <title>Installer <command>palo</command></title> -<para> - -Le programme d'amorçage sur PA-RISC est <quote>palo</quote>. -<command>PALO</command> est dans sa configuration -et son utilisation similaire à <command>LILO</command> à quelques -différences près. <command>PALO</command> vous permet -de démarrer n'importe quel noyau présent sur votre partition de -démarrage. Car <command>PALO</command> est capable de lire les -partitions Linux. - -</para><para condition="FIXME"> - -hppa FIXME ( need more info ) - -</para> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml deleted file mode 100644 index 229a3c2eb..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/ia64/elilo-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,120 +0,0 @@ -<!-- original version: 65000 --> - -<sect3 arch="ia64"> -<title>Installation du programme d'amorçage <command>ELILO</command> sur un disque dur</title> -<para> -Le programme d'amorçage pour &architecture; est appelé <quote>elilo</quote>. -Il est conçu sur le modèle du programme d'amorçage <quote>lilo</quote> pour -l'architecture x86 et il utilise un fichier de configuration semblable. -Cependant, il n'écrit pas sur le secteur principal d'amorçage d'un disque ou -d'une partition ; il copie les fichiers nécessaires sur une partition -FAT distincte et modifie le menu du -<guimenuitem>gestionnaire d'amorçage EFI</guimenuitem> dans le microprogramme pour -qu'il pointe vers les fichiers de la partition EFI. Le programme -<command>elilo</command> a réellement deux parties. La commande -<filename>/usr/sbin/elilo</filename> gère la partition et copie les fichiers. -Le programme <filename>elilo.efi</filename> est copié dans la partition EFI et -il est exécuté par le <quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> dans le but -de charger et lancer le noyau Linux. -</para> -<para> -La configuration et l'installation du programme <quote>elilo</quote> sont -faites dans la dernière étape de l'installation des paquets de base. -L'installateur affichera une liste de partitions EFI possibles. Choisissez la -partition que vous avez définie plus tôt dans le processus d'installation, par -exemple une partition sur le disque qui contient le système de fichiers racine. -</para> - -<warning><title>Choisissez la bonne partition !</title> -<para> -Cette partition doit posséder un système de fichiers FAT et le drapeau -<emphasis>boot</emphasis> doit être mis. L'installateur peut afficher plusieurs -partitions selon ce qu'il a trouvé sur tous les disques du système, comme des -partitions EFI d'autres systèmes ou des partitions de diagnostic EFI. -N'oubliez pas que le programme <command>elilo</command> peut formater la -partition pendant l'installation et effacer toutes les données ! -</para></warning> -</sect3> - - <sect3 arch="ia64"> - <title>Le contenu de la partition EFI</title> - -<para> - -La partition EFI est une partition avec un système de fichiers de type FAT -sur l'un des disques du système ; habituellement c'est le disque qui -contient le système de fichiers racine. Elle n'est pas montée sur un système -en fonctionnement car seul le <quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> en -a besoin pour charger le système. Et la partie installation du programme -<command>elilo</command> écrit directement sur le système de fichiers. -Pendant l'installation, le programme <command>/usr/sbin/elilo</command> écrit -les fichiers suivants dans le répertoire <filename>efi/debian</filename> qui -se trouve sur la partition EFI. Il faut remarquer que le -<quote>gestionnaire d'amorçage EFI</quote> cherchera ces fichiers en utilisant -le chemin <filename>fs<replaceable>n</replaceable>:\efi\debian</filename>. -Il peut exister d'autres fichiers dans ce système car avec le temps -le système est mis à jour ou reconfiguré. - -</para> - -<variablelist> - -<varlistentry> -<term><filename>elilo.conf</filename></term> -<listitem><para> - -Le programme d'amorçage lit ce fichier quand il démarre. -C'est une copie de <filename>/etc/elilo.conf</filename> où les noms ont été -changés pour désigner les fichiers dans la partition EFI. - -</para></listitem></varlistentry> - -<varlistentry> -<term><filename>elilo.efi</filename></term> -<listitem><para> - -C'est le programme d'amorçage que lance le <quote>gestionnaire EFI</quote> -pour amorcer le système. L'élément <guimenuitem>&debian; GNU/Linux</guimenuitem> -du menu <quote>gestionnaire EFI</quote> y fait appel. - -</para></listitem></varlistentry> - -<varlistentry> -<term><filename>initrd.img</filename></term> -<listitem><para> - -C'est le système de fichiers racine initial qui sert à amorcer le noyau. -C'est aussi une copie du fichier référencé dans -<filename>/etc/elilo.conf</filename>. -Dans une installation standard &debian;, ce serait le fichier dans le répertoire -<filename>/boot</filename>, pointé par le lien symbolique -<filename>/initrd.img</filename>. - -</para></listitem></varlistentry> - -<varlistentry> -<term><filename>readme.txt</filename></term> -<listitem><para> - -C'est un petit fichier texte qui vous avertit que le contenu du répertoire -est géré par <command>elilo</command> et que tous les modifications locales -seront perdues la prochaine fois que <filename>/usr/sbin/elilo</filename> -sera relancé. - -</para></listitem></varlistentry> - -<varlistentry> -<term><filename>vmlinuz</filename></term> -<listitem><para> - -C'est le noyau compressé. C'est aussi la copie du fichier référencé dans -<filename>/etc/elilo.conf</filename>. -Dans une installation standard &debian;, ce serait le fichier dans le répertoire -<filename>/boot</filename>, pointé par le lien symbolique -<filename>/vmlinuz</filename>. - -</para></listitem></varlistentry> - -</variablelist> - - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml b/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml deleted file mode 100644 index 23cee282b..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/iso-scan.xml +++ /dev/null @@ -1,46 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<sect3 id="iso-scan"> - <title>Rechercher l'image ISO de l'installateur &debian; </title> -<para> - -Quand vous faites une installation selon la méthode -<emphasis>hd-media</emphasis>, il arrive un moment où vous devez monter -l'image ISO de l'installateur &debian; pour obtenir les autres fichiers -d'installation. C'est le programme <command>iso-scan</command> qui exécute -cette tâche. - -</para><para> - -Dans un premier temps, <command>iso-scan</command> monte automatiquement -tous les périphériques bloc (p. ex. les partitions) qui possèdent un -système de fichiers connu et recherche les noms de fichiers qui se terminent par -<filename>.iso</filename> (ou <filename>.ISO</filename> pour notre exemple). -Il faut remarquer que la première recherche se fait dans le répertoire racine -et au premier niveau des sous-répertoires (c'est-à-dire que les fichiers -<filename>/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename> ou -<filename>/data/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename> seront -trouvés mais pas le fichier -<filename>/data/tmp/<replaceable>fichier</replaceable>.iso</filename>). -Quand une image a été trouvée, <command>iso-scan</command> vérifie que c'est -bien une image ISO de &debian;. Si ce n'est pas le cas, -<command>iso-scan</command> cherche une autre image. - -</para><para> - -Quand <command>iso-scan</command> ne trouve pas d'image, le programme vous -demande si vous voulez faire une recherche plus approfondie. Cette fois-ci, -la recherche ne se contentera pas des répertoires de premier niveau, mais -elle sera étendue à tout le système de fichiers. - -</para><para> - -Quand <command>iso-scan</command> n'a pas découvert l'image ISO de -l'installateur, relancez le premier système d'exploitation et vérifiez que -le nom de l'image se termine bien par <filename>.iso</filename>, qu'elle se -trouve sur un système de fichier reconnu par l'installateur &debian; et qu'elle -n'est pas défectueuse (vérifiez la somme de contrôle). Les utilisateurs expérimentés -d'Unix peuvent effectuer ces opérations sans redémarrer, dans la deuxième console. - -</para> -</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml b/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml deleted file mode 100644 index 981c39bbc..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/kbd-chooser.xml +++ /dev/null @@ -1,24 +0,0 @@ -<!-- original version: 68143 --> - - <sect3 id="kbd-chooser"><title>Choix du clavier</title> -<para> - -Les claviers sont construits selon les caractères utilisés dans -une langue. -Choisissez un clavier dont la carte répond à la langue de votre pays, ou -bien, si aucune carte clavier ne correspond à ce que vous voulez, choisissez -un clavier approchant. Quand l'installation sera terminée, -vous pourrez en choisir un avec la commande <command>dpkg-reconfigure keyboard-configuration</command>, -lancée en tant que superutilisateur, qui vous présentera un plus grand choix -de cartes clavier. - -</para><para> - -Mettez en sur-brillance l'élément clavier que vous voulez et appuyez sur la touche -&enterkey;. -Servez-vous pour cela des flèches de direction — elles se trouvent -au même endroit dans toutes les cartes clavier, et elles sont indépendantes de -la configuration du clavier. -</para> - - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml b/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml deleted file mode 100644 index 4fc7748f8..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/localechooser.xml +++ /dev/null @@ -1,102 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect3 id="localechooser"> - <title>Choix des paramètres régionaux</title> - -<para> - -Les premières questions posées concernent le choix des paramètres régionaux qui -seront utilisés à la fois pour l'installation et dans le système à installer. -Ces paramètres sont la langue, le pays (territoire ou région) et les -<emphasis>locales</emphasis>. - - -</para><para> - -L'installation se fera dans la langue choisie, à condition que la traduction -des dialogues existe. Quand il n'existe pas de traduction pour la langue -choisie, l'installateur utilise l'anglais. - -</para><para> - -Le pays choisi sera utilisé pendant l'installation pour configurer -votre fuseau horaire et le miroir &debian; correspondant à votre zone -géographique. Les choix du pays et de la langue déterminent la locale -par défaut de votre système ainsi que le choix de la carte clavier. - -</para><para> - -On vous demandera d'abord de choisir une langue. -Les noms des langues sont affichés en anglais (côté gauche) et dans la langue -elle-même (côté droit). Les noms sur la droite sont aussi affichés avec leur -propre script. La liste est triée selon les noms anglais. -Une option supplémentaire, au sommet de la liste, permet de choisir la locale -<quote>C</quote> au lieu d'une langue. L'installation se fera alors en anglais. -Le système qui sera installé ne sera pas localisé, puisque le paquet -<classname>locales</classname> n'aura pas été installé. - -</para><para> - -Ensuite vous devrez choisir une zone géographique. -Si vous avez choisi une langue qui est reconnue comme la langue -officielle dans au moins deux pays <footnote> - -<para> - -Techniquement parlant : plusieurs locales existent pour cette langue avec des codes de pays -différents. - -</para> - -</footnote>, on vous présentera une liste constituée par ces pays. -Pour choisir un pays qui ne se trouve pas dans cette liste, sélectionnez la dernière option, -<guimenuitem>autre</guimenuitem>. Une liste des continents sera affichée. En choisissant un -continent, vous obtiendrez une liste des pays de ce continent. - -</para><para> - -Si vous avez choisi une langue qui n'est associée qu'à un seul pays, -ce pays sera automatiquement sélectionné dans une liste où apparaissent -tous les autres pays appartenant au continent ou à la région du -pays sélectionné. Pour choisir un pays dans un autre continent, il faut -utiliser le bouton <guibutton>Retour</guibutton>. - -</para><note><para> - -Il est important de choisir le pays dans lequel on vit car le pays -détermine le fuseau horaire du système installé. - -</para></note> - -<para> -S'il n'existe aucune locale pour la combinaison de langue et de pays -choisis et si, pour cette langue, il existe plusieurs locales, -l'installateur offre la possiblité de choisir la locale par défaut pour -le système à installer <footnote> -<para> -Avec une priorité <quote>medium</quote> ou <quote>low</quote>, vous -pouvez toujours choisir la locale que vous préférez parmi celles -disponibles pour votre langue. -</para> -</footnote>. Dans tous les autres cas, la locale par défaut -sera définie en fonction du pays et de la langue choisis. -</para> -<para> -Toutes les locales par défaut choisies de la manière décrite dans le -paragraphe précédent possèdent le codage <firstterm>UTF-8</firstterm>. -</para> - -<para> -Si vous faites une installation avec une priorité -<emphasis>low</emphasis>, vous pourrez choisir d'ajouter d'autres -locales, comme par exemple d'anciennes locales (<emphasis>Legacy -locales</emphasis>) <footnote> -<para> -Les <emphasis>Legacy locales</emphasis> sont des locales qui n'utilisent -pas le codage UTF-8, mais d'anciennes normes de codage comme -ISO 8859-1 pour les Européens ou EUC-JP pour les Japonais. -</para> -</footnote>, qui seront installées sur le nouveau système. Dans ce cas, -il vous sera demandé de choisir quelle sera la locale par défaut. -</para> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml b/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml deleted file mode 100644 index 8505ae71c..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/lowmem.xml +++ /dev/null @@ -1,56 +0,0 @@ -<!-- original version: 64829 --> - -<sect3 id="lowmem"> -<title>Vérification de la mémoire disponible / le mode <emphasis>peu de mémoire</emphasis></title> - -<para> - -L'une des premières tâches effectuées par l'installateur est la vérification -de la mémoire disponible. Si la mémoire disponible est insuffisante, -le processus d'installation sera modifié pour permettre l'installation de &debian-gnu; -sur votre machine. - -</para><para> -La première mesure prise pour réduire la consommation de mémoire est de supprimer -les traductions. Cela signifie que l'installation ne peut se faire qu'en anglais. -Bien sûr, une fois l'installation terminée, vous pourrez <emphasis>localiser</emphasis> -le système. -</para> -<para> -Si cela ne suffit pas, l'installateur ne chargera que les composants nécessaires -pour terminer une installation élémentaire. Cela réduit les fonctionnalités du -système installé. Vous avez toujours la possibilité de charger des composants supplémentaires, -mais vous devez savoir que chaque composant choisi utilisera de la mémoire, ce qui -peut provoquer l'échec de l'installation. -</para> -<para> -Quand l'installateur est en mode <emphasis>peu de mémoire</emphasis>, il est recommandé -de créer une partition d'échange assez grande (64–128 Mo). Elle sera utilisée comme -mémoire virtuelle, ce qui augmentera la quantité de mémoire disponible. -L'installateur activera cette partition aussi tôt que possible pendant le processus -d'installation. Il faut noter que cette utilisation de la partition d'échange -réduit les performances du système et provoque une grande activité du disque. -</para> -<para> -Malgré tout, il se peut encore que le système <emphasis>gèle</emphasis>, que des erreurs se produisent -ou que des processus soient supprimés par le noyau à cause du manque de mémoire (cela -sera signalé par des messages <quote>Out of memory</quote> sur la console VT4 -et dans le syslog). -</para> -<para> -Il a été rapporté par exemple que la création d'un gros système de fichiers ext3 -n'est pas possible dans ce mode quand la partition d'échange n'est -pas assez grande. Si l'augmentation de la taille de la partition d'échange ne -change rien, essayez de créer un système ext2 (qui est un composant essentiel -de l'installateur). Après l'installation, il sera possible de changer le -système ext2 en ext3. - -</para> -<para> - -Il est possible d'indiquer un niveau de mémoire à utiliser plus élevé que celui basé -sur la mémoire disponible. Il suffit de donner une valeur au paramètre d'amorçage -<quote>lowmem</quote>. Voyez <xref linkend="installer-args"/>. - - </para> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml deleted file mode 100644 index 695aa9f0c..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/mdcfg.xml +++ /dev/null @@ -1,283 +0,0 @@ -<!-- original version: 56427 --> - -<sect3 id="mdcfg"> - <title>Configuration d'un périphérique multidisque (RAID logiciel)</title> -<para> -Si vous avez plusieurs disques durs <footnote><para> - -Pour tout dire, on peut construire un périphérique multidisque -avec les partitions d'un seul disque, mais ça n'apporte pas grand chose. -</para></footnote> - -sur votre machine, vous pouvez utiliser <command>mdcfg</command> pour -obtenir de vos disques de meilleures performances et une meilleure fiabilité de -vos données. Le résultat est un périphérique multidisque, -<firstterm>Multidisk Device</firstterm>, ou <firstterm>RAID logiciel</firstterm>. -</para> -<para> -Un périphérique multidisque n'est qu'un ensemble de partitions -situées sur différents disques mais réunies pour former un périphérique -<emphasis>logique</emphasis>. Ce périphérique peut alors être utilisé comme -une simple partition, c'est-à-dire une partition qu'on peut monter et -formater avec <command>partman</command>. -</para> -<para> -Ce que vous gagnez dépend du type de périphérique créé. Voici ceux qui -sont reconnus : -<variablelist> -<varlistentry> - -<term>RAID0</term><listitem><para> -Ce type vise principalement la performance. RAID0 divise toutes les données -entrantes en <firstterm>bandes</firstterm> et les distribue également sur -tous les disques. Cela peut augmenter la vitesse des opérations d'écriture et -de lecture, mais si l'un des disques a un problème, vous perdez -<emphasis>tout</emphasis> : une partie des informations est encore sur -les disques sains, mais l'autre <emphasis>était</emphasis> sur le disque -défectueux. -</para> -<para> -L'utilisation standard de RAID0 est une partition pour du travail vidéo. -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>RAID1</term><listitem><para> -Ce type est adapté là où la fiabilité est le premier souci. Il consiste en -plusieurs partitions de même taille (deux, habituellement) qui contiennent -exactement les mêmes données. Cela signifie essentiellement trois choses. -Premièrement, si l'un des disques a un problème, les données sont encore sur -les autres disques. Deuxièmement, vous pouvez utiliser une partie seulement -de la capacité disponible, précisément, la taille de la partition la plus -petite du RAID. Troisièmement, la charge de lecture des fichiers est -répartie entre tous les disques, ce qui peut améliorer les performances d'un -serveur, notamment les serveurs de fichiers où les lectures sont -plus nombreuses que les écritures de fichiers. -</para> -<para> -Vous pouvez aussi inclure dans un tel ensemble un disque de rechange qui prendra -la place du disque défectueux en cas de problème. - </para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>RAID5</term><listitem><para> -Ce type est un bon compromis entre vitesse, fiabilité et redondance des -données. RAID5, comme RAID0, divise toutes les données entrantes en bandes et -les distribue également sur tous les disques. Mais contrairement à RAID0, RAID5 -calcule aussi l'information de <firstterm>parité</firstterm>, qui est écrite -sur le disque restant. Le disque de parité n'est pas fixe (ce serait RAID4), il -change périodiquement et ainsi l'information de parité est distribuée également -sur tous les disques. Quand l'un des disques s'arrête, la partie manquante des -données peut être calculée avec les données restantes et la parité. RAID5 doit -comporter au moins trois partitions actives. Vous pouvez aussi inclure un disque -de rechange qui prendra la place du disque défectueux en cas de problème. -</para> -<para> -Comme on le voit, RAID5 est aussi fiable que RAID1 tout en évitant de la -redondance. D'un autre côté, il sera un tout petit peu moins rapide dans les -opérations d'écriture que RAID0, à cause du calcul de l'information de -parité. -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>RAID6</term><listitem><para> - -RAID6 est semblable à RAID5 mais il y a deux disques de parité au lieu d'un seul. - -</para><para> - -Un système RAID6 peut supporter jusqu'à deux défaillances de disque. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>RAID10</term><listitem><para> - -Le niveau RAID10 combine la répartition en bandes comme dans le RAID0 et la duplication des données -comme dans le RAID1. -Il crée <replaceable>n</replaceable> copies des données et les distribue dans les partitions -de manière que les copies des mêmes données ne soient pas sur le même disque. -La valeur par défaut de <replaceable>n</replaceable> est 2, mais elle peut être modifiée -en mode expert. Le nombre de partitions utilisées doit être au moins égal à <replaceable>n</replaceable>. -Plusieurs schémas existent pour la répartition des copies. Par défaut, le mode <emphasis>near</emphasis> -est utilisé. Dans ce mode les copies ont la même position sur tous les disques. -Dans le mode <emphasis>far</emphasis> les copies ont des positions différentes sur les disques. Dans le mode -<emphasis>offset</emphasis>, c'est la bande qui est copiée, non le bloc de données. - -</para><para> - -Le niveau RAID10 propose fiabilité et redondance sans avoir à calculer des informations de parité. - -</para></listitem> -</varlistentry> -</variablelist> - -Pour résumer : - -<informaltable> -<tgroup cols="5"> -<thead> -<row> - <entry>Type</entry> - <entry>Nombre minimum de disques</entry> - <entry>Disque de rechange</entry> - <entry>Supporte l'échec d'un disque ?</entry> - <entry>Espace disponible</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>RAID0</entry> - <entry> 2</entry> - <entry>non</entry> - <entry>non</entry> - <entry>Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des périphériques dans l'ensemble</entry> -</row> - -<row> - <entry>RAID1</entry> - <entry> 2</entry> - <entry>facultatif</entry> - <entry>oui</entry> - <entry>Taille de la plus petite partition dans l'ensemble</entry> -</row> - -<row> - <entry>RAID5</entry> - <entry> 3</entry> - <entry>facultatif</entry> - <entry>oui</entry> - <entry> - Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des -périphériques dans l'ensemble moins un. - </entry> -</row> - -<row> - <entry>RAID6</entry> - <entry>4</entry> - <entry>facultatif</entry> - <entry>oui</entry> - <entry> - Taille de la plus petite partition multipliée par le nombre des -périphériques dans l'ensemble moins deux. - </entry> -</row> - -<row> - <entry>RAID10</entry> - <entry>2</entry> - <entry>facultatif</entry> - <entry>oui</entry> - <entry> - Total des partitions divisé par le nombre de copies (deux, par défaut) - </entry> -</row> -</tbody></tgroup></informaltable> -</para> - -<para> -Si vous voulez tout savoir sur le RAID logiciel, lisez le -<ulink url="&url-software-raid-howto;">HOWTO sur le RAID logiciel</ulink>. - -</para> - -<para> -Pour créer un périphérique multidisque, vous devez préparer les -partitions nécessaires. Vous pouvez le faire avec <command>partman</command>, -dans le menu <guimenu>Caractéristiques de la partition</guimenu> où vous -choisirez <menuchoice><guimenu>Utiliser comme :</guimenu> -<guimenuitem>volume physique pour RAID</guimenuitem> -</menuchoice> -</para> - -<note><para> - -Assurez-vous que le système peut être amorcé avec le schéma de partitionnement prévu. -Quand on utilise RAID pour le système de fichiers racine (<filename>/</filename>), il est -nécessaire de créer un système de fichiers distinct pour <filename>/boot</filename>. -La plupart des programmes d'amorçage <phrase arch="x86">(lilo et grub par exemple)</phrase> -ne peuvent fonctionner qu'avec le type RAID1 (RAID en mode miroir, sans bande). Ainsi, il est possible d'utiliser -RAID5 pour <filename>/</filename> et RAID1 pour <filename>/boot</filename>. - -</para></note> - -<warning><para> -L'installateur gère le RAID logiciel depuis peu. Vous pourrez rencontrer -des problèmes, pour certains niveaux RAID et en combinaison avec les -programmes d'amorçage, par exemple si vous essayez d'utiliser un périphérique de ce type -pour la partition racine, <filename>/</filename>. Les experts pourront -sans doute contourner ces problèmes en exécutant certaines étapes de -configuration ou d'installation dans un <quote>shell</quote>. -</para></warning> -<para> -Ensuite, vous choisissez <guimenuitem>Configurer le RAID logiciel</guimenuitem> -dans le menu principal de <command>partman</command>. -Le menu n'apparaît que si vous avez sélectionné au moins une partition à -utiliser comme <guimenuitem>volume physique pour RAID</guimenuitem>. -Dans le premier écran de <command>mdcfg</command>, sélectionnez -<guimenuitem>Créer un périphérique multidisque</guimenuitem>. Une liste -des types acceptés pour ces périphériques est affichée et vous pouvez en -choisir un, par exemple RAID1. La suite dépend du type que vous avez choisi. -</para> - -<itemizedlist> -<listitem><para> -Le type RAID0 est simple. Une liste des partitions RAID disponibles est -présentée et tout ce que vous avez à faire est de choisir les partitions qui -composeront le périphérique. -</para></listitem> -<listitem><para> -Le type RAID1 est un peu plus compliqué. On vous demandera d'abord le nombre -de périphériques actifs et le nombre de périphériques de rechange qui -composeront le périphérique. Ensuite vous devrez choisir dans la liste des -partitions RAID celles qui seront actives et celles qui resteront en réserve. -Le nombre de ces partitions devra être égal à celui donné l'instant d'avant. -Si vous n'indiquez pas la même valeur, l'installateur ne vous laissera -pas continuer et vous demandera de rectifier. -</para></listitem> -<listitem><para> -RAID5 se configure comme RAID1, mais vous devez utiliser au moins trois -partitions actives. -</para></listitem> -<listitem><para> - -RAID6 se configure comme RAID1, mais vous devez utiliser au moins quatre -partitions actives. - -</para></listitem> -<listitem><para> - -RAID10 se configure comme RAID1, excepté en mode expert. Dans ce mode, -l'installateur demande le schéma de répartition des données. Ce schéma est en deux parties. -La première est le type du schéma, soit <literal>n</literal> (pour copie <emphasis>near</emphasis>), -soit <literal>f</literal> (pour copie <emphasis>far</emphasis>), soit -<literal>o</literal> (pour copie <emphasis>offset</emphasis>). La seconde partie -est le nombre de copie à faire. Il doit y avoir autant de disques actifs pour que les copies -puissent être réparties sur ces disques. - -</para></listitem> -</itemizedlist> - -<para> -Il est parfaitement possible d'avoir plusieurs types de périphériques en même -temps. Par exemple, avec trois disques durs de 200 Go, chacun contenant -deux partitions de 100 Go, vous pouvez créer un périphérique de type -RAID0 avec les premières partitions des trois disques, soit une partition -rapide de 300 Go pour le travail vidéo ; et vous pouvez combiner -les trois partitions restantes (deux actives, une de rechange) dans un -périphérique RAID1, soit une partition très fiable de 100 Go pour -<filename>/home</filename>. -</para> -<para> -Quand vous avez défini vos périphériques, vous pouvez choisir -<guimenuitem>Terminer</guimenuitem> <command>mdcfg</command> pour retourner -au menu de <command>partman</command> et créer les systèmes de fichiers et les -options habituelles comme les points de montage pour ces nouveaux -périphériques. -</para> -</sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml deleted file mode 100644 index aa863402b..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/mips/arcboot-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,59 +0,0 @@ -<!-- original version: 35613 --> - -<sect3 arch="mips"> - <title>Le programme <command>arcboot</command></title> -<para> -Le programme d'amorçage sur les machines SGI est <command>arcboot</command>. Il doit -être installé sur le disque où se trouve le noyau (c'est fait automatiquement -par l'installateur). Arcboot accepte différentes configurations, définies -dans <filename>/etc/arcboot.conf</filename>. Chaque configuration a son nom. -Celle créée par défaut s'appelle <quote>linux</quote>. Après l'installation -d'arcboot le système peut être amorcé depuis un disque dur en déclarant des -variables d'environnement pour le microprogramme : -<informalexample><screen> -<userinput> setenv SystemPartition scsi(<replaceable>scsi</replaceable>)disk(<replaceable>disk</replaceable>)rdisk(0)partition(0)</userinput> -<userinput> setenv OSLoadPartition scsi(<replaceable>scsi</replaceable>)disk(<replaceable>disk</replaceable>)rdisk(0)partition(<replaceable>partnr</replaceable>)</userinput> -<userinput> setenv OSLoader arcboot</userinput> -<userinput> setenv OSLoadFilename <replaceable>config</replaceable></userinput> -<userinput> setenv AutoLoad yes</userinput> -</screen></informalexample> - -à l'invite du microprogramme, puis en lançant <command>boot</command>. -</para> - -<variablelist> -<varlistentry> -<term> <replaceable>scsi</replaceable> </term> -<listitem><para> -est le périphérique SCSI où amorcer, c'est <userinput>0</userinput> sur -les contrôleurs intégrés ; -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> -<term> <replaceable>disk</replaceable> </term> -<listitem><para> - -est l'ID du disque dur où se trouve <command>arcboot</command> ; -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> -<term> <replaceable>partnr</replaceable> </term> -<listitem><para> - -est le numéro de la partition où se trouve -<filename>/etc/arcboot.conf</filename> ; - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> -<term> <replaceable>config</replaceable> </term> -<listitem><para> - -est le nom de la configuration dans <filename>/etc/arcboot.conf</filename>, -qui est par défaut <quote>linux</quote>. - -</para></listitem> -</varlistentry> -</variablelist> - -</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml deleted file mode 100644 index f5a31f414..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/mipsel/colo-installer.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 14337 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml b/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml deleted file mode 100644 index 2e259fe82..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/netcfg.xml +++ /dev/null @@ -1,85 +0,0 @@ -<!-- original version: 68097 --> - -<sect3 id="netcfg"> - <title>Configuration du réseau</title> - -<para> -Pour cette étape, si l'installateur détecte plusieurs interfaces réseau, vous -devrez indiquer quelle est la principale, c'est-à-dire celle que vous voulez -utiliser pour l'installation. Les autres interfaces ne seront pas configurées. -Vous pourrez les configurer une fois l'installation terminée. -Consultez la page du manuel <citerefentry><refentrytitle>interfaces</refentrytitle> <manvolnum>5</manvolnum></citerefentry>. -</para> - -<sect4 id="netcfg-automatic"> -<title>Configuration automatique du réseau</title> - -<para> - -L'installateur essaie d'abord de configurer automatiquement le réseau. -Plusieurs raisons peuvent expliquer un échec, un câble mal branché, un serveur absent. -Lisez les messages d'erreur sur la quatrième console pour des explications. -Dans tous les cas, on vous demandera si vous voulez réessayer ou si vous voulez configurer vous-même le -réseau. Les serveurs sont parfois très lents et si vous êtes sûr que tout -est en place, réessayez. En cas d'échec répété, vous pouvez choisir de configurer -vous-même le réseau. - -</para> -</sect4> - -<sect4 id="netcfg-manual"> -<title>Configuration manuelle du réseau</title> - -<para> - -Si vous configurez vous-même le réseau, on vous demandera -l'<computeroutput>adresse IP</computeroutput> de votre machine, le -<computeroutput>masque réseau</computeroutput>, l'adresse de la -<computeroutput>passerelle</computeroutput>, les -<computeroutput>adresses des serveurs de noms</computeroutput> et le -<computeroutput>nom de la machine</computeroutput>. -De plus, si vous utilisez une interface pour réseau sans fil, on vous -demandera le nom <computeroutput>ESSID</computeroutput> du réseau et la -<computeroutput>clé WEP</computeroutput> -ou <computeroutput>la phrase secrète WPA/WPA2</computeroutput>. -Pour ces réponses, voyez -<xref linkend="needed-info"/>. - -</para> - -<note><para> - -Voici quelques précisions techniques que vous trouverez, ou non, utiles : -le programme suppose que l'adresse IP du réseau est le résultat d'un -<quote>ET logique</quote> entre l'adresse de la machine et l'adresse du -masque réseau. L'adresse de diffusion <emphasis>broadcast</emphasis> sera le résultat d'un -<quote>OU logique</quote> entre l'adresse de la machine et la négation -logique du masque réseau. Si vous ne connaissez aucune de ces valeurs, -utilisez les valeurs proposées par l'installateur. Vous pourrez les -changer quand le système aura été installé, en modifiant le fichier -<filename>/etc/network/interfaces</filename>. - -</para></note> - -</sect4> - -<sect4 id="netcfg-ipv4-ipv6"> -<title>IPv4 et IPv6</title> - -<para> - -Depuis &debian-gnu; 7.0 (<quote>Wheezy</quote>), l'&d-i; sait gérer IPv6 -aussi bien que le <quote>classique</quote> IPv4. Toutes les combinaisons possibles -d'IPv4 et IPv6 sont acceptées. - -</para><para> - -La configuration automatique pour IPv4 est faite par DHCP (<emphasis>Dynamic Host Configuration -Protocol</emphasis>). Celle pour IPv6 utilise NDP (<emphasis>Neighbor Discovery Protocol</emphasis>) -avec RDNSS (<emphasis>recursive DNS server</emphasis>) -ou DHCPv6, ou encore un mixte des deux (configuration de l'adresse par NDP, paramètres additionnels par DHCPv6). - -</para> -</sect4> - -</sect3>
\ No newline at end of file diff --git a/fr/using-d-i/modules/network-console.xml b/fr/using-d-i/modules/network-console.xml deleted file mode 100644 index a7c0d56df..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/network-console.xml +++ /dev/null @@ -1,127 +0,0 @@ -<!-- original version: 65801 --> - - <sect2 id="network-console"> - <title>Installation par le réseau</title> - -<para arch="not-s390"> - -L'un des composants les plus intéressants est -<firstterm>network-console</firstterm>. Il permet de faire une installation -grâce au réseau avec SSH. L'utilisation du réseau implique d'effectuer -les premières étapes de l'installation à partir de la console, jusqu'à la configuration -du réseau. Mais vous pouvez automatiser le processus, voyez -<xref linkend="automatic-install"/>. - -</para><para arch="not-s390"> - -Ce composant n'est pas chargé automatiquement et il vous faut le demander explicitement. - -Si vous faites une installation à partir d'un cédérom, vous devez amorcer avec la priorité -<emphasis>medium</emphasis> ou appeler le menu principal de l'installateur et choisir -<guimenuitem>Chargement des composants de l'installateur à partir d'un CD</guimenuitem> -puis, choisir sur la -liste des composants supplémentaires <guimenuitem>network-console : Continuer -l'installation depuis une machine distante avec SSH</guimenuitem>. Si le chargement a réussi, -une nouvelle entrée appelée <guimenuitem>Continuer l'installation depuis une machine distante -avec SSH</guimenuitem> apparaît. - -</para><para arch="s390"> - -Les installations sur &arch-title; se font selon cette méthode après la configuration du -réseau. - -</para><para> - -<phrase arch="not-s390">Quand vous avez sélectionné cette nouvelle entrée, on</phrase> -<phrase arch="s390">On</phrase> vous demande le mot de passe qui servira à se connecter -au système d'installation, ainsi que sa confirmation. Et c'est tout. -Vous devez voir maintenant un écran qui indique comment accéder à la machine distante -en tant qu'utilisateur <emphasis>installer</emphasis> avec le mot de passe que vous venez -de donner. Un point important à noter dans cet écran est l'empreinte du système. -Vous devez transférer de façon sécurisée cette empreinte à la personne qui continuera -l'installation à distance. - -</para><para> - -Si vous décidiez de continuer l'installation localement, vous pourrez toujours appuyer sur -la touche &enterkey;, qui vous ramènera au menu principal où vous pourrez choisir -un autre composant. - -</para><para> - -Passons maintenant à l'autre bout du câble. Vous devez tout d'abord configurer -votre terminal avec le codage UTF-8 car c'est le codage utilisé par le système -d'installation. Si vous n'utilisez pas ce codage, l'installation à distance sera -possible mais vous risquez de rencontrer d'étranges artefacts comme des bordures de dialogues -effacées ou des caractères illisibles. L'établissement de la connexion avec le -système d'installation est très simple : - -<informalexample><screen> -<prompt>$</prompt> <userinput>ssh -l installer <replaceable>install_host</replaceable></userinput> -</screen></informalexample> - -Où <replaceable>install_host</replaceable> est soit le nom soit l'adresse IP de la machine -où sera installé le système. Avant de vous connecter réellement, l'empreinte du système distant -sera affichée et vous devrez confirmer qu'elle est correcte. - -</para><note><para> - -Le serveur <command>ssh</command> de l'installateur n'est pas configuré pour envoyer -des paquets destinés à maintenir la connexion (<quote>keep-alive packets</quote>). -En principe, la connexion à la machine distante doit rester ouverte indéfiniment. -Cependant dans certains cas, liés à la configuration -du réseau local, la connexion peut être fermée après une période d'inactivité. -C'est le cas par exemple s'il existe un système de traduction d'adresses réseau -(<quote>Network Address Translation, NAT</quote>) entre le client et la machine distante. -Selon le moment de l'installation où la connexion a été perdue, il est ou non possible -de reprendre l'installation après la reconnexion. -</para> -<para> -Pour éviter une déconnexion, on peut lancer la connexion <command>ssh</command> avec -l'option <userinput>-o ServerAliveInterval=<replaceable>valeur</replaceable></userinput>. -On peut aussi ajouter cette option au fichier de configuration du serveur <command>ssh</command>. -Cependant cette option peut <emphasis>provoquer</emphasis> une déconnexion, par exemple quand -des paquets destinés à maintenir la connexion <quote>keep-alive</quote> sont envoyés pendant -une courte interruption du réseau. -Sans cette option, <command>ssh</command> aurait maintenu la connexion. N'utilisez cette option -qu'en cas de nécessité. -</para></note> - -<note><para> - -Si vous installez le système sur plusieurs machines, l'une à la suite de l'autre, -et qu'elles possèdent le même nom ou la même adresse IP, <command>ssh</command> -refusera toute connexion. -En effet, il aura enregistré des empreintes différentes, ce qui est signe d'une attaque -par mystification (<quote>spoofing attack</quote>). Si vous êtes certain que ce n'est pas -le cas, vous devez supprimer la ligne adéquate dans le fichier -<filename>~/.ssh/known_hosts</filename><footnote> -<para> -La commande suivante supprime une entrée existante : -<command>ssh-keygen -R <<replaceable>hostname</replaceable>|<replaceable>IP address</replaceable>></command>. -</para> - -</footnote> et recommencer. - -</para></note><para> - -Après la connexion, un premier écran apparaît qui offre deux -possibilités appelées <guimenuitem>Lancer le menu</guimenuitem> et -<guimenuitem>Lancer un shell</guimenuitem>. La première vous place dans le menu -principal de l'installateur, où vous pouvez poursuivre l'installation comme -habituellement. La seconde lance un interpréteur de commandes et vous pouvez -examiner ou corriger si nécessaire le système distant. Vous ne pouvez lancer qu'une -seule session ssh pour le menu d'installation, mais vous pouvez lancer plusieurs -interpréteurs. - -</para><warning><para> - -Une fois l'installation à distance commencée, vous ne devez pas revenir -à la session d'installation en cours sur la console locale. Si vous le faites, -vous risquez de corrompre la base de données où est enregistrée la configuration -du nouveau système. Il en résulterait l'échec de l'installation ou des problèmes -dans le système installé. - -</para></warning> - - </sect2> diff --git a/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml b/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml deleted file mode 100644 index 7eed2e961..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/nobootloader.xml +++ /dev/null @@ -1,25 +0,0 @@ -<!-- original version: 61133 --> - - <sect3 id="nobootloader"> - <title>Continuer sans programme d'amorçage</title> -<para> - -Cette option peut être employée pour terminer l'installation même -lorsqu'aucun programme d'amorçage n'est installé soit parce qu'il n'en existe -aucun pour cette architecture soit parce qu'on veut utiliser un autre -programme. -</para> -<para> - -Si vous voulez configurer vous-même un programme d'amorçage, vous devez -chercher le nom du noyau installé dans <filename>/target/boot</filename>. -Vous devez aussi vérifier la présence dans ce répertoire d'un -<firstterm>initrd</firstterm>. Si ce fichier existe, vous devrez indiquer au -programme d'amorçage de l'utiliser. Vous devrez connaître aussi le disque et -la partition sur laquelle est monté le système de fichiers racine -<filename>/</filename> ; si vous avez mis <filename>/boot</filename> -sur une partition distincte, vous devez connaître son système de fichiers. - - </para> - </sect3> - diff --git a/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml b/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml deleted file mode 100644 index c944631b3..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/os-prober.xml +++ /dev/null @@ -1,26 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<sect3 id="os-prober"> - <title>Détecter les autres systèmes d'exploitation</title> - -<para> - -Avant l'installation du programme d'amorçage, l'installateur recherche -les systèmes d'exploitation installés sur la machine. S'il reconnaît -un système d'exploitation, vous en serez informé et l'installateur -configurera le programme d'amorçage pour pouvoir démarrer aussi bien ce système -que &debian;. - -</para><para> - -Notez que la possibilité d'amorcer différents systèmes sur une même machine -relève encore de la magie. Le support de détection et de configuration -automatique des programmes d'amorçage est différent pour chaque architecture -et même pour chaque sous-architecture. Si l'automatisation ne fonctionne pas -correctement, reportez-vous à la documentation propre à votre programme -d'amorçage pour plus d'information. - -<!-- TODO: Maybe include some arch-dependent tables with supported OS'es here --> -</para> - - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/partconf.xml b/fr/using-d-i/modules/partconf.xml deleted file mode 100644 index d0d068f3d..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/partconf.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml b/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml deleted file mode 100644 index 7af410022..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/partitioner.xml +++ /dev/null @@ -1,2 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> - diff --git a/fr/using-d-i/modules/partman-crypto.xml b/fr/using-d-i/modules/partman-crypto.xml deleted file mode 100644 index d33486361..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/partman-crypto.xml +++ /dev/null @@ -1,334 +0,0 @@ -<!-- original version: 56427 --> - - <sect3 id="partman-crypto"> - <title>Configuration des volumes chiffrés</title> -<para> - -L'installateur &debian; permet le chiffrement des partitions. Tout fichier -destiné à une partition chiffrée est sauvegardé sur le périphérique sous -une forme chiffrée. L'accès aux données chiffrées n'est autorisé qu'après -avoir fourni la <firstterm>phrase secrète</firstterm> qui avait été donnée -lors de la création de la partition chiffrée. Ce mécanisme est utile pour -protéger des données sensibles en cas de vol du portable ou du disque -dur. Le voleur a bien un accès physique au disque dur mais, sans la phrase -secrète, les données ne sont qu'une suite inintelligible de caractères. - -</para><para> - -Le chiffrement est particulièrement important pour deux partitions, la -partition /home avec les données privées et la partition d'échange où -peuvent se trouver stockées temporairement des données sensibles. Bien sûr, -vous pouvez chiffrer n'importe quelle partition, par exemple <filename>/var</filename> -où se trouvent les données des serveurs de bases de données, des serveurs de -courrier ou d'impression, <filename>/tmp</filename> avec ses fichiers temporaires, etc. Vous -pouvez même chiffrer le système complet. La seule exception est qu'on ne -peut pas chiffrer la partition <filename>/boot</filename> car il n'existe actuellement aucun -moyen de charger le noyau à partir d'une partition chiffrée. - -</para><note><para> - -Il faut noter que la performance d'une machine avec partitions chiffrées -sera inférieure à celle d'un machine sans. En effet les données doivent être -chiffrées ou déchiffrées à chaque lecture ou écriture. L'impact sur la -performance dépend de la vitesse du processeur, de l'algorithme choisi et de -la longueur de la clé. - -</para></note><para> - -Pour chiffrer une partition, vous devez d'abord la créer, dans le menu de -partitionnement. Une autre possibilité est d'utiliser une partition -existante, par exemple, une partition ordinaire, un volume logique (LVM) ou -un volume RAID. Dans le menu <guimenu>Caractéristiques de la partition</guimenu>, -vous devez modifier la première option pour qu'elle -affiche <menuchoice> <guimenu>Utiliser comme :</guimenu> <guimenuitem>volume -physique à chiffrer</guimenuitem></menuchoice>. Le menu affichera alors -différentes options de chiffrement pour la partition. - -</para><para> - -L'installateur &debian; propose plusieurs méthodes de chiffrement. Par défaut, -la méthode est <firstterm>dm-crypt</firstterm>, qui est gérée par les noyaux -Linux récents, et qui peut gérer les volumes logiques (LVM). Un autre méthode est -<firstterm>loop-AES</firstterm>, plus ancienne et maintenue en marge du -noyau Linux. Il est recommandé d'utiliser la méthode par défaut. - -<!-- TODO: link to the "Debian block device encryption guide" - once Max writes it :-) --> - -</para><para> - -Voyons tout d'abord les options disponibles quand on a sélectionné la -méthode de chiffrement <userinput>Device-mapper (dm-crypt)</userinput>. N'oubliez pas -qu'en cas de doute il faut utiliser les options par défaut car elles -ont été choisies en visant la sécurité d'utilisation. - -<variablelist> - -<varlistentry> -<term>Chiffrement : <userinput>aes</userinput></term> - -<listitem><para> - -Cette option permet de choisir l'algorithme de chiffrement -(<firstterm>cipher</firstterm>) qui servira à chiffrer les données de la -partition. Actuellement l'installateur &debian; accepte les algorithmes de type -bloc suivants : <firstterm>aes</firstterm>, <firstterm>blowfish</firstterm>, -<firstterm>serpent</firstterm> et <firstterm>twofish</firstterm>. Nous ne -discuterons pas ici de la qualité de ces différents algorithmes. Cependant, -il peut être utile de savoir que l'algorithme <emphasis>AES</emphasis> a été -choisi en 2000 par l'<emphasis>American National Institute of Standards -and Technology</emphasis> pour la protection des données sensibles au 21e siècle. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Taille de clé : <userinput>256</userinput></term> - -<listitem><para> - -Vous pouvez choisir ici la taille de la clé de chiffrement. Plus la taille -de la clé est grande, plus la force du chiffrement est augmentée. Cependant -la taille de la clé a un impact négatif sur la performance. Les différentes -tailles de clé dépendent de l'algorithme de chiffrement. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Algorithme IV : <userinput>cbc-essiv:sha256</userinput></term> - -<listitem><para> - -L'algorithme de type <firstterm>Initialization Vector</firstterm> ou -<firstterm>IV</firstterm> assure que si l'on applique l'algorithme sur le -même <firstterm>texte en clair</firstterm> avec la même clé, on obtiendra -toujours un <firstterm>texte chiffré</firstterm> différent. L'idée est d'empêcher -la déduction d'information à partir de motifs répétés dans les données -chiffrées. - -</para><para> - -De toutes ces possibilités, l'option par défaut -<userinput>cbc-essiv:sha256</userinput> est actuellement la moins vulnérable -aux attaques connues. Ne choisissez les autres options que pour assurer la -compatibilité avec des systèmes déjà installées qui ne reconnaissent pas les -nouveaux algorithmes. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Clé de chiffrement : <userinput>phrase secrète</userinput></term> - -<listitem><para> - -Vous pouvez choisir ici le type de la clé de chiffrement pour cette partition. - - <variablelist> - <varlistentry> - <term>phrase secrète</term> - <listitem><para> - -La clé de chiffrement sera calculée <footnote> -<para> - -L'utilisation d'une phrase comme clé signifie que la partition sera créée -avec <ulink url="&url-luks;">LUKS</ulink>. - -</para></footnote> à partir d'une phrase que vous pourrez saisir plus tard dans le -processus. - - </para></listitem> - </varlistentry> - - <varlistentry> - <term>Clé aléatoire</term> - <listitem><para> - -Une nouvelle clé est calculée avec des données aléatoires chaque fois que la -partition chiffrée est montée. En d'autres termes, à chaque arrêt de la -machine le contenu de la partition est perdu car la clé est supprimée de la -mémoire. On pourrait essayer de deviner la clé au moyen d'une attaque de -type force brute, mais, à moins d'une faiblesse non connue de l'algorithme, -une vie entière n'y suffirait pas. - - </para><para> - -Les clés aléatoires sont adaptées aux partitions d'échange car vous n'avez -pas besoin de mémoriser une phrase secrète ou d'effacer des -données sensibles de la partition d'échange avant d'éteindre la -machine. Cependant cela signifie que vous ne pourrez pas utiliser la -fonctionnalité <quote>suspend-to-disk</quote> qu'offrent les noyaux Linux -récents. Il est en effet impossible (pendant le redémarrage) de récupérer -les données écrites sur la partition d'échange. - - </para></listitem> - </varlistentry> - </variablelist> - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Effacer les données : <userinput>oui</userinput></term> - -<listitem><para> - -Cette option détermine si la partition doit être remplie de -données aléatoires avant le début du chiffrement. Cette opération est -recommandée car un attaquant pourrait sinon discerner quelles parties de la -partition sont actives et lesquelles ne le sont pas. De plus cela rendra plus -difficile de récupérer des données laissées par des installations -précédentes <footnote><para> - -Il est cependant probable que certains organismes gouvernementaux -ont les moyens de récupérer des données même après plusieurs écritures d'un -support magnéto-optique. - -</para></footnote>. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -</variablelist> - -</para><para> - -Si vous choisissez <menuchoice> <guimenu>Méthode de chiffrement :</guimenu> -<guimenuitem>Loopback (loop-AES)</guimenuitem> </menuchoice>, le menu offre -alors les options suivantes : - - -<variablelist> -<varlistentry> -<term>Chiffrement : <userinput>AES256</userinput></term> - -<listitem><para> - -Pour loop-AES, contrairement à dm-crypt, les options algorithme et clé sont -combinées et vous pouvez les choisir en même temps. Veuillez consulter les -sections suivantes sur les algorithmes et les clés pour d'autres -informations. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Clé de chiffrement : <userinput>Keyfile (GnuPG)</userinput></term> - -<listitem><para> - -Vous pouvez choisir ici le type de la clé pour cette partition. - - <variablelist> - <varlistentry> - <term>Keyfile (GnuPG)</term> - <listitem><para> - -La clé de chiffrement sera créée avec des données aléatoires pendant -l'installation. Cette clé sera chiffrée avec -<application>GnuPG</application>, et pour l'utiliser, vous devrez saisir -votre phrase secrète (elle vous sera demandée plus tard dans le processus). - - </para></listitem> - </varlistentry> - - <varlistentry> - <term>Clé aléatoire</term> - <listitem><para> - -Veuillez consulter la section sur les clés aléatoires ci-dessus. - - </para></listitem> - </varlistentry> - </variablelist> - -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Effacer les données : <userinput>oui</userinput></term> - -<listitem><para> - -Veuillez consulter la section sur la suppression des données ci-dessous. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -</variablelist> - -</para> - -<para> - -Après avoir choisi les paramètres des partitions chiffrées, vous pouvez -revenir dans le menu de partitionnement. Une entrée <guimenu>Configuration -des volumes chiffrés</guimenu> devrait être présente. Quand vous la -sélectionnez, on vous demande de confirmer la suppression des données sur -les partitions à supprimer ainsi que d'autres actions comme l'écriture d'une -nouvelle table des partitions. Pour les grandes partitions, cela peut -prendre du temps. - -</para><para> - -On vous demandera ensuite de saisir une phrase pour les partitions qui en -utilisent. Une bonne phrase doit contenir plus de huit caractères, mélanger -les lettres, les chiffres et les autres caractères, ne pas comporter des mots -du dictionnaire ou des informations personnelles comme dates de naissance, -loisirs, petits noms, noms des membres de la famille ou des amis, etc. - -</para><warning><para> - -Avant de saisir une phrase, vous devez être sûr que le clavier est -correctement configuré et affiche bien les caractères attendus. Si ce n'est -pas le cas, vous pouvez passer sur la deuxième console et saisir quelques -caractères. Cela vous évitera de saisir une phrase avec un clavier configuré -en <quote>qwerty</quote> alors qu'à l'installation vous l'aviez configuré en -<quote>azerty</quote>. Cette situation peut avoir plusieurs causes. Vous -avez changé de carte clavier pendant l'installation ou bien la carte clavier -n'est pas encore configurée au moment où vous saisissez la phrase secrète -pour le système de fichiers racine. - -</para></warning><para> - -Si vous avez choisi une méthode sans phrase secrète pour créer une clé de -chiffrement, la clé sera créée maintenant. Comme le noyau, à ce stade de -l'installation, peut manquer d'entropie, cela peut prendre du temps. Vous -pouvez accélérer le processus en pressant des touches au hasard ou en -passant sur la deuxième console et en créant du trafic réseau ou disque -(télécharger des fichiers, envoyer des fichiers sur /dev/null, etc.). -L'opération est répétée pour chaque partition à chiffrer. - -</para><para> - -De retour dans le menu principal de partitionnement, vous pourrez voir tous -les volumes chiffrés listés comme partitions supplémentaires que vous pouvez -configurer de la même façon que des partitions ordinaires. L'exemple suivant -montre deux volumes différents, l'un chiffré avec dm-crypt, l'autre avec loop-AES. -<informalexample><screen> -Volume chiffré (<replaceable>sda2_crypt</replaceable>) - 115.1 Go Linux device-mapper - #1 115.1 Go F ext3 - -Loopback (<replaceable>loop0</replaceable>) - 515.2 Mo AES256 keyfile - #1 515.2 Mo F ext3 -</screen></informalexample> C'est le moment d'affecter des points de montages aux -volumes et de modifier le type des systèmes de fichiers si le type par -défaut ne vous convient pas. - -</para><para> - -Notez bien les identifiants entre parenthèses -(<replaceable>sda2_crypt</replaceable> et <replaceable>loop0</replaceable> dans -ce cas) et le point de montage affecté à chaque volume chiffré. Vous aurez -besoin de ces informations quand vous amorcerez le nouveau système. Les -différences entre un processus de démarrage ordinaire et un processus impliquant -des questions de chiffrement seront abordées dans <xref linkend="mount-encrypted-volumes"/>. - -</para><para> - -Une fois le schéma de partitionnement terminé, vous pouvez poursuivre l'installation. - -</para> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/partman-lvm.xml b/fr/using-d-i/modules/partman-lvm.xml deleted file mode 100644 index 8a6684ee0..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/partman-lvm.xml +++ /dev/null @@ -1,96 +0,0 @@ -<!-- original version: 56326 --> - -<sect3 id="partman-lvm"> - <title>Configuration du <quote>Logical Volume Manager</quote> (LVM)</title> -<para> - -Si vous travaillez sur les ordinateurs comme administrateur système ou -si vous êtes un utilisateur <quote>avancé</quote>, vous avez sûrement -rencontré le cas suivant : une partition qui manque d'espace libre -(c'est habituellement la plus importante du système) et une partition -grossièrement sous-utilisée, la gestion de cette situation ayant consisté -en déplacement de fichiers, création de liens symboliques, etc. -</para> -<para> -Pour éviter cette situation, on peut utiliser un gestionnaire de volumes -logiques, <quote>Logical Volume Manager</quote> (LVM). Dit simplement, -avec LVM vous pouvez combiner vos partitions -(<firstterm>volumes physiques</firstterm> dans le lexique LVM) pour former -un disque virtuel (<firstterm>groupe de volumes</firstterm>) qui peut être -divisé en partitions virtuelles (<firstterm>volumes logiques</firstterm>). -L'idée est que les volumes logiques s'étendent sur plusieurs disques physiques. -</para> -<para> -Dès lors, quand vous constatez que votre vieille partition -<filename>/home</filename> de 160 Go a besoin d'espace, vous pouvez -simplement ajouter un disque de 300 Go à votre machine, l'intégrer au -groupe de volumes existant et redimensionner le volume logique qui comprend -la partition <filename>/home</filename> et vos utilisateurs ont -de nouveau de la place sur la partition de 460 Go ! -Cet exemple est bien sûr un peu simplifié. Si vous ne l'avez pas encore lu, -vous devriez consulter le <ulink url="&url-lvm-howto;">HOWTO LVM</ulink>. - -</para> -<para> - -La configuration de LVM dans l'installateur &debian; est très simple. D'abord, -vous devez marquer les partitions à utiliser comme volumes physiques par -LVM. Cela se fait avec <command>partman</command> dans le menu -<guimenu>Configuration des partitions</guimenu>, où vous choisissez -<menuchoice><guimenu>Utiliser comme :</guimenu> -<guimenuitem>volume physique pour LVM</guimenuitem></menuchoice>. - -</para> -<para> - -Quand vous revenez à l'écran principal de <command>partman</command>, vous voyez -une nouvelle option -<guimenuitem>Configurer LVM, le gestionnaire des volumes logiques</guimenuitem>. -Quand vous la sélectionnez, on vous demande d'abord de confirmer les modifications en -attente pour la table des partitions (s'il y en a) et le menu de configuration de LVM sera -affiché. Le menu n'affiche que les actions valables selon le contexte. -Les actions possibles sont : - -<itemizedlist> - <listitem><para> - <guimenuitem>Afficher les détails de la configuration</guimenuitem> : - montre la structure des volumes LVM, le nom et la taille des volumes, etc. - </para></listitem> - <listitem><para> - <guimenuitem>Créer un groupe de volumes</guimenuitem> - </para></listitem> - <listitem><para> - <guimenuitem>Créer un volume logique</guimenuitem> - </para></listitem> - <listitem><para> - <guimenuitem>Supprimer un groupe de volumes</guimenuitem> - </para></listitem> - <listitem><para> - <guimenuitem>Supprimer un volume logique</guimenuitem> - </para></listitem> - <listitem><para> - <guimenuitem>Etendre un volume logique</guimenuitem> - </para></listitem> - <listitem><para> - <guimenuitem>Réduire un volume logique</guimenuitem> - </para></listitem> - <listitem><para> - <guimenuitem>Terminer</guimenuitem>: - retourne à l'écran principal de <command>partman</command>. - </para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> -<para> -Utilisez les options de ce menu pour créer d'abord un groupe de volumes et pour -créer ensuite les volumes logiques. -</para> - -<para> -Quand vous revenez à l'écran principal de <command>partman</command>, -tous les volumes logiques créés sont affichés comme si c'étaient -de simples partitions, et vous devez les traiter ainsi. -</para> -</sect3> - - diff --git a/fr/using-d-i/modules/partman.xml b/fr/using-d-i/modules/partman.xml deleted file mode 100644 index 2c9969f29..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/partman.xml +++ /dev/null @@ -1,431 +0,0 @@ -<!-- original version: 68597 --> - -<para> - -Si le partitionnement vous inquiète ou si vous voulez des précisions supplémentaires, -voyez l'<xref linkend="partitioning"/>. - -</para> - -<warning arch="sparc"><para> -<!-- BTS: #384653 --> - -Quand un disque a déjà été utilisé sous Solaris, le programme de -partitionnement peut ne pas détecter correctement la taille du disque. -Le problème n'est pas réglé par la création d'une nouvelle table des partitions. -Il faut modifier les premiers secteurs du disque de cette façon : - -<informalexample><screen> -# dd if=/dev/zero of=/dev/hd<replaceable>X</replaceable> bs=512 count=2; sync -</screen></informalexample> - -Notez que cela rendra inaccessibles les données de ce disque. -</para></warning> - - -<para> - -Dans un premier temps, vous aurez la possibilité de partitionner un disque -entier ou une partie de disque, de façon automatique. -C'est le partitionnement <quote>assisté</quote>. Si vous n'aimez pas -ce côté automatique, choisissez l'option -<guimenuitem>Manuel</guimenuitem> dans le menu. -</para> - - <sect3 id="partman-fs"> - <title>Options de partitionnement</title> -<para> -Le partitionneur de l'installateur &debian; est polyvalent. Il autorise la -création de plusieurs schémas de partitionnement et permet l'utilisation de -diverses tables de partitions, systèmes de fichiers et périphériques -bloc complexes. - -</para> -<para> - -Les options disponibles dépendent principalement de l'architecture mais -aussi de différents facteurs. Ainsi sur des systèmes avec peu de -mémoire, certaines options peuvent manquer. Les valeurs par défaut -peuvent aussi changer. Le type des tables de partitions peut être différent -sur les disques durs à grande capacité et sur les disques durs de -moindre capacité. Certaines options ne sont modifiables que si la -priorité debconf est <quote>medium</quote> ou <quote>low</quote>. Pour -les autres priorités, des valeurs par défaut pertinentes sont utilisées. - -</para> -<para arch="linux-any"> -L'installateur accepte plusieurs formes de partitionnement ainsi que -plusieurs types de périphériques de stockage, lesquels peuvent être -combinés. - -<itemizedlist> - <listitem><para> - <emphasis>Gestion des volumes logiques (LVM)</emphasis> - </para></listitem> - <listitem arch="not-s390"><para> - <emphasis>RAID logiciel</emphasis> - </para><para> - Niveaux RAID reconnus : 0, 1, 4, 5, 6, 10. - </para></listitem> - <listitem><para> - <emphasis>Chiffrement</emphasis> - </para></listitem> - <listitem arch="x86"><para> - <emphasis>RAID Serial ATA</emphasis> (avec <classname>dmraid</classname>) - </para><para> - Appelé <quote>fake RAID</quote> ou <quote>BIOS RAID</quote>. - Le RAID Serial ATA n'est disponible que s'il a été activé au moment - de l'amorçage de l'installateur. Des informations plus détaillées sont - disponibles sur <ulink url="&url-d-i-sataraid;">notre Wiki</ulink>. - </para></listitem> - <listitem><para> - <emphasis>Multipath</emphasis> (expérimental) - </para><para> - Consultez <ulink url="&url-d-i-multipath;">notre Wiki</ulink> pour des informations. - Le <quote>multipath</quote> n'est disponible que s'il a été activé au moment - de l'amorçage de l'installateur. - </para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> -<para> - -Les systèmes de fichiers suivants sont reconnus : - -<itemizedlist> - <listitem><para> - <phrase arch="arm;mipsel"><emphasis>ext2r0</emphasis></phrase> - <emphasis>ext2</emphasis> - <phrase arch="linux-any"><emphasis>ext3</emphasis>,</phrase> - <phrase arch="linux-any"><emphasis>ext4</emphasis></phrase> - </para><para arch="linux-any"> - Le système de fichier choisi par défaut est ext4 ; pour la partition - <filename>/boot</filename> ext2 est choisi par défaut si le - partitionnement assisté est utilisé. - </para></listitem> - <listitem arch="linux-any"><para> - <emphasis>jfs</emphasis> (pas disponible sur toutes les architectures) - </para></listitem> - <listitem arch="kfreebsd-any"><para> - <emphasis>ufs</emphasis> - </para><para> - Le système de fichiers par défaut est UFS. - </para></listitem> - <listitem arch="linux-any"><para> - <emphasis>xfs</emphasis> (pas disponible sur toutes les architectures) - </para></listitem> - <listitem arch="kfreebsd-any"><para> - <emphasis>zfs</emphasis> - </para><para> -La gestion du système ZFS est encore en phase de développement dans l'installateur. -Une partie seulement des fonctionnalités est implémentée. Certaines peuvent être activées après l'installation -initiale mais quelques points délicats sont à noter : - <itemizedlist> - <listitem><para> - Chaque pool ZFS ne contient qu'un seul système de fichiers. Après l'installation, - d'autres systèmes de fichiers peuvent être créés pour ce pool avec la commande - <quote>zfs create</quote>. - </para></listitem> - <listitem><para> - Chaque pool ZFS est composé d'une seule partition. Après l'installation, - ce pool peut être converti en un pool contenant plusieurs périphériques avec la commande - <quote>zpool add</quote>. Il peut aussi devenir un pool en miroir avec la commande - <quote>zpool attach</quote>. Cependant, il vaut mieux ne pas transformer le pool qui contient - le système de fichiers racine car cela empêche GRUB d'amorcer le système. - </para></listitem> - <listitem><para> - La compression n'est pas encore possible. Après l'installation, - on peut activer la compression en définissant la propriété <quote>compression</quote> - par la commande <quote>zfs set</quote>. Mais si vous utilisez un algorithme de compression - différent de l'algorithme par défaut (lzjb) sur le pool qui contient - le système de fichiers racine, il se peut que cela empêche GRUB d'amorcer le système. - </para></listitem> - </itemizedlist> - </para></listitem> - <listitem><para arch="linux-any"> - <emphasis>reiserfs</emphasis> (optionnel ; pas disponible sur toutes les architectures) - </para><para> - Le système Reiser n'est plus disponible automatiquement. - Quand l'installateur s'exécute avec une priorité debconf - <quote>medium</quote> ou <quote>low</quote>, il peut être activé en - choisissant le composant - <classname>partman-reiserfs</classname>. Seule la version 3 est - disponible. - </para></listitem> - <listitem arch="arm"><para> - <emphasis>jffs2</emphasis> - </para><para> - Utilisé sur certains systèmes pour lire la mémoire flash. Il n'est - pas possible de créer de nouvelles partitions jffs2. - </para></listitem> - <listitem arch="x86"><para> - <emphasis>qnx4</emphasis> - </para><para> - Les partitions existantes sont reconnues et il est possible de leur - attribuer des points de montages. Il n'est pas possible de créer de - nouvelles partitions qnx4. - </para></listitem> - <listitem><para> - <emphasis>FAT16</emphasis>, <emphasis>FAT32</emphasis> - </para></listitem> - <listitem arch="x86;ia64"><para> - <emphasis>NTFS</emphasis> (read-only) - </para><para> - Les partitions existantes peuvent êtres redimensionnées et il est - possible de leur attribuer des points de montages. Il n'est pas - possible de créer de nouvelles partitions NTFS. - </para></listitem> -</itemizedlist> - -</para> - </sect3> - - - <sect3 id="partman-auto"> - <title>Le partitionnement assisté</title> - -<para arch="linux-any"> - -Si vous choisissez le partitionnement assisté, vous aurez le choix entre trois solutions : -créer directement les partitions sur le disque (méthode classique), utiliser -le gestionnaire de volumes logiques (LVM, <quote>Logical Volume management</quote>) -ou utiliser LVM avec chiffrement <footnote> - -<para> -L'installateur chiffrera le groupe de volumes avec une clé AES 256 bits et utilisera -la fonction <quote>dm-crypt</quote> du noyau.</para></footnote>. -</para> - -<note arch="linux-any"><para> -Il se peut toutefois que cette dernière option ne soit pas disponible -sur toutes les architectures. -</para></note> - -<para arch="linux-any"> - -Si vous utilisez LVM ou LVM avec chiffrement, l'installateur créera -les partitions dans une seule grande partition. L'avantage de cette méthode est la possibilité -de redimensionner facilement ces partitions. Si elle est chiffrée, la grande partition -ne sera pas accessible sans une phrase spéciale qui sécurisera vos données. - -</para> -<para arch="linux-any"> - -Avec LVM avec chiffrement, l'installateur effacera automatiquement le disque en y -écrivant des données aléatoires. Cela améliore la sécurité car cela rend impossible -de dire quelles parties du disque sont utilisées et cela efface toutes les traces d'une -installation précédente. Cependant cela prend du temps. -</para> - -<note arch="linux-any"><para> - -Si vous avez choisi le partitionnement assisté avec LVM ou LVM avec chiffrement, -la table des partitions du disque choisi doit être modifiée. Ces modifications -détruisent réellement les données présentes sur le disque. Il ne sera pas possible -ensuite d'annuler ces modifications. Cependant l'installateur vous demandera de -confirmer ces modifications avant qu'elles ne soient écrites sur le disque. - -</para></note> - -<para> - -Après avoir choisi le partitionnement assisté<phrase arch="linux-any"> (soit la méthode classique, -soit les méthodes LVM)</phrase>, vous devrez choisir le disque à partitionner. -Vérifiez que tous les disques sont listés et choisissez le bon si vous avez plusieurs -disques. L'ordre de la liste peut différer de celui qui vous est habituel. La taille -des disques peut vous aider à les identifier. -</para> -<para> - -Les données présentes sur le disque choisi seront finalement détruites. Mais il vous -est toujours demandé de confirmer les modifications qui doivent être apportées. -<phrase arch="linux-any">Si vous avez choisi la méthode classique, vous pourrez annuler tout changement -jusqu'à la fin du processus. Avec les méthodes LVM, cela n'est pas possible. -</phrase> -</para> - -<para> -Vous pourrez ensuite choisir un schéma parmi les modèles décrits dans le tableau ci-dessous. -Tous ces schémas ont leurs avantages et leurs inconvénients, certains sont discutés dans -l'<xref linkend="partitioning"/>. Choisissez le premier si vous -n'avez pas d'avis tranché. N'oubliez pas que le partitionnement assisté -a besoin de suffisamment d'espace libre pour pouvoir fonctionner. Si vous ne lui donnez -pas au moins 1 GO, il échouera. - -</para> - -<informaltable> -<tgroup cols="3"> -<thead> -<row> -<entry>Schéma de partitionnement</entry> -<entry>Espace minimum</entry> - <entry>Partitions créées</entry> -</row> -</thead> - -<tbody> -<row> - <entry>Tous les fichiers dans une seule partition</entry> - <entry>600 Mo</entry> - <entry><filename>/</filename>, swap</entry> -</row><row> - <entry>Partition /home distincte</entry> - <entry>500 Mo</entry> - <entry> - <filename>/</filename>, <filename>/home</filename>, swap - </entry> -</row><row> - <entry>Partitions /home, /usr, /var et /tmp distinctes</entry> - <entry>1 Go</entry> - <entry> - <filename>/</filename>, <filename>/home</filename>, - <filename>/usr</filename>, <filename>/var</filename>, - <filename>/tmp</filename>, swap - </entry> -</row> - -</tbody></tgroup></informaltable> - -<para arch="linux-any"> - -Si vous avez choisi le partitionnement assisté avec LVM, l'installateur -créera aussi une partition <filename>/boot</filename> distincte. -Les autres partitions (et aussi la partition d'échange) seront créées dans la partition LVM. - -</para> - -<para arch="ia64"> -Si vous choisissez le partitionnement assisté avec le système IA-64, une -partition supplémentaire, avec un système de fichiers FAT16 amorçable, -sera créée pour le programme d'amorçage EFI. Il y a aussi un élément de menu -supplémentaire qui permet de formater soi-même une partition comme partition -EFI amorçable. -</para> -<para> - -Sur l'écran suivant, vous verrez votre table des partitions, avec le type de -formatage des partitions et leur point de montage. -</para> -<para> -La liste des partitions pourrait ressembler à ceci : - -<informalexample><screen> - IDE1 master (hda) - 6.4 Go WDC AC36400L - #1 primary 16.4 Mo B f ext2 /boot - #2 primary 551.0 Mo swap swap - #3 primary 5.8 Go ntfs - pri/log 8.2 Mo FREE SPACE - - IDE1 slave (hdb) - 80.0 Go ST380021A - #1 primary 15.9 Mo ext3 - #2 primary 996.0 Mo fat16 - #3 primary 3.9 Go xfs /home - #5 logical 6.0 Go f ext3 / - #6 logical 1.0 Go f ext3 /var - #7 logical 498.8 Mo ext3 - #8 logical 551.5 Mo swap swap - #9 logical 65.8 Go ext2 -</screen></informalexample> - -Cet exemple affiche les partitions de deux disques durs IDE. Le premier -possède un espace libre. Chaque ligne donne le numéro de la partition, -son type, sa taille, des drapeaux facultatifs, le système de fichiers et le -point de montage s'il existe. Note : cet exemple ne peut pas être créé avec -le partitionnement assisté, mais il peut l'être avec le partitionnement manuel. - -</para> -<para> - -Ainsi se termine le partitionnement assisté. Si vous êtes satisfait de la -table des partitions créée, vous pouvez sélectionner -<guimenuitem>Terminer le partitionnement et écrire les modifications sur -le disque</guimenuitem> dans le menu pour la créer réellement (voyez la fin de -cette section). Si vous n'êtes pas satisfait, vous pouvez choisir -<guimenuitem>Ne pas modifier les partitions</guimenuitem> -pour relancer le partitionnement assisté ou bien pour modifier les changements proposés, -voyez le partitionnement <quote>manuel</quote> ci-dessous. - -</para> -</sect3> - - <sect3 id="partman-manual"> - <title>Le partitionnement <quote>manuel</quote></title> - - -<para> - -Un écran similaire au précédent sera affiché si vous avez choisi le -partitionnement manuel ; mais c'est votre table des partitions qui est -montrée, sans les points de montage. La suite de cette section expliquera -comment créer une table des partitions et indiquera l'usage de ces partitions. -</para> - -<para> -Si vous avez sélectionné un disque vierge, sans partition ni espace libre, -on vous proposera de créer une table des partitions ; c'est nécessaire -pour créer des partitions. Une nouvelle ligne, intitulée -<quote>ESPACE LIBRE</quote> devrait apparaître sous le disque sélectionné. -</para> -<para> -Si vous avez sélectionné un espace libre, on vous proposera de créer -de nouvelles partitions. On vous posera des questions sur la taille de la -partition, son type (primaire ou logique), son début et sa fin dans -l'espace libre. Puis la nouvelle partition sera présentée en détail. -L'élément principal est <guimenuitem>Utiliser comme :</guimenuitem> qui indique si -la partition possède un système de fichiers ou si elle est utilisée comme -partition d'échange<phrase arch="linux-any">, comme système RAID, LVM, si elle est chiffrée,</phrase> -ou si elle n'est pas utilisée du tout. Il y a d'autres options -comme le point de montage, les options de montage, le drapeau d'amorçage, tout dépend de -la manière dont elle est utilisée. -Si vous n'aimez pas les valeurs présélectionnées, -n'hésitez pas à les changer. Par exemple, en choisissant l'option -<guimenuitem>Utiliser comme :</guimenuitem>, vous pouvez demander un autre système de -fichiers ou demander d'utiliser cette partition comme partition -d'échange, <phrase arch="linux-any"> comme partition RAID logiciel ou partition LVM</phrase> et même demander -de ne pas l'utiliser du tout. Une autre possibilité agréable est de pouvoir -copier les données d'une partition existante sur cette partition. -Quand vous êtes satisfait de votre nouvelle partition, choisissez -<guimenuitem>Terminer le paramétrage de la partition</guimenuitem> et vous serez ramené à -l'écran principal de <command>partman</command>. -</para> -<para> -Si vous voulez modifier votre partition, sélectionnez-la et vous reviendrez -au menu de configuration des partitions. C'est le même écran que pour une -création et vous pourrez aussi changer les mêmes options. Ce n'est pas -évident au premier regard, mais on peut modifier la taille de la partition en -sélectionnant l'élément affichant la taille. -Les systèmes de fichiers fat16, fat32, ext2, ext3 et swap sont réputés bien -fonctionner. Ce menu permet aussi de supprimer une partition. -</para> - -<para> -N'oubliez pas de créer au moins deux partitions, une partition d'échange -<emphasis>swap</emphasis> et une partition pour le système de fichiers de la -racine (<emphasis>root</emphasis>) qui sera monté en <filename>/</filename>. -Si vous ne montez pas le système de fichiers de la racine, -<command>partman</command> ne pourra continuer que si vous corrigez le -problème. -</para> -<para arch="ia64"> -Si vous oubliez de créer une partition amorçable EFI, -<command>partman</command> le détectera et vous demandera d'en créer une. -</para> -<para arch="linux-any"> - -On peut ajouter des fonctionnalités à <command>partman</command> avec des -modules de l'installateur. Aussi, quand vous ne trouvez pas les options promises, -vérifiez que vous avez chargé tous les modules requis, par exemple, -<filename>partman-ext3</filename>, -<filename>partman-xfs</filename>, ou -<filename>partman-lvm</filename>. - -</para><para> - -Quand les choix de partitionnement vous conviennent, choisissez l'option -<guimenuitem>Terminer le partitionnement</guimenuitem> du menu. Un résumé des -modifications apportées aux disques sera affiché et on vous demandera une -confirmation avant de créer les systèmes de fichiers. - -</para> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/pkgsel.xml b/fr/using-d-i/modules/pkgsel.xml deleted file mode 100644 index e9fec731d..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/pkgsel.xml +++ /dev/null @@ -1,144 +0,0 @@ -<!-- original version: 68208 --> - - <sect3 id="pkgsel"> - <title>Sélection et installation des paquets</title> - -<para> - -Pendant l'installation, il vous est proposé de choisir des logiciels à installer. -Plutôt que de choisir les paquets un par un parmi les &num-of-distrib-pkgs; paquets -disponibles, vous pourrez, pendant cette phase de l'installation, sélectionner et -installer un certain nombre de configurations logicielles prédéfinies. - -</para><para> - -<!-- TODO: Should explain popcon first --> - -Autrement dit, vous pouvez choisir des <emphasis>tâches</emphasis>, et ensuite -ajouter des paquets individuellement. Ces tâches représentent -grosso modo les différents travaux qu'on peut faire avec son ordinateur, -par exemple de la <quote>bureautique</quote>, du <quote>service web</quote> -ou encore du <quote>service d'impression</quote> <footnote> - -<para> - -Il faut savoir que pour présenter cette liste, l'installateur -appelle simplement le programme <command>tasksel</command>. Ce programme peut être -utilisé à tout moment une fois l'installation terminée pour installer ou supprimer -des paquets. Vous pouvez aussi utiliser un outil plus sophistiqué comme -<command>aptitude</command>. Une fois que l'installation est terminée, -si vous voulez un paquet particulier, -exécutez simplement <userinput>aptitude install <replaceable>paquet</replaceable></userinput>, -où <replaceable>paquet</replaceable> est le nom du paquet voulu. - -</para> - -</footnote>. L'espace nécessaire pour chaque tâche est indiqué dans -<xref linkend="tasksel-size-list"/>. - -</para><para> - -Certaines tâches peuvent avoir été présélectionnées en fonction -de la machine sur laquelle vous faites l'installation. Si vous n'êtes pas d'accord -avec ces sélections, vous pouvez déselectionner ces tâches ; vous pouvez même -n'installer aucune tâche. -</para> -<tip><para> - -Dans l'interface standard de l'installateur, vous pouvez utiliser la barre -d'espace pour sélectionner une tâche. - -</para></tip> -<note><para> - -À moins d'utiliser des cédéroms conçus avec KDE ou Xfce/LXDE, -la tâche <quote>Environnement graphique de bureau</quote> -installe l'environnement Gnome. -</para> - -<para> -L'installateur n'offre pas d'option pour sélectionner un environnement différent. -Cependant, en utilisant la préconfiguration (voyez <xref linkend="preseed-pkgsel"/>) -ou en utilisant un paramètre d'amorçage, <literal>desktop=kde</literal> au moment de l'amorçage -de l'installateur, il est possible d'installer KDE. -Il est possible de choisir un environnement plus léger, comme l'environnement Xfce -ou l'environnement LXDE, en utilisant le paramètre <literal>desktop=xfce</literal> ou -le paramètre <literal>desktop=lxde</literal>. -</para> - -<para arch="x86"> - -Certaines images de CD (netinst et DVD) permettent aussi de choisir -l'environnement voulu à partir du menu de l'installateur graphique. Sélectionnez l'option -<quote>Options avancées</quote> dans le menu principal et cherchez -<quote>Autres environnements de bureau</quote>. - -</para> - -<para> -Il est aussi nécessaire que les paquets composant les environnements soient -disponibles. Si vous faites une installation à partir d'une image sur un seul disque, il faudra -télécharger les paquets d'un miroir car ils ne sont pas sur le premier cédérom. -Avec une image DVD ou une autre méthode d'installation, les environnements KDE, Xfce ou LXDE -s'installent parfaitement. -</para></note> - -<para> -Les différentes tâches <emphasis>serveur</emphasis> installent les logiciels -suivants : - -Serveur DNS : <classname>bind9</classname>; -Serveur de fichiers : <classname>samba</classname>, <classname>nfs</classname>; -Serveur de courrier : <classname>exim4</classname>, <classname>spamassassin</classname>, -<classname>uw-imap</classname>; -Serveur d'impression : <classname>cups</classname>; -Bases de données SQL : <classname>postgresql</classname>; -Serveur web : <classname>apache2</classname>. -</para> - -<para> - -La tâche <quote>Standard system</quote> installe tous les paquets dont la priorité -est <quote>standard</quote>. Beaucoup d'utilitaires habituellement disponibles sur les systèmes -Linux ou Unix sont dans ce cas. Vous devez laisser cette tâche à moins de ne vouloir -réellement qu'un système minimal. - -</para> -<para> - -Si pendant la phase de choix de la langue, une <quote>locale</quote> autre que <quote>C</quote> -a été choisie, le programme <command>tasksel</command> recherchera s'il existe une tâche -de localisation pour cette locale et installera tous les paquets relatifs à cette tâche, -comme par exemple les paquets contenant des dictionnaires ou des polices spéciales. -Si un environnement de bureau a été choisi, il installera aussi les paquets -nécessaires à la localisation du système. - -</para> -<para> - -Une fois les tâches sélectionnées, choisissez &BTN-CONT;. -<command>Aptitude</command> installera les paquets qui font partie des tâches demandées. -Quand un programme a besoin d'informations, l'utilisateur est interrogé. - -</para> -<para> - -Il est important de savoir que la tâche <emphasis>Environnement graphique de bureau</emphasis> -comprend beaucoup de paquets. En particulier, si vous faites une installation à partir -d'un cédérom en combinaison avec un miroir pour les paquets qui ne sont pas sur le cédérom, -l'installateur téléchargera beaucoup de paquets. Si votre connexion à internet -est relativement lente, cela peut prendre beaucoup de temps. Il n'existe pas -d'option pour interrompre l'installation des paquets une fois qu'elle a commencé. -</para> -<para> - -Même quand les paquets sont sur le cédérom, l'installateur peut les télécharger -sur le miroir si la version sur le miroir est plus récente que celle sur le -cédérom. Si vous installez la distribution <emphasis>stable</emphasis>, cela peut -arriver après une mise à jour de cette distribution (<emphasis>point release</emphasis>). -Si vous installez la distribution <emphasis>testing</emphasis>, cela peut arriver -si vous utilisez une image plus ancienne. -</para> - -</sect3> - diff --git a/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml deleted file mode 100644 index 6ae6c4965..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/powerpc/quik-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,14 +0,0 @@ -<!-- original version: 14975 --> - - <sect3 arch="powerpc"> - <title>Installer <command>Quik</command> sur un disque dur</title> -<para> - -Le programme d'amorçage pour les machines Power Macintosh OldWorld est -<command>quik</command>. Vous pouvez aussi utiliser CHRP. L'installateur -&debian; essayera d'installer automatiquement <command>quik</command>. -L'installation peut fonctionner avec les Powermacs 7200, 7300, 7600 et -avec certains clones. - -</para> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml deleted file mode 100644 index b8cd2fb70..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/powerpc/yaboot-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,17 +0,0 @@ -<!-- original version: 64829 --> - - <sect3 arch="powerpc"> - <title>Installer <command>Yaboot</command> sur un disque dur</title> -<para> - -Les nouveaux PowerMacs (depuis la mi-1998) utilisent comme programme -d'amorçage <command>yaboot</command>. L'installateur peut configurer -<command>yaboot</command> automatiquement, vous avez besoin pour cela -d'une petite partition de 820 Ko nommée <quote>bootstrap</quote> -de type <emphasis>Apple_Bootstrap</emphasis> créée avec le partitionneur. -Si cette étape a été accomplie avec succès alors votre -disque est maintenant <emphasis>bootable</emphasis> et OpenFirmware -pourra démarrer &debian-gnu;. - -</para> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml deleted file mode 100644 index d0d068f3d..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/s390/dasd.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml deleted file mode 100644 index 8b267a096..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/s390/netdevice.xml +++ /dev/null @@ -1 +0,0 @@ -<!-- original version: 11648 --> diff --git a/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml deleted file mode 100644 index c58a24f8f..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/s390/zipl-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,18 +0,0 @@ -<!-- original version: 14602 --> - - <sect3 arch="s390"> - <title>Installer <command>zipl</command></title> -<para> - -Le programme d'amorçage sur &arch-title; est <quote>zipl</quote>. -<command>ZIPL</command> est dans sa configuration et son utilisation -similaire à <command>LILO</command> à quelques différences près. -Pour plus d'information sur <command>ZIPL</command>, reportez-vous au -document <quote>LINUX for S/390 Device Drivers and Installation Commands</quote> -sur le site web developerWorks d'IBM. - -</para> - </sect3> - - - diff --git a/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml b/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml deleted file mode 100644 index 791e9bb11..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/save-logs.xml +++ /dev/null @@ -1,24 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect3 id="save-logs"> - <title>Sauvegarde des journaux de l'installation</title> - -<para> - -Si l'installation a réussi, les journaux créés pendant -l'installation seront automatiquement sauvegardés dans le -répertoire <filename>/var/log/installer/</filename> sur -votre nouveau système &debian;. - -</para><para> - -Choisissez <guimenuitem>Sauvegarder les journaux de débogage</guimenuitem> -depuis le menu principal pour sauvegarder les journaux -sur une disquette, le réseau, un disque dur ou -un autre support. Cela peut être utile, si vous rencontrez des -problèmes durant l'installation et que vous souhaitez étudier les -journaux sur un autre système ou les envoyer dans un rapport -de bogue sur l'installation. - -</para> - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/shell.xml b/fr/using-d-i/modules/shell.xml deleted file mode 100644 index d3f86a6aa..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/shell.xml +++ /dev/null @@ -1,62 +0,0 @@ -<!-- original version: 56326 --> - - <sect3 id="shell"> - <title>Utilisation du shell et consultation des journaux</title> - <!-- TODO: There is nothing about logs in this section! --> - - -<para> -Il y a plusieurs façons d'obtenir un interpréteur de commandes pendant l'installation. -Sur la plupart des systèmes (et si vous n'utilisez pas une console série) la méthode -la plus simple est de passer sur la deuxième <emphasis>console virtuelle</emphasis> -en appuyant sur les touches -<keycombo><keycap>Left Alt</keycap> <keycap>F2</keycap></keycombo> <footnote> -<para> -C'est-à-dire qu'il faut appuyer simultanément sur la touche -<keycap>Alt</keycap>, à gauche de la <keycap>barre espace</keycap>, et sur la -touche de fonction <keycap>F2</keycap>. -</para></footnote> -(sur un clavier Mac, <keycombo><keycap>Option</keycap> -<keycap>F2</keycap></keycombo>). -Utilisez <keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F1</keycap></keycombo> -pour revenir à l'installateur. - -</para> -<para condition="gtk"> - -Pour l'installateur graphique, voyez <xref linkend="gtk-using"/>. - -</para><para> -Si vous ne pouvez passer d'une console à l'autre, -il y a aussi une entrée dans le menu principal, <guimenuitem>Exécuter un shell</guimenuitem>, -qui peut lancer un interpréteur de commandes. Dans la plupart de dialogues, -vous pouvez revenir au menu principal en utilisant le bouton &BTN-GOBACK;, une ou plusieurs fois. -Pour fermer l'interpréteur et revenir à l'installateur, -utilisez la commande <userinput>exit</userinput>. - -</para><para> - -Vous avez maintenant amorcé votre système depuis un disque virtuel en mémoire, -et vous avez seulement accès à un ensemble limité d'utilitaires Unix. Vous -pouvez voir les programmes disponibles avec la commande -<userinput>ls /bin /sbin /usr/bin /usr/sbin</userinput> et en utilisant la -commande <command>help</command>. L'interpréteur de commandes disponible est -<command>ash</command>. Il possède quelques fonctionnalités intéressantes -comme la complétion automatique et le rappel des commandes. - -</para><para> - -Pour lire ou modifier des fichiers, utilisez l'éditeur <command>nano</command>. -Les journaux de l'installation se trouvent dans le répertoire <filename>/var/log</filename>. -</para> -<note><para> -Bien qu'il soit possible de faire tout ce que les commandes disponibles permettent, il ne -faut utiliser l'interpréteur de commandes qu'en cas de problème. -</para> -<para> -Exécuter un programme dans un interpréteur de commandes interfère avec le -processus d'installation et provoque des erreurs ou une installation incomplète. -En particulier, la partition d'échange doit toujours être activée par l'installateur. -</para></note> - - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml deleted file mode 100644 index d8ec8d326..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/sparc/silo-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,26 +0,0 @@ -<!-- original version: 24582 --> - - <sect3 arch="sparc"> - <title>Installer le programme d'amorçage <command>SILO</command> - sur un disque dur</title> -<para> - -Le programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>silo</quote>. -La documentation se trouve dans le répertoire <filename>/usr/share/doc/ -silo/</filename>. <command>SILO</command> est dans sa configuration -et son utilisation similaire à <command>LILO</command> à quelques -différences près. Premièrement, <command>SILO</command> vous permet -de démarrer n'importe quel noyau présent sur votre disque, même s'il -n'est pas listé dans votre fichier <filename>/etc/silo.conf</filename>. -En effet <command>SILO</command> est capable de lire les partitions Linux. -De plus le fichier <filename>/etc/silo.conf</filename> est relu à chaque -démarrage, il n'est donc pas nécessaire de relancer <command>SILO</command> -après l'installation d'un nouveau noyau comme vous devez le faire avec -<command>LILO</command>. <command>SILO</command> peut aussi lire les -partitions UFS, et peut donc aussi démarrer à partir d'une partition -SunOS/Solaris. C'est utile si vous souhaitez installer GNU/Linux à -côté de SunOS/Solaris. - -</para> - </sect3> - diff --git a/fr/using-d-i/modules/tzsetup.xml b/fr/using-d-i/modules/tzsetup.xml deleted file mode 100644 index d6f31478b..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/tzsetup.xml +++ /dev/null @@ -1,55 +0,0 @@ -<!-- original version: 61447 --> - -<!-- As tzsetup is invoked from inside clock-setup, this is not a - separate section --> - -<para> - -Selon le pays que vous avez sélectionné au début du processus d'installation, -une liste de fuseaux horaires possibles sera affichée. -Quand vous faites une installation standard, si un seul fuseau horaire -correspond à votre pays, le système ne demandera rien et choisira ce -fuseau horaire. - -</para> - -<para> -Quand vous faites une installation en mode expert ou avec une priorité -<emphasis>medium</emphasis>, vous pouvez choisir le fuseau horaire -<quote>Coordinated Universal Time</quote>, UTC. -</para> -<para> -Si vous désirez installer un fuseau horaire qui ne correspond pas au pays -choisi, vous avez deux possibilités. -</para> - -<orderedlist> -<listitem> - -<para> - -Vous pouvez simplement sélectionner un autre fuseau horaire après l'installation, -quand le nouveau système a été amorcé. Utilisez la commande : - -<informalexample><screen> -# dpkg-reconfigure tzdata -</screen></informalexample> - -</para> - -</listitem><listitem> - -<para> -Vous pouvez aussi définir le fuseau horaire au tout début de l'installation, -en passant le paramètre <userinput>time/zone=<replaceable>valeur</replaceable></userinput> au -moment d'amorcer l'installateur. -Cette valeur doit être connue, par exemple <userinput>Europe/London</userinput> ou -<userinput>UTC</userinput>. -</para> -</listitem> -</orderedlist> - -<para> -Pour les installations automatisées, le fuseau horaire peut être -préconfiguré avec la valeur de son choix. -</para> diff --git a/fr/using-d-i/modules/user-setup.xml b/fr/using-d-i/modules/user-setup.xml deleted file mode 100644 index 4b4235956..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/user-setup.xml +++ /dev/null @@ -1,75 +0,0 @@ -<!-- original version: 50618 --> - - - <sect3 id="user-setup-root"> - <title>Mot de passe pour <quote>Root</quote></title> - -<!-- TODO: Document sudo setup (no root password); medium/low prio only --> - -<para> - -Le compte <emphasis>root</emphasis> est aussi appelé le -<emphasis>superutilisateur</emphasis>; c'est un utilisateur qui -peut outrepasser toutes les protections de sécurité de votre -système. Le compte root ne devrait être utilisé que pour administrer le système, -et le moins longtemps possible. - -</para><para> - -Tout mot de passe devrait faire au moins 6 caractères, et devrait -contenir tant des minuscules que des majuscules ainsi que des -caractères de ponctuation. Soyez particulièrement soigneux lors -du choix de votre mot de passe root en raison des privilèges qui -sont associés à ce compte. Évitez les mots du dictionnaire ou toutes -les informations personnelles qui pourraient être devinées. - -</para><para> - -Si jamais quelqu'un vous dit qu'il a besoin de votre mot de passe -root, soyez sur vos gardes. Vous ne devriez normalement -jamais avoir besoin de le donner, à moins que vous -n'administriez une machine avec plusieurs administrateurs. - -</para> - </sect3> - - <sect3 id="make-normal-user"> - <title>Création d'un utilisateur ordinaire</title> - -<para> - -Le système vous demande à ce stade si vous désirez créer un -compte utilisateur ordinaire. Ce compte devrait être votre -compte personnel principal. Vous ne devriez <emphasis>pas</emphasis> -utiliser le compte root pour un usage quotidien ou comme votre compte personnel. - -<!-- Note: it only _asks_ at medium/low priority --> - -</para><para> - -Pourquoi ? Et bien, une raison d'éviter l'utilisation des -privilèges du superutilisateur est qu'il est très aisé de faire des dommages -irréparables en tant que root. Une autre raison est que vous -pourriez lancer, sans le savoir, un programme de type -<emphasis>Cheval de Troie</emphasis> — qui utilise -avantageusement vos pouvoirs de superutilisateur pour -compromettre, à votre insu, la sécurité de votre -système. Tout bon livre sur l'administration d'un système Unix couvre -ce sujet en détails — envisagez la lecture d'un tel livre -si tout cela est nouveau pour vous. - -</para><para> - -On vous demandera d'abord le nom et le prénom de l'utilisateur. Puis -vous choisirez un mot pour nommer le compte de l'utilisateur. En général, -c'est votre prénom ou quelque chose d'approchant. Vous indiquerez enfin le -mot de passe pour ce compte. - -</para><para> - -Si vous désirez créer un nouveau compte après l'installation, utilisez -la commande <command>adduser</command>. - -</para> - - </sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/x86/grub-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/x86/grub-installer.xml deleted file mode 100644 index b0a6f66c3..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/x86/grub-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,21 +0,0 @@ -<!-- original version: 64742 --> - -<sect3 arch="any-x86"> -<title>Installer le programme d'amorçage <command>Grub</command> sur un disque -dur</title> - -<para> -Le principal programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>grub</quote>. -Grub est un programme souple et stable, il constitue un bon choix pour les -débutants aussi bien que pour les utilisateurs expérimentés. -</para> -<para> -Par défaut, il sera installé sur le secteur principal d'amorçage (MBR) d'où -il prendra un contrôle total sur le processus d'amorçage. Mais vous pouvez -l'installer ailleurs. Voyez le manuel pour des informations complètes. -</para> -<para> -Si vous ne voulez pas installer grub, utilisez le bouton &BTN-GOBACK; -pour aller sur le menu principal et choisissez un autre programme d'amorçage. -</para> -</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/modules/x86/lilo-installer.xml b/fr/using-d-i/modules/x86/lilo-installer.xml deleted file mode 100644 index 4ab26fcdb..000000000 --- a/fr/using-d-i/modules/x86/lilo-installer.xml +++ /dev/null @@ -1,60 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect3 arch="x86"> -<title>Installer le programme d'amorçage <command>LILO</command> -sur un disque dur</title> - -<para> -Le deuxième programme d'amorçage pour &architecture; est <quote>LILO</quote>. -C'est un vieux programme complexe qui offre beaucoup de fonctions, -notamment la gestion de l'amorçage de DOS, Windows et OS/2. Lisez -attentivement les instructions dans le répertoire -<filename>/usr/share/doc/lilo/</filename> si vous avez des besoins -particuliers. Voyez aussi le <ulink url="&url-lilo-howto;">LILO mini-HOWTO</ulink>. -</para> -<note><para> - -L'installation de LILO crée seulement des entrées pour les systèmes -d'exploitation qui peuvent être -<firstterm>« chainloaded »</firstterm>. -Cela signifie que vous aurez à ajouter vous-même une entrée pour les -systèmes tels que GNU/Linux et GNU/Hurd après l'installation. -</para></note> - -<para> -L'installateur propose trois endroits où installer <command>LILO</command> : -<variablelist> -<varlistentry> -<term>Le secteur principal d'amorçage (MBR)</term><listitem><para> - -De cette façon, <command>LILO</command> contrôlera totalement le processus -d'amorçage. -</para></listitem></varlistentry> - -<varlistentry> -<term>une nouvelle partition &debian;</term><listitem><para> - -Choisissez cette option si vous voulez utiliser un autre programme d'amorçage. -<command>LILO</command> s'installera au début de cette nouvelle partition et -servira de second programme d'amorçage. -</para></listitem></varlistentry> - -<varlistentry> -<term>Autre choix</term><listitem><para> - -Cette option est utile aux experts qui veulent installer -<command>LILO</command> ailleurs. Dans ce cas, on vous demandera où. -Vous pouvez utiliser des noms traditionnels -comme <filename>/dev/hda</filename> ou <filename>/dev/sda</filename>. - -</para></listitem></varlistentry> -</variablelist> -</para> -<para> -Si vous ne pouvez plus amorcer Windows 9x (ou DOS) après cette étape, -vous devrez utiliser le disque de Windows 9x (MS-DOS) ou utiliser la -commande <userinput>fdisk /mbr</userinput> pour réinstaller le secteur -d'amorçage principal MS-DOS. Cependant vous devrez démarrer &debian; par un -autre moyen ! -</para> -</sect3> diff --git a/fr/using-d-i/using-d-i.xml b/fr/using-d-i/using-d-i.xml deleted file mode 100644 index a0990042f..000000000 --- a/fr/using-d-i/using-d-i.xml +++ /dev/null @@ -1,430 +0,0 @@ -<!-- original version: 68567 --> - -<chapter id="d-i-intro"><title>Comment utiliser l'installateur &debian; ?</title> - - <sect1><title>Comment fonctionne l'installateur ?</title> -<para> - -L'installateur &debian; comprend plusieurs composants qui ont chacun une tâche -précise à accomplir. Chaque composant pose à l'utilisateur les questions -nécessaires à l'exécution de sa tâche. Chaque question possède une priorité et -cette priorité est déclarée au démarrage de l'installateur. -</para> -<para> -Pour une installation standard, seules les questions essentielles (priorité -<emphasis>high</emphasis>) sont posées. Ainsi l'installation est grandement -automatisée, avec peu d'interventions de l'utilisateur. Les composants sont -choisis et exécutés automatiquement selon le matériel et selon le type -d'installation demandée. L'installateur utilise des valeurs par défaut pour les -questions qui ne sont pas posées. -</para> - -<para> -Quand survient un problème, l'utilisateur voit un message d'erreur et le menu -de l'installateur peut s'afficher pour permettre le choix d'une autre action. -Quand il n'y a pas de problème, l'utilisateur ne voit jamais le menu de -l'installateur. Il répond simplement aux questions qui lui sont posées par -chaque composant. Les messages concernant des erreurs sérieuses ont une -priorité <emphasis>critical</emphasis> afin que l'utilisateur les reçoive toujours. -</para> -<para> -On peut modifier les valeurs par défaut utilisées par l'installateur en passant -des paramètres d'amorçage au démarrage de l'installateur. Si, par exemple, vous -préférez configurer vous-même le réseau — la configuration automatique IPv6 -et DHCP sont utilisés quand c'est possible —, vous pouvez ajouter le paramètre d'amorçage -<userinput>netcfg/disable_autoconfig=true</userinput>. -Les paramètres disponibles sont donnés dans la <xref linkend="installer-args"/>. - -</para><para> - -Certains utilisateurs préfèrent une interface dotée d'un menu ; ils -veulent contrôler chaque étape et ne pas laisser l'installateur agir -automatiquement. Pour utiliser l'installateur dans ce mode manuel, il faut -ajouter le paramètre de démarrage <userinput>priority=medium</userinput>. - -</para> -<para> -Si, quand ils sont installés, vous devez passer des paramètres aux modules du -noyau, vous devrez exécuter l'installateur en mode <emphasis>expert</emphasis>. -Vous pouvez le faire en utilisant la commande <command>expert</command> au -démarrage de l'installateur, ou en ajoutant le paramètre d'amorçage -<userinput>priority=low</userinput>. -Le mode expert permet de contrôler complètement l'installateur. -</para> - -<para condition="gtk"> - -L'installateur debian propose deux interfaces utilisateur : l'une en mode -texte, l'autre en mode graphique. L'interface en mode texte est utilisée par défaut, -à moins que ne soit choisie l'option <quote>Graphical install</quote> dans le premier -menu d'amorçage. D'autres informations sur le mode graphique se trouvent dans -<xref linkend="graphical"/>. - -</para><para condition="not-gtk"> - -L'installateur debian propose une interface en mode texte. Pour l'instant, -il n'existe pas d'interface en mode graphique. - -</para><para> - -Quand l'affichage de l'installateur se fait en mode caractère, -la souris ne fonctionne pas. -Voici les touches qui servent à naviguer dans les différents menus. -La flèche <keycap>droite</keycap> ou la touche <keycap>Tab</keycap> -servent à avancer dans les sélections ou les boutons affichés, et la flèche -<keycap>gauche</keycap> ou la touche -<keycombo> <keycap>Shift</keycap> <keycap>Tab</keycap></keycombo>, à reculer. -Les flèches <keycap>haut</keycap> et <keycap>bas</keycap> sélectionnent -des éléments dans une liste déroulante, et déroulent aussi la liste. De plus, -pour les longues listes, taper une lettre déroulera la liste jusqu'à une -section qui possèdent des éléments commençant par cette lettre ; vous -pouvez utiliser les touches <keycap>Pg-Up</keycap> et <keycap>Pg-Down</keycap> -pour parcourir la liste selon les sections. La touche <keycap>Espace</keycap> -sélectionne les éléments de type checkbox. Activez les choix avec -&enterkey;. - -</para><para> - -Certains dialogues peuvent proposer une aide. Si cette aide est -disponible, cela sera indiqué sur la ligne du bas de l'écran. -Le contenu de cette aide peut être affiché en pressant la touche -<keycap>F1</keycap>. - -</para><para arch="s390"> - -Les S/390 ne connaissent pas les consoles virtuelles. Vous pouvez ouvrir une -seconde et une troisième session ssh pour visualiser les journaux -décrits ci-dessous. - -</para><para> - -Le journal de l'installation et les messages d'erreur sont redirigés vers la quatrième console. -Vous pouvez y accéder en pressant -<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F4</keycap></keycombo> -(il faut garder la touche <keycap>Alt</keycap> enfoncée pendant que vous appuyez -sur la touche de fonction <keycap>F4</keycap>). Revenez sur le processus -d'installation avec -<keycombo><keycap>Left Alt</keycap><keycap>F1</keycap></keycombo>. - -</para><para> - -Ces messages se retrouvent aussi dans -<filename>/var/log/syslog</filename>. Après l'installation, ce -journal est copié dans <filename>/var/log/installer/syslog</filename> -sur votre nouveau système. D'autres messages d'installation se trouvent, -pendant l'installation, dans le fichier -<filename>/var/log/</filename>, et, quand la -machine a démarré le nouveau système, ces messages se trouvent dans -<filename>/var/log/installer/</filename>. - -</para> - - <sect2 id="gtk-using"> - <title>Utilisation de l'installateur graphique</title> -<para> - -Comme l'installateur graphique fonctionne de la même manière que -l'installateur texte, la suite de ce manuel vous servira de guide pour le -processus d'installation. - -</para><para> - -Si vous préférez le clavier à la souris, vous devez savoir deux choses. -Pour dérouler une liste (par exemple la liste des pays à l'intérieur des -continents) vous pouvez utiliser les touches <keycap>+</keycap> et -<keycap>-</keycap>. Pour les questions permettant plusieurs choix -(par exemple la sélection des tâches), vous devez d'abord appuyer le -bouton &BTN-CONT; après la sélection ; appuyer sur la -touche enter modifie une sélection, sans activer &BTN-CONT;. - -</para><para> - -Quand un dialogue propose une aide, un bouton <guibutton>Help</guibutton> -est affiché. Les informations sont alors accessibles avec ce bouton ou -bien en pressant la touche <keycap>F1</keycap>. - -</para><para> - -Pour changer de console, vous aurez besoin d'utiliser la touche -<keycap>Ctrl</keycap>, comme dans le système X Window. Par exemple, -pour passer sur VT2 où se trouve un interpréteur de commandes : <keycombo> <keycap>Ctrl</keycap> -<keycap>Left Alt</keycap> <keycap>F2</keycap> </keycombo>. Et pour revenir sur l'installateur graphique -qui s'exécute sur la console VT5 : -<keycombo> <keycap>Left Alt</keycap> <keycap>F5</keycap> </keycombo>. - -</para> - </sect2> - </sect1> - - <sect1 id="modules-list"><title>Introduction aux composants</title> -<para> - -Voici une liste des composants de l'installateur, avec une brève description -des buts de chacun d'eux. Des précisions sur leur utilisation se trouvent -dans <xref linkend="module-details"/>. - -</para> - -<variablelist> -<varlistentry> - -<term>Le menu principal</term><listitem><para> - -Affiche la liste des composants pendant les opérations de l'installateur et -lance le composant qui a été choisi. Les questions du menu principal ont la -priorité <emphasis>medium</emphasis> (moyenne), et si la priorité que vous avez choisie est -<emphasis>high</emphasis> (haute) ou <emphasis>critical</emphasis> (critique) -(<emphasis>high</emphasis>, par défaut), vous ne verrez pas le menu. Quand une erreur se -produit, qui demande votre intervention, la priorité de la question peut être -abaissée temporairement pour vous permettre de résoudre le problème, et dans -ce cas, le menu apparaît. -</para> -<para> -Depuis le composant en cours, vous pouvez revenir au menu principal en -sélectionnant plusieurs fois le bouton &BTN-GOBACK;. -</para></listitem> -</varlistentry> - -<varlistentry> - -<term>localechooser</term><listitem><para> - -Ce programme permet à l'utilisateur de choisir des paramètres régionaux pour l'installation -et le système à installer : la langue, le pays et les <emphasis>locales</emphasis>. -L'installateur affiche ses messages dans la langue choisie ; si la traduction -des messages dans cette langue n'est pas complète, certains messages -seront affichés en anglais. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>console-setup</term><listitem><para> - -Ce programme affiche une liste des cartes clavier. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>hw-detect</term><listitem><para> - -Ce programme détecte automatiquement la plupart des éléments matériels du système, les -cartes réseau, les disques, les cartes PCMCIA. -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>cdrom-detect</term><listitem><para> - -Ce programme recherche et monte les cédéroms pour l'installation de &debian;. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>netcfg</term><listitem><para> - -Ce programme configure la connexion réseau pour la communication sur internet. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>iso-scan</term><listitem><para> - -Ce programme recherche les fichiers ISO qui se trouvent sur des disques durs. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>choose-mirror</term><listitem><para> - -Ce programme affiche une liste des miroirs de l'archive &debian;. L'utilisateur peut -choisir la source des paquets à installer. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>cdrom-checker</term><listitem><para> - -Ce programme vérifie l'intégrité des cédéroms. Ainsi l'utilisateur peut s'assurer que -le cédérom d'installation n'est pas corrompu. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>lowmem</term><listitem><para> - -Lowmem essaie de détecter les systèmes qui ont peu de mémoire et s'arrange -pour supprimer les programmes non indispensables de l'installateur, au prix de -certaines fonctionnalités. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>anna</term><listitem><para> - -<emphasis>Anna's Not Nearly APT</emphasis>. C'est un programme qui installe -les paquets qui ont été récupérés sur le miroir choisi. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>user-setup</term><listitem><para> - -Ce programme permet la création du mot de passe pour le superutilisateur -(<emphasis>root</emphasis>) et l'ajout d'un utilisateur ordinaire. - -</para></listitem> -</varlistentry> - <varlistentry> - -<term>clock-setup</term><listitem><para> - -Ce programme contrôle le réglage de l'horloge (UTC ou non). - -</para></listitem> -</varlistentry> - <varlistentry> - -<term>tzsetup</term><listitem><para> - -Ce programme permet de choisir le fuseau horaire à partir du lieu indiqué précédemment. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>partman</term><listitem><para> - -Ce programme permet de partitionner les disques du système, de créer les -systèmes de fichiers sur les partitions et de monter ces partitions. -Il possède d'autres fonctionnalités intéressantes comme son mode -automatique ou la gestion des volumes logiques (LVM). -C'est le partitionneur principal de &debian;. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - - -<term>partitioner</term><listitem><para> - -Ce programme permet de partitionner les disques du système. -Un partitionneur approprié à l'architecture de votre système est choisi. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>partconf</term><listitem><para> - -Ce programme affiche la liste des partitions et crée les systèmes de fichiers sur les -partitions choisies selon les instructions de l'utilisateur. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>lvmcfg</term><listitem><para> -Ce programme aide l'utilisateur dans sa configuration du -<firstterm>gestionnaire de volumes logiques</firstterm> -<emphasis>(LVM, Logical Volume Manager)</emphasis>. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>mdcfg</term><listitem><para> - -Ce programme permet la configuration d'un <firstterm>RAID</firstterm> logiciel -<emphasis>(Redundant Array of Inexpensive Disks)</emphasis>. Ce RAID logiciel est -supérieur à celui des contrôleurs IDE qu'on trouve sur les cartes mère récentes. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>base-installer</term><listitem><para> - -Ce programme installe l'ensemble des programmes de base qui permettront -le fonctionnement de l'ordinateur sous &debian-gnu; après le redémarrage. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>apt-setup</term><listitem><para> - -Ce programme configure apt à partir d'informations tirées du -support d'installation. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>pkgsel</term><listitem><para> - -Ce programme utilise le logiciel <classname>tasksel</classname> pour sélectionner et installer -des logiciels supplémentaires. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>os-prober</term><listitem><para> - -Ce programme détecte les systèmes d'exploitation présents sur le système et -passe cette information au programme bootloader-installer ; celui-ci -vous donne la possibilité d'ajouter ces systèmes au menu des programmes d'amorçage. -Ainsi vous pourrez choisir, au moment du démarrage, quel système lancer. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>bootloader-installer</term><listitem><para> - -Ce programme installe un programme d'amorçage sur le disque choisi ; -c'est nécessaire pour démarrer &arch-kernel; sans lecteur de disquette ou sans cédérom. -Beaucoup de programmes d'amorçage permettent de choisir le système -d'exploitation que l'on veut lancer au démarrage de la machine. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>shell</term><listitem><para> - -Ce programme permet d'exécuter un interpréteur de commandes, à partir du menu -ou dans la deuxième console. - -</para></listitem> -</varlistentry> -<varlistentry> - -<term>save-logs</term><listitem><para> - -Ce programme permet d'enregistrer des informations sur une disquette, -un réseau, un disque dur, etc. quand quelque chose se passe mal ; -ainsi on peut par la suite envoyer des -informations précises aux développeurs &debian;. - -</para></listitem> -</varlistentry> - -</variablelist> - - </sect1> - -&using-d-i-components.xml; -&loading-firmware.xml; - -</chapter> - diff --git a/fr/welcome/about-copyright.xml b/fr/welcome/about-copyright.xml deleted file mode 100644 index c5fe3c660..000000000 --- a/fr/welcome/about-copyright.xml +++ /dev/null @@ -1,80 +0,0 @@ -<!-- original version: 67991 --> - -<sect1><title>À propos des copyrights et des licences des logiciels</title> - -<para> -Vous avez probablement lu les licences fournies avec les -logiciels commerciaux : elles disent que vous ne pouvez utiliser -qu'une seule copie du logiciel et sur un seul ordinateur. La licence du -système &debian-gnu; est totalement différente. Nous vous encourageons à -copier le système &debian-gnu; sur tous les ordinateurs de votre école ou -de votre entreprise. Passez-le à vos amis et aidez-les à l'installer sur leur -ordinateur. Vous pouvez même faire des milliers de copies et les -<emphasis>vendre</emphasis> — avec quelques restrictions cependant. La distribution -&debian; est en effet fondée sur le <emphasis>logiciel libre</emphasis>. -</para> - -<para> -Qu'un logiciel soit <emphasis>libre</emphasis> ne veut pas dire qu'il est -dépourvu de copyright et ne signifie pas que les CD ou DVD qui contiennent ce -logiciel doivent être distribués gratuitement. Cela signifie d'une part que les -licences des programmes individuels ne vous obligent pas à payer pour avoir -le droit d'utiliser ou de distribuer ces programmes. Et cela signifie d'autre -part que non seulement on peut étendre, adapter ou modifier un programme, -mais qu'on peut aussi distribuer le résultat de ce travail. - -<note><para> -Le projet &debian; met à disposition beaucoup de paquets qui ne satisfont pas -à nos critères de liberté — c'est une concession pragmatique à nos -utilisateurs. -Ces paquets ne font pas partie de la distribution officielle, et ils sont -distribués dans les parties <userinput>contrib</userinput> et -<userinput>non-free</userinput> des miroirs &debian;, ou bien sur des cédéroms -vendus par des tiers ; voyez la -<ulink url="&url-debian-faq;">FAQ Debian</ulink>, -dans les <quote>archives FTP Debian</quote>, pour plus d'informations sur -l'organisation et le contenu des archives.</para></note> -</para> - -<para> -Beaucoup de programmes dans le système &debian; sont distribués selon les termes -de la licence <emphasis>GNU</emphasis> -<emphasis>General Public License</emphasis>, souvent simplement appelée -la <quote>GPL</quote>. La licence <emphasis>GPL</emphasis> oblige à donner -le <emphasis>code source</emphasis> du programme lorsque vous distribuez une -copie binaire de ce programme ; cet article assure que tout utilisateur pourra -modifier le programme. Et c'est pourquoi nous avons inclus le code -source <footnote> -<para>Pour savoir où trouver et comment décompresser et construire les paquets -source &debian;, voyez la -<ulink url="&url-debian-faq;">FAQ Debian</ulink>, sous le titre -<quote>Les bases du système de gestion des paquets Debian</quote>. -</para></footnote> de tous les programmes présents dans le système &debian;. -</para> - -<para> -D'autres formes de copyright et de licence sont utilisées dans le système -&debian;. Vous pourrez trouver les copyrights et les licences de chaque -programme dans le répertoire -<filename>/usr/share/doc/<replaceable>nom-du-paquet</replaceable>/copyright</filename> -une fois le paquet installé. -</para> - -<para> -Pour en savoir plus sur les licences et comment &debian; décide de ce qui est -suffisamment libre pour être inclus dans la distribution principale, -consultez les -<ulink url="&url-dfsg;">Principes du logiciel libre selon Debian</ulink>. -</para> - -<para> -Légalement, l'avertissement le plus important est que ce logiciel -est fourni <emphasis>sans aucune garantie</emphasis>. Les programmeurs qui -ont créé ce logiciel l'ont fait pour le bénéfice de la communauté. Il n'est -donné aucune garantie quant à la pertinence du logiciel pour un quelconque -usage. Cependant, puisque ce logiciel est libre, vous pouvez le modifier -autant que vous le désirez — et vous pouvez ainsi -profiter du travail de ceux qui ont amélioré le logiciel. -</para> - -</sect1> diff --git a/fr/welcome/doc-organization.xml b/fr/welcome/doc-organization.xml deleted file mode 100644 index edc24f56f..000000000 --- a/fr/welcome/doc-organization.xml +++ /dev/null @@ -1,107 +0,0 @@ -<!-- original version: 67991 --> - -<sect1 id="doc-organization"><title>Organisation de ce document</title> - -<para> -Ce document est destiné aux personnes qui utilisent &debian; -pour la première fois. Il tente de faire aussi peu appel que -possible à des connaissances spéciales de la part du lecteur. Cependant, il -suppose une compréhension élémentaire du fonctionnement de son matériel. -</para> - -<para> -Les utilisateurs expérimentés pourront aussi trouver dans ce document -des informations de référence, comme la place minimale -nécessaire à une installation, des précisions au sujet du matériel reconnu -par le système d'installation de &debian;, etc. Nous encourageons les -utilisateurs expérimentés à naviguer dans ce document. -</para> - -<para> -Ce document, organisé de façon linéaire, guide l'utilisateur à travers le -processus d'installation. Voici les différentes étapes de l'installation de -&debian-gnu;, et les sections de ce document qui s'y rapportent : - -<orderedlist> -<listitem><para> -Comment déterminer si votre matériel possède la configuration minimale -nécessaire au système d'installation est expliqué dans le -<xref linkend="hardware-req"/> ; -</para></listitem> - -<listitem><para> -Comment faire une sauvegarde de votre système, préparer et configurer le -matériel avant d'installer &debian;, est expliqué dans le -<xref linkend="preparing"/>. -Si vous prévoyez de pouvoir démarrer plusieurs systèmes, vous aurez besoin de -partitionner votre disque dur ; -</para></listitem> - -<listitem><para> -Dans le <xref linkend="install-methods"/>, vous trouverez les fichiers -nécessaires pour la méthode d'installation que vous avez choisie ; -</para></listitem> - -<listitem><para> -Le <xref linkend="boot-installer"/> décrit comment amorcer le -système d'installation ; ce chapitre contient aussi des procédures de -dépannage en cas de problèmes lors du démarrage ; -</para></listitem> - -<listitem><para> -L'installation réelle est détaillée dans le <xref linkend="d-i-intro"/>. Elle -comprend le choix d'une langue, la configuration des modules pour les pilotes -de périphériques, la configuration de la connexion réseau — ainsi, quand -on ne fait pas l'installation à partir d'un cédérom, les autres fichiers -d'installation pourront être récupérés directement sur un serveur -&debian; —, le partitionnement des disques durs, l'installation du -système de base et la sélection et l'installation des tâches ; -certains éléments concernant la manière de créer des partitions pour un système -&debian; sont donnés dans l'<xref linkend="partitioning"/>. -</para></listitem> - -<listitem><para> -Comment amorcer le système de base installé est expliqué dans le -<xref linkend="boot-new"/> ; -</para></listitem> - -</orderedlist> -</para> - -<para> -Une fois que vous avez installé votre système, vous pouvez lire le -<xref linkend="post-install"/>. Ce chapitre explique où trouver plus -d'informations sur Unix et &debian; et comment remplacer votre noyau. - -<!-- XXX FIXME: If you want to build your own install system -from source, be sure to read <xref linkend="boot-floppy-techinfo"/>. --> - -</para> - -<para> -Enfin, vous trouverez des informations sur ce document et sur la manière d'y -contribuer dans l'<xref linkend="administrivia"/>. -</para> - -</sect1> - - <sect1 condition="FIXME"> - <title>Toute aide est la bienvenue</title> - - <para> -Aide et suggestions, en particulier les correctifs, sont grandement -appréciés. Les versions de travail de ce document sont sur -<ulink url="&url-d-i-alioth-manual;"></ulink>. Vous y trouverez les -architectures et les langues pour lesquelles ce document est disponible. - </para> - -<para> -La version source est aussi librement disponible. Pour davantage -d'informations sur la manière de contribuer, voyez l' -<xref linkend="administrivia"/>. -Nous apprécions les suggestions, les commentaires, les correctifs et les -rapports de bogue (envoyez le rapport contre le paquet -<classname>installation-guide</classname>, mais -vérifiez d'abord que le problème ne soit pas déjà connu). -</para> -</sect1> diff --git a/fr/welcome/getting-newest-doc.xml b/fr/welcome/getting-newest-doc.xml deleted file mode 100644 index 232456176..000000000 --- a/fr/welcome/getting-newest-doc.xml +++ /dev/null @@ -1,13 +0,0 @@ -<!-- original version: 64829 --> - -<sect1 id="getting-newest-doc"> -<title>Comment obtenir la plus récente version de ce document ?</title> - -<para> -Ce document est continuellement révisé. N'oubliez pas de vérifier les -informations de dernière minute sur la -<ulink url="&url-release-area;">page de la version &release;</ulink>. Des -versions à jour de ce manuel sont également disponibles sur les -<ulink url="&url-install-manual;">pages officielles du manuel d'installation</ulink>. -</para> -</sect1> diff --git a/fr/welcome/getting-newest-inst.xml b/fr/welcome/getting-newest-inst.xml deleted file mode 100644 index 5125af74b..000000000 --- a/fr/welcome/getting-newest-inst.xml +++ /dev/null @@ -1,22 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<sect1 id="getting-newest-inst"> -<title>Comment obtenir &debian; ?</title> - -<para> -Pour plus d'informations sur la façon de télécharger &debian-gnu; depuis -Internet, ou sur la façon de se procurer les cédéroms officiels de &debian;, -voyez la -<ulink url="&url-debian-distrib;">page web sur les façons d'obtenir Debian</ulink>. -La -<ulink url="&url-debian-mirrors;">liste des miroirs Debian</ulink> -répertorie tous les miroirs officiels &debian;. -</para> - -<para> -Après l'installation, &debian; peut être facilement mis à jour. La procédure -d'installation vous aidera à configurer le système de façon à ce que vous -puissiez faire ces mises à jour une fois le système installé. - -</para> -</sect1> diff --git a/fr/welcome/welcome.xml b/fr/welcome/welcome.xml deleted file mode 100644 index cd15cd861..000000000 --- a/fr/welcome/welcome.xml +++ /dev/null @@ -1,21 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<chapter id="welcome"><title>Bienvenue sur &debian;</title> - -<para> -Ce chapitre propose un survol du projet &debian-gnu;. -Si vous connaissez déjà l'histoire du projet &debian; et de la distribution -&debian-gnu;, vous pouvez passer au chapitre suivant. -</para> - -&what-is-debian.xml; -&what-is-linux.xml; -&what-is-debian-linux.xml; -&what-is-debian-kfreebsd.xml; -&what-is-debian-hurd.xml; -&getting-newest-inst.xml; -&getting-newest-doc.xml; -&doc-organization.xml; -&about-copyright.xml; - -</chapter> diff --git a/fr/welcome/what-is-debian-hurd.xml b/fr/welcome/what-is-debian-hurd.xml deleted file mode 100644 index d8e182311..000000000 --- a/fr/welcome/what-is-debian-hurd.xml +++ /dev/null @@ -1,35 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<!-- conditionalised because the hurd port is not yet an official debian -release --> - -<sect1 id="what-is-debian-hurd" condition="unofficial-build"> -<title>Qu'est-ce que &debian; GNU/Hurd ?</title> - -<para> -&debian; GNU/Hurd est le système &debian; GNU avec le <quote>Hurd</quote> -de GNU — un ensemble de serveurs -tournant au-dessus d'un micro-noyau Mach. -</para> -<para> - Le Hurd n'est pas encore achevé -et ne convient pas à une utilisation quotidienne, mais le travail est en -cours. Le Hurd n'est, pour le moment, développé que pour l'architecture -i386 : des portages vers d'autres architectures seront faits dès que le -système sera plus stable. -</para> -<para> - -Comme &debian; GNU/Hurd n'est pas un système Linux, certaines informations -concernant les systèmes Linux ne s'appliquent pas. - -</para> - -<para> -Pour plus d'informations, voir la -<ulink url="http://www.debian.org/ports/hurd/"> -page sur le portage de Debian GNU/Hurd</ulink> -et la liste de diffusion <email>debian-hurd@lists.debian.org</email>. -</para> - -</sect1> diff --git a/fr/welcome/what-is-debian-kfreebsd.xml b/fr/welcome/what-is-debian-kfreebsd.xml deleted file mode 100644 index 544170e61..000000000 --- a/fr/welcome/what-is-debian-kfreebsd.xml +++ /dev/null @@ -1,28 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - - <sect1 id="what-is-debian-kfreebsd"> - <title>Qu'est-ce que &debian; GNU/kFreeBSD ?</title> - -<para> - -&debian; GNU/kFreeBSD est un système &debian; GNU avec le noyau kFreeBSD. - -</para><para> - -Pour l'instant, ce portage de &debian; n'est développé que pour les architectures i386 et amd64. -Mais des portages vers d'autres architectures sont possibles. - -</para><para> - -Le système &debian; GNU/kFreeBSD n'est pas un système Linux. Il se peut que certaines informations -concernant Linux ne conviennent plus. - -</para><para> - -Veuillez consulter la <ulink url="http://www.debian.org/ports/kfreebsd-gnu/"> -page des portages Debian GNU/kFreeBSD</ulink> ainsi que la liste de discussion -<email>debian-bsd@lists.debian.org</email> pour d'autres informations. - -</para> - - </sect1> diff --git a/fr/welcome/what-is-debian-linux.xml b/fr/welcome/what-is-debian-linux.xml deleted file mode 100644 index 832973ef1..000000000 --- a/fr/welcome/what-is-debian-linux.xml +++ /dev/null @@ -1,78 +0,0 @@ -<!-- original version: 64916 --> - -<sect1 id="what-is-debian-linux"> -<title>Qu'est-ce que &debian; GNU/Linux ?</title> - -<para> -La philosophie et la méthodologie &debian; combinées avec les outils GNU, le -noyau Linux et certains logiciels libres importants, forment une distribution -logicielle unique appelée &debian; GNU/Linux. Cette distribution est faite d'un -grand nombre de <emphasis>paquets</emphasis> logiciels. Chaque paquet de la -distribution contient des exécutables, des scripts, de la documentation, des -informations de configuration ; il possède un -<emphasis>responsable</emphasis> dont la principale charge est de tenir le -paquet à jour, de suivre les rapports de bogues et de rester en communication -avec les auteurs amont du paquet. Grâce à notre très grande base d'utilisateurs et -à notre système de suivi des bogues, les problèmes sont -détectés et résolus très rapidement. -</para> - -<para> -Le souci du détail nous permet de donner une distribution paramétrable, stable -et de grande qualité. On peut facilement programmer le système d'installation -pour qu'il installe aussi bien un simple pare-feu qu'un poste de travail -scientifique ou un serveur réseau. -</para> - -<para> -&debian; est particulièrement appréciée des utilisateurs avertis pour son -excellence technique et pour son souci constant des besoins et des -attentes de la communauté Linux. Ainsi &debian; a inventé beaucoup de -fonctionnalités qui sont maintenant des standards sous Linux. - </para> - -<para> -Par exemple, &debian; fut la première distribution Linux à proposer un -système de gestion des paquets qui facilitait l'installation et la suppression -des logiciels. De même, ce fut la première distribution qu'on pouvait -mettre à jour sans avoir besoin d'une réinstallation. - </para> -<para> -&debian; continue d'animer le développement de Linux. Son modèle de développement -est exemplaire de l'excellence du modèle Open source, jusque dans les -tâches très complexes de construction et de maintenance d'un système -d'exploitation complet. - </para> -<para> -La fonctionnalité qui distingue le plus &debian; des autres distributions -Linux est son système de gestion des paquets. Ces outils donnent à -l'administrateur d'un système &debian; un contrôle complet sur les paquets -installés sur le système ; c'est, par exemple, la possibilité -d'installer un seul paquet ou celle de mettre à jour l'ensemble du système. -Certains paquets peuvent aussi être protégés contre une mise à jour. Vous -pouvez même dire au système quels paquets vous avez compilés vous-mêmes et -quelles dépendances ils nécessitent. -</para> - -<para> -Pour protéger votre système contre les <quote>chevaux de Troie</quote> et les -logiciels malveillants, &debian; vérifie que les paquets proviennent de leur -responsable &debian; officiel. Ceux-ci prennent un grand soin à configurer les -paquets d'une manière sûre. Si des problèmes de sécurité apparaissent dans les -paquets livrés, des corrections sont en général rapidement disponibles. Grâce -à la possibilité de mise à jour simple, offerte par &debian;, vous pouvez -récupérer sur Internet et installer automatiquement les corrections -concernant la sécurité. -</para> - -<para> -La première et la meilleure méthode pour obtenir de l'aide pour votre système -&debian; GNU/Linux, et pour communiquer avec les développeurs &debian;, est -d'utiliser les nombreuses listes de diffusion gérées par le projet &debian; -(il y en a plus de &num-of-debian-maillists; à ce jour). La façon la plus -simple de s'abonner à une liste est de visiter la -<ulink url="&url-debian-lists-subscribe;">page d'abonnement aux listes de diffusion Debian</ulink> -et de compléter le formulaire qui s'y trouve. -</para> - -</sect1> diff --git a/fr/welcome/what-is-debian.xml b/fr/welcome/what-is-debian.xml deleted file mode 100644 index 2a6558ae8..000000000 --- a/fr/welcome/what-is-debian.xml +++ /dev/null @@ -1,99 +0,0 @@ -<!-- original version: 45347 --> - -<sect1 id="what-is-debian"> -<title>Qu'est-ce que Debian ?</title> - -<para> -Debian est une organisation composée uniquement de bénévoles, dont le but est -de développer le logiciel libre et de promouvoir les idéaux de la communauté du -logiciel libre. -Le projet Debian a démarré en 1993, quand Ian Murdock invita tous les -développeurs de logiciels à participer à la création d'une distribution -logicielle, complète et cohérente, basée sur le nouveau noyau Linux. Ce petit -groupe d'enthousiastes, d'abord subventionné par la -<ulink url="&url-fsf;">Free Software Foundation</ulink>, et influencé -par la philosophie -<ulink url="&url-gnu-intro;">GNU</ulink>, -a grandi pour devenir une organisation composée par environ -&num-of-debian-developers; <firstterm>développeurs Debian</firstterm>. -</para> - -<para> -Les développeurs Debian s'impliquent dans de multiples activités, -par exemple, l'administration des sites -<ulink url="&url-debian-home;">web</ulink> et -<ulink url="&url-debian-ftp;">FTP</ulink>, la conception graphique, -l'analyse juridique des licences logicielles, l'écriture de la documentation -et, bien sûr, la maintenance des paquets logiciels. -</para> - -<para> -Pour communiquer notre philosophie et attirer des développeurs qui adhèrent -à nos principes, le projet Debian a publié un certain nombre -de documents qui mettent en évidence nos valeurs et expliquent ce que signifie -être un développeur Debian : - -<itemizedlist> -<listitem><para> -Le -<ulink url="&url-social-contract;">contrat social Debian</ulink> -est la déclaration des engagements de Debian vis-à-vis de la communauté du -logiciel libre. Quiconque est d'accord pour se conformer à ce contrat social -peut devenir un -<ulink url="&url-new-maintainer;">développeur Debian</ulink>. Tout -développeur Debian peut introduire de nouveaux logiciels dans Debian, -à condition que ces paquets se conforment à nos critères de liberté et -répondent à nos critères de qualité ; -</para></listitem> -<listitem><para> -Les -<ulink url="&url-dfsg;">directives Debian pour le logiciel libre</ulink> (<emphasis>Debian Free Software Guidelines</emphasis>, ou <emphasis>DFSG</emphasis>) -sont une déclaration claire et concise des critères Debian en matière de -logiciel libre. -Ce document a une grande influence sur le mouvement pour le logiciel -libre ; il est à la base de la définition de l' -<ulink url="&url-osd;">Open Source</ulink> ; -</para></listitem> -<listitem><para> -La <ulink url="&url-debian-policy;">charte Debian</ulink> est une -spécification détaillée des standards de qualité du projet Debian. -</para></listitem></itemizedlist> -</para> - -<para> -Les développeurs Debian participent aussi à d'autres projets : -certains sont spécifiques à Debian, d'autres concernent tout ou partie de la -communauté Linux. Voici quelques exemples : - -<itemizedlist> -<listitem><para> -Le -<ulink url="&url-lsb-org;">Linux Standard Base</ulink> (LSB) est -un projet dont le but est de standardiser le système GNU/Linux de base. Les -concepteurs de matériels et de logiciels pourront ainsi plus facilement -concevoir des applications et des pilotes de périphériques pour un système -Linux générique plutôt que pour une distribution particulière ; -</para></listitem> -<listitem><para> -Le -<ulink url="&url-fhs-home;">standard pour l'organisation des systèmes de -fichiers</ulink> (FHS) -est un effort pour standardiser l'organisation du système de -fichiers Linux. Le FHS permettra aux développeurs de logiciels de se -concentrer sur la conception de programmes, sans avoir à se préoccuper de la -façon dont le paquet sera installé dans les différentes distributions -GNU/Linux ; -</para></listitem> -<listitem><para> -<ulink url="&url-debian-jr;">Debian Jr.</ulink> -est un projet interne dont le but est de s'assurer que Debian a quelque chose -à offrir à nos utilisateurs les plus jeunes. -</para></listitem></itemizedlist> -</para> - -<para> -Pour des informations plus générales sur Debian, voir la -<ulink url="&url-debian-faq;">FAQ Debian</ulink>. -</para> - -</sect1> diff --git a/fr/welcome/what-is-linux.xml b/fr/welcome/what-is-linux.xml deleted file mode 100644 index 8aa4b5006..000000000 --- a/fr/welcome/what-is-linux.xml +++ /dev/null @@ -1,90 +0,0 @@ -<!-- original version: 61187 --> - -<sect1 id="what-is-linux"> -<title>Qu'est-ce que GNU/Linux ?</title> - -<para> -Linux est un système d'exploitation, c'est-à-dire, un ensemble de programmes -qui permet d'agir sur la machine et de lancer d'autres programmes. - </para> - -<para> -Un système d'exploitation comprend les programmes fondamentaux dont votre -ordinateur a besoin pour échanger des instructions avec les utilisateurs : -lire et écrire des données sur disque dur, sur bandes ou vers des imprimantes, -contrôler l'utilisation de la mémoire, faire tourner d'autres programmes, etc. -La partie la plus importante d'un système d'exploitation est le noyau. Dans -un système GNU/Linux, c'est le noyau Linux. Le reste du système comprend -d'autres programmes, dont beaucoup ont été écrits par, ou pour, le projet GNU. -Comme le noyau Linux seul ne forme pas un système d'exploitation fonctionnel, -nous préférons, pour nous référer au système que beaucoup de gens appellent -de façon insouciante <quote>Linux</quote>, utiliser le terme -<quote>GNU/Linux</quote>. -</para> - -<para> -Linux est fondé sur le système d'exploitation Unix. Dès le début, -il fut conçu comme un système multitâche et multiutilisateur. Ces -caractéristiques suffisent à distinguer Linux d'autres systèmes bien connus. -Cependant, Linux est encore plus différent que vous ne pouvez l'imaginer. -Personne ne possède Linux, contrairement à d'autres systèmes. L'essentiel de -son développement est fait par des volontaires non payés. - </para> - -<para> -Le développement de ce qui fut appelé plus tard GNU/Linux commença en 1984, -quand la <ulink url="&url-fsf;"><quote>Free Software Foundation</quote></ulink> -entreprit le développement d'un système libre de type Unix, appelé GNU. - </para> - -<para> -Le <ulink url="&url-gnu;">projet GNU</ulink> a développé un ensemble complet -d'outils libres destinés à Unix™ et aux systèmes d'exploitation de type Unix, -tel que Linux. Ces outils permettent aux utilisateurs d'accomplir aussi bien les tâches -les plus simples (copier ou effacer un fichier) que les plus complexes (écrire et -compiler des programmes, éditer de façon sophistiquée dans un grand nombre de formats). - </para> -<para> -Beaucoup de groupes et d'individus ont contribué à Linux mais le plus -important d'entre eux est la <quote>Free Software Foundation</quote> qui -a non seulement créé la plupart des outils utilisés par Linux mais aussi la -philosophie et la communauté qui ont rendu Linux possible. - </para> - -<para> -Le <ulink url="&url-kernel-org;">noyau Linux</ulink> est apparu pour la -première -fois en 1991, quand un étudiant en informatique finlandais du nom de Linus -Torvalds annonça une version de remplacement du noyau Minix dans le groupe de -discussion Usenet <userinput>comp.os.minix</userinput>. Consultez la -<ulink url="&url-linux-history;">page d'histoire de Linux</ulink> -sur Linux International. -</para> - -<para> -Linus Torvalds continue à coordonner le travail de centaines de développeurs, -aidé par des responsables de sous-systèmes. Il existe un -<ulink url="&url-kernel-org;">site officiel</ulink> pour le noyau Linux. -Des informations supplémentaires sur la liste de diffusion -<userinput>linux-kernel</userinput> se trouvent sur la -<ulink url="&url-linux-kernel-list-faq;">FAQ de la liste de diffusion de linux-kernel</ulink>. -</para> - -<para> -Les utilisateurs de Linux n'ont que l'embarras du choix pour les logiciels. -Ils peuvent par exemple hésiter entre une douzaine d'interpréteurs de -commandes, plusieurs interfaces graphiques. Cette possibilité de choix étonne -souvent les utilisateurs d'autres systèmes d'exploitation, qui ne sont pas -habitués à penser qu'ils peuvent changer leur interpréteur de commandes ou -leur interface graphique. - </para> -<para> -Linux <quote>plante</quote> moins, peut plus facilement exécuter plus d'un -programme à la fois, est plus sûr que beaucoup de systèmes d'exploitation. -Ces avantages font de Linux le système d'exploitation dont la demande a la -plus forte croissance sur le marché des serveurs. Plus récemment, Linux a -aussi commencé à gagner en popularité parmi les utilisateurs, qu'ils soient en -entreprise ou chez eux. - </para> - -</sect1> |